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Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

Publié le mardi 2 février 2016 à 09h39min

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Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

Dans le silence, ils font partie de ceux qui se saignent pour que les jeunes Burkinabè, ceux du « pays réel » sachent lire et écrire. De ces enseignants dits de brousse, il faut compter Daouda Guinko. A l’appel du service, il a quitté son confort ombragé de Bobo Dioulasso pour aller marcher dans le sable chaud du Sahel, dans la province de l’Oudalan. Bientôt 30 ans, il se trouve être le directeur d’une école à une seule classe. Et en paillote. « Quand je regarde mes élèves, leur regard innocent, ça me motive tellement… » ; c’est ce qui fait tenir ce jeune enseignant avec 5 années de service. Portrait, d’un ancien pensionnaire du lycée municipal de Bobo qui ‘’s’est égaré’’ dans le désert, à près de 700 km de chez lui.

Ils sont nombreux. Toujours loin de l’actualité quotidienne dans les médias, ils n’en demeurent pas moins des acteurs clés du processus de développement social et économique du pays, sans tambours.

Ils se comptent par milliers. Ce ne sont pas ces enseignants qui se retrouvent souvent à 5 dans une seule classe dans les grands centres urbains, alors que d’autres enseignants croupissent sous les effectifs pléthoriques en campagne. Ces lieux où ceux qui ‘’connaissent des gens’’ ne veulent pas être affectés.

Guinko Daouda, est le directeur de l’école Arreel, une bourgade située à 20 km de Gorom Gorom, le chef-lieu de la province de l’Oudalan. L’école de ‘’Monsieur’’ comme l’appellent ses élèves, ouverte le 1er octobre 2014, n’a qu’une seule classe. Le CP2, puisque le recrutement se fait chaque deux ans. « C’est moi qui ai ouvert l’établissement, il y avait à l’ouverture, environ 105 élèves », nous enseigne l’instituteur. Mais actuellement, sa classe de CP2 affiche un effectif de 82 élèves dont 15 abandons.

65 présents, 2 absents ce mercredi 27 janvier 2016. Des abandons dus surtout à la nature des activités des parents d’élèves (pastoralisme). « Les parents sont des nomades, ils se déplacent avec les enfants, après 4 mois, ils reviennent. Nous essayons chaque fois de les sensibiliser, on ne cesse jamais de le faire », ajoute-t-il.

Etre enseignant sous une paillote

A côté d’un arbre épineux-comme il y en a tellement dans la zone-, le drapeau du Burkina Faso flotte dans les airs, au gré du vent. Une paillote se dresse juste à côté. Des murettes construites avec des parpaings en terre sous ladite paillote servent de tables bancs aux apprenants. La classe est entourée de barrières en épine pour barrer la route aux animaux qui viennent brouter la paille. C’est la classe de CP2 que tient Daouda Guinko. Et tous les jours ouvrables, il a rendez-vous avec ses élèves.

Avec son 1m 85, il est obligé de se plier pour accéder à sa salle de classe, et de rester dans cette position pour dispenser ses cours. Un bidon lui sert de chaise, quand il veut s’asseoir. C’est l’environnement de travail du jeune enseignant toute l’année. « On se débrouille comme on peut, c’est la réalité », commente le jeune homme, sans un brin de plainte. Il ajoutera plus loin que les conditions difficiles de vie et de travail sont vite oubliées avec l’assiduité des élèves aux cours. « Malgré les conditions difficiles, c’est nous-mêmes qui essayons de sensibiliser les élèves. Et quand ils viennent, nous sommes déjà contents, c’est notre objectif…Les élèves manifestent de l’engouement. Leur niveau est appréciable ».

Loin de toutes les commodités que lui offrait la ville, le jeune citadin s’est adapté à la vie de campagne. « Ce qui me fait tenir, c’est la conscience professionnelle. Une fois qu’on a opté d’être un enseignant, il faut s’attendre à tout. Parce qu’on aime le métier, on a le devoir de travailler sinon on est grondé par sa conscience. J’aime ce que je fais. Ça ne me fait rien de quitter la grande ville », note fièrement l’ancien élève de l’école primaire Kôkô B de Bobo Dioulasso.

Natif de la deuxième plus grande ville du Burkina, où il a fait ses études primaires et secondaires, Daouda Guinko y retourne rarement. « Souvent les congés- mêmes, je ne rentre pas, puisque je suis déjà adapté au milieu. Les vacances, je rentre voir les parents et je reviens. Là où je travaille, c’est là que je vis. Souvent je n’arrive même pas à faire un mois à Bobo... c’est ici chez moi. Je m’adapte, avec les enfants, les parents d’élèves, les collègues, je ne m’ennuie pas … ».

« Un enseignant exemplaire »

Issue de la promotion 2010-2011 de l’ENEP de Gaoua, Daouda est à sa 5e année de service. Avant d’officier à Arreel, il a servi pendant 3 années dans le village de Kelerabo, à 25 km de Markoye toujours dans la province de l’Oudalan. Depuis, même s’il avoue qu’en formation il ne s’attendait pas à vivre ces conditions, une fois sur le terrain, son amour pour l’enseignement n’a pas pris de ride.

« C’est un enseignant engagé. Si vous voyez les conditions dans lesquelles il travaille avec ses élèves ! Avec les intempéries, souvent le hangar disparait, il reconstruit… il est travailleur, il se bat pour le maintien des élèves à l’école, même si les conditions ne sont pas faciles. Socialement aussi, il n’a pas de problème. C’est un enseignant exemplaire. Tous les jours quand on va le voir, il est là avec ses élèves ». Ce sont là les propos du supérieur hiérarque de l’enseignant, l’inspecteur, chef de la circonscription de l’éducation de Base, Bonkoungou Koug-Nongom.

« Quand je regarde mes élèves, leur regard innocent, ça me motive tellement de leur faire connaitre ce qu’ils ne connaissent pas. Grâce à moi aujourd’hui, plus de 80 élèves savent lire un peu, se débrouiller en français, je suis fier, je suis content déjà ». Parole d’un bobolais devenu sahélien.

C’est le 12 février prochain que notre enseignant soufflera ses 30 bougies, loin de sa famille, ses amis, mais dans son nouveau monde où il est parfaitement intégré. Même s’il adore enseigner, M. Guinko est également ambitieux. Il espère réussir à un concours professionnel. « Il fait sa pratique du CAP (ndlr. Certificat d’aptitudes pédagogiques) cette année même. », Nous apprend l’inspecteur.

« Un jour, je sais que je serai encore appelé à quitter le Sahel, pour servir dans une autre région » nous dit Daouda Guinko, le sourire en coin.

Tiga Cheick Sawadogo
(tigacheick@hotmail.fr)
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 2 février 2016 à 01:24 En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    S’il y des gens qui mérite de travailler à l’aise, ce sont bien ces hommes et femmes (enseignants de brousse) qui mène une guerre sans merci contre l’ignorance ! Contre toute attente, chacun autorité même ayant eu son enseignant de brousse, mais une foie hissé au sommet c’est en monnaie de singe que ces braves hommes et femmes sont payés. Il est temps qu’on revois les conditions de vie de ces vaillants combattant des ténèbres au Faso

  • Le 2 février 2016 à 03:21, par Naze En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Je loue le courage de Monsieur GUINKO. Mais c’est vraiment triste qu’il soit obligé de travailler dans ces conditions. J’ai des larmes aux yeux en lisant cet article. Personne ne mérite ça dans ce pays. C’est le type de personnes qui doit être décoré.
    Je dis un grand merci au Faso.net, qui à travers cet article, rappelle nos autorités à leur devoir basique.

  • Le 2 février 2016 à 04:23, par pabeguèba En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Courage Mr GUINKO le travail paye. Voilà des jeunes qui méritent la décoration. Bravo et que Dieu te bénisse. Jeunesse burkinabè inspirez vous de l’exemple du Sieur GUINKO.

  • Le 2 février 2016 à 06:21 En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Beaucoup de courage. Un exemple difficile à suivre

  • Le 2 février 2016 à 06:53 En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Voici des preuves que nous devons arrêter de gueuler et travailler pour le developpement de nos pays. Aucun burkinabe ne doit être fier si des enfants et des enseignants travaillent dans ces conditions difficiles et humiliantes, indigne d’une nation ambitieuse.

  • Le 2 février 2016 à 07:02, par le pacifiste En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Du courage intrépide combattant. c’est ça la réalité au Faso.Que dieu t’aide à obtenir ton concours professionnel

  • Le 2 février 2016 à 07:44, par L’étalon99 En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    voici un exemple de conscience professionnelle avérée
    au lieu de décorer ces exemples, on décore les médiocres et les corrompus tapis dans les grandes villes qui passent 80% de leur temps de travail dans les deals, le commerce, les bars etc ;

    Le ministre de l’enseignement devra immédiatement lui envoyer une lettre de félicitations telle que prévue par le statut général. ce sera une grande surprise agréable et une motivation qui ni l’argent ni autre chose ne peut valoir.

    SVP passez nous son numéro de portable nous allons lui envoyer des sms d’encouragement et pourqoui pas des unités pour qu’il puisse joindre ses parents et sa fiancée ou son épouse

  • Le 2 février 2016 à 07:52, par celui qui vient de nul part En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Courage mon frère. Seul le travail paie. Tu seras quelqu’un comme on aime le dire. Je travaille aussi à plus de 700 km de chez moi mais pas dans de conditions pareilles. Et quand je pense que des jeunes passent Tout le temps à boire le thé dans les grandes villes avec un seul refrain :"la vie est dure". La vie est dure certe. Mais il faut se battre comme mon frère Guinko. Je suis pas de l’enseignement mais c’est le seul fonctionnaire que je respecte plus. Mention spéciale aux maîtres du savoir.

  • Le 2 février 2016 à 07:54, par Kankele Tigui En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Je suis sûre que beaucoup de compatriotes se croient sur une autre planète , hélas non !!! C’est ça la réalité du pays (notre très cher Burkina Faso) ,
    Il n’y a pas assez de superlatifs pour qualifier Mr Guinko,
    Le ministère de tutelle doit recenser toutes les écoles qui sont dans ces conditions et faire de leur normalisation un objectif majeur, c’est le programme politique majeur de ce ministère.
    Grand merci au "lefaso.net" pour cet article, c’est un excellent travail.

  • Le 2 février 2016 à 07:55, par Bodo En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Je suis ému en lisant cet article.

    1. Au journaliste : vraiment bravo. Au lieu de chercher à aller souhaiter "Bonne année 2016 au Président du Faso" (qui n’en a ABSOLUMENT pas besoin, cela allait même l’ennuyer...), vous avez préféré aller dans ce sahel, pour nous faire voir LA REALITE de notre pays.

    2. A l’enseignant : courage à toi ; Dieu te récompensera. L’âme et l’ange gardien de chacun de ces enfants t’accompagnera toute ta vie. Et quand tu sera un jour dirigeant, tu sauras comment est la vraie vei.

    3. Aux jeunes du Burkina : voyez-vous, aimer ce qu’on fait, voilà le chemin de la réussite. Rester à Ouaga et croire que la meilleure vie est à Ouaga 2000, chercher à imiter son pote qui a une mercedes, envier les riches... c’est le chemin de votre perte. Cet enseignant heureux avec peu, qui reste avec les plus petits... Dieu et Tiga Cheick Sawadogo voient ce qu’il fait. Que Dieu le bénisse et le fasse progresser !

  • Le 2 février 2016 à 07:59, par Oulaf En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    EXcellent !!! C’est un mérite.

    Un reportage éducatif. Bon travail. Courage. Le travail paie toujours

  • Le 2 février 2016 à 08:03, par abdoulaye En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    bravo à toi mon frère, la vraie motivation est d abord intrinsèque

  • Le 2 février 2016 à 08:04, par Koala Gwladys En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    C’est ça on appelle travailler. Tu es digne fils du Burkina. Courage et que Dieu te garde. L’Etat devrait repérer ces Hommes là et les décorer. J’admire son courage.

  • Le 2 février 2016 à 08:04, par Sage En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    C’est vraiment émouvant. Du courage.
    Seul Dieu peut rétribuer correctement ces gens qui partagent leurs connaissances avec les enfants, surtout dans des conditions aussi difficiles. Bon vent.

  • Le 2 février 2016 à 08:22, par vérité no1 En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Félicitations non seulement à l’enseignant mais également au journaliste qui a décrit la situation. Mr Tiga Cheick Sawadogo, vous avez du talent. Quand je vois des réactionnaires rouler dans des mercedes noires avec de l’argent volé, ça me fait très mal. Bande de maudits et d’inconscients. Je vous assure que ma tention est montée ! Ce pays est plein d’irresponsables ! I have a dream that one day, no matter what, things will get better for the best interest of innocent kids in our landlocked country.

  • Le 2 février 2016 à 08:26, par vérité no1 En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Qu’il soit élevé au rang de commandeur de l’ordre des palmes académiques !

  • Le 2 février 2016 à 08:29, par vérité no1 En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Si c’était un journa...., leur association allait nous casser les tympans !

  • Le 2 février 2016 à 08:34, par ESPOIR En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Bravo à ce jeune enseignant pour l’abnégation avec laquelle il apporte sa contribution au développement de son pays ! çà c’est une réussite ! Dans sept ans il devra recevoir une décoration des palmes académiques et il l’aura méritée ! Exemple à suivre par la plupart des jeunes qui ne considèrent que la richesse comme seule gage de réussite dans la vie !

  • Le 2 février 2016 à 08:35, par DAY En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    C’est un vrai enseignant du pays réel. Ne pensez vous pas que ce monsieur mérite un accompagnement ou une motivation quelconque. Le fonds commun devrait être destiné a ce genre de métier. Que le ministère revoit sa copie, les enseignants de ce type doivent créer les conditions pour l’apprentissage des élèves a lors qu’à Ouaga il y’a 5 ou 6 par classe. L’émergence du système éducatif n’est pas pour demain. Beaucoup de courage à ce valeureux fils certainement tu n’aura pas de connexion pour nous lire. Des gens se sacrifient pour que nos enfants aient la connaissance, a nos enseignants recevez nos encouragements.

  • Le 2 février 2016 à 08:38 En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    courage, et puisse les nouvelles autorités respecter leur engagement sur l’éducation en mettant le minimum (salle de classe et logement décent pour les enseignants des campagnes) à la disposition des élèves et enseignants. Surtout, il faut arriver à mettre fin au favoritisme dans les affectations. L’enseignant qui n’est pas prêt à servir partout ou de besoin ne postule pas à ces concours ou démissionne pour laisser les autres travailler. quant aux effectifs pléthoriques des enseignants dans les grandes villes une statistique des effectifs des écoles permettrait de redéployer le surplus ailleurs ou ils mériteraient leurs salaires. Tous les enfants ont les mêmes droits. joyeux anniv M. GUINKO pour le 12 février ou les 30 bougies seront soufflées. Dieu vous bénisse.

  • Le 2 février 2016 à 08:39, par  : LE GUIDE En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    J’apprécie la positivité de ce enseignant exemplaire. C’est un des meilleurs reportage du faso.net.
    Courage.

  • Le 2 février 2016 à 08:42, par developpement local En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Courage un frère, tu es un bel exemple pour tes frères jadis taxés de fainéants.
    je te souhaite une bonne carrière professionnel.

  • Le 2 février 2016 à 08:51, par PAPA En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Je suis très fier de cet enseignant ; je demande au gouvernement de bien construire une classe normale pour ce burkindi. Il doit être décoré en fin d’année.
    Courage monsieur.

  • Le 2 février 2016 à 08:59, par sougri En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Wahouuuuuu j’ai des larmes aux yeux vraiment que le bon Dieu te bénisse frère .
    Que les burkinabés de part le monde soit crois en ton oeuvre et qu’il te viennent en aide d’une façon ou d’une autre .
    Un numéro de téléphone peut être utile .
    Je suis sûr que bien organisé le burkina faso s’en sortira comme un modèle dans la sous région car il y a de la conscience et de la motivation en nous .

    Sougri de paris .

  • Le 2 février 2016 à 09:02, par Hermino En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Chapeau bas !!!!!!!!!!

  • Le 2 février 2016 à 09:18, par LE REVEUR PATIENT En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    A DIRE QUE CELA SE PASSE AU 21ème SIÈCLE !
    A DIRE QUE CELA SE PASSE AU BURKINA FASO "PAYS DES HOMMES INTÈGRES" !
    A DIRE QUE CELA SE PASSE DANS PAYS OU CERTAINS, BIEN CONNUS SUR LEURS VÉLOS, DEVIENNENT BRUTALEMENT DES MILLIARDAIRES EN MOINS D’UN AN, PILLANT TOUT L’ARGENT DE CE PAYS. JE RÊVE OU QUOI ?
    COURAGE MR GUINKO. TOUT A UNE FIN.
    DONNE TOI A FOND POUR CES ENFANTS TOUT AUTANT BURKINABÉ ET QUI NE DEMANDENT QU’A ÊTRE AU MÊME NIVEAU DE FORMATION ET DE QUALIFICATION QUE CEUX QUE NOUS VOYONS AUX USA, AU CANADA OU EN FRANCE...
    DIEU TE BÉNISSE.
    PEUT-ÊTRE QUE JE RÊVE.

  • Le 2 février 2016 à 09:20, par boukare neya En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Courage à vous Monsieur Guinko. c’est sur des gens comme vous que le pays peut compter pour se développer.

  • Le 2 février 2016 à 09:24, par Tala En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Brave enseignant. Ils sont nombreux ces enseignants qui bravent les intempéries de la nature pour donner le savoir aux innocents enfants du Burkina Faso, à l’Est, à l’Ouest, au Nord et au Sud du pays. Vivement que l’Etat pensent à eux ne serait-ce que par des lettres de félicitation, des décorations et autres récompenses possibles. Et que la main de DIEU les guide et les protège de toutes formes de maladies et d’accidents tout au long de leur carrière. AMEN.

  • Le 2 février 2016 à 09:28, par Bibiiga de Burkina En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Oooh le Faso, voici un vrai compatriote. Tu as un avenir très radieux au nom du combat patriotique. La patrie ou la Mort nous Vaincrons. Bon courage à toi le grand frère.

  • Le 2 février 2016 à 09:32, par DIMA Roger En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Témoignage pathétique. Il faudra que par de tels reportages vous gardez en veille la conscience nationale et surtout celles des décideurs de l’éducation nationale et ds bonnes volontés.
    Nous avons foi au programme du président Roch Marc Christian Kaboré pour mettre fin a ce fléau d’ici cinq ans.

  • Le 2 février 2016 à 09:32, par le panafricain En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Bravo , bravo , voici le vrai Burkindi du courage , mais je demande au MPP de vider toutes (femmes) leurs militantes qui sont entasser dans les villes (CEB) et les balancer en campagnes pour enseigner les enfants au lieu de rester en ville faire des Tontines et la politiques

  • Le 2 février 2016 à 09:35, par bob le démocrate En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    " plus de 80 élèves savent lire un peu, se débrouiller en français, je suis fier, je suis content déjà ". voici ceux qui peuvent vraiment révolutionner le Burkina et l’Afrique. Le savoir peut bel et bien se transmettre sous une paillote. Les infrastructures modernes sont bien mais ne sont pas une fin en soi mais un moyen.
    Je n’oublie pas Jean Baptiste Natama que je salue pour l’usage qu’il a fait de la subvention du contribuable octroyée aux candidats à la présidentiel de 2015. il a utilisé cette subvention pour l’éducation des enfants burkinabè, c’est un acte for louable. c’est un acte moralisateur comme quoi la moralisation de notre société ce ne sont pas des discours ce sont les actes. Réveillons nous !

  • Le 2 février 2016 à 09:55, par RAWA En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Et qui sont ceux que l’on décore chaque année ?

  • Le 2 février 2016 à 09:56, par Veritas En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    felicitations mon frère. honte à ces fonctionnaires qui grèvent à longueur d’année pour reclamer plus de fonds communs (un fond illégal et illégitime) ou ceux qui veulent avoir statut de ministres et des voitures hors taxes.
    Quand nous comprendrons que tout n’est pas dans l’argent, nous travaillerons à construire un Burkina meilleur pour nos enfants et les générations à venir.

  • Le 2 février 2016 à 09:56, par yamgouba du kipirsi En réponse à : Daouda Guinko : Des hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    salut à toi, "brave instituteur de brousse" ! Hé oui ! ce sont les vrais héros du Burkina Faso comme ça !
    Imaginez un jeune bissa de Garango instituteur, tout frais et moulu sorti de l’ENEP de Loumbila. Envoyé en mission de développement à Zoula (Réo), contrée dont il ne connaît pas le dialecte. il doit sortir ces petits sauvages des ténèbres pour les amener à la lumière !!!! quel boulot fastidieux mais noble !!!
    après dix ans d’enseignement dans ces conditions ce sont ces fonctionnaires là qui sont dignes d’être décorés ! je m’incline devant ta conscience professionnelle. salut aussi au candidat Natama d’avoir permis de mettre en lumière une réalité crue de notre pays ! salut à tous et paix sur la terre du Burkina Faso !!

  • Le 2 février 2016 à 09:57, par rassagl-yé En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    merci à toi Tiga Cheick Sawadogo de partager la réalité du pays loin de Ouaga 2000.je pense humblement que les fonctionnaire qui sont dans les campagnes mériterait mieux en terme de salaire que ceux qui sont dans la ville.
    du courage à toi Guinko même si je suis convaincu que tu n’auras jamais l’opportunité de lire ce message par absence de connexion internet à Arreel.

  • Le 2 février 2016 à 10:08, par TANGA En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Le véhicule à côté de l’école coute combien de fois l’école ?
    HONTE aux décideurs !!!
    Rock, une vraie démocratie a ds piliers qui sont L’Alimentation, la Santé et L’Éducation. Si tu veux que les luttes du peuple ne soient pas vaines, alors mets toi au travail.

  • Le 2 février 2016 à 10:20, par zemosse En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Je felicite Le Faso.net pour cet article .vous avez déjà fait un autre il y a deux ans sur une école en paillotte à Fada N’gourma , eh oui ! Dans la ville où Blaise à fréquenté quatre ans dans un collège .Je n’en revenais pas.C’est vrai ,l’Etat ne peut pas construire des écoles clef en main pour tous ses écoliers. C’est pourquoi ,l’initiative de Natama m’interpelle et doit interpeller tous les !intellectuels de ce !Pays,surtout ceux de Fada. On ne développe pas un Pays,on se développe, chacun individuellement. Le vrai développement commence par la !prise de conscience individuelle. L’état à souvent construit des écoles, avec villa pour l’instituteur, mais au bout de quelques années l’école est en ruine et la villa n’a jamais été occupée. Comme quoi, je le répète ,c’est l’homme qui se developpe d’abord, pour que’le’Pays se developpe. L’exemple de Guinko est la pour le prouver.

  • Le 2 février 2016 à 10:20, par adamamou En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    je félicite ce t enseignant et le rassure de la reconnaissance de peuple réel du faso
    merci pour le patriotisme et probité Mr guinko

  • Le 2 février 2016 à 10:22, par le mandib En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    du courage mon frère ,ce corps mérite un statut particulier.

  • Le 2 février 2016 à 10:22, par beou En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    les mots me manquent pour m’exprimer sur cet article ; certainement que koro yamyele pourra lire dans mes pensées ;
    bravo à ce journaliste , c’est ce que nous attendons de vous , nous faire voir le pays réel pour que les deputés , ministres et autres travaillent pour le Burkina.
    Courage et mille fois courage à Mr Daouda .Guinko !

  • Le 2 février 2016 à 10:30 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Félicitations à ce jeune enseignant qui l’est devenu sûrement par vocation. Il est le symbole du Burkina qui veut progresser. Merci à fasonet pour ce reportage. Je suggère à ce médium de nous offrir un reportage sur ces personnages qui font avancer notre pays dans des conditions difficiles assez souvent. Ce sera également une oeuvre d’éducation des jeunes car ils sont les plus nombreux sur le net.

  • Le 2 février 2016 à 10:30 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Félicitations à ce jeune enseignant qui l’est devenu sûrement par vocation. Il est le symbole du Burkina qui veut progresser. Merci à fasonet pour ce reportage. Je suggère à ce médium de nous offrir un reportage sur ces personnages qui font avancer notre pays dans des conditions difficiles assez souvent. Ce sera également une oeuvre d’éducation des jeunes car ils sont les plus nombreux sur le net.

  • Le 2 février 2016 à 10:31, par lazare En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Bravo, monsieur Daouda ! tu es le prototype d’un enseignant. Tous les enseignants devraient être comme toi c’est à dire être consciencieux, avoir de l’amour pour les enfants car l’enseignement c’est un sacerdoce.Malheureusement , de nos jours la majorité des enseignants n’ont plus ces valeurs morales.Ils placent plutôt leur intérêt en avant et sont prêts à sacrifier le devenir à l’hôtel de leurs intérêts. Je voudrais profiter inviter mes collègues enseignants à reconsidérer leurs comportements et à épouser des attitudes positives car leurs missions qu’ils accomplissent au quotidien sont déterminantes pour le développement de notre pays. Dans tout ce que nous entreprenons, pensons aux enfants car le bienfait n’est jamais perdu. A chaque fois que vous faites du bien à un enfant c’est à Dieu que vous avez fait et c’est sûr qu’il vous récompensera.

  • Le 2 février 2016 à 10:31, par Sidpayétka En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    BONJOUR A TOUS !

    BONJOUR A TOUS LA CONSCIENCE DU PEUPLE DU PAYS REEL.
    Ce que moi, qui connais très bien ce village et les conditions rudes de vie du désert (en plein mois d’Avril il arrive que le thermomètre marque 0 DÉGRÉ Celsius sans compter les vents de sable), pour avoir roulé ma bosse de Ouaga, Dori, Gorom-Gorom (Dori -Gorom-Gorom : 60 km a couvrir en deux heures en son temps), Sikré, Belhédé, Tasmakat, Saouga, ,Gaigou, Arbinda, Djibo jusqu’à Oursi, Djalafanka, Gourouel et Déou, peux te dire, c’est que je te souhaite du courage et surtout que l’Etat te soit (toi et tant d’autres comme toi) reconnaissant.
    C’est çà malheureusement la triste réalité de nombre de fonctionnaires Burkinabé (dont certains finissent par se décourager suite a de nombreuses frustrations inhérentes aux comportements de certains supérieurs). Dans la conscience professionnelle, le silence responsable, ils apportent leurs pierres a l’édifice tandis que des V8 et DES HAMERS sont mobilisés et vrombissent dans les grands centres urbains non sans narguer malheureusement les combattants intrépides du développement. DIEU SAUVE LE BURKINA.

  • Le 2 février 2016 à 10:38, par SIDKYETA En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    A lire les réactions des internautes à la suite de ce reportage, je me rends compte que beaucoup sont vraiment loin des réalités du Burkina Faso ! C’est là la RÉALITÉ que vous ignorez !!!!
    Il n’ y a pas de décoration ou de mérite à octroyer ! Il faut cesser de se prendre pour le centre du Faso parce qu’on sait lire et écrire et qu’on habite la ville : nous sommes à peine 20% de la population, nous les diplômés, salariés !
    Arrêtons surtout de piller les sous de ce peuple, de protéger les voleurs parce qu’ils sont nos militants, de faire les coups d’état pour venger nos frères et sœurs bourgeois d’hier et d’avant-hier, d’afficher à la Une de nos médias les soucis des individus qui nous font des gratifications... AVEC L’ARGENT DE TOUS, DE GRACE, PRENONS SOINS DE TOUS !!!

  • Le 2 février 2016 à 10:39, par warzat En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    C’est la spécificité de l’administration publique dans notre pays. On recrute un chauffeur alors qu’on n’a pas de véhicule. Gare au responsable qui lui refusera un quelconque avantage du reste non mérité d’ailleurs. Par contre, on trouvera plein de bénévoles qui par leur tâche font tourner le service et sont depuis plusieurs années en attente d’un hypothétique recrutement. Il est aussi dans cette administration des perles rares comme cet enseignant qui font que le pays tient toujours debout. Bon courage.

  • Le 2 février 2016 à 10:45, par loblo En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Article très émouvant. je loue le courage de cet jeune homme.
    Mais le drame pour le Sahel, c’est qu’il est utilisé comme une couveuse pour enseignants. Vous voyez ils arrivent sans aucune expérience, ils passent leurs concours professionnels et s’ils deviennent IP ou Conseiller ou inspecteur ils vont chercher ailleurs.

  • Le 2 février 2016 à 10:52, par aboubacar En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    je t’encourage vraiment mon frère et je rend grâce à DIEU, car avec la fois ont arrive à faire face a tout obstacle de la vie, je suis un promotionnaire à Daouda Guinko CE2 KOKO B

  • Le 2 février 2016 à 10:52, par konsebe En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Ce Monsieur est vraiment un digne fils du pays des hommes intègres. Tiens bon seulement frère. Les hommes peuvent ne pas reconnaitre ce que tu fais, mais sache que Dieu voit. Dans sa fidélité il t’honorera le moment venu. Courage, courage, courage !!!!!

  • Le 2 février 2016 à 10:53, par Paolo En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    c’est ça la réalité que beaucoup de nos fonctionnaires ignore. il ne s’agit de marcher à longueur de journée pour revendiquer un fond commun ou un 13 mois. Mr Guinko dit que même les vacances il reste au village. c’est vraie mais est ce que son salaire mensuel le permet de prendre un ticket de voyage Gorom Gorom Bobo à chaque congé. Donc si je suis claustré souvent en brousse c’est par manque de sous pour effectuer les voyages. le malheur est que tu vie parallèlement avec ta famille tout simplement par ce que tu n’arrive pas à participer même les baptêmes, les mariages, les funérailles, les décès et j’en passe.................je félicite les journaliste qui ont fait vraiment un effort pour ce article. mais quand le ministre en charge de l’éducation va diminuer le surplus enseignements qui son en ville. je ne savais pas que les enseignants avaient la possibilité de faire la permanence pendant l’année scolaire. merci de revenir surtout sur la réalité et surtout pas d’injustice.

  • Le 2 février 2016 à 10:54, par DEB BIE En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Cet enseignant dans son combat contre l’ignorance est le vrai guerrier ou soldat contre le terrorisme qui mine dangereusement nos jeunes Etats. Aussi, au lieu d’acheter des armes sophistiquées pour combattre et tuer ces barbares illuminés sans foi ni loi. Alors investissons massivement dans l’enseignement pour sortir les jeunes de l’ignorance et la pauvreté et vous verrez que ces terroristes ne pourront plus recruter des jeunes pour tuer les innocents. Tous mes respects à ce jeune enseignant consciencieux, courageux et travailleur Mr Guinko.
    Que Dieu bénisse et protège tous les enseignants de brousse.

  • Le 2 février 2016 à 10:55, par le visionnaire En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Félicitation à toi brave enseignant et beaucoup de courage à la population intègre d’Areel.
    je pense que c’est dans cette localité que le candidat NATAMA devrait construire l’école avec l’argent de la campagne.

  • Le 2 février 2016 à 10:59, par aboubacar En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    je t’encourage vraiment mon frère et je rend grâce à DIEU, car avec la fois ont arrive à faire face a tout obstacle de la vie, je suis un promotionnaire à Daouda Guinko CE2 KOKO B

  • Le 2 février 2016 à 11:03, par somketa En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    je pense qu’on devrait nous donner son adresse pour qu’on l’appelle pour encourager . et aussi il faudra mettre un système de collecte de fonds en place pour qu’on puisse contribuer a construire 3 classes et 3 logements pour cette ecole. mobilisons nous pour cette cause.Nous pouvons le faire nous les internautes, nous la population.
    nous pouvons meme chacun lui aporter ke ce soit une chaise, un banc, un bureau, un PC, un cadeau qui lui sera utile pour l’encourager et le feliciter.
    montrons l’exemple.
    lefasonet, nous comptons sur vous pour mettre cela en place.nous y contribuerons fortement

  • Le 2 février 2016 à 11:04, par Tanga En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Qui a dit que les jeunes actuels sont inconscients et ne cherchent que l’argent. Il y en a toujours qui aiment le travail tout cours. Cela interpelle l’Etat de savoir où il y a les priorités ! La formation de l’homme n’ as pas de prix. Motiver ces enseignants, ces travailleurs des brousses par une discrimination positive en leur faveur. Mais si ceux qui sont dans les grandes villes bénéficient de tous, ont de la promotion etc, il va s’en dire que tout le monde préfère rester en ville. IL faut faire une difference consequente de salaire entre celui qui est en ville est celui qui se retrouve dans des conditions de travail pareil pour une compensation juste.

  • Le 2 février 2016 à 11:05 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Rien à dire, j’ai les larmes aux yeux et beaucoup d’admiration pour ce Monsieur.
    Beaucoup de courage et que son mérite soit reconnu.

  • Le 2 février 2016 à 11:09 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Mes félicitations à toi mon frère , que le tout puissant te récompense au delà de tes attentes.beaucoup de courage et que les jeunes enseignants prennent ton exemple, nombreux sont ceux qui font le concours de l’ENEP mais ils n’ont pas l’amour du métier c’est le salaire ils veulent.quand ils déposes les dossiers pour le concours de l’ENEP ils joint l’engagement décennal à servir en milieux rural, mais une fois admis ils refusent de partir et laissent des innocents sans encadreur, c’est pas normal. Que les autorités se penchent sérieusement sur les conditions de ces enseignants et les accompagne.

  • Le 2 février 2016 à 11:09, par Naboho Lassina En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Je souhaite ,une bonne carrière à ce brave enseignant de brousse.
    C est triste de savoir après 55ans d indépendance ,on trouve des écoles sous paillote.
    Sans l éducation scolaire le développement de notre pays pendra toujours du retard.
    Voici une raison de plus ,de sanctionner les auteurs des crimes économiques.
    Il est grand temps que les mentalités changes et que chacun se remette en cause.Merci

  • Le 2 février 2016 à 11:11, par yam En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Cela ne m’étonne guère. Seul un bissa peut agir de la sorte.
    Courage mon frère.

  • Le 2 février 2016 à 11:12, par Nabiiga En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Ce soldat a un inspecteur hiérarchique ? Je n’en reviens pas. L’inspecteur, quels sont ses rôles d’inspecteur ? N’est-ce pas pour coordonner avec la hiérarchie dans les grands centres régionaux pour le bien de tout ce qu’il surveille en sa capacité d’inspecteur ? Qu’est-ce qu’il attend alors pour trouver le minimum pour ce soldat patriotique ?

    Lorsqu’on se met à l’évidence la pauvreté de notre pays telle que la situation de cette école et on voit des imbéciles comme des Guiros à ne mentionner que celui-ci, détourner des fortes sommes des derniers publics pour satisfaire leurs désirs égoïstes avec impunité on se demande dans quels pays l’on se trouve ? L’heure a d’ores et déjà sonné pour que les responsables de l’enseignement national volent au secours de ces enseignants de brousse pour leur donner, ne serait-ce que le minimum, pour faire leur travail. Je me demande même si ces enseignants sont payés mensuellement ou annuellement car trop loin de toute civilisation.

  • Le 2 février 2016 à 11:19, par taretare En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    C’est très émouvant. Sans m’en rendre compte j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps en silence dans mon bureau. Vraiment j’ai le sentiment de grande fierté pour ce jeune et pour tout(es) celles et ceux qui se sacrifient pour leur pays. Et en même temps j’ai une grande tristesse pour mon pays. Car si au 21è siècle nous devons éduquer nos enfants dans ces conditions, il faut se poser des questions : A qui la faute ? qu’ont ils fait, nos dirigeants depuis les indépendances ? Quand les richesses du pays sont dilapidées par une famille pendant plus d’un quart de siècle, je me demande, "A Quand l’Afrique" ? pour paraphraser Le professeur joseph Ky Jerbo. Je suis triste mais je ne veux pas désespérer.

  • Le 2 février 2016 à 11:26, par PINGDWINDE depuis Niamey En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Merci au journal pour l’article j’ai des larmes aux yeux après lecture de l’article. je ne sais quoi dire a ce monsieur en guise d’encouragement mon souhait est qu’il réussisse a son examen qu’il aie une brillante carrière. voila des burkinabè qui travaillent pour la nation mais qu’on refuse de reconnaitre. espérons que le PM a lu cet article

  • Le 2 février 2016 à 11:27, par jh En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    voila un homme que le gouvernement doit meme doubler son salaire.dans les grandes villes des imbéciles ne veulent pas travailler et chaque fois ç ’est eux qui grèvent pour des augmentations.il faut prendre des mesures pour les licencier pour que le pays avance.du courage mr Guinko.

  • Le 2 février 2016 à 11:32, par Pauline Champagne En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Quel courage, quelle abnégation ! Ce reportage est venu me chercher du plus profond du coeur. Le regard innocent d’enfants qui boivent les paroles de la connaissance, voilà une image trés forte qui exprime bien ce que ressent un prof dans l’âme.
    De mon lointain Québec au Canada, je te salue mon "frère". Ce sont des gens comme toi qui contribuent à "ensemencer les siècles" Félicitations, ne lâche pas !

  • Le 2 février 2016 à 11:34, par SOME En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Toutes mes felicitations a M Guinko ! c’est l’exemple meme de celui qui aime ce qu’il fait et sait pourquoi il le fait. De Yoro koko a a une contrée si perdue et surtout s’y faire accepter si facilement et ne pas le regretter, etc. Bravo. Voila ceux qui sont les vrais patriotes. Comme l’ont dit bien d’autres, voila le genre de citoyens que l’on devrait decorer des palmes academiques (au lieu de se partager les medailles entre copains coquins en bons larrons en foire). Chacun se precipite pour signaler chevalier de la legion ceci cela…on ne sait meme pas pourquoi ? Avec 105 eleves par classe sous une paillote
    Il y a quelques annees a peine, tout le monde meprisait publiquement les instituteurs : le premier ministre lui-même (Luc adolphe tiao) avait meprisé publiquement en disant que tout le monde revendique dans ce pays, MEME LES INSTITUTEURS…Excusez du grand mepris.
    Le burkina compte des milliardaires, beaucoup roulent dans des voitures climatisees, meme blindees ; ils vivent dans des villas et bureaux climatisés, etc. dans ce meme pays…parce qu’ils sont allés a l’école instruits par ces instituteurs motivés.
    Quelle difference avec la revolution sous thomas sankara quand les belles mercedes étaient vendues et les sous recoltés utilisés pour construire des ecoles ou remplacer ces ecoles sous paillotes. L’education était la premiere priorité : « cf les campagnes « Eduquons nos enfants ». Aujourd’hui tout le monde court apres la chine, mais on oublie que ca marche parce que l’education a été la base… Cuba a resisté a plus de 50 ans d’embargo et de complots et agressions tout simplement parce que la population est a 100% eduquée. Les africains regressent tout simplement parce qu’on a meprisé l’instituteur. L’europe est en train de mourir parce qu’ils ont fini par mepriser l’enseignant, etc. Meme nous les intervenants, chacun se croit obligé de s’indigner (legitimement) avec tous les mots possibles et puis apres les choses rentrent dans l’ordre comme avant et tout continue comme avant. Ces éléves et enseignants ne demandent qu’un strict minimum, pas des alles climatisées, etc
    Comment peut-on accepter deux enseignants par calasse, c’est purement et simplement anti pedagogiques (sans parler meme de 4-5 enseignants) : on n’a pas besoin de le dire !
    Quant a Daouda, sa comprehension et son bonheur vecu est sa plus grande recompense, meme si des jours on comprend que tu te sentes au bord du decouragement. Sache que tu es beaucoup plus rcihe et plus heureux que tous ces milliardaires qui se pavant car toi tu as la conscience tranquille et tu sais que Toutes mes felicitations a M Guinko ! c’est l’exemple meme de celui qui aime ce qu’il fait et sait pourquoi il le fait. De Yoro koko a a une contrée si perdue et surtout s’y faire accepter si facilement et ne pas le regretter, etc. Bravo. Voila ceux qui sont les vrais patriotes. Comme l’ont dit bien d’autres, voila le genre de citoyens que l’on devrait decorer des palmes academiques (au lieu de se partager les medailles entre copains coquins en bons larrons en foire). Chacun se precipite pour signaler chevalier de la legion ceci cela…on ne sait meme pas pourquoi ? Avec 105 eleves par classe sous une paillote
    Il y a quelques annees a peine, tout le monde meprisait publiquement les instituteurs : le premier ministre lui-même (Luc adolphe tiao) avait meprisé publiquement en disant que tout le monde revendique dans ce pays, MEME LES INSTITUTEURS…Excusez du grand mepris.
    Le burkina compte des milliardaires, beaucoup roulent dans des voitures climatisees, meme blindees ; ils vivent dans des villas et bureaux climatisés, etc. dans ce meme pays…parce qu’ils sont allés a l’école instruits par ces instituteurs motivés.
    Quelle difference avec la revolution sous thomas sankara quand les belles mercedes étaient vendues et les sous recoltés utilisés pour construire des ecoles ou remplacer ces ecoles sous paillotes. L’education était la premiere priorité : « cf les campagnes « Eduquons nos enfants ». Aujourd’hui tout le monde court apres la chine, mais on oublie que ca marche parce que l’education a été la base… Cuba a resisté a plus de 50 ans d’embargo et de complots et agressions tout simplement parce que la population est a 100% eduquée. Les africains regressent tout simplement parce qu’on a meprisé l’instituteur. L’europe est en train de mourir parce qu’ils ont fini par mepriser l’enseignant, etc. Meme nous les intervenants, chacun se croit obligé de s’indigner (legitimement) avec tous les mots possibles et puis apres les choses rentrent dans l’ordre comme avant et tout continue comme avant. Ces éléves et enseignants ne demandent qu’un strict minimum, pas des salles climatisées, etc
    Comment peut-on accepter deux enseignants par classe, c’est purement et simplement anti pedagogiques (sans parler meme de 4-5 enseignants) : on n’a pas besoin de le dire !
    Quant a daouda qu’il sache qu’il est mieux que le reste qu’il est plus riche que tous ces milliardaires. L’important c’est sa comprehension et son etat d’ame, vivre ce qu’il ressent au fond de lui. « Quand je regarde mes élèves, leur regard innocent, ça me motive tellement de leur faire connaitre ce qu’ils ne connaissent pas. Grâce à moi aujourd’hui, plus de 80 élèves savent lire un peu, se débrouiller en français, je suis fier, je suis content déjà  ».
    Merci pour tout
    SOME

  • Le 2 février 2016 à 11:40, par Citoyen En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    "A côté d’un arbre épineux-comme il y en a tellement dans la zone-, le drapeau du Burkina Faso flotte dans les airs, au gré du vent". Consciencieux et civique et fier d’être Burkinabè. Très émouvant.
    Dieu te le revaudra M. Ginko !

  • Le 2 février 2016 à 11:48, par partocom En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Vraiment je ne sais quoi dire !!!!!!!!!!!!
    Qu’il réussisse a son CAP cette année par la grâce de DIEU.
    Sache que DIEU n’oublie jamais pas ses enfants
    Courage mon frère, si réellement chaque fonctionnaire pouvait avoir une conscience professionnelle pour certains actes qu’ils posent

  • Le 2 février 2016 à 11:48 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Voilà un article qui va être primé au prochains Galians
    voilà un enseignant qui continue à sa façon l’insurrection populaire... qui ne demande pas un prix.
    Si d’autres agents de l’administration pouvaient arrêter de râler et travailler plus, son exemple aura servi...Bravo Mr Guinko

  • Le 2 février 2016 à 11:51, par Le Zongale En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    J’admire l’abnégation, l’engagement, la dévotion, le courage et la conscience professionnelle de ce jeune.
    Vous pouvez être rassuré et c’est bien mon souhait, que votre avenir se trouve dans les hautes sphères de ce pays. "Partir de Zéro et devenir un Héro", c’est bien ce parcours que vous êtes entrain d’emprunter.
    Courage à vous.

  • Le 2 février 2016 à 11:52 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Mes respects, intrépides enseignants ! A toi cher journaliste et au fasonet, merci ! Eh oui, sachez que au Burkina, le premier fonctionnaire qui s’installe dans un village c’est l’enseignant avant que les infirmiers, policiers, agent technique d’agriculture ou élevage n’arrive. Je propose au gouvernent de faire une étude pour déterminer le niveau de vie, de précarité d’accessibilité des régions, provinces,départements et même des villages. Et ce sera avec ses indices que l’on déterminera le salaire des fonctionnaires. Et on applique un certain pourcentage sur le salaire de base qui sera identique. Par exple : un enseignant (e) du village de Douendou dans le département de Tankoukounadié dans la province du yagha ne percevra pas le même salaire que ses collègues de même catégories à l’école Tangsougou "A"ou "B" de la ville de Ouagadougou.

  • Le 2 février 2016 à 11:55, par le nomade En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    BRAVO BRAVO BRAVO !!! voici un exemple de leadership, de combativité que chacun de nous burkinabé ou qu’il se trouve dans ce bas monde doit faire preuve de l’imagination.car comme on le dis souvent l’imagination est plus importante que le savoir. Le savoir est limité alors que l’imagination englobe le monde entier, stimule le progrès, suscite l’évolution.
    en tan Nomade moi même je connais bien ce MR, et a chaque fois que je passe dans sa zone ,j’ai toujours eu un sentiment d’encouragement dans mon silence.
    et surtout comme ce Mr il existe beaucoup qui vivent les situations ici au sahel.

  • Le 2 février 2016 à 11:57, par boukare neya En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Je souscris entièrement à l’idée que le journal puisse publier les coordonnées de ce monsieur parce qu’après la phase des incantations, des apitoiements et d’admiration, il est bon que nous fassions preuve de solidarité pour rattraper un tant soit les défaillances de nos dirigeants qui ne sont pas capables de donner des classes dignes à nos enfants, et des conditions dignes de travail à leurs enseignants. Souvent nous pensons qu’il faut des millions or il suffit parfois que chacun donne seulement ce qu’il peut donner (comme la pauvre veuve de la Bible), et à l’échelle du pays, nous ferrons des miracles.
    Car je tiens pour vérité qu’il est illusoire de croire que nos dirigeants (aussi bien ceux du régime déchu que les actuels) se souci de notre bien être. Aider Monsieur Guinko, c’est donc prendre notre propre destin en main.

  • Le 2 février 2016 à 12:01, par par Mai Kab En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Je ne sais quoi dire en lisant cet article.je manque de mots pour remercier ce brave et grand homme.Je sais qu’il ne va pas quitter ce monde sans recolter les fruits de ses bienfaits.
    Que Allah te donne une santé de fer et une longue vie . Tu merite plus que d’etre decoré par un humain,Allah te decorera incha allah.Je souhaite avoir son contacte.

  • Le 2 février 2016 à 12:03, par leduché En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Félicitations au collègue GUINKO,mais je suis désolé pour ceux qui pensent qu’il bénéficiera d’un quelconque avantage matériel ou moral.Seuls vos messages de soutien et d’encouragement lui serviront de réconfort et peut-être plus tard une hypothétique reconnaissance des enfants dont il a la charge.
    Moi j’ai servi dans ces mêmes conditions pendant une dizaine d’années à la Tapoa.Je tuais au moins 3 serpents par jour (en classe et dans mon taudis),je partageais ma classe paillote avec les ânes, mais j’envoyais par an une vingtaine de boursiers au lycée de la province (beaucoup sont devenus des cadres aujourd’hui).J’ai 34 ans de service cette année,ne demandez surtout pas ce que j’ai reçu,parce que vous serez déçus !
    Un ancien musicien burkinabé chantait ,je paraphrase : la récompense de l’enseignant n’est autre que l’ingratitude !
    Bon vent à toi collègue,sers ton pays comme si tu servais ton pays !

  • Le 2 février 2016 à 12:10, par boukare neya En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Je comprend l’admiration que nous partageons en lisant cet article. je comprend aussi et partage l’indignation des uns et des autres.
    Mais donnons rendez-vous dans une année et faisons un tour dans l’école de Monsieur Guinko, j’espère me tromper, mais nous verrons que rien n’aura changé, tout simplement parce que ces princes (passés et présents) qui nous dirigent se moquent du devenir de notre pays.
    Sinon, il est impensable que de telles écoles puissent encore exister dans notre pays. on va me dire qu’il y a beaucoup de priorités et de besoins. mais bonnes gens dites-moi s’il existent plus grandes priorités pour notre pays que l’éducation, la santé et l’agriculture.
    En tout cas, l’un des défis majeurs du nouveau régime, sera de chasser de Ouagadougou toutes leurs copines et coquines qui s’agglutinent à 5-6 dans les classes de Ouaga et de Bobo tandis qu’il y a manque criard d’enseignements partout ailleurs dans la pays.

  • Le 2 février 2016 à 12:23 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Merci à toi le journaliste. tu n’as pas fais comme tes collègues qui n’ont des ateliers et séminaires a relater. Cet exemple est loin d’être un cas isolé. Il y’a d’autres situations bien pires, dans les CSPS par exemple.
    Monsieur Guinko, je souhaite que tes élèves te décorent en devenant des hommes et des femmes qui travailleront comme toi le notre pays.
    Voyez la réalité de notre monde. Quant on sais que des soit disant dirigeants volent, abus du matériel de l’Etat pour des bestioles.
    TANT QUE NOUS VIVRONS AVEC ÇA, LE RECRUTEMENT DES TERRORISTES SE POURSUIVRA !!!!!

  • Le 2 février 2016 à 12:39, par L’Oeil du peuple En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Courage petit frère. Il n’y a rien de tel quand on sert sa patrie avec vocation, patriotisme et intégrité. On se réjouir comme vous d’avoir servi et d’être utile à son pays. Que vous récompense de ces efforts fournis au centuple de vos biens faits.
    Voici des fonctionnaires qui méritent des fonds communs et des décorations pour leur engagement dans l’éducation et le développement.
    Au 21ème siècle toujours des écoles sous paillotes après 56 ans d’indépendance. Plus jamais ça dans ce pays des Hommes Intègres. Combien coûte la construction d’une école de six classes par rapport au prix d’une V8 ?En tous les cas le savoir n’a pas de prix car l’école permet de former les élites demain pour le pays. Plus jamais ça dans ce pays pour des écoles construites en paillotes. Un peu de considération pour les enseignants. Il ne sert à rien d’affecter un enseignant dans une région où il n’y a pas d’école. Avant d’affecter un enseignant, il faut un minimum d’infrastructure.
    Il faut instaurer une prime de motivation et une prime de dépaysement pour les enseignant évoluant dans les régions et selon leur éloignement afin d’encourager ces enseignants battants à davantage se donner.

  • Le 2 février 2016 à 12:50, par Mathieu En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    courage a Guinko et a tous ceux qui s’échinent dans les fins contrées du Faso pour un meilleur devenir. jai une proposition au gouvernement :je ne sais pas si les indemnités spécifiques sont toujours allouées ; memes si elles existent,il faut les rendre tres consistantes pour tous ceux qui sont dans la meme situation que Guinko. Quant on prend les infirmiers et les enseignants, je pense humblement que l’Etat doit se reveiller en les valorisant,motivant surtout ceux qui sont là où nombreux d’entre nous ne voulons pas y mettre le nez.

  • Le 2 février 2016 à 12:54, par Sotisse En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Je souhaite beaucoup de courage au brave enseignant. Il fait montre d’un dévouement réel pour la cause des enfants burkinabè. Je voudrais cependant noter qu’ils sont très nombreux, les burkinabè qui ignorent les réalités du Faso. Ce qui a été présenté dans cet article n’est que la partie visible de l’iceberg car il existe des centaines voire des milliers de cas similaires dans presque toutes les régions que compte le Burkina. Pour votre information, sachez qu’on a dénombré 4886 classes sous abris précaires en fin 2015. Voilà un défi majeur qui attend d’être relevé par le nouveau régime.

  • Le 2 février 2016 à 12:55, par sidnooma En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Cet article m’a sincèrement ébranlée et je rejoins un internaute pour dire que les supérieurs n’ont pas joué un minimum de partition. Ils auraient pu au moins lui apporter une de leurs chaises visiteurs, car s’asseoir sur un bidon depuis 2 ans pour dispenser le savoir au vu et au su de ses supérieurs, c’est manquer d’humanisme de leur part. Sois béni, mon Frère et que Dieu te le rende. Son contact s’il vous plaît.

  • Le 2 février 2016 à 13:02, par KOASSA En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    courage mr GUINKO. persévérez travail même si l’état ne vous le reconnait pas. j’étais dans une situation similaire il y a 40 ans. 500 km de chez moi 150 km du dispensaire le plus proche. envoyé au front en 1975 pour défendre le territoire menacé . il fallait pour me rendre au poste traverser 2 cours d’eau à la nage.il y avait plein d’abandon .Des parents me proposaient même des dromadaires pour que je renvoie les enfants toute chose que je refusais. j ai tenu des enfants qui sont devenus hauts cadres. moi je suis resté simple enseignant . suis parti à la retraite sans grand chose même pas de décoration. je ne suis ni soulard ni coureur de jupon . je suis fier car au moins je pense avoir rendu service à mon pays.Tel un paysan à la période de soudure je regarde joyeusement grandir les semences (anciens élèves) que j’ai mises en terre.

  • Le 2 février 2016 à 13:12, par MILAS En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Félicitation au journaliste. Bravo mille fois a Mr Daouda Guinko. J’ai des larmes aux yeux en lisant ce reportage. Je penses qu’ Il y a souvent de l’injustice dans le traitement salarial des enseignants. Supposons que l’APE construise une hutte pour cet enseignant ; selon les textes en vigueur il sera considéré comme logé et na pas droit à son indemnité de logement. Quel injustice ? Dans le sahel comme dans le ziro au centre Ouest vous verrai tjr ces cas. Courage à tous les enseignants.

  • Le 2 février 2016 à 13:20, par YAMEOGO Edmond En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Espérons que les enseignants gomboïstes de l’Université de Koudougou ont vu l’article. C’est ça un enseignant au lieu de chercher à creuser et à creuser tout le budget de l’Université ; Aucun investissent n’est possible dans notre université la priorité c’est eux. Une fois qu’ils finissent de bouffer ils amènent une autre revendication. Chose que le président actuelle a voulu corriger et le voilà la cible de ces "terroristes" sans foi ni loi qui n’ont aucune vocation d’enseigner. Entre nous quand des enseignants refusent de donner cours aux étudiants parce qu’ils sont en grève et par contre les mêmes courent derrière les missions que devrions-nous penser de ces gens ? Plus de 100 000 000 FCFA d’heures supérieur pour une seule UFR et certain dirigeants de l’UK et pas de moindres soutiennent cela et qui défend que c’est normal qu’on enseignant ait 9 MILLIONS de Fracs CFA chaque année alors que les recrutements d’enseignants se font. C’est un réseau que la gendarmerie ou l’ASCE gagnerait à démanteler sinon notre Université va prendre feu un jour. Même si le gouvernement quadriple le budget de l’UK ces enseignants trouveront un moyens pour le terminer. Pour ces gens ils sont l’alpha et oméga de cette université on doit pas investir dans la construction des amphis ou payer des fournisseurs tant qu’eux n’ont pas terminer leurs villas. Regardez le comportement des enseignants de Ouagadougou et Bobo qui n’ont même pas la moitié de ce que ces gens gagnent. Un réseau de pilleurs qui veulent même diriger l’université pour pouvoir continuer comme au temps de SEGDA Billa Gérard.

  • Le 2 février 2016 à 13:29, par NIKIEMA En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Félicitations et courage à Mr GUINKO Daouda. Je propose qu’on associe les enseignants dits de brousse dans la répartition des "fonds communs" qui font polémiquer. Les vrais méritants sont ces braves enseignants.

  • Le 2 février 2016 à 13:29, par Wendpanga En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Bravo à toi et à tous les enseignants dit de brousse.
    Nous sommes 16 millions de burkinabé ; si 13 millions seulement allait accepter contribuer dans un fonds de développement à 1000 francs, nous aurons 13 milliard de franc cfa. Voici des fonds qui, bien gérés peuvent construire 10.000 classes de 1 300 000 franc par classe. Si seulement...
    Demeurez bénis

  • Le 2 février 2016 à 13:29, par sade En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Les autorités sont au courant de tout cela,il est enseignant en brousse et non un enseignant de brousse, je me rappele d’une ecole sous paillote ds le IOBA,où un enseignant a la peur au ventre parceque souvent les serpents y trouvent souvent refuge,
    un jour’il n’a pas pu continuer à cause d’un serpent qui a quitté le toit pour descendre,c’etait une debamdade,

  • Le 2 février 2016 à 13:32, par BASSAN Juste En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Mille et mille fois bravo à cet instituteur, celui qui aime son métier qu’on l’accompagne. Tout ça on doit maudire le pouvoir de Blaise Compaoré, moi personnellement je n’ai savais pas qu’on avait toujours des établissements en paillote dans ce noble FASO. Avec combien de sites d’or dans la même région et on est pas à mesure de nous construire ne serait qu’une classe ? Vraiment j’ai honte que le tout puissant maudit Blaise et sa suite. Dieu ne va jamais les pardonner. Je tire mon chapeau à ce brave petit frère. Il n’y a pas une chose sans fin. Par YAABI

  • Le 2 février 2016 à 13:32, par NIKIEMA En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Félicitations et courage à Mr GUINKO Daouda. Je propose qu’on associe les enseignants dits de brousse dans la répartition des "fonds communs" qui font polémiquer. Les vrais méritants sont ces braves enseignants.

  • Le 2 février 2016 à 13:41, par Bakus En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Si tous les journalistes pouvaient faire l’effort de nous montrer le vrai visage de notre pays comme celui là, ça nous aidera beaucoup à avancer.

  • Le 2 février 2016 à 13:45 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Mr GUINKO, Que Dieu te benisse. Tu es en realite devoue pour ce metier. Sans quoi, dans conditions, tu aurais pu nous faire entendre autre chose. Au fait, moi, je fait une suggestion a DIEU. Elle est laquelle ? Elle est la suivante : qu`il y ait des paradis categories et des enfers categories, afin que chacun puisse meriter son paradis ou son enfer proportionnellement a ses actes menes ici-bas. Cet enseignant merite mieux au paradis que quiconque. Mais helas ! Vous serai abattu par l`etonnement un jour de trouver des bons et des sanguinaires dans une meme enceinte au ciel. Ce sera regretable. Que ma doleance soit pris en compte. Amen !!!!

  • Le 2 février 2016 à 13:46, par Unpetitgulmance En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Tiga Cheick Sawadogo, un petit yadega qui a fait un bon travail, félicitation à toi.
    Cet article doit inspiré beaucoup nos dirigeants. Il faut que nos élus locaux reviennent à la source et voir comment vivent les électeurs. Le cas de cette école est un exemple parmi mille autres dans le pays dit des hommes intègres.
    Si nos conseillers municipaux pouvaient recenser toutes ces écoles ;
    Si nos maires ruraux pouvaient transmettre la liste de ces écoles à la hiérarchie,
    si, si, si et si le gouvernement se souciait un peu de l’avenir de ces milliers petits très intelligents, alors mon pays se développerait.
    Mais hélas, après les élections, au revoir la campagne

  • Le 2 février 2016 à 14:02, par Bédjou En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    J’ai été très touché au fond de moi même par ce récit très pathétique. Je souhaite bcp de courage à ces fonctionnaires de l’état, perdus quelque part dans le pays profond et qui travaillent dans des conditions difficiles. A regarder de près, ce n’est pas faute de moyen de l’état, mais plutôt une question de priorisation des choix faits par l’état. Le développement du pays ne se fera que lorsqu’on aura réussi à mettre sérieusement l’accès sur les deux secteurs essentiels à savoir l’éducation et la santé. L’Asie l’a compris et tout le reste se voit.

  • Le 2 février 2016 à 14:07, par Soutongo En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Ma question est que pouvons nous faire en tant que communauté pour améliorer la situation ? Je sais que beaucoup seraient prêts à contribuer s’ils avaient l’assurance d’une utilisation rationnelle des 100 ou 200f qu’ils donneront... La confiance est l’environnement à créer pour pouvoir régler nos problèmes de développement.
    Felicitaion Mr Guinko pour cette leçon de citoyenneté, de courage, d’amour, de développement réel humain et durable....

  • Le 2 février 2016 à 14:08 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    J’ai froid dans le dos en lisant cet article. Dieu te le rendra au centuple !

  • Le 2 février 2016 à 14:13 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Bande d’hypocrite : après les réactions plein d’émotions, vous irez manger vos brochettes, boire votre bière glacée... Et après ça, ça se fait une bonne conscience en faisant semblant de soutenir les autres. Alors que vous êtes les premiers à vadrouiller dans les bureaux pour que votre femme ou votre sœur reste dans les grands villes. Et les RH des ministères, grand pervers tapis dans l’ombre, valsent les filles et femmes qui refusent leurs avances dans les campagnes. Le changement doit être profond dans ce pays. En tout cas courage mais mon cher Daouda, ne pense pas que tous ceux qui te soutiennes ici sont sincères. La majorité se moque de toi. Mais reste ferme, tu es sur le bonne voie.

  • Le 2 février 2016 à 14:13, par vérité En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Du courage mon frère. Que Dieu te bénisse.

  • Le 2 février 2016 à 14:36, par Jean Claude MANA En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Que d’émotions en lisant cet article.
    D’abord toutes mes félicitations aux journalistes pour la qualité de l’élément. Bravo !

    A Monsieur GUINKO, voilà un des rares sinon très rares exemples de conscience professionnelle aujourd’hui au Burkina. C’est de ceux-là qu’on dit qu’ils sont entrés dans la fonction publique par vocation. Félicitations et encouragements grand frère. Prochaines médailles à des gens comme lui. Dans tous les cas Dieu va vous élever. Il est le contre-exemple des enseignants d’une école dans le Mouhoun dont je tairai le nom qui ont pratiquement déserté tout au long du 1er trimestre scolaire pourtant dans des conditions meilleures que celles de Mr GUINKO.

  • Le 2 février 2016 à 14:40, par maton En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    le lion n est plus le roi de la brousse !! maintenant c est vous et vos collégues Daouda GUINKO

  • Le 2 février 2016 à 14:41, par OSA En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    j’ai les larmes aux yeux ; courage à ce brave monsieur

  • Le 2 février 2016 à 14:50, par RAWA En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    IL FAUT AUSSI RECONNAITRE QUE CE JOURNALISTE EST BON

  • Le 2 février 2016 à 14:52 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    A l’attention de l’internaute 75, un autre "Guinko" qui a enseigné dans des conditions incroyables dans la province de la Tapoa pendant dix, tuant trois serpents par jour et partageant son taudis avec les ânes, toutes mes félicitations. Ils sont nombreux ces serviteurs du pays dont la seule satisfaction est le travail bien fait. Je connais personnellement des instituteurs qui après plus de 38 ans de service, sans avoir été sanctionnés une seule fois, n’ont bénéficié d’aucune décoration jusqu’à leur retraite. Ça fait pleurer quand on voit que des fonctionnaires sont décorés après à peine 10 de carrière. Cette valorisation des moins méritants est aussi une plaie dans notre pays. Et ne voilà - t - il pas que les députés souhaitent être décorés après 5 ans de présence à l’assemblée nationale pour faire comme l’exécutif où un an dans le gouvernement donne droit à la décoration, chose que je trouve profondément injuste.

  • Le 2 février 2016 à 15:05, par Wendmi le nègre des champs En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Silence, je travaille et je ne réclame pas fonds commun. Bel article qui interpelle plus d’un.

  • Le 2 février 2016 à 15:05, par Ticouma En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Bravo et beaucoupnde courage !

  • Le 2 février 2016 à 15:13, par Albert En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Très émouvant c’est un vrai patriote nous devrions faire un sursaut national pour encourager cet instituteur parmi tant d’autre
    Burkinabé lève toi offrons une école à cet valeureux instituteur sans l’ aide de l’ Etat cela le rendra encore plus fière
    Avec la certitude que les fonds serviront à construire l’ école je m’engage à contribuer à hauteur de 100 000 (cent mille) FCFA disponible immédiatement.
    Engageons la responsabilité du journaliste à travers une association crédible pour toute contribution

  • Le 2 février 2016 à 15:19 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Oui c’est dans ce village d’Arreel que Jean Baptiste Natama, a remis un chèque de 25 000 000 F CFA pour la construction d’une école de 3 salles de classe, d’un magasin, d’un bureau, l’achat de mobilier et d’équipements scolaires. Cette somme est celle que l’Etat burkinabè avait allouée à chaque candidat à la présidentielle de novembre 2015.

  • Le 2 février 2016 à 15:40, par eliane. En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Merci faso net pour ce reportage poignant et enrichissant. Mon cher fils guinko que le seigneur t,assiste pour que tu obtienne le fruit de ton labeur qui sera la réussite de tes élèves. Courage à toi et bonne carrière.

  • Le 2 février 2016 à 15:43, par faber En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Honorable Enseignant, oui tu mérites mieux ce qualificatif, tu es le prototype du Burkinabé !
    Je demande du fond de cœur aux responsables de FASO.NET d’entamer des démarches légales de souscriptions. Nous contribuerons à améliorer les conditions de vie et de travail de ce valeureux travailleur !

  • Le 2 février 2016 à 15:50, par SOME En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Les interventions sur l’exemple de ce monsieur montre bien que les compatriotes sont conscients de la situation du pays et qu’ils sont prets a s’investir dans et consentir a des sacrifices pour l’avancement du pays, pour exemple la caisse de solidarité sous la revolution. Mais malheureusement les elites dirigeantes n’ont aucun patriotisme ni humanisme : ils sont l’exemple meme de l’egoisme destructeur.

    Oui l’enseignement est une profession des plus ingrates qui demande une vraie vocation comme l’a ce monsieur. On parle de cet enseignant, c’est un symbole ; mais ils ont plusieurs dans ce cas et aussi parfois dans d’autres professions de service public : je connais (dans le Ioba) un commissariat de police ou gendarmerie où les agents n’ont meme pas de papier pour taper leur rapport ; ils utilisent leurs mobylettes et leur essence pour faire des missions. Ca c’est la realité du burkina au 21e s. Et ce sont eux qu’on va envoyer defendre des riches de ouaga 2000 ou qui peuvent aller dans des hotels splendid, etc au prix de leurs vies. Bien d’autres intervenants ont montré comment ils ont eu un parcours pareil : n°82 koassa, n°75 leduché, n°45, 46 SIDKYETA etc

    Comme le dit cette situation perdure depuis longtemps : c’est une question de volonté politique. Quand sankara sous la revolution a fait le choix de l’education, il a mis les petits moyens qu’il pouvait et ainsi , au lieu de circuleren mercedes ou en V8 climatisés ou voyager en avion premiere classe, etc. Il les a vendues et a fait passer l’alphabetisation de 4% a 24% en 4 ans. C’est pourquoi il a été assassiné (par qui ? regardez et repondez par vous-mêmes !). L’education, l’instruction, c’est la meilleure arme a acheter contre les obscurantistes religieux.

    Le burkina ne sera developpé que par les burkinabe qui decident de se prendre en charge et ne compter que sur leur travail et patriotisme. C’est au moins ce que Sankara nous legué comme heritage : c’est là où nous devons montrer une fois de plus comme le peuple l’a montré les 30 31 oct 2014 et 16 17 sept 2015 que l’on ne tue pas les idees : tuez sankara, il se levera 1000 autres. Des gens comme M Guindo sont les vrais fils du pays.
    SOME

  • Le 2 février 2016 à 16:05, par Le courageux En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    A Monsieur Guinko,

    C’est avec emotion que j’ai lu votre temoignage qui evoque en moi des souvenirs douloureux mais qui ont contribue a forger en moi un caractere d’abnegation et de perseverance. J’ai ete dans des conditions plus ou moins similaires, pas au niveau de votre classe, mais au niveau du logement. Mon logement etait le seul batiment au dessus de la colline et les serpents n’hesitaient a me rendre visite de temps a autre, jusqu’a ce qu’un vida une partie de son venin dans ma jambe. Par la grace de Dieu, je fus sauve de justesse. Il ne faut pas te decourager, car ces conditions constituent une ecole de formation pour la realisation des ambitions qui sont cheres. Aujourd’hui, si je suis professeur dans une Universite du Nord, c’est en partie grace a la force et aux lecons tirees de ces dures epreuves du Burkina profond. L’amour que vous eprouvez pour ces enfants est le fuel qui vous amenera tres loin dans la vie. C’est ma contribution pour vous encourager et vous dire que ce les gens voient comme des conditions deplorables n’est rien d’autre qu’un incubateur de formation de force de caractere qui vous fera depalcer des montagnes.

  • Le 2 février 2016 à 16:16, par Ouedraogo En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Félicitations au Journaliste. C’est déjà une récompense que d’avoir dévoilé ses conditions de travail, son mérite et son engagement. Beaucoup d’enseignants se reconnaissent, heureusement ou malheureusement dans cet écrit. Pour tous ceux qui s’offusquent et qui proposent que le Ministère fasse de la construction des écoles sous paillotes une réalité, ne pensez vous pas que ce serait plutot bien de les multiplier en les améliorant au regard du manque de moyens ? sinon, en quelle année allons-nous atteindre l’Education pour tous ?
    Ban Ki Moon a fait remarquer à certains lors d’une visite au Burkina ici qu’il avait étudié sous un arbre. La qualité de l’enseignant et de l’enseignement sont les plus importants ; et des hommes comme Guinko sont des trésors humains à valoriser.

  • Le 2 février 2016 à 16:18, par KABORE Boureima En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    M. GUINKO, seule la lutte libère !
    Au bout de l’éffort, la récompense. Bon courage car j’ai fait deux années en ’’brousse’’ et je sais de quoi il s’agit. Tant que l’éducation de nos frères et soeurs ne sera pas une priorité nationale, rien ne changera dans notre très chère pays. Espérons que les autorités compétentes ont lu cette page web. Si elles l’ont fait, nous attendons avec une patience de rage, leur réaction.
    Bon courage mon frère. La patrie ou la mort, nous vaincrons !

  • Le 2 février 2016 à 16:18, par Kaka En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    C’est le Burkina Émergé du 21è siècle du système Compaoré, avec ses anciens et ses nouveaux anciens dirigeants. Vous comprendrez pourquoi le pays est toujours classé parmi les derniers en développement : tout simplement, les bases de ce classement sont l’enseignement et la santé, et il y a des dirigeants qui se plaignent chaque année de cela......on est développé, vous vous êtes développés oui.

  • Le 2 février 2016 à 16:31, par Sandy En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    BRAVO M. Guinko. Courage & Que Dieu vous protege & vous benisse.
    Un clin d’oeil a ma soeur Edith, que j’ai visite a Markoye, quand elle y etait enseignante.
    J’ai ete tres impressionnee par les qualites et les aptitudes qu’il faut deployer pour enseigner dans ces regions ’’oubliees’’ de notre pays. Comme tous les internautes, j’espere que notre pays reconnaitra un jour, la valeur de votre contribution au developpement du Burkina Faso.

    ’’Un fond pour construire des classes.’’ Je soutiens cela aussi.

  • Le 2 février 2016 à 16:35, par Barkbiiga Nomwend En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Courage digne fils du faso. Tu mérite vraiment du soutien. K Dieu t Bénisse et t Protège.
    Sè des hom com toi ko le pays à besoin pour son développement. Au lieu d passer la journé à boire du thé et critiqué les gens ou faire des débats inutiles les jeunes doiv suivre ton exemple. Car on sert la nation meme en montan la garde derrièr un bidon d’essence. Dieu Bénisse tous les courageux enseignants dit de brousse com toi.

  • Le 2 février 2016 à 16:57, par ZONGO En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Du courage Mr GUINKO ! Je vous admire.

  • Le 2 février 2016 à 17:07, par zakis En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    en lisant ce reportage j’ai des larmes aux yeux car je suis dans les mêmes conditions dans la boucle du Mouhoun et j’imagine que ça doit être pire au Sahel.mais le bonheur de ces tous petits fait notre fierté donc on s’accroche. courage à tous les enseignants de brousse.

  • Le 2 février 2016 à 17:13, par pabeguèba En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Si chaque burkinabè donnait cinq (5) francs, avec les 16 millions d’habitants, toutes les infrastructures de l’école seront réalisées et le Sieur GUINKO pourra s’asseoir sur une chaise et avoir un bon tableau pour les élèves et des tables bancs. Merci de lancer une contribution pour la construction et vous verrez. ici deux ans.Merci

  • Le 2 février 2016 à 17:14, par DEMBELE En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Personnellement, je suis vraiment ahuri de savoir qu’il y ait toujours des milliers d’écoles sous paillote après les nombreux milliards que le PEDEB est sensé avoir investit dans les infrastructures scolaires. Si le brave Daouda enseigne sous une paillote, c’est presque sûr que son logement également sommaire. Du courage mon fils, tes efforts ne peuvent qu’être récompensés, sous de multiples formes. Bonne chance pour l’examen et que le Tout Puissant te donne une bonne santé et te préserve de cette nouvelle race de criminels qui polluent notre Sahel, sous le prétexte de la "religion".

  • Le 2 février 2016 à 17:16, par sylla mouss En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Arrêtez vos encouragements de blague là, venez faire tous un tour dans le sahel, dans le nord presque dans toutes les provinces vous verrez à quel point l’enseignant est un corps à bénéficier de grande indemnité en fonction de son lieu d’affectation.
    Il faut plutôt attirer l’attention des autorités sur le cas des fonctionnaires de l’Etat qui se saignent dans la brousse plutôt que d’encourager, SANA BOB a dit qu’on mange pas l’encouragement.
    A Ouaga chacun grouille pour qu’on le maintient ou emmené sa femme auprès de lui rien que pour vendre bisap en classe et descendre tôt s’asseoir au bord du goudron pour boire la bière.
    J’avoue que moi personnellement je suis très déçus de la performance de certains(es) fonctionnaires de l’État.
    Il faut frapper dur comme ADO en RCI.
    Celui qui ne peut plus n’a cas rendre le tablier à ceux qui font le long rend à L’ANPE chaque jour pour souvent un poste.
    Merci et excellente soirée à tous et toutes

  • Le 2 février 2016 à 17:31, par hien Simplo En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Moi je pense qu’il est temps d’arrêter les décorations folklores et qu’on aille sur le terrain chercher des gens de ce type pour décorer

  • Le 2 février 2016 à 17:56, par ous En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Je suis profondément touché en lisant cet article.Monsieur GUINKO c’est l’exemple type de l’ homme intergre.Il fait son travail sans complexe et au nom de la lutte contre l’ignorance.Et dire que certains pensent que c’est eux seulement qui méritent les fameux fonds communs, c’est tout simplement triste.Courage mon gars, un jour tu sera récompensé.

  • Le 2 février 2016 à 19:22, par L’AFRICAIN En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Courage mon frère ! Puisse ta ténacité galvaniser plus d’un jeune.
    Bravo au journaliste qui au lieu de se focaliser sur les séminaires et ateliers ou djanjoba juteux en manger et perdiems, est plutôt allé au pays réel pour peindre ce tableau d ela vie quotidienne du peuple.
    J’espère que tous les Directeurs de la Communication feront leur travail en faisant parvenir à qui de droit cet article.
    Vivement que les Caisses de Solidarité Nationale revoient le jour. Mais, je dis mais de grâce, qu’il ne soit fait main basse sur leur gestion.

  • Le 2 février 2016 à 19:44, par vérité no1 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    @internaute 96, nous ne sommes pas hypocrites, j’ai personnellement remis le prix de 20 sacs de riz pour le village de ma femme et un de ses frères a détourné l’argent pour finalement acheter 2 petites sacs de riz. Je voulais faire une bagarre mais on m’a conseillé qu’une affaire avec des beaux frères, c’est très compliqué et j’ai laissé tomber. Pour vous dire que l’aide n’arrive pas à destination. Oui, j’aurai dû manger mes brochettes pakistanaises appelées "Kabbob".

  • Le 2 février 2016 à 19:50, par vérité no1 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Il va falloir que la rue surveille les décorations des agents de l’Etat. On préfère décorer des fessues (ancien régime) pour oublier les vrais travailleurs. On crache toujours la vérité.

  • Le 2 février 2016 à 20:07, par vérité no1 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    @96, je suis un homme de principe, si un directeur aide une femme a avoir du boulot et celle là propose quelque chose au mogo, alors il faut rembourser la dette, dans le cas contraire, même si on l’envoie au Nord du Mali c’est très bien. Il faut être clair dès le départ en disant qu’on est mariée ! Il faut respecter les engagements même si c’est illégal et immoral, or s’abstenir tout simplement du deal ! J’ai effectivement vu des cas pareils. Faut pas jouer au maline.

  • Le 2 février 2016 à 21:51, par Patience !!! En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Avec ça on nous refuse le statut particulier. Sommes-nous moins que ceux qu’on arrosent avec tous les avantage sous prétexte qu’ils gèrent l’argent ou qu’ils rendre justice et que l’on doit les mettre à l’abri du besoin pour éviter la corruption ?Et pourtant, il y a la corruption et une justice en fonction du statut. Malgré notre bonne volonté il faut un accompagnent sinon quand l’argent et le bien matériel seront les vertus de nos sociétés l’enseignant ne sera plus un modèle pour l’enseigné comme cela était le cas dans le passé.Pensez-vous que si nous continuons de deifier l’argent, ces enfants sous la paillote voudront un jour ressembler à ce vaillant enseignant ?
    Du courage mon cher !!!!

  • Le 2 février 2016 à 22:26, par Patience !!! En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Si vraiment la reaction des internaute est sincère, je leur demande de faire une pétition pour la revalorisation de la fonction de l’enseignant. Un status particulier à tous ceux qui sont dans les coins les plus réculés du burkina.

  • Le 3 février 2016 à 00:09, par PK En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Je souhaite simplement envoyer 30000 francs CFA à M. Guinko par l’intermédiaire de Tiga Cheik et Joachim Vokouma avant le 12 février prochain pour son anniversaire. Tout le brouhaha ne m’intéresse pas. Joachim est informé dès le 3 février de mon initiative. PK

  • Le 3 février 2016 à 00:57, par TSED En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Bravo mon frere.
    Best

  • Le 3 février 2016 à 01:20, par Le Peuple Débout En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Il ne sera jamais assez de dire bravo et merci à ce valeureux enseignant. Je me joins aux précédant patriote pour encourager cet jeune enseignant dans ce qu’il fait . Eh oui le noble métier qui a permis à chacun de nous de faire un commentaire sur ce texte .

  • Le 3 février 2016 à 04:30, par ouedraogo En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    J ai lu l article depuis abidjan a 3h du matin du 03 fevrier. Je suis vraiment ému.C est l un des meilleurs burkinabes. Il sera certainement une haute autorité dans ce pays plus tard. Longue vie à toi jeune homme.

  • Le 3 février 2016 à 05:45, par Pathe Diallo En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Bravo et mille fois merci ! Je suis originaire du Sahel et donc je connais les conditions de vie très difficiles surtout pour ceux qui viennenet d’ailleurs. Pour cette raison vous êtes un exemple de courage et de conscience professionnelle pour tous les jeunes burkinabe. Les autorités aussi devraient faire mieux pour améliorer les conditions de vie et de travail des instituteurs. L’avenir du Faso dépend des gens comme vous.

  • Le 3 février 2016 à 06:58, par Excellent est mon nom En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Pathétique
    Courage BURKINA

  • Le 3 février 2016 à 07:15, par solidaritesf En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Bravo Daouda. Tu es digne fils d’un vrai père.Puisse Allah te bénir au delà de tes attentes légitimes .

  • Le 3 février 2016 à 08:42 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Felicitations à vous Mr Tiga Cheick Sawadogo pour cet article très agréable à lire.

    Tous nos encouragements à M. Guinko et tous les autres enseignants qui travaillent dans ces conditions

  • Le 3 février 2016 à 09:01, par Amadou Zan En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Un enseignant exemplaire. Beaucoup de courage à toi jeune frère. Voir ses élèves grandir, c’est le seul salaire de l’enseignant surtout le grand réconfort moral. N’OUBLIES PAS TA CARRIÈRE c’est-à-dire les concours PROFESSIONNELS.

  • Le 3 février 2016 à 09:58 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Bravo à ce Mr qui traduit bien le visage des fonctionnaires servants dans les brousses du Faso. Il devrait figurer dans la longue liste des personnes honorées et décorées. 95% des fonctionnaires sont ce type de fonctionnaire qui se sacrifient pour ce pays. Ces personnes sont celles qui méritent le plus des avantages et des récompenses.

  • Le 3 février 2016 à 10:03, par ka En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Oui c’est incroyable en 2016. A notre temps dans les années 1950 avec les écolés missionnaires dans quelques villages, une école sous paillottes n’a jamais été de l’actualité, car c’était normale : Et même à 200 élèves par classe, les pauvres parents devaient payer l’instituteur par cotisations. En 2016 avec des responsables des partis politiques avec des triples villas a Ouaga 2000, plus des voitures a cent millions, aucune école sous paillottes ne devait exister aux pays des hommes intègres. La seule solution est de réveiller les consciences de nos hommes politique et les objectifs de notre révolution inachevée, et mettre la pendule a l’heure du 21e siècle avec sa jeunesse. Bravo à l’équipe de Lefaso.net a la trempe du feu Norbert Zongo, qui nous montre la vraie face du pays des hommes intègres. Une autre école avait déjà été révélée par Lefaso.net, et je demande que des reportages de ce genre puissent se multiplier et réveiller les consciences de nos gouvernants qui ne pensent qu’à leur gosier.

  • Le 3 février 2016 à 10:26, par compaore chantal En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    je pense que ce Monsieur a vraiment l’amour de son travail que le seigneur le paie au centuple.

  • Le 3 février 2016 à 10:37, par Delacroix En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Il suffit pas de couvrir ce brave type d’éloges mais de se lever et dire non à l’injustice social car s’en est une.

  • Le 3 février 2016 à 11:49, par Nakoby En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    C’est indigne d’un pays après un demi-siècle "d’independance"

  • Le 3 février 2016 à 13:00 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    J’ai toujours dit qu’il y a de nombreux travailleurs qui sont dans le Burkina profond qui mérite d’être décorer. Mais parce que personne ne sait ce qu’ils bravent comme épreuve ne le seront jamais.Merci à ce journaliste qui nous a fait vivre la dureté du terrain.
    Courage mr Daouda tu seras quelqu’un un jour ! Dieu te bénisse et te protège !

  • Le 3 février 2016 à 13:36, par TOURE OUSSEINI En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    très cher je suis burkinabé résidant au Ghana j’ai lu avec intérêt votre article
    je félicite le journaliste de Faso net et encourage Mr Guinko
    je joins ma voix aux autres pour toutes les initiatives et m’engage à cotiser pour aider à construire la classe et plutard l’école ou enseigne Mr Guinko
    j’invite le journaliste à coordonner une initiative nationale et internationale dans ce sens
    Pour l’internationale je décide de mobiliser les compatriotes à l’étranger et toutes les bonnes du Burkina et d ailleurs pour l’œuvre. J e reste attentif à toutes fins utiles

  • Le 3 février 2016 à 14:30, par polo En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Rarement un article aura reçu autant de messages de félicitation en direction de la personne qui en constitue l’objet. Oui, bravo à ce jeune instituteur qui dit TOUT lorsqu’il déclare que"parce qu’on aime le métier, on a le devoir de travailler sinon on est grondé par sa conscience". J’ose espérer que les épreuves pratiques du CAP ne lui seront qu’une formalité !!
    Courage et encore BRAVO !
    Un enseignant français retraité.

  • Le 3 février 2016 à 18:06, par brahima gnamou En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Cette zone fait partie de ma zone d’intervention et je connais l’historique de la construction de cette école que j’ai suivi avec intérêt. j’y ai rencontré Daouda il y a quelques mois. au fonds cette école est à l’image de la négligence de l’éducation dans notre pays et de la moindre importance qu’on y accorde. On a longtemps pensé que les sahéliens préféraient laisser leurs enfants suivre le bétail plutôt que de les envoyer à l’école. cet exemple prouve que les mentalités ont changé et que les populations accordent une grande importance à l’éducation de leurs enfants. Quelle est la réponse de nos gouvernants à cette volonté de nos populations d’éduquer et surtout de bien éduquer leurs enfants ? là sera toute la question de l’avenir de notre pays

  • Le 4 février 2016 à 14:50, par SOME En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    c’est vrai comme je l’ai dit et bien d’autres d’ailleurs, il ne suffit pas de se repandre en laudations, mais que fait-on apres ? C’est vrai c’est la premiere responsabilité de l’état, mais je propose comme d’autres l’ont fait de prouver a ce compatriote que nous sommes d’accord avec sa vraie vision de ce qu’est le vrai patriotisme : soutenons le donc d’une facon ou autre. a vos propositions conceretes aupres de Tiga Cheick Sawadogo, l’auteur de l’article. Manifestez vous donc aupres de lui qui transmettra le contact de Daouda
    SOME

  • Le 7 février 2016 à 06:42 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Merci frère Guinko et frère Sawadogo. Je peu vous dire qu’ils sont beaucoup ceux qui enseignent dans la même situation que Daouda.
    J’ai rencontré un enseignant à Nagrengo près du marché. Il tient trois classe tout seul. Je pense que les autorités pourront prendre des mesures appropriés.

  • Le 7 février 2016 à 18:02, par PK En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    J’attends le contact de Daouda pour un western union de 30 000 francs avant le 12 février, jour de son anniversaire. Vite vite s’il vous plaît.

  • Le 8 février 2016 à 16:53, par le sage du faso En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    j’ai les larmes aux yeux.je le félicite et t’encourage.la récompense est au bout de l’effort.tu récolteras tout ce que tu es entrain de faire tôt ou tard.

  • Le 10 février 2016 à 10:58, par FIONA En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    JOYEUX ANNIVERSAIRE BRAVE INSTITUTEUR !!!QUI PEUT RESTER INSENSIBLE EN LISANT CET ARTICLE ?voici le type de personne qu’on doit décoré.si seulement faso.net pouvait nommé un responsable pour tout ceux qui veulent contribué pour la construction d’au mois 3 salles de classes pour notre brave compatriote.que Dieu te bénisse !!

  • Le 10 février 2016 à 11:24 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Monsieur Guinko je vous tire mon chapeau, ils sont rare aujourd’hui ces enseignant que le monde rural a besoin pour l’éducation de nos enfants. Du courage et bonne chance, que dieu vous donne la santé et la force nécessaire pour mener a bien ton métier. Je te souhaite un bon anniversaire que dieu te donne tout le bonheur possible. Courage mon frère.

  • Le 14 février 2016 à 09:01, par le paysan En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Merci tu es un un grand homme du courage tu auras la récompense divine. A 50km de bobo 90 % des enseignants résident à bobo.il faut trouver un solution à ce problème.

  • Le 18 février 2016 à 11:23, par el daoudi En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    bravo à Daouda, bravo au journaliste pour ce travail gigantesque.
    Aucun pays ne peut se développer véritablement sans accorder un grand intérêt au secteur de l’Education.
    Parcourez les campagnes et vous vous rendrez compte que ces cas sont légion.
    Sachez que ce grand travailleur ne fait que suivre les traces de certains de ses devanciers. Ah oui le noble métier. Je m’en souviens.
    Puisse DIEU récompenser tous les dignes enseignants qui se sont sacrifiés pour les enfants.

  • Le 24 février 2016 à 02:58, par ABDOULAYE HAMADE BABA MAIGA En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    VRAIMMENT BRAVO A DAOUDA IL EN MANQUE 1,2 3 FOR PLUS DE SE GENRE POURLE PAYS TROUVE SA VOIE DE DEVELOPPEMENT.MAIS DANS TOUS CA OU EST L’ETAT BURKINABE,LE MINESTER DE L ENSEIGNEMENT DEPUIS 2011 JUSQ’A CETTE DATE DE 2016 POUR QUE L ;ENSEIGNANT SOIT DEPOURVU DE CHAISE ET QUE MEME LES ELEVES MANQUENT DE TABLES BANCS N’EN PARLONS PAS D’AUTRES CONDITIONS CRITIQUES

  • Le 25 février 2016 à 09:03, par BAASNEERE En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Bravo à Mr Guinko pour son travail ! Merci à DIEU qui vit constamment en lui (conscience) et bravo aussi à ses parents qui l’encouragent dans son option. Actuellement les gens ne veulent plus travailler pour l’Etat. Je veux parler des fonctionnaires de la Fonction Publique. Ils passent les concours, suivent les formations et une fois au services délaissent cet emploi qui leur donne un salaire mensuel et font leurs propres affaires. D’accord qu’on peut et doit faire ses affaires personnelles en plus de son emploi mais qui ne nuisent pas à ce dernier qui est capital. Mais aujourd’hui vous verrez des gens qui viennent au service en retard d’au moins 2 à 3 heures ou qui ne viendraient meme pas, s’octroyant un repos comme ils veulent et qui réclament à la fin du mois leurs salaires. Pendant que le peu de gens consciencieux travaillent à leur place (10 / 100), eux ils vaquent à leurs affaires et disant à qui leur demande pourquoi une telle attitude : <> Au temps de la Révolution ces genres de personnes étaient sanctionnés soit par une suspension de salaire soit par un dégagement. Il est temps que l’Etat revoit cette disposition. Je proposerais si on ne veut pas revenir à ces sanctions qu’on recupère le cinquième du salaire de base des fonctionnaires de ville et qu’on les octroie à ceux de brousses comme <>. Celà encouragerait les fonctionnaires du genre Guinko.

  • Le 28 février 2016 à 07:16, par GORKO En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Si je parle, on dira que c’est certainement un enseignant. Mais peu importe, je remercie ALLAH que l’on reconnaisse la valeur de l’instruction à travers ce brave enseignant. Mais le verbe seule ne suffit pas pour rétablir la vraie place de l’enseignant dans la société. Beaucoup de facteurs ont contribué à égarer l’Afrique afin qu’elle ne retrouve jamais le chemin du développement en reléguant l’école au second plan. L’émotion que les gens ressentent en lisant cet article, est passagère et très vite rangée aux oubliettes ; Les enseignants vont rester comme cela pour très longtemps parce que notre système est financé par des gens qui savent que le développement passe par l’éducation. Donc ils ne vont pas nous financer pour nous développer et nous libérer, mais pour nous maintenir dans la dépendance. Le jour où les Africains eux-mêmes vont commencer à construire leurs propres écoles pour leurs enfants, les conditions des enseignants vont changer, parce qu’il y aura une prise de conscience parfaite de l’intérêt d’aller à l’école.

  • Le 4 mars 2016 à 10:13 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Puisse Dieu bénir Daouda Guinko et tous ceux qui malgré les conditions difficiles du terrain se donne corps et âme pour l’émergence de notre cher FASO !COURAGE !

  • Le 4 mars 2016 à 16:36, par Laurent En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Le journaliste a fait un grand travail en découvrant ce monsieur et le faire connaître au grand jour, beaucoup de gents ne pouvais imaginé d’une telle situation dans notre chère pays hélasse c’est la réalité.
    Quand au jeune enseignent il a d’abord aimé sont métier et est prêt a affrontez la réalité du terrain comme un jeune qui s’engage dans l’armée avec tout sont cœur pour défendre la patrie , il est prêt a mourir pour la patrie.
    chaque décision que l’homme prend a des conséquence et les inconvenant, c’est la vérité aussi, mais tout est dominé par l’Amour avec grand A il est Amourez de sont métier et on lui souhaite de vivre cette Amour Éternellement.
    Qu’on le décore ou pas il sera grand un jour que Dieux te conforte ton Amour pour ce métier que tu choisie.
    Seul le travail libère l’homme

  • Le 11 mars 2016 à 16:04, par mimi En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Quand on parle de fonctionnaires il faut voir les enseignants, les forces de l’ordre surtout la gendarmerie. Là ou un fonctionnaire ne veut pas aller ces gens y vont. Après on s’étonne de les voir comme des paysans. Les gendarmes qui sont au soleil, dans la brousse partout au prix de leur vie, il suffit que quelqu’un lui donne 1000 f et on trouve que ce n’est pas normal. Soyons tolérants. on peut donner a manger à quelqu’un qu’on ne connait pas. Vivement que ce reportage tombe dans l’oreille du ministère de tutelle de ce enseignant. Aucun fonctionnaire ne mérite ces souffrances. Il faut ça change. Du courage à monsieur GUINKO

  • Le 11 mars 2016 à 17:12, par alpha En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    J’ai des larmes aux yeux. que le tout puissant guide tjr dans ces pas

  • Le 14 mars 2016 à 11:02, par jacques En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Bonjour, grand merci au journaliste pour ce reportage clair et concret sur la situation professionnelle d’un enseignant en brousse ; c’est très intéressant de mieux connaître le travail quotidien de Daouda, ses difficultés mais aussi ses joies. Daouda a raison, le bonheur des enfants d’acquérir le savoir est la principale récompense de ce "hussard de la République" ( nom donné aux instituteurs en France au siècle précédent et qui désignait les soldats de Napoléon). Aider les élèves à mieux utiliser toutes leurs qualités d’intelligence et parfois même à les découvrir. On souhaite bien sûr à Daouda toutes les autres bonheurs de l’enseignant (salaire décent, conditions matérielles encourageantes, occasions de promotion, etc). Une suite à l’article serait lue avec grand plaisir.
    Un lecteur occasionnel de Paris

  • Le 14 mars 2016 à 21:53, par SOULY N. Stéphane Samuel En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Et pourtant au pays des hommes intègres, on voit en circulation...des Porches Cayenne, des Touareg, des Range Over...dernier cri ! Oh j´oubliais allez á Ouaga 2.000 observer nos braves mamans et grands mères tamiser la terre (pour y extraire le sable qu´elles revendront) sous les villas cossues de nos politiques. Nous avons déjà connu une révolution, une insurrection ! Le pire est-il passé ou est-il encore devant nous !? Courage à ce brave enseignant !
    La Patrie ou la Mort, Nous Vaincrons !

  • Le 17 mars 2016 à 17:54, par LANKOANDE JEROME En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    BONSOIR ET BON COURAGE, SOYEZ FORTIFIE

  • Le 21 mars 2016 à 21:13, par La kaa yi san En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Toute ma gratitude à tous ces nombreux internautes qui n’ont pas été avares en encouragements et félicitations à l’endroit de Monsieur Daouda Guinko. J’ai l’impression que c’est à la lecture de l’article publié par le "lefasonet" sur les activités pédagogiques de Monsieur Guinko, que nombre de burkinabè réalisent que l’enseignant façonne l’avenir. Combien sont-ils ces burkinabè qui, humblement ont déjà recherché leurs anciens maîtres pour leur témoigner toute leur reconnaissance. J’invite Monsieur Tiga Cheick Sawadogo à faire un tour à Kolonzo, un village dans la Circonscription d’Education de Base de Djibasso, province de la Kossi. J’y étais en 2002. Aujourd’hui, l’école de 3 classes construite en dur, a en ce moment 26 ans. Fais y un tour et vous découvrirez d’autres réalités.Merci d’avance !

  • Le 22 mars 2016 à 13:10 En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    bjr Mr Guinko comment allez vous. Vous avez les encouragements de toutes les femmes du BURKINA FASO. Que le tout puissant vous bénisse

  • Le 15 avril 2016 à 15:50, par djibril En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    j’ai les larmes aux yeux, cela me rappelle mes années de débutant quand j’étais principal de collège dans le TAMBACOUNDA( je suis sénégalais,mais amoureux du Burkina pour plusieurs choses...) il faut beaucoup de courage pour faire face à de telles situations, mais quand on est un enseignant consciencieux et qui porte en bandoulière la déontologie sans faille,aucun obstacle ne peut vous ébranler outre mesure ! BRAVO DAOUDA, et sache que la meilleure des recompenses se trouve dans la satisfaction personnelle suscitée par le noble sentiment d’avoir très bien fait ce qu’on avait à faire ! BRAVO !

  • Le 10 août 2016 à 08:36, par sana En réponse à : Daouda Guinko : Des Hauts-Bassins au Sahel, portrait d’un jeune enseignant sous paillotes

    Je viens de découvrir l’article, j’ai été saisie d’une si grande emotion que je pleure. Des jeunes comme lui ça existe ? Dommage que nous n’ayons pas droit à ses contacts. Il ne faut pas perdre la trace de ce garçon. Je vous confie à Dieu car Dieu seul recompense au centuple. Si nous jouons chacun notre partition comme lui au lieu de ne penser qu’à nous. Tout comme ton homo David Dieu t’accompagnera tout le long de votre vie. Je note votre nom. Je souhaite que nos chemins se rencontrent un de ces jours. Une maman pour toi.

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