Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
La mesure de suspension des émissions interactives a été officiellement levée ce vendredi 29 mai par le Conseil Supérieur de la Communication, après la signature d’un document de cadrage et d’une charte. A cette occasion, nous avons rencontré la présidente du CSC, Madame Nathalie Somé, pour faire le bilan de ces trois semaines tumultueuses.
Comment va Madame la présidente du CSC ?
Je vais bien par la grâce de Dieu. Un peu fatiguée par huit mois de travail acharné depuis notre installation le 12 septembre 2014, sinon dans l’ensemble je me porte bien.
C’est quoi le travail acharné ?
Le travail acharné, c’est le défi de la régulation de la communication sociale dans un contexte nouveau. Quand nous disons contexte nouveau, nous parlons certes de la transition politique, mais aussi de celui de la mise en œuvre de la loi organique 015 du 14 mai 2013 qui fixe désormais les règles de régulation de la communication au Burkina. Commenter la loi, serait fastidieux, mais je voudrais juste prendre un seul aspect de cette loi qui a mobilisé beaucoup de notre énergie pendant six mois pour étayer mon propos, il s’agit de la permanence des conseillers. La permanence signifie que les conseillers font désormais partie de l’administration du CSC. C’est donc toute activité antérieure cessante pour chaque conseiller. Cette permanence suppose l’accueil et l’installation des conseillers sur la base d’un dispositif matériel, administratif, juridique et même financier qui n’existait pas, que nous avons travaillé à mettre en place.
Il s’est agi pour nous de trouver d’abord un bâtiment, de l’aménager avec les commodités de travail requises pour accueillir les conseillers, ensuite de prendre les textes qui organisent le travail du collège et biens d’autres aspects. Et vous savez que ce genre de choses n’incombe pas uniquement au CSC. Le CSC peut initier le processus mais l’aboutissement peut dépendre d’une autre structure et cela nécessite beaucoup de suivi. Avant que les conseillers n’entament leurs travaux il a fallu les familiariser avec les notions de régulation à travers l’organisation d’un séminaire initiatique.
J’ai parlé tantôt du contexte de transition. La transition a aussi augmenté notre charge de travail comme d’ailleurs c’est le cas pour beaucoup de structures de l’Etat. La transition n’étant pas un fleuve tranquille, mais un navire dans des vagues souvent agitées, nous avons vite défini nos priorités en matière de communication pour une transition réussie. Ainsi, nous nous sommes investis dans une vaste campagne de communication apaisée pour une cohésion sociale à travers des formations notamment la formation des animateurs d’émissions interactives, la réalisation et la diffusion de microprogrammes, des conférences publiques sur la cohésion sociale. Nos actions ont concerné les 13 régions du pays pour ne pas dire les 45 provinces du Burkina.
A cela il faut ajouter la réorganisation des services. La régulation de la communication est un défi permanent qui exige de l’anticipation et de l’adaptation à l’évolution très rapide du secteur de la communication. En cela nous avons jugé que l’organigramme du CSC qui date de vingt (20) ans avait besoin de retouches et nous nous sommes dotés d’un nouvel organigramme pour mieux conduire nos ambitions qui se résument à faire du CSC, un CSC de proximité, un CSC de référence dans la sous-région.
Un énorme travail de balisage a déjà été fait par mes prédécesseurs (FOFANA, TIAO et DAMIBA) à qui je rends hommage. La continuité dans l’innovation se construira autour d’un plan stratégique 2015-2020.
Je dirai enfin que le travail acharné, c’est la passionnante question des émissions interactives qui a connu un dénouement heureux.
L’adoption du document de cadrage et de la charte des promoteurs sur les émissions interactives ont en effet eu lieu ce 29 mai, mais en l’absence de certains promoteurs de médias qui obéissaient en cela au mot d’ordre de boycott lancé lors du sit-in du 27 mai. Comment réagissez-vous à leur absence ? La charte s’appliquera-t-elle à eux ?
La charte va s’appliquer à tous les promoteurs de médias audiovisuels concernés par les émissions d’expression directe. La charte se veut générale ; c’est à l’image de la charte des journalistes burkinabè qui est aujourd’hui un texte de référence en matière de déontologie et qui s’applique à tous les médias sans aucune référence aux auteurs ou au principe de l’adhésion.
L’article 1er de la « charte des promoteurs de médias audiovisuels pour une bonne conduite des émissions d’expression directe » précise qu’elle « (…) s’applique à tous les promoteurs de médias audiovisuels désireux d’inscrire des émissions d’expression directe dans leur grille des programmes ». Ladite charte définit les règles de conduite des émissions d’expression directe aussi bien au plan technique que juridique. Elle prend en compte les propositions faites par les promoteurs au cours des concertations.
Je tiens à préciser que la charte de bonne conduite est une proposition faite par les promoteurs de médias audiovisuels au cours de nos concertations ; ce n’est pas une invention du CSC. Les promoteurs, à travers l’élaboration et la signature de cette charte, ont voulu non seulement améliorer les règles encadrant la conduite de ces émissions, mais aussi s’engager au respect desdites règles.
La signature de la charte entraine-t-elle ipso facto la levée de la suspension ou y aura-t-il un acte spécifique annonçant cela ?
Comme nous l’avons indiqué dans notre calendrier porté à la connaissance du public depuis le 25 mai 2015, la levée de la suspension était prévue pour le 30 mai après la signature de la charte. La charte a été signée ce 29 mai par les promoteurs. J’ai solennellement annoncé la levée de la suspension au cours de la cérémonie de signature. Un communiqué sera publié à cet effet.
La charte pour nous est un engagement des promoteurs à œuvrer à un meilleur encadrement des émissions d’expression directe. Cet engagement nous conforte dans notre conviction que les promoteurs partagent le souci du CSC qui est d’éviter les dérapages au cours de ces émissions et de promouvoir la liberté d’opinion dans la responsabilité.
Parlant des émissions interactives, est-ce que vous ne pensez pas que les suspendre dans ce contexte, c’était tout de même osé. Vous touchez là à une question de liberté ?
C’est vrai, chacun de nous est jaloux de sa liberté et c’est cela qui rend complexe la question des libertés individuelles. Mais il y a ce célèbre dicton qui dit que « ma liberté s’arrête là où commence celle des autres ». Il est très profond ce dicton, malheureusement on ne s’y attarde pas, sa bonne compréhension nous aurait évité beaucoup d’incompréhensions. Ce dicton rejoint cette pensée du Dalaï Lama que j’aime bien, qui dit que « la faculté de se mettre dans la peau des autres et de réfléchir à la manière dont on agirait à leur place est très utile si on veut apprendre à aimer quelqu’un ».
Ce n’est pas pour vous perdre dans des considérations philosophiques. Ce que je veux dire c’est qu’on nous a fait le reproche d’attenter à la liberté d’expression comme si la liberté voulait dire absence de responsabilité. Il n’y a pas une seule personne au Burkina qui n’ait pas noté que les émissions d’expression directe telles que produites, sont porteuses de préoccupations, même pour ceux qui en raffolent. Les incitations à la haine, à la violence, à l’intolérance, les injures, les informations erronées et mal présentées sont des réalités sur les ondes des radios à travers ces émissions d’expression directe.
Qu’est-ce que la liberté d’expression si elle n’a pas pour fondement la responsabilité qui induit l’analyse, l’anticipation, la consolidation et pour tout dire qui construit pour la postérité. Notre décision de suspendre les émissions interactives pour les recadrer est et demeure une décision responsable même si elle a été difficile à accepter. C’était une mesure conservatoire.
Si tel est le cas pourquoi des conseillers se sont-ils désolidarisés après ?
Vous avez dit après ! Je n’aimerais pas commenter une attitude qui n’est pas mienne. Mais je crois pouvoir comprendre les choses. Vous avez vu la déferlante de réactions qui a suivi la publication de la décision. On nous a pratiquement crucifiés comme Jésus de Nazareth. Le supplice fait partie des responsabilités tout comme le risque. Quand vous voulez bien faire dans une société où la hiérarchisation des valeurs vous laisse sans voix, il faut que Dieu vous donne le courage de David et la sagesse de Salomon pour avancer avec votre conviction que seul l’intérêt général prime sur toute autre chose ; mais aussi que le mieux peut-être l’ennemi du bien.
Il y a aussi la date de la mesure qui interpelle, puisqu’elle arrive juste quelques jours après le renouvellement de certaines conventions où les promoteurs avaient même été félicités. Cela a fait dire que c’est sous des pressions extérieures que vous avez pris cette mesure…
Pas du tout. Aucune pression extérieure ne nous a amenés à prendre cette mesure plutôt dictée par la réalité du terrain, à savoir que les dérives étaient devenues monnaie courante dans ce genre d’émission. Il fallait agir. Et nous avons agi. Mais, il ne faut pas faire d’amalgame. La suspension des émissions d’expression directe qui ne sont qu’une partie des programmes des médias qui en produisent, ne remet aucunement en cause les félicitations que nous leur adressons. Bien au contraire. Au Burkina nous avons une presse performante, qui fournit d’énormes efforts en termes de professionnalisme. Toutefois, en ce qui concerne les émissions d’expression directe, le problème de fond est que c’est un auditeur inconnu qui alimente le contenu à partir de sources pas toujours fiables au risque de compromettre les fondements de l’éthique et de la déontologie du métier. Pour que cet aspect précis ne ternisse pas la bonne réputation de notre presse tant adulée à travers le monde, le régulateur qu’est le CSC se devait d’agir. Et il a pris ses responsabilités.
Pourquoi n’avoir pas appliqué des sanctions individuelles, en visant les fautifs, au lieu d’une sanction collective ?
L’intention du Collège des Conseillers n’était pas de sanctionner ou de punir les médias. Le Collège a fondé sa décision sur un constat : la mauvaise conduite des émissions interactives dans un contexte très sensible. Quand on parle de mauvaise conduite des émissions interactives, il faut entendre non seulement le défaut de maîtrise de l’antenne par les animateurs, mais aussi l’absence d’équipements appropriés. Compte tenu du contexte et de la montée sans cesse de l’intolérance, le Collège a jugé nécessaire de marquer une halte et de mener une réflexion avec les différents acteurs pour des solutions à même de garantir une bonne conduite de ces émissions.
Les solutions auxquelles nous sommes parvenus avec les promoteurs sont heureuses et vous constaterez les résultats à l’issue du délai transitoire qui leur a été accordé afin de se doter en équipements techniques appropriés pour l’animation des émissions d’expression directe.
Vous avez donc fait adopter un document de cadrage et une charte des promoteurs sur les émissions interactives ; est-ce suffisant pour tourner la page des dérives ?
Je vous mentirai si je vous disais tout de go que c’est désormais fini les dérives sur les émissions interactives. Mais nous sommes optimistes quant à leur meilleure conduite dorénavant. Les griefs portés contre notre décision, c’était qu’on devrait sanctionner les fautifs, comme s’il y en avait qui échappaient totalement aux dérapages. Nous reconnaissons qu’il y en a qui font énormément d’efforts par rapport à d’autres, mais ce n’est pas qu’ils soient exempts d’erreur. Comme l’opinion l’a réclamé avec clameur ainsi que les promoteurs, celles qui se montreraient brebis galeuses n’auront plus d’excuses, et elles seront sanctionnées conformément à la loi, même si l’esprit de notre démarche était d’évoluer ensemble vers zéro sanction.
Certains estiment que la présidente du CSC que vous êtes, sort fragilisée de cet épisode et qu’elle devrait démissionner. Que leur répondez-vous ?
Vous savez, ça peut être le contraire ! On se fortifie à l’épreuve des difficultés de tout genre. Depuis trois semaines, tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille. La Présidente que je suis, ne peut que s’identifier à cette force tranquille. J’ai une mission à accomplir pour l’intérêt de la nation, j’agis en toute responsabilité pour atteindre les objectifs majeurs de cette mission.
Votre mot de la fin ?
Pour moi tout peuple se dote des institutions qu’il juge capables de porter ses aspirations. Le CSC n’est rien d’autre qu’une institution voulue et codifiée dans la constitution pour aider à la consolidation de la démocratie. Nous agissons simplement dans le cadre des prérogatives dévolues. Nous voulons bâtir une institution forte, toutes proportions gardées, conscient que cela ne rencontre pas l’assentiment de tous. Du reste, la régulation de la communication est une action inclusive, chacun à son niveau doit pouvoir jouer son rôle dans le sens d’une communication apaisée et de la construction du vivre ensemble. C’est pourquoi j’ai cru déceler dans ces semaines d’ébullition, que les actions du CSC ne sont pas connues et comprises. Or quelle que soit notre efficacité si nous ne sommes pas connus, nous ne pourrons pas avancer. Dans nos actions futures, nous allons nous employer à faire mieux connaître le CSC, pour éviter certaines incompréhensions dans l’opinion.
Je voudrais aussi profiter de votre micro pour dire un grand merci au vaillant peuple du Burkina qui a su nous apporter son soutien. Nous sommes là pour servir et nous le ferons dans les prérogatives dévolues.
Merci à votre journal pour l’intérêt porté au CSC et bon vent à vous.
Interview réalisée par Jacques T. BALIMA
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 29 mai 2015 à 22:14 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Madame,
Vous m’aviez vraiment déçu et je ne vois plus en vous ce sang de mes ancêtres les dagara. Vous auriez du démissionner mais hélas, On ne change pas d’odeur facilement quand on a dormis au parc.
2. Le 29 mai 2015 à 22:39, par YIRMOAGA En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Dommage pour une bosseuse mais qui va pas réussir dans ses fonctions de régulation ? Pour éviter la honte, un départ pourra la mettre à l’abri des soubresauts ?
3. Le 29 mai 2015 à 22:56 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Je ne sais pourquoi mais j’aime cette Nathalie Somé. Une femme qui a du caractère et qui aime le travail. Du courage madame
4. Le 29 mai 2015 à 23:02, par Sans rancune En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Vous parlez de façon pondérée, limpide et juste. Personnellement, je regrette beaucoup que certaines personnes surtout des journalistes et pas des moindre se soient comportés comme des gosses dans une cour de récréation. La chute de Blaise ne signifie pas que tout est permis. Vivement que la fin de la Transition arrive.
5. Le 29 mai 2015 à 23:02 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CfSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Merci tantie Natha. Même si beaucoup de gens n’ont pas compris la mesure prise nous nous l’avons comprise. On ne peut pas permettre a n’importe qui de médire et d’insulter nimporte comment. Vous avez suspendu a titre preventif, desormais sil ya derives sanctionner clairement les radios fautives. La ca sera clair, ils ne pourront plus sagiter.
6. Le 29 mai 2015 à 23:03, par Alex En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Bien dit grande sœur ! Quand il y a dérapage, il faut marquer une halte, faire une introspection et avancer ensemble. C’est pas méchant ce que e CSC a fait en ce qui concerne les émissions d’expression directe. En toute franchise, j’avais commencé à avoir peur pour le Burkina dans ce qui se dit dans ces émissions. Au lieu que les gens encouragent la décision en commençant par les promoteurs, on a vu tout de suite une confiscation des libertés. Même le MBDHP m’a déçu ainsi que le Président du Paren. Mais je met tout cela dans l’erreur humaine.
Chers promoteurs, recadrez vos émissions d’expression directe. Allez-y faire un stage à RFI chez Gomez.
7. Le 29 mai 2015 à 23:13 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Merci Nathalie Somé ! je vous soutiens. Ceux qui parlent de demission la quittez la bas ! Cest parce_que un de vos proches ou vous meme guettez ce poste. Nathalie Somé est digne et mérite pleinement sa place sinon meme mieux !
8. Le 29 mai 2015 à 23:14, par Henry En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Il y a une question que vous n’avez pas posez à Mme SOME, elle qui se croit dure (rire) !!! Pourquoi elle a refusé de recevoir le message, des hommes des médias ? Les admirateurs de Mme Somé, ont pourtant demander votre démission pour garder votre honneur !!! Mais il y a pas d’honneur à chercher dans ce pays tant qu’on a des avantages !!!
9. Le 29 mai 2015 à 23:31 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Je suis journaliste independant et j’ai eu la chance de connaitre Madame Nathalie Somé. Je puis vous dire que cette dame est très professionelle. Cette decision de suspendre les emissions d’expressions directes pour les recadrer etait tres louable. J’ecoutais souvent ces emissions et je pensais me retrouver dans un marché....tellement on y constatait des derapages. La bonne dame a alors pris la bonne decision, malheureusement certains n’ont pas analyser le fond du problème avant de reagir. Les confrères journalistes qui ne l’ont pas soutenu m’ont deçu. L’avenir nous le revèlera.
10. Le 29 mai 2015 à 23:43 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Et bien si elle devrait démissionner pour ça je pense qu’il devrait avoir plusieurs démissions avant d’en arriver à elle. Raviser une position fait partie de la déontologie de tout métier. Ce n’est pas toute démission qui fait preuve de grandeur. C’est vouloir l’intimider que de demander sa démission.
11. Le 30 mai 2015 à 00:21 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Internaute numero 8 Henry, pourquoi tant de haine ? Vous faites vraiment pitie ! Laissez la dame en paix car vous etes vaincu ! Elle fait du bon boulot et je ne pense pas qu’a sa place vou auriez les couilles pour gerer cette grande institution en ces periodes difficiles. Vive Nathalie Some !
12. Le 30 mai 2015 à 01:30 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Tous mes respects Mme Some. Vous avez parle comme une vraie responsable digne de ce nom.
13. Le 30 mai 2015 à 03:44 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Désavoué par son conseil et par ceux qu’elle doit réguler, elle a perdu toute légitimité pour présider cette institution. Le doigt d’honneur que lui ont adressé les médias avant même la levée de la suspension suffit pour qu’elle en tire la conclusion et rendre le tablier. Mais au Burkina on s’accroche au poste jusqu’à ce que... Blaise s’est aussi entêté comme elle, et on connait la suite.
14. Le 30 mai 2015 à 05:50, par sidbale En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Je félicite madame Nathalie SOME et l’ensemble des conseillers clairvoyants du CSC qui ont pris la mesure de suspension des émissions interactives dont la conduite par certaines radios nous rappelle radio mille collines en cela que les propos qui s’y tiennent risquent inexorablement d’aggraver la fracture sociale que notre peuple vit actuellement. En effet, c’est dommage de constater que les burkinabe excellent dans les injures, les ragots et autres contrevérités qui la dignité humaine. Refuser de voir les choses ainsi ne signifie pas qu’on est plus démocrates que les autres mais simplement un partisan de libertinage. Et malheureusement on ne construit pas une nation durablemen forte avec ces tares.La vraie déception de ceux qui se sont véritablement battus pour le changement opéré, en faisant l’insurrection des 30 et 31 octobre 2014, sans calcul mesquin sur les retombées politiques ou financières. Pour ma part, je reste convaincu que ZIDA est un incident de parcours de notre histoire politique qui malheureusement posera des actes ou ne posera pas les actes adéquats dont les conséquences seront fâcheuses pour l’avenir de notre pays.
15. Le 30 mai 2015 à 06:33, par Dignefils En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Merci, Natha pour ces clarifications. Le CSC sort la tête haute de cette affaire, contrairement à ce que pensent certains confrères. L’avenir nous le dira. Les medias vont travailler à mieux encadrer ces émissions désormais et le CSC sera à l’aise pour sanctionner les medias fautifs. Les auditeurs vont désormais modérer leurs propos. Et c’est le Burkina qui y gagne. L’histoire retiendra que c’est sous votre mandat qu’une telle décision forte et responsable a été prise. L’histoire retiendra que cette mesure et les concertations auxquelles nos patrons ont pris part a abouti à des solutions heureuses comme vous l’avez dit dans votre interview. Le systeme de retardement de la voix est une bonne solution. Courage à vous et surtout aux six conseillers, ne quittez plus le navire par peur. Les peureux n’ont pas leur place dans une instance de regulation. Vive l’exercice de la liberté d’expression et de presse dans la responsabilité
16. Le 30 mai 2015 à 07:15 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Madame SOME a peut-être raison mais elle a fait mille pas sans le peuple. Ceux qui sont proche de l’affaire savent que Madame n’a aucun soutien des anciens de la profession, elle a divisé les médias, elle a divisé les Conseillers. Seule contre tous. Elle seule a raison contre tout le monde. Quand de grands journalistes, tels les JeanBaptisteCIERRO, les Paul ISmaël OUERDAOGO (qui ont formé Madame SOME, disons-le en passant) lui ont demandé d’avoir de la mesure et qu’elle refuse, son seul mérite c’est son entêtement. A propos de la charte, est-ce une charte peut s’imposer à quelqu’un qui ne la reconnait pas, a fortiori de ne l’avoir pas signé. Je demande un avis aux juristes ? Je trouve dommage qu’elle ait déconstruit ce que Luc Adolphe et Tantie Béa ont réussi à ramener : l’acceptation du CSC par les professionnels. Ceux qui savent l’histoire du CSC savent que sous Fofana, les professionnels n’en voulaient pas. Il a fallu attendre LAT qui par tact a réussi a faire accepter le CSC et Tanti Béa à bien achever. Il aura fallu d’ailleurs que la Conseillère municipale du CDP démissionnât dès sa prise de fonction au CSC. Elle est une conseillère nommé par le Président COMPAORE, mais cela ne justifie pas qu’elle s’enrage contre la profession, coupable à ses yeux de tous les mots. Elle a engagé un bras de fer contre la profession. Dieu seul sait qui vaincra !
17. Le 30 mai 2015 à 07:22, par kabvla En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Vous les journalistes vous etes n’importe quoi. Tout n’est pas permis dans une republique meme dans une transition. Vous pouvez en vouloir la tete de Mme Somé mais elle fait bien son job. Quand on a affaire à des journalistes non pro ya du boulot. Mme somé a parfaitement et professionnellement fait son job n’en deplaise à ces détracteurs zélés. Et vous pauvres conseillers ! Des conseillers qui se desolidarisent apres. Vous abandonnez votre chef en pleine tempete. On vous aurait fusiller si vous étiez soldat pour avoir trahi. Vous n’avez pas de carractère et vous meritez pas votre place au CSC, bande de mouillards .ALLEZ COURAGE MA PRESIDENTE. N’EST PAS PRESI QUI VEUT MAIS QUI PEUT ET VOUS AVEZ MONTRE QUE VOUS POUVEZ CONTRAIREMENT A CES CONSEILLERS QUI N’HESITENT PAS A SE DESOLIDARISER. Dieu les voit.
18. Le 30 mai 2015 à 07:24, par eliane En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
"""Le supplice fait partie des responsabilités tout comme le risque. Quand vous voulez bien faire dans une société où la hiérarchisation des valeurs vous laisse sans voix, il faut que Dieu vous donne le courage de David et la sagesse de Salomon pour avancer avec votre conviction que seul l’intérêt général prime sur toute autre chose""""
Que Dieu te protège contre tes ennemis,femme battante,femme noire,femme croyante ,on es ensemble
19. Le 30 mai 2015 à 07:25, par vérité no1 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Un conseil à Nathalie ! Laissez les auditeurs, les journalistes, faire ce qu’ils veulent car les pseudo-journalistes veulent profiter prendre votre place. C’est un pays de calculs, on dit que l’algorithme est né en Ouzbékistan mais je pense qu’il est plutôt né au Burkina !!!!!
20. Le 30 mai 2015 à 07:38, par PAK En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Félicitations à la Présidente du CSC et surtout courage. C’est ça la direction d’uns institution loin des comportements populistes. Les émissions interactives sont une bonne chose. Seulement, dans le contexte du Burkina, elles se doivent d’être recadrées car les dérives sont quasi présentes d’où cette pose nécessaire à la réflexion. C’est ça la responsabilité. Seulement, dans ce pays plein d’opportunistes et de personnes et structures en quête de visibilité, le bien est pris pour le mal et le mal pour le bien. Vous avez des donneurs de leçons, ces "saints hommes" donc toujours irréprochables sur cette terre, qui refusent de voir l’objectivité. Même les radios internationales que nous écoutons préparent les émissions malgré le thème déjà orienté avec les auditeurs devant intervenir qui sont identifiés. Ici, au Faso, l’information est balancée par l’auditeur inconnu au bout du fil et cette information qui peut incriminer une personne morale ou physique est à mainte de cristaliser tous les autres intervenants inconnus à l’émission. C’est ça la liberté d’expression pour certains promoteurs de médias qui ventent d’être très professionnels. On peut avoir la notoriété de sa radio se fondée sur de telles insuffisances mais reconnaitre qu’il y a un devoir de recadrage.
21. Le 30 mai 2015 à 07:52, par sommita En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
TOUT EST CLAIR. AYANT CONSTATÉ DES DERAPAGES AU COURS DES EMISSIONS INTERACTIVES, LE CSC EN TANT QU’ORGANE DE REGULATION DES MEDIAS SUSPEND L’ENSEMBLE DE CES EMISSIONS POUR METTRE EN PLACE UNE CHARTE AFIN DE SANCTIONNER LES FAUTIFS QUI NE RESPECTERONT PAS CETTE CHARTE DE BONNE CONDUITE. INTERNAUTE 8, HENRI, QU’EST-CE QUE TU N’AS PAS COMPRI DANS LA DEMARCHE DE MME SOME ? SI VOUS AVEZ L’HABITUDE D’ECOUTER JUAN GOMEZ SUR RFI VOUS SAURIEZ QU’IL N’EST PAS PERMIS DE DIRE N’IMPORTE QUOI N’IMPORTE COMMENT. LES DISSIDENTS NE SONT QUE DES TARÉS QUI PENSENT QUE COMME BLAISE N’EST PLUS LÀ, TOUT EST PERMIS. BANDE DE TARÉS !
22. Le 30 mai 2015 à 08:23, par slim En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
félicitation madame la présidente, ceux qui s’agitent sont les fossoyeurs de la liberté d’expression. en tout sincérité tous ceux qui ont violé la décision de l’institution doivent être poursuivis pour atteinte à une loi républicaine.
vive la liberté d’expression dans la responsabilité
vive la liberté d’expression dans la légalité
à bas les promoteurs de radios et audio délinquants
à bas les promoteurs de radios et audio irresponsables
merci madame pour votre clairvoyance
23. Le 30 mai 2015 à 08:26, par Donko Kambou Gabriel En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Nous vous soutenons dans l’intérêt de la bonne marche des affaires de la nation et de la consolidation de la démocratie entamée par la chute de Blaise Compaoré . Merci, Dieu est avec toi également . Tu réussiras . Prends courage . Quand on travaille objectivement on n’a peur de rien . Pour un Burkina Faso qui progresse dans l’intérêt d’un avenir meilleur , en avant . Prends bien soins de toi , que Dieu te protège et qu’il bénisse le Burkina Faso .
24. Le 30 mai 2015 à 08:30, par sinoma En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
je vous avait dit cette Dame a de la poigne sa décision était salutaire que Dieu Tout Puissant de te donne la sagesse de Salomon et le courage de David.Cette horde de confrère sans idéale ennemis de la liberté qu’il prétendent défendre seront vaincus au non de JESUS
25. Le 30 mai 2015 à 08:32, par Zongo En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Quelle grandeur d’esprit !! Le Burkina a besoin de filles comme vous. Quand vous êtes convaincu du bien fondé de votre démarche , ne reculez devant n’importe prétexte. Nous vous avons compris et vous apportons notre soutien. L’interview est limpide et en dit long sur votre professionnalisme. Courage car vous serez toujours sollicité pour votre expérience car à l’image de Yennega et Guimbi Ouattara, vous venez de rempoter une belle partie.
26. Le 30 mai 2015 à 08:39, par raogo En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
je suis déçus des organisations professionnelles de médias ils ont perdu toute crédibilité dans cette affaire aucune d’elle n’a eu présence d’esprit ou humilité de poser calmement le problème.ELLES se sont toutes comportées comme les voyous d’OSC EN ternissant l’image d’une profession responsable désormais un peu de retenue et de pondération ça vous fera grandir
conseil d’un confrère
27. Le 30 mai 2015 à 08:40, par BEN En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Bjr. Du courage ma sœur . Cette Natalie a plus de "couilles" que certains de ses conseillers et conseillères, aptent pour les complots, surtout ceux qui ont vite fait , par écrit , d’annoncer qu’ils sont étrangers aux décisions de la Présidente du CSC. Ces conseillers, au nombre de six, doivent quitter le CSC ou c’est la Présidente qui leur laisse leur "chose" car ils feront pire que ce qu’ils viennent de faire. Merci et félicitations Mme Natalie d’avoir envoyé un message fort aux ANTI TRANSITION qui prônent l ’incivisme dans leurs actions.
28. Le 30 mai 2015 à 08:50, par raogo En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
je n’ai pas très bien compris les organisations professionnelles le problème posé par le SCS était il réel oui ou non si oui pourquoi vous n’avez pas voulu le dialogue
ce qui me fait mal c’est que la SEP au lieu de résoudre ses vrais problème a fait de cette affaires émission une affaire personnelles comme si les organisation professionnelles de radio ne pouvaient pas le faire les gens ont trop de temps
29. Le 30 mai 2015 à 08:52, par la vérité En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
D’abord je tiens à féliciter Nathalie Somé pour sa bravoure. Quand je vois des gens dits professionnels de médias qui tombent aussi bas, jai honte. parce que vous avez contribué à la chute de Blaise tout est maintenant permis.
Est ce que dans vos organes il n’ya pas de principe ? vous pensez que RFI travaille au hasard comme vous. allez y vous faire foutre. je suis journaliste de radio mais je suis écoeuré du comportement des promoteurs des émissions interactives. ce sont des paresseux sinon radio ne signifie pas seulement émissions interactives il ya d’autres rubriques.
30. Le 30 mai 2015 à 08:54, par adam En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
je crois tout simplement que le CSC a pris ses responsabilités. mes encouragements à Mme SOME et à son équipe
31. Le 30 mai 2015 à 09:01, par mamadou En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Merci ma ’DJONMOUSSO’. Tu es très compétente le peuple et les journalistes conscients te soutiennent et t’encouragent dans ta mission tant difficile. Et merci à Fasonet pour cette interview qui a éclairé plus d’un. Bon vent à toi et à toute l’équipe du CSC. Considerez ce qui s’est passé comme un incident de parcours et mettez vous ensemble pour continuer la mission que la nation vous a confiée. Merci à tous
32. Le 30 mai 2015 à 09:08, par la verite En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
ce pays est devenu du cafourmayer, que Dieu nous sauve
33. Le 30 mai 2015 à 09:22, par zamanoma En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Merci Mme Nathalie SOME pour cette communication. Je vous avoue que je fais parti de ceux qui demandaient votre démission, pas par ce que je suis contre vous, mais seulement, je pensais que les ZOUGMORE, SMOKEY en faisaient trop et qu’il fallait partir pour leur céder la place, car ces derniers pensent que la transition leur appartenait.
Je suis content de constater que vous avez réussi à clamer la tension.
Félicitation alors et bon vent à vous.
34. Le 30 mai 2015 à 09:22, par nelson En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Je vous fais mon "C" et beaucoup de respect pour votre sens de la maitrise de soi, madame la Présidente ! Vous aviez agi en toute responsabilité et c’est là le plus important.
Félicitations !!!
35. Le 30 mai 2015 à 09:25, par Je suis Nathalie En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Bravo au CSC ! Carton rouge aux associations professionnelles des médias qui ont refusé le dialogue ! La liberté de presse n’est pas absolue. L’article 8 de la Constitution qu’elles invoquent pour dire qu’il s’agit d’une violation de la Constitution a prévu des limites. La liberté d’opinion doit s’exercer dans le cadre des lois et règlements. Acceptez l’autocritique, et se dire la vérité est mieux. La liberté ne se défend pas aveuglément. J’ai l’impression que les journalistes n’aiment pas les critiques. C’est dommage ! Changez un peu, car vous passez votre temps à critiquer les gens.
36. Le 30 mai 2015 à 09:27, par halo En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
merci madame Nathalie some. vous êtes une bosseuse et il faut une comme vous pour diriger ce genre d’institution.bravo et beaucoup beaucoup de courage.que DIEU vous bénisse
37. Le 30 mai 2015 à 09:43, par NITIEMA En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Bravo Mme pour être restée égale à vous même. La liberté n est pas synonyme de libertinage.Nous savons que certaines radios ont fait de ces émissions leurs choux gras.Aussi leurs promoteurs ne sont plus enclin au respect des règles pourvu que celles ci leur donnent une visibilité et surtout des recettes. Ce n est pas seulement que la liberté d’expression qui conduit à l animation de ces émissions. En effet , pour faire court pas d intérêts pas d actions.
38. Le 30 mai 2015 à 10:00, par BAbelt En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Après cet entretien je crois comprendre à présent ce qui a fondé la décision du csc de suspendre ces émissions ! Ma liberté s’ arrête là où commence celle des autres ! Courage à cette brave dame qui maîtrise bien son travail et qui est un professionnel de médias,rigoureuse et déontologique !
39. Le 30 mai 2015 à 10:29, par FitzGerald En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Merci madam SOME. Le Burkina a besoin de gens comme vous.
40. Le 30 mai 2015 à 10:32, par Eléonore En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Merci Mme Somé pour votre sérénité. C’est ça être responsable. Savoir affronter la tempête quitte à sombrer avec le navire !!! Vous avez bien parler, et certains reviendront la tête basse.
Encore bravo !!! Ne changez rien !!!
41. Le 30 mai 2015 à 10:35, par Dignité En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Lorsqu’on apprend à connaitre cette dame, elle force le respect par son caractère ! J’ai trouvé ses six conseillés trop lâches et populistes ! Je penses qu’il y’a eu des insuffisances dans sa démarche de suspension (pas de concertation) mais il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain ! Nous nous retrouvons dans un contexte on utilise du vrai pour prôner du faux et inversement !
Et il faut que certains promoteurs retrouvent leur humilité qu’ils sont entrain de perdre du fait de l’ascension fulgurante de leurs radios ! Cette même ascension peut fondre comme de la neige !
Tout est devenu calcul !!!!!!
Bref, courage Mme SOME !!!!!!
42. Le 30 mai 2015 à 10:52, par Ahadi En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Madame, je salue votre courage et votre dévouement pour remplir la mission qui vous a été confiée.
Bravo et continuer a avoir ce courage
43. Le 30 mai 2015 à 10:57 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Madame la presidente vous avez une grandeur d’esprit. On a besoin des gens comme vous pour relevez les plus grands defits. Vraiment toutes mes felicitations.
44. Le 30 mai 2015 à 11:08, par la sentinelle En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Cette décision me semble justifier ! Mais qu’elle cesse de se conparer aux jésus, aux prophètes et au saints ! La connaissant, sa référence à l’intérêt général et autre c’est du beau discours ! Elle fait a évolué dans un système où ces mots étaient étrangers voire étrange ! Qu’elle laise ces beaux discours ! Elle fait parir de ceux qui savent cacher les jeux ! Ce sont toujours les caillots dans le sang de la transition ! Si donc la décision est bien la personne elle-même n’inspire aucune confiance !
45. Le 30 mai 2015 à 11:11, par Le libre penseur En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Merci maman et courage à vous !
46. Le 30 mai 2015 à 11:16, par Dignité En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Lorsqu’on apprend à connaitre cette dame, elle force le respect par son caractère ! J’ai trouvé ses six conseillés trop lâches et populistes ! Je penses qu’il y’a eu des insuffisances dans sa démarche de suspension (pas de concertation) mais il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain ! Nous nous retrouvons dans un contexte on utilise du vrai pour prôner du faux et inversement !
Et il faut que certains promoteurs retrouvent leur humilité qu’ils sont entrain de perdre du fait de l’ascension fulgurante de leurs radios ! Cette même ascension peut fondre comme de la neige !
Tout est devenu calcul !!!!!!
Enfin, les promoteurs ont crié à l’illégalité de la mesure ! Qui est habilité à prononcer cette illégalité ? Vous les journalistes ou le Juge ? Vraiment, votre comportement et votre démarche risquent de créer un précédent dangereux ! Fier de cette dame car devant la tempête, elle est restée calme ! Elle n’a pas eu pitié de sa personne devant l’intérêt général ! Pas comme tous ceux qui ont vite fait de rejoindre ces associations de promoteurs pas par conviction mais par peur de la critique des autres ! Juste pour plaire !
Bref, courage Mme SOME et Dieu vous guide toujours pour des actes actes qui soient toujours en faveur de l’intérêt général !!!!!!
47. Le 30 mai 2015 à 11:27, par bourboko En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Décorez la présidente du CSC, mettez la au panthéon si vous voulez, mais je suis persuadé qu’elle n’est pas a sa place, qu’elle n’a pas mesuré la portée de son acte de suspension, ni les conséquences de son refus de recevoir le document qui lui était transmis lors du sit in. Nathalie SOME quelque soit le parti qui viendra au pouvoir sera débarquée comme les Sagnon Adama et les Guiguimdé. Elle s’est trompée de pays et de période. Elle est ENTIEREMENT responsable de ses propres turpitudes. Bon weekend
48. Le 30 mai 2015 à 11:31, par Dignité En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Lorsqu’on apprend à connaitre cette dame, elle force le respect par son caractère ! J’ai trouvé ses six conseillés trop lâches et populistes ! Je penses qu’il y’a eu des insuffisances dans sa démarche de suspension (pas de concertation) mais il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain ! Nous nous retrouvons dans un contexte on utilise du vrai pour prôner du faux et inversement !
Et il faut que certains promoteurs retrouvent leur humilité qu’ils sont entrain de perdre du fait de l’ascension fulgurante de leurs radios ! Cette même ascension peut fondre comme de la neige !
Tout est devenu calcul !!!!!!
Enfin, les promoteurs ont crié à l’illégalité de la mesure ! Qui est habilité à prononcer cette illégalité ? Vous les journalistes ou le Juge ? Vraiment, votre comportement et votre démarche risquent de créer un précédent dangereux ! Fier de cette dame car devant la tempête, elle est restée calme ! Elle n’a pas eu pitié de sa personne devant l’intérêt général ! Pas comme tous ceux qui ont vite fait de rejoindre ces associations de promoteurs pas par conviction mais par peur de la critique des autres ! Juste pour plaire !
Bref, courage Mme SOME et Dieu vous guide toujours pour des actes actes qui soient toujours en faveur de l’intérêt général !!!!!!
49. Le 30 mai 2015 à 12:02, par Sydney En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Pourquoi tu sanctionnes tout le monde ? ce n’est pas du tout professionnelle de ta part. On sanctionne ceux qui ont fauté, c’était une mauvaise décision de ta part.
50. Le 30 mai 2015 à 12:06, par Bakiss En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
felicitation a vous madame,des propos tres claires vs etes courageux et continué sur cette lancée vs avez le soutient du peuple intègre.
51. Le 30 mai 2015 à 12:22, par sarfalao city boy En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
JE VOUS AIME MADAME, WALAHI BILAHIII
VOUS EST PROFESSIONNEL ET VOUS SORTEZ GRAND DANS CETTE EPREUVE...
CA VOUS A PERMIS DE CONNETRE LES CONSEILLES VEREUX QUI REVE DE VOTRE PLACE ET QUI ON QUITTE LE NAVIR EN SE DESOLIDARISANT.. MAIS COMME DIEU N’EST PAS ANANGO, VOUS ETES ARRIV2 A BON PORT....
MERCI
52. Le 30 mai 2015 à 12:33 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
On peut dire que le match qui opposait l’équipe de l’association professionnels des médias à celle de Nathalie SOME s’est soldé par un match nul. En effet l’association des professionnels des média menait par 1 but à 0 jusqu’au temps réglementaire car la décision du CSC était jugée liberticide par un grand nombre de supporteurs présent dans le stade. Mais j’ai eu comme l’impression que les parents de notre Nathalie ont eu le reflexe d’amener dans le stade quelques bidons de dolo Dagara qu’ils ont disposé le long du terrain comme de l’eau pour se désaltérer. Et voici que mes esclaves peulh (BARRY, DIALLO, et autres alliés) qui se cachent souvent pour goder ont reconnu l’odeur de leur boisson clandestine. Ils y ont fait chacun un tour pour se désaltérer, et de retour sur le terrain, tout s’est gâté dans les 2 mn de temps additionnel qui restait. BARRY le gardien de but de ce jour qui a pris une overdose s’est assoupi dans un angle de ses buts et son frère DIALLO grand défenseur plus que le Général BAKO lui était surexcité. Il a voulu faire une passe en retrait à son gardien, et il y a eu auto-goal. Buuuuuuuuuuuuuu !!!!!!!!!!!! pour Nathalie SOME !!! 1 à 1 au final ! Oui, En décidant de boycotter le CSC, l’association des professionnels des média vient de poser un acte qui n’est ni plus ni moins qu’un acte d’INCIVISME. Se sentant lésée, elle s’est faite justice elle-même alors que des juridiction compétentes sont là pour dire le droit et leur donner raison. Donc c’est MATCH NUL. Quant à mes esclaves peulh qui ont occasionné le match nul, la prochaine fois il faudra venir prendre conseil chez moi ; On dirait que vous avez trop écouter la confession privée de mon ami Gérard que j’aime bien mais cette fois-ci il vous a induit en erreur. Un de vos maîtres Bobo.
53. Le 30 mai 2015 à 12:44, par leopold Diarra En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Beaucoup de radios ont ces genres d’émissions où les gens peuvent intervenir. On peut citer RFI, Africa N°1 qui n’existe plus, etc. C’est à l’animateur de l’émission de savoir recadrer les gens. Supprimer les émissions n’est pas une bonne chose. Heureusement qu’il y a internet qui échappe au contrôle royalement.
54. Le 30 mai 2015 à 13:48, par SAK-SIDA En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
C’est cela gouverner. faire de choix, prendre des décisions et assumer. à une période ou l’autorité de l’état n’est plus qu’un vain mot, il nous faut des gens qui savent ce que c’est qu’un état. quand à ceux qui mangent dans l’anarchie, on sait que l’intérêt général, ils n’en ont rien à foutre. pourvu que leur caisse gonflent, qui à ce que le pays prenne feu. et si on nous dit qu’un Newton a faillit être notre président. OUIIII !!!. Rien qu’à y penser, j’ai la chair de poule. Dieu aime le Burkina. je vous dis qu’il a faillit être notre président, un tel anarchiste. maintenant, on serait au Rwanda.
55. Le 30 mai 2015 à 13:53, par Bouzout En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Rien à dire. Très convaincante. Honte aux conseillers qui ont sauté à l’eau en croyant au naufrage du bateau CSC.
56. Le 30 mai 2015 à 14:04, par Kian Dia En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
La reprise des émissions interactives a été consomm avant la levée de la suspension, des conseillers se sont désolidarisés de la décision, si la Présidente a un minimum de respect et de dignité pour elle-même, elle devrait en toute logique et cohérence tirer les conséquence en rendant le tablier. Svp ne défendez pas ce qui n’est pas défendable, les patrons des media l’ont désavouée et défier son autorité, quand même, même si le pouvoir est bon, se faire diminuer, insulter, humilier.....
57. Le 30 mai 2015 à 14:06, par SAK-SIDA En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
à internaute 45 (M DIARRA LEOPOLD), internet n’échappe pas contrairement à ce que vous dites ; votre écrit a été d’abord lu par un modérateur du site et a été validé avant d’être mis sur la toile. lisez l’encadrez ci dessus au moment où vous voulez poster un commentaire. C’est cela la responsabilité de toute personne qui crée un plateau où tout le monde peut intervenir. Et imaginez que c’est ce que des promoteurs de Radio refusent, parce que l’anarchie est ce qui accroit leurs recettes.
58. Le 30 mai 2015 à 14:14, par Peter de Bangkok En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Standing Ovation Nathalie Some !
Pour dire vrai, je ne vous portais pas dans mon coeur pour votre proximité avec qui vous savez et votre activisme pour le compte de l’association de soutien à l’ex PF.
Nonobstant cela, je vous admire pour votre professionnalisme, votre combativité et votre fermeté !
Le Burkina Faso étant en majorité une société phallocrate, la promotion du genre n’est pas encore sortie de l’Auberge !
Les gens se sont dit, c’est une femme, on va lui montrer qu’on a des couilles ! Dommage, comme dirait un internaute, qu’il y ait des gens respectables des médias qui on fait fi de la loi en allant s’exhiber au CSC !
Un autre internaute disait : "vive la fin de la Transition" ! Je le corroborerai en disant très vite les élections pour que l’Autorité de l’Etat soit respectée avec une démocratie refondée et des institutions fortes, indépendantes et républicaines, où Liberté ne signifiera plus Libertinage.
Bon vent à vous Nathalie Some et que Dieu vous bénisse et veille sur vous !
59. Le 30 mai 2015 à 14:32, par PAK En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Intervenant n°45. Ne faites pas de confusion. Toutes les émissions interactives sur RFI, BBC se préparent avec les intervenants. Il n’y a pas d’intervention possible sans avoir été au préalable identifié par les journalistes. On pose sa candidature et son argumentaire, le choix des auditeurs intervenant est fait à base de ceux dont le contenu des interventions cadre mieux et enrichi l’émission en question déjà orientée sur un thème précis. Contrairement à ce que vous dites, même internet y compris le présent forum n’échappe pas au contrôle de l’administrateur car ce dernier assume la responsabilité première des propos des forumistes. SANS RANCUNE
60. Le 30 mai 2015 à 14:49, par Gbè En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Quand tu ne comprends pas certaines choses tu peux adopter une position qui se révèle plus tard indéfendable. Cette dame a eu tout à fait raison de tenir ferme. Pour nous qui n’avions pas le "bon oeil" cela se comprend mais pour ces journalistes de renom qui se sont associés à cette campagne contre le CSC alors qu’ils étaient bien placés pour comprendre la nécessité de cette décision, je dis dommage ! Ceux qui devraient démissionner ce sont ces six conseillers qui ont cédé sous la pression alors que la cause au départ était bel et bien juste !
61. Le 30 mai 2015 à 15:01, par sababougnouma En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Si le CSC est la structure habilitée à cet effet et tous les principes ont été respectés (voies juridiques,respect des lois etc) l’acte pose par Nathalie est alors louable.pensez surtout à la période fragile,sensible,que connaît notre pays.si les médias sont des canaux d’information sans professionnalisme ils peuvent être sources de désinformation.cas radio des collines au Rwanda.je crois que avant publication de la charte elle été tout d’abord soumise à l’ examen des hautes autorités.
62. Le 30 mai 2015 à 15:35, par lawapan En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
A ecouter certains j’ai mal a mon pays. ya aucun merite a vouloir interdire aux gens de s’exprimer librement. si cette interdiction passait savez vous quel serait la prochaine. Il faut plutot eduquer le peuple a s’exprimer dans la responsabilité au lieu d’interdire. Mais certains commme internaute#4 n’ont pas interet a ce qu le peuple soit libre . Ainsi il souhaite la fin de la transition et ensuite on verra ce qu’on n’a pas encore vu. Que Dieu eclaire la jeunesse consciente.Bravo aux journalistes qui s’opposent aux lois illegitimes et liberticides.
63. Le 30 mai 2015 à 15:36, par cibal de l’ombre En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
courage madame SOME
64. Le 30 mai 2015 à 16:34, par Trahison En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
N0 45, un Bobo qui parle du dolo dagara. Vraiment, moi qui croyais qu’ on etait des allies en doromitage. Voila que tu nous abandonnes comme les 6 consdeillers laches et calculateurs de Natou Som. Some veut dire Lievre. Le lievre est ruse. Faites attention. Mais toi Bobotchie, guere dit que Ouobe mange, Ouobe dit que Guere mange, entre les deux qui est Gbolo ? Mais entre Bobo et Dagari, qui aime le jus de mil plus que l’ autre ?Eux tous disent qu’ ils ne volent pas mais que si c’est dagaradam, dan gnoub sa kouob ou si c’est droh, ou bi na min pian, prrrrrourourou !!! Donc gardons l’ alliance sacree pour punir les autres qui se cachent pour voir et qui nous portent la calebasse sur la tete. Tu connais Bonoureh, le grand balafonniste des cabarets Plondjoss de Gaoua que les Bobo ont vole mettre dans les cabarets de Bolomakote ? Sourou ni be manamanan kora , ne tala, ne tala, ne tala. Hey ! Sopissi bey, a gnaman teh !!!! Ah Ca, ces les annees 1980. J’ aime trop mon Bobo-Dsso.
65. Le 30 mai 2015 à 16:53, par Henry En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Salut internaute n°11, mon bonjour à toi. Si tu prends ma position pour de la haine, je suis désolé. Si la dame faisais du bon boulot comme tu le dis si bien, elle ne peut pas prendre une décision à l’encontre de l’opinion publique et des hommes des médias. Les gens refusent et elle persistent, pourquoi ? Parce que probablement, comme certains le disent c’est mon opinion aussi, il ya d’autres personnes (les gens qui ont leur main plein de sang) derrière elle et c’est de bonne guerre. Mais là à vouloir imposer une décision impopulaire à tout le monde je ne suis pas et ne serai jamais d’accord et bravo pour votre victoire (rire !!!). Si j’étais à la place de cette dame, je ne sais pas si j’aurai les couilles pour prendre de telle décision mais ce que je sais et c’est certain ce que j’aurai au moins les couilles pour dire à ceux qui m’ont ordonné pour prendre des décisions impopulaires que je ne le ferai jamais et rendrai ma démission immédiatement. ça au moins je suis sure à 100%. Ce pays a besoin des hommes et des femmes qui ont la capacité d’avoir de l’esprit critique et d’autocritique. Pour ce Burkina dont nous rêvons, nous n’allons jamais nous coucher.
Cordialement !!!
66. Le 30 mai 2015 à 17:20, par W7 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Les derives sur dans emissions ont commencé depuis l’ere Compaore. J’etais inquiet en pensant à radio mille collines vu l’allure que ça prenait depuis l’insurection. Le CSC a bien fait de prendre cette mesure conservatoire incomprise par les premiers acteurs eux memes. Mais ce que je deplore plus c’est l’attitude des promoteurs de presse privé qui ont bravé la decision en reprenant les emissions le 28 mai en reaction au refus de Mne SOME de recevoir la lettre des manifestants.C’est une attitude irresponsable car vous cavez fait la promotion de l’incivisme au Burkina . Vous avez baffoué l’autorité de l’Etat et créé un precedant. Vous educateurs des peuples vous ne pourrez plus sensibiliser les inciviques. Nous sommes dans un Etat de droit et il ya des recours contre les abus de l’administration, pouvez vous dire que vous les ignoré ? FOSSOYEURS de l’ordre public l’histoire retiendra qu’au Burkina des journalistes et pas des moindres ont cultivé l’incivisme dans ce pays.“”
67. Le 30 mai 2015 à 17:48, par Boubacar A Djibo En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
J’ai jusque là suivi l’evolution de la crise entre le CSC et les communiquateur sans intervenir parce que j’étais tiraillé entre les deux positions.
* D’un coté je trouvais domage que l’on suspende tout les debats directs. Et mon interet ici n’est pas vraiment pour les debats, mais le fait qu’une institution puisse interdire une activité (quel q’elle soit) à tout un groupe, me parait dangereux et efrrayant dans un contexte de democratie. Dans ce sens, j’avoue que j’étais avec ceux qui auraient preferés que les fautifs soit punis conformement aux lois, au lieu de tout un groupe.
* D’un autre coté, en tant qu’observateur attentif de l’histoire recente, je sais aussi que ce genre de debats dans le contexte d’un pays comme le notre peuvent être extrement dangereux s’ils ne sont pas encadrés par des professionnels conscient de toute leur responsabilités.
Un nombre considerable de citoyens croient que tout ce qui se dit à la TV et à la radio sont des verités absolues. Beaucoup sont même succeptible d’agir sur la base de ce qu’ils entendent et cela peut facilement conduire à des situations d’instabilités que tout patriote devrait chercher à eviter à notre chère Faso. Le role et la responsabilité des communicateurs est de s’assurer que leurs plateaux ne servent pas à l’incitation à la violence, à l’atteinte gratuite et sans preuve à l’integrité morale des personnes (physiques ou morales), etc. etc.
Au regard de ce qui precède et aussi des justifications données par Mme Somé, je pense que la suspension des debats, bien que comprehensible aurait due être evitée. Mais c’est chose faite et le CSC a rectifié le tir en levant la suspension hier.
Il me semble que les defenseur de la liberté d’expression, au lieu de reclamer la tête de Mme Somé, devrait plutot l’accompagner dans son oeuvre de protection des communicateurs et du peuple tout entier ! Tout le monde y gagnera...
68. Le 30 mai 2015 à 20:55, par vérité no1 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
"J’accepte d’avance toutes les vexations qui vous paraîtront nécessaires mais de grâce restez unis" Blaise Compaoré ! Il ne faudrait pas que ceux qu’on vient de chasser soient plus sages que nous ! Nathalie a corrigé l’erreur (?) et nous devons reconnaître qu’elle est une battante, une femme courageuse qui cherche le bien du pays ! J’étais de ceux - là qui cherchait son départ mais on a constaté qu’il y avait de la manipulation !!!!!
69. Le 30 mai 2015 à 21:30, par tiego En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Bravo mme Some et que le seigneur vous protège . Le comportement de vos 6 conseillers est inacceptable et vous devez leur donner des lettres d explications et ensuite les traduire devant les juridictions compétente pour avoir dévoiler les secrets de vos délibérations. En pensant vous sacrifier et vous jeter en pâture ils se sont tirés une balle dans le pieds. Même si certains d entre eux veulent votre place , ils auraient dû attendre une autre occasion. J ai honte pour eux et que Dieu vous éleve d avantage. Quand aux radios qui ont violé votre décision, appliquer et faite appliquer la loi dans toute sa rigueur en les sanctionnant. Bon courage à vous et ne démissionner pas pour faire plaisir à certaines personnes.
70. Le 30 mai 2015 à 22:55 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Vraiment bravo tantie Natha. Ce probleme des emissions interactives existaient il ya longtemps. Vous avez été la 1ere presidente a vraiment faire face pour trouver des solutions a ce probleme, au prix meme de votre popularité surtout en cette periode sensible. Dieu merci baucoup vous ont enfin compris. Merci pour votre courage. Dieu vous benisse.
71. Le 31 mai 2015 à 03:15 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Nathalie Somé bravo ! Tu es une héroïne. Tu a tenu bon malgré des pressions car tu croyais profondement au bien fondé de tes actions pour l’interêt de la nation. On a besoin de responsables comme vous pour traverser les moments difficiles qui frappent notre pays. C’est un pas en avant.
72. Le 31 mai 2015 à 08:20, par vérité no1 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Je connais très bien mes mogos, ils ont du mal a encaisser une défaite surtout devant une femme. Nathalie doit se méfier surtout qu’ils peuvent emprunter la voie du mysticisme !
73. Le 31 mai 2015 à 11:52, par ELKABOR En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Tout ce qui est arrivé était nécessaire pour que chacun connaisse sa place réelle dans notre pays ! Ainsi Nathalie Somé voulait régner comme un potentat en quête d’autorité. Sinon comment comprendre la prise d’une décision aussi liberticide digne d’un état d’exception dans cette période où nous avons tous ras le bol des agissements de vampire de certaines de nos autorités anciennes comme nouvelles ? Pour Nathalie Somé ’’Parce qu’on a mal aux yeux, il faut couper la tête ?", Non aujourd’hui, Non demain et non toujours, il faut soigner les yeux si on a mal aux yeux ! Que ceux qui dérapent soient sanctionnés et non tout le monde. Par ailleurs de quelles preuves de rappels à l’ordre précis,documentés à l’endroit de chaque fautif le CSC dispose-t-il mises à part des communiqués laconiques et génerales comme pour masquer son incompétence à réellement suivre les média dans leurs dérapages ? Que les citoyens qui se sentent diffamés, attaqués de quelque manière que ce soit déposent plaintes auprès de la justice afin qu’on épingle la radio fautive. Il me parait donc incongru de decreter une ’fatwa’ collective à l’endroit des radios. Une interview de Nathalie Somé fut-elle aussi brillante et pleine de références bibliques ne peut tromper la vigilence que des esprits faibles et déclencher l’applaudimètre de ses supporteurs. Toutefois, ce mal était nécessaire pour rappeler aux radios leur responsabilité vis à vis des interventions en direct des auditeurs sur leurs antennes. Ainsi, chacun sait désormais à quoi s’en tenir !
74. Le 31 mai 2015 à 13:32 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Merci Mme SOME que Dieu vous guide dans vos actions.
L’obtention d’une institution forte commence par là. la liberté d’expression ne veut pas dire que tout est autorisé Nous sommes dans une période sensible nous devons contrôler nos propos et cultiver la cohésion sociale vecteur d’une paix durable. Certaines de ces émissions qui incitent à la violence doivent cesser
75. Le 31 mai 2015 à 14:42, par Bidiore En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Félicitations Mme la Présidente, n’en déplaise aux promoteurs qui, pauvres en imagination, ont fait de ces émissions interactives leur chasse gardée. Tout le monde sait qu’elles sont devenues des occasions pour certains citoyens de déverser leur bile sur les autres par des injures, des calomnies de toutes sortes sans que les personnes visées n’aient vraiment la possibilité de réagir. Et lorsqu’elles attaquent l’organe d’information en question, on crie au non respect de la liberté d’expression. Il faudra après cela voir aussi le cas de la presse avec tous ces forums où aucune régulation de l’information n’est assurée.
76. Le 31 mai 2015 à 14:57, par dieu est aussi contre En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Elle a payé des internautes pour la soutenir, exactement ce que faisait Blaise COMPAORE et son clan. Dieu seul pourra faire le bonheur de ce peuple et punir les lâches !!!!
77. Le 31 mai 2015 à 15:30, par Fetiches Dagari En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Les Dagaris sont mes esclaves. Ces gens-là, c’est pas la peine même , quoi. Ils font du Vaudou environnemental. Propre. Eux ils n’ egorgent pas les albinos mais leurs cases de fétiches sont pleines à craquer. Regardez, rarement, ils vont même enterrer leurs morts en ville. Ecologique ! Et quand ils amènent ça au village , ils le font marcher et ils l’ interrogent avant de faire les funérailles d’une semaine et pendant les funérailles , ils se fouettent, sautillent comme des fous et les femmes dansent comme naganagani qui est prêt a s’ envoler. Moi j’ ai eu des sueurs froides pour Nathalie Somé parce que c’est rare depuis l’ insurrection populaire de s’ en sortir quand le peuple se lève pour chasser un mogo- puissant de son poste. Mais elle, elle est restée calme on dirait une lobi dans le feuillage et au bon moment, elle a frappé han ! Vous ne connaissez pas le secret.Mon esclave et ami, Norokyor Somda, PASA, m’ amenait souvent dans son village Dissin et j’ ai compris le secret. Quand ils ont un problème, ils courent au village attraper le mur de leur case ronde- là et c’est fini, Même s’ ils te doivent de l’ argent, tu ne peux même plus réclamer. Dagari, c’est pas l’ homme. C’est pas femme non plus. Donc, pendant que les journalistes et même le SYNATIC faisaient leur bruit, moi je savais que la Dagari – là allait les jongler, mal au dernier moment. C’est pourquoi mes sueurs n’ étaient pas chaudes.
Félicitations, Djon- Mousso. Ton wackman est bon, pardon, tes ancêtres sont toujours dans le réseau. Vous êtes plus forts que le Konon que nous on a vendu à Blaise à travers le Koro MMT.
J.M. V. Fayama, Toronto, Canada
78. Le 31 mai 2015 à 16:17 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Mme Somé mille fois merci ! Vous etes une digne responsable
79. Le 31 mai 2015 à 16:54, par vérité no1 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
@Dieu est aussi contre, Dieu est vraiment contre vos mensonges ! Personne n’a pris de l’argent mon ami et j’ai comme l’impression que vous êtes l’un des pseudo-journalistes qui voulaient sa tête !!!!!!!
80. Le 31 mai 2015 à 18:29, par WALAY En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Moi je croit que si après les dérapages constatés elle avait expliqué la nécessite de suspendre les émissions d’expression directe pour mieux encadré lesdits émissions, elle aurait été ovationné. Je parie même que les 2/3 de ceux qui la félicite sur cette page n’avaient pas apprécié la décision, tellement ces émissions étaient suivis. Félicitation pour la communication et apprenez que le contexte dicte la procédure. WALAY
81. Le 31 mai 2015 à 18:35, par tiefo En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Honte à toi intervenant n 74. Ce n est pas parce que vous avez l habitude de soudoyer les gens pour vous doitenir que vous pensez que tout le monde réagit comme vous. Éviter svp les affirmations gratuites et haineux.
82. Le 31 mai 2015 à 21:03, par Etienne Arthur Kafando En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Malheureusement au Faso, rares sont les dirigeants qui ont le sens de la dignité à préserver en démissionnant. Nathalie devait sincèrement démissionner du moment où elle fait partir des restes de Blaise Compaoré. Mais va-t-elle le faire ? Dieu seul sait. Cependant à l’entendre parler elle n’est pas prête à le faire. Qu’elle se rappelle tout de même que Blaise est parti laisser ses institutions fortes quand bien même il SE DISAIT HOMME FORT ;
83. Le 31 mai 2015 à 23:23 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Je felicite dame Nathalie Somé pour etre restée constante et courageuse. La cause qu’elle a défendu est noble. Ces emissions avaient besoin dun recadrage. Il fallait bien marquer une pause pour bien les recadrer. A qui ca ferait plaisir de se faire calomnié sans raison fondée a travers des radios ? HONTE aux traites de conseillers qui n’ont pas été constants !! Les OSC et professionels des medias qui ont organisé le soit disant sit-in ridicule ne l’ont pas fait dans l’interet de la nation.
84. Le 1er juin 2015 à 08:45, par ANONYME En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Felicitation à vous du courage et bonne suite
85. Le 1er juin 2015 à 10:52, par Salif En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
le lobby de supporteurs a fonctionné, bravo à vous pour le travail souterrain de relookage de votre image.
86. Le 1er juin 2015 à 12:19, par Mme KONE En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Toutes mes félicitations Madame SOME pour avoir pris tes responsabilités et dire non au bon moment. j’ai admiré ton courage pour les prises de décisions - moi personnellement je te soutiens. Sois encore plus forte pour relever les defis qui se presenteront à toi.
87. Le 1er juin 2015 à 17:06, par sieni Arsène En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Merci dame SOME que dieu vous juge selon sa justice,qu’il mène votre combat , que les voies de vos ennemies soient glissantes et qu’ils tombent dans leur propre piège. dans le coran comme dans la bible on a dit de s’aimer et éviter le dénigrement de son prochain.Je n’arrive pas a comprendre l’attitude de certains de vos collaborateurs ;mais faut leur pardonner car vous êtes source de bénédiction . Il a dit que ça ne sera pas facile mais qu’il nous abandonnera point et qu’il sera avec nous au jour de la détresse. Qu’il vous rassure face aux épreuves. Demeurer béni
88. Le 1er juin 2015 à 17:36, par sylas En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Je t’aime ma sœur. Les émissions directes étaient devenues un canal par lequel des individus malhonnêtes tapis dans l’ombre se croient tout permis de tirer à bout portant sur les gens. Les freins de mon véhicules ont lâché et je me suis débrouillé m’arrêter avec beaucoup de peine. Et quelqu’un a raconté ma mésaventure sur une radio en me traitant d’alcoolique qui a perdu son volant. N’est ce pas des pyromanes ?
Bravo à Mme Some. Nous allons la décorer à défaut lui décerner un prix "BON COMBAT"
89. Le 1er juin 2015 à 18:20, par lucide En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
comment peut-on féliciter quelqu’un ayant sanctionner des innocents. c’est dans l’armée que l’on pratique la sanction collective ! je ne sais pas si certains internautes ont compris mais la bonne dame a perdu la face ! les émissions ont repris faisant fi de la mesure de suspension du CSC. La bonne dame a été mise en minorité. Ou alors on ne parle pas de la même affaire. Mais je rêve ou quoi ?!
90. Le 1er juin 2015 à 19:52, par vérité no1 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Je ne sais pas si Nathalie a du pouvoir pour licencier certains collaborateurs ou pas mais certains devraient se retrouver au Sourou comme cultivateurs de bananes plantain ! On ne peut se dire professionnel et saboter la bonne marche des institutions ! Ce n’est pas acceptable ! Vous pouvez l’attendre au prochain carrefour mais cette fois - ci c’est raté !!!!!!
91. Le 1er juin 2015 à 20:05, par vérité no1 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
@Fayama de Toronto, je confirme, j’ai vu une femme Dagari ou Dagara ? marcher alors qu’elle était morte. On a creusé la tombe ya pas moyen, la communauté à demandé ma bâchée pour amener le corps au village. Je n’arrive toujours pas à comprendre bien ça soit vraie !
92. Le 1er juin 2015 à 22:53, par Trahison En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
N082, tout le burkina est les reste du blasot . si on devait demissionner pour ca,il fallait aller au Vietnam pour denicher les hommes nouveaux,
93. Le 1er juin 2015 à 22:56, par Trahison En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Inervenant n076, laisse Nathalie. Elle n’a pas caisse noire comme Blaise. Elle a quel argent pour payer les internautes ? Et pourquoi les autres aussi ne paient pas ?
94. Le 2 juin 2015 à 00:10 En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Mme la presidente vous avez ete vraiment brave. Merci d’avoir tenu bon. C’etait necessaire pour un Burkina ou la haine et la violence etaient lances dans ces emissions. On veut bien des emissions interactives mais pas si elles sont sources de division. J’espere que les promoteurs des radios vont remedier a cela car c’est le souhait de nous citoyens Burkinabe.
95. Le 2 juin 2015 à 07:29, par La cible En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Madame Nathalie Some je vous dis merci et chapeau. Meme si on ne parlait pas de ca c’etait un vrai probleme au faso.J’ai ecoute plusieurs fois ces emissions, mais avec indignation. Aucun respect des regles de la deontologie et du respect d’autrui. Apres l’annonce de suspension de ces emissions je pensais qu’ils allaient se ressaisir mais helas ils ont remis en cause la decision du CSC. J’ose croire qu’ils ont compris aujord’hui et travailleront desormais dans le respect des regles. On aime trop notre Burkina pour le laisser disloquer a cause des propos haineux.
96. Le 2 juin 2015 à 17:15, par Gilto En réponse à : Nathalie Somé, présidente du CSC : « Tout me laisse croire que le CSC qui se veut une institution forte, présente le visage d’une force tranquille »
Du courage Nathalie ! c’était une très bonne décision.Ces gens qui s’excitaient portent les griffes des partis politiques qui se voient soutenir par ses individus quand ils interviennent sur les ondes.Nous sommes à une phase sensible de notre vie politique et recadrer ces interventions nous aidera à résoudre certaines difficultés.De grâce il ne faut pas démissionner.La sagesse que tu incarnes avec l’appui d’une "sagesse ancienne" te fera réussir.