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Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

Publié le jeudi 28 janvier 2016 à 00h26min

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Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

Dans une interview accordée à votre site d’information, lefaso.net, le ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation, répond à cœur ouvert aux questions en rapport avec son ministère, notamment la fusion de la recherche et de l’innovation, la nomination du DAF (qui fait jaser) et la crise à l’université de Koudougou. Lisez plutôt !

Lefaso.net : Après la transition, vous restez à votre poste au sein du gouvernement du MPP ; est-ce la continuité ou y a-t-il un nouveau départ ?

Filiga Michel Sawadogo : D’abord je dirai que c’est le gouvernement du président Rock Marc Christian Kaboré qui est quand même nettement plus large que le MPP. C’est un gouvernement où il a été fait appel à beaucoup d’autres partis ou d’autres personnalités de manière à monter un gouvernement qui est à même de résoudre mieux les problèmes de l’heure. Je peux dire que je suis reconnaissant aux autorités, au président et au premier ministre pour m’avoir mis dans le gouvernement. Mais en même temps, je peux dire que connaissant l’enseignement supérieur, ce n’est pas avec joie qu’on prend un tel portefeuille. Et cela étant, c’est clair que comme j’ai accepté, je vais mettre 100% de mes énergies à faire marcher le département ministériel. Je pense qu’il y a la continuité à travers ma personne mais il y a nécessairement des changements parce que le programme à exécuter c’est celui du président élu qui compte investir davantage dans la formation des hommes et dans la recherche de solutions aux problèmes que le pays connait qui passent par une dynamisation de la recherche qui doit être axée davantage sur le développement du Burkina Faso pour lever les contraintes et trouver des solutions aux différentes difficultés, des différents secteurs. Il s’agit notamment de l’agriculture, l’élevage, la pêche mais il y a aussi les technologies, les différentes activités y compris aussi celles qui sont liées aux sciences humaines, sociales qui doivent être dynamisées.

Lefaso.net : On note une nouvelle configuration du ministère avec le rattachement de la recherche et de l’innovation ; comment appréciez-vous cette nouvelle configuration ?

Filiga Michel Sawadogo  : C’est une bonne appréciation. Dieu merci, j’ai pu déjà rencontrer les chercheurs qui ne voient pas d’inconvénient à cette situation et qui se sont engagés à se mobiliser pour que les objectifs qui nous seront assignés à travers la lettre de mission puissent être atteints. En tout cas, nous avons la bonne volonté de la part des chercheurs.

Lefaso.net : Que répondez-vous à ceux qui pensent que la recherche et l’innovation méritent un ministère à part entière ?

Filiga Michel Sawadogo  : Dans l’ensemble, la liaison entre les deux s’il n’y a pas de subjectivisme, devrait donner de bons résultats. Du reste, il y a un secrétaire d’Etat qui est nommé pour s’occuper de plus près des questions liées à la recherche. Ceci signifie que la recherche n’est pas maltraitée bien au contraire. Simplement il faut qu’il y ait de la synergie entre l’enseignement supérieur et la recherche. C’est pourquoi, il fallait mettre ces deux domaines dans un même ministère. D’ailleurs c’était le cas depuis les années 1978 jusqu’en 2011. C’est donc dire que ce n’est pas une formule mauvaise, et majoritairement aussi dans la sous-région comme en Côte d’Ivoire, au Sénégal, c’est la formule qui est en marche. Donc je pense qu’elle ne va pas décevoir.

Lefaso.net : Que deviennent le secondaire et la formation professionnelle ? Relèvent-ils de l’enseignement supérieur ou du Ministère de l’éducation nationale et de l’alphabétisation (MENA) ?

Filiga Michel Sawadogo  : C’est vrai que l’enseignement secondaire va au MENA mais ce n’est pas une perte en tant que telle c’est-à-dire que l’enseignement secondaire au sens classique va de la 6e à la terminale donc 7 ans. Et dans le découpage passé, le secondaire de la 6e à la 3e était déjà rattaché au MENA et avait reçu l’appellation de post-primaire. Cela signifie que le MENA avait déjà une grande partie du secondaire. Mais le fait de scinder les deux avait pour inconvénient que des enseignants du secondaire rattachés au ministère de l’enseignement secondaire et supérieur refusaient de donner cours au post-primaire parce que ce n’était pas le même ministère. De la même manière, des professeurs d’éducation physique rattachés au post-primaire pouvaient refuser de faire du sport aux élèves de la seconde sous prétexte que ce n’est pas le même ministère et ils n’ont pas l’obligation de le faire. Donc on donne de la cohérence au secondaire et en même temps la nouvelle politique qui vise à faire en sorte qu’au cours du secondaire, les gens puissent apprendre des métiers divers liés à la construction, l’agriculture, l’artisanat etc. Cette dimension pourrait également être davantage développée conformément aux programmes du candidat élu Rock Christian Kaboré. C’est donc dire, que nous attendons beaucoup de choses positives de ce redéploiement du secondaire, d’autant plus que quand vous voyez des autorisations de construire un établissement qui va de la 6e à la terminale, si on suppose que c’est deux ministères différents, il faudra que vous fassiez deux dossiers : un dossier pour obtenir l’autorisation d’ouvrir de la 6e à la 3e et un autre dossier pour vous permettre d’ouvrir pour les classes de seconde première et terminale.

Lefaso.net : La première session ordinaire du conseil des ministres a fait une seule nomination, celle de votre DAF, ce qui fait jaser dans l’opinion…

Filiga Michel Sawadogo : Lorsque j’ai pris fonction à la tête du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, de nombreux responsables de la recherche m’ont posé le problème d’exécution de leurs missions qui passe par des opérations financières. Ceci compromettait leurs activités et la solution c’était de nommer un directeur des affaires financières. C’est ce que j’ai expliqué au gouvernement qui a donné son accord pour nommer le DAF parce que si les services sont bloqués pendant des semaines, ça veut dire que l’activité ne se mène pas. Finalement c’est le pays qui perd. C’est l’unique raison qui a conduit à faire nommer un DAF. Aussi, il faut le préciser, avec la fusion entre l’ex. MESS dans sa partie enseignement supérieur et l’ex. MRSI, on se retrouve avec deux DAF pour un seul ministère. Ce qui signifie que rien ne pouvait être fait là-bas parce que aucun n’est DAF, aucune opération financière n’est possible tant qu’on ne décide pas que c’est seulement l’un des deux anciens DAF qui est DAF ou que ces une troisième personne qui est DAF de cette entité. Au regard de l’urgence et du travail qu’on a vu faire par celui qui a été nommé au sein de l’ex. enseignement secondaire et supérieur, c’est le DAF de l’ex. MESS qui a été confirmé comme DAF de la nouvelle entité du ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation.
Mais sur la même lancée, il faudrait qu’il y ait un directeur du contrôle des marchés et des engagements financiers (DCMEF ) pour attester de la régularité des opérations effectuées. Pour l’heure, on ne peut pas faire d’opération tant que le DCMEF n’est pas nommé. J’espère que cette opération qui dépend exclusivement du ministère de l’économie, des finances et du développement sera peut être réalisée au conseil des ministres du mercredi 27 janvier.

Lefaso.net : Que se passe-t-il à l’université de Koudougou ?

Filiga Michel Sawadogo : Le problème est lié aux finances, c’est-à-dire que l’université de Koudougou a des dettes dues au personnel, aux élèves professeurs et dues aussi aux professeurs. Pour le dernier, il est prévu qu’ils ont droit à certaines indemnités lorsqu’ils organisent des examens, notamment des examens pratiques de l’école normale supérieure de l’université de Koudougou. L’ensemble des sommes dues dans ce cadre a atteint les 700 millions de franc CFA. Malheureusement, à la fin de la transition, il n’y avait pas d’argent et comme les intéressés tenaient à être payés avant de reprendre le travail, on n’avait pas de solution. La semaine dernière, ils ont pris contact avec moi et moi-même j’avais déjà soumis le dossier au conseil des ministres avant qu’ils ne le fassent. Le conseil des ministres pour sa part a promis de mettre à notre disposition la somme de 700 millions nécessaires pour les paiements. Ce n’est pas encore fait, mais j’espère que ça va aller. Nous avons tenu notre dernière rencontre avec les syndicats hier qui disaient qu’ils allaient consulter leur base. J’espère qu’ils vont faire preuve de bonne volonté et lever la grève pour que les activités reprennent afin que l’université de Koudougou qui est celle qui a moins de retard n’entre pas aussi dans les longs retards que connaissent les autres universités et en particulier l’université de Ouagadougou.

Lefaso.net : Pourquoi ces dettes ?

Filiga Michel Sawadogo : C’est parce que en grande partie, les effectifs se sont accrus de façon exponentielle. En 2013, on avait plus de 1300 élèves stagiaires, en 2014 le nombre est passé à 2173 stagiaires. Par contre en 2015, il y avait 2985 stagiaires. Mais parallèlement, le budget n’a pas été doublé. Au contraire, il est resté le même. Donc dans ces conditions, c’était prévisible qu’on allait rencontrer des difficultés financières. Nous espérons que le budget de l’année 2016 va tenir compte des besoins réels parce qu’on peut faire des économies sur les fournitures, papiers mais si on ne paye pas les présalaires, le climat sera délétère. Nous ne souhaitons pas vivre dans ce climat. Nous savons que le gouvernement soutient les institutions universitaires et de recherches, donc nous pensons que nous auront ne serait-ce que le minimum pour permettre à ces structures de fonctionner à la satisfaction des bénéficiaires que sont les étudiants, et de manière générale la jeunesse burkinabè.

Lefaso.net : Monsieur le ministre, vous dites que le budget n’a pas suffi, est-ce un manque de prévision des responsables ?

Filiga Michel Sawadogo : Ce n’est pas un manque de prévision du ministère puisque les budgets sont additionnés pour avoir le budget du ministère à l’époque de l’enseignement secondaire et supérieur. C’est simplement parce que les ressources de l’Etat ne permettaient pas de faire face. On n’a pas fait d’approche avec les intéressés puisqu’ils ont dit qu’il faut qu’il y ait paiement ou engagement ferme de payer. Cette fois-ci, nous sommes très près de la solution. Nous avons fait le travail de sensibilisation parce que c’est vrai, il y a leurs avantages, mais il y a aussi les pertes que subissent les étudiants qui devraient avoir cours depuis le mois de décembre et de janvier et qui pendant deux mois pratiquement n’ont pas eu de cours. Il faut bien sûr revendiquer, mais penser aussi à l’intérêt général que chacun doit servir.

Lefaso.net : Les derniers mots vous reviennent

Filiga Michel Sawadogo : J’invite toutes les parties prenantes au système d’enseignement supérieur et de recherche à s’investir, à donner le mieux d’elles-mêmes au bénéfice de leur pays. Je pense en particulier aux enseignants du supérieur qui en se mobilisant peuvent parvenir à résoudre le retard qui ne fait que s’accumuler. Je pense aux étudiants qui également apportent une contribution négative au retard en allant même dans des marches, mouvements. Ce comportement ne peut pas apporter un mieux d’autant plus que nous sommes disposés à faire le maximum de ce que l’Etat burkinabè peut faire en leur faveur. Les étudiants en sont les bénéficiaires du système universitaire. La troisième partie, c’est l’état et nous savons que tout ce qui est possible est fait et sera fait au bénéfice de la jeunesse estudiantine. Du côté de la recherche, c’est surtout inviter les uns et les autres à chercher avec perspicacité des solutions aux nombreux problèmes que rencontre le peuple burkinabè.

Aïssata Laure G. Sidibé
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 27 janvier 2016 à 21:14, par SALOU En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion entre l’ex. MESS dans sa partie enseignement supérieur et l’ex. MRSI, on s’est retrouvé avec deux DAF pour un seul ministère »

    Cher Ministre, au BF il faut toujours aller en grève pour voir la résolution des problémes. Je sais qu’à l’Université OuagaI, il ya plus de dette sociale. Mais ilfaur une grève pour vous reveiller. Porter lafibre patriotique ne resoud pas les problèmes.

  • Le 27 janvier 2016 à 23:16, par Le Citoyen. En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion entre l’ex. MESS dans sa partie enseignement supérieur et l’ex. MRSI, on s’est retrouvé avec deux DAF pour un seul ministère »

    Monsieur Le Ministre, je ne suis pas convaincu de votre bonne foi car avec votre intelligence, vous savez parfaitement comment les problèmes de l’université de Ouagadougou peuvent se résoudre. Pas besoin de faire des suggestions car vous connaissez parfaitement les solutions idoines et je suis prêt à m’investir. Le Citoyen.

  • Le 28 janvier 2016 à 01:03 En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion entre l’ex. MESS dans sa partie enseignement supérieur et l’ex. MRSI, on s’est retrouvé avec deux DAF pour un seul ministère »

    Ahahahaha pauvres des dirigeants africains !! Toujours un raisonnement vers l’argent ! Il y a 2 DAF mais vous oubliez qu’il y a aussi 2 SG , 2 DRH, 2 DGESS, 2 que sais-je encore ! et là ça ne change rien ? Alors, les postes où il y a du travail, on s’en fout ? Tant que vous allez montrer aux citoyens que tout le respect vous où il y a de l’argent, ils seront toujours des corrompus et corrupteurs !

  • Le 28 janvier 2016 à 07:39, par Nonga En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Monsieur le ministre, vous faites un mauvais diagnostic de la situation de l’uk. Toutes les universités ont des problèmes financiers mais qu’est qui explique la crise aiguë de l’uk ? Renseigner vous d’avantage. C’est la mal gouvernance. Si vous l’ignorez c’est grave et si vous le savez c’est plus grave. Vous prescrivez du paracetamol pour soigner la diarrhée.

  • Le 28 janvier 2016 à 07:55 En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Le ministre dit qu’il n’y a pas eu d’insuffisance en matière de prévision budgétaire pour l’université de koudougou mais que la faute c’est la rareté des ressources de l’Etat. moi je vdrais que le MEF communique la vérité sur le pblème des ressources de l’Etat ; il suffit au MEF de confier cette mission à quelqu’un comme le Dr SEYDOU RASSABLGA OUEDRAOGO, qui va donner ts les chiffres. Comme cela, si ts les acteurs savent en vérité ce que leur Etat peut ou ne peut pas, je pense les uns et les autres vont revoir leur manière de revendiquer

  • Le 28 janvier 2016 à 08:01 En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Mauvais diagnostic de la crise de l’uk de bonne foi ou de mauvaise foi ? Qui dirige uk avec le président ? A C, sg, ct et chargé de communication. Voici les universitaires" qui remplacent les vp, les directeurs d’établissements, le conseil scientifique, le cfvu. Cela s’ appelle la mal gouvernance.

  • Le 28 janvier 2016 à 08:03, par Tanga En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    La fusion entre MESS et MERCI ressemble à une absorption de ce dernier d’autant que dans le programme même du Président du Faso on a oublié de dévélopper la partie recherche et innovation. C’est grave seulement !

  • Le 28 janvier 2016 à 08:51, par Michel En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Monsieur le Ministre, vous devez vous battre pour une allocation budgétaire conséquente de nos universités. Dites la vérité au premier ministre sinon vous aurez étudiants et enseignants à vos trousses.
    il y a des activités incompressibles et l’allocation budgétaire doit nécessairement tenir compte de cela au risque de fermer à un moment vos universités. Les étudiants doivent manger et se loger et ça vous ne pouvez pas ne pas le faire. A koudougou, le CROUK sert par jour environ 7000 plats pour un besoin d’environ 16000 plats. vous affamez vos frères.
    Pour ce qui est du cas de l’Université de koudougou, vous faites fausse route en tentant de défendre le président et en ramenant tout à l’argent. Donner toute l’allocation du ministère à Georges et à ses financiers, le problème demeurera. Vous refusez de voir la mauvaise gouvernance du président Georges SAWADOGO.
    Prenez votre responsabilité car lui, il ne prend pas ses responsabilités. Les ressources allouées aux universités sont insuffisantes mais il faut savoir aussi les gérer. Un cas pour que vous vous rendiez compte qu’à l’université de koudougou, les financiers et le président gaspillent les ressources. En tentant l’année dernière d’annuler le deuxième suivi des stagiaires, Georges n’a fait que retarder ces suivis qui ont dû être faits à la dernière minute occasionnant des locations de véhicules (Environ 25 véhicules pendant deux semaines à plus de 50000 par jour et par véhicule). ces suivis auraient occasionné moins de dépenses (utilisation des véhicules de l’UK) s’ils avaient été faits comme l’avait prévu la direction des stages. Par ailleurs la fuite en avant dans le constat des avancements des agents, le refus de déconnecter certains du SYGASPE augmentent la dette sociale et il faut être dupe pour ne pas le savoir. les budgets mal montés relèvent de la négligence des financiers ou de leur mauvaise fois.
    Monsieur le ministre ouvrez l’oeil et le bon.
    Paix pour notre pays ! Plus rien ne sera comme avant !!

  • Le 28 janvier 2016 à 09:21, par Compatriote En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    S’il vous plait, que le Ministre prenne gout et apprenne à appeler Université Ouaga I de son vrai nom : Université Joseph KI-ZERBO. C’est un mérite et merci de le reconnaître et d’y prendre habitude.

  • Le 28 janvier 2016 à 10:08, par Cousin de Kôrô Yemlélé En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Héé Filiga aussi !!! Y a combien de Ministère qui ont deux Daf voire trois . Si cest ca la raison il fallait commencer par le SG ... et autre... Je me demande comment nos grands intello n’arrivent pas à convaincre. C’est normal A ton arrivée au mess tu as fait changer tous les Daf par tes parents ou amis. Fait gaffe ça n’arrive pas qu’aux autres !!!!!

  • Le 28 janvier 2016 à 10:29, par Le Fair Play Citizen En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    AATTEENNTTIIOONN !!!!!! Ministre de la communication ! On veut voir et apprécier les compétences de nos Ministres. Que DANDJINOU laisse chaque ministre au sortir du Conseil, présenter ses projets de lois débattus. OK
    Ne fait pas déjà ombrage à nos indicateurs de suivi évaluation des compétences de nos ministres

  • Le 28 janvier 2016 à 10:57 En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    internaute 3. Désolé, lisez bien l’explication du ministre. il a levé le blocage des activités du fait du manque de signataire de docs financiers. Que feraient vos drh ou sg sans daf, dc sans budget. moi, personnellement, à la recherche, je suis satisfait de cette situation qui me permet de repredndre certaines activités suspendues depuis décembre. Merci monsieur le ministre

  • Le 28 janvier 2016 à 11:00 En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    merci au conseil des ministres qui a permi la nomination rapide d’un daf. les activités peuvvent ainsi se poursuivre. sinon, nous allions encore etre en train de nous plaindre de retards de paiements d’actes divers ou de fournisseurs, etc. Je fais confiance au conseil des ministres

  • Le 28 janvier 2016 à 11:14, par DV En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    messieurs quelle nomination de daf fait jaser ? messieurs les jnalistes ? Le ministre dit que suite à la fusion des 2 ministères, il y avait 2 daf et qu’il fallait confirmer l’un d’eux. il a confirmé l’un d’eux. y a quel probleme ?

  • Le 28 janvier 2016 à 11:20 En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Le cas de l’uk n’est qu’un exemple de la dette des univ. le ministre maîtrise le dossier pour avoir été recteur, membre du CAR et MESS. je lui fais confiance pour la gestion globale de ces dettes sociales. Courage et bon vent, monsieur le ministre

  • Le 28 janvier 2016 à 11:21 En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    merci au ministre filiga pour la diligence de nomination du daf. Je ne sais pas ce que certaines personnes veulent. Si yavait pas eu de daf, les négociations avec les enseignants de l’UK seraient restées bloquées et il n ’y aurai pas de perspectives de reprise de cours à l’EN UK.

  • Le 28 janvier 2016 à 11:21, par wanemalgre En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    la solution c’est de transformer l’école Normale Supérieure de Koudougou ( ENSK) en Établissement public de l’État( EPE) avec un budget propre comme les autres écoles de formation comme les ENEP et ENAREF. l’ ENSK existait avant l’ université et cette dernière est venu fagociter l ENSK.

  • Le 28 janvier 2016 à 12:28 En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    l’argumentaire du minstère sur le choix d’un seul DAF ne souffre de débat, c’est une évidence. vu l’urgence c’était plus qu’une necessité. Au-délà de cela il faut saluer la fusion de deux ministères qui traduit la volonté des nouveaux dirigeants d’optimiser les resources à tout point de vue.
    Beaucoup de courage au ministre. et qu’il interpelle particulièrement les acteurs du milieu universitaire enseignant chercheurs étudiants et administratifs à mouiller le maillot pour résoudre la question des retards

  • Le 28 janvier 2016 à 12:32, par bob le démocrate En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    l’argumentaire du minstère sur le choix d’un seul DAF ne souffre de débat, c’est une évidence. vu l’urgence c’était plus qu’une necessité. Au-délà de cela il faut saluer la fusion de deux ministères qui traduit la volonté des nouveaux dirigeants d’optimiser les resources à tout point de vue.
    Beaucoup de courage au ministre. et qu’il interpelle particulièrement les acteurs du milieu universitaire enseignant chercheurs étudiants et administratifs à mouiller le maillot pour résoudre la question des retards

  • Le 28 janvier 2016 à 13:18, par l’aigri En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    toujours à se plaindre nos chèrs compatriot !les gens veulent le changement mais ils ne veulent pas eux- même changé.On atten le changema des autres.Avec cette mentalité, il est difficile.Toujours à pleuniché pour une nommination.Qui peut dire qu’il peut faire l’unanimité dans ce pays à travers ses choix.Personne.Monsieur, le ministre, nommez vos gas à votre discrétion et votre seule discrétion et laisser les internots jasé.

  • Le 28 janvier 2016 à 13:34, par Le Burkinabè En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Monsieur le ministre c’est bien tout ce que vous avez dit mais c’est pas arrivé.vous ne dites les raisons de ces grands retards dont vous parler.
    Tenez, à l’ufr SDS de l’uo les etudiants attendent leurs resultats depuis octobre jusqu’à ce jour rien. La 6e année est bloquée tout simplement parce que semblerait-il, le Pr Guissou n’a pas remis les copies de pharmacologie.
    Ce qui nous fait mal, ces meme prof composent à l’usta en en maximum 20jours ils donnent les notes.
    Svp, nous sommes tous des burkinabè, appelés à soigner d’autres burkinabès. Je dirait que c’est de la mechanté gratuite de nos chers enseignants, vos colkegues.

  • Le 28 janvier 2016 à 14:34, par Dire En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    J’espère que monsieur le ministre ne va pas garder seulement ses amis directeurs de l’ex MESS au détriment de ceux de l’ex MERSI surtout que entre temps ils sont tous devenus des militants MPP. Si c’est le cas alors ce serait pour un début, un coup dur pour la recherche. Salut vous là-bas OOOOOOOOH !!!!

  • Le 28 janvier 2016 à 15:11, par fusion des fusibles En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    internaute11, tu veu dir que tant qu’on n’est pas mppist c’est fini pour toi quoi ?Mais ya pas vraima de mppist, ce sont des directeurs qui jouent au caméléon.On les voyait avec leur histwr de courir accueillir blaise à l’aeroport"pour avoir dit la verité à obama"et quelques temps après ils ont fui au mpp, puis c’est eux qui se moquent de leur camarade restés au cdp.Aucune dignité quand il sagit de defendr leurs intétérêts.Nous agents du MESSRI ne voulont pas que ts les poste soient accaparés par le MESS.Le ministre n’a qu’a bien faire le tri

  • Le 28 janvier 2016 à 15:33, par yibal En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Moi j ai souhaité que filiga reste parce qu’il connaît les problèmes des Universités. Il a très bien fait de confirmer un Daf pour résoudre lea différentes crises si y a oas de signataire y a pas de déblocage. Nous n avons pas a l en vouloir.

  • Le 28 janvier 2016 à 15:47, par vérité Pian En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Filiga est l homme qu’il fallait a la tête du MERSI . Pour sa loyaté son honnêteté son courage son expérience il le fallait. La nomination d un Daf était Urgente au vous de la situation que traversaient nos universités. Surtout Koudougou avec des enseignants qui refusent de comprendre que les caisses de l état sont vides. Un manque de patriotisme au moment où la Nation pleure ses morts eux ils en rajoutent de la douleur a ces étudiants ; Stagiaires et a leurs parents meurtris en bloquant simplement les cours a cause des fras d organisation. C’est meme pas des salaires SVP..
    Je m attendais à ce que le conseil des ministres ordonne à ces irresponsables de reprendre les cours sans délai. La restauration de l autorités de l etat c’est cela aussi. Ce sont des terroristes et non des enseignants d universités. Quelle honte.

  • Le 28 janvier 2016 à 16:26, par Vérité En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Le Burkina va assister aux déboires de l’exécutif le plus médiocre depuis l’indépendance du Burkina. Ce problème est tout simplement une manque de prévisions, une mauvaise gouvernance. L’ENS n’a même pas reçu la moitié des stagiaires qu’elle prétendait recruter mais comment peut-elle être encore surprise de l’augmentation de ses effectifs ? Nous ne sommes pas Toto pour accepter des explications trop simpliste

  • Le 28 janvier 2016 à 19:10, par ZEIMPA En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Monsieur le ministre, je vous cite « il faut bien sur revendiquer, mais penser aussi à l’intérêt général que chacun doit servir » . On a fini avec ce genre de discours populiste (excusez moi le terme avec tout le respect que je vous dois en tant que mon professeur) qui tante présenter à l’opinion publique que celui qui revendique tord et que le chef a toujours raison. QUI doit penser l’intérêt général si le chef même s’agrippe ses intérêts particuliers ? C’est le chef qui doit donner l’exemple monsieur le ministre !

    Un exemple concret du populisme :
    Le président de l’université de Koudougou Georges Sawadogo a déclaré dans le journal L’évènement no 1 du 25 janvier 2016 qu’il a entrepris deux réformes douloureuses et nécessaires dont :

    - la première est l’application des forfaits pour la rétribution des actes académiques ainsi que l’organisation des examens pratiques au niveau de l’ENS qui couterait 16 millions de francs cfa au lieu de 90millions

    - la seconde est la diminution du nombre de suivis des élèves stagiaires sur le terrain qui passe de deux à un en raison de l’insuffisance de ressources financières
    Et il conclut en appelant les uns et les autres au patriotisme comme vous l’avez fait en disant « il faut bien sur revendiquer, mais penser aussi à l’intérêt général que chacun doit servir » pour signifier l’opinion publique ques les problèmes de l’UK ‘’c’est pas c’est pas Georges mais les autres’’.

    Si on examine la première reforme du président de l’UK où il perd 35 millions de francs cfa à lui seul en trois sans compter son DAF , son AC, SG, VP1. Si on fait une règle de trois on constate que sur les 16millions qu’il veut payer il gagne 6,22 millions (donc il reste 9,78millions). Monsieur le ministre que fait Georges dans les suivis et examens des élèves professeurs pour mériter11,66 millions chaque année ( 35millions en trois ans) ?
    RIEN ! Et vous ne lui dites rien !

    Voyons maintenant la deuxième reforme du président : elle est constitue un crime pédagogique, un comportement ‘’scolaricide’’ de la part d’un intellectuel professeur titulaire en didactique. En ramenant le nombre de suivi pédagogique de deux à un à qui profite ce crime ? Les stagiaires ? L’université ? Ou le ministère ? On peut monsieur le ministre faire même trois suivis sans problème .Il suffira d’entreprendre des reformes douloureuses mais nécessaires qui consisteront à déparasiter le système administratif et financier de l’université de koudougou ou bien à détacher l’ENS de l’université. Si vous êtes courageux monsieur le ministre faites le comme l’ancien ministre Moussa Ouattara l’avait déjà fait auprès du premier ministre. Parce qu, en son temps George sawadogo l’accusait d’assécher financièrement l’UK.

    Monsieur le ministre devant une telle situation le président Georges sawadogo peut il parler de patriotisme ?
    Monsieur le ministre Qui doit penser et servir l’intérêt général ? C’est vous , c’est le président Georges sawadogo ou c’est le peuple ?

    Monsieur le Ministre ne faites pas des amalgames parce que vous et le président Georges sawadogo ne pourrez ‘’gam-gam’’ le peuple.
    Si vous voulez on pourrait revenir sur les notions de patriotisme et d’intérêt national.
    Excusez-moi mon professeur
    Par ZEIMPA

  • Le 28 janvier 2016 à 19:20, par ZEIMPA En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Monsieur le ministre, je vous cite « il faut bien sur revendiquer, mais penser aussi à l’intérêt général que chacun doit servir » . On a fini avec ce genre de discours populiste (excusez moi le terme avec tout le respect que je vous dois en tant que mon professeur) qui tante présenter à l’opinion publique que celui qui revendique tord et que le chef a toujours raison. QUI doit penser l’intérêt général si le chef même s’agrippe ses intérêts particuliers ? C’est le chef qui doit donner l’exemple monsieur le ministre !
    Un exemple concret du populisme :
    Le président de l’université de Koudougou Georges Sawadogo a déclaré dans le journal L’évènement no 1 du 25 janvier 2016 qu’il a entrepris deux réformes douloureuses et nécessaires dont :
    - la première est l’application des forfaits pour la rétribution des actes académiques ainsi que l’organisation des examens pratiques au niveau de l’ENS qui couterait 16 millions de francs cfa au lieu de 90millions
    - la seconde est la diminution du nombre de suivis des élèves stagiaires sur le terrain qui passe de deux à un en raison de l’insuffisance de ressources financières
    Et il conclut en appelant les uns et les autres au patriotisme comme vous l’avez fait en disant « il faut bien sur revendiquer, mais penser aussi à l’intérêt général que chacun doit servir » pour signifier l’opinion publique ques les problèmes de l’UK ‘’c’est pas c’est pas Georges mais les autres’’.

    Si on examine la première reforme du président de l’UK où il perd 35 millions de francs cfa à lui seul en trois sans compter son DAF , son AC, SG, VP1. Si on fait une règle de trois on constate que sur les 16millions qu’il veut payer il gagne 6,22 millions (donc il reste 9,78millions). Monsieur le ministre que fait Georges dans les suivis et examens des élèves professeurs pour mériter11,66 millions chaque année ( 35millions en trois ans) ?
    RIEN ! Et vous ne lui dites rien !

    Voyons maintenant la deuxième reforme du président : elle est constitue un crime pédagogique, un comportement ‘’scolaricide’’ de la part d’un intellectuel professeur titulaire en didactique. En ramenant le nombre de suivi pédagogique de deux à un à qui profite ce crime ? Les stagiaires ? L’université ? Ou le ministère ? On peut monsieur le ministre faire même trois suivis sans problème .Il suffira d’entreprendre des reformes douloureuses mais nécessaires qui consisteront à déparasiter le système administratif et financier de l’université de koudougou ou bien à détacher l’ENS de l’université. Si vous êtes courageux monsieur le ministre faites le comme l’ancien ministre Moussa Ouattara l’avait déjà fait auprès du premier ministre. Parce qu, en son temps George sawadogo l’accusait d’assécher financièrement l’UK.

    Monsieur le ministre devant une telle situation le président Georges sawadogo peut il parler de patriotisme ?
    Monsieur le ministre Qui doit penser et servir l’intérêt général ? C’est vous , c’est le président Georges sawadogo ou c’est le peuple ?

    Monsieur le Ministre ne faites pas des amalgames parce que vous et le président Georges sawadogo ne pourrez ‘’gam-gam’’ le peuple.
    Si vous voulez on pourrait revenir sur les notions de patriotisme et d’intérêt national.
    Excusez-moi mon professeur
    Par ZEIMPA

  • Le 28 janvier 2016 à 19:38, par Etudiant En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Monsieur le ministre, il faut avoir pitié de nous étudiants et du personnel de l’UK. Notre situation est pénible et on voit que ça ne va pas entre le président et son personnel. Il y a problème d’argent mais aussi problème de gouvernance. Nous on a lu la déclaration que les enseignants ont fait à la presse. Est-ce que toutes ces personnes peuvent mentir et chercher à faire mal au président de l’UK ? Nous on est fatigué. Comme c’est lui qui est le problème, il faut trouver quelqu’un qui pouvoir travailler avec les professeurs. En tout cas, on est fatigué et on veut que MPP prenne sa responsabilité. SVP on ne peut plus accepter ça.

  • Le 28 janvier 2016 à 19:58, par De grâce En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Monsieur le ministre, on a tellement vanté vos mérites et votre intelligence que cette analyse sur l’UK me surprend et me révolte. Quand même !!! L’Uk est en agonie à cause de la gestion chaotique de Sawadogo Georges. Le bien-être des étudiants et enseignants ne vous préoccupe-t-il pas ? Vous avez relevé Pr Bonou de manière humiliante. Vous l’avez fait aussi pour Pr Bayo alors même que les deux institutions qu’ils dirigeaient n’avaient pas atteint le degré de pourrissement de l’UK. Ne me faites pas penser comme certaines mauvaises langues que vous protégez le président de l’UK.

  • Le 28 janvier 2016 à 23:21, par Axelle En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Verité Pian est l unité de mesure de l irresponsabilité. Pourquoi quant les enseignants revendiquent leurs dus on dit k les caisses de l état sont vides ? quand c est d autres corps l argent est vite trouvé. Les enseigants reclament leurs dus depuis juin 2015. il n ont pas attendu l attak des djihadistes pr le faire. dc pas d amalgames. Les menaces ne vont pas resoudre ce probleme car comme le dit le proverbe mossi "si l oiseau pleure pr appeler la pluie, c est devant lui k cette pluie s estompera" : Si juska present l UK est est le borgne parmi les aveugles, c est grace a ces enseignants que vs traitez d apatrides.

  • Le 29 janvier 2016 à 02:38, par lepaysdoitavancer En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Internaute 17, au contraire toutes les ecoles professionnelles de la fonction publique doivent integrer les universites. aller dans le sens contraire est reactionnaire !!!! Il faudra feliciter Koudougou d’avoir ete un precurseur de cette donne. ce qu’il convient de faire et pour lequel nous devons tous lutter, c’est que les autorites respectent l’education. qu’ils cessent de penser que ce sont les ressources naturelles - a elles seules, sans le travail de l’homme - qui feront la richesse et le developpement d’un pays. et sur ce plan, il nous faudra une therapie de choc a nos autorites.

  • Le 29 janvier 2016 à 06:28, par Vercingetorix En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Récupérez l’argent volé par Bila Gérard. Segda pour résoudre les problèmes liés aux finances.

  • Le 29 janvier 2016 à 09:18, par mon Dieu En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    internaute 6 apparemment tu ne connais rien de la gouvernance. chacun de ceux que tu as cité joue son rôle. Que toi et tes directeurs aussi vous jouer votre rôle. C’est l’argent qui t’intéresse. c’est pourquoi tu bloque tout alors que tu as un salaire. pourquoi un Roch a un gouvernement ?

  • Le 29 janvier 2016 à 09:20, par Hbravo En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    De passage à Koudougou (il ya environs 2 ans ?) pour une soutenance, mal m’a été de constater que l’université n’avait pas d’électricité Sonabel (pas par délestage car tous les kiosques alentour était bien connectés). Le groupe électrogène également n’avait pas de carburant donc les étudiants étaient obligés de venir avec leur petit groupe électrogène alimenter les vidéoprojecteurs.
    2ème constat non moins grave : la haie verte qui était réalisée pour embellir était devenue une rangé de bois mort ; à voir l’aspect j’ai compris qu’après leur plantation qui ne datait pas de longtemps, ces arbustes et fleurs de 50 cm à 1m n’ont reçu aucune goutte d’eau. C’était tout simplement désolant.
    Monsieur le Ministre, le problème de l’université semble plus profond et je ne comprends pas pourquoi malgré les interpellations vous ne vous posez la question sur la gouvernance de cette structure.

  • Le 29 janvier 2016 à 09:25, par Hbravo En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    internaute 25 "vérité Pian" la honte c’est toi car tu es soit mal informé soit tu es de mauvaise foi. dans tous les cas la honte c’est toi

  • Le 29 janvier 2016 à 10:00, par bruce En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Monsieur le ministre, êtes-vous vraiment soucieux du bien-être et du rendement de l’UK ? Changez la gouvernance. Nous ne pouvons accepter d’être pris en otage par un individu. Le président Georges Sawadogo est le problème, vous le savez bien. Nous voulons travailler et étudier en toute sérénité. Alors prenez vos responsabilités

  • Le 29 janvier 2016 à 10:11, par dunia En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Internaute Vérité Pian : tu traites les enseignants de l’UK de terroristes et d’irresponsables. L’amalgame que tu fais est malsain et irresponsable. De toutes les façons, ta mauvaise foi est tellement évidente que tu refuses de comprendre. A moins que tu en sois incapable. Puisque les enseignants sont des terroristes, aie le courage de venir les combattre à visage découvert. Nous t’attendons avec impatience !

  • Le 29 janvier 2016 à 11:59, par Un passant En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Internaute 12, tu es un égoïste et tu ne penses qu’à toi et pas aux autres !! Ce ministre est inefficace et sa reconduction est le fruit de son amitié et rien d’autre !

  • Le 29 janvier 2016 à 12:22, par Kopa En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Internaute 31, tu n’es pas honnête.
    Tu sais bien que ces plantes dont tu parles ont été plantées au mois de DECEMBRE 2012 par SEGDA. L’ASCE devait chercher à comprendre pourquoi on plante "dare dare" des plantes en décembre.
    L’UK a un véritable problème.
    - Des enseignants fantômes
    - Des enseignants diviseurs de classes pour augmenter les heures supplémentaires.
    - Beaucoup d’enseignants peu gradés qui se transforment en maîtres d’écoles primaires
    - Des docteurs fabriqués en didactique qui font toute sorte de cours pour gonfler leur volume horaire
    - Des donneurs de notes sexuellement transmissibles
    Si les enseignants de l’UK devaient être évalué par leurs étudiants et élèves stagiaires certains auraient été licencié depuis longtemps.
    On sait que vous êtes dans une fausse bagarre de "on n’aime un tel", on "n’aime pas un tel".
    Mais nous on s’en fout. N’hypothéquez pas notre avenir.
    ça nous fait honte de savoir que nos enseignants cachent leur malhonnêteté t leur incompétence derrière l’incompétence de leur président.

  • Le 29 janvier 2016 à 13:12, par Citoyen de Koudougou En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    C’est seulement à l’UK que des enseignants raffolent 9 000 000 frs CFA/an juste pour les heures supplémentaires. Ces gens sont très mal placé pour gréver aujourd’hui. Les vrais enseignants chercheurs(pas les reconvertis de l’UK) qui sont à Ouagadougou n’ont même pas le tiers de ce qu’un enseignant à l’UK perçoit par an. Voici des gens que Georges SAWADOGO a passé tout son temps à protéger et à engraisser et voilà comment ils le remercient. C’est ça aussi la nature des enseignants du primaire et du secondaire reconvertis en enseignant du supérieur.

  • Le 29 janvier 2016 à 16:38 En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Detacher l’ens de l ’université est un pas en arrière. La tendance mondiale est le rattachement des ens à l’université. L’injesp est rattaché à l’université (je ne parle pas du choix de l’université d’attache)
    Comment a cause d’un individu peut on penser à une telle solution ? Pourquoi sous Segda ça marchait ?
    Ça fait 3 ans que sawadogo est là. Il donne entièrement raison à ceux qui doutaient de sa compétence à gérer l’uk. Une université se dirige avec une équipe comprenant des vp, des directeurs, dès financiers ,...L’équipe du président Sawadogo exclut les les vp les directeurs d’établissement. Les instances qui ne fonctionnent pas d’ailleurs excluent des gens.
    Le premire poblème de uk c’est le président.

  • Le 29 janvier 2016 à 16:41 En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Detacher l’ens de l ’université est un pas en arrière. La tendance mondiale est le rattachement des ens à l’université. L’injesp est rattaché à l’université (je ne parle pas du choix de l’université d’attache)
    Comment a cause d’un individu peut on penser à une telle solution ? Pourquoi sous Segda ça marchait ?
    Ça fait 3 ans que sawadogo est là. Il donne entièrement raison à ceux qui doutaient de sa compétence à gérer l’uk. Une université se dirige avec une équipe comprenant des vp, des directeurs, dès financiers ,...L’équipe du président Sawadogo exclut les les vp les directeurs d’établissement. Les instances qui ne fonctionnent pas d’ailleurs excluent des gens.
    Le premire poblème de uk c’est le président.

  • Le 29 janvier 2016 à 16:56 En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Internaute 41 si le président protége des enseignants qui ne volent c’est ça la bonne gouvernance ? Vous avancez des arguments qui montrent plutôt L’INCOMPÉTENCE du président. Pour votre propre gouverne le président a touché plus de 4490000 en 2013 alors qu’il était président donc beaucoup de réunions et de missions.
    En voulant défendre l’indéfendable on expose les problèmes de uk au dehors.

  • Le 29 janvier 2016 à 19:06 En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    L’Ens n’est pas le problème de uk mais le président. L’Ens a besoin d d’un minimum d’autonomie mais c’est un grand atout pour l’uk

  • Le 30 janvier 2016 à 07:12 En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Le mensonge donne des fleurs et jamais des fruits. C’est ce qui se passe à l’uk. Trois ans de mensonge rattrapé par 2 mois de vérité.
    Monsieur le ministre sauvez l’uk. Messieurs les enseignants et Atos sauvons l’uk. Messieurs les étudiants et stagiaires sauvez l’uk. Le Mensonge est au bout.

  • Le 30 janvier 2016 à 11:37, par karsamba En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Que de problèmes mon Dieux. Notre système éducatif et surtout à sa partie supérieure à mal et très mal.
    La première cause et de loin la plus importante est la mauvaise gouvernance au sommet de l’état. En effet depuis longtemps l’enseignement supérieur a été le dernier des soucis de nos autorités jusqu’au plus haut niveau. Ils n’en ont que faire car leurs enfants sont dans les plus prestigieuses universités américaines, canadiennes et européennes, avec d’ailleurs des bourses qui devaient revenir aux plus méritants et les moins nantis.

    La deuxième cause c’est les 1ers responsables des nos institutions. En effet conséquence de la première cause, on nomme les gens du sérail prêts à faire toutes les basses besognes, par exemple à accepter de travailler avec des budgets dont ils sont conscients que ça va créer des problèmes. Un budget est base sur des besoins réels. C’est l’exemple de l’ens et ailleurs ou on demande de travailler avec le même budget alors que les effectifs ont doublé. De surcroît on ne prévoit aucun investissement dans le budget. Alors que toute institution ne se développe que par les investissements et non les dépenses de fonctionnement.

    La troisième cause est le gaspillage des maigres ressources mis à disposition par tous les acteurs à commencer par les dirigeants eux mêmes en premier lieux. Ces derniers se servent directement dans la caisse par des détournements ( argent liquides, missions inventées, carburant, ...) et prennent des ristournes sur des location d’immeubles, de véhicules et autres marchés passés avec des prestataires farfelus. La raison : leurs indemnités ne sont pas conséquentes pour le travail qu’ils abattent. C’est vrai mais ne faut il pas plutôt travailler à ce que ces indemnités soient améliorées au lieu de voler !

    Bref tout cela est encouragé par les premiers responsables du pays pour avoir la main mise sur le système.

    Il est temps qu’un grand nettoyage soit fait :
    Que l’enseignement soit effectivement élevé au rang de priorité nationale dans les faits et non dans le discours seulement.
    Que les différents responsables de nos institutions soient soit élus par leurs paires ( car nous savons qui est qui entre nous), soit désignés par appels d’offre sur la base d’un contrat d’objectif pour 3 ou 5 ans renouvelable une seule fois.
    Que les fonctions de responsable des institutions d’enseignement soient revalorisées de manière conséquente.
    Qu’un audit soit fait à la fin du mandat de chaque équipe dirigeante avant qu’une nouvelle équipe ne prenne la main.

    Voilà la thérapie de choc que je propose et je pense que les ressources disponibles peuvent permettre de le faire et cela va non seulement éviter les crises à répétition mais aussi responsabiliser plus les différents acteurs.

  • Le 30 janvier 2016 à 14:36, par non-mpéris En réponse à : Filiga Michel Sawadogo : « Avec la fusion, nous nous sommes retrouvés avec deux DAF pour un seul ministère »

    Internaute 40, es-tu à court d’arguments pour défendre le président de l’UK ? Qu’est-ce que Segda a à voir avec des plantes non entretenues et l’électricité coupée ? Les enseignants fantômes dont tu parles, assure-toi qu’il n’y en a pas eu ou il n’y en a pas aux côtés du président. On peut en citer qui pendant des années n’ont pas donné annuellement 75 heures de cours mais qui ont toujours bénéficié de leurs salaires, des voyages d’études, des primes de recherches,…
    Les classes ne sont pas divisées à cause de l’argent mais à cause d’une recherche d’efficacité pédagogique et avec l’accord des responsables.
    Tu parles de ‘’docteurs fabriqués en didactique’’. Tu montres par-là ton mépris et ta suffisance envers les autres et le CPU. Tu ne peux pas être et ne sera jamais le seul à avoir un doctorat. Les grands enseignants sont humbles et respectueux. Mais toi tu insultes les autres. Etre passé par le primaire ou le secondaire ou faire de la didactique, ce n’est pas une marque d’incompétence. Mais on te comprend puisque que certains qui se prennent pour de grands professeurs ont échoué lamentablement au concours direct du CAPES. Alors ils en veulent aux enseignants du secondaire et aux encadreurs pédagogiques. On sait beaucoup de choses. Alors attention à vos propos gratuitement agressifs !
    Quant aux notes sexuellement transmissibles, c’est l’argument encore de celui qui n’a pas d’argument et veut blesser les autres croyant les réduire au silence. Si tu as vraiment des preuves que des enseignants ont donné ou donnent de telles notes, alors tu as le devoir de les dénoncer. Si tel n’est pas le cas, alors cesse tes propos ridicules. Le cas auquel tu fais allusion, c’est du pipeau car si cela était avéré, le président de l’UK qui nourrit une haine viscérale envers certaines personnes en aurait profité pour leur nuire. Attention au retour de la manivelle ! En voulant faire mal, on peut te faire plus mal.
    Je concède le fait que certains enseignants seraient jugés très sévèrement par les étudiants et les stagiaires. Qu’en est-il alors du jugement que les mêmes et le personnel portent sur la gouvernance du président de l’UK ?
    Internaute 41, toi seul tu sais sans doute ce que tu entends par ‘’vrai enseignant chercheur’’. Tu penses sans doute en être un ou être proche de l’un d’entre eux. Peut-être que tu es l’un de ceux que Georges a engraissé au point que tu déraisonnes de cette manière en tirant à boulets rouges sur les enseignants venus du primaire et du secondaire. L’esprit de division qui te hante va te faire encore beaucoup souffrir. Beaucoup plus d’enseignants du primaire et du secondaire vont accéder au supérieur, ne t’en déplaise.

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