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« Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

Publié le vendredi 1er juillet 2016 à 00h00min

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 « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

Le Ministre de l’Administration Territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité Intérieure, Simon Compaoré, était le jeudi 30 juin 2016 à 21 heures sur le plateau de la télévision nationale dans l’émission « Dialogue citoyen » pour répondre aux questions des citoyens. Le ministre a passé en revue la gouvernance sécuritaire dans notre pays notamment la question des Koglwéogo, la menace terroriste entre autres. Retour sur quelques axes forts de cette émission.

Mercredi 22 juin 2016, les groupes d’autodéfense, koglwéogo étaient en réunion à Kombissiri. Certains membres de ce regroupement avaient affirmé leur décision de ne pas se soumettre à l’injonction du ministre Compaoré leur demandant entre autres de renoncer aux sévices corporels et aux amendes infligées aux présumés coupables. Beaucoup y ont vu un affront à l’autorité.

Pour Simon Compaoré il n’en est rien. « Hier il y a eu une grande rencontre avec ceux qui étaient à Kombissiri. Au cours de cette rencontre, ils ont fait de grandes révélations. Ils ont dit qu’ils sont venus pour mettre les points sur les i. Ce qui s’est passé à Kombissiri n’est pas une défiance à l’autorité publique. Ils ont affirmé que celui qui a tenu les propos incendiaires dans les medias a été désavoué et qu’ils s’en démarquaient. Ils ont dit qu’ils évoluaient dans un état de droit où il y a des lois. Ils ont reconnu qu’en réunissant les gens à Kombissiri, ils ont été infiltrés, c’est pourquoi ils ont voulu cette rencontre pour mettre les points sur les i. Vous pouvez les appeler, ils vous le confirmeront.

Dans les jours à venir, vous verrez qu’il y aura une amélioration car ils ont promis eux-mêmes de faire le ménage à l’intérieur. Quand on est chargé de veiller sur la sécurité des citoyens d’un pays comme le Burkina, on ne plaisante pas. Nous ferons ce qui doit être fait pour assurer la sécurité des citoyens. Il y a des Koglwéogo qui travaillent en bonne intelligence avec la gendarmerie. »

Le MPP complice des Koglwéogo ?

Au début des vagues consécutives à la prolifération de ces groupes d’autodéfense, certains y avaient vu la main du parti au pouvoir, le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP). Beaucoup n’avaient pas hésité à parler de compromis pour un soutien mutuel entre le MPP et les Koglwéogo. Simon Compaoré y voit une plaisanterie de mauvais goût. « Quand vous parlez, vous n’êtes pas convaincu de ce que vous dites. Il faut laisser les choses basses mourir de leur belle mort. Je pense que vous voulez agrémenter la conversation. Ça parait invraisemblable. », pense t- il.

Vers un renforcement du dispositif sécuritaire

Les différentes attaques terroristes dont notre pays a fait l’objet étaient aussi au au menu de cet entretien. Les enquêtes sont toujours en cours et le ministre de la sécurité de préciser : « Il a été procédé à l’arrestation de 49 personnes dans le cadre des activités terroristes qui ont eu lieu à Ouagadougou, Intagom, Koutoukou. Ces attaques ont amené les forces de sécurité du Burkina et des pays amis à coopérer. Dix personnes ont été retenues. Trois personnes sont des femmes qui présentent un intérêt, dont une qui est la sœur d’un élément présumé de ceux qui ont attaqué l’hôtel Splendid ». Quand au dispositif mis en place pour faire face à la menace terroriste il se veut rassurant : « Le terrorisme constitue aujourd’hui une problématique essentielle des gouvernants. Après les attaques terroristes de Ouagadougou, nous nous sommes rendu compte que nous n’étions pas bien équipés pour faire face à ces attaques.

Depuis lors, l’ensemble des FDS (Forces de défense et de sécurité, ndlr) ont eu des rencontres pour voir les points de faiblesse. Au niveau des effectifs, un peu plus de concentration a été demandé pour certaines zones comme la frontière malienne. Des recherches de moyens ont été entreprises pour étoffer les équipements.
Par ailleurs, Il sera procédé cette année au recrutement de 1500 policiers pour faire face aux défis sécuritaires dans les zones telles que Intagom. C’est aussi l’occasion pour moi aujourd’hui d’appeler chaque Burkinabè de par son comportement, à contribuer à démanteler les réseaux terroristes. On a beau avoir tout l’arsenal militaire, tant qu’il n’y aura pas une coopération franche des populations, il sera difficile pour nous d’éradiquer ce fléau. Vous voyez qu’aujourd’hui, ces terroristes n’ont plus le même mode opératoire. Leur recrutement se fait à l’intérieur du pays, c’est-à-dire la population. »

Simon Compoaré a- t- il le profil de l’emploi ?

Depuis sa nomination à la tête du département de la sécurité le 12 janvier 2016, que de tirs essuyés par l’ancien bourgmestre de Ouagadougou. Nombreux sont ceux qui ont estimé qu’il n’avait pas le profil de l’emploi. Certains ont même appelé à sa démission. « Si celui qui m’a nommé n’a pas trouvé de problème dans mon travail, il n’y a pas de raison que je m’en fasse. Mais quand il se rendra compte à un moment donné que je ne suis pas à la hauteur de la tâche, il prendra la mesure qui s’impose… Si vous pensez que le boubou ou la culote a été mal taillée, adressez-vous au tailleur. », répond il sèchement. Avant de poursuivre : « Tout est une question de volonté. Personne n’est né ministre. Je n’ai certainement pas l’expérience d’un ministre, mais j’ai l’expérience de la vie pratique. Je vais rassurer les gens. Ceux qui disent que je n’ai d’étoffe. Si au bilan je dois être passé à l’échafaud, je serai prêt à donner mon cou. En attendant, laissez-nous agir et vous jugerez après. »

Rassemblés par Pascal Lonkou Yé
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 1er juillet 2016 à 11:18, par ka En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Oui Simon, tu as vu juste pour convaincre : Mais le peuple Burkinabé depuis la nuit des temps, a su être patient, mais très impatient. Simplement nous voyons des exploits annoncés dans ces derniers jours, comme les arrestations des présumés terroristes, le peuple saute de joie, mais reste dans l’inquiétude, et le moment venu, ce peuple saura montrer qu’il est plus fort que ses gouvernants : soit dans les urnes, ou dans les rues. Sans une politique juste, une classe donnée ne pourra maintenir sa domination, et par conséquent ne sera en mesure d’accomplir toutes ses promesses d’un programme présidentiel accepté par le peuple.

  • Le 1er juillet 2016 à 11:19, par neya boukari En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Monsieur le ministre, épargnez nous ce jeu trouble que vous menez avec vos créatures. Les soit disant déclarations incendiaires de Kombissiri ont été fait orbi et urbi, c’est à dire publiquement. Pourquoi certains sont-ils venus désavoué leurs comparses en catimini dans votre cabinet ? Si le désaveu est sincère, qu’il le fasse dans les mêmes formes, c’est à dire publiquement et prendre ainsi le peuple à témoin.
    Vos petits arrangements avec les koglweogos ne regardent que vous et ces flibustiers

  • Le 1er juillet 2016 à 11:20, par CPD En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Très bien dit Simon, laisser- le faire son travail. Personne n’est né Ministre ou pour être Ministre. Simon continu ton travail et laisse les jaloux et les aigris. C’est parce que vous savez qu’avec Simon il y aura plus de busness et de clientélisme. Si les Etats Unis ont peur du terrorisme ce n’est pas un pays pauvre comme le Burkina qui pourra faire face efficacement.

  • Le 1er juillet 2016 à 11:20, par BALA En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Mr le Ministre de la Sécurité ; le problème est que vous agissez mal déjà. Alors, on vous jugera négativement.

  • Le 1er juillet 2016 à 11:44 En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Passons à autre chose. SIMEXIT

  • Le 1er juillet 2016 à 11:46 En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Un caméleon !!!

  • Le 1er juillet 2016 à 11:47, par le méssagé En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Monsieur le ministre, avec tout le respect que je vous dois, je pense très sincèrement que n’avez fait que du dilatoire. Aucune réponse concrète à nos préoccupations.

  • Le 1er juillet 2016 à 11:56, par El Hadj YANOGO En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Courage Monsieur le Ministre. Laisse les "autres" aboyer, il n’ y a rien en face !

  • Le 1er juillet 2016 à 11:58, par Cheick Omar En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Monsieur le ministre, vous réussirez si vous conjuguez les efforts des compétences de votre super ministère. Et Dieu seul sait combien votre ministère regorge d’intelligences. Seulement les réactions épidermiques, les sauts d’humeurs, le pilotage à vue, la volonté de privilégié l’éclat aux résultats, la gestion solitaire et clanique risque d’anéantir les efforts pour le renforcement de la sécurité et du développement des collectivités du Burkina. En attendant, pour l’amour Dieu, laissez le nouveau maire de Ouagadougou travailler en toute sérénité..

  • Le 1er juillet 2016 à 11:59, par El Hadj YANOGO En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Courage Monsieur le Ministre. Laisse les "autres" aboyer, il n’ y a rien en face !

  • Le 1er juillet 2016 à 12:00 En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Vous voulez qu’on vous laisse agir encore dans cette incertitude pendant combien de temps ? 27 ans encore ?

    On n’a plus cette patience

  • Le 1er juillet 2016 à 12:05 En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    votre reportage est assez partiel car vous ne prenez pas en compte la dissolution oui ou non des koglweogo.

  • Le 1er juillet 2016 à 12:14, par Aboudra En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Cet interview m’a laissé sur ma soif (sans bcp de conviction).

  • Le 1er juillet 2016 à 12:23, par Le Silencieux En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    « Si celui qui m’a nommé n’a pas trouvé de problème dans mon travail, il n’y a pas de raison que je m’en fasse. Mais quand il se rendra compte à un moment donné que je ne suis pas à la hauteur de la tâche, il prendra la mesure qui s’impose…" est ce que il a ce courage. c’est pas toi qui a choisi ton poste. vu que c’est à cause des poste vs avez créer le Mouvement Pour les Postes. arrête de nous divertir

  • Le 1er juillet 2016 à 12:25, par Gaël En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Monsieur le Ministre, le 18 mai 2016, AIB rapporte que quatre personnes donc trois rasta men et un certain Nourou TALL ont été arrêté dans un site d’orpaillage. Voici les faits «  Le lundi 16 mai 2016, en début de matinée, un groupe d’auto défense Koglweogo (au moins 10 personnes) en provenance de Fada N’Gourma (Nakeboini) est arrivé sur le site d’orpaillage de Alga (commune de Bourzanga), où ils ont ligoté trois rastamen.
    En route pour Kongoussi, les Koglweogo ont marqué une escale à Nakindougou (Bam) où ils ont interpelé Nourou Tall à son domicile.
    La raison, il le saura à Fada. Les Koglweogo arrivent à Kongoussi avec « leurs délinquants » ligotés derrière des motos Sanili. Ils font escale au commissariat central de Kongoussi et à la brigade territoriale de gendarmerie.
    Alors que des photos et des vidéos des mis en cause circulent toujours sur les réseaux sociaux, nous apprenons dans la soirée du 17 mai 2016 leur libération par les Koglweogo.
    Joint au téléphone ce matin (18 mai) pour en savoir davantage sur le cours des évènements, Nourou Tall relate sa mésaventure.
    « J’étais couché chez moi le lundi matin (16 mai) quand on est venu me réveiller avec des armes pour me ligoter. J’ai cherché à comprendre et on m’a répondu que je le saurai une fois à destination.
    Arrivés à Kongoussi, on est passé à la police et à la gendarmerie. Des gens venaient de partout pour nous filmer et nous photographier. Après Kongoussi, on a fait encore escale à Sabcé où ils nous ont payé du riz.
    Après Sabcé, c’est à Nagréongo qu’on nous a encore payé à boire et à manger. Et toute la journée nous avons roulé et nous sommes arrivés à Fada entre 23 heures et 00 heure. Mais en cours de route, un groupe a bifurqué avec un des rastas.
    Il restait deux rastas et moi. A Fada, on nous a servi du café au lait et on a continué à Nakeboini à environ 40 km de Fada. Arrivés, ils nous ont enchaînés sous un hangar.
    Hier matin, ils nous ont envoyé dans un endroit spécifique aux Koglweogo en me signifiant qu’ils ont arrêté un voleur de moto qui m’a dénoncé. (Le voleur a dit que c’est moi qui lui ai donné la moto).
    Pourtant, le voleur en question (qui a volé la moto à Alga) est venu chez nous il y a environ deux mois pour demander à passer la nuit parce qu’il revenait de Alga.
    Mon père qui est l’iman de Nakindougou m’a dit de lui trouver une place pour dormir. D’ailleurs, il est parti très tôt le matin sans que je ne sache. Ils nous ont tous déshabillés pour chicoter.
    C’est là qu’un d’entre eux leur a dit de commencer par le présumé voleur. Quand ils l’ont bastonné, il a avoué qu’il ne connaissait personne de nous trois. Pour ma part, il dit m’avoir cité parce qu’il a passé la nuit chez moi. Pour les autres, il a laissé entendre qu’il les a indexés au hasard sur le site.
    C’est ainsi qu’ils nous ont remis nos portables tout en s’excusant des préjudices que nous avons subis. Moi j’ai encore passé la nuit chez eux mais sans chaine. Ce matin (18 mai), je me suis retrouvé chez mon frère (Moussa Tall) qui est agent d’agriculture à Fada et j’attends qu’il m’aide à trouver les frais du transport pour revenir à Kongoussi.
    Une fois à Kongoussi, je verrai comment me plaindre auprès de la justice parce que j’ai été humilié et jusqu’à présent, mes images circulent toujours sur internet comme étant un voleur », a-t-il conclu.
    Agence d’Information du Burkina »

    Ça c’est invraisemblable mais ça s’est passé dans ce pays et sous votre nez, pardon sous le nez de ce que vous donnez les ordres pour la sécurité des citoyens du pays.

  • Le 1er juillet 2016 à 12:32, par lenabiga En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Pitoyable ministre, il a bouté toutes les questions consernant son incapacité à gérer le ministère de la secu !!! Te noter 2sur20 à la fin ne nous arrange pas messieurs, ce serais déjà gâté...

  • Le 1er juillet 2016 à 12:33, par Joe Joe En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Ce bon cher ministre Simon, Il parle bien trop,. L’heure des discours est révolue il serait bien plus judicieux d’agir. Comme si il y avait quelque chose à juger, il n’a rien fait ce cher ministre de la sécurité qui vaille d’être jugeejugée. Le seul point ou il s’est illustré c’est sur la’’sa mauvaise gestion des koglweogo ! Cela voilà nous mène dans cette situation dont Dieu seul connaît l’issue.

  • Le 1er juillet 2016 à 12:39, par Ben En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Mr SIMON na fait que tâtonner jusqu’à présent, alors qu’on ne peut pas assurer la sécurité d’une population par le tâtonnement. De grâce laisser votre place à un vrai professionnel, on sait que personne n’est né ministre mais l’exercice de cette fonction nécessite une certaine compétence et un certain professionnalisme que vous n’avez pas.

  • Le 1er juillet 2016 à 12:42, par ziguehi En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    el hadj yanogo ne salit pas le nom des el hadj. on sait que ton voyage à la Mecque a été geré par le MPP, mais de grace fait honore à notre religion. quant à simon compaore il parle de celui qui lui a nommé doit agir non Roch ne t’a nommé, vous etes partagés le pays. et cela explique pourquoi vous avez quitté le navire CDP. vous avez voulu le pays pour vous 3 et dieu merci cela y est mais comme dieu ne dort pas le peuple burkinabe n’est plus le meme plus mouton que le temps du sanguinaire blaise. les kolgwegho ont été monté de toutes pieces par le MPP pour nuire notre pays en cas d’echec aux elections présidentielles passées helas le MPP a remporté et comme les kolgwegho avaient des consignes strictes ils vont faire comment ? le MPP trouve face à dilemne le monstre qu’il a fabriqué et surtout le vaillant peuple de thomas sankara on fait comment ?
    DE TOUTE FACON SIMON IL FAUT SONGER A DEMISSIONNER DE TOI MEME INCOMPETENT. le

  • Le 1er juillet 2016 à 12:43, par Depuis Berlin En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Un ministère ou toute autre fonction étatique, surtout, dans un pays en voie de développement, n’est point un laboratoire, mais une URGENCE ! Attendre les évaluations est un luxe ! Prouvez votre efficacité, c’est prioritaire au bilan ! Le bilan c’est après la catastrophe, évitez nous la catastrophe avant le bilan !

  • Le 1er juillet 2016 à 12:44, par lenabiga En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Les koglwegos qui sont venus vous voir, étaient il armés ?

  • Le 1er juillet 2016 à 12:56, par jan jan En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Vous voulez qu’on vous laisse quel temps encore, vous n’êtes pas neuf en politique, votre trio a fait 30 ans de pouvoir à différents stade de la gouvernance du BF. Que voulez-vous d’autre ?? Aujourd’hui là on vous regarde, si vous êtes bon, tant mieux, mais si vous n’êtes pas bon, dégagez ou l’on vous dégagera, le burkinabè a tant souffert depuis cette "révolution du 4 août 1983 à octobre 2014, c’est trop, nous ne pouvons plus attendre....

  • Le 1er juillet 2016 à 13:02, par Depuis Berlin En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Au sujet de la sécurité PRECAIRE au Burkina Faso
    « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité »
    Votre vision (estimation ou Bilan), Mr le ministre, c’est après la catastrophe, évitez nous la catastrophe avant le bilan

  • Le 1er juillet 2016 à 13:03, par panga En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Simon on ne vous demande pas de la poésie. Seulement vous ne devez pas jouer avec la sécurité des burkinbè.On ne meurt pas deux fois. Vous avez travaillé à la mairie de Ouagadougou.Tout le monde a vu.C’est bien fait parce que c’est votre domaine. Acceptez la scission du ministère afin de confier la sécurité à quelqu’un du domaine. Vous vous contentez de l’administration du territoire et de la décentralisation. C’est aussi un gros morceau je pense. Ça n’enlèvera en rien de votre volonté d’être super ministre.Ceux qui vous encouragent à garder le ministère tel ne vous disent pas la vérité.

  • Le 1er juillet 2016 à 13:31, par Lionceau En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    J’ai suivi une partie de l’émission et je crois que le Ministre s’est très bien défendu et connait la solution de l’insécurité au Faso.

    En tout cas nous attendions de lui comme annoncé, un renforcement conséquent (équipements, compétences, organisation et effectif) des FDS. Et aussi une meilleure organisation des populations (y compris les Kogl-wéogo) en supplétifs CITOYENS des forces régulières.

    Bon courage M. le Ministre, nous vous soutiendrons dans ces actions.

  • Le 1er juillet 2016 à 13:35, par YIRMOAGA En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Mr le Ministre, un voleur est un voleur ? Pas besoin de coloration pour apprécier ? Pas besoin d’être expert en droit pour connaitre un voleur ? Si vous vous accaparez de ce qui vous appartient pas, vous êtes un voleur. Il y a cependant plusieurs degré ? Les criminels, les délinquants, les dé tourneurs, les braqueurs, les corrompus, les malfrats, les complices, les fossoyeurs, tout un monde qu’on retrouve dans l’administration, dans les FDS, dans la justice, surtout dans le politique surtout, dans les petits gens etc etc....?
    Qui est victime de ce fléau ?
    Le monde paysan. Dans l’urbanisation. Donc si le monde paysan se mobilise pour combattre ce mal, et encore si ça se limitait en campagne, la crainte est mineure ? Mais avec les sévices corporelles, des gens biens risques d’être démasqués et dénoncés ? On a vu des FDS et des magistrats balancés par des délinquants ? Il faut que ça s’arrête cette nouvelle forme de justice clament les intellos complices ?
    Si Koglwéogo arrivait en ville, le politique et des fonctionnaires vont devoir justifier leur bien séance tenante ? Voilà le blocus des koglwéogo même en campagne ? Peine perdue, le mal est là ? La lutte est engagée entre les gens biens et les ennemis de koglwéogo ?
    On voit que la razzia des voleurs profite à tout ce monde sus-cités ? Si koglwéogo disparait, le monde paysan sera soulagé au détriment des voleurs qui seront lynchés sans auteurs ?
    Tond- nina puka mè ?
    Mr le Ministre défend une classe et c’est normal si on est dans le système ?
    Que faire ? Les voleurs vont périrent seulement ?

  • Le 1er juillet 2016 à 14:02, par Lassane En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Prestation indigne d’un homme d’ État de ce niveau de responsabilité . Simon tu peux aussi aller voir le président du FASO pour lui dire qu’au regard de la forte aspiration du peuple à voir créer un ministère plein consacré à la sécurité ,tu lui demandes de te décharger de ce volet .Cela aussi te grandirait .

  • Le 1er juillet 2016 à 14:11, par Beton En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Monsieur le ministre, souffrez du fait qu’on vous critique au fur et à mesure, on ne peut pas vous laisser nous amener tout droit dans le mur.En ce moment nos critiques servirons à quoi ? Lorsqu’on vous critique ce n’est pas parce qu’on ne vous aime pas, le Faso est la maison de tous les burkinabè.Ce n’est pas parce que vous gérez le pouvoir que vous avez le monopole de la verité.Puisez dans ces critiques les suggestions qui vous seront utiles.
    De toutes les manières que vous le voulez ou pas, nous, on ne se lassera jamais d’apporter notre modeste contribution à l’édification de l’œuvre commune.
    Juste un conseil, arrête de faire du populisme , cette méthode c’est juste pour les élections, une fois au pouvoir, croit moi, elle se retourne toujours contre celui qui l’emploi.

  • Le 1er juillet 2016 à 14:38, par fasobiiga En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Il n’y a que chez nous qu’on voit ce genre de raisonnment de la parts de responsables lorsqu’on leur parle de leur gestion. Donc M. Compaoré a besoin que celui qui l’a placé là où il est le remercie comme un malpropre ?
    Si vous aviez réellement le sens des responsabilités, vous eussiez démissionné depuis belle lurette.
    La route est encore très longue. Et avec cela certaines personnes parlent d’une nouvelle génération d’élus.
    Enfin M. Compaoré, au lieu de chercher tout le temps des justifications et des excuses à votre incompétence, laissez s’il vous plait la place à d’autres personnes plus compétentes. Et certes personne n’est née ministre mais il y a des personnes nettement bien plus compétentes que vous. Et non, nous ne vous attendrons pas au bilan car déjà vous allez droit dans le mur avec ce genre de raisonnement.

  • Le 1er juillet 2016 à 14:46, par revolution En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    comment voulez vous que on vous aides par des denonciation et cas suspect si on connais pas les gens.c’est a dire il faut divulguer les photos de ceux que vous avez arretez et ainsi on pourrais remonter leur fréquentations et forcement tombé sur des éventuels complice. les photos divulgué des ex RSP qui ont été arretés ont contribué fortement à les avoirs. vous arretez des gens depuis décembre et c’est en juin et fin juin que vous nous informé. un peu de quand meme.

    moi je ne crois plus a vos dires.

  • Le 1er juillet 2016 à 15:10, par Bédjou En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    C’est vraiment triste. Le peuple a droit à la vérité, toute la vérité. Les déclarations d’insoumission des kolgwéogo réaffirmées par ceux ci à kombissiri lors de leur assemblée ont été rapportées par la quai totalité de la presse (RTB, Burkina info, BF1, l’observateur palga, le pays et j’en passe). Et pourquoi un groupuscule va rencontrer en catimini le ministre entre quatre murs pour dire qu’il désavoue les propos tenus en public à kombissiri. Il y a quelque chose de pas très clair. Difficile à croire.

  • Le 1er juillet 2016 à 15:26, par RAWA En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Courage Simon. On te fait confiance. Nous savons qu’il y’a des gens qui dans toutes leurs prières souhaite l’échec du gouvernement mais ils seront très déçu. Moi en tout cas, j’ai pleinement confiance que ce pays va décoller de façon fulgurante et les jaloux mourront de honte.

  • Le 1er juillet 2016 à 15:32, par SAP En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Si celui qui m’a nommé n’a pas trouvé de problème dans mon travail, il n’y a pas de raison que je m’en fasse. Mais quand il se rendra compte à un moment donné que je ne suis pas à la hauteur de la tâche, il prendra la mesure qui s’impose… Si vous pensez que le boubou ou la culotte a été mal taillée, adressez-vous au tailleur. », répond il sèchement. Avant de poursuivre : « Tout est une question de volonté. Personne n’est né ministre. Je n’ai certainement pas l’expérience d’un ministre, mais j’ai l’expérience de la vie pratique. Je vais rassurer les gens.
    Monsieur le ministre,
    si nous partons dans le contexte de se que vous venez de dire c’est vrai mais dans la situation au quelle notre pays fait face pensez vous qu’il faut attendre qu’il soit tard avant de réagir ou prendre de bonnes décision ou il faut attendre que la situation soit encore plus délicat que le pays soit a de nouveau sous tension.Et puis ce tailleur que vous parlez pensez vous qu’il a le choix ou qu’il peut faire autrement même si c’était moi.Donc de grâce nous vous encourageons dans votre mandat pour que le Burkina beigne dans la sécurité et la stabilité.Ditons pas souvent que chaque peuple mérite son gouvernant.Merci

  • Le 1er juillet 2016 à 15:38, par pepe En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    LAISSE LES GENS PARLER M.LE MINISTRE. ILS SAVENT QUE LES QUESTIONS SECURITAIRES NE SE DISCUTENT PAS A LA TELE Où VOS ENNEMIS VOUS SUIVENT ET PRENDRONS LE DESSUS SUR VOUS. D’APRES ABLASSE OUEDRAOGO, LE BURKINABE EST JALOU EST MESQUIN. LAISSER LE GARS TRAVAILLER. ON A VU EN 1995 QUAND IL ARRIVAIT A LA MAIRIE DE OUAGA. QU’EST CE QUE LES GENS N’ONT PAS DIT MAIS IL EST SORTI EN HEROS MEME SI CERTAINS POLITICIENS ONT VOULU SALIR SON NOM. BON COURAGE MONSIEUR LE MINISTRE

  • Le 1er juillet 2016 à 15:43, par SAP En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Pour ce qui es des koglweogo je pence qu’il est temps de prendre des mesure radicale de bonne décision c’est vrais nous l’avons crée mais franchement c’est bon.Et si vraiment nous ne réagissons pas des a présent nous nous retrouverons dans le même cas que celui de notre pays voisin la cote d’ivoire il y’a longtemps

  • Le 1er juillet 2016 à 15:48, par Yi-Lo En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Mr le Ministre,
    Le problème c’est que si la tendance actuelle est maintenue et le problème c’est quelle risque de ne pas changer nous ne serons pas sur terre pour vous juger !!!! Pendant que vous avez le choix entre la Côte d’Ivoire, Paris, Dubaï...........!!!!!

    Amicalement

  • Le 1er juillet 2016 à 15:51, par konan En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Sincerement je suis decu de simon compaore parceque il dit jamais la verite aujordi rouge demain blanc un ministre qui tourne e rond sans aucune action concrete dans ces actions et dans ces declarations .il se croit toujours maire de waga ce simon

  • Le 1er juillet 2016 à 15:52, par Vieux Zorro En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Il parait que Simon a encore empêché Achille Tapsoba de voyager ce midi. Comme la dernière fois, il a été sorti manu militari de l’avion. C’est franchement ridicule ! Simon doit quitter dans ça et mettre fin à ses méthodes de "koglwéogo".

  • Le 1er juillet 2016 à 16:00 En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Laissez simon travailler !partout ilya des problèmes de securité.c’est à la population de denoncer tous comportements suspects.

  • Le 1er juillet 2016 à 16:01, par Cheick Omar Sissoko En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Monsieur le ministre d’ETAT il est question de TERRORISME, ici on parle de la securite des burkinabes. Alors, nous ne pouvons plus attendre de voir. il est encore temps de sauver la situation avant qu’elle ne s’enlise. Voyez vous le prbleme des Kolgweogos devrait etre canaliser des le debut si un ministre competent etait en charge de la securite.

    la gestion de la securite differe de la gestion des marches et yaars ou de la propagande nocture ou aux aurores dans les mosques et autres lieux de cultes. Ce n’est pas non plus la chasse aux prostitues et autres chambres de passe dans une ville d’environ deux millions d’habitants, encore moins la lutte contre la divagation des moutons et autres anes qui echappent a la surveillance de leurs proprietaires. la securite d’un pays repose sur des parametres interieurs et exterieurs et bien d’autres leviers qu’il faut savoir exploiter, donc une affaire qui doit etre porter par des gens qui en ont la competence.

    S’agissant de la defiance a l’autorite de l’etat, mponsieur le ministre nous constatons que vous n’assumer pas !!! Des gens toute peur bue ont CRIER haut et fort et ASSUME - PERSISTE - et SIGNE qu’il defie votre AUTORITE et ne s’en cache pas. Si vous ne pouver pas les rappeller a l’ordre et n’etes pas capable de mettre les points sur les i et que se soit d’autres personnes qui viennent a mettre les points sur les i a votre place alors nous ne pouvons comprendre ou se trouve l’AUTORITE du Seul et Unique Ministre d’Etat du Faso !
    les Terroristes eux se cachent, nous pourrions comprendre qu’il est difficile de les traquer, mais des individus vous DEFIENT en Public et vous chercher d’autre individus pour mettre les points sur les i a votre place.
    Monsieur accepter humblement que l’on vous decharge du departement de la securite, car cette cullotte comme vous le dites n’est pas a votre taille, elle est trop grande pour vos competence.

    le Terrorisme ne releve pas de la vie pratique comme vous le dites, elle est loin de tout ce que vous avez appris de facon pratique dans votre vie. C’est une nebuleuse que vous avez du mal a cerner comme phenomene.
    Monsieur le Ministre d’ETAT votre imcompetence en matiere de securite est etaller dans votre discours. De grace nous recherchons des solutions pour la quietude du peuple ici au Faso, pas de la propagande politique. Vous devez avoir certainement beaucoup de competence pour conduire la decentralisation, aider les communes a se doter des structures qui vont accelerer le developpement local, et favoriser le bien etre dans les communues urbaines et locales, alors foncer sur ces axes et laisser la securite a plus competent. Vous etes limite sur ce volet.

    il nous faut un ministre de la securite plus competent et surtout moins bavard et AGITER.

  • Le 1er juillet 2016 à 16:29, par Voix haute En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Monsieur le ministre Simon, votre incompetence en matiere de securiter se lis dans vos disours. De grace arreter de vous ridiculiser, car a chacune de vos sorties les specialistes de la securiter et le terroristes ont la preuve de la fragiliter de notre dispositifs en matiere de securiter. ils sont rassurer par la pauvreter de votre discours et autres plans de ripostes. Les burkinabes ne peuvent pas attendre votre echec avant de reagir. Vous devez vous decharger du portefeuille de la securiter avec effet immediat.

    Y a pas de honte a ne pas etre competent sur certaines questions.

  • Le 1er juillet 2016 à 19:14, par Moi aussi En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Un républicain, un vrai, face à un scandale, un échec ou une mauvaise gestion de dossier, rend sa démission à celui qui lui a donné les charges. Si tu attends que RMCK te dégomme, c’est trop lui demander. Il ne voudra certainement pas t’humilier pour ton âge. Sinon, si tu pouvais rentrer dans le cœur du Président ou de certains de tes camarades, tu saurais la réalité. On est en Afrique où il n’est pas bien d’humilier un vieux de surcroit un ami et camarade.
    Même en Occident, ce sont les porteurs de charges qui démissionnent. Même face au refus du chef, ils persistent.
    Donc, Simon, si tu aimes ce pays et sa population, si tu estimes le Président et si tu es un vrai mossi, rends le tablier toi-même et ça vaudra mieux pour tous.

  • Le 1er juillet 2016 à 20:05, par Passakziri En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    J avais commencé hier soir à suivre l’émission sur Omega, mais j ai fini par jetter l#éponge apres une demi heure à 3/4 d’heures , parce que Simon Compaoré passait son temps à tourner autour des question et á nous raconter des choses qu’on connait deja. cette facon de demander d’attendre pour voir le résultat ne marche pas ici. le rendez-vous est pris pour quand , pour quels résultats ? au lieu de nous servir vos dscours de politiciens ennuyeux il fallait que le ministe nous dise quels objectifs il se fixe pour quelle période. Au lieu de ca , c ’est le blabla habituel.Comme quoi rien re sera comme avant. Hum ??

    Passakziri

  • Le 1er juillet 2016 à 20:21, par TCR En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Pourquoi tant d’acharnement sur Simon ?
    Je trouve personnellement qu’il a été bien sage et bien posé lors de l’émission. Dans l’ensemble, il s’est bien défendu.
    Comme toujours, beaucoup ont la critique facile et veulent que les choses marchent toujours du "tic au tac".
    En entendant, laissons Simon travailler pendant au moins un an pour bien mesurer sa capacité on non à gérer son ministère.

  • Le 2 juillet 2016 à 00:18 En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Il est très facile de critiquer. Vous les burkinabe vous ne savez pas ce que vous voulez. Parlons de la région de l’est avant même que les RSS n’accèdent au pouvoir, cette région avait comme gouverneur des corps habillés. Qu’ont ils pu faire ? Arrêter de distraire les gens avec vos analyses sans fondement. Ce n’est pas simon qui va venir en 6 mois pour effacer tous vos maux. Ils existent depuis 27 et plus. Si vous même vous changer ( burkinabe), beaucoup de choses pourront s’ améliorer. Laisser la haine, la jalousie de côté et vous verrez par vous même l’évolution. Sinon à l’allure où vont les choses on risque tous de se ré trouver sans habitations et moyens de déplacement comme nul ne veut voir son camarade, voisin ou collègue réussir sans prétexter quelques chose. An fo.

  • Le 2 juillet 2016 à 05:52, par Yiriba En réponse à : « Laissez-nous agir et vous jugerez après », Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Les Kolgweogos ne s’en prennent seulement qu’aux Burkinabè présumés voleurs en général ou bandits. À la connaissance du publique, les Kolgweogos n’ont jamais mis la main sur un terroriste que craignent toutes les armées du monde les mieux entrainées, ni donner des pistes probantes des organisations terroristes. Visiblement, ils n’ont pas de connaissances dans ce chapitre des renseignements et des services secrets pour être utiles. Ils vont continuer à matter nos pauvres con-citoyens innocents que le ministre considerera comme des cas d’exceptions, quand même c’est tout ce qu’ils savent bien faire. Si les Kolgweogos sont là pour la lutte anti-terroriste, la pêche sera maigre en terroristes, sauf si les voleurs de chèvres sont synonymes de terroristes.

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