LeFaso.net, l'actualité Burkinabé sur le net
Proverbe du Jour : “Soyez un repère de qualité. Certaines personnes ne sont pas habituées à un environnement où on s’attend à l’excellence.” Steve jobs

La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

Publié le lundi 23 février 2015 à 23h31min

PARTAGER :                          
La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

La coordination des élèves et étudiants burkinabè (CEEB) a animé une conférence de presse ce lundi 23 février 2015 à Ouagadougou sur les évènements qui se sont déroulés à Niangoloko et qui se sont soldés par l’arrestation et la détention de 5 élèves du lycée Santa. Patrice Zoehinga, président de ladite coordination et de l’UGEB (Union générale des étudiants du Burkina) entend avec ses camarades faire bouger les lignes pour la satisfaction de leurs différents points de revendications.

La crise qui a secoué le milieu scolaire de la commune urbaine de Niangoloko dans la Comoé est loin d’être résolue. Débuté au lycée municipal de Niangoloko qui reçut le soutien des élèves du lycée Santa, le mouvement de protestation contre le manque d’enseignant notamment en français en éducation physique et sportive au lycée municipal, se termine par l’exclusion temporaire de deux élèves puis celle définitive de trois élèves du lycée Santa. Deux mois plus tard soit exactement, le 2 février 2015, une grève est organisée par l’association des scolaires de la Comoé (ASC) malgré son interdiction. Les forces de l’ordre sont déployées sur les lieux. Tout dégénère. Le véhicule du proviseur du lycée Santa sera saccagé à son domicile et cinq élèves du lycée Santa sont arrêtés et emprisonnés à la MACB (Maison d’arrêt et de correction de Banfora) en attendant leur procès qui est prévu mardi 24 février. Face cette situation, la Coordination des élèves et étudiants burkinabè interpelle les autorités sur l’urgence de trouver une solution rapide. C’était lors d’une conférence de presse tenue ce lundi 23 février 2015 à sa base.
Lire la suite

PARTAGER :                              

Vos commentaires

  • Le 23 février 2015 à 18:41, par fasobiga En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    il faut libérer les élèves ; ils n’ont rien fait. pour arrêter les élèves il faut d’abord arrêter ceux qui ont brûler l’assemblée nationale.

  • Le 23 février 2015 à 19:43, par Samory En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    De grâce laisser nous avec vos histoire. vous a Ouaga qu est ce que vous croyez ? Venez ici a Niangoloko on vous attend avec impatience. Nos enfant ne seront pas vos moutons de panurge.
    Toi qui parle tu as le Bac laisse les autre avoir aussi et vous lutterez la bas
    Laisser mon enfant de 6eme évolue aussi

  • Le 23 février 2015 à 20:04, par le patriote En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    vous etes les leaders et les dirigeants de demain.Aujourd’hui ya pluie autorité de l’etat à ce rythme , lorsque vous prendrez les rennes se sera l’anarchie et on verra qui vous allez gouverner.

  • Le 23 février 2015 à 20:27, par fils de ngk En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Je suis de niangoloko et je vous conseille de reprendre les cours et continuer la négociation.
    De toute façon qui perd, c’est vous.
    Les autres élèves étudient partout au Burkina.
    On verra à la fin de l’année pour les examens. Vous êtes bêtes à niangoloko. C’est pas vous ho c’est vos patents quittaient vos études la.

  • Le 23 février 2015 à 20:29, par Sidbewende En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Encore des revendications avec des positions radicales. Il est vrai que le regime Blaise Compaore est tombe mais la resolution de tous les problemes ne pourra se faire dans l’imediat. Nous sommes tous responsables du devenir de ce pays. Les eleves , etudiants et tous les revendicateurs doivent faire preuve de patience, de tolerance et de realisme dans les actions a entreprendres. Si nous n’aimons pas notre pays faisons le exploser et nous aurons la paix.

  • Le 23 février 2015 à 21:45, par Silmiraogo En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Tout ces évènements sont regrettables pour l’éducation au Burkina : ça met tous les acteurs sur leur garde (élèves, éducateurs, parents, société...). Mais chacun doit voir jusqu’où il peut avoir raison ou/et tors. Nous sommes tous des perdants dans cette affaire ! Que la sagesse nous guide pour un Burkina meilleur !

  • Le 23 février 2015 à 22:01, par esprit critique En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    la situation scolaire à Niangoloko est gravissime : grèves à répétition suivies d’actes de vandalisme, exclusion définitive d’élèves,chasse des profs par des élèves, emprisonnement d’élèves, demande d’affectation d’un prof par des habitants instrumentalisés par Niampa,un surveillant affairiste et absentéiste, et par Ouédraogo Lambert, professeur de maths et fondateur du lycée Privé Thalès. ce dernier est train de remuer le couteau dans la plaie en finançant et en montant des militants du SNESS contre un leader de la FSYNTER taxé de soutenir les élèves. c’est ainsi que des tristement célèbres profs comme Gouem Abdel Kader et Dabiré ont même tenté d’agresser Ouédraogo Lassané à domicile. QUE CHAQUE ACTEUR SACHE QU’IL PEUT ÊTRE EN DÉSACCORD AVEC L’AUTRE ET MÊME L’EXPRIMER DE VIVE VOIX MAIS NUL N’A LE DROIT DE CHASSER SON COLLÈGUE "ENNEMI", ENCORE MOINS DE LUI ÔTER LA VIE ;

  • Le 23 février 2015 à 22:18, par integrité En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    La crise s’explique aussi par l’attitude irresponsable de certains collègues du Santa ; le raz le bol des élèves prend aussi racine dans le manque de conscience de certains profs qui viennent en classe ivres, donnent un exercice et dorment profondément devant les apprenants. cette pratique est courantes avec un prof d’anglais de ce lycée santa qui a même échoué à son examen pratique du fait de cette même paresse. Un autre prof de math du Santa, fondateur d’un établissement privé tente par tous les moyens de vider les élèves du public vers le privé : cela s’exprime par une extrême sévérité dans ses notes, son refus que des élèves exclus dans un établissement public s’inscrivent dans un autre public. comme il tient certains de ces collègues par la vacation, c’est sa loi qui règne malheureusement au lycée Santa.

  • Le 23 février 2015 à 23:12, par fayouma En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    J’invite solennellement les parents d’élèves des Cascades et de Niangoloko particulièrement à être fermes avec leurs enfants et à les dissuader à suivre des individus aux intentions voilées et qui en réalité n’ont rien à voir avec les intérêts de nos enfants ! Les Cascades se refusent à être le terrain de jeu ou vous voulez vous livrer à la mascarade !! ça suffit ! nous vous attendons de pied ferme ! si vous ne voulez pas étudier, laisser nos enfants nos frères et sœurs étudier !

  • Le 23 février 2015 à 23:16, par Fayama En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Je pense que la CEEB n’a pas toutes les informations justes de l’affaire Niangoloko. Elle fera mieux de bien se renseigné auprès de tous les acteurs impliquées dans cette affaire avant de s’engager pleinement.
    En fait un conseil de discipline a été demandé par l’ensemble de la communauté éducative à savoir
    Le corps professoral, l’administration ; le syndicat..
    Les sanctions ont étés prises par un vote à 100% DES PARTICIPANTS (les délégués de personnelle, le comité des élèves, les parents d’élèves, L’administration et les syndicats F-SYNTER ET SNESS)
    L’indiscipline de ces élèves avait atteints un niveau de non-retour avec plus de 40 grèves en une seule année scolaire…………

  • Le 24 février 2015 à 07:11, par jonassan En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Est-ce de l’indiscipline pour des élèves que de REVENDIQUER des professeurs ? A l’heure des réseaux sociaux où les enfants ont les yeux ouverts avant la naissance les parents doivent avoir un comportement rationnel, un comportement juste.
    Quand par exemple à l’Université Polytechnique de Bobo, des étudiants inscrits en 1ère année depuis septembre 2014 n’ont pas repris les cours jusqu’à ce jour sans qu’aucune communication ne soit disponible pour les parents, on peut se demander dans quel Etat on vit. Même dans les pays où sévit les guerres, même les pays où Ebola fait des ravages, de pareilles comportements ne peuvent se concevoir. Ainsi quand ces étudiants qui n’ont jamais grévé vont se lever on va les mettre dehors ? Vous aussi, soyez RESPONSABLES si vous tenez tant à la DISCIPLINE.

  • Le 24 février 2015 à 07:18, par sasso En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Si etre eleves met l homme au dessus des loi alors l’école est sanctuaire de dictature. l école est par excellence le lieu on acquiert des valeur citoyennes. Mais si ne prenons garde de nos écoles sortirons des délinquant et des asociaux.
    Ce cas nous interpelle et doit nous amener a des réflexion sur le type de citoyen que nous voulons demain sans passion syndicaliste ou politique.
    Il faut que vous raisonne en intellectuelle. Votre analyse de la situation est aux antipodes de celle des principaux concerne qui demande pardon et que vie continue.
    Mais chers etudiants soutenez vos camarades dans l humilité et le pardon.
    Puisse Dieu aider Niangoloko a se débarrasser des démon en l occurrence le prof intoxicateur.
    puisse Dieu aider l école burkinabe a s éloigné de la violence.

  • Le 24 février 2015 à 07:22, par sansanyoublo En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Si nous faisons attention, notre société est entrain de déraper surtout dans le milieu scolaire et universitaire. Pour un rien, ce sont les manifestions et souvent violente avec des incendies ravageurs. Rien qu’hier le 23/02/2015 , la route était barricadée au niveau du siège de l’ADF/RDA a Pissy par des scolaires. Et si chacun devait manifester sa colère en prenant en otage les autres usagers de la route, je pense que les élèves et autres seraient les plus perdants. Nous comprenons ces élèves et étudiants mais qu’ils mettent un peu d’eau dans leur vin , que les dirigeants du pays cessent de piller les caisses de l’état au détriment du peuple et chacun y gagnerait.

  • Le 24 février 2015 à 07:45 En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Une négociation en termes de menaces !

  • Le 24 février 2015 à 08:22, par HERVOS ONE En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Le problème ne se situe pas à savoir si les élèves ont posée des acte d’indisciplines ou pas, mais de se demander si ces conduites ne sont pas légitimées pas une irresponsabilité de certains acteurs de l’éduction, soit pour des questions d’intérets ou simplement par oublie que entre élèves, enseignants et administration ce n’est pas une relation de maitre à exclave.pour ceux qui pensent que les enfants ont intérèt à reprendre les cours par ce que eux ils sont de NIANGOLOKO vous etes leurs premiers ennemis, car comment voulez vous qu’ils aillent en classe alors que c’est justement pour cette question de manque de de profs qu’ils se sont insurgé. ce ne sont pas les grèves qui expliquent le faible taux de réusite au examens mais plutot ces problèmes d’inssufisances de prof, de prof mal formés et de prof commerçants.

  • Le 24 février 2015 à 08:26, par salfo En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Vous les élèves vous pensez avoir le droit sur tout.Mettez de l’eau dans votre vin.On ne peut pas cautionner le vandalisme dans nos écoles.C’est parsque ya enseignant vs ête là non ?Il fo que les dirigeants de l’école soient fermes, c’est une leçon qu’on doit donner aux enfants.On ne libère pas les vandales, ou on les libère mais qu’on les refuse l’accès dans les classes.

  • Le 24 février 2015 à 08:41, par bagniti En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    les parents d’eleves de niangoloko reveillez vous car on a l’impression que vos enfants vous commandent c’est vous qui les laissez faire,

  • Le 24 février 2015 à 08:52, par NELSON En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    des élèves qui jusqu’au 2eme trimestre n’ont pas d’enseignants de français et d’EPS, qui manifestent pour le faire savoir. Au lieu de résoudre le problème en leur trouvant des enseignants, l’on a préféré les réprimés, les exclure et les emprisonnés. Et quand des gens qui se font passés pour des parents d’élèves demandent à ces derniers de retourner dans une classe sans enseignants, je me demande quelle qualité d’enseignement ils veulent pour leurs enfants. l’attitude d’un parent responsable serait à mon sens d’œuvrer à ce que son enfant puisse bénéficier d’un enseignement de qualité. joignez vos voix à celles des enfants pour que les autorités leurs envoient des enseignants et vous verrez qu’ils retournerons sagement en classe. c’est pas plus compliqué que ça. de grâce libérez ces braves enfants qui n’ont fait que réclamer un droit fondamental, le droit à une éducation de qualité.

  • Le 24 février 2015 à 09:24, par maxwell2 En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    où allons nous ? les élèves sont devenus impolis, indisciplinés, paresseux. très fréquemment, c’est l’administration et ou les enseignants qui prètent le flanc. leurs mésententes sont portées à la connaissance des élèves. il y a des professeurs gélés qui insultent leurs propres collègues devant les élèves. sinon aucun élève ne peut demander le départ d’un prof. lorsque le corps professoral est soudé, rien ne peut arriver à un prof dans une localité. mais, hélas la ruée vers la vacation a pris le dessus sur les valeurs morales. domage et encore domage.

  • Le 24 février 2015 à 09:29, par Mateur En réponse à : Matter La rébellion

    Depuis 30 et 31 Octobre dans ce pays là je sent que c’est le bordel empiré et généralisé. Pour un rien pour un tout, on casse tout, on brûle, on insulte qui ont veux, on faite y’a plus de règles. Chacun n’en fait qu’à sa tête. Comment de simple élève peuvent au nom de leur supposé droit peuvent se permettre de brûler et saccager le domicile de leur proviseur. Quand même quoi. On va ou dans ce pays. Je pense tout simplement qu’il faut mater ces petits là. Quoi que ce qui comprenne le français me diront que la violence est l’expression des faibles.... mais il faut le faire. Quand on finis avec la bouche et que sa ne va pas, il faut passer avec la mains, et c’est sûre qu’ils comprendront. Continué seulement à vous plaindre, et à ne trouver moyen pour que vos profs reviennent. continué. Admin +1 laisse passer

  • Le 24 février 2015 à 09:39, par Alias En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Pour une société de demain responsable, il faut avoir le courage aujourd’hui. Il faut tout simplement exclure définitivement les élèves concernés en premier chef et railler les professeurs impliqués. Ce sont de mauvaises graines. Puisse le Seigneur nous permettre d’avoir un Burkina plus prospère.

  • Le 24 février 2015 à 09:56, par Bon vent En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    "Qui ouvre une école ferme une prison." Mais qui est à l’école et cause des incendies malfaisants à des domiciles, même en cas de manifestations, doit vaquer à ces affaires comme si de rien n’était ? Soyons sérieux. Quand on aspire à faire de la politique le leitmotiv favorit est que "justice doit être dite". Tous ces élèves syndiqués sont des politiciens. Les géniteurs de l’ANEF diront que c’est normal. C’est comme çà depuis ... On les a vus ici aux combles, instrumentaliser les militaires, parce que voulant s’accrocher à leurs bottes pour accéder aux avantages de la bureaucratie politique. Malheureusement c’est les mêmes qui vont encore soutenir les généraux inconnus dans leur village. Aussi riches que Kankan Moussa, ces salariés de l’état craignent de rendre compte ou de devenir pauvres comme Lazare. Normal ! Kérékou avait dit "c’est ceux qui sont venus me parler de Marx . Dans les casernes on enseigne pas çà". Il faut que ces politiciens intellectuels se ressaisissement, si c’tétait possible, pour que tout redevienne comme avant. D’antan, les politiciens étaient peut-être moins instruits mais nul n’allait utiliser les méthodes qui ont conduit aux 32 ans passés du Faso.Et çà revient.

  • Le 24 février 2015 à 10:41, par tangba En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Mais pourquoi les enfants des cascades, de la Comoé et de orodara sont aussi bêtes que leurs parents ?
    Au lieu d’étudier, vous écouter des camarades qui sont déjà à l’université ! Quand est-ce que vous allez y parvenir si passez tout le temps à gréver ?
    Au nom de la parenté, je vous exhorte à reprendre au plus vites les cours sans aucune condition. Autrement dit, je ne veux pas recevoir un de vos enfants à Gaoua à la rentrée prochaine.

  • Le 24 février 2015 à 10:51, par COMPAORE Isaac En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Le BF post insurrection est en train de tomber dans les travavers de BF pre insurection. Il faut combattre les maux a la racines plutos que les conséquences. Les eleves reclames des profs c’est leurs droit et tout doit etre mis en œuvre pour la satisfaire, au besoin mettre un accent particulioer sur la communication pour expliquer les goulots d’étranglement. de plus plutôt que de s’acharner sur des pauvre elève il faut que la justice de grace commence son travail en enfermant tous ces voleurs et assassins du regime déchus dont un viens de se faire prendre en flagrant delit de d’empoisonnement de masse c’est ce qu’on demande a la transition.

  • Le 24 février 2015 à 12:20, par BEN En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Que la Transition , à défaut de trouver une solution définitive à cette anarchie dans les établissements publics et privés , adopte des pistes de solutions pour le futur gouvernement. On peut recenser les maux suivants entre autres :
    - enseignants mal formés et inconscients
    - absentéisme ( des enseignants du primaire qui quittent l’école où ils sont affectés le jeudi à 12h et ne reviennent que le lundi matin)
    - dualité entres syndicats des enseignants
    - des enseignants qui préparent leur BAC ou Maîtrise en désertant leurs postes de travail pour des séjours à Ouagadougou
    - des élèves qui narguent leurs professeurs devant les senseurs , les proviseurs et les autres élèves.....

  • Le 24 février 2015 à 12:26, par Elele En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Les actes qui ont causer le départ de BLAISE COMPAORE ne doivent pas continuer. Si pour n’importe quelle revendication il faut brûler les biens des gens pour soit disant se faire entendre alors je crois le pays est toujours dans un grave problème. Comment peut-on comprendre sa ?? Il faut qu’on arrête tout sa et que les uns et les autres comprennent que la sanction sera à la hauteur de la faute. Les parents qui encouragent inconsciemment et aveuglement leurs enfants peuvent-être conscient qu’ils les conduisent tout droit à l’abbatoire. Parents, de grâce n’encourager pas vos enfants dans de tels actes. Revendiquer d’accord mais en suivant des règles. Toute les façons c’est lors des examens de fin d’année que nous saurons si vos enfants on eu raison de se comporter ainsi. Nous sommes tous pour un changement mais cela ne saurait arriver immédiatement, il faut laisser le temps aux autorités et suivre un certains nombre de règles. Le cas que nous avons vécu en octobre avec les institutions brûlées et autres peut-être cerner parce qu’il s’agissait de cas extrêmes, mais à vouloir toujours faire comme en octobre voudrait dire que nous sommes entrain de reculer. Revendiquer, aller rencontrer les autorités, discutez avec eux, leur remettre un document de vos revendications , personnes n’est contre mais il faut des attitudes conscients. L’avenir du BURKINA est cette GÉNÉRATION, alors alors apprenons leur les bons comportement et encadrons les, car c’est le seul service important que nous puissions leur rendre. DIEU BÉNISSE LE BURKINA FASO !!!!!!

  • Le 24 février 2015 à 12:44, par Au coeur des Cascades En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Bonjour chers internautes. Je pense que la frontière entre la revendication qui est un droit, voire un devoir et le vandalisme qui est une infraction est très facilement franchie pour peu que l’on n’y prend pas garde. A Niangologo on a l’impression que revendication rime avec vandalisme, ce qui est déplorable et n’honore nullement cette belle ville frontalière. Rappelez-vous que c’est dans cette même ville que l’an dernier si je ne m’abuse, des biens d’un membre de l’APE ont été saccagés par des élèves et le trafic sur la route nationale (qui est une route internationale) bloqué...Bref, ce qu’il y’a lieu de savoir c’est que la semaine dernière (le lundi 16 février) une rencontre entre le DRMESS des Cascades, les représentants APE, les coutumiers et religieux, les représentants des associations syndicales et scolaires, les enseignants s’est tenue dans ladite localité et ces différents acteurs ont échangé à bâtons rompus. Les élèves, à travers une lettre lue par leur représentant, ont demandé pardon aux enseignants et à l’administration, les parents ont pour leur part (dans un mémorandum)promis oeuvrer à la sécurité et à la protection des enseignants et une sensibilisation sur le civisme et le respect de l’aîné a été faite dans les classes par les autorités, notables et autres. C’est dire en somme que la soif de sauver ce qui peut encore l’être est bien réelle à Niangologo, d’où il ne faut pas chercher à remuer le couteau dans la plaie.
    Merci

  • Le 24 février 2015 à 13:53, par LA SAGESSE En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Je pense que la CEEB n’a pas eu toutes les informations a propos de la situation de Niangoloko. C’est légitime de défendre les élèves car c’est pour de telle cause que cette association existe mais il est souvent bien aussi avant d’entamer quoi que ce soit que les responsables la coordination aille a la source pour avoir d’autres informations et confronter avec les informations qu’ils ont a reçu.

  • Le 24 février 2015 à 13:57, par hegel En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Esprit Critique je parie que tu es Lassané Ouedraogo. Tu as été vomi par tes propres camarades de la F SYNTER. Arrête d ’accuser le SNESS. Ton frère et inséparable ami le MARECHAL même ne veut plus te sentir. Tu as fais une manipulation de trop et tu as été pris à ton propre jeu à savoir manipuler les élèves pour qu ’ils le plus d leur temps à grêver et ainsi cacher ton incapacité à assurer 2 heures de cours. Mais les élèves ne sont pas bêtes ils savent sauver l ’essentiel. En 2010 c ’était le proviseur Palé que tu accusais en 2011 - 2014 ce fut le tour de Rouamba et du DR Samalmè aujourd’hui c ’est Samaté et le SNESS. De grâce arrête et permets aux enfants de Niangoloko de se batir un avenir. Vas prendre service au ministère tes mensonges ont atteint leur limite. La population de Niangoloko aura ta peau si tu persistes.

  • Le 24 février 2015 à 14:00, par Bob En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Apres lecture des differentes publications, je peux classer deux categories de personnes : ceux qui condamnent l’acte des eleves et demandent des sanctions severes pour que plus jamais un professeurs ne soit poursuivi comme un rat, mais il y a ceux qui condamnent et demandent a ce qu’une analyse soit faite pour mieux resoudre les problemes dans cette partie du Burkina. Pour moi tous fondent leurs arguments selon leurs convictions et considerations. Je propose la solution suivante du moment ou ce qui est fait est fait :
    1) il faut resoudre les questions de manque de professeurs dans cette ville, n’est-il pas normal que des eleves reclament des professeurs ?
    2) il faut redonner aux professeurs leur dignite d’avant, mais il revient aussi aux professeurs de forcer par le comportement l’admiration de tous. Par exemple agresser un collegue dans son domicile pour un quelconque differend laisser voir que les eleves se sont comportent comme certains professeurs,
    3) il faut mettre de la discipline dans la gestion administrative et financiere dans les etablissements, cela est necessaire car augmenter frauduleusement la vacation ou les frais des examens a des fins personnels n’est pas de nature a faciliter les choses. Je pense que l’acharnement des chefs d’etablissement sur les eleves releve de certains points de revendications des eleves,
    4) Il faut que la DR reste impartiale dans le jugement des problemes car prendre partie n’est pas juste et pose a la suite une credibilite de l’administration dans la resolution des crises,
    5) Que les eleves prennent leur professeurs comme leur boussole, leur donne le respect au meme titre que leur parent,
    6) Que les structures ou associations d’eleves soient encadrees, je partage par la suppression des libertes, notre loi fondamentale n’a pas donne age minimum pour constituer une association,
    7) Depassionne nos pensees quand un probleme survient.
    Que toute la societe sache que chacun a une part de responsabilite dans ces situations de crise

  • Le 24 février 2015 à 14:15, par lui meme En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Samory ce n’est pas de la faute à qui que ce soit si vous avez raté l’éducation de vos rejetons ! l’éducation la vraie commence à la maison et non à l’école !

  • Le 24 février 2015 à 14:31, par salamata En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Correction il n y’a jamais eu de manque de professeur de français au lycée Municipal de Niangoloko. C est un professeur d anglais du nom de Palenfo qui a été chassé par les enfants de la 5 eme et une semaine après la grève à débute

  • Le 24 février 2015 à 14:48, par LASS LE MANIPULATEUR En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    LASS a encore frapper fort.Il a pu manipuler la CEEB, et l’UGEB. Il lui reste maintenant a mobiliser le bureau nationale de la CGTB et de toutes les autres structures et coordinations syndicales autour de la crise scolaire a Niangoloko. Ce professeur est un fin manipulateur et il utilise toutes les armes qu’il trouve pour manipuler : mensonges ....... il ne fait parler de politique en classe et c’est en partie grâce a lui que l’indiscipline a atteint a Niangoloko un niveau jamais égalé. Certains comme lui pensent que le renvoi des élèves n’est pas normale et indexe certains professeur et l’administration. professeur de Niangoloko j’ai pitié de vous, vous souffrez beaucoup a cause d’ individus comme LASS et ceux qui le suivent aveuglement. . La baisse du niveau des élèves, les mauvais résultats au examens ,le non respect des enseignant par les élèves , les élèves qui pouchasse les enseignants pour frapper ..tous ça a cause d’un seul individu., M. Ouedraogo Lassané alias LASS. pour réparer le tors causé a l’éducation par ce dernier, il nous compter dans 5 ou 6ans. wend yod ned fan toumde.
    ,

  • Le 24 février 2015 à 15:00, par nima0601 En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Je suis decues de lire certains commentaires. Des eleves qui revendiquent leur droit a l’education ou ils ont opprimes pour cela ? Certes ils devraient savoir negocier en n’utilisant pas forcement la force qu’ils ont utilise mais il faudrait les applaudir parce qu’ils sont conscient de leur avenir....C’est par la lutte que le changement vient dans cette vie. Ils luttent pour une meilleure qualite de leur education et les autorites n’ont pas le droit de mettre fin a leur droit a une education. Ils sont d’abord des enfants et ils reflechissent et se comporte ainsi. Nous devrons les encardrer pas les sactionner en les mettant dans la rue. Une mere avertie

  • Le 24 février 2015 à 15:23, par appreciateur En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Les élèves pensent qu’ils peuvent tout se permettre ,il est temps de restaurer la discipline dans les collèges ,lycées et campus. De toutes les façons dans cette affaire ils sortiront perdant , c’est mieux qu’ils restent élèves,

  • Le 24 février 2015 à 15:52, par le sage En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    A l’heure actuelle chacun se sent fort aux pays des hommes fort ou on a tellement fait l’apologie de l’homme fort ; même certain employées du secteur privé pense qu’ils peuvent chasser leur Directeur Général ; les employée de la BRAKINA eux sont revenus a la raison ; ceux de la SAP Olympique prendront bientôt conscience ; cela va faire deux (02) mois qu’ils seront sans salaire et a cette période de très dure difficile d’ avoir un prêt ; rien que pour vous dire qu’il faut savoir mettre de l’eau dans son vin ; le souci c’est que l’on pense que l’insurrection se poursuit ; il est temps de se réveiller et d’avoir les pieds sur terre SANS LA JUSTICE ET LE DROIT nous pouvons dire BIENVENUE L’ANARCHIE

  • Le 24 février 2015 à 16:11, par Dollar bill En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Dommage que nos enfants sont souvent manipulés par des bras invisibles. Nous sommes tous d’une manière ou d’une responsables.Dieu protège nos temples du savoir qui sont devenus des cavernes d’Ali Baba

  • Le 24 février 2015 à 16:16, par Zida En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Élèves et Étudiants contre Enseignants et Administration Scolaire et Universitaire Wait and sea

  • Le 24 février 2015 à 16:16, par Tegawendé En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Pauvre GOUEM et DABIRE. Pourquoi Agresser Monsieur OUEDRAOGO à domicile ? Trouver une solution à vos problèmes au lieu de s’en prendre aux autres. Quelle honte ! Réfléchissez avant d’agir et n’agissez pas avant de réfléchir. Que Dieu ait pitié de vous.

  • Le 24 février 2015 à 16:20, par savadogo boukary En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    de grâce si les parents de ces enfants indisciplinés n’ont pas souffert pour avoir la scolarité de leurs enfants, moi je sais comment j’ai peiné pour que mon enfant aille à l’école cette année. pardons regarder le BON DIEU et laisser nos enfants aller à l’école.que ceux qui ne savent pas comment et pourquoi ils vont à l’école, qu’ils aillent se faire voir ailleurs. c’est leur droit de ne pas aller à l’école mais ce n’est pas de leur droit d’empêcher les autres d’ aller à l’école.. .cela n’est pas juste. que l’on extirpe toutes les brebis galeuses pour que les autres puissent vivre sainement.je ne comprends pas pour quoi le fétiche SANTA ne réagit pas pour punir de tels enfants qui chaque année salissent la réputation du LYCEE SANTA qui porte son beau nom

  • Le 24 février 2015 à 16:52, par Le Yadega En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Ces élèves doivent etre sanctionnés à la hauteur de leurs actes afin de dissuader d’éventuels fauteurs de troubles. Il faut vraiment assainir le milieu éducatif pour de bon.

  • Le 24 février 2015 à 16:56, par bagniti En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    vous les eleves de niangoloko n ’oubliez pas que les autres eleves du burkina malgré les problemes qu’ils rencontrent dans leurs ecoles continuent les cours tranquilement , les examens sont proches on verra qui va pleurer, pensez à votre avenir ce sera mieux pour vous car ceux qui vous flattent on deja leur diplome en main

  • Le 24 février 2015 à 17:17, par BAKIEBO Jacques En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    CEEB ? connait pas ce mouvement mais peut importe. Soyez honnêtes avec le peuple burkinabè et vous même. En âme et conscience soutenez vous ces élèves parce qu’ils sont élèves ? ou alors l’ensemble des profs du lycée et de l’administration on tord ?
    Le conseil de discipline a t’il fait le travail dans les normes ?
    En attendant, reprenez les cours, arrêtez de manquez de respect aux corps enseignant et à l’administration. enfin ne vous laissez point manipuler.

  • Le 24 février 2015 à 18:09, par le sage En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    merci pour n’avoir pas publier mon message, je n’ai rien dit que la vérité

  • Le 24 février 2015 à 19:48, par boukare neya En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Affairisme des enseignants, intrigues entre enseignants, manque d’enseignants : voici le détonateur de la situation. Laissez les élèves tranquilles

  • Le 24 février 2015 à 20:37, par Jeunedame seret En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    La balle est tjrs en l’air..en haut. Et les joueurs se blessent à coups de sabots. Malheureusement y a plus d’arbitre ; ou du moins il tourne sans sifflet. Et les supporteurs se délirent sans camp ni drapeau. A qui le stade ? EXCELLENT CYNISME rivalisant ébola !

  • Le 25 février 2015 à 00:27, par Shalom En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    la procédure doit suivre son cour et si les élèves sont reconnus coupables il faut qu’ils répondent de leurs actes.

  • Le 25 février 2015 à 02:54, par patriote sincère En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Félicitations à ces élèves pour leur grandeur d’esprit, leur courage et leur abnégation. Restez déterminés car seule la lutte libère l’homme. Ceux qui tentent de vous dissuader en se faisant passer pour des parents d’élèves ne le sont pas en réalité. Le premier souci de tout parent c’est la qualité de la formation de son enfant et non pas une formation au rabais. Quel péché ces élèves ont commis pour qu’on sabote leur avenir ? (manque d’enseignants, manque de salles....) Amicalement ! webmaster stp, publie mon mail que j’envoie depuis hier matin.

  • Le 25 février 2015 à 07:58, par lil En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Les enfants ont agresse leur professeurs, des professeurs ont agresse d’autres professeurs. Qui est mieux que qui entre les eleves et les professeurs qui sont sense donner le bon exemple. Je demande au ministre des ESS d’affecter tout le presonnel et amener du sang neuf, ils sont tous les memes des manipulateurs, je suis confu. Accuser un seul professeur d’etre responsable de tout ca, c’est pas honnete. J’ai une question pour ceux qui s’accusent, qui est a la barre avec les enfants au proces ? La justice ne sait-elle pas faire son travail ? Si a la fin du jugement l’interesse n’est pas condamne tout le monde doit presenter des excuses meme le SG du monistere.

  • Le 25 février 2015 à 08:20, par Le serviteur du misericordieux En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Ce qui s’est passé à Niangoloko est la suite logique de 2011 et d’octobre 2014. En 2011, les autorités ont ordonné aux forces de sécurité de laisser les elèves bruler à leur souhait. L’insurrection populaire est venue faire croire aux inconscients que pour un OUI ou un NON, on peut faire ce que l’on veut.

    Je suggère que les autorités ouvre une enquête administrative pour bien comprendre ce qui s’est passé. Les fautifs, qu’ils soient élèves ou professeurs doivent être punis à la hauteur de chaque forfait. On ne peut pas admettre, du fait qu’entre prof le climat est délétère, d’instrumentaliser les élèves à a casse et à la chasse des professeurs. Tout comme il est inconcevable que, pour revendiquer des professeurs, on détruise des biens privés ou publics. Si à Niangoloko, on laisse passer cette situation sans prendre des mesures idoines, tous les établissements du pays risquent d’emboiter le pas. Je ne suis contre personne, mais que les uns et les autres soient objectifs. si on se met à la place des parents de ces élèves en prison, la sanction est très douloureuse et insupportable. si on se place en victime ça l’est autan. Ce n’est pas parce que les autres ( fonctionnaires, politiciens, et autres cadres de l’Etat...) se comportent en irresponsables que nous devront les imiter jusqu’à demander à ce que les auteurs des vandalismes ne soient pas punis.

    La coordination des élèves doit savoir qu’elle lutte pour l’intérêt général de tous ses membres mais doit aussi se mettre à l’aidée que toute brebis galeuse doit être sanctionnée. Une sagesse dit "« l’homme doit pouvoir se pivoter, souvent à contre sens pour prendre la direction qui s’impose »". ce n’est pas parce que vous ne les aimez pas mais ils doivent répondre de leurs actes. Mettez-vous à la place des victimes. Un fonctionnaire après d’énorme sacrifice arrive à se procurer une vieille voiture et pour une raison quelconque, des enfants la brulent. Peut être que son prêt bancaire n’est même pas fini. Vous réalisez l’ampleur de l’acte. Personne d’entre vous ne souhaite que l’on traite son père comme vos camarade ont traité ses professeurs. NE PROTEGEZ PAS CEUX QUI S’ILLUSTRENT PAR LA NEGETIVITE.

  • Le 25 février 2015 à 08:38, par Le serviteur du misericordieux En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Internautes N°48 ou PATRIOTE SINCERE , n’encouragez pas vos jeunes frères dans l’égarement. Personne n’est contre leur lutte pour une bonne éducation. Permettre à tout un chacun de faire ce qu’il veut parce que telle ou telle chose me manque c’est à dire que parce que le nombre de prof est insuffisant, ils ont le droit de commettre des actes de vandalisme signifie que les coupeurs de route ont aussi le droit d’être criminels parce qu’ils n’auraient pas reçu l’éducation qu’il leur fallait.
    Vous devrez plutôt leur apprendre leurs devoir. Ce qui leur permettrait de bien jouir de leurs droits. On a coutume de dire « VOS DROITS S’ARRETENT LA OU COMMENCENT CEUX DES AUTRES ».

  • Le 25 février 2015 à 15:35, par RAWA En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    Moi j’ai comme le sentiment que les élèves de cette ville sont des vieux. Aujourd’hui, un élève normal de la classe de terminal a en moyenne 18 ans ou même 17 ans. Ce sont donc des gamins. Si on vient me dire que des élèves de 5ieme ont chassé leur prof d’anglais, je ne comprends plus rien. Comme des gamins de 11 ou 12 ans peuvent - ils avoir une telle audace ? Il y’a surement parmi eux des vieux qui n’y ont plus leur place. Il faut renvoyer tous ces vieux élèves. Ce sont eux qui foutent la merde

  • Le 25 février 2015 à 18:48, par Esperado En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    entr les professeurs qui se disen agresser,sil etait realist ils alait doné leur nom a la press !. les cascades snt en dernier position a koz d ces gen d personn. prof qi fait vakation pour konstruir lycée. economie pur et radikal

  • Le 25 février 2015 à 19:00, par Esperado En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    ces vs mém vou les égaré des prof bizar qui dmand des kart delecteur, des militant mpp en class ?. le prof d français baykoro du municipal n dira pa l contrair,ces sa mètr les elèv sur la rout ?.le proviseur sapèl bayikoro ,le délégué du personel des prof,un bayikoro,l presiden d lAPE,un bayikoro.humm !tous d la mèm famill.whaou !

  • Le 5 mars 2015 à 05:17, par H-laguerre En réponse à : La coordination des élèves à propos de la crise à Niangoloko : « la balle est dans le camp de l’autorité »

    La politique de Blaise Compaoré et ses idées bourgeoises sont restées dans la tête de certains burkinabè qui croient que la génération actuelle va jamais accepter être flatter.Il faut dire que des gens parmi nous toujours qui ont peur de dire la vérité aux gens. Tout est raté depuis le départ,dans un lycée départemental où un seul enseignant fait plus trois matières sinon plus,cet enseignant n’a pas de spécialité ou dans certains cas de figure tous les élèves du lycée sont dispensés car il y a carrence de prof d’Education Physique et Sportives (EPS) etc bref dites il faut dire aussi que les APE,les délégués des élèves,l’administration des lycées,les responsables de personnel,etc ne defendent que leurs intérêts égoistes. En premier lieu les APEs se contentent de détourner les fonds et se taisent sur les problèmes des élèves,les délégués des élèves se contantent de faire des bals,des kermesses avec la complicité des administrateurs,ils voteront "oui" pour qu’on condamnent injustement leurs camarades qui ne veulent pas fermer leurs yeux sur le problème. Nous devons tous prendre nos responsablités dans l’éducation des enfants si le parent qui envoi son enfant fait toute l’année sans connaitre où se le lycée ou qu’est ce qui ne va pas dans le lycée ou que si l’enfant rentre à 9h à la maison on pose aucune question sur son retour de l’école. Enfin condamné injustement les innocents élèves et laisser les vrais indisplinés (Président d’APE,proviseur,prof qui bafouent,detournent,pillent notre patrimoine éducatif au profit de leurs intérêt personnel)mais c’est injuste de vouloir vivre dans la liberté,l’égalité,la dignité sans pourtant autant accepter un raisonnement clair et juste pour le bien de tous.Donc juge,jurés,APE,proviseur,profs est ce que vos enfants sont dans ce lycée départemental ?je pourrai repondre par le negatif c’est pour célà vous faites ça !!!!!!!!!!!!!!!!!

 LeFaso TV
 Articles de la même rubrique