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« Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

Publié le mercredi 17 août 2016 à 23h10min

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« Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

Toute personne qui me lirait comprendrait l’impatience, voire l’inquiétude de mon client : le général ZIDA. En effet, d’entrée de jeu, j’avais promis de le défendre devant ses juges. Or, me voilà à naviguer vers d’autres cieux ; me voilà à m’aventurer dans les eaux troubles des mœurs sociales ; me voilà à me divertir ; me voilà à parler d’autre chose.

Je tiens cependant à rassurer mon illustre client : mon général, je ne vous ai pas oublié. Chose promise, chose due !

Toutefois, un petit détour par la psychologie est nécessaire. Je comprends maintenant pourquoi ce pauvre général ne riait pratiquement jamais. Il en savait assez ; il en savait trop. L’épreuve du pouvoir, il l’a vécue, dans sa chair et dans son âme ; mieux que quiconque, il aurait pu faire sienne cette formule de Nietzsche : « On est souvent aimé ou méprisé, on n’est jamais compris ». En effet, si le goût du pouvoir est l’une des passions humaines, je n’en connais pas qui aurait aimé assister à un conseil des ministres, sans avoir la garantie que les enfants gâtés du R.S.P. ne feraient pas encore irruption dans la salle du conseil pour faire entendre leur volonté, quand ce ne serait pas leurs caprices.

Ne me demandez surtout pas d’où ces gens tiraient leur légitimité. Je serais bien incapable de vous répondre, sauf si je voulais courir le risque de revisiter le dire poétique de Jean de Lafontaine : « La raison du plus fort est toujours la meilleure » (cf. Le loup et l’agneau). Ainsi, donc, cette gente soldatesque, qui n’avait de militaire que de nom, après tant d’années de forfaitures et d’impunité, s’était laissé convaincre que le palais présidentiel n’était pas le véritable épicentre du pouvoir ; le bruit des armes est beaucoup plus éloquent. Il fallait par conséquent, après chaque conseil des ministres, ravaler son orgueil et rassurer l’opinion publique, alors même que l’on souffrait en soi : Ô, servitude du pouvoir ! Ô, amère liberté du renard affamé dans un poulailler vide ! Je bénirai à jamais le Ciel de m’avoir doté d’une tête de sanglier qui ne se prête guère à aucune couronne. Ô, disgrâce salutaire !

Monsieur le Président,

Vous comprendrez alors que votre élection, loin d’être vécue par mon client comme une source de mécontentement, fut plutôt un véritable soulagement : enfin, d’autres que lui allaient goûter à la solitude et à l’ingratitude du pouvoir. Le voilà donc libéré de sa « servitude volontaire », pour emprunter l’expression d’Etienne de LA BOḖTIE.

C’est dire, Monsieur le Président, que les nuits blanches sont désormais de votre côté. Et j’aurais sincèrement aimé vous épargner de mes jérémiades, cela d’autant plus que vous semblez être disposé à éteindre le feu qui couvait à OUAGA 2000, le Premier ministre Yacouba Isaac ZIDA ayant choisi, lui aussi, par prudence ou par souci d’apaisement, de renoncer à sa fameuse parcelle qui se trouvait dans ladite localité pour construire provisoirement sa cabane au Canada. Du reste, qui aurait eu intérêt à ce que cet incendie se propageât ? Un vrai déballage en aurait confondu plus d’un, et non des moindres. Dans cette perspective, la sagesse moaaga est parfois d’un grand secours : « Yell yaa sombo n be pugê » (Le silence assure à toute chose une forme d’innocence).

Je n’en suis pas à parier que ce retour dans l’ombre du général ZIDA préfigure une probable résurrection, le temps faisant son œuvre. Je voudrais simplement le suivre, dans sa longue traversée du désert. Et que puis-je lui souhaiter de mieux si ce n’est une certaine forme d’amnésie, ou plus exactement une certaine dose de sagesse ? Bien que militaire, il n’aura même pas besoin de relire L’Art de la guerre de Sun Tzu, pour trouver un peu de quiétude ; il n’aura qu’à méditer ce vers d’Alfred de Vigny pour panser les blessures de son âme : « A voir ce que l’on fut sur terre et ce qu’on laisse, Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse » (cf. La mort du loup).

Toutefois, les affaires humaines ne peuvent jouir que d’un calme précaire. Ainsi, mon client aura maintenant à s’incliner devant cette sagesse populaire : « Qui vole un œuf volera un bœuf », du moins, c’est le lourd soupçon qui pèse désormais sur lui.

Tout y sera passé … On parle maintenant de 57 voitures qui auraient été volées par les responsables de la Transition, peu avant leur départ !
On s’est même évertué à nous donner les numéros d’immatriculations de ces voitures volées, et bien d’autres précisions encore.
Mais, soyons sérieux, soyons raisonnables, soyons justes !

Poursuivons par conséquent ce compte d’apothicaire. En effet, dans le contexte socio-économique qui est le nôtre, le prix d’une voiture pourrait sauver des centaines de vies. Pensons à tous ces gens qui ne mangent pas à leur faim ; pensons à tous ces malades qui croupissent dans les dispensaires et dans les hôpitaux, faute de moyens pour honorer une simple ordonnance médicale ... Avis aux âmes sensibles ! Poussons néanmoins la logique jusqu’au bout ; interrogeons-nous en notre âme et conscience : les dizaines de voitures luxueuses qui ont conduit Blaise COMPAORḖ et sa suite à Yamoussokro n’étaient-elles pas la propriété de l’Etat burkinabè ; sont-elles revenues dans notre pays, après cet exil doré ?

Monsieur le Président,
J’attends impatiemment que vous demandiez, en utilisant toutes vos prérogatives, à ces anciens dignitaires, que vous connaissez mieux que quiconque, de nous restituer ces voitures. Je m’interdis pour l’instant de penser que votre sens de la justice consiste seulement à blâmer les errements des responsables de la Transition, qui seraient tous corrompus. D’où cette autre question que j’aimerais vous poser :

LE DERNIER MOT QUI PUISSE ETRE DIT DE L’EQUIPE QUI A CONDUIT LA TRANSITION EST-IL : « ALI BABA ET LES 40 VOLEURS » !?

Le sort que l’on réserve aux femmes et aux hommes qui ont conduit la Transition politique au Burkina Faso me révolte au plus haut point. C’est à croire que la mémoire humaine est oublieuse et que l’ingratitude gangrène inexorablement le cœur humain.

Voilà des gens qui, dès le début de leur mandat, savaient que leur mission s’inscrivait dans une courte durée. Avec beaucoup de modestie, avec beaucoup d’abnégation, ils ont accepté d’être les chevaliers de l’éphémère. La figure de Moïse me vient subitement à l’esprit, lui qui a conduit le peuple d’Israël jusqu’à la Terre Promise, sans avoir eu le privilège de fouler ce sol sacré de ses pieds.
Certes, ce serait pure naïveté que de penser que ces femmes et de ces hommes qui ont conduit la Transition sont des anges. Un jour, quelqu’un m’a laissé entendre cette formule : « Là où il y a de l’homme, il y a de l’hommerie ». Toutefois, sachons raison garder.

Quel pilote aimerait naviguer en pleine tempête ? Quel chirurgien aimerait opérer par temps de guerre ? Sans trop forcer le trait, il me semble que l’équipe de la Transition s’est trouvée dans cette situation. Nous devons par conséquent faire preuve de compréhension à leur égard, si ce n’est leur témoigner une certaine reconnaissance. Et si le grade de maréchal n’avait été, en d’autres temps et en d’autres lieux, couvert de ridicule, j’en aurais voulu au Président Michel KAFANDO de n’avoir pas élevé ZIDA au grade de maréchal. Cela lui convient d’autant plus qu’à deux ou trois reprises il a évité le bain de sang dans notre pays, sagesse et noblesse que ses anciens frères d’arme du R.S.P. considèrent comme une haute trahison. Il nous faut donc faire ce triste constat : le sang humain n’a pas la même valeur dans tous les esprits. Et ce sera ainsi, tant qu’il y aura des hommes.

Et si cette manière de voir les choses ne devait pas donner entière satisfaction, je voudrais pouvoir, conformément à mon habitude, illustrer mon propos par un exemple, non sans au préalable implorer l’indulgence de ceux que mon propos pourrait heurter.

Monsieur le Président,
Contrairement à vous, je n’ai pas lu une seule ligne de KEYNES, pas plus que je n’ai la moindre idée des grandes équations de SCHUMPETER, mais puisque les biens terrestres sont si précieux, au point que votre gouvernement, pour apaiser les ardeurs des âmes sensibles, consacre toute son énergie à traquer quotidiennement les gestionnaires indignes de la période de la Transition, vous pourriez toujours essayer de consoler les mères des victimes des deux répressions sanglantes qu’a connues notre pays, en proposant à chacune d’elles quelques dizaines de millions de francs C.F.A., et vous verrez si elles seront légion à accepter cette sinistre transaction. Dès lors, ne faut-il pas chercher les vrais coupables ailleurs ?

Or, curieusement, Monsieur le Président, le vice semble avoir atteint son apogée durant les 14 mois de la Transition. C’est dire que, hormis cette période – fort heureusement courte -, tous ceux qui ont eu la lourde charge de conduire les affaires de notre pays ont été des anges. Pascal se retournera autant de fois qu’il voudra dans sa tombe, lui qui prétendait que l’homme n’est ni ange ni bête et [que] le malheur veut que qui veut faire l’ange fasse la bête (cf. Les pensées).

Monsieur le Président,
En matière de vice, sans vouloir abuser de votre temps, fort précieux, j’aimerais pouvoir vous relater une petite anecdote, tout en sachant que je n’ai rien à vous apprendre des hommes ni de leurs mœurs.

Il y a de cela trois ans, pour régulariser ma situation administrative – il ne fait pas bon être sans papier en France, par les temps qui courent -, je m’étais rendu au consulat de l’Ambassade de notre pays à Paris, sis au 112, rue de Vaugirard. Un homme courroucé vint sur les lieux. Il revenait de l’aéroport Charles de Gaulle. Comme pour se soulager, comme pour nous faire partager sa peine, il invita un des employés de l’établissement à le suivre, loin des oreilles indiscrètes. La personne en question lui fit comprendre que ma modeste personne était digne de confiance ... Une fois dans la courette, la gorge nouée, l’intéressé nous expliqua le motif de sa colère : il venait de déposer 11 valises (et pas une de moins !) à l’aéroport, pour un embarquement immédiat pour OUAGA. Ces valises appartenaient à une grande Dame dont le mari occupait un poste très important dans le régime de Blaise COMPAORḖ.

Une précision s’impose : la Dame en question n’était pas l’ex-Première Dame de notre pays, à savoir Chantal COMPAORḖ … Une fois n’est pas coutume ; je tiens à la mettre à l’abri de tout soupçon. En effet, je m’inspire ici de la formule que mon vieux père aimait à répéter à longueur de journée : « Yugm poor kô mod tib wedg boâng poor ye » (Lorsqu’il y a un abcès sur le dos d’un chameau, il serait indécent que l’on fasse l’incision sur le dos de l’âne). Ce n’est qu’une question de justice.
Revenons donc sur les 11 valises. Que contenaient-elles ? Je n’en sais rien ; ce qui est sûr, c’est qu’il y a des gens qui vivent géographiquement à OUAGA, mais qui font leurs courses à Paris, quand ce ne serait pas plus loin. Et que je sache, il ne viendrait à l’idée de personne d’insinuer que de telles pratiques ont commencé dans notre pays avec la Transition.

Monsieur le Président,
Je ne suis pas sûr que même Michelle OBAMA, la Première Dame des Etats-Unis - qui passe pourtant pour être une femme très coquette -, lorsqu’elle monte dans Air Force One pour accompagner son mari dans ses voyages officiels, ait besoin d’embarquer jusqu’à 11 valises d’effets de toilette. Je peux toujours me tromper ; vous en demanderez confirmation à Son Excellence Tulinabo Salama Mushingi, l’Ambassadeur des Etats-Unis dans notre pays.

Dès lors, chacun pourra se faire son intime conviction : tout ce procès que l’on fait aux responsables de la Transition politique de notre pays est-il légitime ?

Ecrou (ecroupromo71@yahoo.fr)

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Vos commentaires

  • Le 17 août 2016 à 15:09, par Yako En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Général d’opérette et petit griot ont tjrs cheminé ensemble depuis que monde est monde.Je n’en dirai plus...

  • Le 17 août 2016 à 16:08, par yat En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Qu’est ce que ZIDA a fait pour éviter le Burkina le bain de sang. Il faut dire que par trois fois la population l’a sauvé lorsque les RSP lui faisait faire des pompes !
    DU GRIOTISME POUR RIEN !!!!!!!!

  • Le 17 août 2016 à 16:12, par sery bayi En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    ZIDA est un imposteur et un vrai boulanger ! Dès les premières heures de sa prise du pouvoir les personnes lucides comme moi ont crié au scandale. Le résultat est là !

  • Le 17 août 2016 à 16:24 En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Merci écrou pour la qualité de votre écrit qui se lit aisément. Je retiens de cet écrit que l’ingratitude est le propre de l’homme ; qui aurait cru aujourd’hui que Rock et son gouvernement s’acharneraient à vilipender le Général Zida, qui a sans doute travailler sans répit pour que Rock accède au pouvoir. Le Général Zida, bien que traité de tous les noms d’oiseux sur terre, demeure un patriote, parce qu’il s’est battu pour que cet insurrection n’échoue pas. Les plus grands voleurs de la république se connaisse, et le Général Zida, comparé à plusieurs, voleurs aux cols blancs, qui se pavanent dans ce pays, n’est qu’un moindre mal. M. le président, laissez le valeureux Général Zida tranquille, et occupez vous de ce qui sortira les Burkinabè de ce marasme économique dans lequel ils sont plongés.

  • Le 17 août 2016 à 16:42, par RAWA En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Moi je suis profondemment choqué par ceux qui parlent mal de Zida. Je soupçonne que c’est ceux qui ont perdu beaucoup de privilèges avec la chute de ce voleur de Compaoré. J’aimerais vraiment que l’on me dise ce que ce type à fait de si grave à part le fait qu’il a été celui qui nous a tous sorti de cette merde. Dites vous bien qu’il a risqué sa vie. Sans Zida, rien n’était possible parce que Djindéré tenait encore le pays. Si vous cherchez des imposteurs, occupez vous des Compaoré à qui il y’a beaucoup de compte à demander.

  • Le 17 août 2016 à 16:45, par yelmiè En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Félicitation à vous pour la pertinente lecture que vous avez faite de ce passage des autorités de la transition. Je me garde en effet de tout propos y relatif, vous avez tout dit. De tous les façon pour ceux qui estiment avoir motif de continuer à les accuser, le facteur temps nous en renseignera mieux. Puisse Dieu garder ces hommes et ces femmes qui par motif de patriotisme ont accepté faire front à tout pour le salut de tous

  • Le 17 août 2016 à 17:03, par Droit d’expression En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    M. Ecrou, votre écrit n’est plus ni moins qu’une tentative de présenter M. Zida comme une victime et cela est plus qu’écœurant. La ligne de défense que vous adopter n’est pas du tout la bonne, car les crimes économiques et de sang du régime compoaré ne sauraient être une excuse à Zida. Je suis d’accord que Roch et sa bande devraient poursuivre tous ceux qui ont participer au pillage de noter pays depuis des décennies. Nombre de ses collaborateurs ont participé à ce pillage et devraient par conséquent non seulement répondre de leurs actes, mais également restituer au peuple ce qu’ils lui ont volé. Les crimes économiques du régime compaoré ne sauraient justifier ceux de Zida s’il est prouvé qu’il a détourner des fonds de l’État.
    Les moult tentatives pour montrer Zida comme un héro me mettent hors de moi. Ce monsieur n’a été qu’un opportuniste qui a profité d’une situation pour se hisser au pouvoir. A quelles occasions a-t-il évité un bain de sang au pays ? Si Kafando l’a fait général, ce n’est pas pour ses services rendus au Burkina, mais beaucoup plus pour lui avoir permis de devenir président au Faso même si en fait c’est Zida lui-même qui dirigeait le pays. Nous savons tous que Kafando était le candidat de Zida. Il n’est donc pas surprenant que Kafando l’ait récompensé avec un grade de général en carton. Lui qui voulait jouer au Sankara aurait dû refuser le grade. Rien ne prouve que ce n’est pas Zida lui-même qui a demandé de fa^con directe ou indirecte le grade.
    M. Ecrou, épargnez-nous vos jérémiades et arrêtez d’utiliser la Bible pour défendre l’indéfendable. C’est bien de vouloir défendre votre co-religionnaire, mais faites-le sans nous casser les pieds.

  • Le 17 août 2016 à 17:10, par kiswendsiida En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Ne defendez pas l’indefendable ! Quel est ton argument au juste ? Si tu as recu de l’argent pour ton article. Bouffe et laisse nous tranquille mon type !!!

  • Le 17 août 2016 à 17:25, par nabayouga En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Ecrou, je suis tout a fait d’accord avec vous ; la chasse au général n’est qu’une diversion pour faire oublier d’où vous venez .Pauvre Roch ,le peuple vous regarde . D’ailleurs il aurait été plus juste de commencer par vous occuper des périodes que vous avez contribué à asseoir. Réclamez d’abord les biens que votre belle famille à emporter à YAMOUSSOKRO avant de juger la transition.

  • Le 17 août 2016 à 17:41, par nongbara En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Mon frère laisse notre président tranquille. Il faut savoir que le soi-disant bienfait de votre client n’engage que lui. Opportunisme, réalisme, gabegie et contrainte l’ont animé durant sa gestion. Qui lui a demandé de diriger la transition ? Faut-il diriger des tueries et pour se sauver et sauver le système dont on est issu se muer en ange sauveur en voulant échapper à la justice de son pays par la ruse et la complicité de soi disant intellectuel acquis à sa cause ?
    Faut-il piller les ressources du pays en suçant le sang des pauvres contribuables par mépris des règles de gestion au nom de la transition ?
    Faut-il préparer un terrain ingouvernable à ses successeurs pour revenir au commandes après par des financements occultes des osc bidons ?
    La présomption d’innocence est reconnu à tous. Que le Général rentre contrôler sa troupe car il a été nommé pour cela. J’ose croire qu’il ne touche toujours pas au compte du pauvre contribuable burkinabè. Et vous cher français de laisser le temps faire les choses au lieu de de vous verser dans ces débats qui ne sont pas prioritaires pour la patrie en ces temps ci. Faites des propositions pour relever l’économie du pays et on vous dira grand merci car elles profiteraient à tous contrairement à cet écrit.

  • Le 17 août 2016 à 18:05, par YIRMOAGA En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    ZIDA a pour ennemi, le MPP et surtout R-S ? L’autre S ne fait pas de tapage mais est tout de même dangereux ?
    Dès que ZIDA va débarquer à OUAGA, il sera traité par des tueurs payés par les R-S et on mettra sur le compte des ex-RSP ? C’est si simple et connu de tous ?
    L’homme prudent voit le danger de loin ????
    Pourquoi ne pas s’en prendre à la transition ??? On préfère vilipender le pauvre et on ignore pourquoi ?
    Si le DIRCAB JOB , signataire des bons de sortie d’argent n’est pas inquiété et c’est ZIDA qu’on accuse d’avoir bénéficié des fonds, pourquoi ne pas inculper JOB et au procès tout va se savoir ?

  • Le 17 août 2016 à 18:38, par adbias Du SON En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    ZIDA est le meilleur Président du Faso qui soit depuis la Haute Volta à nos jours. Il a été sage. Il s’est sacrifié pour tout le peuple. Que Dieu le protège et protège aussi ROCK l’homme simple et sage. Ce dernier est vraiment l’HOmme qu’il fallait après toutes ces tempêtes. Jamais hautain, jamais méchant, jamais TROP FORT que son prochain (humilité exemplaire).
    Dieu sait choisir les hommes qu’il faut au Faso.

  • Le 17 août 2016 à 19:46, par SOME En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Vraiment mon frère, ton écrit est un honneur pour nos instituteurs. Félicitations ! Tu es un bon avocat ; le vrai comme il se doit !

    Comme je l’ai signalé, mais des fois pas publié, je reprends : vous verrez que dès que on parle de certains problèmes concernant la transition ou zida, généralement les 10 premières réactions proviennent d’individus qui interviennent pour détruire, et ce afin d’être surs d’être parmi les premiers à être lus. Au moment où j’écris il y a 8 réactions dont les toutes premières sont anti zida…. Certains le font même sans avoir lu les articles... Les mercenaires restent aux aguets pour mériter les sous qu’on leur donne. Ce n’est même pas la peine de leur accorder la moindre attention. Cela ne veut pas dire les ignorer. Il y en qui tiennent des raisonnements tellement nuls que c’est leur faire honneur de leur répondre.

    « Le sort que l’on réserve aux femmes et aux hommes qui ont conduit la Transition politique au Burkina Faso me révolte au plus haut point. C’est à croire que la mémoire humaine est oublieuse et que l’ingratitude gangrène inexorablement le cœur humain. » Oui, tu as tellement raison !

    Pour paraphraser cette formule de Nietzsche : « On est souvent aimé ou méprisé, on n’est jamais compris », je citerai cette réponse de Sankara dans une interview sur son expérience : il est mal aimé, jamais compris.

    Contrairement a toi, je ne suis pas sur que Roch ait des nuits blanches, car tout simplement il s’en fout de toi, de moi, du peuple. « Gagner » ces élections était une question de vie ou de mort pou le MPP. Ils ne pouvaient pas se permettre de perdre ces élections. C’est pourquoi je ne suis pas d’accord avec toi quand tu dis que « …hormis cette période – fort heureusement courte… » mais non ! Cette période fut TROP fort MALheureusement courte. On a tout fait pour empecher a la transition de faire quelque travail que ce soit en ecourtant volontairement sa duree de vie. Et malgré cela on en veut a la transition pour son BON travail sur si courte periode sans les moyens.
    SOME

  • Le 17 août 2016 à 20:29, par le faso autrement En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    vous etes parfois confu. pour vous comprendre il faut lire et relire.j’avoue que vous avez fait un travail d’apprenti écrivain en faisant étalage d’un verbiage creux et filandreux. revenant au GENERIQUE pardon au GENERAL , la question que je veux vous poser est ce qu’il était l’homme qui devait prendre le controle du navire BURKINA quand il y avait la tempête ? il s’est lui meme mis dans le bourbier qu’il assume et s’assume.

  • Le 17 août 2016 à 20:40, par nabiga-01 En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Mr. Ecrou, vous êtes un homme de culture. Vous avez lu Schumpeter ? Cela m´impressionne beaucoup. J´aimerais faire votre connaissance. Je vais pour cela vous écrire à l´adresse e-mail que vous avez communiquée sous vos articles. Quand à ceux qui pensent que vous avez pris de l´argent pour défendre Zida, ne vous inquiétez pas pour eux. Un jour ils reconnaitrons qu´ils sont passés à côté de la plaque. Beaucoup ont crié pendant des dizaines d´années que seul Blaise Compaoré pouvait diriger le Burkina. Certains d´entre eux croient jusqu´à présent que Blaise Compaoré est toujours le président des Burkinabe. Pour ces genres de personnes, nous nous trouvons actuellement dans le monde des rèves. Il n´y a que le temps qui leur prètera un jour la guérison. Pour le moment on ne peut rien faire pour eux. Même si on n´aime pas Zida, on doit reconnaitre qu´il a oeuvré à apaiser le pays. Imaginez vous un instant Zida qui s´accroche au pouvoir coûte que coûte. Que serait devenu le Burkina après l´insurection ?

  • Le 17 août 2016 à 21:02, par Sampawindé En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Vos propos sont si pertinents et si profonds, mais je crains que vous ne soyez compris,tant vous vlez si haut, et "le peuple" animé par la haine, la vengeance, la calomnie, la conspiration au point de perdre toute lucidité !

  • Le 17 août 2016 à 21:21, par Le fils En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Zida a un capital que personne de ceux qui lui en veulent a mourir ne peut egaler. IL a dit NON a Blaise, Diendere et toute sa clicaille de RSP et au regime Ivoirien a commencer par le petit SORO pour sauver le Burkina. S’il n’avait pas dementele le RSP, installer une table decoute dans des conditions quon sait pour dejouer le plan des generaux. .. il n’y aurait pas de ROCK President. Je suis tres choquer quand jai suivi le comportement et les sorties mediatiques de Rock au sujet de Zida et pire a l’Etranger. Comme Zida seul a vole tout largent du pays en une Annee. Et touts ceux qui on vole des milliards et des centaines de millions pendant leur 27 annees de pouvoir boivent la biere fraiche sans in quietude. TOUT CA PARCE QU’ON PENSE QUE ZIDA VA REVENIR AU POUVOIR ET DONC IL FAUT LE DIABOLISER. Mais cest oublie r que les chemins du Seigneur sont insondanles Mr le President. A bon entendeur Salut !

  • Le 17 août 2016 à 22:32, par Brahma En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Là, vous êtes dans la chose ! Donc sans commentaires, sinon que félicitations !

  • Le 17 août 2016 à 22:51, par Kaboré En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Internaute n"6,monsieur "droit a l’expression " vous ressemblez beaucoup plus a monsieur " droit a l’idiotie ".

  • Le 17 août 2016 à 23:11, par GOUGA En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Ecrou, tu as encore frappé fort. Tu as dit ce que bon nombre de gens pensent bas. Zida n’est pas un ange, mais sa personnalité nous a permis d’éviter une situation bizarre. Rappelons que c’est parce qu’il a été du RSP, que ses anciens amis, avaient beaucoup de rancoeur à son égard et qu’ils ont tenté de façon maladroite de le mettre à l’écart. C’est ce qui a permis de dissoudre le RSP. Peut être que le RSP serait toujours en train de malmener les autorités actuelles si ZIDA n’avait pas été à ce poste. Le RSP n’auraient pas commis ces gaffes qui a prétexté leur dissolution.
    Courage écrou. continues de bien serrer.

  • Le 17 août 2016 à 23:52, par kouadio En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Tche « Tche Tche !Gros Gros français pour defendre Zida. Mon cher ; Zida est pire que ce qui se dit sur lui. Zida est-il implique dans les deals de parcelle ou non ? Zida a t-il cherche a empeche les elections de se derouler ou non ? Le proces du general Diendere nous apprendra des choses extraordinaires sur les vraies intentions de Zida et ses " evangelistes eclaires". Ceux la qui se sont sentis une mission divine en octobre 2014 a place de la nation. Blaise est parti en avion en Cote d Ivoire et non en voiture. Zida etait le vrai patron de la transition et il aurait pu ou du denoncer les disparitions de voitures tant il affectionnait jouer le nouveau " Sankara" et ne ratait aucune occasion d enfoncer le Blaiso qui pour lui a ete le malheur du Burkina. Enfin demandez a Zida combien de cartes bancaires il possedait pendant ses missions sous l’ere Compaore et combien contenaient ces cartes bancaires. Ha Ha ha Ha Ha ! Pasteur ou je ne sais quoi si vous ne connaissez Zida, je voius demande de vous taire

  • Le 18 août 2016 à 01:14, par Déception d’insurgé ! En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    De vous, ma déception est trop grande, Ecrou !
    A force de vouloir défendre Zida, je crainds que certains ouvrent des voies et donnent l’occasion à d’autres de fouetter Zida ; vraiment hein !
    Zida garde le silence et souhaiterait peut-être qu’on l’oublie ; c’est ce que je pensais ! ou bien il a préféré choisir des personnes comme des bouches à la place de sa bouche comme porte-voix !
    Savez-vous Ecrou, le Peuple Burkinabè n’est stupide au point d’écrire plus d’une page, même jusqu’à une lettre en 5 tomes pour le convaincre d’une prétendue bravoure indue et frauduleuse !
    Quand quelqu’un est héros légitime, populaire, ça saute à l’œil du peuple généralement ! on n’a pas besoin de trop battre tambour pour le démontrer au même peuple ! c’est empirique ! ça se vit directement ! autrement c’est du héroïsme au forcep, tout le contraire du populaire !

    Cherif Sy (autorité de la Transition pourtant) a été élevé au rang de Grand-croix : le Peuple burkinabè a applaudi parce qu’il a vu son combat intrépide pendant le putsch ! Cheriff vit encore tranquillement au Burkina Faso et qui dit d’ailleurs qu’il n’est pas prétendant sérieux de la Présidentielle de 2020 !
    le colonel Auguste Denise Barry, plus gradé que Zida à l’époque (et généralisable sans besoin auparavant de quelconque modification personnelle de la loi), était apparemment vu par les élément du RSP comme une peste à éliminer. Après la transition il est resté au Burkina ! Il ne s’est pas fait élevé au grade de général ! Savez-vous le sort qui aurait pu être celui de Zida sans l’intelligence et l’assistance de Barry ? comprenez pourquoi RSP a reclamé et obtenu la tête de Barry !
    Tous ces efforts de développement sont la preuve que vous racontez des contre-vérités à vous-même ! preuve que vous êtes le premier à ne pas croire à vos propres propos !

    quand un intellectuel se convertit dans la vente de pacotille, c’est déplorable !
    Mes attentes étaient trop grande pour si peu de résultat dans ma défenses (c’est-moi-même Y. Isaac Zida, le client qui parle ici !)
    J’ai la nausée ! vraiment !...
    Vous ne vous souvenez plus de Zida devenu subitement froid, calme et silencieux quand le RSP l’a libéré sous la pression de vaillants citoyens sortis faire échec au putsch ?
    Je vois que vous avez décidé d’être amnésique comme vous le conseillez à Zida votre client !
    Vous parlez de votre expérience à Paris, Roissy Charles de Gaulle : nous aussi, nous avons des expériences de terrain à vous conter sur les transitaire. Est-ce que vous savez que le choix des representants de la société civile au CNT a été faite dans une mafia indescriptible ! Est-ce que vous avez connaissance que certains étaient armés de gourdins machettes et autres armes blanches pour en découvre si toutefois ils n’étaient pas choisis au CNT ?
    Il est vraiment beau de disserter en invitant à profusion les citations de toutes sortes pour nous éloigner du sujet véritable.
    Personne, je dis bien personne ne peut nous divertir et nous tromper sur la vérité que nous savons dejà pour avoir directement vu et entendus des choses sur le terrain et avec tous les risques.
    ZIda, Zida,
    d’ici peu certains sortiront pour tenter de nous convaincre qu’en réalité, c’est Zida qui aurait organisé et motivé clandestinement les OSC et l’ex-CFOP pour faire monter la fièvre et renverser enfin Blaise !!!
    Ecrou, soyez sûr d’une chose, vous pouvez dire ce que vous voulez mais votre manoeuvre sordide de falsifier l’histoire du burkina va buter sur un échec !
    Nous y veillerons pour vous faire barrage, non pas parce qu’on est contre Zida ! mais plutôt parce qu’on est radicalement contre la fabrication de faux héros qui n’ont même pas le courage de vivre au pays !
    des gens comme Zida qui pensent qu’ils doivent tout avoir de l’Etat au moindre claquement du doigt. Qui pensent que le poste de leur prétention doivent leur revenir toujours, TOUT COMME Blaise qui pensa qu’il ne pouvait pas vivre en dehors de Kosyam comme s’il était né prince !
    même chose avec Zida : qui choisit en lieu et place du Président, de se nommer ambassadeur aux USA tout comme il a forcé la main de Kafando pour être nommé général de division sans gloire !
    D’ailleurs, il faut reconnaître que ce pouvoirde Roch d’être trop laxiste ! il badine trop avec Zida ! qu’en est-il de l’enquête sur la fausse nomination de Zida dans notre RESPECTABLE JOURNAL OFFICIEL ?
    Voilà ce contre quoi aussi nous sommes sortis en octobre 2014 nous insurger : qu’une RACE d’individus pense qu’elle est née pour occuper un emploi public donné et non pas les autres !
    Si Zida n’était pas Général, donc le monde allait tomber sur sa tête et sur tout le Burkina quoi ! le fait que Zida abandonne le Burkina et disparaisse dans un silence incompréhensible qui semble témoigner d’un mépris total ou d’un désintérêt pour son pays a fortiori de l’armée, montre même qu’il ne comprend pas pourquoi il a été nommé Général de division. Son silence montre apparemment qu’il méprise totalement sa responsabilité historique !

    Toutes cette horde de personnes qui veut laisser croire qu’elle est exceptionnelles au Burkina, eh bien, qu’elle crée des grandes entreprises pourvoyeuses de richesses pour le bien-être des pauvres citoyens communs au lieu de toujours espérer tout de l’Etat !
    là serait la meilleure illustration de leur intégrité et héroïsme !

  • Le 18 août 2016 à 03:42 En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    La plupart de ceux qui ont une haine contre Zida sont ceux qui ont vu leurs privilèges disparaître avec le vieux blaiso

  • Le 18 août 2016 à 05:08, par Bakary Sanou En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    1. Les dirigeants de la transition se sont imposés, ils n’ont donc eu aucun mérite.
    2. Les circonstances (insurrection) auraient dû les amener à un comportement plus honorable. On ne chasse pas le Président Compaoré pour des questions de mal gouvernance et venir faire pire que lui en 14 mois.
    3. Des milliards détournés il y en a eu à la Présidence, à la Primature et au Conseil National de Transition en 14 mois.
    4. De l’or volé il y en a eu en 14 mois.
    5. Que ce soit sous le Président Compaoré ou après le Président Compaoré, la dissolution du RSP n’était que question de temps.

  • Le 18 août 2016 à 06:46 En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Mon frère je pense que vous vous fatiguez ! En faite les burkinabè ne peuvent pas vous comprendre ! On n’aime pas la vérité au pays. Le temps n’est pas encore arrivé, ou disons qu’on a pas encore suffisamment souffert !!!!

  • Le 18 août 2016 à 07:35, par Hien Simplo En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    M Ecrou avec respect j’ai lu et compris votre écrit et je vous tire mon chapeau car cela relève d’un niveau donné et non d’un niveau intellectuel seulement car notre pays a plus que jamais mal à son élite beaucoup après avoir être admis avec 10/20 en Licence veulent se dire intellectuel mais ne pourront jamais comprendre cet écrit accepter que ces personnes vous traitent d’avoir pris de l’argent car elles ne voient que les rentes dans toutes taches même quand il s’agit d’autonomie de penser et de parler
    Sachons tous raison garder et je prendrai les propos vulgaires de Laurent Gbagbo qui disait :
    LE DEUXIÈME NOM DE DIEU EST LE TEMPS après toutes ses accusations si ce régime fait mieux que la transition je lui féliciterai
    L’enfant terrible

  • Le 18 août 2016 à 08:37, par Le fils En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Internautes 21. Si par hasard vous n’etes pas de ceux payes par le regime pour reagir sache que Simon Compaore lors de declaration de bien des ministres a declare qu’il n’avait pas de Parcelle au Burkina. Ce qui est une injure contre le peuple. L’ex Ministre Pare Joseph, l’ancien ambassadeur Yero Boly, l’ancient DG de la douane Giro et bien d’autre qui on pille des milliards sont pas du tout inquietes. IL faut tout simplement que le peuple Burkinabe est digne et saura manifester sa gratitude a Zida au temps opportun. Le peuple n’est pas dupe. C’est un peuple integre qui ne Tue pas ses heros. Nous savons tous que l’acharnement du regime contre ce fils digne du pays est en partie une pression venant de la Cote d’Ivoire ou sont actuellemnt la majeur partie des enemis de Zida donc les enemis du peuple a savoir Blaise, Zoro, François, ADO, et autres. Comme dans son incompetence a relever l’economie le regime actuel s’est rendu en RCI pour demander aide, alor il subit toute les formes de pression du Zoro, ADO, Blaise. Mais le peuple Burkinabe voiture, comprend et reste serein. Le Temps viendra. Nous ne serons jamais ingrats.

  • Le 18 août 2016 à 09:01, par Karissa En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Un zèbre installé dans un tonneau
    Se lamentait de ne pouvoir sauver sa peau
    Pris qu’il était dans un piège si profond.
    Condescendant au sort du moribond
    Un fou son chemin passant
    Indiqua aux badauds un foyer ardent
    Comme solution à envisager
    Pour secourir l’infortuné.

    Il faut parfois à la raison ramener
    Quitte à devoir du bâton jouer
    La brebis partie à vau-l’eau
    S’étant écarté du troupeau.
    Cela coûte sûrement labeur
    Que se donne le bon pasteur.

    Étalant au grand jour leur ignorance
    S’élèvent parfois des voix dissonantes
    Au mépris de toute prudence
    Dans le concert des langues savantes.
    De participer à un bal masqué
    Ne fait pas d’un niais un surdoué
    S’il ne sait tirer aucune leçon
    D’une si opportune fréquentation.

    D’où sortent-elles donc ces ombres ?
    Qui hélas semblent croître en nombre.
    N’ont-elles que mépris pour le savoir ?
    Qu’elles ferment alors le claquoir
    Et apprennent de ceux qui se sont élevés
    Par le sacerdoce au niveau des vénérés.

    A leur intention un petit conseil
    Pour leur méditation à chaque réveil
    Sur les thèmes bien au-dessus de leurs épaules
    Qu’elles se gardent de tenir des propos drôles
    Le silence étant une bonne couverture
    Pour les personnes de peu de culture.

    Plutôt que la lune indiquée
    L’idiot regarde le doigt pointé.
    Continuez Ecrou, Touorizou, Kwesi
    Et vous tous qui avez fait le noble pari
    D’éduquer ce Peuple que vous aimez
    Par les grains de sagesse que vous semez.

  • Le 18 août 2016 à 09:04, par Le fils En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Internaute 3 Zida a TOUT fait pour dementeller le RSP qui etait le bras arme du regime dechu et avait pour mission avec son General en prison (CND) d’assurer le retour de Blaise et la protection des bien du regime. Malheureusement malgre tout ce que Zida a fait on voit que le regime ROCK a restitue tout au regime dechu. Meme les vehicule flambant neufs de l’Etat qui on accompagne Blaise et ses parents a Yamousokro ainsi que les valises de milliards sont jamais retournes et nos poltrons et complices au pouvoir aujourdui n’osent meme pas en parler. Que de HONTE !

  • Le 18 août 2016 à 09:14, par Dire En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Je suis très fier du GENERAL ZIDA. C’est lui qui a pu libéré le pays du RSP. Aussi je ne suis pas surpris aujourd’hui de voir beaucoup de personnes dire n’importe quoi sur lui ! Car savons très bien que c’est le travail de ceux qui étaient jadis au pouvoir c’est à dire le CDP et certains du RSP. Mais avec le temps ils vont prendre conscience de leur inconscience et comprendre que le temps passé ne reviendra plus jamais.

  • Le 18 août 2016 à 09:21, par ka En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Je partage rarement les analyses consacrées à l’équipe de la transition, à cause des railleries des perdants de l’insurrection du 30 et 31 Octobre avec leurs autos critiques stériles pleines de haine, des injures et des dénigrements. Je remercie à Ecrou pour cette analyse constructive, pour un débat avec des questions positives qui demandent des critiques fondées et non de la haine et des mensonges. Comme l’a précisé mon ami SOME, dès que les perdants de l’insurrection remarquent une analyse sur les sites des réseaux consacrée à la transition et de son équipe, ils ne cherchent pas à le lire avant de pondre leur haine et leur mépris comme les premiers messages de cette analyse. La seule chose que je regrette aujourd’hui, c’est que la transition et son équipe n’avait pas eu assez de temps devant elle : Malgré le peu de temps, cette équipe a fait un travail bâclé qui n’a pas été repris par le président Roch Kaboré et son équipe. La transition nous a permis des élections transparentes et apaisées, arrêter les assassins de nos enfants, si cela n’avait pas été fait sous la transition et son équipe, rien ne prouve que cela sera fait avec les RSS. Ce que le peuple demande a Roch Kaboré et son équipe c’est de corriger les imperfections de l’équipe de la transition faites à la hâte, car leur temps de gouvernance était très court. Je ne parle pas ici d’un individu, mais a toute l’équipe de la transition qui n’a pas laissé l’alternative a Roch et son équipe en mettant au frais les criminels du coup d’état à la maternelle de Gilbert Diendéré. Si non avec les articles de loi déterrer par des avocats venus des planètes des ovnis, aucun criminel comme Diendéré, ou Bassolet, ne sera arrêté dans le pays des hommes intègres. Maintenant Roch Kaboré et son équipe patine en politique d’autruche en minimisant sur les erreurs de Zida qui sont aussi humaine comme eux aussi en ont fait avec le régime Compaoré. Si Zida est coupable, il est Burkinabé, et nous avons une justice qui peut lancer un mandat d’arrêt internationale contre lui, point barre. Que le régime actuel le fasse, et surtout condamner les coupables a la MACA qui assument, et après, avoir des mains libres pour une politique juste qui va pour le peuple. Quant aux critiques de certains internautes sans cervelles, je les classe parmi les problèmes et les malheurs du Burkinabé qui sont les trois ‘’’’’M’’’’’ médiocrité, méchanceté, et mesquineries, que tous les Burkinabé doivent combattre pour une alternance politique apaisée dans l’émergence du pays que nous aimons tous.

  • Le 18 août 2016 à 09:41, par N9 En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Ton écrit, truffé de gros mots sans cohérences et de références à des œuvres non lues, pour jouer a "l’intelligents", au "cultivé" pour être avocat du diable.
    ZIDA n’est qu’un opportuniste, arriviste, cupide et fantoche ; pire il n’est pas malin. Et cela, pue à des milliers de km.

  • Le 18 août 2016 à 10:35, par cp En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    HE HE, IL FAUT JUGER TOUS LES DOSSIERS AVANT DE PARDONNER. JE NE VOIT RIEN COMME OBS
    TRUCTION : RSP DISSOUT, BLAISE ABSENT, GUEGUERE EN PRISON. IL RESTE QUOI POUR RETARDER CE PASSIF ET PASSER RAPIDEMENT AU DEVELOPPEMENT. ON NE MANGE PAS POLITIQUE LA. HIEN

  • Le 18 août 2016 à 10:43, par Sidpasata Veritas En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Oui, c’est vrai qu’il y a de l’ingratitude envers Zida de la part du régime des RSS. Beaucoup de Burkinabè avaient estimé comme Ablassé Ouédraogo, que ces messieurs qui ont fait et entretenu le régime Compaoré (pendant 26) et initié le projet de modification de l’article 37, ne devaient pas s’en tirer si facilement avec un simple "mea culpa". Comme dans le régime Compaoré, ils ont su abuser une fois de plus de la bonté et de la crédulité des burkinabè.
    En fait je ne crois pas que la mauvaise gestion de la Transition soit la vraie raison de leur haine de Zida. Je pense plutôt qu’en tant que tous membres de l’ancien régime Compaoré, Zida et les RSS ont des vieux comptes à règler ; tous comme Zida et les RSP, ou encore les RSS et le CDP.

    En sommes, les Burkinabè ont commis la grave erreurs de remettre leurs destins entre les mains des anciens du régime Compaoré. Alors nous assistons, à notre corps défendant, au règlement de comptes des anciens du régime compaoré, tout comme c’était le cas sous Blaise, des anciens de la révolution, entre les sankaristes et les ABC ;FEDAP-BC ; CDP et autres organes de la Compaorose. NOUS N’AVONS PAS EFFECTUER LE VRAI CHANGEMENT, MAIS UN SIMPLE REMPLACEMENT. Alors les anciens amis se disputent en utilisant le pouvoir d’état pour agir les uns contre les autres. Tant pis pour le Burkinabè ; ils méritent les dirigeants qu’ils ont aujourd’hui !

  • Le 18 août 2016 à 11:03, par Eti En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Une très belle lettre qui malheureusement n’est pas ou ne sera pas comprise par plusieurs personnes. Mais je suis sur et certain d’une seule chose, la vérité s’éclatera un jour. Nous souhaitons la paix dans ce pays !!!

  • Le 18 août 2016 à 12:09, par Intrigué En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    internaute 14 @le faso autrement, cultivez-vous. Car cet article de par sa forme ne souffre d’aucune ambiguïté. Bon on peut comprendre... on est dans la forme de langage soutenu. "Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément" (Boileau). Dans cet écrit, les mots sont aisés.
    Maintenant, aux premiers rangs des gens à poursuivre, il y a ceux (et je parle de tous) qui entre 25 et 27 ans ont plumés ce pays. On s’intéressera ensuite à ceux qui dans la 28ème année on essayé de se servir et ont certainement moins engrangé que les premiers.

  • Le 18 août 2016 à 13:05, par Frank Edouard En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Je ne sais pas si l’internaut sait ce qu’il dit.Ce sont des gens que Zida a utiliser pr piller le pays pendant la transition. Zida ne devrait pas fuire s’il etait propre.

  • Le 18 août 2016 à 13:13, par V7 En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    QUE L’ON SOIT PRO ZIDA OU PAS, SACHEZ Qu’ UN GENERAL DIGNE DE CE NOM N’ABANDONNE PAS LA TROUPE.

  • Le 18 août 2016 à 13:16 En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Une trahison entraine toujours une trahison. J’étais de passage....

  • Le 18 août 2016 à 14:36 En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Cher Burkinabe ,laissons la justice faire son travail poit barre.
    parlant de Thomas sankara ,hero national ,certes,mais quand parlerons nous simplement des violations des droits de l’homme pendant la revolution.....Arretons les enfatillages....Obama a dit :
    ’’L’afrique a besoin d’institutions fortes mais point d’homme fort’’.Nous sommes tous compables de nos turpitudes....Zida ,hero ou zero ?L’histoire nous le dira.
    Nous avons vote des represantants, librement ,democratiquement....Laissons les travailler,dans cinq ans ils nous appeleront encore pour nous exprimer....vive la democratie .

  • Le 18 août 2016 à 20:55, par Le fils En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Ils sont aller meme jusqua libere les rsp qui ont participe au putch. ZIDA est tres malin et a compris que sa securite etait menCee depuis la Cote d’I voire jusquau Burkina. Personne n’a pu faire montre du courage et du patriotism de vet homme dans l’histoire recente de notre pays. Mais Zida reviendra et il trouvera des milliers de Burkinabe prets a l’accompagner dans la marche de l’histoire de notre peuple. Un peuple digne qui sait manifester sa reconnaissance envers ses dignes Garcons.

  • Le 18 août 2016 à 22:01, par SALOU En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Merci mr Ecrou pour ces écrits pleins de bon sens.

  • Le 19 août 2016 à 09:55 En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    Un ancien militaire m’a posé les questions suivantes : si Zida était médecin officiant à Yalgado et qu’on le prenait pour gérer la Transition, l’auriez vous nommé Professeur à l’issue de sa mission ? Si oui, quelle serait l’attitude des autres professeurs à leur prochaine session ? Ils le mettraient dehors parce que son titre de professeur est en minuscule.
    C’est dire que Zida en acceptant cette nomination fantaisiste s’est marginalisé et il le savait.

  • Le 19 août 2016 à 11:14, par Hatimi YEYE En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    quand on fuit c’est que l’on a peur de quelque chose qui peut nous arrivé (menaces sur la vie ou une vérité cachée pouvant être découvert aux yeux du peuple) et si l’on a peur c’est parce qu’on est coupable de quelque chose que l’on a fait d’injuste. Et comme "nul n’est au dessus de la loi" alors le peuple burkinabè a le droit de connaître la vérité à ce sujet. Que cela soit une priorité ou pas, là n’est pas la question

  • Le 19 août 2016 à 13:44, par véridique En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    sans zida les 30 et 31 apres le départ de blaise on foncait dans le chaos car les politicien ne s’entendraient jamais, sans zida il n’y aurait pas eu coup d’etat et le rsp serait toujours présent car rock était pour son maintien. maintenant les questions fondamentales sont de savoir est ce que les burkinabe désiraient le chaos ? est ce que les burkinabe voulaient le maintien du rsp ? si la réponse à ces question est négative alors zida est un héros et l’histoire saura le lui reconnaître tôt ou tard.

  • Le 23 août 2016 à 10:23, par la force révolutionnaire En réponse à : « Une si courte lettre » au président Roch Marc Christian KABORḖ : Mais, encore et toujours, revenons à l’affaire Zida ! (3/5)

    monsieur ECROU vous confondez vitesse et précipitations j’ai l’impression que vous même ne comprenez rien de votre écrit ZIDA n’est venu au pouvoir par ses propres initiatives
    le peuple a crié à l’injustice au vol au pillage de la compaorose il a donné le sang de ses dignes fils pour que ( plus rien ne sera comme avant) ZIDA devrait le comprendre malheureusement il n’a rien compris il a considéré que le peuple était imbécile et il s’est tout permis
    ZIDA ne mérite pas le grade de maréchal même colonel car il est indiscipliné il a occupé les fonctions d’état grâce au rsp que vous incriminez ZIDA n’était pas le chef d’état major des armées du BURKINA encore l’officier le plus gradé dans le grade le plus élevé donc raisonnez un peu un tout petit peu car zida est ce qu’il est grâce au RSP s’il a été ingrat c’est son problème je mesure la qualité de votre écrit pour ne pas dire votre qualité intellectuelle mais je déplore hélas votre raisonnement partisan voire votre griotisme
    celui qui devrait jamais commettre des forfaitures c’est bien ZIDA IL sait pourquoi BLAISE a été chassé répéter gravement les mêmes erreurs, j’avoue que c’est suicidaire et le peuple ne pardonnera pas ces injures ces moqueries qui frisent sévèrement des foutaises

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