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Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

Publié le vendredi 18 septembre 2015 à 16h01min

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Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

Peuple du Burkina Faso,

Les partis politiques réunis dans le Cadre de Concertation des Partis politiques (CCPP) élèvent collectivement leur voix pour condamner vigoureusement et rejeter catégoriquement l’attentat aux institutions de la Transition et au processus démocratique perpétré par les éléments du RSP dans la journée du 16 septembre 2015.

Cet acte qui vient en contre-courant de la dynamique de retour à une vie institutionnelle et démocratique normale après l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014, est une atteinte grave à l’aspiration démocratique de notre peuple, à l’ordre constitutionnel, et à la Charte de la transition.

C’est pourquoi, l’ensemble des partis membres du CCPP, rejette totalement et s’oppose fermement à tout cadre ou organe issu de ce putsch militaire.
Les partis membres du CCPP mettent en garde toute personne ou organisation qui viendrait à collaborer avec les auteurs et les commanditaires de cette forfaiture.

Ils exigent en conséquence :
- l’arrêt immédiat de la répression brutale et meurtrière en cours,
- la libération immédiate et sans conditions du Président de la Transition Michel KAFANDO, du premier ministre Yacouba Isaac ZIDA, des membres du Gouvernement de la transition détenus,
- le respect de la liberté d’action des médias, de l’intégrité physique des journalistes et des hommes politiques et l’arrêt immédiat des actes de vandalisme contre les organes de presse ;
- le rétablissement des institutions de la transition pour la poursuite de leur mission jusqu’à la fin prévue de la transition conformément à la Charte de la Transition ;
- le maintien du calendrier électoral et la tenue des élections couplées à la date du 11 octobre 2015.

Jusqu’au rétablissement intégral de l’ordre institutionnel de la transition, les partis politiques membres du CCPP appellent :
-  à la désobéissance civile par une résistance active sur toute l’étendue du territoire ;
-  tous les travailleurs à respecter les mots d’ordre lancés par l’Union d’Action Syndicale (UAS) dans le cadre de cette lutte démocratique ;

Vive l’aspiration démocratique du peuple du Burkina Faso !

Honneurs et respect aux martyrs des 30 et 31 octobre 2014 et de tous ceux
qui sont tombés depuis le début des évènements !

Vive le Burkina Faso !

Ouagadougou le 18 Septembre 2015

Le Président du Mois,
Roch Marc Christian Kaboré

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Vos commentaires

  • Le 18 septembre 2015 à 16:34, par Pour l’honneur et la dignité ! En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    J’appelle les populations des villes frontalières à être vigilantes les nuits et les jours à venir. Les terroristes preneurs d’otages sont débordés et fatigués par les jeunes de Ouagadougou, et les forces de défense et de sécurité ne les suivent pas. Ils seront tenter d’appeler leurs mercenaires (Togo et Côte d’Ivoire) à la rescousse ! Alors soyons vigilants et anticipons au niveau des villes frontalières (Banfora, Orodara, Gaoua, Pô, Léo, Tenkodogo, Pama). Avec l’avancée du peuple insurgé ils ne peuvent pas tenir.
    Courage à tous ! Seule la lutte libère !

  • Le 18 septembre 2015 à 16:34, par Djobleck En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Bien parlé ! Vous avez mon soutien !Vive le CCPP ! vive la démocratie ! Nous sommes déterminés à barrer la route au terroristes !

  • Le 18 septembre 2015 à 16:35, par Désiré Alberta En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    "Les partis membres du CCPP mettent en garde toute personne ou organisation à collaborer avec les auteurs et les commanditaires de cette forfaiture". Voilà qui est bien dit. Tous les secrétaires généraux qui ont pris part à la réunion avec cette racaille de sanguinaires ont été listé et seront considérés et traités comme complices. Ils sont été tous photographiés en camera caché pour ne pas pouvoir se dédouaner. Il faut qu’il en soit ainsi pour tout le monde. Tous les complices seront matés au même titre que les tueurs du RSP.

  • Le 18 septembre 2015 à 16:38, par Baraka Alain En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Vous voyez c’est cela qu’on attend de vous ! En dépit de la guéguerre que vous vous êtes livrés en prélude aux élections, vous devez rester soudés car il y a plus urgent et vous le faites bien. Vous faites notre fierté et je vous suggère même de vous fondre pour le moment en un seul parti pour les élections d’octobre 2011 pour barrer la route au CDP et à sa milice armée. Quand tout cela sera terminé, on pourra se "livrer une vrai bataille démocratique " pour 2020. En tous cas chapeau bas pour cet effort d’union sacrée pour faire face aux assassins professionnels et leurs alliés

  • Le 18 septembre 2015 à 16:47 En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    pardon,rock.oublie toi un peu et pense un peu aux innocentes populations.cette position est votre pensée unique dans le sens unique qu’on connait. basta !

  • Le 18 septembre 2015 à 17:02, par Pagomziri En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Je valide. Aucun contact avec ces trouillards. Même si les soldats du RSP qualifient les autres militaires des autres garnisons des moins-que-rien, nous ferons le boulot à leur place à mains nues au prix de notre vie.

  • Le 18 septembre 2015 à 17:05, par Ahmed En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Que dit ZEPH et sa fraude massive ?

  • Le 18 septembre 2015 à 17:12, par Gagnant En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    L’ÉTERNEL DIEU DES ARMÉES est VIVANT. Les méchants et leurs complots ne prospèrent point sur cette terre bénie du Burkina Faso pas l’ETERNEL. Le courage, le sacrifice, et les bénédictions données au profit de ce peuple du Burkina et ses amis ne passeront points dans les mains des méchants égoïste criminels rencuniers et inutiles pour le monde de partage, démocratique à la recherche de plus d’équité, de justice et du bien être pour l’homme déjà menace par l’adversité de la nature. L’ETERNEL DES ARMÉES SEUL MAÎTRE DANS LES CIEUX ET SUR LATERRE bénisses et donne du courage aux fils du Burkina Faso, les autorites legales, legitimes et ses amis dans le monde ! ! ! ! ! ! !

  • Le 18 septembre 2015 à 17:14, par adama En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Tres bonne declaration. le peuple vous soutien

  • Le 18 septembre 2015 à 17:24, par Ngouakou En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Ce n’est déjà pas mal même si ce n’est pas tôt. Appelez vos militants à descendre dans la rue avec la jeunesse pour chasser ce voyou du pouvoir. Ces gens ne comprennent que la voix de la force. Si on se met à condamner seulement, ils laisseront le temps faire son oeuvre et ça, on ne s’en sortira pas. Soyez actifs comme les 30 et 31 octobre et nous vaincrons.

  • Le 18 septembre 2015 à 17:46, par MPDPA En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    les institutions ne sont pas dissoutes c’est une prise d’otage, c’est institution de nous en sortir ! les déclarations du RSP est nulle.
    Où est passée notre armée ? pourquoi payons nous un salaire à ces bon à rien ?

  • Le 18 septembre 2015 à 18:07, par Le bon citoyen En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Malheureusement vous n’aviez pas su consolider cette union formée après l’insurrection à cause de vos intérêts égoïstes. Vous avez préféré vous attaquez par des médias, certains ont même osé nouer des alliances officieuses avec le diable qui aujourd’hui, a révélé encore son horreur de la paix, voilà les résultats. Nous n’affrontons pas les assassins du RSP pour vous mais pour l’honneur du Burkina. Vous avez intérêt à ce que la situation se rétablisse très vite.

  • Le 18 septembre 2015 à 18:07, par Gagnant En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    L’ÉTERNEL DIEU DES ARMÉES est VIVANT. Les méchants et leurs complots ne prospèrent point sur cette terre bénie du Burkina Faso pas l’ETERNEL. Le courage, le sacrifice, et les bénédictions données au profit de ce peuple du Burkina et ses amis ne passeront points dans les mains des méchants égoïste criminels rencuniers et inutiles pour le monde de partage, démocratique à la recherche de plus d’équité, de justice et du bien être pour l’homme déjà menace par l’adversité de la nature. L’ETERNEL DES ARMÉES SEUL MAÎTRE DANS LES CIEUX ET SUR LATERRE bénisses et donne du courage aux fils du Burkina Faso, les autorites legales, legitimes et ses amis dans le monde ! ! ! ! ! ! !

  • Le 18 septembre 2015 à 18:33, par larry En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Appel sans ambiguïté ni équivoque. Mais il fallait également lancer un appel aux militaires intègres de se joindre au peuple. la lutte continue

  • Le 18 septembre 2015 à 19:34, par Wennonga Tounsba En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Mieux vaut tard que jamais. Sachez garder dorénavant la cohésion pour la cause Faso. Vos intérêts égoïstes doivent être au second plan. Le Burkina Faso d’abord !!!!!!!

  • Le 18 septembre 2015 à 20:05, par Aubin En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Toi, ROCH, tu ferais mieux de la fermer. Ton MPP est de toute les manieres celui qui a conduit la transition dans ce mur. Ici a l’UPC on pour le retour a des l’elections transparantes, libre et inclusive,

  • Le 18 septembre 2015 à 20:06, par zemosse En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Il n’est jamais trop tard pour bien faire.vous auriez du le faire des après le’31 octobre.Hélas chacun à préféré être là tête d’un rat que la queue d’une souris.vous payez aujourd’hui vos comportement indignes d’homme se prétendant à devenir des grands hommes d’État.

  • Le 18 septembre 2015 à 20:46 En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    La seule porte de sortie pour DIENDERE GILBERT, c’est de fuir le pays. Ces jours sont comptés.

  • Le 18 septembre 2015 à 20:52, par boxeur En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    MERCI PRÉSIDENT LE PEUPLE EST AVEC VOUS LE CCPP VA VAINCRE LE DIABLE DE GÉNÉRAL ET CES ASSASSINS DE L’ANCIEN RÉGIME DE COMPARÉ MAIS SACHEZ QUE LE RSP EN APPUI AVEC LE CDP ET AUTRES SONT ENTRAIN DE PILLER, VOLER ET SACAGER LES DOMICILES DES MEMBRES DU CCPP TEL QUE SAIF DIALLO, SIMON COMPARÉ ET AUTRES CAR LES ARMES DU PEUPLE CONTRE LE PEUPLE ’ET PIRE ILS SONT REGROUPÉS AU ROND POINT DES MARTYRS À OUAGA 2000 AVEC DES JEUNES DU CDP ET AUTRES ALORS QUE LE PEUPLE VEUT SORTIR POUR DIRE NON ET VOILÀ DES MORTS À NE PAS FINIR ET LE GÉNÉRAL DIT DÉNONCER UNE DÉRIVE DE LA TRANSITION CAR IL PARLE D’EXCLUSION ET LÀ C’EST PIRE CAR C’EST LE CDP QUI EST LE PATRON DE CE COUP D’ÉTAT MAIS LE PEUPLE VAINCRA SANS COMPTER SUR LE RSP ET SA VIOLENCE ORGANISER AVEC LE CDP ET AUTRES QUE DIEU TOUT PUISSANT LE MISÉRICORDIEUX NOUS PROTÈGE ET COURAGE AUX JOURNALISTES DU BF CAR LE DÉCOURAGEMENT N’EST PAS BURKINABE EN PLUS IL FAUDRA PRENDRE TOUTES MES MESURES POUR PROTÉGER LES LEADERS DES PARTIS DU CCPP CAR ILS SONT CAPABLES DE TOUT COMME LA FIN EST PROCHE
    MALHEUR À CEUX QUI TUE LES FILS ET FILLES DE CE PAYS AIMABLE ET INTÈGRE POUR LEURS PROPRES ÉGOÏSME

  • Le 18 septembre 2015 à 21:06, par sidnooma moun En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Félicitation pour cette union réconfortante et gagnante.
    Vous avez gagné une bataille avec le peuple digne et épris d’intégrité et non la guerre des 30/31. Gagner la guerre sous-tend la capacité à supporter une course de longue haleine et à entretenir durablement la solidarité entre les combattants avant pendant et après les crises.vous en êtes capables . ce qui importe actuellement c’est d’être plus que jamais solidaire dans le combat qui as repris chaudement et tristement. il importe aussi de réunir les moyens pour trouver une sortie de crise pacifique qui évite l’holocauste des dignes fils du pays
    Que Dieu garde le BF et couvre sa honte

  • Le 18 septembre 2015 à 21:07, par le patriote En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Comme vous l’avez fait les 30 et 31 octobre, choisissez un jour où nous allons marcher sur Kosyam et déloger les terroristes qui s’y trouvent. Ne restez pas à lancer des mots d’ordres passifs ; nous voulons un débrayage actif. Nous ne voulons pas de Diendéré, depuis 3 décennies il a fait de nombreux veuves et orphelins, c’en est trop. NAN LARA AN SAARA !!!

  • Le 18 septembre 2015 à 21:54, par alimed En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Il faut que la communauté internationale soit ferme suivant les décisions prises puisqu’il y a encore dans ce continent des gens surtout de la tenue qui n’ont pas compris que le temps des coups d’état est révolu en Afrique. Mon message envers le CNT : Nous sommes d’accord qu’à BOBO et dans d’autres villes les choses bougent mais comprenez qu’il n’y a poins de RSP dans ces villes. Nous ne pouvons que les encourager et nous sommes de cœurs avec eux.

  • Le 18 septembre 2015 à 22:04, par ka En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Depuis le 16 Septembre 2015, mon cœur saigne, mon cœur saigne pour un gâchis inutile, pour la jeunesse Burkinabé qui n’ont plus d’espoir, pour l’alternance politique et économique de notre pays enterrer, pour des membres d’un régiment égoïste qui ne pensent pas à l’avenir du Burkina avec sa jeunesse : Moi qui a vécu tous les régimes de notre pays depuis son indépendance jusqu’à nos jours, je n’ai jamais rencontré des ridicules et des amateurs comme Dendéré et ses éléments du RSP. Je demande une seule chose a monsieur Dendéré : Libérer le pouvoir, afin que le CNT organise une élection apaisée pour un Burkina qui veut avancer avec sa jeunesse et dans l’émergence. Vive l’alternance politique et économique du Burkina avec son CNT et sa jeunesse.

  • Le 18 septembre 2015 à 22:13 En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Le RsP est une fabrication du CDP dont Rock, Simon et Salif etaient les ingenieurs de conception. Dans la vie il ne faut jamais cautionner le faut même si celui-ci vous donne des avantages immediats. Les conséquences du faut sont plus nefastes à long terme que les avantages immediats. Rock, Simon et Salif sont compatibles du monstre qu’est le Rsp. Le faut qu’il ont applaudi hier est entrain de leur aujourd ’ hui. Que cela serve de leçon à ts les politiciens et surtout aux politichiens

  • Le 18 septembre 2015 à 22:13, par guy pen En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    VOUS VOUS FOUTEZ DE QUI ?

  • Le 18 septembre 2015 à 22:49, par lepacha En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Vous avez vu ? Vous avez commencé à vous entredéchirer,au lieu de vous entendre et partager le pouvoir. On dirait que vous êtes des amateurs en politique ! L’affaire des fausses cartes d’électeurs,si vous investiguez bien,vous allez certainement voir k c’est un complot de ces voyous qui usurpent actuellement notre pouvoir.Heureusement qu’il n’est pas encore trop tard pour sonner la mobilisation dans l’unité d’action. Mettez les calculs politiques de coté et sauver notre démocratie. Victoire au peuple ! La patrie ou la mort,nous vaincrons !

  • Le 18 septembre 2015 à 23:21, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Voila qui est (enfin) clair pour les partis du CCPP. Mais on comprend maintenant sur quoi comptaient les Komboigo et Bassolet quand ils disaient qu’il n’y aurait pas d’élections sans eux. L’UA a devancé les choses en lançant une première salve de sanctions, mais surtout la qualification claire de la prise d’otages comme "acte terroriste". Il faut vraiment qu’on en finisse avec l’impunité de ceux qui se croient tout permis et au dessus des lois.

    Car on connait nos "médiateurs" de la CEDEAO et de la CEMAC, tellement bien qu’on peut prévoir "l’accord" inacceptable qu’ils allaient nous pondre sans cette réaction de l’UA : Libération des otages, arrêt de la répression d’une part contre d’autre part la participation des caciques de l’ancien régime aux élections, la reconnaissance des "autorités" du coup d’état et bien sûr, l’immunité et l’amnistie pour les assassins et putschistes. Inacceptable ! Surtout qu’ils vont à nouveau arrêter les gens dès que les médiateurs seront partis, ces gens n’ont aucune parole ni morale. Écoutez les mentir qu’ils ont libéré le président Kafando alors qu’ils ont juste changé son lieu de résidence surveillée, et mentir que toute l’armée est avec eux. Si Kafando était libre, il s’exprimerait et participerait aux discutions ?

    Le tout avec une nouvelle transition de plusieurs mois qui va leur donner le temps d’effacer toutes les traces de leurs crimes, sinon de se débarrasser de tous les opposants par des "disparitions" et autres "évasions" après arrestation. Les partis du CCPP savent très bien ce qui les attend s’ils se laissent berner par les Macky Sall et autres Boni Yayi, incapables de dire leurs vérités aux Yaya Jameh, Faure Gnassimgbé et autres. Na lara, a saara !!!

  • Le 18 septembre 2015 à 23:37, par le sage En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Ne vous limiter pas a de simples déclaration d intention. Rejoingner le president interimaire cherif pour elaborer urgemment des strategi dan les heures qui suivent en vu de rallier l armée a la resistance du peuple pour neutraliser les terroristes qui ont pris la republique et ses institutions en otages. Bref soyez concrets et pragmatiques

  • Le 19 septembre 2015 à 01:05, par Yankadi En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Messieurs de l’ex CEFOB.Vous avez été surpris par le départ de Blaise.Vous êtes encore surpris par le putch de Djindéré.Quand est-ce que vous allez mûrir.Un bon dirigeant c’est celui qui sait prévoir et exploiter toutes les opportunités. Le peuple ne peut pas continuer à se sacrifier pour le changement pendant que vous de compromission à compromission vous ne rêvez que de Kossiam.Vous allez voir comment l’ex majorité et opportunistes de tout poil comme les Emile Kaboré, Ram Ouédraogo, Hermann Yaméogo, Toussain Coulibaly, Soumane Touré, etc...vont exploité sans honte cette forfaiture de Diendéré et de son rsp.On n’a pas besoin d’aller à Polytechnique pour comprendre et défendre que la place d’un militaire c’est dans les casernes et non utiliser sa solde et les armes payés à la sueur de ses parents pour les assainer au profit de politiciens qui amassent des milliards.En France, Angleterre, Japon, aux USA, un miltaire ne peut même pas rêver d’un coup d’état, il préfèrera mériter ses galon pour être apte à défendre son pays en cas de conflit.Dans les pays civilisés l’armée obéit aux dirigeants politiques.Les politiques font appel aux militaires quand la police et la gendarmerie sont dépssées en cas de troubles graves internes comme la guerre civile. Diendéré le sait, le cdp le sait, mais tout le monde va mentir au peuple et aux vaillants soldats sans niveau.Que Dieu sauve le Burkina comme il a sauvé Israël des jougs du pharaon.Dieu endurcira les coeurs de Diendéré, du rsp,du cdp et alliés comme il l’a fait de celui de Blaise, afin de leur montrer sa puissance.

  • Le 19 septembre 2015 à 04:24 En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    On ne rétablit rien car rien n’a été démoli, ou dissout. Par qui et au nom de quel pouvoir ? Ceci prendra trop de temps à demander à un malade de corriger un langage de folie dont il ne se rappelle plus. Simplement sortir le RSP du Kossyam c’est le seul objectif et arrêter de condamner le non-sens.

  • Le 19 septembre 2015 à 07:08, par OUSTAAZ En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    merci pour la fermété et le refus de ces malfrats,voleurs,assassins et pilleurs. On va finir avec les Hermann,léonce,édie,...

  • Le 19 septembre 2015 à 12:37 En réponse à : Situation nationale : Les partis de l’ex opposition exigent le rétablissement des institutions de la transition

    Si les terroristes s’ entetent dans leur diablerie nous leur montrerons que personne n’a le monopole de la violence.Cela est aussi valable pour herman yameogo qui commence à gueuler maintenant opportuniste notoire où etais-tu pour sortir gueuler. nous, nous n’avons pas de milice ni de terroristes à notre solde comme votre rsp mais nous n’avons pas peur de vous.D’ailleurs quand les ancêtres du Burkina vont trancher vous verrez car eux, vous ne pourrez jamais les corrompre encore moins les acheter. L’enfer n’est nul part ailleurs c’est ici , ici sur terre que se trouve l’enfer .Demandez à blaise s’ il est heureux de vivre ce qu’il vit aujourd’hui.

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