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Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

Publié le jeudi 28 avril 2016 à 23h13min

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Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

La bêtise de septembre 2015 a laissé des traces qui collent à la peau des chefs militaires. Convoqués une première, puis une deuxième fois par le juge militaire, les hauts gradés des Forces de défense et de sécurité semblent faire un front commun de refus. Ils ne se présentent pas. Depuis, les supputations vont bon train. Elle a beau être muette, son silence est lourd et fait beaucoup de bruit. Quelle sera l’issue de cette situation délicate qui met mal à l’aise le juge militaire, le chef suprême des armées, la haute hiérarchie des Forces de défense et de sécurité ?

Convoqués par les juges militaires la semaine dernière, sans succès, les hauts gradés étaient une fois de plus attendus ce 27 avril 2016. Si pour la première fois, il nous est revenu que c’est le juge militaire lui-même qui avait annulé sa convocation, le fait qu’il ait reconduit sa demande laisse perplexe plus d’un. Pourquoi annuler pour relancer quelques jours après ?

En tout cas, comme s’ils s’étaient passés le mot, ni le Chef d’Etat-major général des armées, le Général Pingrenooma Zagré, ni le Chef d’Etat-major de la gendarmerie nationale, Tuandaba Coulibaly, encore moins le directeur général de la Police nationale, le commissaire Lazare Tarpaga et quelques autres officiers supérieurs, n’ont daigné se présenter au tribunal militaire.

Le coup d’Etat du 15 septembre 2015 n’a certainement pas fini de dévoiler ses secrets. Et ce ne sont pas seulement les célèbres détenus de la maison d’arrêt et de correction des armées qui peuvent renseigner le juge militaire. Ils se considèrent comme ‘’co-responsables ‘’. Accusée par certains pour sa relative passivité aux premières heures du putsch, les chefs militaires, à tort ou à raison, sont accusés d’avoir été de connivence avec le général félon et sa horde.
Sur cette base, on ne pourra pas leur en tenir rigueur, puisqu’ils ont eu le temps de se rattraper, même si ce sont les jeunes officiers, « les boys » de Kafando, qui leur ont montré la voie, les forçant pratiquement à la suivre.

Depuis sa cellule, Golf aurait-il fait de ‘’grandes révélations’’ qui accablent ses frères d’armes ? Veut-il les enfoncer, les entraîner avec lui dans sa chute, pour avoir refusé de le suivre dans sa tentative de putsch ? On se rappelle que dès les premières heures du coup de force, le Gal. Gilbert Diendéré avait affirmé avoir le soutien des chefs militaires ; ce que certains officiers avaient démenti. ‘’Il veut juste semer le doute dans les rangs et avoir du temps’’ s’était-on exclamé. Disait-il vrai ? Le refus des chefs militaires serait-il un geste de dépit, de colère face à ce qu’ils considèrent comme des accusations injustes ou un zèle débordant du juge d’instruction ?

En tout cas, comme le dirait un proverbe Gulmantché, tant que tu n’as pas l’occasion de parler, de t’expliquer, tu ne peux avoir raison. Pour mettre fin à la situation délétère sujette à toutes les supputations, la haute hiérarchie devrait prendre ses responsabilités. Golf lui-même, même si c’était tard pour l’absoudre, avait eu le courage de reconnaître sa campagne malheureuse et avait dit se mettre à la disposition de la justice. Ceux qu’on veut entendre ne doivent pas se dérober, si les procédures sont respectées.Ce serait un exemple donné à la troupe, comme quoi personne n’est au-dessus de la loi. Et s’ils n’ont rien à se reprocher, ils en sortiraient plus que grandis.

Ce jeu de cache-cache, ne rassure personne. « S’il y avait du rififi au sein de l’armée, je ne serai pas là sur votre plateau. Je serai entrain de résoudre d’abord ce problème", avait dit le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré lors de l’émission « Dialogue citoyen » du 26 avril. C’est le souhait de tous les Burkinabè, qu’il n’y ait pas du rififi au sein de l’armée ! Mais en attendant, il faut en finir avec cette histoire de putsch qui se présente comme une équation à plusieurs inconnues et commence à gangrener l’atmosphère sociale nationale.

Le président du Faso, chef suprême des armées, va-t-il intervenir pour sonner le glas d’une situation malheureuse dont il a héritée ? C’est ce que l’on souhaite vivement !

Tiga Cheick Sawadogo (tigacheick@hotmail.fr)
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 28 avril 2016 à 17:58, par Raso En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    En tout cas, c’est maintenant qu’on saura si la justice est vraiment indépendante dans ce pays.

  • Le 28 avril 2016 à 18:10, par JAMES KENNY En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    Quand on nous disait que les chosent changent au Faso, les aigris, déçu de la chute du demi dieu blaise disaient non. le simple fait que le juge convoque la haute hiérarchie de l’armée est en soi un bon signe, plus personne ne peut se blinder contre la justice ; n’en déplaise a ceux qui crient à la mise en danger du pays. Les gradés appelés vont argumenter et repartir sereinement vu qu’ils sont blanc dans cette affaire. a moins que.......

  • Le 28 avril 2016 à 18:19, par léveillé En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    A mon humble avis ce genre d’affaire ne devrait s’étaler sur la publique !!!nous sommes toujours dans le viseur de qui vous savez !!je crois absolument pas à la culpabilité du général Zagré !!sinon il ne se serait pas rendu au camp du RSP dans la nuit du 16 au 17 avec l’ancien président JBO et l’évêque de Bobo jusqu’à 3 h du matin !!ensuite n’oublions pas que le gouvernement était pris en otage !!!!il fallait être prudent et agir avec tact et quand tout le monde a été libéré monter l’opération de réduction du nid de vipères !!!

  • Le 28 avril 2016 à 18:22, par SIDPAWETTA En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    IL Y A D AUTRES DOSSIERS ...POURQUOI S ACHARNER SUR CEUX LA QUI ONT PERMIS UN DENOUEMENT PRESQUE HEUREUX DU COUP D ETAT..CE N EST QUE DE LA PURE VENGENCE DES MECS DE ZIDA...CETTE BETTISE HUMAINE EN GESTATION AURA DES CONSEQUENCES NEGATIVES SUR L ARMEE ET LE BURKINA...
    QUE DES JEUNES OFFICIERS CORROMPUS ET MANIPULES PAR ZIDA VEILLENT LIQUIDER LEURS ANCIENS, C EST IMMORAL...ET ILS LE PAYERONT TRES CHER.. OEIL POUR OEIL ET DENT POUR DENT

  • Le 28 avril 2016 à 19:05, par jule En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    Chères lecteurs j’etait contre le régime compaore quand les RSS étais toujours au Command du CDP, mais quand ils RSS on fais leurs Mea-culpa pour tromper le peuple j’avais dit qu’ils n’on pas d’autres systèmes de gouvernance plus que ce qu’ils on apris et pratiquer au CDP. Depuis 2011 blaise était le ministre de la défense il a pourrie système la hiérarchie militaire, Roch est venue et il encore ministre de la défense donc ce qui veut dire si Roch ne suit pas les même méthode de blaise notre pays est toujours dans l’impasse politico-militaire.

  • Le 28 avril 2016 à 19:19, par SIDPAWETTA En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    CERTAINS CORROMPUS VEULENT SEMER DES TROUBLES DANS PAYS . CE JUGE LUI MEME EST SUSPECT... IL Y A DES GENS QUI TIRENT LES FICELLES EN BAS DANS CETTE AFFAIRE ET C EST LA BANDE A ZIDA..CE DERNIER QUI DOIT ETRE TRADUIT EN CONSEIL DE DISCIPLINE ET RAYE DES FAN EST ENTRAIN DE METTRE EN OEUVRE SON PLAN B..

  • Le 28 avril 2016 à 20:10, par lassane En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    Dans la vie d’une nation ,il faut savoir sublimer ce qui est primordial de ce qui est moins primordial .Parfois ,il faut savoir sacrifier certaines choses pour l’intérêt supérieur d’un pays. Comme nous l’enseigne une sagesse c’est construire qui est difficile, tandis que détruire est facile .Même si ces officiers supérieurs avaient tergiversé dans leur position lors du PUTSH du 16 septembre 2015 leur attitude peut être à mon avis compréhensible et pardonnée face au RSP en son temps ; d’autant qu’ils ont quand même essayé de se rattraper lorsqu’ils ont compris que le peuple n’était pas du tout d’accord pour le coup d’Etat du 16 septembre 2015 et ont inscrit leur action dans ce sens .Qui d’ailleurs n’aurait pas hésité avant de prendre position face au redoutable RSP qui n’aurait pas hésité à vous envoyer six mètres sous terre .Pour officiers qu’ils soient les ZAGRE et autres sont d’abord et aussi des humains avec leurs forces et faiblesses .Si ZAGRE n’avait pas fait preuve d’intelligence peut-être que le BURKINA FASO était en guerre civile aujourd’hui ..Faisons toujours attention aux réactions d’hommes armés qui se sentiraient humiliés et jetés en pâture .Il faut que le président ROCK fasse beaucoup attention, sinon le pays va se déchirer entre ses mains .L’impression majoritaire qui se dégage aujourd’hui au FASO est qu’il y a trop de règlements de compte presque partout .Par contre ,si le président ROCK après son investiture avait par exemple procédé à des mouvements à la tête de notre armée ,gendarmerie, police nationale ,vu qu’il savait très bien déjà tout ce qui se racontait sur l’attitude de ces officiers ,il ne serait pas dans cette position inconfortable aujourd’hui .Président ,voilà ce que ça coute d’être tout le temps hésitant ,de vouloir prendre tout son temps avant d’agir .Et maintenant comment allez-vous faire , si ces officiers supérieurs continuent à ne pas répondre à la convocation de la justice militaire ? Quelle autorité l’Etat burkinabè vat-il avoir encore si le processus devait s’arrêter ,surtout que son autorité est déjà complètement à terre ? Dieu sauve le BURKINA FASO .

  • Le 28 avril 2016 à 20:15 En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    pour les 3 têtes,je pense que le chef d’état major des armées le général zagré ne doit pas être dans le coup. par contre j’ai de sérieux doute pour ce qui concerne le chef d’état major de la gendarmerie car dans une des conversations de yépini bassolé avec sa rebecca,il laisse entendre que les plus hautes autorités de la gendarmerie lui ont permis d’exfiltrer un ivoirien qui faisait du zèle lors du putsch en étant pas trop prudent. enfin s’agissant du dg de la police nationale,je suis sans opinion. enfin si ce qui est écrit en flash info du faso.net est vrai à savoir que le mandat d’arrêt international contre ce gros criminel est levé,je me pose la question pourquoi on cherche des noises à certains comme le général zagré que j’ai trouvé intègre et fin tacticien pendant la crise. il est donc temps d’arrêter la comédie

  • Le 28 avril 2016 à 20:36, par vérité no1 En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    Notre justice, c’est du vrai bordel ! On libère des criminels et on poursuit des sauveurs !!!!!!

  • Le 28 avril 2016 à 20:42, par PASEKTAALE En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    pour une stabilité au sein des forces armées, il faudra :
    - mettre aux arrêts le lieutenant colonel ZIDA( retirer les étoiles) et son acolyte (Barry, sournois et médiocre) ;
    - remplacer rapidement le dispositif qu’ils avaient mis en place au sein de l’armée, la gendarmerie (surtout) et de la police, pour accomplir leur basse besogne (demeurer au pouvoir) ;
    - faire la promotion des jeunes pour un changement radical ( il faut oser) ;
    - revoir les évolutions en garde au sein des forces armées ( trop de pléthore de gradé et même anticiper la retraite de certains)
    - ha la justice, la grande plaie béante, écouter bien : radier certains magistrats à vie dans le métier (plus que jamais corrompu) et revoir encore le système judiciaire. la première et bonne occasion présentée, le président et sa suite l’ont raté (pendant leur gréve), en les satisfaisant cela risque de compromettre la stabilité car les autres syndicats menacent aussi, wait and see
    - la police (made in BARRY) pour avoir nommé ses anciens élevés quand il était directeur de l’école de police dans les années 90, une bande de fatigués : conséquences le système est grippé.
    - retirer la sécurité au chef suprême des koglweogo, qui se crois toujours à la mairie, avec ses nomination d’accointance il risque de plonger le pays d’avantage dans l’insécurité. on ne saurait accompagner ses gens, je dis non. c’est des délinquants et des voyous. je connais leur origine et pour quoi ils sont nés.

    avis discutable. merci

  • Le 28 avril 2016 à 21:04, par prudent En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    internaute 10, sans trop vous vexer, vous êtes tout simplement pitoyable.

  • Le 28 avril 2016 à 21:05 En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    Le vrai diable est dehors. Et il manœuvre pour faire fonctionner son plan B coute que coûte. Il est désormais dans l’impasse, la preuve est évidente puisqu’il refuse de rentrer malgré la sommation du PF. Il n’a plus d’autres choix, il faut qu’il avance à tout prix, coûte que coute, vaille que vaille ! Tout comme ça été pour son aîné, la fin approche pour lui aussi.

  • Le 28 avril 2016 à 21:08, par VP En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    Est ce que le Juge militaire à suivit la voie qu’il faille suivre dans ces cas.Je me dis que s’il y a faute par la haute hiérarchie militaire et sécuritaire dans cette affaire de coup d’État,cela relèverait d’une faute de service.Par conséquent, ce juge militaire devrait faire attention en utilisant les voies administratives appropriées pour transmettre ces convocations.Ces hauts gradés ne devraient pas être convoqués comme des vulgaires types.
    Généralement,la hiérarchie militaire dans ce cas de figure agit par collégialité. Je me dis que pendant ce coup d’État,nos chefs militaires et sécuritaires ont agit avec tact.Leur comportement a surtout permis d’atteindre l’objectif recherché.
    Vous savez tous que Golf est trop rusé. Le faux RAMBO est trop courageux.Faites beaucoup attention.
    Voilà qu’on me signale que les Mandats d’Arrêt ont été annulés.Les Juges doivent surtout éviter le spectacle et la précipitation.

  • Le 28 avril 2016 à 21:50 En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    10 Pazektaale si vous étiez un de nos juges vous alliez libérer aussi Bassolé et Diendéré pour emprisonner Zida. Dites-nous les crimes de ce dernier. Vous osez parler de stabilité dans l’armée en punissant des innocents, pendant qu’on lève des mandats contre des assassins notoires, et en retournant des militaires les uns contre les autres. Vous êtes un irresponsable

  • Le 28 avril 2016 à 21:53, par Brahma En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    SORO qui a planifié de faire échouer l’insurrection et de tuer Sherif, Salif, Zida, ... n’est plus recherché ! Blaise non plus ! Drôle de gouvernance du pays.

    Alors quand je vois ça, et observe tout se qui se passe depuis l’arrivée des RSS, il y a une seule chose qui me déchire le coeur : c’est en vain que les enfants se sont faits assassinés en 2014 et 2015 ! Car les RSS n’ont qu’une seule priorité : rétablir sous couvert du MPP le "système" (manière de gouverner) CDP qu’ils ont toujours chéri, et si besoin en écrasant sur le passage toute personne qui cru, au risque de sa vie, au changement.

    Mais Roch se trompe : il fait là un mauvais deal en s’alliant à tous ces ennemis extérieurs et intérieurs du peuple qui orientent ses décisions. Oui, le règne de Roch peut durer, peut-être même plus que pour Blaise (y a nouvelle constitution qu’on adopte, non ?), mais à cette allure la fin sera identique à celle de Blaise. On vous flatte, Mr le Président. C’est pas comme ça on dirige un pays. SORO surtout peut jamais changer, et à la première occasion, il sera votre tombeur, et peut-être même de tout le pays.

  • Le 28 avril 2016 à 23:13, par paul ouedraogo En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    le fait que nos chefs de defense et de securite ont laisser les barbares de r.s.p patrouiller en ville a leur guise en la mettant a feu et a sang, en tuant nos freres, en brulant nos motos..........
    il fodra bien quils nous explik pourquoi.
    car on a crier o secours, a l’aide et rien de leur part..
    sans vouloir vous rapeler kil a fallu ke nos braves officiers des regions viennent pour ke ces loupsgarous fuient a leur taniere de camp.
    chers chefs, vous pouviez negocier en prenant au moins des positions defensives en ville pour proteger le civil et ne pas leur laisser la ville comme si cetai le champs de leur grandpere

    Dieu protege le faible.

  • Le 28 avril 2016 à 23:15 En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    A Monsieur le juge Mili-tare,
    "Attendez, c’est moi qu’il cherche..."Ils sont venues me voir..." Il est parti etablir un cordon securitaire au rond point des Nations Unies le laissant mourir de ses blessures... Il a ete abattu et bruler.Sous ses ordres,il a tire et tuer des innocents pour etre President. Mr le juge, donne moi le nom d’un seul Burkina qui a tue autant de Burkinabe que Diendere. Enfin il vient te voir pour dire que son coup d’Etat n’a pas reussi parce que toute l’armee lui supportait.Donc enfermons les tous, meme le Gl Zagre(au moins il a ete acquite ) qu’il a cherche a abattre en son temps. Mr le Juge si vous n’etes pas a la hauteur demisionner pour votre honneur. Reflechissez sur ce que Le lion a dit sur la mort de sankara pour savoir que Zagre n’a rien a voir dans ce coup."pourquoi pleurer la mort de quelqu’un et soutenir ceux qui l’ont tue" As tu connu Patrice Zagre ??

  • Le 29 avril 2016 à 01:28, par vérité no1 En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    Vraiment, je ne comprends plus rien dans ce pays ! Dites-moi que je suis dans un autre pays ! Just like that ? C’est trop facile ! C’est comme si quelqu’un violait ta femme et on vient te dire que tu as mal expliqué l’incident et par conséquent y a rien ! Un peu de sérieux quand même !

  • Le 29 avril 2016 à 02:06, par SOGOSSIRA de Tuiré En réponse à : Compte rendu du Conseil des ministres du 24 février 2016

    La justice clé de voûte de notre système, Indėpendance de la justice.....etc. Je me demande si notre Burkina conglomérat d’ethnies en compétition pour le leadership par le biais de leurs chefs en bonnet rouge ou noir, et bientôt conglomérat de Kogleweogho, si notre Burkina donc était assez mur pour digérer et pratiquer ces concepts propres aux sociétés qui ont atteint une niveau de maturité élevé ( absence de problème alimentaire, pratique de la démocratie sur la durée, niveau d’instruction élevé de la population, état de nation ou quasi nation atteinte...). Les institutions fortes c’est bien mais sans des hommes compétents et à la hauteur c’est des monstres qui se bouffent parce que ce sont les hommes qui interprètent les textes et décident. Avec la cacophonie au niveau de notre justice militaire je me demande où notre pays se dirige et s’il ya des hommes de droit compétents qui y siègent ou des apprentis juristes en manque de pratique. Avec l’amateurisme au sommets des institutions, si nous ne prenons garde un jour nous auront les institutions bloquées les quatre roues en l’air parce que des quidams imbus de l’indépendance de leur fonction auront décidé par leurs humeurs au lieu de dire le droit . Le Burkina est devenue une curiosité qui lance un mandat d’arrêt international contre la deuxième personnalité de l’état qui est son première partenaire économique et le premier l’exutoire de sa jeunesse désoeuvré en quête de mieux être, sans que le chef d’état ne soit informé. Et tout ceci dans un amateurisme qui frise l’infantilisme. J’ai le pressentiment que le seul tort de Maître Mamadou TRAORE qui lui vaut son mandat de dépôt par ce "muet militaire" qui cherche à dire le droit en begaillant est d’avoir été l’avocat qui a plaidé au niveau de la CDEAO pour la cause des exclus des élections, les seuls à qui profitait le crime de Dienderé. Vivement que la montagne accouche et qu’on tourne définitivement le chapitre "Compaoré vs Sankara" de l’histoire de l’avenir du Burkina qui nous a tenu en haleine pendant plus de 32 ans.

  • Le 29 avril 2016 à 06:10, par Sampawindé En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    Continuons de jouer avec le feu !!!!!!!!!!

  • Le 29 avril 2016 à 06:10, par SIDPAWETTA En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    SI LA HAUTE HIERARCHIE MILITAIRE N AVAIT PAS PREUVE D INTELLIGENCE..LA SITUATION ALLAIT ETRE TRES REGRETABLE. CES JEUNES OFFICIERS SE SERAIENT FAIT MASSACRES

  • Le 29 avril 2016 à 06:20, par SIDPAWETTA En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    INTERNET 10 ......UNE ARMEE NE PEUT PAS ETRE COMMANDEE PAR DES LIEUTENANTS ET DES CAPITAINES. IL FAUT DEMANDER A SANKARA ENSUITE LE GRADE CONFERE L APTITUDE A EXERCER UNE FONCTION .....ENFIN LES GRADES SONT MAL EMPLOYES IL N Y A PAS DE PROFIL DE CARRIERE..... PUIS SI ON RAJEUNISSAIT TOUTE LA FONCTION PUBLIQUE EN CHASSANT TOUS LES VIEUX CA DONNERAIT QUOI

  • Le 29 avril 2016 à 06:42, par Kelemassa En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    IL EST DÉPLORABLE QUE CE SOIT PAR DES OSC DU GENRE #BalaiCitoyen QUE L’ON APPRENNE QUEL CHEF MILITAIRE SERA AUDITIONNÉ OU PAS. IL EST TEMPS DE DÉZIDAFIER L’ARMÉE ET LE TRIBUNAL MILITAIRE. UN LIEUTENANT COLONEL NE DOIT PAS POURRIR LA VIE DE LA NATION. QU’IL RAMÈNE NOS 86 MILLIARDS ET RÉPONDE DE L’USURPATION DE GRADE ET COMPRTENCES. C’EST TOUT.

  • Le 29 avril 2016 à 08:37, par général En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    Internaute 23 (Kelemassa) tu délires, personne ne touchera au général Zida dans ce pays où on libère des assassins. Et puis, pour ton information, même Roch a bien précisé que les 86 milliards ne datent pas de la Transition mais remontent à plus de 5 ans. Informe toi et ne perds pas ton temps à rêver d’inquiéter le général Zida

  • Le 29 avril 2016 à 08:52, par GBABILI En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    Qu’on mette tous ces vieux GENERAUX à la retraite anticipée. ZAGRE, HONORE TRAORE, TUANDABA COULIBALY, TARPAGA etc. Retraite d’office pour ces vieux loups incompétents et des traitres. Honte a cette générations d’officiers corrompus ; place à des intègres ;courageux et dignes. Balayer ces vieux crocodiles aux yeux gluants.

  • Le 29 avril 2016 à 09:34, par Le timide En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    A mon humble avis les burkinabé ne devraient pas laisser leurs émotions et ressentiments prendre le dessus. Faisons un peu preuve de discernement dans ce qui se passe. Pour le cas du Gal Zagré, il est vrai que son attitude lors du putsch était suspecte mais cela ne veut pas dire qu’il est forcement trempé. Pour l’annulation des mandats d’arrêt, il faut tout simplement noter qu’il y a eu vice de forme dans les procédures ; cela n’implique pas que les poursuites cessent. Les juges en charge de l’affaire peuvent apporter des corrections et réintroduire le dossier. Il faut que les gens comprennent que les juges appliquent la loi c-à-d ce qui est écrit même si cela ne leur plaît pas. On comprend que le peuple soit assoiffé de justice mais il ne faut pas non plus balayer du revers de la main tout ce qui tombe comme décisions. Nous avons voulu que la justice soit indépendante, laissons-lui donc le temps de faire son travail. Vouloir qu’elle prenne les décisions que nous voulons ce n’est pas faire la loi, c’est plutôt faire de l’arbitraire. Nous voulons que les juges appliquent la loi et dans le même temps nous voulons qu’ils l’appliquent comme nous le voudrions. Cela n’est pas de la justice. Laissons le temps au temps sinon à vouloir trop acculer les juges nous finirons tous par être emportés. L’émotion vous rend aveugle mais la patience vous éclaire. A bon entendeur, salut ! Dura lex sed lex !

  • Le 29 avril 2016 à 09:36, par Le timide En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    A mon humble avis les burkinabé ne devraient pas laisser leurs émotions et ressentiments prendre le dessus. Faisons un peu preuve de discernement dans ce qui se passe. Pour le cas du Gal Zagré, il est vrai que son attitude lors du putsch était suspecte mais cela ne veut pas dire qu’il est forcement trempé. Pour l’annulation des mandats d’arrêt, il faut tout simplement noter qu’il y a eu vice de forme dans les procédures ; cela n’implique pas que les poursuites cessent. Les juges en charge de l’affaire peuvent apporter des corrections et réintroduire le dossier. Il faut que les gens comprennent que les juges appliquent la loi c-à-d ce qui est écrit même si cela ne leur plaît pas. On comprend que le peuple soit assoiffé de justice mais il ne faut pas non plus balayer du revers de la main tout ce qui tombe comme décisions. Nous avons voulu que la justice soit indépendante, laissons-lui donc le temps de faire son travail. Vouloir qu’elle prenne les décisions que nous voulons ce n’est pas faire la loi, c’est plutôt faire de l’arbitraire. Nous voulons que les juges appliquent la loi et dans le même temps nous voulons qu’ils l’appliquent comme nous le voudrions. Cela n’est pas de la justice. Laissons le temps au temps sinon à vouloir trop acculer les juges nous finirons tous par être emportés. L’émotion vous rend aveugle mais la patience vous éclaire. A bon entendeur, salut ! Dura lex sed lex !

  • Le 29 avril 2016 à 10:01, par faber En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    Je tiens à dire à tous que la justice est faites pour tous et non pour des hommes de rang.Chers Officiers supérieurs, vous n’êtes pas au dessus de la loi, donnez l’exemple à vos hommes.
    Chers juges militaires, nous sommes silencieux mais nous observons et vous avez notre soutien face à vos officiers orgueilleux . Ils auront le sort qui est réservé à toute personne qui se prend pour un demi-Dieu.

  • Le 29 avril 2016 à 10:46, par bintoa En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    Tout ceci fait désordre et menace grandement notre pays.

  • Le 29 avril 2016 à 19:30, par AFGANO En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    Même inquiétude que l’internaute 29 Bintoa .Franchement ,il faut que le président ROCK redresse vite la barre avant qu’il ne soit trop tard .L’ambiance actuelle au BURKINA FASO n’est pas du tout bonne, ni rassurant pour l’avenir .Tout est à revoir sérieusement . Le gouvernement qui compte plein de ministres incompétents et immatures qui ne sont pas à la hauteur de la fonction d’homme d’Etat ,l’autorité de l’Etat totalement inexistante ,l’administration publique totalement désarticulée et délestée de sa déontologie et de toutes les valeurs nobles qui fondent et font sa force ,des ministères gérés comme des propriétés privées, des élèves devenus de véritables dangers publics qui tabassent leurs enseignants ,des kogloeogo qui constituent une grande menace pour l’existence pérenne de l’Etat .Et face à toutes ces insuffisances criardes ,on nous sert du "circulez, y a rien à voir " .C’est paroles d’aigris seulement .Et quand le président du Faso ou ses ministres daignent se prononcer sur ces critiques à l’endroit du gouvernement c’est toujours par des bottes en touche, des refus de voir la réalité ,si ce n’est par la clownerie à l’image de SIMON .Ok Blaise aussi avait joué à la politique de l’autruche malgré tous les signaux alarmants que même un aveugle pouvaient sentir. Le résultat est là aujourd’hui et Blaise a du soupirer et pleurer le jour où il fut contraint de fuir 120 à l’heure en plein midi . Trop tard .
    .

  • Le 29 avril 2016 à 21:52, par warba En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    Attention a la fanfare militaire comme au temps de saye zerbo.

  • Le 29 avril 2016 à 22:44 En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    A nos braves officiers, il serait temps qu’ils aillent répondre devant la justice. Le juge veut juste les entendre pour pouvoir les laver de tout soupçon ou les envoyer rejoindre Golf.
    Je pense à tous ces militaires qui se demandent à quelle sauce ils seront bouffés pour leurs divers crimes sous les différents régimes militaires.

  • Le 1er mai 2016 à 08:27, par Truth Hurts En réponse à : Dialogue de sourds entre le juge militaire et la haute hiérarchie de l’armée : A quand la fin du jeu de cache-cache ?

    Chers internautes, faisons preuve de discernement. Si le juge convoque un Burkinabè, il doit répondre quel que soit son statut. Répondre à la convocation du juge est tout simplement un acte citoyen auquel personne ne doit se dérober. Les convoqués doivent reconsidérer leur position afin de permettre au juge de poursuivre son instruction. S’ils n’ont rien à se reprocher, ils regagneront tranquillement leur caserne après l’audition. Quelle leçon de civisme ces hauts gradés veulent-ils donner à nos enfants en agissant de la sorte ? La meilleur façon de gouverner un pays c’est par l’exemple. Pour l’amour de la patrie que ces burkinabè aillent voir le juge !

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