Difficultés d’écoulement du sucre de la SN-SOSUCO : Le gouvernement prend des mesures
La question d’écoulement du sucre de la Société Nouvelle/Société Sucrière de la Comoé (SN/SOSUCO) est récurrente. Face à la situation, le Gouvernement de la Transition a pris un certain nombre de mesures, pour à la fois protéger l’unité industrielle, mais aussi le consommateur.
Depuis le début de la campagne sucrière 2014/2015 des difficultés d’écoulement de la production locale de sucre se posent. La production de la SN/SOSUCO ne représente pourtant que 25% du marché national, soit en moyenne 30 000 tonnes sur une consommation nationale estimée à 120 000 tonnes par an. Pour réguler le marché de sucre, il est apparu nécessaire de procéder à la délivrance d’Autorisation spéciale d’importation (ASI) à l’effet d’éviter toute pénurie sur le marché et surtout une flambée des prix de ce produit de grande consommation.
En concertation avec les différents acteurs du secteur, des efforts ont été entrepris pour trouver des solutions afin de faciliter l’écoulement du stock. A cet effet, le Ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, en concertation avec l’Observatoire du sucre et les acteurs concernés a décidé :
• de la prise de mesures conservatoires, en l’occurrence l’annulation de certaines ASI sur décision de Son Excellence, Monsieur le Président du Faso, en conseil des ministres du 25 mars 2015.
• de la limitation significative du nombre d’ASI délivrée et du renforcement du contrôle du sucre importé au niveau des postes frontaliers. Depuis le 1er janvier 2015 jusqu’aujourd’hui, seulement six (06) ASI ont été délivrées pour l’importation de 500 tonnes et 12 500 tonnes respectivement de sucre en morceaux et granulé soit un total de 13 000 tonnes pour un gap de 90 000 tonnes à combler par l’importation.
• de la mise en place d’un comité de suivi permanent du respect des termes du protocole d’accord d’enlèvement de sucre local signé entre la SN/SOSUCO et les importateurs ;
• de la délivrance des ASI, exclusivement, aux importateurs ayant signé ledit protocole et effectivement procédé à l’enlèvement du sucre auprès de la SN/SOSUCO ;
• d’un suivi périodique et rigoureux des statistiques sur l’utilisation des ASI en collaboration avec les services de douanes ;
• de la prise de mesures anticipatives pour éviter les spéculations et la hausse des prix du sucre durant le jeûne musulman, qui est un mois critique de consommation de sucre ;
• de la révision périodique de la valeur de référence à l’importation du sucre ;
• de la transmission périodique des informations utiles par la SN/SOSUCO aux autorités de la transition.
Le Gouvernement de la Transition exhorte les acteurs économiques au strict respect des termes du protocole d’accord signé avec la SN/SOSUCO pour un développement de l’industrie sucrière et pour la préservation des emplois dans ladite industrie. Par ailleurs, il invite les citoyens à dénoncer tout cas de fraude ou de tentative de fraude auprès de l’autorité compétente. En tout état de cause, des numéros verts suivants sont mis à la disposition du consommateur : 80 001184/ 80 001185 à Ouagadougou et 80 00 11 86 à Bobo-Dioulasso.
DCPM/ Ministère de l’Artisanat et du commerce
Vos commentaires
1. Le 22 octobre 2015 à 08:03, par tingsaba En réponse à : Difficultés d’écoulement du sucre de la SN-SOSUCO : Le gouvernement prend des mesures
Bravo au CNT, car d’après la SN/SOSUCO serai le 2ème employeur après l’Etat. Bien vu mais il faut que les gens soient vigilant car il ya des commercent véreux.
2. Le 22 octobre 2015 à 08:40, par FasoLibre En réponse à : Difficultés d’écoulement du sucre de la SN-SOSUCO : Le gouvernement prend des mesures
Ceci ressemble plus à du dilatoire.
Le sucre importé est bien stocké dans des entrepôts sur le territoire national. Un contrôle peut donc y être fait par les services compétents de l’état. C’est quel pays où on recrute des fonctionnaires pour faire un travail, ceux-ci touchent leur salaires (certains y ajoutent des dessous de tables) et quand il y a un problème qu’ils doivent résoudre, on dit à la population de dénoncer x ou y ? Un peut de décence s’il vous plait. Respectez le peuple s’il vous plait. Si vous vous jetez à l’eau, le peuple vous suivra. Mais n’allez pas souper avec les exploiteurs du peuple et inviter ensuite le peuple à une foire d’hypocrite.
J’invite l’ASCE à vérifier les informations sur les ASI de 2015, pour nous assurer que le ministre actuel du commerce n’est pas de mèche avec certains importateurs comme le dit dame rumeur. La haute cour de justice n’est pas là que pour les anciens dignitaires de la république. Des citoyens ne peuvent pas donner leurs poitrines aux balles assassines du RSP pour installer et réinstaller des ministres indélicats. L’ASCE doit garder en tête que certains importateurs de sucre ont peut être trempé dans le commerce de guerre en Cote d’Ivoire, tout comme certains dignitaires de la transition. Des connexions pourraient donc exister entre certains.
J’invite également nos journalistes d’investigation à nous éclairer sur ce dossier de sucre. Le prix Norbert Zongo devrait tenir compte de l’utilité publique des articles dans sa sélections.
Pauvre peuple du Faso, heureusement que tu es brave.
3. Le 22 octobre 2015 à 09:54, par GUY 1er En réponse à : Difficultés d’écoulement du sucre de la SN-SOSUCO : Le gouvernement prend des mesures
Je ne comprend pas pourquoi on s’evertu à forcer les choix des consommateurs !
le problème de la SN SOSUCO est purement commercial et non politique. Toutes les décisions annoncées auront pour effet d’accroitre la contre bande du sucre et c’est l’ETAT qui perdra des milliards de taxes non récouvrées.
1- Problème d’emballage non attractif : De vous à moi, dépuis la création de la SN SOSUCO, c’est le même packaging (emballage) qui est là ! ça n’attire plus les consommateurs. Comme je le dis souvent si vous mettez du champagne qui coûte 3 millions de FCFA dans dans un pot ("croibbat") je ne pense pas que des personnes censées pourront le degusté. Par contre, mettez de l’eau simple dans une coupe en or , votre invité prendra des heures pour vider cette coupe d’eau car il y prend du plaisir. SVP innovez dans le packaging
2. La SN SOSUCO refuse de voir les autres marques importées comme des marques concurrentes y compris la fraude tout simplement par ce que l’ETAT intervient. Compte tenu de la qualité du sucre de la SN SOSUCO, qui meilleure (selon la SOSUCO ) pourquoi ne pas valoriser cet axe aux yeux du consommateurs ! Bien sure que cela suppose que vous avez des spécialistes en marketing pour opérer ce positionnement.
3. La SN SOSUCO n’a pas de direction commerciale compétente capable de mettre en place une stratégie de lutte concurrentielle pour s’adapter à l’environnement actuel de mondialisation des échanges. Preuve en ait que le Directeur Commercial est docteur en... Chimie (sauf erreur de ma part). Toutes mes excuses mais sa place est dans un laboratoir
En conclusion, ya trop à dire ! Une chose est sûre, toutes les mesures prises par l’ETAT n’auront pas d’effet car le problème n’est pas politique mais commercial : le choix du consommateur ne dépend pas d’une volonté politique mais des avantages qu’il gagne en consommant un produit !
Juste une contribution patriotique !
4. Le 22 octobre 2015 à 10:03, par Moussa En réponse à : Difficultés d’écoulement du sucre de la SN-SOSUCO : Le gouvernement prend des mesures
CRIME ECONOMIQUE
On en parle tout le temps mais quand la situation reelle se presente on tergiverse au lieu de punir. Qu’on se le tienne pour dit : La SOSUCO finira par mettre la cle sous le paillasson.
On pensait que les importations (ASI) etaient interdites depuis que le probleme s’est pose. C’est honteux de voir que les importations continuent sous differentes formes comme cela est indique dans l’article.
LA VERITE : Le sucre est un deal tres tres juteux et beaucoup de gens sont complices de l’importation car TOUS broutent leur part du gombo. Il faut urgemment diligenter une enquete independante serieuse sur toutes les importations et la verite sera exposee ! Alors beaucoup de gens seront en prison mais la SOSUCO survivra. On cache au Burkinabe le fait que les importations de sucre en si grande quantite sont faciles et tres lucratives a cause des reductions obtenus chez les fournisseurs etrangers. Ces derniers font de grosses remises mais n’ont perdent rien compte tenu de la quantite vendu (des milliers de tonnes !) ! Nos importateurs et leurs complices peuvent eux aussi mouiller les barbes sans rien perdre. Les seuls perdants c ;est le Burkina Faso et les travailleurs de la SOSUCO.
Que personne ne se laisse prendre dans ce jeu de chiffres du Ministere du commerce tendant a demontrer que l’importation s’impose pour equilibrer l’offre et la demande de sucre que SOSUCO ne pourrait pas satisfaire ! C’est faux !
Depuis que la SOSUCO existe un probleme d’importation de sucre n’a jamais cree autant de problemes a notre usine. Si la demande de sucre est si forte sur le marche local, la logique aurait voulu que SOSUCO ecoule d’abord tout son sucre avant qu’on importe. Bloquer le sucre sosuco dans les entrepots et inonder le marche de sucre importe est criminel.
Si la Transition n’arrete pas toutes les importations de sucre et ne fait pas un audit des autorisations d’importer, elle portera seule la responsabilite de la fermeture de la SOSUCO.
Le texte du ministere nous prend tous pour des cons.
5. Le 22 octobre 2015 à 10:31 En réponse à : Difficultés d’écoulement du sucre de la SN-SOSUCO : Le gouvernement prend des mesures
Ces mesures n’iront pas et seront sans effets comme au paravant. Pourquoi des mesures quand la ministre chargé du budget fonctionnaire et commerçant de son état, elle même a du sucre importé dans ses boutiques (patte doie et Calgongé) ?
Wait and se !!!!!!!!!!!!!
6. Le 22 octobre 2015 à 10:58, par DAY En réponse à : Difficultés d’écoulement du sucre de la SN-SOSUCO : Le gouvernement prend des mesures
Le problème de la SN SOSUCO est un problème commercial même si l’Etat continue de soutenir et d’intervenir présentement dans le long terme il faudra revoir la politique commerciale. Dans la plupart de nos sociétés d’Etat les vieille méthodes persistent alors que les habitudes de consommation et le marché évoluent. C’est un mal de plusieurs sociétés d’Etat. Depuis les années 60 quelle est l’innovation que la direction commerciale à apporter rien sauf produire et rester sur place pour attendre que les grossistes viennent enlever le produit. Aucun changement d’emballage pas de sucre blanc et blond. SVP changer les paquets faite des paquets de 0,25 ou 0,50 kg, copier la manière de mise en sac du sucre en poudre regarder chez les autres en un mot innover. C’est la même chose comme les savons SN CITEC ou depuis les années 60 pas de savon de toilette, pas de parfum depuis c’est toujours la même boule noir un jour eux aussi crieront au secours. Des produits comme NESCAFE, NIDO sont toujours en promotion que fait la SN SOSUCO. Les produits pharmaceutiques qui sont susceptibles de se faire leur propre pub ont des délégués médicaux. Si le sucré importé est moins cher que le votre rien ne prouve que votre direction n’est pas complice. Dénoncer la mauvaise gestion vous seul avez la solution. Inonder le marché et récupérer vos anciens clients par une bonne politique commerciale. De grâce abandonnons les vieilles méthodes avançons et acceptons de changer c’est la seule façon de résister à la concurrence.
7. Le 22 octobre 2015 à 12:21, par totabo En réponse à : Difficultés d’écoulement du sucre de la SN-SOSUCO : Le gouvernement prend des mesures
D’accord pour protéger l’unité industrielle au profit des travailleurs et de toute la région des cascades, mais il est hors de question de garder les actuels gestionnaires de cette société qui sont à la base de tous ces problèmes. L’état doit diligenter une enquête urgente sur la gouvernance de la société. Il y a de la maffia en bas. Depuis l’acquisition frauduleuse de la société par le groupe IPS ( avec l’aide d’une mafia locale) au détour d’une soit disant privatisation , cette boîte a du mal à se retrouver et pourtant elle se portait comme un charme quand elle était gérée par l’état.
8. Le 22 octobre 2015 à 12:58 En réponse à : Difficultés d’écoulement du sucre de la SN-SOSUCO : Le gouvernement prend des mesures
Par NOSTRA
Très bien !
GUY 1er a tout dit. Le problème de la SOSUCO est tout sauf politique. Je me rappelle une année quand le syndicat voulait en découdre avec l’État sur le prix du hydrocarbures, il nous a fait un point depuis le port jusqu’à la pompe. Que revient réellement le prix du kg aux consommateurs avec le personnel actuel de la Société ?. Que propose le service commercial pour la sortie de crise ? Si la SOSUCO ne peut pas tenir face à la concurrence qu’elle mette la clé sous la porte. C’est la mondialisation, alors il faut développer des stratégies pour faire face aux concurrents. Emballage ou quoi je ne sais pas, le consommateur burkinabè veut le moins chère. Alors, que la SOSUCO nous explique comment se fait-il que son sucre soit plus chère et que le consommateur que nous sommes payons le prix pour qu’elle puisse continuer à payer son personnel. Même si l’explication parait logique ce que j’en doute, dès qu’on finira de consommer ce qui est en stock, que la SOSUCO ferme et qu’on continue l’importation. On ne peut pas vouloir une chose et son contraire. On lutte contre la vie chère et on veut nous obliger à acheter le sucre plus chère parqu’il est produit chez nous. Quel paradoxe !!!! CNT, le PROBLÈME SOSUCO EST ÉCONOMIQUE ET NON POLITIQUE, Revoyez les charges et le mode de production du sucre de la Société et vous trouverez la solution !!
Nostra
9. Le 22 octobre 2015 à 13:14, par Sidpasata Veritas En réponse à : Difficultés d’écoulement du sucre de la SN-SOSUCO : Le gouvernement prend des mesures
Si on voulait résoudre ce problème, on prendrait une solution simple à effet certain. Que l’on donne l’autorisation d’importer le volume manquant à la SN-SOSUCO qui pourra alors sous-traiter avec les commerçants pour l’importation. On nous dira que ce serait un monopôle, mais il faut savoir ce qu’on veut, quand il s’agit de défendre la souveraineté alimentaire ! Nous n’avons pas hésité et aucune instance internationale ou régionale n’a pu nous empêcher de supprimer l’ex-RSP. Il faut donc savoir exercer sa souveraineté quand il faut !
10. Le 22 octobre 2015 à 14:15, par LE CITOYEN En réponse à : Difficultés d’écoulement du sucre de la SN-SOSUCO : Le gouvernement prend des mesures
Il y a beaucoup de non dits dans ce article. Pourquoi délivré des ASI pendant la SN SOSUCO est en difficulté. Rappelez vous à la création de la CIMAT, pour la protéger, on a surclassé dans le code des douane le ciment importé du Togo et de la cote d’ivoire malgré les accords de la CEDEAO pour les rendre plus chers et permettre à CIMAT d’occuper le marché du ciment.Evidememment on sait qui était actionnaire. Comme la sauvegarde de la SN sosuco ne profite à aucun du pouvoir, tant pis ! Pauvre Burkina, même dix insurrections ne pourront nous sauver de la malhonnêteté des gouvernants.
11. Le 22 octobre 2015 à 16:10, par Vincent En réponse à : Difficultés d’écoulement du sucre de la SN-SOSUCO : Le gouvernement prend des mesures
Au Burkina Faso Nous n’avons pas de politique économique. Le sucre Importé doit être plus chère que le sucre National. Exemple : si le sucre Burkinabé coute 500fcfa le sucre Importer doit couté 700 fcfa là les 200 fcfa vont pour le fond de développement du Burkina.
12. Le 22 octobre 2015 à 16:43, par Konfi En réponse à : Difficultés d’écoulement du sucre de la SN-SOSUCO : Le gouvernement prend des mesures
tout cela se passe sous les yeux du cdpistes, économiste,ex député, Léonce Koné, natif de la région...
13. Le 23 octobre 2015 à 12:01, par L’Oeil du peuple En réponse à : Difficultés d’écoulement du sucre de la SN-SOSUCO : Le gouvernement prend des mesures
Je crois que le ministre du commerce, de l’artisanat et de l’industrie doit rendre sa démission. Il n’ y a pas très longtemps ce monsieur est sorti sur les antennes et dans les médias pour se justifier par rapport aux Autorisations Spéciales d’Importations du sucre quand les travailleurs de la SN-sosuco avaient barré la nationale menant en COTE- D’IVOIRE. Il a tenté de se dédouaner pour dire que ces ASI dataient de 2014 et qu’elles étaient déjà engagé au niveau de la direction de la douane, c’est pourquoi il a demandé à la douane de les libérer. Ces ASI d’après lui portaient sur 4000 tonnes. Il avait menti. Voilà que FREE AFRIK vient de le dévoiler au grand jour par son rapport.Le ministre a fait perdre à l’Etat BURKINABE et à son PEUPLE 15 milliards de F CFA au titre des droits et taxes pour l’année 2015. Pendant que nous sommes à la recherche des ressources pour financer les secteurs vitaux pour notre développement économique, ce ministre indélicat se permet pour ses intérêts personnels, de distribuer des autorisations spéciales d’importation du sucre à des commerçants qui n’ont aucune dignité, ni un sens du patriotisme, ni foi, ni loi que leurs propres intérêts égoïstes au détriment d’une industrie qui fait la fierté nationale dans la sous-région. Quelle famille qui n’ a pas un membre qui a travaillé dans cette ? Elles sont très peu de famille.Comment laisser des commerçants importés jusqu’à 5 000 tonnes pour une valeur de 560 000 000 F CFA par une société qui paye pas ses impôts et taxes alors que la SN-SOSUCO avait dans ses magasins près de 30 000 tonnes de sucre. C’est malsain de la part de ce ministre et son équipe qui ne pensent pas aux intérêts de la nation et qui n’ont aucun sursaut d’orgueil patriotique. Je sais que lors de sa nomination en novembre 2014, certains internautes avaient parlé de sa moralité douteuse et de son implication dans certaines affaires louches sous le régime de Blaise. Le gouvernement de la transition doit prendre ses responsabilités en demandant des comptes à ce ministre qui n’est pas du tout dans l’esprit de l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014.
Il oublie qu’un pays ne peut jamais se construire sur la base de l’import - export. Seules des industries qui apportent de la valeur ajoutée peuvent booster notre développement.
Des apatrides qui n’ont aucun sens du patriotisme comme les internautes 3 et 8 pensent qu’ont peut compter sur eux pour le développement de ce pays. Lorsque vous achetez un morceau de sucre importé, vous créez du même coup un emploi pour le pays qui produit ce sucre, et en même temps vous supprimez un emploi dans notre pays. Ne dit-on pas que l’enfant intelligent paie toujours les beignets de sa maman pour permettre à celle-ci d’avoir toujours dans sa famille.
L’ETAT doit reprendre absolument sa société pour garantir les emplois et la croissance de cette société. Le groupe AGA KHAN doit partir .C’est la mafia organisée.
14. Le 23 octobre 2015 à 12:40, par rance En réponse à : Difficultés d’écoulement du sucre de la SN-SOSUCO : Le gouvernement prend des mesures
Si tous les burkinabè faisaient comme moi ça allait diminuer les problèmes de la SOSUCO. Je ne consomme que le bon sucre de SN SOSUCO. Si ça manque dans ma boutique habituelle ; je ne me jette pas sur le sucre importé, je change de magasin pour trouver mon sucre, surtout le roux dans le pouvoir sucrant est plus que le sucre blanc. J’aborde un autre sujet abordé par le Citoyen, celui de la CIMAT dont le DG est un "frère" du bandit Diendiéré. Je ne connais pas son statut, mais si c’est privé qu’on la nationalise car ce sont nos milliards volés par le clan qui permis d’ouvrir ce genre de société. De même que ce Diendiéré à 2 grosses villas dans Ouaga 2000 évalué à des centaines de millions de FCFA, car un journaliste de Canal 3 en avait parlé, que ces maisons soient confisquées et utilisées pour bien dédommager les victimes de 30, 31 octobre et celles du 15 septembre. Je ne laisse pas le PM transitionnaire en reste s’il est vraiment un bon croyant, il doit restituer à l’Etat ses milliards acquis grâce à sa position dans le RSP pour qu’ils soient remis aux familles des martyrs, car si eux ne s’étaient pas sacrifiés ; il ne serait plus en vie aujourd’hui.
15. Le 24 octobre 2015 à 12:23, par SAFELBA En réponse à : Difficultés d’écoulement du sucre de la SN-SOSUCO : Le gouvernement prend des mesures
Arrêtez de nous pomper l’air avec une entreprise qui ne fait aucun effort pour vendre. Toutes les industries de ce pays sont dans un environnement concurrentiel difficile. Montrez nous une seul unité industrielle qui est à mesure de de tenir sereinement dans ce monde de globalisation. Les autres se battent et SOSUCO pleurniche : L’Etat est responsable de tous ses malheurs. Soyons sérieux. Le problème de cette entreprise est un problème de compétence. Eh ! oui comment voulez vous affrontez une environnement aussi concurrentiel comme celui du sucre avec un DG docteur en géologie, quel anachronisme.