Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
La crise déclenchée depuis le 4 décembre 2014 à la Société des mines de Bélahouro (SMB) se poursuit. Malgré la fermeture temporaire de la mine, les employés restent mobilisés. Ils ont organisé une Assemblée générale le 23 décembre devant le siège de la société à Ouagadougou pour informer l’ensemble du personnel des derniers développements de la crise : mises à pied provisoires pour 15 délégués de personnel et délégués syndicaux, notifications de licenciement avec effet immédiat à plusieurs employés… et la conduite à tenir.
Le vendredi 19 décembre dernier, 15 des 18 délégués du personnel et délégués syndicaux ont reçu la notification de leur mise à pied provisoire, en attendant « de statuer sur une sanction disciplinaire au regard de la gravité de la violation (…) ». Depuis le lundi 22 décembre, de nombreux autres employés ont reçu des notifications de licenciement avec effet immédiat. Si certains disent avoir reçu leur notification d’un huissier de justice, dans la rue, d’autres ont été informés par leur banque. Et, des listes auraient été déposées auprès des différentes banques.
« Nous voulons informer les travailleurs qu’il ne faut pas prendre de lettre de licenciement venant d’un huissier et dans la rue. Même si l’administration doit faire des licenciements pour des raisons économiques, il y a une procédure. On ne comprend pas pourquoi c’est dans la rue qu’on doit faire des notifications. Pire, il y a des travailleurs qui ont su qu’ils étaient licenciés auprès de leur banque. C’est la raison de l’AG, mais aussi pour inviter les travailleurs à ne pas reprendre le travail tant que l’administration ne s’assoit pas autour de la table pour trouver une solution idoine à la crise. Voilà le but de l’AG actuelle », explique Saïdou Sinaré, le délégué général du personnel de la SMB.
300 employés bientôt dans la rue ?
Par rapport aux notifications, Amado Ouédraogo, un des délégués du personnel se veut plus précis : « Nous savons qu’à ECOBANK, il y a une liste de 160 personnes ; à Coris Bank , il y a une liste de 104 personnes. Et les autres banques ? Le gros lot est à la BOA, et il y en a qui sont à la SGBB. Il y a des banques qui ont prêté le flanc en appelant les gens pour leur dire qu’ils ont une liste à leur niveau qui notifie leur licenciement. ORABANK par exemple a fait ça et mon employeur ne me notifie pas. C’est une pagaille bien organisée. ORABANK par exemple a appelé les gens pour leur notifier qu’ils sont licenciés », lance-t-il.
Selon les manifestants, il y aurait une liste d’environ 300 employés chez un huissier qui doit notifier aux intéressés leur licenciement avec effet immédiat. « Ce qui est dommage dans cette situation, c’est que l’administration n’a appelé aucun travailleur pour lui notifier. Ça se passe au bord des rues comme si l’intéressé avait été recruté là-bas », déplore un manifestant, visiblement remonté. Les grévistes regrettent surtout le « deux poids deux mesures ». « Nous avons eu des informations sur des travailleurs qui étaient en CDD que l’administration a reçus, rien que le vendredi ici pour leur donner leur certificat de travail et leur fin de contrat. Nous ne savons pas pourquoi, on ne peut pas recevoir les autres pour faire la même chose. Pour les mêmes travailleurs, il y a un traitement à deux vitesses », regrette Saïdou Sinaré.
Un appel au gouvernement à suivre la situation de près
D’ores et déjà, une lettre a été adressée au ministre en charge des mines pour voir la situation de très près. Mieux, ils entendent demander des audiences auprès des premiers responsables du gouvernement dans les prochains jours, pour qu’ils prennent des actions urgentes vis-à-vis de la situation parce que « 300 travailleurs dans la rue, ce serait vraiment dommage ».
Tout en se disant disposés pour des négociations, les manifestants maintiennent le préalable sur la démission du directeur général administratif, Saïdou IDE. Celui-là même qui disait n’avoir pas de rôle dans la direction. Pourtant, c’est lui qui a signé certaines notifications de mise à pied des délégués du personnel et délégués syndicaux. « On pense que tout ce temps qu’il a passé au niveau de la société, il n’est pas arrivé à répondre aux aspirations socio-professionnelles des travailleurs. Et, nous restons convaincus qu’avec lui, l’avenir sera sombre », soutient le délégué du personnel.
C’est donc dire que la crise à la SMB est loin de connaître son dénouement car, les manifestants estiment que « tous les travailleurs sont toujours soudés et sereins ».
Moussa Diallo
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 24 décembre 2014 à 05:11, par Jeanine Debo En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Mes enfants et petits enfants, évitez les grèves sauvages !
quand Zida dit ce que le peuple veut il va le faire , il vous montre la voie de votre perte !
2. Le 24 décembre 2014 à 05:22 En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Du courage, c’est le prix à payer. Vous constatons avec vous que vous avez des IRRESPONSABLES dans votre service. Au lieu de chercher à rencontrer les plaignants vous chercher à briser leurs foyers à l’approche des fêtes. Que les responsables de cette sociétés des Mines sachent que ce n’est pas une société familiale.
3. Le 24 décembre 2014 à 06:04, par excellence En réponse à : Qui a commencé ?
Le problème c’est l’arrêt de l’usine de façon bizarre ! La technique de démarrage et d’arrêt des mines est coordonnée et concertée ! En arrêtant l’usine sans autorisation les travailleurs ont rompu de façon violente les pourparlers !
negocier, négocier car avec l’once d’or au plus bas, les investisseurs cherchent à fuir........
4. Le 24 décembre 2014 à 06:45 En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Quand ob vous recrutait, personne n’a manifeste.maintenant qu’on veut vous licencier,vous faites des tapages.laissez nous respirer.
5. Le 24 décembre 2014 à 06:56, par kadhaf En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
C’est qu’on connait aussi comment beaucoup ont été recrutés dans ces grosses boites. Magouille sur magouille !
Courage surtout à ceux qui avaient mérité leur poste
6. Le 24 décembre 2014 à 07:21 En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Vous aussi, les grévistes-là, faites pardon, vous allez conduire certains travailleurs à leurs pertes. La mine n’est pas travail de governement, ou bien ? Il faut licencier les mauvais esprits et extirper la mauvaise graine de l’ivraie. Ça leur servira de leçon. Karl Max
7. Le 24 décembre 2014 à 07:27 En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Et c’est aux délégués du personnel de juger des attributions de M. IDE ? On est où là. Allez vous-en. Bien fait pour vos tronches....
8. Le 24 décembre 2014 à 08:16 En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
1-le regime compaore est parti , l’or sera sous haut controle.
2 - le prix de l’or sur le marche international est en chute libre.
Conclusion : 2015 risque de voir la fermeture de plusieur mine.
9. Le 24 décembre 2014 à 08:33 En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Vous avez tout simplement manqué de lucidité et la société ne fait qu’en profiter. Comme le dit l’intervenant 3, nous sommes dans une situation ou les investisseurs cherches à se chercher et vous prêtez le flanc en arrêtant le travail brutalement sans aucun préavis ou concertation. La faute c’est à vos délégués qui n’ont pas eu de vision.
10. Le 24 décembre 2014 à 08:35, par Zidane En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Arrêtez les grèves vos enfants. Sont à la maison.
11. Le 24 décembre 2014 à 09:20, par SHA En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Mes frères, faite attention.
vos delegués de personnel vous ont conduit à l’abatoire, rester toujours dans les règles (code du travail). ce n’est pas une école publique ou un marché qu’on decide de fermer parceque on est pas content.
ce sont des investissements énormes et vu la crise dans le monde minier ne jamais preté le flanc aux employeurs.
la meme situation s’est produite à Essakane en 2011, certains delegués mal intentionnés, ignorant le minimum des règles en code travail, ont entrainé des employés dans une grève qui a beaucoup fait des victimes car les employés ont perdu tous les procès.
au burkina, ya beaucoup de chomeurs, tout le monde cherche les mines, alors reflechissons deux fois avant d’aller en grève sutout dans ses periodes de vaches maigres.
Nous sommes en periode de transition, chacun fait attention à ses investissements, alors faut attendre un regime bien élu pour demander des réclamations avec le gouvernement à nos cotés !!!!
12. Le 24 décembre 2014 à 10:19, par Cool En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
C’est paradoxal, pendant que le capital de la société est en hausse, elle veut procéder à un licenciement collectif. Mais cette SMB pense qu’elle est dans une république bananière.
Le directeur général oublit que son acolyte françois compaoré n’est plus au pouvoir, il faut qu’il change ses méthodes. il se dit que ce dernier (françois compaoré) à injecter 30 milliards dans cette mine par l’intermédiaire de ecobank. du coup IDE Saïdou est le garant de cette somme et Londre (siège de la SMB) ne peut plus s’en passer. Aussi, IDE n’étant pas un Burkinabé, il s’en fout des souffrances des travailleurs c’est sont argent il cherche. sinon, quelle mine à fait de tels licenciements. il n’a qu’à retourner au Niger pour gérer des sociétés la bas.
13. Le 24 décembre 2014 à 10:37, par Le vigilant En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Voilà mon point de vue.Que tous les travailleurs de la mine restent soudés et recommandent les licenciés de cette grève pour reprendre le service.
Il faut allez dans ce sens plutôt que de chercher à toujours allez au loin.
Je ne crois pas qu’il va exister un gouvernement qui puisse aider un travailleurs qui à son tour ne respecte pas le code de travail. Votre bêtise c’est d’avoir fait cette grève dans l’illégalité.
La loi, elle bouffe même celui là qui l’a rédigée. Si non on vous comprends qu’il y a trop d’injustice dans plusieurs société au Burkina surtout encouragée par l’ancien régime. Mais resolvont tout cela en suivant la loi.
14. Le 24 décembre 2014 à 10:53, par 007 En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
je suis triste de voir que cette gréve ne ferra que des victimes. Mes frères revoyez votre manière de grever sinon vous serez vous et vos famille respectives les seuls perdant de cette situation.
15. Le 24 décembre 2014 à 11:06 En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Le problem souvent dans ces cas de figure, c’est que les tonneaux vides qui font trop de bruit. Ils se prenne pour des specialists des lois du travail et des regles qui gouvernent les relations de travail. En sommes les ténébres qui qui veulent conduire les lumières. les autres par peur, couardise et ou suivisme, ne dise rien jusqu’a ce qu’on conduise tout le monde a l’abattoir. Les gesn se sont laisser berner par des syndicats des la vielle garde (les zanté),mais ils vont voir ce qu’ils vont voir. On ne déclenche pas une grève a la veille des fetes de fin d’année ; ERREUR DE GAWA. Ce qui va vous arrivern c’est la meme chose que ce qui est arriver aux travailleurs d’Essakane en décembre 2011. Eux aussi avait déclencher une greve pour avoir plus d’argent pour faire les fete ? Conséquences : des dizaines de licenciement et plein de famille en detresse. les travailleurs des mine ne peuvent gagner un bras de fer avec le patron. C’est le patron qui vous transporte pour aller travailler a 300 km de votre lieu de residence. S’ils ne ne fait pas ?? Vous allez faire koi ?
16. Le 24 décembre 2014 à 12:00 En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
A l’intervenant 12, renseignes toi bien avant de dire de telles choses. Idé est Nigérien de son père mais Burkinabè de sa mère.
17. Le 24 décembre 2014 à 14:18, par soul En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Blaise a été chassé dans sa légalité, mais il n’était plus légitime. les spécialiste du droit donc vous voulez dire qu’aucune autorité de la transition n’est légale ?
Mais comme ils sont légitimes ya foye............
18. Le 24 décembre 2014 à 14:29, par véridique En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
légalité ou illégalité là ne pas le problème. Est ce que ce que les travailleurs disent dans leurs déclaration liminaire et plate forme revendicative est réelle. si c’est les la direction n’a qu’à faire son mea-culpa et corriger ces dérives si c’est toujours possible. cette diversion et fuite en avant ne sauvera pas la SMB. les mêmes causes produiront les mêmes effets...
19. Le 24 décembre 2014 à 16:49, par le maitre En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Les travailleurs deSMB ne faiblirons jamais convaincus que leur lutte est légitime tout comme le peuple s est mis debout comme un seul homme pour chasser Blaise Compare de son fauteuil.Alors ou était la légalité ce 30 -31 octobre 2014.pourquoi n a pas licencié.pourquoi les gens se mêlent de ce au qu’ils ne comprennent pas’.Tout le monde sait que IDE est homme de François Compare.Aucun gouvernement n acceptera laisser mettre 500 salariés dehors.M ZIDA demandez que le haut. Commissaire du soum vous dise ce au il a vécu pendant la crise a. Inata.
20. Le 24 décembre 2014 à 17:15, par IB En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Mes chers amis il est trop tard pour donner des conseils aux travailleurs de SMB, il fallait le faire au moment où ils proclamaient haut et fort qu’ils étaient brimés, mal payés, ils voulaient 100% de prise en charge médicale etc. Des gens (qui ne sont même pas souvent du secteur minier) les y ont encouragés. Les travailleurs doivent négocier pour améliorer leurs conditions et non exiger la satisfaction de leurs demandes tout de suite et maintenant. Que tout le monde sache que les ressources minières appartiennent à l’Etat, on n’en discute même pas, mais l’argent qui vient pour investir appartient à l’investisseur. Si l’Etat veut et peut exploiter ses ressources lui-même, qu’il chasse les sociétés et il n’y aura rien à dire ; de toutes les façons on connait les pots cassés que l’Etat a récoltés en voulant lui-même exploiter des mines de Poura à Essakane en passant par Sebba. Ce sont souvent les novices du domaine minier qui font le plus de bruits inutiles et qui induisent les gens en erreurs. Le domaine minier n’est pas comme le domaine du coton. A bon entendeur salut !
21. Le 24 décembre 2014 à 18:07 En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
tous ceux qui condamnent les employés ne savent vraiment pas les réalités du terrain donc abstenez vous de dire du n’importe quoi je vous en prie
22. Le 24 décembre 2014 à 20:46, par la vérité En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
il faut dire que les travailleurs demandent juste qu’on respect les textes du Burkina en matière de législation du travail, quand la délégation ministérielle est intervenue pour faire la conciliation il en est ressortit du procès verbal de la rencontre que la société a décidé de suspendre ses activités pour raisons économiques. alors dans ce cas de figure on ne peut pas procéder à des licenciements sans suivre les procédures de licenciements pour raisons économiques et surtout pas les délégués ce qui laisse voir à des représailles à l’encontre des représentants des travailleurs et c’est ce que le gouvernement doit voir
23. Le 24 décembre 2014 à 21:15, par Soumsept En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Vous savez il faut bien vous renseigner avant de faire une grève dans une société privé. le secteur privé et l’État est différent. on ne force personne a grève. vous voyer en 2011 ou l’or etait a plus de 1775 dollar l’once d’or ; a essakane il ont bien licencier des personnes, ensuite c’etait le tour de certains travailleur de taparko, ou ont les a déposer a plein midi sur la route ouaga-dori. alors c’est pas avec 1175 dolar l’once d’or qu’il ne vons pas vous licencié. celui qui trouve qu’il est mal payer eh bien qu’il démissionne, et il reste les autres travailler. et sacher que les perspectives du cour de l’or ne sont pas bonne. sachet également que des que le cour de l’or va passer sous la barre des 1000 dollar l’once d’or, alors les société minière vons compresser leur personnel. vous les avez juste donner de quoi se justifier dans leur rapport.
en plus j’ai un message a lancer aux travailleur du secteur privé, ne suivér pas en desordre les greves que les travailleur du secteur public mènent actuellement. renseigné vous bien avant d’agire. et sil vous manque des infos vous pouvez bien demander des infos en ligne, vous aurez des personnes qui pourront bien vous guidé. a bon entendeur salut !
24. Le 24 décembre 2014 à 22:08 En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
J"ai vraiment honte quand je li certain s internauts, comment peut on penser que ces employés de la SMB ont voulu grèver pour se faire de l’argent pour les fêtes de fin d’année ? Comme l’a dit Laurent Bado, j’ai également honte du burkinabé : Jaloux , mesquin et méchant. Des employés grèvent pour dénnoncer ; l’affairismeme, l’inéquité, la mauvaise gestion de leurs dirigeants et pour réclamer des meilleurs conditions de travail et d"autres ne trouvent rien n’a dire que des bétises. Moi, je lance un appel au gouvernement pour qu’il prennent ses responsabilités.
25. Le 24 décembre 2014 à 22:50 En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
@ intervenant n° 12, quel honte de faire une distinction entre un burkinabè et un nigérien ? toi même tu n’es pas un vrai burkinabè car un vrai burkinabè est hospitalier vis-à-vis des autres africains jusqu’en Afrique du Sud. Karl Max.
26. Le 25 décembre 2014 à 10:05, par Gilbert En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Je suis interessé par un poste au cas où la société voudra de moi : gilbertzongo2014@yahoo.fr
Sans rancune ne men voulez pas
27. Le 25 décembre 2014 à 17:56 En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
« C’est paradoxal, pendant que le capital de la société est en hausse, elle veut procéder à un licenciement collectif. Mais cette SMB pense qu’elle est dans une république bananière.
Le directeur général oublit que son acolyte françois compaoré n’est plus au pouvoir, il faut qu’il change ses méthodes. il se dit que ce dernier (françois compaoré) à injecter 30 milliards dans cette mine par l’intermédiaire de ecobank. du coup IDE Saïdou est le garant de cette somme et Londre (siège de la SMB) ne peut plus s’en passer » IBRIGAAA, IBRIGAAAAAAAA OU EST IBRIGA ? QUELQU’UN L’AURAIT-IL VU QUELQUE PART PAR HASARD ? IBRIGAAAAAAAAAA ! IL FAUT COURRIR VENIR TOUT DESUITE YA TRAVAIL POUR TOI ICI TU AS MARCHE ,PARLE JUSQU’AAAAA BLAISE A FUIT. MAINTENANT QUE TU ES A LA COURS DES CAURIS, PARDON LA OU ON COMPTE L’ARGENT DE L’ETAT, VIENS, VIENS VITE ICI. VOILA INTERVENANT N12 QUI DIT QUE LE PETIT FRERE DE BLAISE EST ALLE JETTER NOTRE ARGENT DANS MINE A LONDRE. CA FAIT 30 MILLIARDS IL PARRAIT. TCHIEEEE, ET PUIS IL FAUT PROFITER POUR VOIR CLAIR EN MEME TEMPS DANS TOUTES LES SOCIETES MINIERES. COMPRIS ??
28. Le 25 décembre 2014 à 21:50 En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
il n’est pas encore tard de rectifier le tire.dialogue-travail-dialogue-travail
29. Le 26 décembre 2014 à 11:02 En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Slt frere il estt normal de revendiquer mais il fo respecter les procedure legales avant de declancher une greve sinon vuos perdez toute raisonsa.Si vo dlguer les ont respecté tant mieu o cas contraire les choses se complique pour vous.Courage ;courage et union dans la lutte si DIEU le veu ca ira.
30. Le 30 décembre 2014 à 13:22, par RAWA En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
La plus part des internautes parlent comme si les investisseurs venaient par philantropie. S’ils viennent c’est parce qu’ils ont quelque chose à gagner. Il n’est donc pas question qu’ils viennent traiter les gens comme des sous hommes et qu’ils ne disent rien. Après tout, s’ils ne gagnent pas, qu’ils s’en aillent. Plusieurs études ont montré que si on organisait mieux l’exploitation traditionnelle de l’or (orpaillage) en la mécanisant, l’état gagnerait mille fois mieux. C’est par paresse que nous laissons ces grosses entreprises travailler à notre place. Après tout, le burkina vivait bien avant qu’ils ne viennent et de plus, ils nous volent. Les travailleurs des mines devaient être 10 fois mieux traités. Qu’on laisse partir ces voleurs et que nous exploitions notre or avec nos moyens. Ce n’est pas la main d’oeuvre qui nous manque
31. Le 22 janvier 2015 à 09:37, par jean En réponse à : Conflit social à la Société des mines de Bélahouro : Les licenciements ont commencé
Le secteur des mines est réglementé au Burkina. un contrat a été signé et visé par l’inspection de travail entre chacun de vous et la société . le travail et le salaire voici le lien direct. toute revendication doit faire l’objet de négociation entre les deux parties. en cas de désaccord le contrat peut être rompu c’est si simple que ça . Blaise n’est plus là on a dit que rien ne sera plus comme avant donc chacun s’agit a raison ou à tors . qui souffre aujourd’hui sans salaire ? soyez un peu intelligents mes frères du courage.