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Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

Publié le dimanche 28 août 2016 à 12h30min

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Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

Le président de l’assemblée nationale, Salifou Diallo demande au gouvernement d’être plus ‘’audacieux et imaginatif’’, parce que le schéma classique dans lequel il évolue n’entrainera aucun développement du pays, même dans 10 ; 20 ans. Il faut selon le chef du parlement, que l’exécutif sache dire ‘’non’’ à la banque mondiale et au Fonds monétaire international et procéder à un endettement massif du pays, évitant ainsi de se faire perfuser à petite dose. Un langage ‘’direct’’ qui semble traduire que l’un des hommes du pouvoir et pas des moindres n’est pas d’accord avec la conduite de la barque nationale.

Le président de l’assemblée nationale avait visiblement des choses à dire au gouvernement. Et le 21 Juillet 2016, alors que le ministre de l’économie et du développement Rosine Sori-Coulibaly était allée présenter aux députés le document de programmation budgétaire économique pluri annuel 2017-2019, il n’a pas manqué l’occasion d’assener ses vérités dans un langage qu’on lui connait.

Pour lui, les populations n’ont que faire des différents programmes bien ficelés et présentés à la représentation nationale et qui ne changent pas consubstantiellement leur vie. En plus, les taux de croissance annoncés et exhibés ne sont pas ressentis par les populations. « Aujourd’hui quand on dit que le taux de croissance est à 7,8%, cela ne dit rien au paysan de Logobou (Ndlr. département situé dans la province de la Tapoa dans la région de l’Est) quand il n’a pas de routes, d’écoles ; mais votre taux de croissance ne signifie absolument rien ».

Mieux, Salifou Diallo demande au gouvernement d’apporter le Programme national de développement économique et social (PNDES), référentiel de développement pour les prochaines années, pour que les députés le dissèquent programme après programme, secteur après secteur, année après année. Une manière de vérifier ce qui sera fait concrètement ; par exemple si la route qui va de Logobou à Bobo Dioulasso pour exporter le coton ou le bétail sera réalisée.

Un exemple concret de ce qui peut booster le développement du pays, mais reste délaissé, le chemin de fer. « Depuis 1960, on n’a qu’un seul chemin de fer, là aussi réalisé à moitié par le colon. On a lancé la bataille du rail sous la révolution, jusqu’à Kaya, et malheureusement elle a été interrompue. Nous ne faisons plus d’efforts pour mobiliser le peuple, continuer cette bataille et arriver à Tambao et exporter et le manganèse et le bétail. Nous sommes là et dépendants d’opérateurs économiques hypothétiques qui chaque année promettent d’exploiter Tambao et les rails, après eux-mêmes sont pris dans des nasses bizarres on ne les voit pas venir, sauf à l’aéroport de Ouaga pour repartir », a-t-il regretté.

Salifou Diallo Sceptique

Par ailleurs, le président de l’assemblée nationale a exprimé son inquiétude après l’exposé du ministre de l’économie et du développement sur la programmation pluri annuelle. « Vous dites dans votre exposé qu’on envisage utiliser 60% des ressources propres pour atteindre un taux de croissance de 8%. Objectivement, quand on regarde notre pays, et quand on considère les ressources propres (budgétaires) de notre pays- vous avez dit ici lors de l’adoption de la loi rectificative des finances que 94% des ressources budgétaires servent à gérer l’Etat (salaires, fonctionnement de l’Etat). Il reste 6% est ce que 6% des ressources propres peuvent influer un développement pour atteindre 8% de taux de croissance. C’est une question de fonds ».

Autre point qui rend ‘’Gorba’’ sceptique, c’est le programme présidentiel, document de cadrage macroéconomique dans lequel il n’y voit aucun « trait d’audace ». « Les populations à la base ne nous demandent pas si tel document a été bien élaboré ; après l’insurrection populaire elles nous demandent quand est-ce que ça va bouger et il faut que ça bouge. Nous le disons en toute sincérité parce que nous sommes du même pays et il faut que le gouvernement ait de l’audace et de l’imagination. Nous ne voulons pas d’une gestion classique et bureaucratique », a poursuivi l’occupant du perchoir qui a précisé que les remarques ne sont pas adressées seulement au ministre de l’économie et du développement, mais à l’ensemble du gouvernement.

Savoir dire ‘’non’’ aux institutions de Breton woods

Le chef du pouvoir législatif est convaincu d’une chose, le Burkina Faso ne se développera pas s’il ne revoit pas ses accords avec le FMI et la Banque mondiale. Il faut sortir du schéma classique, « procéder à un endettement massif et mobiliser les populations pour que cet endettement massif amène le pays à bouger ».

Le gouvernement, poursuit-il, doit avoir le courage d’arrêter de se faire « perfuser à petite dose ». Cependant, précise-t-il, il ne s’agit pas de s’endetter pour construire des châteaux ou permettre à une minorité de s’enrichir, mais plutôt pour des programmes populaires.

Pour étayer son argumentation, Salifou Diallo prend l’exemple de certains pays asiatiques. La Malaisie avait au début, un taux de 4 ; 5 % avec des ressources énormes, mais la Banque mondiale du FMI le tenaient sous leurs jougs.

« Le jour où ils ont dit non à la Banque mondiale et au FMI (…), ils ont mobilisé leur peuple, au début c’était difficile, mais trois ans après, ils ont dépassé le taux de croissance à deux chiffres et aujourd’hui, ils font partie des dragons. Il y a pleins d’exemple comme ça ».

Conviction de l’ancien ambassadeur du Burkina en Autriche, il faut que le gouvernement apprenne « d’abord à dire non au FMI, à la banque mondiale et les amener à la table de négociation », même si cela ne semble pas simple. Il confesse que les institutions de breton woods sont fortes et ont « des fauches caudines pour nous chauffer », mais le gouvernement doit faire « le pari de les affronter ».

C’est une question de survie, parce que, a-t-il renchéri, si les gouvernants ne le font pas et restent dans le schéma classique, même dans 10, 20 ans, le Burkina Faso va nous tourner en rond et son taux de croissance n’atteindra pas 8%.
Par contre, si l’ambition du Burkina Faso, c’est de continuer à être le bon élève du FMI, et de la Banque mondiale, Gorba prévient que cette position n’amènera nullement le développement. « Je n’ai jamais vu un pays noté 10 sur 10 par le FMI et la Banque mondiale et qui s’est émancipé ».

« Regardez la misère de notre pays, on peut essayer, si on échoue, on recommence. On peut rompre et gagner, on peut rompre et perdre, les générations futures vont continuer. Ce qui serait inopérant et dangereux, c’est le classicisme, la routine », a rempilé le député du MPP, parti au pouvoir. L’orateur citera même Mao Tse-Tung ; "du bon ordre, née le désordre’’ et demandera au gouvernement de faire la bagarre avec ces institutions, parce que le peuple sera derrière pour les soutenir.

Rosine Sori-Coulibaly qui a toutefois été félicitée par Salifou Diallo, est ressortie de l’hémicycle avec une mission confiée par ce dernier. Transmettre au gouvernement la volonté des représentants du peuple de l’accompagner pour les mesures fortes et non pas « pour ce qui est acceptable par les bailleurs de fonds ».

Tiga Cheick Sawadogo (tigacheick@hotmail.fr)
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 29 août 2016 à 02:05, par la droiture de l’homme En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Salif me rappelle Sankara. je pense que la manne de l’or devrait servir à preparer l’après or, il serait bien de construire une route, une usine etc... et de dire que c’est le produit de l’or. la dette ne libère point, elle asservit.

  • Le 29 août 2016 à 02:07, par Koutou En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Voilà un compte-rendu comme on les aime. On croirait avoir participé aux débats à l’hémicycle ! Et ça donne le vrai tempo des débats et des changements qui se sont opérés à l’A.N qui n’est visiblement plus une caisse de résonance. Au lieu de cela, on assiste trop souvent à des compte-rendus laconiques et parfois même différents et contradictoires d’un organe de presse à l’autre. Même si le CR doit attendre plusieurs semaines, je préfère l’avoir fidèle et analytique que squelettique et laconique au nom d’un hypothétique besoin d’être en phase avec l’actualité. Bravo à M. Tiga Cheick et à LeFaso.net. Good job ! Keep moving this way !

  • Le 29 août 2016 à 02:19, par Zahi En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Félicitation Mr le President de l’Assemblée Nationale, On se developpe jamais à credit.

  • Le 29 août 2016 à 02:29 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    On dit souvent que mieux vaut tard que jamais. Le Dr. Salifou DIALLO reconnait enfin qu’il s’est trompé de route. Le Capitaine Thomas SANKARA avait compris que la seule issue possible pour le Burkina Faso c’était de faire travailler ses Hommes. Tout ce dont les Hommes ont besoin au Faso, ces mêmes Hommes vont les produire eux-mêmes et les consommer eux-mêmes. C’était cela que SANKARA a voulu pour nous.
    Mais un jour, des gens ont trouvé bon de l’assassiner et d’instaurer la "rectification". Qu’est-ce que la "rectification" nous a apporté ? Rien, si ce n’est la culture de la facilité, de l’enrichissement par la courte échelle et souvent par de sales manières, et j’en passe. Aujourd’hui, un des acteurs de la "rectification" reconnait qu’il faut "mobiliser le peuple". Ce n’était pas ce que SANKARA faisait ? Après environ 3 décennies de "rectification", vous vous rendez compte que la "rectification" n’est pas la meilleure voie mais plutôt celle qu’avait prise SANKARA. Ce n’est pas tard. C’est bien de reconnaître qu’on a tord !
    Cela fait des décennies que vous mettez le peuple en marge de la société. Toutes les constructions, il faut aller à la Banque mondiale pour chercher l’argent alors que le peuple peut bien le faire. On s’endette pour des choses qui ne valent même pas la peine. A-t-on réellement besoin de s’endetter pour creuser des trous au Faso alors que des millions de jeunes peuvent le faire ? Absolument pas !
    On ne peut pas et on ne doit pas laisser la construction du Faso aux mains des bailleurs de fonds, j’allais dire des PTF (partenaires techniques et financiers).

    Le développement du Faso incombe aux Burkinabè et à eux seuls !

  • Le 29 août 2016 à 02:59, par Bouba En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    C’est tout ta fait faisable ce que SD nous demande mais on nous faira croire
    Que c’est impossible. Le Rawnda un exemple

  • Le 29 août 2016 à 03:14, par lina En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Il est le porte parole de tous les deputes, ce n est pas lui qui fait ses propositions. Quelles propositions concretes faites vous au gouvernement ? c est ce que l on attend de vous les deputes et son president..

  • Le 29 août 2016 à 03:27, par wendpanga En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Merci, Mr Diallo d’exprimer haut et fort ce que tout un peuple pense. On en a marre de leur discours mielleux à saveur de petits servants locaux du néocolonialisme. Le peuple à besoin d’une vision qui débouche sur du concret et non des chiffres de croissance qui nous engluent dans les bas fonds du développement. Allez cher gouvernement réveillé vous le banquet est fini. Pour la Faso, des programmes d’infrastructure, de desenclavement du territoire par le chemin de fer et l’amélioration des routes nationales.

  • Le 29 août 2016 à 04:10, par conscience En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Le peuple vous regarde chers RSS , vous prétendez être la solution et on veut sentir les choses bouger. Y en a marre des discours, vos speechs contradictoires.

  • Le 29 août 2016 à 04:13, par Le Vigilant ! En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Mr Salifou Diallo, merci bien de le dire mais qui est à la base aujourd’hui de cette agonie que vit notre Faso ? Sankara avait posé les bases d’un Faso qui ne devrait que compter sur lui meme . Il a dit ceci : " Consommons ce que nous produisons " . Il a été tue. Les promoteurs de la rectification ont trouvé toutes les idées du Thom supperflux. Vous aviez été membre actif dans le gouvernement de Blaise Compaore. Vous rappelez vous de la bataille du rail ? Ce projet ambitieux a été stoppé net par les rectificateurs . Et les rails, trains bradés à BOLLORÉ . Allez y voir devant la gare de train A ouaga , on y a accès qu’en pirogue. Ce ne sont plus des nids de poules là-bas mais des caniveaux . Allez A Abidjan voir la gare , c’est le même groupe Bolloré . Alors qu’à fait le Burkina A ce groupe.
    Qui parle de FMI et de Banque Mondial parle des Américains . Le coton OGM avec le fameux Mosanto qui a amené ça au Burkina Faso ? Le tord que cela cause ET à cause à nos braves paysans Dieux seul connaît l’évaluation .Toute notre agriculture est minée aujourd’hui
    trop de pesticides , depuis 20 ans il ya eu trop d’argent englouti dans des barrages pour un résultat quasi nul. Je me rappelle de vos gros projets tel que la gomme arabique , projet niebie, ... des projets non aboutis ...
    Mr le PAN le Burkina n’inventera pas la roue, nous sommes dans un monde qui est déjà normalisé par les forces du mal. Si vous n’aviez pas la caution de la BANQUE MONDIAL OU du FMI aujourd’hui vous n’allez gagnez l’argent nul part sur cette terre. Des pays comme l’Argentine en ON fait l’amer expérience avec les fonds vautours , heureusement qu’on emprisonne pas les états .
    Je conseille au PAN , il faut que nous apprenons à gérer sainement notre économie locale , balayé devant notre propre cour . C’est bon d’être donneur de leçon ,mais commençons par avoir nous meme une bonne gestion de la chose public. Que dites vous du DG de la CNSS décrié par tous sur sa gestion du passé . Ce sont ces genres de comportement qui amène le FMI et la BANQUE MONDIALE dans un pays. Quand ces institutions viennent Cest après des décennies de mauvaises gestions. Et quand elles viennent ont dit que Cest pour redresser. Rendez les marchés publics tres transparent , évitez des lois bidons pour gérer les deniers publics, évitez que des proches ne s’accaparent des marchés publics et qui n’arrivent pas à les exécuter . Ce sont ces comportements qui amènent la BM et le FMI dans un pays ! Mr le PAN saviez vous que le carbure nous tue au Faso.

  • Le 29 août 2016 à 04:31, par Tapsoba R(de H) En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Où en est-on avec ce projet d emprunts massifs de plus de 1000 milliards sur les marchés régionaux et internationaux ? Le programme présidentiel qui a porté Mr RMCK au pouvoir n était-il pas défendu par vous même en tant que directeur de campagne ?

  • Le 29 août 2016 à 04:40 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Je suis d’ accord avec Salif Diallo. La Banque Mondiale et le FMI ont commis beaucoup d’ erreurs en afrique. Ils ont reconnu leurs erreurs mais c’est souvent tres tard apres quand tout le mal a ete fait et meme la, qui paie les pots casses ?Meme les PAS ont ete un cuisant echec. Ils ont conduit a la pauperisation des populations. Aujourd’ hui, les burkinabe vivent plus mal qu’ en 1965. Qui dit le contraire ? Les PAS ne font que faire partie des mesures neoliberales qui consacrent le marche comme le regulateur supreme de echanges dans un milieu ou l’ ensemble de la popualtion a a peine 1 dollar par jour. Si l’ etat disparait completement et si l’ argent /le marche reste la seule reference, comment ceux qui n’ ont rien vont acheter les medicaments pour se soigner/ Comment ils vont payer les etudes pour leurs enfants ? On dit liberalisation des prix dans une economie traditionnelle. Normalelement la liberalisation devait s’ acompagner de la concurrence ans les prix. mais nos commercants se reunissent et s’ entendent sur les prix des denrees. Ou est la concurrence ? On parle de TVA. Avec l’ environnement social fait de corruption, les commercants percoivent la TVA mais ne la reversent pas a l’ Etat. Vraiment, osons dire la verite aux Institutions Internationales de Bretton Woods. Elles connaissent tres mal le terrain ou elles appliquent leur politiques manufavctruess dans les bureaux capitonnes de Manhattan.

  • Le 29 août 2016 à 04:56, par DANGA En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Trop tard, toi meme tu as passé 30 ans pour mettre en oeuvre ce que tu critiques aujourd’hui.
    J’imagine SANKARA rayonnant dans sa supposée tombe . tes propos sont la preuve qu’il avait sur vous(y compris toi-meme qui portait calach le jour de son assassinat).
    Quel tardive prise de conscience
    Quels aveux indescents
    Vous (rock, salif, simon, j’ecris vos en miniscule et vous devrez vous comprendre), ce que vous n’avez PAS VOULU "pardon pu faire en 30 ans pour votre peuple, il est vous humainement impossible de le faire au crepuscule de votre vie, c’est de l’ordre divin.
    Hommage au PRESIDENT SANKARA
    Reposez en PAIX sur cette TERRE LIBRE du Burkina

  • Le 29 août 2016 à 05:01, par gangobloh En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Onhummmhhh les institutions financières internationales ne travaillent pas pour le développement des pays pauvres mais a les exploiter pour les grandes puissances .celui qui n’a pas compris cette duperie, n’a rien compris et ne comprendra rien .

  • Le 29 août 2016 à 05:48, par Lavie En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Merci Son Excellence Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale (SEM-PAN). Nos fonctionnaires savent élaborer de très bons documents. Mais le carcan de la banque Mondial et du FMI les empêche d’oser des grandes sentiers pour le développement de la Patrie.
    Merci SEM-PAN et que chaque Burkinabé cesse de se faire perfuser à petites doses. Cet appel doit également être adressé aux banques primaireq qui tuent les travailleurs avec les petits crédits : 2 ans pour la moto ; 5 ans pour la voitures ; 5 ans pour la parcelle ; 5 ans pour les premiers travaux de bâtiment ; 5 ans pour que la maison soit habitable et 5 autres années pour la finition. Soit 27 ans dont 17 ans à rembourser les petits dettes et payer simultanément le loyer. Que les banques donnent des crédits de 20 ans aux jeunes salariés pour les permettre de se réaliser et de participer à l’épargne Nationale.
    Merci SEM-PAN. Vous toucher ainsi la substance des raisons du manque de développement du BF. L’Assemblée nationale doit exercer son contrôle sur les programmes et veiller à leur mise en oeuvre. Le développement d’un pays suppose :
    - le leadership éclaire et patriote ;
    - une bonne vision ;
    - et une stratégie à la hauteur de la vision.
    Finir avec le mouta-mouta et oser inventer un modèle de croissance et de développement économique et social en conformité avec les aspirations du peuple.
    Vive insurrection
    Vive le Burkina Faso

  • Le 29 août 2016 à 06:38 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Dommage que Salif Diallo n’ait pas tenu ce discours de 1987 à 2007 lorsqu’il était l’un des bras droits de Blaise Compaoré. A cette époque, la politique internationale du FMI et de la banque mondiale était catastrophique pour l’Afrique et les dirigeants burkinabè étaient totalement soumis face à ces institutions. Bien sûr, aujourd’hui encore, il est nécessaire de négocier dur avec eux mais force est de constater que depuis la période Strauss-Kahn, le FMI a su reconnaitre ses erreurs et rectifier ses orientations.

  • Le 29 août 2016 à 06:53, par YIRMOAGA En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Vrai vrai là, les RSS, il faut reconnaitre qu’il fallait les SS sans le R et on allait connaitre un développement.
    Je suis sans commentaires.

  • Le 29 août 2016 à 06:58, par L’Oeil En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Merci Internaute 12 DANGA. Ceux qui félicitent salif n’ont rien compris à sa stratégie habituelle machaviélique de diminuer les autres et de s’élever lui-même. N’est-ce pas lui en personne qui a commandité l’assassinat de THOMAS SANKARA. Aujourd’hui il ne fait que répéter ce que le Père et Visionnaire SANKARA avait dit et fait. Arrêtes de nous prendre pour des nez percés. Rock, fait très attention car il est entrain de t’enfoncer comme il l’a fait à Blaise.

  • Le 29 août 2016 à 07:04, par Professeur En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Merci presi.On ne mange pas la croissance, les chiffres ni les statistiques. L’AN doit s’assurer que les activités programmées ont été réellement réalisées. De part le passé des routes ecoles csps forages ont été réalisés sur papier alors que sur le terrain rien n’existe.

  • Le 29 août 2016 à 07:10, par anonyme En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Excellence sauf votre respect, permettez nous de vous dire ,que vous êtes en premier lieu le principal obstacle au développement de ce pays . Vous vous offusquez que le gouvernement manque d’audace et d’imagination . Mais Excellence, combien de ministres vous avez fait nommer dans ce gouvernement ? Et la plupart des ministres venus de votre sérail sont ceux là qui font étalage d’une incompétence , d’une lourdeur ,d’un régionalisme et d’un sectarisme des plus répugnants, à l’image de celui de la santé dont les actes et le comportement est actuellement au cœur de l’indignation générale . Vous dites de dire non à la Banque ,Mondiale et au FMI . Bien dit, mais ce n’est pas avec des ministres sans audace , sans imagination,sans patriotisme réel , que l’on peut défier ces institutions internationales . Et puis, si vous estimez ,que les choses ne vont pas bien et vite dans le sens de la résolution des préoccupations légitimes et pressantes du peuple , en votre qualité de président intérimaire du MPP ,allez donc voir le président du FASO pour lui demander d’opérer un bon remaniement ministériel en faisant justement appel à des hommes qui ont de l’audace , de l’imagination , l’expérience de la gestion de la chose publique , le sens de l’Etat . Sinon, toutes vos déclarations ressemblent à un savant jeu d’hypocrisie à visée politicienne . Commencez déjà à enlever dans votre tête et par vos actes, que le BURKINA FASO ne se limite pas au Yatenga dont les fils et filles ne sont pas au dessus des lois et de la justice de ce pays .

  • Le 29 août 2016 à 07:28, par vérité no1 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Merci à Salif Diallo d’avoir dit la vérité, rien que la vérité ! La banque mondiale est une institution impérialiste et mafieuse à la solde des impérialiste-criminels ! Basta ! Je reviens sur les conséquences néfastes du PAS. Certains pays en souffrent toujours !

  • Le 29 août 2016 à 07:40, par Alexio En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Notre ennemi est nous meme. Si a 60ans on qu un chemin de fer, a qui la faute ? Cette independance de la banque mondiale et le FMI est creer pour nous manipuler. Et depuis l independance a nos jours nos matieres premieres pillees a bas pris par les speculations boursieres qui nous fixent les prix du jours de ses matieres. Quelle logique dans cette escroquerie. L acheteur qui fixe le pris aux fornisseurs.

    Sankara I Thomas paix a son etait notre la feuille de route pour un Burkina Faso liberer et decomplexer. La jalousie et l egoisme des soit.disants rectificateurs non rien rectifier que de nous ramener dans la mendicite en monnayant notre fierte, notre l integrite devant l argent sale dans une economie sale. ou les Caisses de l Etat, patrimoine de tous les burkinabe devenus pour une equipe mafieuse de politiciens sans vergogne. Qui ont passe tout leur temps dans les reunions steriles de fonds.

    Il n ont rien foutu a lce pays qui leur a donne toute leur survie. Des faux intellectuels sans realites intellectuelles sur le terrain. Habituer a l echelle courte de leur propre developppement que le collectif. Des menteurs de grand chemin.

    Un pays sans ambitions ib\dependantes des bailleurs de fonds qui nous dictent ceux qui les conviennent n a rien avec le developpent durable.
    Le prix de l or est en hausse aujourdhui. Mais qui profitera des fruits de ce metal tant recherche dans les marche internationaux ?

    Dans les pays asiatiques les generations ce sont sacrifier pour s imposer au chantage des institutions internationales par la suer de leur front. Aujourdhui leur developpement est indeniable. Ils ont commencer par l education, la sante, l auto-suffisance alimentaire.

    Un peuple eduquer est un peuple puissant contre obscurantisme de toute les couleurs. Conscientiser et responsabiliser. Comme le dicton de Sankara Liberz le genie createur de l individu. Apprendre a pecher le poisson, au lieu de le recevoir par une tierce qui deveiendra ton maitre par cette interrelation. Le jour o il te dira qu il n a rien a te donner. La crise apparaitra en toi.

    Personne ne developpera le Burkina Faso sans les burkinabes.

  • Le 29 août 2016 à 07:41 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Merci monsieur le président un message très clair.c’est que le peuple attend.

  • Le 29 août 2016 à 07:47, par Odano En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    PAUVRE BURKINA, 30 ANS APRES, QUELLE GACHIE !
    VOUS VOULEZ FAIRE DE LA REVOLUTION SANS LA REVOLUTION.
    MILLE FOIS DOMMAGE !!!

  • Le 29 août 2016 à 07:51, par Roger En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Il n’est jamais tard pour bien faire. Le développement de notre cher Pays incombe à nous tous, citoyen burkinabé. Le premier acte est déjà de croire en nos premiers responsables que nous avons élus, ils ne sont pas là par pur hasard, nous les avons choisi, alors accompagnons-les jusqu’au bout. Si cela ne marche pas, on changera de stratégie, toute personne à qui on ne fait pas confiance, perd sa confiance de soi et donc sa volonté de combattre. Si le Président de l’Assemblée Nationale l’a dit, c’est qu’il le pense, soutenons-le jusqu’à ce qu’il nous prouve le contraire. Ensuite nous aviserons.

  • Le 29 août 2016 à 07:53, par Tunwende En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Salut
    si les propos sont sincères il est à féliciter . Cependant des questions demeurent même les kolweogo ont remis leurs butins au peuple. Vous avez pris le pouvoir, le peuple attend que vous remettez ce que les criminels économiques ont volés, les maires ont volés. On n’à pas besoin d’impôts pour ces gars. Là on ne parle pas d’emprêter au FMI. C’est du concret. On cherche loin l’argent , alors qu’il est à côté.

  • Le 29 août 2016 à 07:56, par DJIBI En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    C’est original ce genre de décision, mais il faut l’adhésion de toute la population car les débuts vont être durs voire pénibles car nous avons été longtemps habitués aux raccourcis. Des sensibilisations sont indispensables pour minimiser les attaques populistes de certains politicards.

  • Le 29 août 2016 à 07:57, par Filsdupaysan En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Apprendre à pêcher vaut mieux que s’assoir manger du poisson offert sur un plateau.
    Salifou ou Salif DIALLO peut avoir raison, je dis a raison mais il faut aussi commencer par refuser de donner des véhicules achetés par les contribuables à tous ces fonctionnaires (ministres, DG,SG,DIRCAB,Membres des institutions......) refuser que des gens soient logés gratuitement comme les logements des ministres à Ouaga 2000.
    Réduire aussi les avantages que nous avons en tant que DG, Députés, ministres.....ainsi nous allons aller loin.
    Prenons l’exemple de KAGAME et essayons cela pour trois ans.
    En tant que fils de paysan, je sais que la terre ne ment jamais, j’y retourne chaque année et si tout le monde peut faire pareil, le reste est gagné

  • Le 29 août 2016 à 07:58, par Waly En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    On n’a pas besoin d’emprunter de l’argent. Reprenez ce que détiennent les voleurs autour et à coté et le tour est joué. On aurait même pas besoin de sur taxer les pauvres. Ceci sous entend qu’on soit intègre comme les ruandais. L’homme qu’il faut est à la place qu’il faut après un test franc. Alors il n’a pas besoin de retourner quelque GST (pas Germe Sexuellement Transmissible, mais Guiro Sans Trace) que ce soit à un ministre. Vous ignorez que les Sans traces que les ministres reçoivent ont des traces que le bas peuple voit. Alors chacun mange ou on l’a attaché. Et dans ces conditions des grosses sommes empruntées iront là ou tout monde sait et non au développement du pays..

  • Le 29 août 2016 à 08:06, par nabayouga En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Que c’est beau et vrai ce que dit SD ; je crois entendre un certain Thomas Sankara.Et pourtant c’est vous Salif Diallo qui avez contribué à raffermir la rectification et asseoir le pouvoir gabegique et autoritaire de Blaise Compaoré et sa famille . Cette sortie de Salif est une reconnaissance de sa propre turpitude engagée 27 ans durant sous la bannière du tueur des Burkinabè. Comme quoi l’histoire ne ment jamais .

  • Le 29 août 2016 à 08:06, par Cheick Omar En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Salifou Diallo, que faisais-tu quand la Banque mondiale déversait des milliards de F CFA dans les multiples projets et programmes du tout puissant ministère de l’agriculture, des ressources halieutiques...lorsque tu étais tout puissant ministre ? Quels ont été les résultats de ces pluies de milliards gérés sous le magistère de Salifou Diallo. A l’écouter, on aurait atteint le développement, du moins en ce qui concerne le ministère qu’il a géré sous la dictature de Blaise Compaoré. Bonne gens, permettez-moi de citer quelques projets de Salifou Diallo, lancés lorsqu’il était en charge de l’agriculture, des ressources halieutiques : barrage de Samandéni, Barrage souterrain, projet culture de contre-saison, projet gomme arabique, les pompe à eaux dans les villages du Burkina....Que sont devenus tous ces projets, malgré les milliards de FCFA financés en grande partie par la Banque mondiale et le FMI. Quasiment tous les projets de Salifou Diallo ont fait flop. Et aujourd’hui, auréolé de son titre de président de l’Assemblée nationale, il s’arroge le devoir de donner des leçons à l’exécutif pour l’enjoindre de s’endetter massivement, gage de notre développement. A ce titre, j’ai envie même de donner raison au petit frère de l’autre, François Compaoré pour ne pas le nommer qui disait de Salif Dialo, que les projets et programmes de son ministère ne faisaient pas l’objet d’étude approfondies, mais étaient surtout lancés sur fond de populisme ou de volontarisme. Je pense qu’il serait mieux pour Salif Diallo de patienter. Et lorsqu’il sera président du Faso, il pourra endetter massivement le pays afin de nous nous inscrire sur la marche radieuse vers le développement.

  • Le 29 août 2016 à 08:10, par Boureima En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Nul était le fait que le politicien est ingrat et malhonnête par essence et par nature, j’aurais félicité Gorba et ajouter des dispositions supplémentaires apprendre pour réussir son projet auquel je crois.

    1. de la probable ingratitude et malhonnête :
    - Gorba était un membre très actif du système qui a détruit le projet de THOMAS Sankara dont il reconnait aujourd’hui implicitement la pertinence.
    - Gorba est pratiquement le premier acteur du mécanisme d’endettement ( FMI, Banque Mondiale, les pays arabes , les pays qui ont le diamant ect.) avec Blaise Compaoré pendant 27 ans. aujourd’hui il le rejette en bloc
    - Gorba est le véritable organisateur de l’insurrection et de la mise en place du Gouvernement actuel et même du PNDS , aujourd’hui il se montre comme étant hors du système.
    Si c’était un homme ordinaire, qui n’est pas politicien, je le croirerais parce ce que justement c’est l’expérience qui fait grandir les sociétés." un homme savant a compris un certain nombre de vérités, un homme cultivé a compris un certain nombre d’erreurs"
    2. D’une disposition particulière pour réussir :
    - discuter avec les populations pour une adhésion massive
    - améliorer la bonne gouvernance ( laisser corruption, népotisme)
    - valoriser la politique de développement au détriment du développement de la politique.
    Voilà la contribution d’un simple citoyen. Félicitation à Faso.net

  • Le 29 août 2016 à 08:13, par Leforgeron En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Je suis ravi d’entendre de tels propos venant de la part d’un des premiers responsables de cette situation. Quand vous avez "rectifier " avec votre ami et complice nos idéaux de départ, vous aurez pu nous dire si la banque mondiale ou le fmi pouvait nous imposer quoi que ce soit. Pendant 27 ans, vous nous avez endetté auprès de vos amis bailleurs de fonds et vous enrichir aux détriment des masses. Avant de critiquer votre gouvernement, vous devriez avoir l’honnêteté de dire que pendant 27 ans, vous vous trompez. Monsieur DIALLO, ce n’est pas l’argent qui développe un Pays, mais les Hommes. Il faut rendre les Hommes meilleurs (honnêtes, intègres... comme au temps de la Révolution) et vous verrez que les maigres ressources que nous possédons serviront à tous.

  • Le 29 août 2016 à 08:14, par SADAT En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    C’est dommage que ce soit maintenant que vous reconnaissez la vision de THOMAS SANKARA d’il y’a plus de 30 ans. De grâce ayez souvent le courage et l’humilité de rappeler de temps en temps son nom dans vos discours quand vous reprenez ses idées. Nous aurions donc tourné en rond 30 ans durant, donc 30 ans de retard sous votre coupe.

  • Le 29 août 2016 à 08:24, par GUEULARD En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Mr Salifou DIALLO, avec tout le respect que je vous dois, permettez-moi de vous dire qu’avec ces ministres, il n’y aura jamais de l’imaginatif, encore moins de l’anticipation et de l’analyse prospective.

    Je suis désolé mais ce sont encore vous les RSS qui ont favorisé vos amis, parents et proches en les nommant ministres et DG pour continuer à garder fermées vos diverses frasques ’antan. Donc il ne faut pas attendre d’eux de l’imagination.

    Merci

  • Le 29 août 2016 à 08:25, par kere razak En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    vraiment je manque de mot pour apprécier cette analyse de Excellence Mr Salifou Diallo.seul cela peut ètre benefique pour notre pays très chère

  • Le 29 août 2016 à 08:29 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Hummm ! ONT EASY AT ALL. EST CE QUE CE PEUPLE EST PRÊT À TRAVAILLER. ?

  • Le 29 août 2016 à 08:37, par le laïc En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    C’était bien ce Salif Diallo qui était le directeur de campagne du president actuel ? Si oui, se battait il pour l’homme ou pour son programme ? On n’a qu’à le nommer PM et la barque arrivera à bord.

  • Le 29 août 2016 à 08:38, par Sheiky En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    C’est vraiment dommage que quelqu’un comme salif fasse une telle déclaration. Lui qui était rentré de ses études avec une aversion bien affichée contre Sankara et qui a travaillé en dessous à sa liquidation et après à la liquidation de son héritage.
    Il dit que le peuple peut souffrir pendant qlq années avant de voir le bout du tunnel. Mais si malgré la durété et le rythme militaro-commando de Sankara, on l’avait laissé avancer en l’aidant à corriger certains tares, nous serions loin aujourd’hui, 30 ans après.
    Mais les lecteurs doivent être attentifs, un endettement massif nous amène à l’école libérale très bien appliquée par Alassane Ouattara (il a du prendre conseil avec lui). Je verrai plutôt un Zeph dans une telle démarche que le MPP dont je doute de la capacité à gérer ce type de programme parce qu’il doit être basé sur des investissements fortement productifs à moyen et long terme.
    Une manière de reconnaître que vous et votre blaise nous ont mis 30 ans en retard. Hormis ces infrastructures spectaculaires construits sur fonds de dons, prêts et autres ressources non pertinentes.
    Le bout du tunnel semble encore très loin avec ce pouvoir.
    Que Dieu bénisses notre pays.

  • Le 29 août 2016 à 08:38, par BB En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    C’est ça le Yadega même. Dire la vérité rien que la vérité à la Sankara. Voila que les sankaristes ont un grand relais pour booster le gouvernement afin que tous les secteurs du Burkina Faso puissent se révolutionner pour enterrer définitivement la compaorose dans tous les segments du pays. Compter sur ses propres forces voilà la bonne voie à suivre au lieu de faire mouta mouta avec des régimes corrompus d’Afrique et d’ailleurs.

  • Le 29 août 2016 à 08:40, par Le Silencieux En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    c’est simple il faut dorénavant que l’AN rejette tout projet ou proposition de loi tendant à un endettement auprès de ses institutions jusqu’à la fin de votre mandat. je sens le trio RSS en crise

  • Le 29 août 2016 à 08:41, par MADCOOL En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    merci le président de l’AN pour cette franchise.

  • Le 29 août 2016 à 08:45, par yelmingaan blaan saa hien En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Mr salifou diallo si votre "requisitoire se terminait ainsi par exemple :"...j exhorte donc pour cela tous ceux qui ont detournés les milliards des projets, a commencer par reverser la moitié de leur fortune pour d autres projets pour les jeunes",franchement j allais etre séduit et votre demagogie aurait alors eu raison de ma naiveté !

  • Le 29 août 2016 à 08:45, par adams En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Ah Ah j’avais dit que votez RSS avec a sa tete RMCK qui est trop mou, ne nous conduira nulle part. RMCK est un bureaucrate qui n’a jamais connu galère et qui connait pas la masse populaire. quelle cacophonie au sein de RSS ? Il est temps que le peuple descende dans la rue et chasser RMCK car on a plus de temps à perdre. c’est une histoire de survie et de génération. ne sacrifions pas nous nos enfants. Tous à la place de la revolution. Pourquoi Salif Diallo a -t-il préparé la natte pour son camarade garçon ? J’aurai préféré que ce soit lui qui soit au pouvoir et RMCK ambassadeur en France . Vive Salif Diallo et qu’il soit notre président dans de plus bref delai comme l’autorise la constitution.

  • Le 29 août 2016 à 08:45, par BADSON En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Pour la première fois Docteur, nous avons la même vision des choses. Je suis un farouche opposant à vos idées mais sur ce coup vous arrivez à me convaincre. J’ai toujours clamé à mes amis, collègues que le Burkina n’ira jamais au développement tant que les gouvernants n’auront pas derrière eux un peuple convaincu de la destination qu’ils envisagent ensemble. Le développement c’est un mouvement d’ensemble, de conviction dans les mentalités mais pas seulement une question d’argent. Si vous n’avez pas un peuple convaincu et prêt à aller dans la même direction que la direction envisagée par les dirigeants, vous n’avez qu’à transférer le FMI et la banque mondiale à Ouagadougou vous serez toujours parmi les derniers pays au monde parce que vous n’arrivez pas à convaincre le peuple de la direction à emprunter. Prenez l’exemple de la révolution. C’est pas tout ce que SANKARA disait ou faisait qui était vrai ou bon, mais comme il mobilisait et arrivait à convaincre le peuple dans ses démarches, même ce qu’il disait qu’on pensait irréalisable, il arrivait à le faire tout simplement parce qu’il avait un peuple unit derrière lui. Chers dirigeants votre première mission c’est de mobiliser, éduquer le peuple et le faire comprendre que vous êtes prêts à montrer la voie à suivre pour qu’on aille ensemble au développement et non continuer avec des politiques qui font croire au mirage avec des résultats médiocres. Quant à M. le Président de l’ASN, je vous note 6/10 en attendant de voir la suite et les résultats des pressions qui seront faites au gouvernement afin que les choses changent.

  • Le 29 août 2016 à 08:49 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Excellent ! je suis complètement d’accord avec ce point de vue. Il faut que chaque burkinabé se lève et travaille avec la vision d’une répartition équitable des ressources. Nous n’avons pas encore les hommes valables aux principaux postes.

  • Le 29 août 2016 à 08:50, par yelmingaan blaan saa hien En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Mr salifou diallo si votre "requisitoire se terminait ainsi par exemple :"...j exhorte donc pour cela tous ceux qui ont detournés les milliards des projets, a commencer par reverser la moitié de leur fortune pour d autres projets pour les jeunes",franchement j allais etre séduit et votre demagogie aurait alors eu raison de ma naiveté !

  • Le 29 août 2016 à 08:59, par Steve En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Cher Monsieur
    Il faut attendre tranquillement ta mort sur ton perchoir, continu de nous traiter comme du papier mouchoir au lieu de vouloir faire un revirement au soir de ta vie.
    Quand toi Gorba t’avais mis en place un système de détournement des bourses des enfants de paysans au profit d’enfants de vos maîtresses, vos amis, vos parents et vos rabatteurs de frechnis, tu pensais quoi ? Avec ces petits bourgeois que vous avez fabriquer et rempli notre pays de petits riches aux prêtes-noms, tu penses que quoi ?
    Presque 40 années perdues pour notre pays.
    Pathétique Salif

  • Le 29 août 2016 à 09:02, par oeil de lynx En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Très pertinent monsieur le Président. Cependant, un endettement massif doit être précédé d’une vision accompagnée d’objectifs précis et d’un schéma de mise en oeuvre clair. Ensuite il nous faudra des hommes dont la morale et le moral sont bon, â savoir des gens bien éduqués, capables de resister â l’argent et aux biens de toute sorte. Pour le moment, nous sommes loin du compte. Cependant, vous avez le mérite de faire le constat. La suite, on l’attend.

  • Le 29 août 2016 à 09:04, par vive !!!kogoloweogo.co. En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    DIEU MERCI Q CES CRITIQUES VIENNENT DE SALIF DIALLO HIM SELF,CELA PERMETTRA AU AVOCATS DEFENSSEUR DU MPP SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX DE LA BOUCLER CETTE FOIS CI.

  • Le 29 août 2016 à 09:12, par KARAN En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Si verbe était action, quel bonheur pour les Burkinabè !

  • Le 29 août 2016 à 09:12, par Rouamba En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Quel est le pays qui s’est développé grâce a l’appui du FMI et de la banque mondiale ? C’est une interrogation sans réponse car ce pays n’existe pas encore. Regarder dans le retro viseur. Du PNLCP au SCAD sans oublier les PASS que retenir ? rien si ce n’est que désolation et endettement. Il est temps pour nous de tracer nos propre chemin de développement avec nos réalité comme le dit le Pr J.K.zerbo "le développement est endogène". GORBA a osé en parole et j’espère qu’il aura le soutient de tous députes et du peuple afin de concrétiser ses paroles.COURAGE

  • Le 29 août 2016 à 09:26, par Vérité Pian ! En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Quand on a affaire à un gouvernement " Âne " il faut une bonne bastonnade pour le faire avancé. Bon courage à son excellence et à tout nos honorables députés. Vive la vérité !

  • Le 29 août 2016 à 09:29, par will En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Pensons à la construction de notre cher Burkina Faso en participant activement. Pour la bataille du rail par exemple en un an nous pouvons atteindre Tambao par nos propres forces en libérant le génie créateur qui en train de somnoler en nous. Le Burkina à tous les agrégats pour les rails il suffit de mobiliser ce que nous ne produisons pas et c’est parti c’est à dire les rails.En nous mobilisant par ministeres en régions et provinces de meme par villages nous pouvons atteindre notre bataille du rail avec un peu de sacrifice. nous allons réussir en sacrifiant nos week end pour cette cause noble. évitons de donner notre développement à des vampires qui vont venir boire du sang.c’est un cri de coeur pour notre épanouissement et celui de nos enfants et autres. Mobilisons nous et nous réussirons.A bon entendeur salut.

  • Le 29 août 2016 à 09:29, par KIENTEGA GEORGES En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    ce sont vraiment des recommandations forte de la part de salifou DIALLO Président de l’assemblée nationale, vivement que ces paroles soient sincères.

  • Le 29 août 2016 à 09:33 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Ainsi, le PCRV n’est pas un parti rêveur, ni de rêveurs ! Ce que Salif dit, seul ce parti peut le réaliser. Lui même le sait. Salif de retour à ses sources ?

  • Le 29 août 2016 à 09:33 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Je valide. Qu’ils apprènnent à dit NON quand ca n’arrange pas le Peuple. Le Peuple qui les a voté les soutiendra.

    Endetter massivement. OUI pour faire profiter à la large population.
    MAIS si jamais, si jamais, vous faites comme le pouvoir qui a été éjecté en octobre 2014, Walai, vous subirez PIRE.

    Passez aux actes, et soyez audacieux. On s’en fou d’être bon élève des institutions. On veut se développer. Point barre. Et on doit se développer.

    SVP, inspirez vous des dragons d’Asie. Inspirez vous du RWANDA.

  • Le 29 août 2016 à 09:34, par Savadogo Arnaud En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Je partage totalement l’avis du président de l’Assemblée. Les institutions comme le FMI et la BM sont des systèmes mis en place par les colons pour nous asservir. Le développement réel du Burkina Faso ne peut être déclenché que par sa population. Adoption le proprectionisme (Bataille des rails, subventions de nos agriculteurs, transformation des produits comme le coton et la tomate sur place et j’en passe). Personne ne peut déclencher le développement que nous même. Et le plus important revenons sur nos valeurs culturels et religieuses. La Chine et le Japon se sont basé sur leur culture mais ça ne les à pas empêché de se développer. Oublions les valeurs du colon (mariage pour tous etc...). En laissant tomber ces institutions nous aurons chaux mais un adage africain qui dit que :"quand on a le dos au mûr, on n’a plus d’autres choix que d’avancer".

    Nous sommes un pays a 80% agricole...investissons d’abord dans l’agriculture. Le développement doit se faire étape par etape mais la base du développement est la santé l’éducation et l’autosuffisance alimentaire. Ces trois choses ne doivent plus être un privilège si on veut se développer. Nous avons les moyens de développer par nous même. Tout dépendra de la volonté non seulement de nos dirigeants mais aussi du peuple.

    Dieu bénisse le Burkina Faso

  • Le 29 août 2016 à 09:39 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    La roue de l’histoire tourne. Les prochains, ce seront les coco, que vous avez toujours qualifié de rêveurs. Et vous serez surpris de la manière qu’ils transformeront ce pays en bien, avec bien sûr des sacrifices, comme le dit si bien Salif. Il sait de quoi il parle et de quoi il parle, puisqu’il a flirter avec ces gens. Mieux vaut tard que jamais.

  • Le 29 août 2016 à 09:43 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Juste de la manipulation pour distraire le peeuple et gagner du temps. Arretez de parler et joignez les actes a la parole en exemple la batail du rail qui engage tout le peuple burkinabé en commençant par vous meme. Le peuple vous suivra.

  • Le 29 août 2016 à 09:43, par Bynaou En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    La messe est dite... Bravo au camarade Salifou pour cette sincérité. Ainsi donc Sankara avait raison enfin. Dite nous toujours la vérité et on fera le sacrifice ensemble. Sortons de nos tiroir les programmes et méthodes de Sankara, disons nous la vérité. Nous peuple insurgé sommes prêts pour le sacrifice et ce pour l’avenir de nos filles et fils. Aux membres du Gouvernement suivez le regard et le remord sincère de Salifou. Il n’est pas tard de bien faire. Sankara à montré le chemin. Vivement que Rock puisse nous inciter tous à de grands travaux d’intérêt général (Génie civil militaire pour la construction des routes avec la contribution des populations, reboisement populaire, vulgarisation du faso danfani, transformation des produits agricoles locaux... Consommons burkinabé).
    "L’esclave qui ne peut pas assumer sa révolte ne mérite que l’on s’apitoie sur son sort". Osons inventer l’avenir.

  • Le 29 août 2016 à 09:45, par warzat En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Internaute 16, que l’on aime SD ou pas, il faut reconnaitre ses résultats quand il était ministre de l’agriculture, de l’eau....., il suffit de fréquenter pour cela le monde paysan, des villages sans point d’eau potable avant lui ect....de même renseignez vous auprès des agents ingénieurs et techniciens de ce ministère et de certains bailleurs de fonds qui voulaient lui imposer des cadres de leurs pays qu’il a refusé parce que notre pays dispose de cadres compétents et renommés dans la sous régions dans ce domaine.Après lui ce bailleur a fait ce qu’il veut dans notre pays. Même si on aime pas le lièvre, il faut reconnaitre qu’il court vite. Pour ce qui est des autres aspects, SD est un élu, il connait donc ce qui se passe, se dit et se vit dans les masses populaires qui l’on élu. Ce gouvernement manque d’intelligence et d’imagination, les ministres sont contents de leur poste et de leurs avantages. SD sait que si cela devrait se poursuivre, il n’y aura jamais de second mandat pour le MPP. C’est un gouvernement des livres d’école qui ne sait pas se mettre au dessus des textes pour mieux les interpréter et avancer dans l’intérêt de nos populations. Quand on suit la foule, on s’arrête là où elle s’arrête. En revanche quand on a une personnalité, on se démarque et on poursuit son chemin. Qui mieux que le banquier de PM sait qu’on ne pas suivre la BM et le FMI et s’en sortir. Il peut du reste donner plus d’exemple dans le monde que SD, mais lui n’est pas un élu, il s’en fout, sa paie et ses avantages tombent chaque fin de mois et au cas où, il retourne d’où il est venu.

  • Le 29 août 2016 à 09:50 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Vraiment dommage et pathétique. C’est au crépuscule de votre vie qu’il faut avoir le courage de dire non à la banque mondiale et au FMI ? Pouvez vous ressusciter les millions de burkinabé que vous avez enterré par votre concubinage incestueux avec ces mêmes institutions de Breton Woods ? Voyez vous comment ça étonne le monde quant les RSS veulent le bien des burkinabé. C’est des manière déguisées pour dire pardon à Thom SANK et aux Burkinabé.

    Je demande aux gens surtout aux athées de bien suivre le comportement des RSS et ils croiront en DIEU. Tous ceux qui sont impliqués de près ou de loin, directement ou indirectement dans la souffrance du valeureux Peuple burkinabé le payeront cash tôt ou tard. Tous ces gens sont déjà marqués à jamais par le remord, le regret, la peur ,l’angoisse ... alors que rien n’est fait mais ils n’osent jamais avouer même à leurs proches. Ce n’est que qu’ici bas d’abord. Le reste de l’autre coté où notre leader national THOM SANK les attend patiemment.

    En réalité Salif Diallo étant une bête politique est entrain de monter un autre coup dans l’attente de 2020. Courage tout de même parce que 2020 c’est dans 3 ans et on va juger les actions des messies venus pour sauver le Burkina.
    Paix aux âmes de THOM SANK, de N. ZONGO et tous les millions de burkinabé morts par les actions des méchants et des égoïstes.

  • Le 29 août 2016 à 09:51, par Bynaou En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Salif, je suis fier de vous. Bravo

  • Le 29 août 2016 à 09:51, par ZES En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Merci à Salif pour se réveil même si le sommeil semblait trop durer. Mais je dis toujours posons les fondements : Cela passe par la relecture de nos curricula de puis le CP1 jusqu’à l’Université. Et enseignons à nos frères, nos enfants qu’ils ont un potentiel. disons au paysan qu’il est important. et donnons à tous les Burkinabè de gagner dignement sa vie.
    SALIF si ton réveil est sincère, il faut convaincre ton clan d’aller verser au trésor l’argent amassé sous Compaoré, que ceux qui ont plus de 02 parcelles les mettent gratuitement à la disposition de l’état. Beaucoup de services de l’état sont dans des locations.
    pour terminer SALIF, ait le courage de dire, "Je me suis trompé" "SANKARA avait raison". La suite tu verras. BONNE CHANCE SI TU ES SINCERE

  • Le 29 août 2016 à 09:53, par oeil de lynx En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Très pertinent monsieur le Président. Cependant, un endettement massif doit être précédé d’une vision accompagnée d’objectifs précis et d’un schéma de mise en oeuvre clair. Ensuite il nous faudra des hommes dont la morale et le moral sont bon, â savoir des gens bien éduqués, capables de resister â l’argent et aux biens de toute sorte. Pour le moment, nous sommes loin du compte. Cependant, vous avez le mérite de faire le constat. La suite, on l’attend.

  • Le 29 août 2016 à 09:54, par Samuel En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Beau discours. Mieux vaut tard que jamais. J’ose croire que cette fois ci, le changement de cap est réel et que Salif Diallo et ses compagnons de l’hémicycle iront au bout de leur logique. En principe, c’est ainsi qu’une assemblée devrait fonctionner et non simplement voter les textes sans analyse critique. Courage et courage encore au président de l’hémicycle pour cette prise de position courageuse qui montre encore que les Burkinabès peuvent continuer à espérer. Rien de tel, que tous sentent et vivent la croissance économique.

  • Le 29 août 2016 à 10:01 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Rock, accepter de revoir vos méthodes et programme de gouvernance, venez à la télé dire aux burkinabé le sacrifice à consentir et présenter nous les résultats prévisionnels, nous allons suivre. Nous voulons juste espérer pour l’avenir de nos enfants et de la nation. Courage à tous !

  • Le 29 août 2016 à 10:04, par Sidpawalmde En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Les critiques négatives envers ces propos sont bien sur certes a quelques points justifiées. L’homme ne dois pas oublié certes, mais doit pardonner et avancer !
    Malgré les critiques ils faut avancer contre vents et marrées, c’est un grands courage pour un homme politique d’un pays du sud de proférer ces propos a l’égard de ces institutions, car les institutions dont ils parle sont l’arme fatale du néo-colon censée nous garder dans le sous développement pour l’éternité, ils se jouent de nous !
    Je souhaite que l’assemble puisse identifier les axes prioritaires et les partenaires adéquats. La mécanisation agricole, les nouvelles technologies, la recherche, la formation, la santé avec des partenaires a priori qui voudrais bien nous faire émanciper et échapper aux serres du néo-colon !

  • Le 29 août 2016 à 10:07, par kamyouagin biiga En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    RMCK doit avoir le courage de renouveler le gouvernement Paul Tieba car incompétent. Ce gouvernement ne nous mènera nulle part.

  • Le 29 août 2016 à 10:07, par BOUBA En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Félicitation ! Mr Salifou Diallo vs traduisez les aspirations profondes du peuple Burkinabè. En plus d’être un animal politique vs avez des grandes idées pour le développement d ce pays.

  • Le 29 août 2016 à 10:08 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Malheureusement, nous l’avons assassiné notre messie ; il était en avance sur notre temps. Thomas Sankara l’avait compris depuis bien longtemps, mais nous avons tous comploté pour l’éliminer. Imaginez ce que serait le Burkina Faso sous l’impulsion de la politique de notre Héro national ? Le Burkina serait bien parti et non mal parti. Thomas Sankara, repose en paix. Tu restera à jamais un grand homme. Si je savais n’a pas de queue. On pleure les grands hommes après les avoir perdus.

  • Le 29 août 2016 à 10:10, par wuro-yiré En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Mr diallo, je suis choqué par ta diatribe en vers rock. Tu es le principal responsable de la situation que vit notre pays car c’est toi le super ministre qui proposait les premiers ministres pendant plus de vingt ans. Et aujourd’hui tu te proclames l’ inventeur d’un nouvel ordre mondial. Un peu de respect pour notre peuple.

  • Le 29 août 2016 à 10:16, par Yako En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Eh bien Mr Tieba et son patron Rock ont de soucis à se faire.En effet,par la présente déclaration Mr Diallo devient le chef de l’opposition !et c’est le début d’une compétition prématurée opposant Mr Rock et Salif pour Kossyam en 2020, qui l’emportera entre les deux ?Il ya des exemples qui nous font croire à un retour imminent de l’armée aux affaires Tel fut le cas en 1979/1980 antagonisme Jo.oueder/G K.Ouedraogo oblige qui trouve son denouement heureux le 25/11/1980 (putsch des colonels)salutaire.Acheminons-t-on vers le meme scenario ?En tout cas les jours du gouvernement Tieba sont comptés .Qui vivra verra.Bonne journée.

  • Le 29 août 2016 à 10:16 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Je suis contente de lire ces mots. C’est un constat réel a tous les niveaux, tout le monde sait et voit que ça ne vas pas. Tout le monde a peur de parler. .. même dans
    Les plus petites structures.

  • Le 29 août 2016 à 10:27, par la force révolutionnaire En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    si vrai est votre route ,votre voie à suivre monsieur DIALLO nous allons vous suivre car tout pour le peuple est notre devise.aucun sacrifice n’est de trop pour notre peuple . nous nous engagerons pleinement si seulement vous rompez l’ordre ancien , capitaliste, corrompu espérons aussi que ce n’est pas du populisme

  • Le 29 août 2016 à 10:39, par Megd’ En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Ce que bon nombre de personnes ne perçoivent pas dans les déclarations de Salif, c’est la fracture qui se dégage qu niveau de l’exécutif ou si vous voulez du trio RSS. Ces gens sont arrivés presque par hasard au sommet de l’Etat et chacun est prêt d’user des vieilles méthodes pour se maintenir durablement au sommet de l’Etat et pour cela tous les coups sont permis.

    De l’analyse que je fais, je pense que le MPP va se saborder d’ici peu pour devenir un orque de la trempe du CDP. Il y a certains leaders politiques qui ne sont devenus que l’ombre d’eux-mêmes mais qui disposent quand même une réelle capacité de nuisance. Autant donc les avoir avec soi que contre soi.

    La crise que vit le MPP est à l’image de celle du parti socialiste en France. Je ne serai pas étonné que les députés de la majorité se scinde en 2 groupes avec des pro Kaboré et des pro Salif avec au milieu Simon comme catalyseur (en somme faiseur de roi).

    De l’opportunité de l’UPC à profiter de cette situation est minime parce que Zéphirin n’est pas un génie politique de la trempe de Salif. Zéphirin est un technocrate et cela ne suffit pas en politique.Il faut un dosage des 2 positions sinon être politique dans tous les cas car ce dernier peut s’entourer de l’autre pour mener à bien son programme et non le contraire.

    Bref, Salif Diallo est toujours dans l’incantation sans pourtant montrer des signes de changement. Le fait de nommer bon nombre de personnes de la même région que lui en dit long sur sa méthode de gouvernance.

    Il faut simplement nettoyer toute la vieille classe politique de ce pays.

  • Le 29 août 2016 à 10:40, par peuple En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    He je pense que ce monsieur DIALLO est simplement en campagne pour sa constitution à régime parlementaire. Tous ceux qui s aviseront à penser qu’il est de bonne foi sont perdus.
    Il parle de refuser les PTF classique et qu’il nous dise vers qui se retourner. Endettement massif peut être auprès de lui seul qui en a suffisamment . Sinon quand on s’endette en économie on présente en parallèle ses capacités de remboursement. Peut être le député MPP avec les secrets des guimmbes peut défendre un programme d’endettement massif à moins aussi de dire à chaque burkinabé fait crédit à l’Etat et si je suis réélu je te rembourse.

    Brave peuple du Burkina, le chemin est long.

  • Le 29 août 2016 à 10:40 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Ce monsieur là insulte simplement notre intelligence, le concepteur de la compaorose dans tous les sens.

    Ce monsieur était avec Balise Compaoré le jour de l’assassinat du Président Sankara. Ils étaient prêts à s’envoler si le coup capotait selon dame rumeur. Non, il faut arrêter ce monsieur. Rock a intérêt a arrêter ce monsieur. On le voit venir. Il veut déstabiliser le pays en semant du faux en occultant la vérité. Notre mémoire est toujours vivante des assassinats, des trafics d’armes et de diamants de la Sierra Leone, Angola, Liberia au compte du pouvoir où il était le pivot, le maître à penser parce que c’est son aile qui au lendemain du 15 octobre avait gagné. Oui, le GCB (Groupement Communiste Burkinabè et) et l’UCB (l’Union Communiste Burkinabé) menés par Salif et compagnie avec comme parrain un certain Blaise Compaoré. Ils ont pu renverser le pouvoir qui se penchait idéologiquement de plus en plus vers l’ULCR (l’Union de la Lutte Communiste Reconstruite) dirrirgée par Valère SOME et compagnie dont un certain RMCK, SIMOM. C et GUISSOU qui ont fuit traîtreusement pour rejoindre le camp des vainqueurs dès le lendemain. GUISSOU dira sous Blaise Compaoré qu’en allant aux FMI et à la Banque Mondiale en 1990 nos banques et nos caisses étaient sur-liquides (certainement grâce à la bonne gestion des années Sankara). Eux, malgré tout y sont allées et ces institutions nous ont imposé le PAS.

    Aujourd’hui ce type qui nous a amené MONSANTO ici (le coton OGN) veut nous insulter, insulter notre mémoire. Le tournant s’amorce il sera aussi vertigineux que celui du 15 octobre si Rock ne prend garde. Ce monsieur est le poison de la république. Il a rencontré les enseignants du supérieurs pour préparer son coup. L’université est dans la nasse depuis les décennies Blaise avec Salif comme l’un des premiers fossoyeurs de cette université en terme de violation des franchises universitaires (chasse à l’homme, violences, assassinats) ayant engendré des revendications qui ont engendré elles aussi des violences, des arrêts de cours, des expulsions des campus et par conséquent une bonne partie du marasme actuel de l’université s’en justifie s’y est perpétuée. Ce monsieur est allé s’asseoir sur ces 2 fesses devant des enseignants complètements vendus pour dire que le système éducatif burkinabè s’effondre.
    Où est Kôrô Yamyélé prend le relais pour le triomphe de la vérité tôt ou tard.

  • Le 29 août 2016 à 10:46, par Belco En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Voila qui est bien dit. Le Burkina Faso a besoin d’une telle assemblée ou des contradictions peuvent venir directement de notre propre camp. C’est comme ca on se développera. Merci Salifou. C’est un bon signe ca. Tous les états majors des partis doivent comprendre cela. La contraction n’est pas synonyme de crise au sein du parti. C’est une invite à bien faire. Le MINEFID parle de réduction de train de vie de l’Etat en supprimant des petites activités des Directions, non ca ca ne vaut rien ; alors qu’il y a de nouveau consuls on veut créer. Non regrouper les ambassades et certains consuls, ils sont plus budgétivores. Il faut faire travailler le peuple en les encourageant par les actes et non les gros mots, les gros chiffres qui sont sans effet palpables. le peuple veut une autre façon de faire c’est tout.

  • Le 29 août 2016 à 10:47, par D .Y. Homme de Paix En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Merci Monsieur le Président le l’assemblée. C’est déplorable de voir qu’il n’ya acune innovation dans la gestion des affaires publiques. Monsieur le président, il faut que votre équipe reflèchisse profondement afin de proposer au gouvernement des actions concrètes et endogènes. Les schemas classiques du developpement ont montré leurs limites. Le peuple n’a pas besoin des documents mais des actions concrètes. Le peuple n’a pas besoin des chiffres mais de sentir que sa vie est positivement impactée. Mr le président c’est très urgent !!!!!!!!

  • Le 29 août 2016 à 10:49, par Dramane En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Merci pour ce compte rendu qui me parait fidèle. J’accepte de fournir cet effort pour l’édification du pays si un gouvernement me le demande, mais surtout pas celui-ci dont les principaux acteurs sont ceux-là mêmes qui ont tué nos espoirs en soutenant et en travaillant aux côtés des bourreaux de Thomas SANKARA. C’est eux qui nous ont livré pieds et mains liés au FMI et à la Banque Mondiale.
    Si aujourd’hui vous dites Non au FMI et à la Banque Mondiale, qui financera votre politique éducative du continuum ? ce n’ai sûrement pas ce peuple qui est au bord de la déception après quelques mois de gestion de votre pouvoir. Qui financera l’agriculture ? ce n’ai certainement pas ce peuple qui croupi dans la misère et à qui on impose davantage de taxes. Aujourd’hui c’est la Banque Mondiale qui fait travailler le monde de l’agriculture, les ressources animales et halieutique, l’environnement et l’économie verte. C’est juste quelques exemples.
    Alors attention au discours révolutionnaire qui ne vous convient pas.

  • Le 29 août 2016 à 10:55, par Lustre En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Il est vrai qu’il n’a fait que son travail, mais je tiens à féliciter ce journaliste pour la clarté de son écrit. Merci M. Tiga Cheick Sawadogo.

  • Le 29 août 2016 à 10:56, par O H En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Convictions ou hypocrisie ! je n’en saurai plus que le président de l’A.N lui-même. Mais en tout état de cause, le développement exige une lourde responsabilité, un sacrifice énorme et un vrai courage. Il n’est pas non plus le résultat de simples orientations générales ou de politiques économiques non ancrées à une cohérence stratégique. D’où il faut une vision claire ! Si l’Afrique en général et le Burkina en particulier peinent à trouver les sentiers du développement, c’est que nous ne sommes toujours pas suffisamment responsables de nos actes, de nos décisions et de nos objectifs et nous refusons même de les assumer. Voila pourquoi ces institutions nous imposent ce qu’elles veulent ( mais je signale en passant que leur position est de bonne guerre car ils sont "bien" payés pour ça).

  • Le 29 août 2016 à 10:58, par le peuple avisé En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Merci le président de l’AN. Mieux vaut tard que jamais.

    Ce peuple souffre réellement, mais ce peuple doit se mettre au travail.

  • Le 29 août 2016 à 11:02, par gbs En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    On commence à prendre conscience qu’il n y’a pas de développement possible sans le peuple. Cela nous rejouis un tout petit peu surtout que c’est l’un des apotres qui a eu cette révélation. Maintenant il reste à joindre l’acte à la parole. Ce que Gorba a oublié dans sa déclaration est qu’aucun Etat ne peut se développer sans bonne gouvernance et une gestion saine de nos ressources financières. Mieux vaut tard que jamais. Le développement de notre chère Faso ne se fera pas avec la nomination des amis incompétents à des postes de responsabilité. En 8 mois la situation du pays est pire sur les plans qu’au temps de Blaise que nous avons chassé comme un malpropre pour le remplacer par pire que lui. Sans rancunes.

  • Le 29 août 2016 à 11:02, par ka En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Ainsi va la politique au pays des hommes intègres : Quand on sent son incapacité de tenir sa promesse comme régler les dossiers de crimes impunis, vite on sort du tiroir les idées et les objectifs concrets de la révolution inachevée de Thomas Sankara pour endormir le peuple mouton. Thomas Sankara et ses idées sont immortels pour le continent.

  • Le 29 août 2016 à 11:09 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Ha, trop facile Gorba. Après avoir tué TOM SANK et essayé de l’enterré sans cesse d’avis plus de 27ans, on ose ressortir aujourd’hui ces idées ? je demande si les politiciens ont une conscience : ne serais ce que pour DIEU. J’ai pitié, honte et envie de vomir. PITIÉ PAUVRE BURKINABE

  • Le 29 août 2016 à 11:11 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Si Salif Diallo est sincère dans ses propos,je lui dis bravo.Mieux vaut tard que jamais car c’est ce que Sankara disait et faisait mais voilà qu’une caste de prédateurs avec à sa tête le fuyard bilaise compaoré est venue tout pervertir dans ce pays et maintenant ce qui compte,c’est le gain facile sans effort et cela passe par des vols,des pillages de nos ressources à ciel ouvert et personne ne bronche puisque tout le monde est coupable à commencer par nos magistrats cupides,corrompus.Prenons un seul exemple à savoir les ressources de notre sous sol pour faire remarquer que l’or n’a pas jailli subitement sous l’ère compaoré,nous savions tous que notre pays avait des potentialités minières.Alors pourquoi c’est maintenant que notre pays est devenu une mine à ciel ouvert avec un paysage dénaturé,pollué à mort et pourtant le Burkinabè lambda ne sait pas où part son patrimoine minier puisqu’il est encore plus squelettique,plus affamé que dans les années 50,70,80 surtout que ses terres sont confisquées et pourtant on nous parle de boum minier.Mon oeil oui.C’est un boum boum pour les prédateurs.Il faut que tout ça s’arrête

  • Le 29 août 2016 à 11:15, par Amdaoum En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI » : EN RETARD DE 30 !

    Tout ce que M. Diallo est en train de dire se sait et s’est su depuis les annees 80s. Un mortel du nom de Thomas Sankara nous le martelait chaque jour et chaque nuit. J’ai participe a la bataille du rail physiquement et financierement ; j’ai achete le haricot vert a l’UCOBAM. Juste quand nous etions prets a le suivre allegrement et construire notre Burkina, il fut fauche par les "rectificateurs".

    Monsieur Diallo, qu’est-ce qui est vrai, ce que vous dites maintenant ou ce que vous disiez pendant la "RECTIFICATION" ? Ne nous dites surtout pas que vous suiviez des ordres ou c’etait de la realpolitik.

    Le president Sankara avait un atout et des allies que les dirigeants d’aujourdh’hui n’ont pas et n’auront jamais : sa parole et son peuple.

    Passez tous une bonne semaine de travail !

  • Le 29 août 2016 à 11:25, par sogotele En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Oui pour la profondeur de la réflexion. Le monde est un jungle où chacun cherche à se réaliser (Survie de Garwin), ne pensons donc pas que quelqu’un veut vouloir que nous on se réalise à leur détriment. C’est archi faux, la main tendue n’est qu’une ruse, une flagornerie. Mais attention, il se suffit pas d’endetter la masse pour que des individus s’enrichissent illicitement et y a rien. C’est ça aussi le problème au Faso. Mais pour le développement, le vrai, le pays gagnerait à libérer véritablement le secteur privé qui seul peut booster le développement. Que des structures privées déguisées appartenant aux hauts cadres du public cessent, que les marchés soient ouverts et accessibles à tous, que le privé soit accompagné. C’est à ce prix qu’il y aura un développement dans le pays. La fonction publique qui accapare tout, n’y apportera point grande chose.

  • Le 29 août 2016 à 11:27, par kass En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    À t’il raison où tord. Je n’y sais rien surtout un tel discours venant de salif. Dans tous les cas nous sommes dans un État où il n’y a pas de justice. Le gouvernement n’affiche pas une volonté réelle de faire appliquer les textes. Tous les travailleurs du privé savent que le code du travail n’est pas appliqué ou du moins est appliqué par qui veut. Si vous faites on vous licencie et y a rien. Dommage

  • Le 29 août 2016 à 11:31, par kouadio En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Démagogie ou aveu d’impuissance devant la realite ? Il me fait rire ce type. Je demanderai a Salif de nous faire le bilan des differents projets qu’il a geres grace aux millions venus de ces institutions. Tout simplement

  • Le 29 août 2016 à 11:33, par BOUBA En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Félicitation ! Mr Salifou Diallo vs traduisez les aspirations profondes du peuple Burkinabè. En plus d’être un animal politique vs avez des grandes idées pour le développement d ce pays.

  • Le 29 août 2016 à 11:35, par zoulbi En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    c’est un beau discours. Il faut revoir les sorties frauduleuses de notre ’’or’’ car avec cette manne on pourra désenclaver les routes du Burkina et promouvoir le développement. Sinon on a trop entendu cela il y a 27 ans.

  • Le 29 août 2016 à 11:37, par Issa Jones Traore En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Je valide. La Banque Mondiale et le FMI manipulent la croissance de l’Afrique.

  • Le 29 août 2016 à 11:38, par Princo En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Tout Ca C’est Wobawoba.Instorez La Justice Pour Tous Et Eliminez La Corruption A Tous Les Niveaux, Et Vou Verrez Ce Que Deviendra Le Burkina, Malgrè Ses Maigres Ressources. Et Pui Pourquoi C’est Maintenant, Qu’On Nous Fait Un Tel Recit, D’un Discour Qui De Plu D’un Mois ? Oubien Je Me Trompe ?

  • Le 29 août 2016 à 11:47, par Spartacus du Burkina En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Les burkinabé sont vraiment des moutons...A lire les réactions de ces internautes qui ne connaissent même pas le prix de leur connections ; et qui sont la à feliciter Salif ???Reflechissez et changer parce la seule chose que merite ces salif c’est de les chasser du pouvoir.Oui et Oui ;il etait où ?pendant 30ans .Quand est ce que ce peuple va comprendre que ces vieux politiciens ne vont rien faire pour nous ?Quand est que vs allez comprendre que les vrais ennemis de mon cher pays le BFaso ce sont ces gens là ?Ce st les même qui ont tué Sankara ;aujourdhui que salif a tout fait pour recuperer le pouvoir par vote ethnique ;il voit qu’il ne seront pas a la hauteur ;ils ne voulaient pas aussi laisser la place a une nouvelle génération alors il faut commencer a se dédouaner avec des déclarations de ce genre qui irite tous Burkinabè avisé.Tous ceux avec qui tu gouverne sont bien les memes pouris du cdp et pourtant c’est l’opposition qui est accusé de conivance avec ce parti.Vous êtes le mal de ce pays cher salif depuis plus de 30ans et sachez que tu est comptable du bilan que fera ce gouvernement.L’opposition a parler les gens les diabolise et pourtant c’est une réalité que vs ne ferez rien pour nous encore moins nos enfants.Webmaster il faut souvent des réactions de ce genre qui disent haut ce que les gens disent tout bas .Merci a toi.

  • Le 29 août 2016 à 11:49, par Le Guetteur En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    C’est un hymne à l’audace que je viens de lire. Cependant j’ose espérer que ce diagnostic et ce credo de l’audace ne cachent pas des attaques internes cachées. Si il en est nullement rien, alors, l’invite à l’audace vaudrait son pesant d’or et il faudrait vraiment que le cocotier du gouvernement soit secoué !!
    C’est vrai que je reste persuadé que le salut du Burkina Faso viendra par les efforts propres de ses filles et de ses fils mais pas de l’aide qui nous fait tourner en rond :
    Pas de corruption pour commencer
    Travailler et toujours travailler.
    Organiser au besoin des travaux d’intérêt publique pour commencer.
    Le premier capital, c’est l’HOMME !!

  • Le 29 août 2016 à 11:50, par Jo En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Ainsi parla le chef de l’auguste assemblée
    Il dit, Diallo, que l’exécutif manque de courage
    Que pour façonner le commun ouvrage
    Le gouvernement doit d’initiatives se doter

    C’est au ministre des finances qu’ainsi il s’est adressé
    D’un gouvernement issu du parti dont il est aussi le chef
    On se demanderait alors derechef
    Si du programme en exécution le parti n’avait discuté

    Faut-il donner crédit à ceux qui évoquent le tâtonnement
    En tous cas le peuple électeur se fait du mauvais sang
    Et attend de son classement meilleur rang

    Qui sait, Gorba a-t-il peut-être raison
    Pour avancer il faut changer de façon
    Breton Wood n’est pas un mode de gouvernement

    Faisant entorse, Karissa, à la règle sacrée du sonnet
    J’ajouterai ce quatrain pour vraiment louer
    La donne nouvelle ainsi par Salif consacrée
    Qui fait du parlement face à l’exécutif autre que tantinet

  • Le 29 août 2016 à 11:52, par vision En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    je ne comprend Salif Diallo, pouvez vous endetter sans Laval de ces institutions. un Etat comme le Burkina Faso peut-il léver des fonds sur un marché financier international sans le quitus de la Banque Mondiale et le FMI, NON Monsieur le PA. Même ADO de la Côte d’Ivoire où vous êtes allez prendre les conseils ya pas longtemps y fait recours.

    le problème n’est la Ministre de l’économie ni les fonctionnaires de l’Etat. le problème c’est vous et le MPP. Le PNDS avant d’être le Plan de tous les burkinabé a été d’abord votre plan. quant vous étiez en train de battre campagne, votre programme de société c’est ça que la ministre met en oeuvre donc arretez de jouer au Monsieur qui a la solution.

    Faites d’abord le bilan de la dette que votre régime sous Blaise ( quant vous étiez Ministre de l’agriculture). endetter le pays comme vous voulez, c’est l’UEMOA qui va vous expuser de l’Union si vous voulez devenir un Etat comme la Grèce en Europe. Vous parlez comme si c’est pas vous qui êtes au pouvoir : Proposer la solution.

    Maintenant la solution pour le moment c’est bien utiliser le peu de ressource que nous avons.

  • Le 29 août 2016 à 11:57, par Sans rancune En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Rien à dure. C’est du propre et au gouvernement de revoir sa façon de gérer.
    Tournons-nous vers la Chine

  • Le 29 août 2016 à 11:58, par Enfin ! En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Toutes mes félicitations Excellence Mr le Président de L’Assemblée Nationale.
    Je suis entièrement d’accord avec votre analyse et vos positions intrépides.
    Il faut oser inventer l’avenir en sortant des schémas classiques comme vous le dites si bien. C’est à ce prix qu’on pourra sortir le peuple de la misère et atteindre l’auto suffisance alimentaire.
    Bon vent à vous et que cela soit bien entendu et surtout compris et accepté par l’exécutif.

  • Le 29 août 2016 à 12:01, par Achille De TAPSOBA En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    HOMMAGE A NOS MARTYRS du 30, 31 Octobre 2014 et 16,17 Septembre 2015

    Mr Salif pourquoi avez-vous conseillé Blaise Guessan Compaoré votre père spirituel de dire non à la Banque Mondiale et au FMI quand vous étiez le puissant ministre de l’agriculture ?. Arrêtez le populisme personne n’est mouton. On se connait très bien dans ce pays. Pendant 26 ans, vous(RSS) avez pillé impitoyablement et visiblement le pays, aujourd’hui, dans une situation économique chaotique.

    Traitrise, ruse, roublardise, hypocrisie, opportunisme, mensonge sont les traits caractériels de ces 3 apôtres de l’impunité(RSS). L’Histoire du BURKINA retiendra qu’ils ont toujours trahi le Brave Peuple pour leurs intérêts personnels et ceux de leurs amis véreux.

    Notre combat contre l’impunité continue. BRAVE PEUPLE BURKINABÉ, NE TRAHISSONS PAS NOS CHERS MARTYRS. C’est à travers notre courage que nous progressons au bonheur de tous les BURKINABÉS.

    LA VÉRITÉ TRIOMPHERA SUR LE MAL OU L’IMPUNITÉ(le mensonge) UN JOUR

    A NOS MARTYRS QU’ILS SE REPOSENT EN PAIX. QUE JUSTICE LEUR SOIT RENDUE RAPIDEMENT

    JUSTICE POUR NORBERT ZONGO
    JUSTICE POUR THOMAS SANKARA
    JUSTICE POUR SALIFOU NEBIE
    JUSTICE POUR DAVID OUEDRAOGO
    JUSTICE POUR DABO BOUKARY

    VICTOIRE TOUJOURS AU BRAVE PEUPLE
    VIVE LA DÉMOCRATIE AU FASO
    VIVE LE BRAVE PEUPLE BURKINABÉ

    QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE LE BURKINA QUE NOUS AIMONS TOUS.AMEN
    PAIX ET SUCCÈS A TOUS LES BURKINABÉS . AMEN

    ACHILLE DE TAPSOBA LE BOBOLAIS
    Insurgé

  • Le 29 août 2016 à 12:11, par Boinzem En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    « Nous ne faisons plus d’efforts pour mobiliser le peuple, continuer cette bataille et arriver à Tambao et exporter et le manganèse et le bétail. Nous sommes là et dépendants d’opérateurs économiques hypothétiques qui chaque année promettent d’exploiter Tambao et les rails, après eux-mêmes sont pris dans des nasses bizarres on ne les voit pas venir, sauf à l’aéroport de Ouaga pour repartir ».

    Salifou se désolidarise de Blaise COMPAORE pour l’échec de la bataille du rail et la non exploitation du manganèse de Tambao. Sous la Révolution nous chantions "La bataille du rail, c’est notre affaire. L’affaire de tous les burkinabè. Nous irons jusqu’à Tambao". Nous nous sommes arrêtés à Kaya avec les rails. A moins d’être amnésique, Salifou peut bien nous dire quand, comment et pour quelles raisons Tambao n’est pas exploitée jusqu’à ce jour.

    Il suffit de demander à la France et à Bolloré ce qu’ils nous veulent sur ces dossiers depuis les années 1960. Notre arrivée à Tambao dépend encore de la France et de Vincent Bolloré à cause de la complicité de certains fils de ce pays. Dieu seul sait quant est-ce nous arriverons à Tambao car Bolloré n’a pas tenu ces engagements passé et ne tiendra les nouveaux qu’il vient de prendre. En effet, il y a deux mois, les gouvernements du Burkina et de la Côte-d’Ivoire ont encore signé la Convention autorisant Bolloré à continuer de gérer le chemin de fer Abidjan-Niger. Donc, la France seule peut répondre à Salifou et au peuple Burkinabè. Bolloré a laissé le chemin de fer (géré par la Sitarail) et les wagons se détruire et n’a versé aucun kopeck de redevances aux deux Etats après plus de 25 ans d’exploitation de leur patrimoine ferroviaire. A ce jour, il doit des milliards FCFA. Bolloré doit des milliards au Burkina Faso au titre des créances passées sur les rails battis par nos pères au prix de leurs vies. Malgré cela, il a usé de tous les leviers de la Françafrique pour s’imposer encore dans le dossier, promettant de mettre à jour les rails et les wagons. La colonisation continue pour le Burkina.

    Blaise COMPAORE s’est opposé fermement depuis 2012 au retour de Bolloré dans le dossier qui devait être confié entièrement à TIMIS (pour la mise à norme du chemin de fer, l’achat de nouveaux wagons, la construction d’une autoroute, etc) jusqu’à Tambao et l’exploitation et exportation du minerais. A l’époque, Bolloré a dit ne pas avoir l’argent pour la mise à norme du chemin de fer (largeur des rails) et des wagons mais insistait pour continuer de gérer SITARAIL et transporter le minerais jusqu’au port d’Abidjan. La largeur actuelle nous oblige à acheter les rails et wagons seulement auprès d’entreprises françaises. Avec les nouveaux types de rails (plus larges) proposés par Timis, les équipements pourraient être achetés auprès d’autres constructeurs dans le monde.

    Par amour pour son pays, Blaise COMPAORE a bravé l’avis de la France en autorisant la signature du contrat d’exploitation avec Timis qui dirige une multinationale singapourienne (??), non seulement a constaté une teneur de plus de 80% de manganèse, mais aussi une plus grande superficie exploitable. Il a payé le prix fort pour cette bravade au lieu de servir les intérêts de la France. La France a soutenu l’insurrection contre Blaise à cause de ce dossier car elle ne digère pas de perdre la gestion de Tambao dont les gisements avaient été très sous-estimés par ses soins (Teneur estimée à moins de 45%) depuis 1960 et gardés en réserve pour ses besoins futurs (clause exclusive des indépendances).

    Le nouveau gouvernement a signé la convention sur le chemin de fer avec Bolloré avec une version certainement révisée par rapport à celle de 2014 sur laquelle le Président Blaise s’était montré intransigeant sur certains points. François Hollande n’a pas apprécié qu’il s’attaque aux intérêts français et l’a puni en soutenant l’insurrection des RSS. Pour s’en convaincre, il suffirait de comparer les deux documents. Je prends tous les patriotes burkinabè à témoin de ce qu’il adviendra dans ce dossier.

    Sous la transition, le Ministre BA a interrompu les travaux de Tambao et tenté en vain de rompre le contrat de TIMIS pour le donner aux intérêts français et américains (n’est-ce pas Tuilinabo ?). L’affaire a été portée devant des juridictions internationales et l’Etat burkinabè risquait de payer très cher pour la rupture abusive du contrat de Timis. Alors, le nouveau gouvernement a renoncé. Qui va payer pour la durée pendant laquelle les travaux ont été interrompus ? L’Etat burkinabè.

    En conclusion, si Bolloré ne construit pas les rails et n’achète pas les wagons neufs, Timis ne pourra jamais évacuer le manganèse du Burkina jusqu’à Abidjan pour son exportation. S’il ne le fait pas vite, il va freiner l’exploitation des gisements et leur vente. Salif encourage l’endettement massif sans dire avec quoi nous allons rembourser si notre manganèse ne peut pas être exploité et exporté à cause de Bolloré. Sankara disait "comptons sur nos propres forces". Tous les pays qui achetaient notre bétail se sont mis à développer leur élevage. Le coton OGM a découragé les producteurs qui se sont détournés de l’or pas si blanc que cela. Salifou est responsable de l’introduction du coton OGM par MOSANTO, multinationale américaine, dans notre pays. Qui payera les pertes commerciales liées à l’introduction du coton BT ? Il ne suffit pas d’emprunter massivement, il faut penser aussi à comment le remboursement se fera et appliquer une gestion responsable de nos richesses nationales.

    Il y a un mois, le Président Talon du Benin, en homme d’affaire avisé, a refusé de signer avec Bolloré pour la construction du tronçon Cotonou-Niamey. Il disait à la TV béninoise que le fait que Bolloré ne soit pas attributaire du marché n’empêchera pas cette multinationale de continuer d’exister. Un vrai homme d’Etat !! Comme des sangsues, Bolloré et la France nous sucent depuis les indépendances et continueront de le faire grâce à la complicité des hommes politiques sans envergure prêts à brader les intérêts de notre pays pour assouvir leurs ambitions personnelles.

  • Le 29 août 2016 à 12:13 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Analyse de Salifou DIALLO :« Vous dites dans votre exposé qu’on envisage utiliser 60% des ressources propres pour atteindre un taux de croissance de 8%. Objectivement, quand on regarde notre pays, et quand on considère les ressources propres (budgétaires) de notre pays- vous avez dit ici lors de l’adoption de la loi rectificative des finances que 94% des ressources budgétaires servent à gérer l’Etat (salaires, fonctionnement de l’Etat). Il reste 6% est ce que 6% des ressources propres peuvent influer un développement pour atteindre 8% de taux de croissance. C’est une question de fonds ».
    Analyse très erronée à mon avis. Où sont les économistes pour m’éclairer. Je me dis qu’une bonne part des 94% des ressources budgétaires utilisés pour le fonctionnement de l’Etat et les salaires crée aussi la croissance. Sinon, il faut tout arrêter.

  • Le 29 août 2016 à 12:25, par ce que je crois En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Le sujet m’intéresse
    j’admire le Président de l’ AN sur ses propos sur le pouvoir de ces INSTITTUTIONS , mais les choses ne sont pas aussi simples. comment obtenir les emprunts massifs si ces Institutions dégradent votre note ? Il s’agit d’un discours revolutionnaire qui s’il est satisfaisant pour gratter l’esprit patriotique des burkinabés (comme dans les années 1984) est aujourd’hui dépassé . iL s’agit plutôt à mon avis de liberer notre génie pour utiliser nos petites ressources pour nous inserrer au mieux dans ce processus irréversible de la mondialisation en nous appropriant les phénomènes importants de ntic , économie numérieque , télécommunication , santé , etc.

  • Le 29 août 2016 à 12:33, par SOULY N. Stéphane En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    À la lecture de l´exposé, je me suis posé plusieurs questions, dont voici quelques-unes !
    01-Mr Salif DIALLO, dit-il la vérité !? La réponse est bien évidemment oui !
    02- Mr Salif DIALLO se place-t-il du côté des intérêts des Burkinabè ? Naturellement oui !
    03- Mr Salif DIALLO est-il crédible !? J´en doute.
    Revenons aux années 83-87, où nous tous étions fiers d´être des Burkinabè. La période révolutionnaire, où Thomas SANKARA avait restitué aux populations leur dignité. Ce processus on le sait, a été violemment stoppé un certain 15 octobre 1987. Et l´un des personnages centraux de la rectification à ce que l´on dit…est aussi Salif DIALLO. L´individu a été l´un des plus grands animateurs de la rectification. Le langage qu´il nous tient aujourd´hui, me rappelle le vrai Salif DIALLO que j´ai connu durant les années 85, 86. Le camarade que beaucoup de Lycéens comme moi prenaient plaisir à écouter ! Pourquoi pendant les 27 années de règne de Blaise Compaoré, lui qui était d´ailleurs l´une des multiples facettes du défunt régime, n´a-t-il pas tenu de tels propos !? Pourquoi avoir gardé silence…et attendre après l´insurrection, attendre d´avoir été élu président de l´Assemblée Nationale, pour subitement se rendre compte que la bataille du rail…était un bon projet. Que les institutions de Breton Woods ne sont forcément celles qui défendent le mieux les intérêts des peuples ! Ah, nos politiques ! « Nous nous laissons trainer depuis des années, avec leurs mensonges, leurs retournements de veste, leurs trahisons, leur repentir permanent  ». Quelle honte !?
    Depuis bientôt…environ trente ans, après sa mort, les idées du président Thomas SANKARA sont toujours d´actualité. Mieux, ceux-là qui ne rataient jamais une occasion de le dénigrer, prônent ses idées ! Comment un homme de la trempe de Monsieur Salif DIALLO, a t-il pu se laisser berner par le Front Populaire à l´époque !? Beaucoup de ces anciens militants de la RDP attendent des réponses à cette question ! Vivement l´ouverture du procès de l´affaire Thomas SANKARA.
    La Patrie ou la Mort, Nous VAINCRONS !!!

  • Le 29 août 2016 à 12:34, par DAS En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    merci a sali diallo pour ces verités qui nous libèrent. Il faut vraiment plus d’audace au gouvernement ;

  • Le 29 août 2016 à 12:46, par joel En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Vérité cher PAN. Mais la question que je me pose est la suivante. Est-ce une repentance ? Vous voulez certes soulager votre âme après tant de gaffes. Courage à vous et soyez rassuré que vous pouvez encore laver vos souillures avant la fin de votre périple politique.

  • Le 29 août 2016 à 12:46, par Noyesman En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Big up à vous M. le président de l’AN, mieux vaut tard que jamais. A une de vos interviews il y’a quelques années vous avez fait savoir que vous étiez entrain de lire un livre sur les maîtres du monde. En tant qu’éminence grise, vous en savez suffisamment sur leurs pratiques. Vous avez de l’expérience et l’intérêt de nos populations affligées vaut bien le combat de David contre Goliath. Effectivement, il est temps d’indiquer les nouvelles règles du jeu à ces illuminatis. Soutien total May God bless you.

  • Le 29 août 2016 à 12:57, par ail En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Un divertissement politicien de plus ou une vision politique pour le bf ? le temps le jugera !

  • Le 29 août 2016 à 13:08, par Sebgo En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Vraiment, cet Homme a parlé et a touché le cœur du Peuple qui palpite comme les feuilles du baobab sous le vent ! Il faut des esprits hardis, des cœurs généreux, des mains calleuses et des pieds prêts à descendre dans la boue avec le Peuple, des hommes sacrifiés pour agir avec un Peuple sacrifié et inventer l’Avenir !!!

  • Le 29 août 2016 à 13:10 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Le vrai president sort de l’ombre. Bientôt ce sera un combat aerien entre les trois tetes du MPP. A suivre ....

  • Le 29 août 2016 à 13:14 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Au niger vous avez un ingénieur président, en cote d ivoire vous avez un economiste president, même au togo le petit Eyadema fait mieux, etc. Chez nous on a que des gueulards, des gens qui parlent au hasard. Sans l’aval du FMI et de La banque mondiale, personne, je dis bien personne ne vous donnera un sou. Vous allez vous endetter ou ?

  • Le 29 août 2016 à 13:19, par Mechtilde Guirma En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Mais Monsieur le président tout ce beau discours que vous tenez à présent, vous le tenez du présent de l’UNDD. À l’époque, il interpellait et la population et le gouvernement du président Blaise Compaoré (dont vous étiez l’un des bonzes d’ailleurs). Il suppliait le président Blaise de quitter le pouvoir avec tous les honneurs qui lui seraient dûs et avec une amnistie.

    Moi même dans ma longue lettre ouverte à Blaise Compaoré des Éditions du pays (Evasion n° 260 du Vendredi 29 juin 2001 et le n° 261 du 6 juillet 2001), j’étais exactement dans la même longueur d’onde, et même mieux). Et si les Éditions du pays tiraient de nouveaux l’article pour les besoins de la cause ? Merci Monsieur le Directeur.

    De même dans votre déclaration de Vienne, pour « la remise à plat » des Institutions, vous avez repris exactement les mêmes termes que moi dans l’interview que San-Finna m’avait accordée.

    De toute manière Monsieur le président de l’Assemblée, ce n’est pas un mal en soi que de reprendre les bonnes idées émises par d’autres. Mais le problème ici est qu’il y a trois embuscades tendues au peuple :

    1) Vous tirez à boulet rouge sur votre gouvernement et sur le ministre des finances pour rien, car vous faite vous-même parti de ce système des Nations Unies que sont Breton-Woods, le FMI, la Banque Mondiale , n’êtes-vous pas vous mêmes dans une multinationale de ce système (l’AREVA). Pensez-vous que vous pouvez vous lever par un simple coup de tête et « Bye-bye et good-bye Farewell » ? à ce système...

    2) Vous n’avez pas encore rendu compte de votre gestion des 33 années de pouvoir (d’abord avec Sankara, ensuite avec Blaise). Ce qui du reste d’ailleurs permettra d’élucider des zones d’ombre de votre personnalité dans la gestion « des pouvoirs » et une véritable réconciliation.

    3) Sinon les propositions que vous faites actuellement risqueront de rester lettre morte. À moins que cela soit une tactique de votre part pour obtenir comme d’habitude des réformettes qui vous donneront bonne figure au yeux de la jeunesse afin de vous préparer à sauter « pieds et mains liés » avec le Burkina tout entier dans le « Gouvernement mondial et son ordre économique ».

    Merci Webmaster de me permettre de restituer la vérité historique.

  • Le 29 août 2016 à 13:20, par BURKINA BIIGA En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    JE SUIS D’ACCORD AVEC L’INTERNAUTE N° 9 ; IL FAUT D’ABORD BIEN GERER LE PEU QUE NOUS AVONS EN EVITANT LE CLANISME DANS LES MARCHES ET LES POSTES IMPORTANTS.

  • Le 29 août 2016 à 13:24, par james En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Quand qlq,un flatte son papa d,avoir une femme,il flatte ses testicules . on vous attend en tout cas croyez-vous qu,on va se mettre a sauter par ce charabia demagogique..c,est. pitiant,pauvre burkina.

  • Le 29 août 2016 à 13:45 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Nous sommes enfin ok pour la sacrifice populaire.

  • Le 29 août 2016 à 14:01, par Bédjou En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Je suis très étonné par ces déclarations d’un des acteur de la rectification. Pourquoi avoir contribuer avec d’autres à arrêter la voie tracer par Tom sank qui avait bien vu que notre décollage ne viendra que de nous même et venir tenir ce même langage après. Est-ce un repentir ? Alors, il faut le dire courageusement. Reconnaitre s’être trompé en contribuant à stopper la marche héroïque du 04 août 1983. Pauvre burkina.

  • Le 29 août 2016 à 14:19, par AD En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Vu, la réaction de mes frères et sœurs a cette déclaration de haute qualité du Dr Salifou Diallo. Je ne peux rien ajoute. Je larmoie de joie. Continuer dans ce dynamisme. Nous Burkinabe de l’intérieur et de l’extérieur, seront derrière vous. C’est nous qui devront construire notre nation. Seul le sacrifice d’un peuple pour sa nation paix. Toute mes félicitations au Dr Salifou Diallo et son gouvernement. C’est être grand de reconnaitre ces erreurs pour mieux faire.

  • Le 29 août 2016 à 14:20 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Ce que je ne comprend pas concernant cette déclaration du PAN, c’est "pourquoi maintenant ce tapage médiatique autour de la question ?" Nous avons tous suivi l’extrait à la télé depuis juillet et on en a plus parler. Et subitement, on observe un regain d’intérêt pour les médias de revenir sur ce défoulement de SD comme si quelqu’un avait dit quelque part que : "vous les médias là, quand on dit quelque chose, vous ne relayez pas l’info comme il se doit" Et tout de suite, on trouve matière à dire, histoire de créer le buzz sur les réseaux sociaux. Propagande quand tu nous tiens !
    Cette déclaration ne changera rien dans notre pays. Rêveurs, continuez de rêver. Ce n’est que de la poudre aux yeux. Juste se redorer les blasons quand on sait qu’on est comptable à plus que 99% du Burkina Faso de 2016.
    Thom Sank était réellement en avance de plus d’un quart de siècle sur ses détracteurs. Il me semble difficile qu’aujourd’hui, avec le laxisme observé dans notre pays, que l’on puisse encore mobiliser ce peuple comme dans les années 80. Comme quelqu’un la dit, les forces du mal ont déjà dicté leurs lois et nous sommes pris dans un cercle vicieux qui a la peau dure à cuir.
    Difficile, difficile, difficile !!!
    May God help our country !!!!!!!!

  • Le 29 août 2016 à 14:32, par Pour le développement En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Excellence Monsieur le Président,
    Excusez-moi, mais dites aussi à l’exécutif et surtout à monsieur le Ministre de la Fonction Publique de revoir la nouvelle grille salariale à appliquer dans le cadre de la loi 081. Monsieur le Présent, il ya une injustice dans cette grille. Un exemple concret.
    En 2012, je suis admis à un concours niveau A pour une formation de 03 ans. En ce moment, j’étais en catégorie B1 Echelon 7. A ma sortie en 2015 j’étais en B1 Echelon 8 et suis reclassé en A1 Echelon 02 dans l’ancienne grille. Il convient de signaler que je suis un fonctionnaire titulaire. Mes promotionnaires qui ne sont pas encore admis au concours sont en B1 Echelon 9. Avec la nouvelle grille, je me retrouve avec un indice 730 (Indice de de la catégorie A1 Echelon 2 de la nouvelle grille) alors que mes promotionnaires de la catégorie B (qui sont toujours en catégorie B1 Echelon 9) eux ont un indice 945 donc mieux payer que moi. On pouvait comprendre cet écart si ces derniers étaient mes ainés dans la catégorie B1. Pour tout dire, monsieur le Président, avec cette nouvelle grille certains agents de catégorie inférieure seront mieux payés que leurs promotionnaires qui ont été admis aux concours de niveau supérieur. Cette grille est à revoir donc.
    Veuillez recevoir Excellence Monsieur le Président, l’expression de mes sentiments distingués.

  • Le 29 août 2016 à 14:47 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Pour nous, les anciens, cela rapelle le début de la farouche bagarre entre Jo Weder et Gérard Kango ! Ainsi, la crise au sein du MPP s’étale, de jour en jour, en plein jour. Ça rapelle également la dénonciation de la "patrimonialisation du pouvoir d’Etat", qui avait marqué le vrai début de la rupture entre Salif et Blaise. Sale temps pour les opportunistes, puisqu’il faudra bientôt s’aligner derrière l’un ou l’autre. Ainsi va la politique politicienne.

  • Le 29 août 2016 à 14:50, par apolos En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Gorba le révolutionnaire !

  • Le 29 août 2016 à 14:53 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Moi je ne suis pas d’accord avec Monsieur le Président des députés.
    Pourquoi ?
    1. il y a des dossiers de détournement d’argent public. A quel niveau se trouve la procédure. Il faut que le gouvernement fasse la situation (le montant total). Et donner des dates.
    2. le régime de Blaise est parti avec beaucoup d’argent. Qu’est-ce qui est fait pour recouvrer cet argent ?
    3. des véhicules ont disparus du parc auto de l’Etat. Le ministre a retrouvé combien de véhicule et avec qui ?
    4. comme le Premier ministre a annoncé des taxes qui semble ne pas avoir l’adhésion de la population, il faut détourner l’attention des gens avec des propos révolutionnaires. Vous avez tué la révolution pour rectifier non ? Chers frères rappelez-vous des propos de ZIDA quand il arrivait au pouvoir. Vous savez la suite.
    Oui, il faut que le peuple travaille, mais à quel niveau le pouvoir place le peuple. Comment le peuple pourra-t-il réagir pour bénéficier des fruits de sa labeur ? Puisque la constitution ne la protège pas.

  • Le 29 août 2016 à 15:04, par OneAndMore En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Attention, je sens qu’il va encore réussir à nous embobiner pour le reste de sa vie politique...

  • Le 29 août 2016 à 15:07, par La’cCord En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Je suis très fier d la vision de Gorba. Je ne suis pas MPP, mais pour la première fois, je reconnaît le mérite d’un responsable de ce parti. Le peuple est prêt à souffrir les souffrances salutaires maintenant, pour que demain soit meilleur. On veut plus des trucs bidons du FMI & consorts. Sinon c’est irresponsable, surtout de la part de tous ceux qui dans ce pays ont des enfants, d’accepter que ces enfants souffrent demain encore pire que les souffrances de leurs parents aujourd’hui.

    Donc, MPP, dites au peuple des choses claires : voici le chemin de la liberté, il est difficile, mais nous allons le prendre, et demain sera mieux qu’aujourd’hui. C’est ça seulement on attend. Et une bonne gouvernance pour ne pas dilapider dans le vol et la corruption le peu que nous aurons de nous-mêmes.

    Que nos ancêtres soient avec nous.

  • Le 29 août 2016 à 15:27, par COMMISSAIR En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    ce n est que de la poudre aux yeux des pauvres burkinabes qui ne comprennent rien a la manipulation politicienne.ce n est certainement pas des dirigeants avec un passe et un present aussi sombres que le sien qui peuvent nous donner des lecons sur les institutions de b.w.

  • Le 29 août 2016 à 15:32 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Salif peut souler ceux qui n ont aucune notion de l’économie et surtout de l’économie mondiale avec de telles inepties. Ce n est que des conneries ce qu’il raconte pour mystifier les nuls. Malheureusement son piege a deja attrapé trop de nuls

  • Le 29 août 2016 à 15:57 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    « Dès que quelqu’un comprend qu’il est contraire à sa dignité d’homme d’obéir à des lois injustes, aucune tyrannie ne peux l’asservir. » Gandhi

  • Le 29 août 2016 à 16:04, par wenlasida En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Si la Banque Mondiale et le FMI ne peuvent pas nous aider à nous en sortir, alors que dire du PNUD ? Ce machin se rémunère sur nos maigres ressources sans vraiment une valeur ajoutée à notre combat contre la pauvreté. RIEN QUE DES MOTS. Personnellement je préfère la BM à ce machin qui est entrain de saper nos efforts

  • Le 29 août 2016 à 16:04, par Bouba En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Il faut que le gouvernement apprenne d’abord à dire non à toi Gorba le fossoyeur de notre démocratie et du développement de notre pays depuis 30 ans. Tu as beau faire semblant d’être un patriote, on retient de toi, le méchant, le criminel, l’auteur macabre des coups bas, du jeu malsain de la politique au Burkina. Le jour que tu ne seras pas sur la scène politique du Burkina, le Burkina se portera mieux

  • Le 29 août 2016 à 16:05, par Moi aussi En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    La bonne nouvelle pour moi, c’est d’entendre une opinion différente dans la majorité. C’est une excellente chose qui montre au moins que notre apprentissage démocratique avance.
    J’ai toujours critiqué l’unicité de point de vue au temps du CDP. En effet, même quand le commun des mortels voyait qu’une décision du gouvernement était mauvaise, tout le gouvernement, les députés, les maires et les organisations satellites du CDP faisaient bloc autour de la décision. Même les anciens convives délaissés qui s’étaient recasés dans des organismes, n’osaient pas piper un mot.

    Aujourd’hui, Salifou Diallo donne un son de cloche différent ; ce qui est bien et on aimerait que des députés individuellement lui emboîtent le pas en s’exprimant publiquement quand ça va mal, voire en signant une tribune dans un journal de la place pour expliquer les raisons de son désaccord. C’est ainsi que notre démocratie avancera. On aimerait voir un ancien ministre de la majorité critiquer certaines politiques ou mesures n’allant pas dans le sens des intérêts du peuple.

    Quant aux propos eux-mêmes, mes prédécesseurs l’ont suffisamment souligné. Il n’est jamais tard pour bien faire. Dans ce cas, il faut recadrer les choses en rappelant honnêtement le combat du père de la révolution (Thomas SANKARA) et en faisant un mea culpa courageux de votre gestion durant 27 ans afin que la Jeunesse de notre pays puisse avoir des repères clairs.
    La Banque Mondiale n’étant pas comptable de ce qu’elle fait faire à un gouvernement, tant pis pour les pays qui l’écoutent et il a fallu 30 ans pour s’en rendre compte.
    Voyez comment l’incompétence fait perdre du temps. Nous avons perdu 30 ans en aventure alors que des hommes plus éclairés nous avaient déjà indiqué le chemin à suivre. Quel gâchis ?
    Le P.A.S a saboté les économies des pays africains et nous mettrons du temps avant de nous en remettre.
    La politique du genre est cette nouvelle chose que les occidentaux viennent de trouver pour plomber notre compétitivité. Si on suit bêtement leurs conseils, dans 50 ans, nous iront encore les appeler pour nous expliquer à coût de centaines de millions, pourquoi nous sommes peu performants. Et comme c’est le résultat de l’œuvre du Père, l’enfant donnera d’autres raisons sauf la vraie.
    Pauvres africains, plus myopes qu’un serpent.

  • Le 29 août 2016 à 16:14, par Zaka En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Je voulais juste demander au PAN, si le monopole des tableaux compteurs de la SONABEL et des tables blancs sont toujours détenu par son parent ? si oui alors ou en sommes nous avec l’état comateux de la SONABEL et de l’enseignement au B.F ?
    - Les missions des Députés de A.N, combien cela coute à l’état, et qu’amènent t’ils de concret en terme de financement ?
    Voila juste un endroit pour s’enrichir sur à bon compte sur le dos du contribuable. Seul les amis sont envoyé sans niveau et sans audace et le FMI et la Banque Mondiale payent.
    Voila se qu’ont fais de leur argent.
    Que dieu sauve le Faso pour la bonne fin des 5 ans.

  • Le 29 août 2016 à 16:26, par YABSORE En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    l’internaute 9, lisez l’histoire socioéconomique du MOOGO pré colonial de Vincent DEGEGO et vous trouverez que
    "Produisons ce que consommons et consommons ce que nous produisons est un mot d’ordre endogène du moogo pré colonial"- SANKARA l’a intégré dans sa politique économique anti-impérialiste qui voulait nous détourner de nos valeurs nationales et faire de nous un pays réceptacle ou tout vient de l’extérieur. Pour ce faire, il a installé l’auto-ajustement (ajustement venant de l’intérieur) avec la création de ces caisses et participations multiformes pour le financement du developpement. s’agissait des caisses, il faut Signal que le Grl GARANGO était dans cette dynamique. Mais nombre de burkinabè n’étaient pas à cette étape de nationalisme notamment nos économistes salariés des succursales internationales. Aussi dés mai 1987, des débats houleux sont suscités à l’instar de ceux de voir genre,de l’impossibilité des burkinabé de financer leur propre developpement. le Reste il faut l’inscrire dans la diversion des guerres d’école. ainsi on refusa l’au-ajustement dont les intérêts auraient été au profit des burkinabè et pour se retrouver dans l’ajustement imposé créateur de pauvreté et de pauvres et ses plans d’action .
    Actuellement, on dit qu’il ne jamais trop tard pour prendre son destin en main, et voilà des gens de ton genre pour crier récupération comme si on demandait à un dirigeant autre chose que de puiser dans les savoirs et les savoir-faires tout qui est utile pour nous définir une politique conséquente de developpement.

  • Le 29 août 2016 à 16:58, par Bado Lienwouen En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    C’est ce que nous attendons tous /nous voulons travailler pour montrer à nous même /çà commence à refroidir/faisons du Thomas sans Thomas ya pas de honte à reconnaître ses erreurs /on est fier de notre Faso Danfani non ?
    Au lieu de cela on habite tous à l’église au temple ou à la Mosquée malheureusement prier n’est pas sources de développement /que Dieu béni le Burkina /et la Chine aussi ?

  • Le 29 août 2016 à 17:04, par El_monstro En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Populiste quand tu nous tiens. J’ai du mal à croire qu’entre les 2 tendances qui se sont battues à mort en octobre 1987, Salifou Diallo, Roch et compagnies aient choisis Blaise et ce pendant plus de 2 décennies. sans jamais de défection jusqu’à ce que François Compaoré les pousse gentiment à se révolter. Ca s’appelle de l’opportuniste. Et le peuple y croit. Je leur souhaite tout de même la réussite, le passé étant le passé...

  • Le 29 août 2016 à 17:05, par ouedraoog biiga En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Monsieur Salifou Diallo, toujours égal à lui-même !
    Félicitations et continue de montrer la voie, pour le bonheur du Burkina entier !

  • Le 29 août 2016 à 17:16 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Je suis abasourdi par ces déclarations. D’où vient ce revirement à 90 degrés. Afin, j’ose croire que se sont des intentions honnêtes qui le guide à tenir ces propos. Sinon j’ai l’impression qu’il y en a qui ont mis 30 ans pour comprendre ce que Thom sank avait déjà compris en 1983.

  • Le 29 août 2016 à 17:28, par Sidpayétka En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    BONSOIR A TOUS !
    Récitation : Le laboureur et ses enfants
    Un riche laboureur sentant sa mort prochaine venir, fit appeler ses enfants et leur tint ce langage :
    "Travailler, prenez du courage, c’est le fonds qui manque le moins .........bêchez, fouillez, remuez partout ou nulle main ne passe et repasse...." Le travail éloigne de nous trois grand maux, la paresse, l’ennuie et le vice.
    Nous avons du certes escamoter un peu la récitation et nous implorons l’indulgence des enseignants de notre génération c’est a dire des années 60 et 70 qui repettaient a merveille cette récitation de Jean de la Fontaine.
    SE, le PAN pourrait-il peut être se substituer a ce laboureur de la Fontaine car lui même fils de paysan qui a souffert un tant soit peu les affres de la sécheresse des année 1973 (en consommant des feuilles sauvages bouillies parfois mélangées a de la farine de quelque rare mil glané par ci ou par la par ses parents (SA MAMAN surtout comme toute bonne maman). Des SALIFOU comme çà il en existe a la pelle au Burkina et surtout au Yatenga et chez les tapeurs de sables surtout (Eux ils mangeaient plutôt les racines si bien qu’ils sont devenus de vrais wackman). Alors est-ce un repentir, un aveu de ses mauvais actes posés de par le passé (cela devant arriver tot ou tard) et/ou une dénonciation /désaccord avec la manière dont PKT, RMCK et son gouvernement travaillent, nul ne saurait se situer exactement pour le moment. Mais le mérite lui revient de siffler la fin de la récréation même si on lui prêtera tous les noms d’oiseaux de malheur. Attendons de voir la suite surtout en nous souvenant de la phrase prononcée en Autriche quand il y était : "...il faut éviter la patrimonialisation du pouvoir" et qui lui a valu la traversé risquée du désert. Loin de nous l’idée de le défendre (qu’il se defende tout seul) ou de vouloir jouer au griotisme car chacun s’assoie a l’ombre de ses actes ici bas et dans l’au-delà. Mais, si tant il est vrai que Salif (ou ) Diallo a osé parler ainsi , de deux choses l’une ; ou bien sa mort est proche, ou bien il est déçu et partant il s’affole. Que ceux ne connaissent pas le sacrifice que le Yatenga a consentie pendant la colonisation et même après (notamment lors de la construction du pont de Markala, les rizières du bassin du fleuve Niger au Mali) se contentent uniquement de mettre le feu dans le derrière de Salif(ou) s’il a fauté et s’en tiennent rien qu’a cela. Le Yatenga ou tout autre province du Burkina ne disparaitra pas pour autant. Du reste, il est intéressant qu’il reconnaisse ouvertement les valeurs des paroles prophétiques de THOMAS NOEL ISIDORE SANKARA. C’est ca aussi la maturité et la hauteur de vue en politique. Aaawotoo.

  • Le 29 août 2016 à 17:35 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Nous voilà revenus plus de 30 ans en arrière, avec ces querelles de clocher entre groupuscules communisants (UCB, GCB, quoi quoi ...C), jusqu’à ce que survienne le dénouement sanglant, avec le meurtre de Thomas Sankara. Attention !

  • Le 29 août 2016 à 17:41 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    On vous l’avait dit. Roch, Salif et Simon ne sont pas fait pour diriger. Ils sont formater pour SERVIR EN NOUANT DES INTRIGUES. C’est tout. Voilà, à peine une année seulement, ils sont là à tourner en rond et ne sachant que faire, ils commencent à vouloir se frapper. C’est vraiment dommage. Jeunesse burkinabe, soyez vigilents. Ne vous frappez pas à cause de ces gens là. A bon entendeur, Salut !!

  • Le 29 août 2016 à 17:45 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Démagogie quand tu nous tient. C’est seulement maintenant que toi Salif tu te rends compte que la BM et le FMI sont mauvais !? Tu prends nous les jeunes pour des cons ou quoi !?

  • Le 29 août 2016 à 17:49, par Abdu En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Bonjour Cher freres et seurs,
    Apres lecture de cette article ma premiere reaction etait en faveur du PAN. Mais apres reflextion j’ai change d’idee. 1) Imaginez que vous allez emprente de l’argent a la Banque pour vos projets, la Banque a des conditions que vs devez remplir pour q’elle accepte de vs donne l’argent, maintenant c’est a vs d’acceptez ou de refusez ces conditions si vous pensez que sa ne vs arangez pas. Si sa ne vs arange pas alors vs cherchez autre solution, et c’est ce que SANKARA a fait en sont temp. 2) aujourdhui les choses sont differentes, un pays peut alle sur le marche boursier emetre des bons de tresors pour recolte de l’argent au condition que le pays lui mm impose, le Burkina la fait il ya pas longtemp et il ont obtenu plus d’une fois et demi la some rechercher, dont aujourdhui on peu fair a moin de la BANQUE M, et FMI. On a meme pas besoin de s’engager dans la bagare avec qui que soit en ce faisent de movaise plublicite. le problem c’est pas la Banque M. ou FMI. le problem c’est l’Africain, si vous allez emprenter de l’argent pour fair de n’import quoi avec, vous multiplier le cout des projets par 10, tout vos patrons la ont leurs enfants ici aux USA. Pendant que le salaire mensuel d’un Ministre Burkinabe n’est pas sufisant pour entrenir une persone ici aux USA, il ya des gents qui ont plusieurs enfants ici, alor ou trouve t-il largent ? Banque M. et FMI ont certainement comient des erreur par le apasse losqu’ils ont imposes des plants de developments au pays Africain, mais sa n’est plus le cas aujourdhui. Tout le monde parle de SANKARA ou de ces idee aujourdhui mm ces ennemi d’ier, mais ils vs rappel ce que SANKARA disais concernant les auxidentaux mais jamais ce qui concernait les Africains. les intelectuels et politiciens Africain sont les premiers a explote leur peuple. demandez a SALIF DIALLO ou il a trouve l’argent pour achete les concience de la population pour gagne les elections ? pensez vs qu’il ne va pas remboursez ces operateurs economique qui ont soutenu les RSS par des marchez publique ? pensez vs que ceux la ne vont multipliez les cout des projet par 5 voir 10 ? dont si l’on veu reussir il faut savoir qu’il ya des prealable. LE TRAVAIL PRODUIT L’ARGENT, LA RICHESSE, PAS LE CONTRAIRE, alor que ns voulons tout fair a coup de miliards, alorsque ns avont de miliards. SANKARA l’avait comprit l’Africain pas sure. Meci

    ce que SANKARA a vu il ya plus de 30 ans c’est maintenant que d’autres apres 30 ans de malgouvernance d’achat de concience et autre voyent.

  • Le 29 août 2016 à 18:07, par Somé En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Mr Salif Diallo est PAN et de surcroit num 2 du regime actuel. Excusez moi pour ma naïvité mais s’il avait des critiques aussi dures envers le gouverment dont son parti a mis en place il pouvait le faire dicrètement. Un aussi grand envi de revirement de politique de developpement ne se crit pas sur tout les toits. Elle se murit dans la discretion et de met en place de façon substile. Alors pourquoi cette mediatisition des propos de PAN tenue en AN. Rappelez vous des propos de Gagbgo au temps forts de la crise. N’est ce pas parceque le PAN sent quelque chose venir. A chacun son analyse.

  • Le 29 août 2016 à 18:47, par Bouba En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    En lisant ce forum, je constate que quelqu’un mercenaire de Salif Diallo a utilisé mon pseudonyme "Bouba" plusieurs fois pour chanter les louanges de Salif Diallo. Ils usurpent souvent ainsi les pseudonymes de ceux qui les critiquent pour tenter de redorer leur blason dans les forums tout comme leur maître machiavel de Salif Diallo usurpe souvent les idées de Sankara dont il est l’un des bourreaux que la justice devra rattraper un jour. Bref ! jamais, le vrai Bouba que je suis ne serai partisan de ce criminel, tricheur acheteur de diplôme, fossoyeur de notre démocratie et de notre développement. Le jour que ce machiavel disparaitra de la scène politique au Burkina, le BurkinaFaso se portera mieux.

  • Le 29 août 2016 à 18:48, par zenabada En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Merci bien Salif .nous africain somme bêtes des soient disant intellectuel qui ne voient rien quand ont leur tends un piège avec un petit sous ils sacrifie leur peuple leur nation,pour leur intérêt personnel qui peu même pas les nourrirent ni leur famille ni leur village sans parler de leur région et ignorants qu’ils sont ; ils ont toujours crûrent à la générosité des hommes d’affaires blancs pour nuirent leur agriculteurs pour l’Afrique, vous me fait rire exemple pour texte un médicament sur quelqu’un en Europe on lui permet un revenus pendant des années en Afrique on donne un peut à l’état et tout est parti même après le teste s’il y a des mort tant pis.ll va de même pour les dons que vous ne savé jamais le contenue du contrat sinon qu’après la signature oui des yeux pour voir et ils ne voient rien ,des oreilles pour entendrent mais n’entendent rien de inintelligence pour comprendre mais rien ne rentre reveillez-vous vous qui dormez.Tout se qui se donne est un poison pour toi ton entourage de même que le prêt qui prête est soumis à une domination de la main qui prête parce qu’on ne prête pas que l’on veut mais qu’on est obliger.merci encore Salif mais le malheur est que vous avez compris après avoir sacrifie des générations et des générations, 27 ans avec le FMI et la BM sans rien et 4 ans de révolutions sans la BM et le FMI et les Burkinabés etaient heureux. un pouvoir avec le peuple ne coute rien mais le pouvoir qui veut acheter le peuple coûte chèreet au pouvoir et au peuple.je vous laisse sur cette page

  • Le 29 août 2016 à 19:32, par hannibal En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Monsieur le président de l’AN,

    Arrêtez de faire le démagogue. Même s’il y a eu des points de divergence avec vos anciens amis du CDP, assumez votre passé. C’est cela aussi l’homme politique. Prenez l’exemple de vos camarades du FPI en Côte d’ivoire, eux au moins assument leur passif avec toutes les conséquences. Taisez-vous maintenant et invitez plutôt les Burkinabè dans toutes leurs composantes à se remettre au travail afin de relancer l’économie du pays. Assez des discours communisants ou marxisants qu’ils ne sont plus d’actualité. Les jeunes veulent entreprendre et faire avancer le BF. Au travail et retroussons les manches pour notre cher Faso !

  • Le 29 août 2016 à 19:34 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Ce type n a encore rien compris. Salif Diallo croit encore qu’il est la solution ou la reponse (comme ils veulent) aux problèmes du Burkina, alors qu’il constitue le vrai problème du Burkina. Oublions même le FMI et la BM. Qui va donner son argent a un pays qui ne respecte pas les décisions de justice, ou on intimide ou tente d’intimider tout le monde, un pays ou ce n’est la population qui vote le president mais un individu qui le fait. Bref, ce type n’a rien compris. Il risque de connaitre une humiliation avant la fin de carrière politique a cette allure.

  • Le 29 août 2016 à 20:01, par Sidpasata Veritas En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    L’esprit de SANKARA est non seulement increvable, mais aussi irrésistible, même pour ses détracteur d’hier, tout simplement parce que cet esprit aime la vérité est s’est bâti sur des vérités toutes simples que tout le monde, du premier au dernier des Burkinabè, peut comprendre.
    Vive la Vérité, elle "vous rendra libre" avait dit un certain Jésus de Nazareth à ses disciples.

  • Le 29 août 2016 à 20:25, par Bêb-Riîmbda En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    - Démagogue-Individualiste-Opportuniste-Populiste sans convictions et bonimenteur ! Tu me fais pitié. Dure et lamentable sera ta chute.

  • Le 29 août 2016 à 20:41, par Heuredeverité En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    En attendant qu’un autre perroquet du régime moribond viennent répondre aux justes propos du Chef de fil de l’opposition lors de sa conférence de presse précédente voilà une sortie du PAN qui vient encore confirmer que ces gas là voulais le pouvoir à tout prix et ils y ont mis le prix fort sur fond ethniciste pour l’avoir malheureusement il n’ont aucun plan pour le bonheur du peuple qui a tant souffert.Pendant les 27 ans que vous étiez les têtes pensantes du parti de BC à quoi à servi l’endettement massif du pays ? Pendant que vos familles vos enfants se la coulent douce dans les pays occidentaux avec l’argent volé du contribuable nos pauvres enfants et les femmes enceintes meurent pour causes de paludisme. Pour appuyer ce que l’internaute ABDU dit nous savons tous que le salaire normal d’un ministre et d’un députe du Burkina ne lui permet pas d’inscrire un enfant au niveau universitaire en Amérique du nord mais d’où viennent ces sommes faramineuse mises à la disposition de ces enfants ? Les politiciens partout sont des voleurs certes mais à la différence de ceux de chez nous quand les européens volent ils investissent chez eux .
    La banque mondiale et le FMI ne sont pas la propriété de SD ;ces institutions ont aussi des règles . C’est simple arrêtez de voler l’argent de tout le monde au profit de vos famille et vous verrez que ces emprunts serviront à accomplir les projets réels pour les génerations futures.

  • Le 29 août 2016 à 20:46, par MOREBALLA En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    On le savait, allons-nous dire. Rien de bon n’augurait la venue du RSS au gouvernail du Faso. Pour une seule et unique raison les SS. Parlons-en de GORBA puisque c’est lui qui focalise l’évènement. Le Monsieur est réfractaire à toutes critiques, il est l’alpha et l’oméga de la connaissance politique. De par la bassesse politique ce monsieur a gravi tous les échelons de la chose politique et se considère comme un fin stratège politique. Hors des questions de développement ce Gorba est incapable de la poindre la moindre lueur d’idée novatrice de projet. Son fort c’est de s’approprié des projets et programmes des techniciens ou d’autrui et poser les bases de vider les comptes de ces initiatives. GORBA ne te presse pas car nous voyons tous où tu nous embraque. Assurément une quelconque redistribution des terres à Bagré Pôle a reçu un non catégorique de la part de la banque mondiale, alors, notre PAN est rentré dans une colère bleue dont lui seule a le secret. Quand SANKARA parla des médiocres de l’histoire, d’autres se sont bien illustrés depuis 1987 à maintenant. On vous donnait pas trois ans, vous êtes à moins de deux ans et voilà déjà les prémisses du divorce.

  • Le 29 août 2016 à 21:59, par Spirits En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Voila ! C’est fait !
    Le PAN vient de confirmer qu’il faut que le gouvernement se reveille. Par la meme occasion il met a nu la situation nationale et de son dysfonctionnement.
    QUESTIONS :
    1) Sont-ils étrangers a cet état des faits ?
    2) Aux moments ou ils s’enrichissaient il y a de cela environ 30 ans sur le dos des pauvres Burkinabé, n’avaient-ils pas de consciences de ce que le PAN declare ici ?

    A mon humble avis, je pense qu’il y a problème. Personnellement, ce sacrifice qu’il souhaite de par des pauvres Burkinabé est un sacrifice de trop. On a trop souffert, et on ne saignera plus pour aucun demagogue. Plus jamais.
    S’il y a sacrifice a faire, ils n’ont qu’a rendre d’abord a l’Etat tout ce qui a été malhonnêtement acquis : chose impossible n’est-ce pas ?
    Alors, le sacrifice demande est également impossible.
    Soyons vigilants !

  • Le 29 août 2016 à 21:59, par traore seydou En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Il est à la fois au four et au moulin. Il a bousillé des milliards quand il était au ministère de l’agriculture et Aujourd hui aucune trace des réalisations des multiples projets que lui et des"enfants" ont eu à gérer. Il est en train de nous indirectement que le Burkina ira vers la banque mondiale pour des prêts massifs. Il tape le faut pour connaître le vrai. Laissons le venir.

  • Le 29 août 2016 à 23:22 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Si cette methode de gorba seduit les profanes car exitant à premiere lecture, le fond est une pure hérisie. Il y a herisie ds l,exploitation des ideaux du père de la revolution : compter sur le peuple laborieux du faso, oui, mais soutenir dans le même registre un endettement massif, insoutenable. Est-ce par un endettemt massif que les rails sont parvenus à kaya ?
    C’est une méthode hitlerienne `user d,émotion pour séduire la masse et réserver la raison pour quelques uns’"
    La finalité de cette tentacule est de préparer les consciences populaires à adhérer à la pluie de dollar et euro de la table ronde des nailleurs de fonds qui s,annonce.
    "Un adage populaire dit "on ne s,assied pas dans une branche et en la sciant à la fois"
    Souvenez vous de ce qui se passe dans certaines communes du burkina de suite de l’élection municupale ? Quel. Devéloppement espérer vous avec un endettement massif ?

  • Le 30 août 2016 à 00:39, par TINGA En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    CHACUN PRÉPARE SON ACCESSION A LA MAGISTRATURE SUPRÊME. AU LIEU DE COMMUNIQUER ET TRAVAILLER ENSEMBLE, CHACUN AGIT ET PARLE COMME IL VEUT EN OUBLIANT QUE LE PEUPLE NOTE DANS SON CALEPIN.

  • Le 30 août 2016 à 00:57 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Dr Salif toujours entrain de jouer a la politique de la souris. Ca mord et ca souffle. Mais jadmire tout de meme ton courage. Sans oublier que tu as eu limagination fertile de creer la petite irrigation villageoise pour la production en saison seche

  • Le 30 août 2016 à 04:41, par Yiriba En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Si le PAN Diallo a eu un sursaut de concience patriotique et de developpement réalisable par nous-mêmes, nous ne pouvons que nous rejouir de celà, parce que c’est simplement ça que nous demandons aux dirigeants. Même s’il existe des choses à lui reprocher personnellement, il manifeste ici une volonté de s’inscrire dans la bonne voie de responsabilisation des institutions publiques. Il faut arrêter les langages bureaucratiques incompréhensibles par le peuple et même par les technocrates. J’aurai aimé davantage que le PAN aille plus loin dans son pragmatisme en demandant au Ministre de présenter des programmes concrets de l’utilisation des 4% restants du budget national. Il ne s’agit pas de lancer de grands mots ou de grandes idées. Simplement dire au peuple que nous allons construire 3 nouveaux lycées, 60 puits villageois, le marché de Potopoto, acquérir une residence à un ambassadeur ou équiper nos forces de sécurité dans les zones frontalières à risque. Ceci serait les choix du pouvoir exécutif, le peuple peut les comprendre et l’Assemblée nationale peut demander au gouvernement en fin d’année fiscale de rendre compte de sa performance par rapport aux engagements et objectifs convenus. Alors les ministres, les DAF, DG, Directeurs comprendront que l’aire des rapports technocratiques est revolue. On n’accepte plus de tourner en rond. Nous verrons des ministres et hauts fonctionnaires demissionnés sous le poids de la pression du travail bien fait et le poids du surmenage comme dans les pays bien gouvernés. Sinon la Tabaski va continuer au haut niveau avec les bons salaires et les bons rapports sans contenu mesurable. C’est pourquoi aussi n’importe qui cherche à se positionner en haut.

  • Le 30 août 2016 à 07:58, par vérité no1 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Tout d’abord mes remerciements au journaliste pour l’écrit très riche en couleurs, mes remerciements à Salif Diallo ainsi qu’aux internautes conscients de la gravité de la situation socio-économique du pays.
    Rappelons-nous que la banque mondiale a été créée pour financer l’Europe après la 2ème guerre mondiale. Comme cette reconstruction est finie, alors il faut l’utiliser comme un instrument de chantage dans les pays en voie de développement.
    Comme Salif l’a dit, les institutions de Breton Woods ne nous permettent pas de décoller économiquement car le vrai objectif est de freiner la croissance des pays pauvres même s’il est dit qu’elles sont là pour lutter contre la pauvreté.
    L’exemple palpable de l’échec de la banque mondiale est le PAS. Les pays qui ont suivi aveuglement les consignes du PAS ont vu leur croissance diminuer d’une manière exponentielle et le Mexique à été l’un des pays les plus touchés par cette idiotie de la banque mondiale. Le pouvoir d’achat au Mexique a chuté jusqu’à 75% selon les enquêtes auxquelles enquêtes la banque mondiale a refusé d’y participer. C’est comme si on donne des médicaments à quelqu’un et un docteur veut évaluer les effets des médicaments en présence de celui qui a octroyé les médicaments et paf le mogo disparaît !
    Le PAS avec les privatisations a détruit le secteur industriel des pays pauvres tout en occasionnant un taux de chômage très élevé dans les pays concernés. C’était une vraie arnaque !
    Comment faire pour se passer des institutions de Breton Woods ?
    Il n’y a pas de magie, seul le travail paie !
    Il est temps que l’on commence à développer le secteur industriel et cela est très faisable. Nous pouvons industrialiser par exemple nos produits laitiers en fromages au lieu d’acheter la vache qui rit et autres !
    Nous pouvons chercher à industrialiser nos produits alimentaires locaux et les exporter comme le Ghana (j’ai acheté un paquet de bissap en provenance du Ghana dans un magasin et je me disais pourquoi pas le Burkina).
    Nous devons créer des banques de développement pour octroyer des prêts à long terme car les banques commerciales ne peuvent pas développer un État (je demande à un banquier de défier mes propos si ce n’est pas vrai). On e peut pas construire un chemin de fer avec un prêt de 3 ans.
    Il nous faut créer une bourse locale des valeurs mobilières pour collecter des capitaux pour mieux relancer l’économie.
    Il faut savoir dire NON aux impérialistes !
    Nous devons lutter contre la corruption et c’est là le vrai problème des pays africains ! Parmi tous ceux qui ont intervenu, qui peut dire qu’il n’a jamais fait de deals au Burkina ? Y compris la tantie qui veut donner des leçons à Gorba ? Bref, pour dire que l’on doit se réveiller ! Combien de Burkinabé travaillent réellement plus de 40 heures en dehors de ceux qui sont en occident ? Voilà des questions qui méritent d’être répondues avant de dja foul sur la banque mondiale ! Il nous faut un vrai changement comme les asiatiques l’ont fait et les institutions de Breton Woods deviendront des tigres en caoutchouc !

  • Le 30 août 2016 à 07:59, par LE PAUVRE En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    RIEN NE VA JE SENS VENIR UNE DIVISION QUELQUE PART. MA GRAND MERE ME DISAIT CECI : "MON PETIT FILS N’ECOUTES PAS CE QUE TA MERE VA TE DIRE QUAND ELLE T’ENVOIE D’ALLER ACHETER DU CUBE MAGGI ET A TON RETOUR ELLE TE DIT MAIS POURQUOI TU AS ACHETE MAGGI POULET CAR MOI JE VOULAIS MAGGI CREVETTE". MON PRESIDENT QUI A ENVOYE MINISTRE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES AU FASO ? DITES NOUS EST-CE QU’ELLE TOUCHE A LA FIN DU MOIS MEME SALAIRE QUE LES AUTRES MINISTRES ? ARRÊTEZ D’INSULTER NOS INTELLIGENCES CAR NOUS NE SOMMES PAS DUPES. A VOTRE SEIN IL Y A DES SERIEUX PROBLEMES DE LEADERSHIPS. GEREZ VOS ANGOISTES ET LAISSEZ NOUS TRANQUILLE.

  • Le 30 août 2016 à 08:26, par vérité no1 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Les petits banquiers qui travaillent dans la boîte et ne veulent pas qu’on critique doivent savoir qu’on connaît tout ! Je dis bien tout ! Dites-moi si vous êtes tous traités de la même manière !

  • Le 30 août 2016 à 08:34, par vérité no1 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    @........, vous êtes aussi responsable du retard du Burkina au même titre que Salif puisse que vous êtes les premiers Burkinabé a être en contact avec les USA à moins que je ne me trompe de personnes !!!!!!!!

  • Le 30 août 2016 à 08:41, par Garde toujours l’espoir En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Le Burkina ne va pas inventer la roue. Tout ce que Salif Diallo a dit c’est du plagia de la Vision de Thomas Sankara. Sous leur règne aun CDP combien de sociétés d’état dont la majorité transformaient nos matières premières sont fermées ? environ d’une quarantaine.
    Après avoir paupériser le pays et désagréger le tissu de la cohésion sociale, vous venez parler comme si vous aimez réellement ce beau peuple. vive THOMAS SANKARA

  • Le 30 août 2016 à 10:38, par abdouzg En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    BRAVO ! BRAVO ! BRAVO ! BRAVO ! BRAVO ! MR LE PRÉSIDENT DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE. J’AIME LES GENS QUI DISENT LA VÉRITÉ. LE PEUPLE N’A RIEN A FOUTRE DE CES CHIFFRES ET AUTRES PROGRAMMES DE JE NE SAIS QUOI. ON VEUT VOIRE DES CHOSES CONCRÈTES DIFFÉRENTES DE CE QUE L’ANCIEN RÉGIME (VOLEUR DE GRAND CHEMIN, MENTEUR ET CORROMPUS) A FAIT. ET LE RÉGIME EN PLACE DOIT IMPÉRATIVEMENT DÉFIER L’ANCIEN. MADAME LE MINISTRE DE L’ÉCONOMIE ET DU DÉVELOPPEMENT, CERTAINS TRAVAILLEURS DITS CONTRACTUELS (PLUS DE 6 ANS) SOUFFRENT DANS VOTRE MINISTÈRE ET CROIENT EN VOUS POUR VOIR ENFIN LE BOUT DU TUNNEL (PEUT ÊTRE QU’ON NE VOUS INFORME PAS ASSEZ SUR LEUR CAS). LES DGI SE SUCCÈDENT MAIS PERSONNE NE CHERCHENT A AMÉLIORER LEUR CONDITION DE VIE. ILS SONT SANS INDEMNITÉS ET LE SALAIRE MINIMUM EST D’ENVIRON 47000 FRANCS CFA. VOYEZ VOUS MÊME, SI AVEC CA ON POURRA LUTTER VRAIMENT AVEC LA CORRUPTION. LE DÉVELOPPEMENT DU PAYS ET AMÉLIORATION DES CONDITIONS DE VIE DES PEUPLES COMMENCENT A LA BASE.

  • Le 30 août 2016 à 10:48, par abdouzg En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    BRAVO ! BRAVO ! BRAVO ! BRAVO ! BRAVO ! MR LE PRÉSIDENT DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE. J’AIME LES GENS QUI DISENT LA VÉRITÉ. LE PEUPLE N’A RIEN A FOUTRE DE CES CHIFFRES ET AUTRES PROGRAMMES DE JE NE SAIS QUOI. ON VEUT VOIRE DES CHOSES CONCRÈTES DIFFÉRENTES DE CE QUE L’ANCIEN RÉGIME (VOLEUR DE GRAND CHEMIN, MENTEUR ET CORROMPUS) A FAIT. ET LE RÉGIME EN PLACE DOIT IMPÉRATIVEMENT DÉFIER L’ANCIEN. MADAME LE MINISTRE DE L’ÉCONOMIE ET DU DÉVELOPPEMENT, CERTAINS TRAVAILLEURS DITS CONTRACTUELS (PLUS DE 6 ANS) SOUFFRENT DANS VOTRE MINISTÈRE ET CROIENT EN VOUS POUR VOIR ENFIN LE BOUT DU TUNNEL (PEUT ÊTRE QU’ON NE VOUS INFORME PAS ASSEZ SUR LEUR CAS). LES DGI SE SUCCÈDENT MAIS PERSONNE NE CHERCHENT A AMÉLIORER LEUR CONDITION DE VIE. ILS SONT SANS INDEMNITÉS ET LE SALAIRE MINIMUM EST D’ENVIRON 47000 FRANCS CFA. VOYEZ VOUS MÊME, SI AVEC CA ON POURRA LUTTER VRAIMENT AVEC LA CORRUPTION. LE DÉVELOPPEMENT DU PAYS ET AMÉLIORATION DES CONDITIONS DE VIE DES PEUPLES COMMENCENT A LA BASE.

  • Le 30 août 2016 à 11:38 En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Le Docteur Salif a bien raison. Il faut que l`autonomie et l’indépendance deviennent des leitmotivs. Cela suppose une bonne gouvernance, la transparence et l’intégrité. Car notre problème actuellement au Burkina Faso, c’est que les bailleurs aussi n’ont plus confiance. Plusieurs dossiers, restés jusque-là sans suite, leur donnent raison ; le cas Guiro, les deals du PM ZIDA sous la transition avec les dissipations répétées de ressources financières, le deal opéré par des diplomates en poste pour brader la résidence de l’Ambassade à New-York. Je ne parle même pas de tous les détournements opérés par le régime déchu durant ses 27 ans de règne. Pour redonner la confiance aux bailleurs, et pour éviter que ces derniers ne nous imposent quelques conditions embarrassantes antes, la lumière doit d’abord être faite sur tous ces dossiers. Sans moral, sans intégrité, sans probité, tout sera vain.

  • Le 30 août 2016 à 15:34, par TAPSOBA TIBILA GASTON En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Aujourd’hui je pense que vous avez commencer a comprendre les erreurs en faisant la rectification , tuer sauvagement Thomas SANKARA et les autres. Continuer a vous repentir mais sachez qu’un jour l’histoire vous rattrapera. Nous ne pourrons jamais vous croire.
    "Honte a ceux qui bâillonnent leur peuple"

  • Le 30 août 2016 à 19:31, par siidnaaba En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    c’est vous qui les avez vote. Salifou fait son travail.un presi aussi mou comme un pénis qui souffre le palu. on ne peux pas se développer avec sa. vous aussi regarder il ne dit rien. son pm soûlard qui passe son temps a courir derrière la bière va finir quand et se mettre au travail. tout le monde se cherche. vous penser que si rock s’avait que sa allait être le cas il allais accepter. SANKARA a raison mais dite moi. Vous dites que les Burkinabés n’ont qu’a se mettre au travail pour que ses salaud pillent pour leurs enfants ? Ditent leur de se mettre au travail.et la population va suivre. regarder sous la transition de 11 - 12 mois billa en tant que ministre du budget a vole l’argent du pays pour construire son immeuble qui parle. nos frères sont sorti pour se faire massacrer par les soldats et vous profitez pour volez pour dire quoi. Qui a amené FMI et BM au BURKINA,c’est pas vous. Qui a ses parents qui y travail c’est pas encore vous. donc de grâce épargner la population a tous sa.
    Que Dieu bénisse le FASO.

  • Le 30 août 2016 à 19:31, par SAMBIGA En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Un adage de chez nous dit que celui qui ne risque rien n’a rien. Cependant plusieurs critères doivent être observés quant à la stratégie d’un endettement conséquent pour un développement veritable : primo,il faut un engagement du peuple, seconde,il faut une gestion rigoureuse digne de ce nom, tierco il faut que l’argent emprunté soit réellement destiné à ce pourquoi il est emprunté et enfin il faut que le peuple soit davantage éclairé à travers une éducation de qualité.

  • Le 30 août 2016 à 23:58, par David En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Chers analystes, voyons au delà des mots et maîtrisons nos émotions ; alors, un Homme doit être égal à sa parole ;si tel n’est pas le cas, on ne saurait lui faire pleinement confiance ;dans ce cas , la notion du temps compte plus ;nul ne peut courir plus vite que son ombre et on ne peut pas être à la cime d’un arbre et ordonner de l’abattre.Bonne réflexion ;David GNOU ;merci

  • Le 31 août 2016 à 15:31, par Nado En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Démagogie quand tu me tiens ! Ou s’agit-il d’un testament par Son Excellence (dans ce cas peut mieux faire car beaucoup de torts ont été causés par SD dans le paysage politique burkinabé, à constamment déstabiliser les partis concurrents par la corruption de leurs cadres ; et chacun doit payer à la hauteur de ses forfaitures). Ou tout simplement une de ces manœuvres pour divertir le vaillant peuple "dupé" encore une fois ? Quelle leçon devons-nous recevoir de gens qui ont abusé de la confiance des burkinabé pour accéder au pouvoir après l’avoir exercé pendant 30 ans sans se soucier d’atténuer la souffrance de leurs compatriotes ? Restons vigilants car la vérité finit par rattraper le mensonge ! Courage, la lutte continue. Nous voulons des actes et peu de déclarations sans suite concrète "Naan Lara An Sara" Professeur Joseph Ki Zerbo.

  • Le 1er septembre 2016 à 15:23, par Karissa En réponse à : Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »

    Me serait-il permis de mêler aux trompettes,
    Du fond de mes souvenirs ma voix fluette,
    Que j’exprimerais mon grand étonnement,
    D’entendre l’exciseur vanter le gland.

    Que de flots de larmes ici et là-bas,
    A l’assassinat de Thomas Sankara !
    Ah, Peuple, quel mépris,
    A te servir des plaisanteries !

    Pauvre pays, encore des peines,
    Dans la jarre déjà bien pleine,
    A boire dans ta case mal gardée,
    Où la joie n’est pas encore entrée.

    Un peu sur le tard voyant ton mot,
    J’apprécie ta convivialité, Jo,
    Autant que je constate ta science.
    L’on éduquera par la patience.

    Quant à vous, terribles gladiateurs,
    Qui déjà confrontez vos humeurs,
    Nous ne sommes pas si charbonniers,
    A vos fables et calculs livrés.

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