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Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

Publié le vendredi 25 septembre 2015 à 23h09min

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Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

De la prise d’otage la veille, à la proclamation de prise de pouvoir du Conseil national pour la démocratie (CND) le 17 septembre 2015, le Burkina Faso, comme lui seul sait le faire, est à nouveau en moins d’un an sous les feux de la rampe. Conséquence, la CEDEAO, dont les autorités de la Transition avaient méprisé l’arrêt de la Cour de justice, fut à nouveau sollicitée pour trouver une solution à la crise.

Sans rancune, l’institution régionale dépêcha les présidents Macky Sall du Sénégal (président en exercice de l’institution) et Boni Yayi du Bénin (nommé médiateur par la CEDEAO) au chevet du pays des Hommes intègres.

A l’issue de trois jours d’intenses concertations, une série de propositions est faite aux protagonistes de la crise sociopolitique. Elle se résume, entre autres, en « un retour à l’ordre constitutionnel, la réinstallation du président Michel Kafando à la tête de la Transition, la tenue du scrutin présidentiel et législatif le 11 octobre 2015, la libération de toutes les personnalités détenues, la garantie de sécurité pour les dirigeants actuels du RSP,
l’arrêt immédiat des violences contre les civils,
la dissolution du RSP, le retrait de tous les militaires de la Transition, la participation de tous ceux qui le désirent aux élections présidentielle, législatives et municipales ».

Mieux les chefs d’Etat et de Gouvernement de l’institution régionale d’intégration ont mis les Burkinabè face à leurs responsabilités à l’issue de leur sommet extraordinaire d’Abuja du 22 septembre 2015. En décidant de ne pas décider fermement, les présidents des pays membres de la CEDEAO ont signifié clairement aux protagonistes de la crise sociopolitique actuelle que le dernier mot leur revient. La grand-messe de ce 23 septembre 2015, qui a vu la présence des envoyés de la CEDEAO dans notre pays n’est que l’instance d’adoubement mais pas de décision.

C’est pourquoi, contre mauvaise fortune, les responsables de « l’aile dure » de la Transition doivent faire bon cœur car en réalité ce putsch du RSP (Régiment de sécurité présidentielle) vient sauver la situation au prochain président qui sera issu des urnes.

D’abord sur le RSP lui-même. Il est maintenant avéré et de façon éclatante à la face des Burkinabè qui en doutaient encore et du monde entier que tant que cette institution d’élite de notre armée sera mitoyenne à la présidence, de surcroit en charge de la sécurité du locataire des lieux, il lui sera loisible de venir interrompre le bail de celui-ci comme bon lui semble. Du reste, au nombre des propositions figurent en bonne place sa dissolution même si les responsables actuels de ce corps demandent à ce que ce soit fait par le futur chef de l’Etat. Bref ce n’est plus le principe de sa dissolution qui est mis en cause mais plutôt le timing.

Ensuite, en décidant d’exclure pour les élections à venir « toutes les personnes ayant soutenu un changement anticonstitutionnel qui porte atteinte aux principes de l’alternance démocratique, notamment au principe de la limitation du nombre de mandats présidentiels ayant conduit à une insurrection ou à tout autre forme de soulèvement », la Transition avait en réalité créé les conditions d’une instabilité chronique pour le président qui allait venir. Il allait passer le plus clair de son temps a « mâter » de l’opposant, voire à gérer des soubresauts ou de l’agitation sociopolitiques qu’à se consacrer à la mise en œuvre de son projet de société. Les exclus allaient lui « pourrir l’atmosphère sociale » pour à la fois monter son incapacité à diriger et pour le faire apparaitre comme un dictateur prompt à « croquer de l’opposant ». Ils en ont les moyens et connaissent les méthodes y relatives du fait leur longue expérience dans la gestion du pouvoir d’Etat.

« Last but not the least », en faisant ce putsch, le RSP permet à la classe politique et aux Burkinabè de repartir sur des bases saines à travers des élections apaisées, consensuelles et inclusives mais surtout de saisir cette nouvelle opportunité pour faire une sincère catharsis qui va nous libérer pour l’éternité. C’est à ce moment qu’une structure telle que la Commission « Vérité- Justice-Réconciliation » aura tout son sens.

En effet, un pays qui ne solde pas son passif de violence politique triche avec lui-même et ne pourra se réconcilier véritablement. C’est un principe universel. Tôt ou tard il faut y revenir. La preuve, malgré l’inflation institutionnelle que connaissait le Burkina Faso, malgré les cérémonies dites de réconciliation et d’hommage, malgré les mesures de réparations et de compensations financières, malgré les demandes de pardon sans vérité, malgré l’érection de places et de monuments à la Gloire des héros et martyrs, l’on a abouti à une insurrection menée par la jeunesse en octobre 2014. Et l’on assistait à la répétition des mêmes erreurs que le régime précédent par la Transition : imposer sa volonté en se drapant de textes législatifs douteux ou taillés sur mesure, n’en déplaise à ceux d’en face. Résultat des courses, un coup d’Etat.

En tous les cas, le Burkina est à la croisée des chemins. Si nos dirigeants (acteurs politiques, société civile, militaires et agitateurs de tout poil) veulent nous sauver, qu’ils s’accordent sur ce modus vivendi de la CEDEAO. Faute de quoi nous allons le payer au prix fort, c’est-à-dire de terminer l’année dans la douleur et les larmes.
Alors, sans passion, ni haine, ni peur, il faut trouver un compromis historique qui va nous mettre à l’abri, pour de vrai, des ambitions personnelles et autre esprit de vengeance. En somme il faut rendre notre pays vraiment démocratique en prenant le temps qu’il faut pour écrire des textes historiques et non un conglomérat législatif concocté à la va vite, contestable par le premier venu, à commencer par les juristes eux-mêmes.

L’Armée pour sa part a déjà donné le ton en parvenant à un accord, sous l’œil impérial du Moro Naba Baongho : les loyalistes replient à cinquante kilomètres de Ouaga et les mutins du RSP regagnent leur caserne. Comme si elle avait fait sienne cette supplique des Archevêques et Evêques du Burkina : « la sagesse doit prendre le pas sur les ambitions personnelles ». Nous vous regardons Mesdames et Messieurs de la scène politique nationale. Le Burkina doit nous survivre.

Neya de Gabou

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Vos commentaires

  • Le 25 septembre 2015 à 23:17, par king En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    eh oui tu as raison, ils ont eux meme tendu le baton qui a servi a les chicotter. c’est djendere ki cree rsp cest lui aussi ki la detruit.Comme koi dieu dors pas celui qui etait intouchable va dire si je savais.......... comme koi l’ orgeuil precede toujours la chute

  • Le 25 septembre 2015 à 23:54 En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    Neya de Gabou,tu es gaou.Tu es en retard car ceux qui sont exclus,sont exclus et ils ne pourriront rien ici avec le futur président.C’est fini pour eux et ils en sont très conscients

  • Le 26 septembre 2015 à 00:20, par rendak En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    d’abord le Burkina n’a pas sollicité la CEDEAO pour résoudre nos problèmes. ensuite je ne comprends pas pourquoi il y a toujours des gens qui sont rivés sur ce qu’ils appellent élection inclusive (comme s’il en existe une seule au monde et de toute l’histoire !) alors qu’aucun parti n’est exclu et que les partis des individus inéligibles ont pris acte des décisions du conseil constitutionnel et ont procédé au changement desdits candidats. par ailleurs pourquoi croire contre l’avis de la majorité que c’est en incluant vos gens que les élections seront apaisées ? si le peuple n’était pas d’accord avec cette loi électorale il serait sorti le jour de son vote le 7 avril pour stopper le CNT comme il l’a fait le 30 octobre 2014 ou dès le 16 septembre soir à l’annonce des prises d’otages. alors qui vous donne la garantie qu’en incluant vos gars il n’y aura pas de tensions, de troubles durant les campagnes. il faut que vous appreniez à réfléchir autrement.

  • Le 26 septembre 2015 à 06:33, par Le roi En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    MR OU Mme NEYA DE GABOU , apparemment nous ne vivons pas sur la même planète . A vous lire et à vous suivre , vous proposez que l’on mette de côté le CNT , Le conseil constitutionnel et les lois promulguées par le Président de la république et nous pliez aux caprices de l’ex majorité : Soit on est en démocratie , soit on n’y est pas . Vous présagez déjà le CHAOS d’ici décembre si pas d’inclusion ! Franchement je suis hors de moi mais je pense que vous avez rédigé votre papier il y a peut être 5 jours de cela . Sinon , vous devez en savoir trop sur le putch qui vient d"échouer avec la déculotté administrée à ses auteurs et exécutants .

  • Le 26 septembre 2015 à 07:34, par ZIMBARBA TAM En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    C’est bien dit .Mais il faut que les gens sachent que dans ce pays nul n’est au dessus de la loi.Les raisons telles que les "exclus"pourraient rentre tâche difficille au futur gouvernement. N’est pas une raison aussi valable.C’est comme si vous consentez laisser partir un voleur avec vos biens sous préteste qu’il vous empêcherait de dormir.Dans tout les cas en choississant eux même un pouvoir à vie pour les compaoré ,n’est pas de l’exclusion ? Pardon si vous n’avez rien à dire taisez vous !

  • Le 26 septembre 2015 à 09:10, par pasba En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    cher ami, qui a exclu qui ? l’ex majorité s’appretait à remplacer ceux qui ne pas peuvent pas compétir, ce qui veut dire que tous les partis allaient aux élections. arrètons de faire des analyses superficielles. quant à la cedéao, on n’a rien contre elle. ce qu’on regrette, c’est l’attitude de certains présidents. vous vous rappelez de leur fermeté face au putchiste malien. ils ont mème refusé dètre accueillis à l’aéroport par Sanogo. Ouattara dit garder le silence parce qu’il a 3 millions de burkinabès chez lui. pourtant avec à peu près le mème nombre de maliens sur le territoire ivoirien, il n’avait pas été du tout tendre avec les putchistes ? Heureusement que d’autres présidents en l’occurence le Ghanéen, le Nigérian, le Nigérien, le Guinéen ont été lucides. la cédéao doit défendre des principes et des valeurs et non des interèts égoistes. A koupéla, nous avons été chassés vers 22h45 par le rsp qui conduisait Fatou Diendéré à Lomé. En accueillant la femme d’un putchiste en pleine crise, Faure mérite til la connfiance du peuple burkinabè ?

  • Le 26 septembre 2015 à 10:15, par Alexio En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    Tout ce que le peuple veut la lumiere sur les crimes de sang,economiques. Le retablissement de l ordre constitutionel et democratique. Une constitution fondamentale a l americaine qui est cousu pour le peuple et non pour les fils a papa et autres bruleurs d etappes favorises par la poltique politicienne. La liberte de presse a cent pour cent. La separation de l Excecutif a la justice. L Armee depolisee. La fonction publique egalement. Le Nepotisme au violon une fois pour tous.

  • Le 26 septembre 2015 à 11:18 En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    Mr ou Mme Neya de gabou, prière décliner votre entière identité. Nous savons attaquer, résister, nous rendre ou mourir. Le futur président de ce Burkina Uni, fier et indivisible sait ce qui l’attend. Comme dit ce proverbe moaga, "l’âne sait là où braire". Le chien aboie, la caravane passe comme le disait certains malades du cdp n’est plus à l’ordre du jour, maintenant, le chien n’aboie plus, il est devenu un loup féroce et attaque sans pitié tout caravanier de mauvaise augure. Au cas où vous n’y résidez pas, sachez qu’ici au FASO, on veille au crapuleux qui viendrait à vouloir masturber notre démocratie. Que ce soit un Roch ou un Zéph ou je ne sais quoi, on les attend. Le futur locataire a intérêt à écouter le vrai peuple pour sa propre quiétude et sa survie. sinon, c’est son cacas qui va peindre nos trottoirs et non notre sang innocent. Pourquoi d’ailleurs cette pensée absurde ? Que cherchez vous exactement ? On va vous déloger si vous continuer à écrire des sordides sur notre pays. En tout cas merci de nous permettre de mettre en garde les futurs présidents de ce pays. Que les petits dictateurs s’abstiennent de KOSSYAM. On n’est prêt à tout sauf laisser notre pays entre les mains des voyous et des sanguinaires. Il y’a une chose que les hommes politiques doivent savoir : Le PEUPLE BURKINABE est difficile, très difficile à cerner. C’est un peuple multi ethnique avec un seul langage très codé, indéchiffrable pour les non initiés. Même le colon nous l’a reconnu. Le vieux vous dit oui alors qu’il dit non. Il y’a oui dans oui et il n’appartient pas à un pauvre politicien de le distinguer. Il faut être un Grand (initié), un homme de sagesse et non un intrépide assoiffé de pouvoir.
    Enfin, il y’ a la jeunesse, certes moins sage, mais cultivée et pendant longtemps méprisée, malmenée et déterminée à occuper les places qui leurs avaient été arrachées par des
    affinités nourries et perpétrées par un homme qui ne pensait qu’à son minable fauteuil.
    Cher (ère) journaliste de pacotille, le BURKINA FASO est l’étoile brillante de l’Afrique et du monde entier. C’est le pays le plus puissant actuellement par la force de son peuple.
    Quant aux guignols de la CEDEAO, c’est une honte bue. Les petits valets des pouvoirs maléfiques qui ont perturbé la tranquillité des peuples africains ne sauront se relever de ce coup de grâce. La CEDEAO comme je le disais devrait être démantelée et réorientée par les dignes chefs d’États et non de petits valets d’états impérialistes tristement célèbres. C’est une institution à la solde d’états vampires, vautours et racistes.
    Quelle honte Yayi pleurnichard. La vie de ton frère burkinabè ne vaut il pas celle d’un journaliste de Charly Hebdo pour que tu soit sans état d’âme. Honte, honte, honte, honte, honte.............à la CEDEAO

  • Le 26 septembre 2015 à 11:30, par oeil de faucon En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    c’est bien dit. je penses que les radicaux peuvent avoir raisons.....mais sachez ceci ; qui sème le vent récolte la tempête.aujourd’hui ces eux qu’est ce qui prouve que demain tu ne sera pas à leur place.soyons tolérant et cherchons à vivre ensemble dans la paix.prenons un nouveau départ et le bon cher frère !!!!!!

  • Le 26 septembre 2015 à 14:19, par la force révolutionnaire En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    no comment je pense que tu as compris ce que le peuple veut.il n’y a jamais eu exclusion les militants des partis qui parlent d’exclusion devraient démissionné même toi tu dois éviter d’écrire de n’importe quoi certainement que tu as dû applaudire heureusement le peuple est resté vigilant il a bouté hors du burkina les terroristes de rsp n’en déplaise à vous autres.je pense que vous avez compris et assimilé la leçon.

  • Le 26 septembre 2015 à 14:49, par yelkabéyé En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    neya de gabou ou encore neya de garibou, que devrais-je dire pour exprimer la tristesse qui m’anime après vous avoir lu ? je suis véritablement et désagréablement touché par vos propos combien je dirai préhistorique. vous êtes simplement un macaque évadé de la brousse équatoriale, et au lieu de boucler votre gueule d’animal sans raison, vous vociférez. alors faites vous identifier et on verre qui est qui ?

  • Le 26 septembre 2015 à 15:24, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    AUCUN parti n’est exclu des élections au Burkina Faso, qu’on se le dise une fois pour toutes. Le CDP ne se résume pas à Achille Tapsoba et Fatoumata Diendéré !!! Rien donc ne peut justifier ce coup d’état sanglant. Rien, sinon la peur de devoir rendre compte et la soif du pouvoir à tout prix !

    Le Burkina est un état de droit, le droit sera appliqué, n’en déplaise aux nostalgiques du pouvoir, aux putschistes et à leurs soutiens officiels et officieux.

  • Le 26 septembre 2015 à 15:40, par BURKIMBILA En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    Que les moins intelligents s’abstiennent d’analyses erronées car les choses ne seront plus comme avant. Que les militants du soi-disant "Prochain victorieux des élections attendus" ne commencent par se lécher les babines en pensant qu’avec l’absence de cette "Milice" que fut le RSP, ils auront la possibilité de traumatiser le peuple comme l’a fait leur "Ancien ex-parti" le CDP commué en MPP. La Gendarmerie et la Police qui auront la charge de sécuriser les Institutions de l’Etat ne les laisseront pas faire. Mieux, nous OSC resteront en "veille" pour contre-carrer leurs actes futurs déjà en préparation. Vous n’avez pas le droit de donner raison à Assimi Kouanda, Eddie Komboigo, Achille Tapsoba et les autres. Si oui que c’est pour vous permettre de venir jouer les même jeux que nous nous sommes battus, nous aurions préféré les anciennes casseroles. Donc attention. A vos dirigeants, ils n’ont qu’à arrêter dès maintenant leurs "Chiens de garde" car nous sommes toujours prêts. Et puis, qui vous dit que le peuple vous retiendra en dernier ressort ? Lunatique vous êtes.

  • Le 26 septembre 2015 à 19:07, par espoir9** En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    Il faut démasquer le sieur NEYA et le mettre hors d’état de nuire
    Il est pire que les putschistes.

  • Le 26 septembre 2015 à 19:08, par gangoblo En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    Dieu laisse toujours chacun faire et à la dernière minute, il met sa chacune et chacun à sa place. Dieu connait pas pressement ouo

  • Le 26 septembre 2015 à 20:02, par Damis En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    Mr OU Mme NEYA de Gabou, ce qui s’est passé ne vous a pas suffit au point de demander de vous inclure dans les élections à venir ? Vous nous dites ouvertement ce que vous comptez encore faire comme si ce qui s’est passé ne vous a pas donné leçon ? Les CDP et sa suite devraient maintenant avoir honte de vouloir qu’on les inclue encore dans les échéances électorales à venir. Vraiment tu es trop en retard quoi ! L’inclusion comme vous le souhaitez n’a plus de sens et les "exclus" le savent ; vous n’avez encore rien compris. Que c’est difficile de réveiller quelqu’un qui ne dort pas !
    Et puis, pour ton info, la CEDEAO ne parle plus de points d’accord car ils étaient caduques depuis l’instant où nos forces armées nationales ont décidé de s’assumer en prenant le destin du Burkina en main. N’as-tu pas constaté qu’elle était obligée de laisser tomber cette salade et de revenir immédiatement investir le Président sans conditions ? Elle voulait sauver son honneur. Pardon, ton écrit est sans sens car tu veux mettre encore les gens 10 ans en arrière. Garde le pour toi !

  • Le 27 septembre 2015 à 00:56, par bayam En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    mon frere neya si tu est gounrounsi et tu viens de gabou que je connais bien apre le village laba tu ne va pa dire des sornette pareille on n’a escluis personne et sache que c’est la cedao qui a mi a l’idée

    de c’est gens qui’ls ont ete escluis dans tout jeux ya des règles memes les concours avec tes diplômes tu est parfois escluis si ;t n’as rien a dire va aider tes parents a faire des ponts dans ton village

  • Le 27 septembre 2015 à 21:47, par Dieudonné Kaboré En réponse à : Putsch du RSP : et si le Général et ses hommes avaient facilité la tâche au prochain Président du Faso

    Nous nous sommes entendu et le train est remis sur les rails. Si cela te blaise ou te blaisse (blesse), et tu souhaite vivre là où il y a le chaos, alors fais ton baluchon et va retrouver tes frères en Syrie, en Afghanistan ou je ne sais où. Chez nous au Burkina, il y a la paix et il y en aura toujours la paix. Faut pas aimer dire des mensonges. On a jamais exclu un parti. On a simplement voulu éviter des individus qui se sont illustrés négativement. Ce sont eux-même qui ont créé une exclusion au sein de leurs partis en faisant voir ouvertement à l’extérieur que seuls eux sont dignes de défendre les idéaux de leurs partis. Que les autres militants sont des figurines, des incompétents, des incapables... C’est entre eux là-bas hooo et nous ne nous melerons pas de ce qui ne nous regarde pas. Mais dis, toi-même NEYA DE GABOU, qui es-tu même ? Si journaliste, tu t’es trompé de choix de profession. Faut pas jeter de l’huile dans le feu je t’en pris. Si tu n’as souvent pas quelque chose à dire, s’il te plait, boucles-la tout simplement. Merci

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