Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Suite à la rencontre de la classe politique nationale avec le Président du Faso pour l’instauration d’un dialogue entre la majorité et l’opposition, le Front républicain a tenu, dans la soirée du mercredi 24 Septembre à Ouagadougou, une assemblée générale extraordinaire pour, d’une part faire le compte-rendu à ses membres et, d’autre part examiner de nouvelles adhésions au regroupement.
C’est Hermann Yaméogo, et Assimi Kouanda, co-présidents du Front républicain qui ont animé la conférence à l’issue de l’assemblée générale extraordinaire avec les partis politiques membres du regroupement. Cette rencontre vise, selon Me Hermann Yaméogo, à rendre compte des échanges qui ont eu lieu entre le Président du Faso et le Front républicain pour la mise en place d’un cadre de dialogue. Félicitant l’initiative, le co-président du Front républicain, président de l’UNDD a dit la foi du Front républicain à ce cadre de dialogue. « Nous croyons à ce dialogue qui va s’ouvrir », a-t-il confié. Pour lui, son regroupement ne part pas à ce cadre de dialogue avec des positions prédéterminées : « tout sera défini ensemble. Jamais, le front républicain n’a posé de conditions, nous n’avons pas annoncé de points non négociables. (…). Nous sommes engagés dans un combat qui dépasse les idéologies et le cadre partisan ». Selon Me Yameogo, la situation que vit le Burkina doit être analysée objectivement en se référant aux précédents nationaux et à ceux internationaux. « Ce que nous vivons aujourd’hui est une crise institutionnelle, une rupture du processus constitutionnel », a-t-il affirmé, ajoutant que dans tous les pays du monde, et dans des situations pareilles, le dénouement a eu lieu par le dialogue. « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire et des exemples de l’extérieur pour nous arc- bouter sur nos prétentions et favoriser le blocage de l’appareil de l’Etat. Dans ce cas de figure, ce qui peut arriver, c’est la catastrophe… », a averti Me Hermann Yameogo avant d’appeler à un regard positif sur ce dialogue : « le fait de pouvoir se mettre dans un même cadre est déjà un pas positif ».
« Si on veut tout cristalliser sur ce qui divise, il n’y a pas de dialogue. Alors que ce qui unit est souvent beaucoup plus important que ce qui divise », a pour sa part soutenu Assimi Kouanda, co-président du Front républicain, secrétaire exécutif national du CDP. « Si on s’engage à dire que nous aimons tous ce pays (acteurs politiques, acteurs de la société civile), on peut ensemble pousser pour aboutir à son bien, aux mieux-être des populations malgré les différences », a développé Assimi Kouanda.
Quatre (4) nouvelles adhésions au Front dont Thibault Nana
L’assemblée générale a également été celle de l’examen de nouvelles adhésions au Front républicain, ont annoncé les premiers responsables. Au nombre de quatre(4), il s’agit de la RDP de Nana Thibault, du PRDF de Zacharie Sorgo, du RDBF de Mamadou Tamboura et du PARIS de Roland Tondé. « Ce qui fait 27 partis de l’opposition et 25 de la majorité, soit un total de 52 partis politiques », a annoncé Michel Ouédraogo, membre de la coordination. Le Front républicain étant, selon Hermann Yameogo, composé de partis de l’opposition et de partis de la majorité, se réjouissant également que le Front républicain ait été à l’origine de l’appel de Gaoua. Il a invité l’ensemble des leaders politiques à aller au-delà des opinions pour voir la paix.
Oumar L. OUEDRAOGO
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 25 septembre 2014 à 14:18, par bark biigua En réponse à : {{Dialogue politique national }} : « {Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire »}, Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
ils oublient tous que le peuple est conscient et qu’on a plus la même mentalité, arrêtez votre jeu le front républicain,52 partis ne veut rien dire c’est des partis de ventre
2. Le 25 septembre 2014 à 14:21, par Nabi II En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
J’ai mal au cœur quand j’entends Hermann parlé.
sait il seulement que son temps est vraiment révolu.
ça ne prend plus.
3. Le 25 septembre 2014 à 14:30, par Desiré SANOU En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Regardez le passé de tous ceux qui sont au front républicain aujourd’hui. Vous comprendrez pourquoi Blaise les a associé à son FILM qu’il veut servir au peuple. Courage CFOP que Dieu vous protège des gens qui ont perdu toute dignité à l’image de Hermann Et Ram OUEDRAOGO.Je comprend pourquoi vous êtes mort politiquement. Si votre vrai visage c’est çà, alors je pleur vos enfants. J’ai du respect pour Assimi KOUANDA mais vous,Dieu seul saura vous châtier de tout le mal que vous souhaitez au pays des hommes intègres.
4. Le 25 septembre 2014 à 14:34, par SS 20 En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Me Hermann doit se retirer maintenant de la politique en tant que acteur et se constituer en consultant pour donner ses avis quand la situation le commande. Car toutes ses sortie actuellement font de lui toujours un homme incompris ,au lieu de contribuer à apaiser le climat , jette toujours le trouble . Voila déjà qu’il revendique une certaine victoire pour son front et les chefs coutumiers et religieux pour avoir permis d’ amorcer cette démarche , comme si l’opposition n’en voulait pas de ce dialogue.
5. Le 25 septembre 2014 à 14:34, par Laure En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Prési blaise il faut te méfier de hermann comme de ébola car il est pire que tommy lapoisse rappelle toi de gbagbo qu’il supportait où est il today ?quand il s’approche de toi c’est que la catastrophe n’est pas loin tout ce qu’il touche n’a pas longue vie bref Attention Danger !!!
6. Le 25 septembre 2014 à 14:41, par Ka En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Herman tu ne peux en aucun cas arrêter la marche vers l’alternance politique de notre pays, même si le caméléon use toute sa ruse pour saboter ce dialogue avec tes magouilles d’ ’homme-orchestre de la politique Burkinabé, un bon combat pour une juste cause a toujours eu le dessus : si ce n’est pas aujourd’hui ça sera demain, car Dieu seul est le seule capable de faire ce qui est juste. Je demande au CFOP de ne pas lâcher leur refus ferme de la modification de l’article 37 qui sera le moteur du développement de notre pays. Que tous les responsables des partis d’opposition, reprennent le bâton du pèlerin, et continuer la traverser du Burkina et le monde entier, en tant que des intellectuels et économistes acharnés comme ADO et son équipe en Côte d’Ivoire, pour faire comprendre à la jeunesse Africaine de la diaspora, que dans 50 ans, l’Afrique sera la vrai locomotive du monde avec ses 3 milliards d’habitants, et que c’est maintenant que commence l’alternance politique pour aboutir à la bonne gouvernance, et non aux dictateurs sanguinaires qui veulent s’éterniser au pouvoir et retarder l’avancement de leur pays. Depuis fort longtemps les intellectuels Burkinabé jeunes ou âgés, ont appréhendés la dictature du président Blaise Compaoré : c’est le moment que le Burkina retrouve la paix et son émergence avec une alternance politique apaisé.
7. Le 25 septembre 2014 à 14:47, par El_monstro En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
La civilité nous oblige a resté courtois et tenir certaines pulsations internes qui nous habitent. Sinon, les mots me manquent pour qualifier ce fameux front républicain. Rassurez vous, même "satan" a des partisans sur cette terre. Savez vous qu’au Mali un front de partis était constitué pour soutenir le petit capitaine Sanogo au pouvoir ? Les militaires disent vulgairement "jouter du riz" dans la "gamelle". Je respecte les leaders du CDP qui défendent royalement leur guide. Mais quand à vous du Front, je vous demande de rentrer chez vous, déshabiller vous en face d’un miroir et regarder le reflet votre propre image hideuse... Il m’arrive d’avoir honte pour être simplement parent d’un leader du front... Sachez pour clore, qu’intérieurement le Blaiso doit rigoler quand il se retrouve avec le fameux front : A travers le simple regard, il devine ce qu’il veut : les feuilles, les feuilles et encore les feuilles.
8. Le 25 septembre 2014 à 14:47 En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
On parle de Dialogue entre Opposition politique et Majorité, le front Républicain ne représente rien à mon avis ,il ne doit pas prendre part à la table des négociations. l’opposition doit refuser catégoriquement sa participation directe aux négociations.
9. Le 25 septembre 2014 à 14:50, par OUATTARA En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Que Dieu ait pitié de vous.
10. Le 25 septembre 2014 à 14:52, par OUATTARA En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Que Dieu ait pitié de vous.
11. Le 25 septembre 2014 à 15:01, par Capitaine Traoré En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Herman est une calamité pour notre pays.
12. Le 25 septembre 2014 à 15:03, par Tiéfotiè En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
C’est maintenant que je commence à comprendre ce que c’est que ce fameux Front Républicain. Quand je vois des gars comme SORGHO Zacharie du PRDF ?! pour qui connait qui il est, ? ça veut tout dire. Que Dieu sauve le Faso.
13. Le 25 septembre 2014 à 15:04, par changeons En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
En prenant Hermann au mot, "le scénario catastrophe est de vouloir modifier l’article 37 et maintenir Blaise au pouvoir".
14. Le 25 septembre 2014 à 15:11, par CRUZ En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Le dialogue politique est fini depuis 2000 avec le beau rapport du collège des sages. La solution de la stabilité et de la paix du pays s’y trouve. Hermann défend le dialogue parce qu’il se rappelle la mésaventure de son père Président en janvier 1966. Pour lui, si son père avait accepté de s’assoir et discuter avec les syndicats à l’époque, il n’allait pas être orphelin du pouvoir. Mr.Hermann compare la situation actuelle du pays à l’époque de son père. "Le scénario catastrophe" pour lui serait la prise du pouvoir par les militaires comme au temps de son père. Hermann n’oubliera jamais cette histoire là. Son expérience malheureux fait de lui un conseiller spécial pour faire durer Blaise COMPAORE au pouvoir. Ayant échoué à reprendre le pouvoir de son papa, son seul but est :RESTER TRES PRES DU POUVOIR A TOUT PRIX.
15. Le 25 septembre 2014 à 15:22, par Le Terrible En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
IL faut que les gens arrête de s’en prendre au front républicain qui est
une interface entre l’opposition et le parti majoritaire.Ces personnes œuvrent
pour la paix donc je pense que c’est déjà une bonne action pour que le
pays retrouve une bonne cohésion sociale.
16. Le 25 septembre 2014 à 15:47, par Observateur avisé En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
dites ce que vous voulez, mais n’oublions pas que c’est l’opposition qui avait exiger un mandat(signature) expresse de B.Compaoré pour accepter tout dialogue avec le Front Républicain...
le dialogue est le seul issu pour un Burkina prospère et plus fort. mettez de coté vos égaux et mettez l’intérêt du peuple au dessus de tout.
17. Le 25 septembre 2014 à 15:51, par gawatchè En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Dans ce cas c’est Hermann qui est dans un scénario catastrophe car il est oublieux de sa propre histoire : oublieux du fait qu’il a trahi toute une génération qui croyait en lui dans les années 90.
Oublieux de son histoire car rien que hier c’est lui qui était contre la candidature de Blaise compaoré.Enfin oublieux de ses origines( fils du premier président du pays qui a rendu le pouvoir
car le peuple n’était plus d’accord avec lui).
Je propose au futur (nouveau) président (car ce sera une autre personne, autre que l’actuel), de déclaré la clic de charognards qui composent le FR, ennemis publique n°1 !
18. Le 25 septembre 2014 à 15:55 En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Nous n’avons pas oublié le temps, pas si lointain, rassurez-vous, où on dialoguait à coups de kalachnikov dans les angles morts. Nous n’avons pas oublié les honteux "toukguilli" dénoncés en son temps par Norbert Zongo. Nous voyons également le coup fourré qui se prépare.
19. Le 25 septembre 2014 à 16:08, par tanpoure En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
c’est fini, c’est fait ! le moment tant attendu est la. des crises , des regrets et aigreurs a tous ces anti referendum antisenat,anti modification. ce quon voulais est enfin la ! sur la table, on a l’art .on sait faire ! on gagne ou on gagne ! zeph est deja dans notre ligne...!
20. Le 25 septembre 2014 à 16:31, par Empereur En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Dit plustot d’aller au delà du bonheur de nos enfants et penser plustot à ton estomac ouèh...
Franchement tous ces messieurs qui nous faisaient croire qu’ils se battaient pour la démocratie...
21. Le 25 septembre 2014 à 16:31, par Observateur avisé En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Dites ce que vous voulez, mais n’oublions pas que c’est l’opposition qui avait exiger un mandat(signature) expresse de B.Compaoré pour accepter tout dialogue avec le Front Républicain...
le dialogue est le seul issu pour un Burkina prospère et plus fort. mettez de coté vos égaux et mettez l’intérêt du peuple au dessus de tout.
22. Le 25 septembre 2014 à 16:44 En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
De quelle dialogue parle t’on ? Le Senat et la modification de l’article 37 ne sont pas des prior
23. Le 25 septembre 2014 à 16:45, par l’immigrant En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Ne nous dites pas 52 partis politiques mais plutot 52 "personnes" car le peuple n’est plus avec ceux qui veulent les mettre dans une gregarité pour leurs besoins personnels.C’est bien de rever mais apres le reve on revient a la realité !!!!!!ce n’est plus loin et la verité se saura !!!
Vive le MPP,vive le CFOB.
24. Le 25 septembre 2014 à 16:48, par Constat En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
En dehors du CDP et de l’UPR que représentent les autres partis du front républicain (qui nous rappelle le Front populaire (triste histoire)). La démocratie triomphera pour le bonheur des Burkinabé avec une alternance responsable. Comme on le dit et il n’ y aura pas d’exception à la règle le CDP a atteint son apogée et a commencé son déclin. Nul ne peut défier les lois du Tout Puissant Dieu. Il y aura une alternance et nous souhaitons qu’elle soit pacifique pour le grand bonheur du peuple.
25. Le 25 septembre 2014 à 17:04, par gawatchè En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
le dialogue est un outil, il est utilisé quand deux individus décident de communiquer dans le même code c’est à dire qu’ils s’ accordent à donner un et un seul sens à chaque code.
Mais dans le contexte actuel au B.F les mots et les phrases changent de sens selon le camp où ils sont utilisés.
Exemple : pas de candidature pour quelqu’un qui vient de faire deux mandats successifs.
cette phrase, est la phrase la plus difficile du monde à comprendre au B.F.
26. Le 25 septembre 2014 à 17:18, par vérité no1 En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Entre ebola et Hermann, j’embrasse ebola. Fin de citation.
27. Le 25 septembre 2014 à 17:24, par ouss En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Amis du CFOP celui qui accepte de se coiffer dans le noir a d’office renoncer à ses oreilles.
Que esperer retirer avec des discussions prevues à deux et sui finalement se deroule à trois. Qui est ce troisiéme larron ?
Ne voyez pas que ce troisiéme est plus prolixe que les tutulaires ?
Mefiez vous mefiez vous mefiez vous
28. Le 25 septembre 2014 à 17:29, par YAWOTO En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Dis nous HERMAN si Blaise respecte la constitution il y aura quel scénario catastrophe pour le Burkina ! Dis-le nous s’il te plait si tu crois être plus intelligent que nous !
29. Le 25 septembre 2014 à 17:55, par CYCLONE En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Ce monsieur de Hermann devrait se cacher un peu au moins pour sauver l’image de ses enfants.Tu as compétit contre blaise,ça n’a pas marché !Tantôt tu disais sur les antennes de RFI que blaise a formé des commandos à Po pour les envoyer faire un coup d’état en mauritanie.Aujourd’hui ce même monsieur se dresse en fervent défenseur de blaise.Si la honte pouvait tuer !!!!!
30. Le 25 septembre 2014 à 18:00, par lefilosofe En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
53Partis ?mn oeil !combien peuve remplir une sall d mariage dune mairie ?c son pluto des partillon en mal despace ki profite s fair vwr e atendr des rcompense apres service rendu.
31. Le 25 septembre 2014 à 18:27, par Laure En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Haann hermann donc tu penses qu’on a oublié ce que tu disais hier là ?
"Il faut un sursaut salvateur pour sortir notre pays de l’impasse" car après 20 ans d’exercice du pouvoir, le régime est "arrivé en bout de course et en panne d’imagination". C’est la conclusion à laquelle est parvenu le bureau exécutif national de l’Union nationale pour la démocratie et le développement (UNDD) réuni le 9 octobre dernier. Il le fait savoir à travers cette adresse du parti à ses structures et militants...pour l’UNDD, le pouvoir est arrivé en bout de course
"Accueil > Actualités > Politique
Tentative de putsch : pour l’UNDD, le pouvoir est arrivé en bout de course
lundi 20 octobre 2003
"Il faut un sursaut salvateur pour sortir notre pays de l’impasse" car après 20 ans d’exercice du pouvoir, le régime est "arrivé en bout de course et en panne d’imagination". C’est la conclusion à laquelle est parvenu le bureau exécutif national de l’Union nationale pour la démocratie et le développement (UNDD) réuni le 9 octobre dernier. Il le fait savoir à travers cette adresse du parti à ses structures et militants.
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Notre pays demeure dangereusement dans les zones de turbulences. C’est un constat face auquel on observe deux types d’attitude. La première, qui est celle du pouvoir, consiste à refuser de voir la vérité en face, à ne pas vouloir reconnaître ses erreurs. La seconde, qui est celle de l’Union nationale pour la démocratie et le développement (UNDD), revient à regarder les choses en face et à reconnaître qu’il faut un sursaut salvateur pour sortir notre pays de l’impasse. C’est la conclusion à laquelle est parvenu le bureau exécutif national (BEN) du parti qui, au cours de sa réunion du 9 octobre 2003, a décidé de porter son analyse à la connaissance des structures et militants de l’UNDD.
L’examen de la situation nationale et internationale a en effet conduit le BEN à stigmatiser le choix délibéré du pouvoir d’ignorer la crise et à relever l’écart sans cesse croissant entre les demandes sociales et les réponses qui leur sont apportées par le gouvernement. Il a longuement dénoncé l’abandon à leur sort de secteurs sensibles comme l’éducation, la santé et la jeunesse ainsi que l’accroissement exponentiel du fossé qui sépare la minorité de ceux qui s’enrichissent de l’exercice du pouvoir et de ceux qui s’appauvrissent.
Ce constat conforte le point de vue de notre parti que le régime de la IVe République est arrivé en bout de course et en panne d’imagination après bientôt 20 ans d’exercice du pouvoir ; il craint qu’en reconnaissant qu’il a échoué, cela ne précipite son départ.
Le bureau exécutif de l’UNDD a constamment choisi de ne pas jouer à l’autruche ; c’est pourquoi il exhorte les structures et les militants du parti à faire de même.
Si les choses vont mal au plan économique et social, la situation n’est guère plus reluisante au plan politique. La démocratie de façade laborieusement mise en place par le pouvoir craque de toutes parts et révèle son vrai visage : un pouvoir qui a réalisé un hold-up sur l’Etat et qui le dirige comme un patrimoine familial, un pouvoir qui mène une politique extérieure insécurisante pour le Burkina Faso et la sous-région.
Pour le BEN, c’est tout cela qui entraîne des atteintes de plus en plus visibles aux libertés publiques et démocratiques et qui provoque l’isolement croissant de notre pays au plan diplomatique.
La seule solution, c’est le sursaut de chacun et de tous pour restaurer le droit au droit, réhabiliter les valeurs démocratiques afin de rendre possible l’alternance à laquelle le peuple burkinabè est attaché.
Pour mener à bonne fin ce combat, il est indispensable de redonner plus de vigueur et de cohérence au train des réformes politiques et institutionnelles. Il est en particulier urgent de mener résolument le combat pour obtenir au plus tôt l’informatisation du fichier électoral, la carte d’électeur ou la carte d’identité infalsifiable, la publication des listes électorales sur internet et leur affichage dans les bureaux de vote au moins un mois avant les scrutins. Des pays supposés "moins avancés" que le nôtre en matière de démocratie nous en ont en effet récemment donné la leçon. Il est tout aussi important de se battre pour le vote des Burkinabè de l’étranger afin que notre pays cesse de se singulariser en la matière.
Une négligence coupable des autorités
Dans le même temps, le BEN exhorte les militants de l’UNDD et le peuple burkinabè à ne pas se laisser distraire par les manœuvres du pouvoir visant à hypothéquer les consultations à venir quitte, par des comportements malheureux, à nous entraîner dans une confrontation avec l’extérieur.
S’agissant particulièrement de la tentative présumée de coup d’Etat, le BEN, qui se reconnaît dans les déclarations du président du parti, stigmatise toute velléité d’accession au pouvoir par des voies non constitutionnelles mais souligne en même temps que le pouvoir, pour avoir fermé les oreilles aux revendications récurrentes des militaires, comme il le fait de bien d’autres demandes catégorielles, emporte une part de responsabilité dans cette tentative, si elle était avérée. Le fait que l’opinion batte froid à cette présumée tentative de putsch est signatificatif de son incrédulité mais aussi de sa passivité vis-à-vis du pouvoir.
Le BEN de l’UNDD a vivement souhaité que cette affaire soit traitée dans le respect des lois de la République et que, particulièrement, il ne soit pas porté atteinte à la vie des détenus et aux droits de la défense. A cet égard, il a déploré la mort du sergent Moussa Kaboré qu’il considère comme due à une négligence coupable des autorités et demandé que toute la lumière soit faite sur cette mort.
En levant sa séance, le BEN de l’UNDD a recommandé que, de tout ce qui a été discuté, il en soit fait large diffusion afin que les structures et militants de base soient informés des positions du parti et armés pour les défendre.
Ouagadougou, le 12/10/2003
Président de l’UNDD
Me Hermann Yaméogo"
32. Le 25 septembre 2014 à 18:37, par MR . BAYIRE En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Il n’y a pas de crise instutionnelle au Burkina Faso . C’est vous la crise. Nous avons des institutions en place qu’il faut les respecter pour qu’elles soient fortes et s’imposent à tout le monde sans exception. Quand on ne respecte pas les institutions qui sont en place , elles ne seront pas fortes.Le cas que vous évoquez est très simple. A qui profite cette modification de la constitution ? Une et une seule personne sur 17 millions de Burkinabe( et en plus vous qui criez fort pour qu’on modifie à cause de vos ventres, pour ne pas perdre vos pains quotidiens, on vous connaît). Ce n’est pas une modification dans l’intérêt national mais plutôt dans l’intérêt d’une personne. Quand on nous dit s’il ya problème il faut consulter le peuple, il faut comprendre que n’importe quel Burkinabe lambda connaît ça mais il faut en plus réfléchir intelligemment et non terre à terre. Si vous voulez vraiment consulter le peuple pour un intérêt national ,qu’on fasse cette modification après les élections de 2015 et on verra si vous êtes vraiment des démocrates. Vous parlez comme des enfants de CE1.Le pays est en marche et vous l’arrêtez pour vos besoins. Nul n’a le droit de le faire, laisser les institutions fortes s’appliquer à tous merci.
33. Le 25 septembre 2014 à 18:57 En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Hermann, tu es toi aussi le problème car c’est toi qui a contribué à cette situation depuis 1991. Apparemment, ce monsieur est devenu amnésique et ne se rend pas compte qu’il a déçu la majorité de burkinabè. Tu devrais prendre ta retraite politique tout compte Blaise doit quitter fin 2015 en respectant la Constitution. On va dialoguer à propos de quoi ? respecter un peu la constitution et les consensus nationaux qu’il y a eu dans le passé ! Le Peuple en a marre de politicards comme toi et le scénario magique serait que tu te fasses oublier car tu n’es plus crédible depuis longtemps sur la scène politique.
34. Le 25 septembre 2014 à 19:51, par CHEIKH En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
C’est dommage d’entendre Hermann, comme si ce qui nous unissait déjà, avait besoin de toutes ces tentatives de rencontres interminables.
Il faut qu’il sache dès maintenant, qu’il ne s’agit plus d’aller distraire les gens avec des sujets sans importance, mais d’aller directement au but, en statuant directement sur ce qui nous divise.
C’est seulement dans ces conditions, que de part et d’autre, des bribes de concessions seront progressivement soient accordées, soit obtenues, jusqu’à épuisement.
35. Le 25 septembre 2014 à 20:12, par LE OUAL En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
je dis et je le répète je préfère la qualité en lieu et place de la quantité car 99 ;99% des partis politiques affiliés au front républicain ne peuvent même pas mobiliser 100 personnes . arrêter votre comédie. la plupart de ces partis sont à la croisé des chemins on vous connait.
A BAS LA POLITIQUE DU TUBE DIGESTIF
VIVE L’ ALTERNANCE EN 2015
36. Le 25 septembre 2014 à 20:56, par beti En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
hummmm !!!!!!!! c’est bon les TIC. tout ce sait aujourd’hui et même pour hier. si herman a oublié les autres pas . il est entrain d’agoniser aidons le à accompagner son ami Blaise à ziniaré tenga pour sa retraite et ainsi à deux ils vont écrire leurs mémoires
37. Le 25 septembre 2014 à 21:28, par Femme intègre En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Décidément le front républicain prend de l’ampleur,même NANA THIBAULT y a adhéré !nous sommes dans un contexte dans le quel seul le dialogue puisse nous tirer d’affaire !car nous sommes dans une phase cruciale et nous devrions apporter notre soutient a tous ceux qui sont pour la paix !encore merci a ASSAMI
38. Le 25 septembre 2014 à 21:35, par zougmore illias En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Le dialogue peut avoir comme résultat l’entente. Lorsque chacun tire de son côté et reste camper sur sa position cela ne peut rien résoudre. Mais avec le dialogue les différents camps pourront trouver un consensus pour la quiétude dans le pays.Nous saluons cette initiative de la part du front républicain !
39. Le 25 septembre 2014 à 22:01, par OUEDRAOGO OUMOU En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Le dialogue est une bonne chose. En toute chose il faut la communication et l’entente. Car nous voulons surtout la paix et l’entente au Burkina Faso.La paix est le plier du développement,voyez vous comment nous sommes habituer a une vie paisible et pacifique !OUI au dialogue
40. Le 25 septembre 2014 à 22:02, par Le maitre En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Front republicain...Le p f sait que vous n etes pas sinceres.votre comportement est digne de polton.En faites vous retournerez vos vestes dès que...
41. Le 25 septembre 2014 à 22:05, par FAYOLFORD En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Toi Herman YAMAEOGO ; tu es toi même une catastrophe pour le Burkina Faso
42. Le 25 septembre 2014 à 22:06, par HAN YA WOTO LAA En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
En lisant les articles cités par <> on voit bien qui est vraiment Me Herman Yaméogo. C’est une calamité politique que le Burkina ait jamais eu. Il faut que tout le monde s’en méfie. Mêmes les militants de L’UNDD doivent se méfier de tels dirigeants.
Merci de l’éclairage mon cher Récip
43. Le 25 septembre 2014 à 22:06, par OUSMANE En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
« Si on veut tout cristalliser sur ce qui divise, il n’y a pas de dialogue. Alors que ce qui unit est souvent beaucoup plus important que ce qui divise », a pour sa part soutenu Assimi Kouanda, co-président du Front républicain, secrétaire exécutif national du CDP. « Si on s’engage à dire que nous aimons tous ce pays (acteurs politiques, acteurs de la société civile), on peut ensemble pousser pour aboutir à son bien, aux mieux-être des populations malgré les différences », a développé Assimi Kouanda.MERCI beaucoup Mr ASSAMI KOUANDA
44. Le 25 septembre 2014 à 22:19, par fils du pays En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Quel que soit l’aboutissement du dialogue nous voulons la paix, rien que la paix pour le pays.
45. Le 26 septembre 2014 à 00:11, par Alberta Désiré En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
C’est très bien ce qui se passe actuellement au Burkina. Quand on voit un pouvoir aussi fatigué que celui de Blaise et qui en plus est défendu par un cadavre politique comme Hermann, opportuniste de classe exceptionnelle , on peut se réjouir car la fin est proche.
46. Le 26 septembre 2014 à 00:53, par ZAPATA En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Monsieur YAMEOGO, vous pouvez au moins être sûr d’une chose, nous ne sommes pas oublieux de vos suprêmes trahisons quand on était à un pas d’obtenir de sacrées avancées dans l’édification de l’État de droit dans ce pays. Arrêtez de bassiner le peuple avec vos théories foireuses qui ne visent qu’une chose : permettre à Blaise et à son clan de poursuivre leur règne éternel. En fait vous avez ruiné tout votre capital sympathie vous n’avez aucun crédit actuellement, alors ayez la décence de vous taire au lieu de jouer au moralisateur. Basta !
47. Le 26 septembre 2014 à 09:18, par bako issa En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Ce qui est étonnant, c’est qu’au face-à-face du 25 septembre organisé par le pésident du Faso, le Front républicain et Hermann Yaméogo n’y étaient pas. Il y avait la majorité et l’opposition. Allez-y comprendre.
48. Le 26 septembre 2014 à 11:00, par souley En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Vous avez intérêt, si ça capote vous allez partir où ? Faites en sorte que la vérité selon la justice soit dite et n’inventez pas une vérité uniquement pour vos penses (ventres) et pour un individu.
49. Le 26 septembre 2014 à 11:06, par pas politique En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Gars au CFOP et à quiconque qui voudra entraver la marche du peuple. l’alternance c’est pour 2015 et celui qui s’opposera verra ! pas de négociation possible. on a marre de vous les politiques qui faites de deal pour vous arranger.
50. Le 26 septembre 2014 à 11:46, par Zampata En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
le peuple libre et conscient ne veut que la paix. Le peuple ne veut pas de crise, pas de marches dans les rues, pas de protestions dans les stades, ce que le peuple veut c’est le dialogue entre les acteurs politiques pour trouver une solution consensuelle, démocratique pour la paix. Tout ce que le peuple demande c’est la paix.
51. Le 26 septembre 2014 à 12:34, par Nasser En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Colonel Yacouba Ouédraogo : Nous invitons chacune des parties politiques (Majorité, Opposition ) à accepter courageusement de se fondre dans cette unité supérieure qu’est l’intérêt national, car le moment est venu où nous devons nous donner la main, par-dessus nos qualités distinctes, nos croyances confessionnelles et nos obédiences politiques pour construire un Burkina en paix à l’intérieur de ses frontières et en paix avec le reste du monde.
Ceci un message de paix, un message patriotique et plein de sens. Seuls les hommes politiques responsables prononcent ces mots. Un model à suivre pour les hommes politiques et surtout ceux de l’opposition
52. Le 26 septembre 2014 à 16:13 En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Internaute 48, M Nasser, dites nous concrètement en quoi à travers cette phrase, le colonel Yacouba OUEDRAOGO répond au problème posé ? La problématique que traverse le pays est bien connue. En quoi cette phrase, ce type de belle phrase que les gens aiment formuler pour tout englober et se donner bonne conscience nous fait avancer...... Personnellement je n’y trouve rien de bon dedans.
53. Le 26 septembre 2014 à 17:31, par Sidpasata Veritas En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
« tout sera défini ensemble. Jamais, le front républicain n’a posé de conditions, nous n’avons pas annoncé de points non négociables. (…). Nous sommes engagés dans un combat qui dépasse les idéologies et le cadre partisan ». Vous vous trompez messieurs du front prétendu républicain ; tout ne sera pas défini ensemble, parce que pour ceux qui veulent que le BF avance au lieux de piétiner en faisant du sur-place, il y a des choses non négociables, tel que la modification de l’art 37 de la constitution. Si vous, vous ne posez pas de conditions, c’est votre problème et cela n’étonne personne au BF ; car nous savons depuis longtemps que vous êtes prêts à manger n’importe quelle sauce politique, pourvu que cela vous permettre d’exister politiquement. Vous êtes des parasites de la vie politique nationale et un parasite ne met jamais de conditions : depuis quand une puce pose-t-elle de condition au chien pour rester sur le dos de ce dernier. Vous (les parti-parasites) existez encore parce que nous n’avons pas encore une vraie démocratie dans ce pays. Mais vous ne perdez rien à attendre l’après-Blaise à partir de 2015. Vos voix lugubres pour la nation s’éteindront d’elles-même parce qu’alors inaudibles.
54. Le 26 septembre 2014 à 19:42, par oueder En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
« Si on veut tout cristalliser sur ce qui divise, il n’y a pas de dialogue. Alors que ce qui unit est souvent beaucoup plus important que ce qui divise ». C’est l’article 37 qui divise, c’est la candidature de Blaise qui divise, la Nation est plus importante que lui, bouter le et se contenter de ce qui nous unis.
55. Le 26 septembre 2014 à 20:56, par Sidpasata Veritas En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
« tout sera défini ensemble. Jamais, le front républicain n’a posé de conditions, nous n’avons pas annoncé de points non négociables. (…). Nous sommes engagés dans un combat qui dépasse les idéologies et le cadre partisan ». Vous vous trompez messieurs du front prétendu républicain ; tout ne sera pas défini ensemble, parce que pour ceux qui veulent que le BF avance au lieux de piétiner en faisant du sur-place, il y a des choses non négociables, tel que la modification de l’art 37 de la constitution. Si vous, vous ne posez pas de conditions, c’est votre problème et cela n’étonne personne au BF ; car nous savons depuis longtemps que vous êtes prêts à manger n’importe quelle sauce politique, pourvu que cela vous permettre d’exister politiquement. Vous êtes des parasites de la vie politique nationale et un parasite ne met jamais de conditions : depuis quand une puce pose-t-elle de condition au chien pour rester sur le dos de ce dernier. Vous (les parti-parasites) existez encore parce que nous n’avons pas encore une vraie démocratie dans ce pays. Mais vous ne perdez rien à attendre l’après-Blaise à partir de 2015. Vos voix lugubres pour la nation s’éteindront d’elles-même parce qu’alors inaudibles.
56. Le 26 septembre 2014 à 22:47, par simple citoyen En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Après 27 ans de règne pour ne pas dire 32 ans !!!! (Car depuis 1983, Blaise gérait en parti le pays), croyez-vous qu’il aisé de céder son pouvoir !!!! Il faut une situation plus dangereuse que celle dans laquelle il à acquis ce pouvoir pour l’abandonner. Humainement parlant c’est pas facile. Aidons le plutôt par des paroles et actes respectueux à prendre congé. A sa place je ne ferais peut être pas mieux, alors......
57. Le 28 septembre 2014 à 16:46, par DAMOU’SS En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Y’a pas plus taitre au BF que le soit disant Me,il est en train de trahir l’opposition pour la 3ème fois et ça ne vous dit rien.Je me demande de fois si certaines personnes ont encore de la mémoire.Hermann et Nana Thibault font la politique du tube digestif.Quand le pouvoir va changer de main on verra ce qu’ils deviendront.
58. Le 28 septembre 2014 à 18:14, par DAMOU’SS En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Y’a pas plus taitre au BF que le soit disant Me,il est en train de trahir l’opposition pour la 3ème fois et ça ne vous dit rien.Je me demande de fois si certaines personnes ont encore de la mémoire.Hermann et Nana Thibault font la politique du tube digestif.Quand le pouvoir va changer de main on verra ce qu’ils deviendront.
59. Le 29 septembre 2014 à 14:18, par wellmouss En réponse à : Dialogue politique national : « Le scénario catastrophe serait que nous soyons oublieux de notre histoire », Me Hermann Yaméogo, co-président du Front républicain
Ce que nous retenons de l’histoire, c’est que Maurice Yaméogo, 1er Président du Burkina Faso fut digne et intègre !!!