Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Robert Bourgi, « le convoyeur de mallettes de billets » entre certaines de nos capitales et Paris était au micro de nos confrères de RFI ce jeudi matin. Entre autres révélations, cette « éminence grise » de la « Françafrique » confirme que Laurent Gbagbo a bien « craché au bassinet » de Jacques Chirac. Et aussi que Gbagbo était « prêt à noyer la Côte d’Ivoire dans le sang » mais pas à donner le pouvoir à Alassane Ouattara.
RFI : Dans le livre que publient Laurent Gbagbo et le journaliste François Mattéi, vous êtes à nouveau dépeint comme une éminence grise de la Françafrique, et selon Laurent Gbagbo, vous auriez tenté de le faire « cracher au bassinet », c’est l’expression employée dans le livre, afin que le président ivoirien participe au financement de la campagne électorale de Jacques Chirac en 2002. Est-ce vrai ?
Robert Bourgi : L’expression « cracher au bassinet » est un peu violente, pardonnez-moi cette expression, un peu vulgaire. A l’époque, rappelez-vous, au mois de septembre 2011 dans une interview au Journal du dimanche, j’avais parlé de ce financement de la vie politique française par les chefs d’Etat africains. Et je voudrais profiter de l’occasion que vous m’offrez, pour répéter ce que j’avais dit alors dans une interview au Figaro. Je n’ai jamais transporté de mallettes. J’ai accompagné des émissaires africains auprès du président de la République française de l’époque, Jacques Chirac, et auprès de Dominique de Villepin.
Pour en revenir à cette affaire. Comment cela s’est-il passé ? Lors des rencontres que Laurent Gbagbo avait eues avec Jaques Chirac - à l’Elysée - et Dominique de Villepin - hors Elysée -, Dominique de Villepin, dans son langage assez familier avait demandé à Laurent Gbagbo si le moment venu il pouvait aider au bon fonctionnement de l’UMP et aider à la campagne présidentielle de Jacques Chirac. Laurent Gbagbo avait dit oui. Ni Villepin ni Robert Bourgi n’avaient mis de pistolet sur la tempe de Laurent Gbagbo ! Et cela s’est fait très exactement dans un restaurant des bords de Seine.
Le Voltaire ?
Pas Le Voltaire, je rectifie. Cela s’est fait au restaurant Lapérouse, dans un salon particulier à 13h. Dominique de Villepin m’avait dit, « Robert j’apprécierais de déjeuner en tête à tête avec vous dans un bon restaurant. Laurent Gbagbo apprécie le bon vin, vous aussi ». Laurent Gbagbo était alors en visite officielle à Paris, il sortait d’un entretien avec Jacques Chirac, et nous nous sommes retrouvés au restaurant Lapérouse, et non pas Voltaire (comme indiqué dans l’ouvrage de Laurent Gbagbo, NDLR). Et c’est là que Dominique de Villepin, assisté de moi, a dit à Laurent « voilà, nous allons vers une campagne électorale, il est de tradition que les chefs d’Etat africains aident les partis politiques français. Là nous sommes au pouvoir. Est-ce qu’éventuellement tu pourrais nous aider ? » Et Laurent Gbagbo de lui répondre spontanément « il n’y a pas de problème. Le moment venu tu me le fais savoir et j’enverrai un émissaire ».
Et lors d’un deuxième voyage officiel de Laurent Gbagbo à Paris - il résidait à l’hôtel Plaza Athénée - une réunion s’est tenue dans la suite présidentielle de Laurent Gbagbo. Il y avait là son ministre des Finances, il y avait là son directeur de cabinet, Jacques Anouma, ancien président de la Fédération ivoirienne de football. Il y avait là l’ambassadeur Eugène Allou, son directeur de protocole et chef de cabinet. Ils avaient réuni la somme de trois millions de dollars.
Donc Laurent Gbagbo a participé à hauteur de 3 millions de dollars au financement de la campagne électorale de Jacques Chirac en 2002 ?
Absolument. Gbagbo ne fait que confirmer ce que j’avais dit en septembre 2011, et la planète médiatique m’était alors tombée dessus ! J’ai même été suspendu de l’ordre des avocats pendant six mois, alors que je n’avais fait que raconter l’histoire ! Je n’ai jamais transporté de valise, je le répète, j’accompagnais des émissaires. Et ce jour-là, les trois millions de dollars ont été réunis dans la suite présidentielle de Laurent Gbagbo au Plaza Athénée, et ils avaient été mis dans un sac publicitaire Austin… Vous savez, la marque de voitures. Et c’est Eugène Allou, directeur du protocole présidentiel - que j’ai personnellement conduit à l’Elysée - qui a remis cette somme à Dominique de Villepin.
Laurent Gbagbo évoque des pressions ou des menaces à peine voilées. Alors qu’un complot, celui de la Mercedes noire avait échoué quelques mois plus tôt, ses interlocuteurs lui auraient laissé entendre que s’il ne participait pas au financement, il aurait peut-être à nouveau des problèmes avec ces comploteurs. Est-ce exact ?
Je démens de la manière la plus catégorique qui soit. Il n’y a jamais eu de pressions sur Laurent Gbagbo.
L’ex-président ivoirien évoque un autre épisode de vos relations et de vos rencontres, cela s’est passé à Rome en septembre 2002. Laurent Gbagbo était en voyage officiel au moment où a éclaté l’insurrection qui a conduit à la partition en deux de la Côte d’Ivoire. Selon lui, vous êtes arrivé dans son hôtel, et il affirme que ce n’était pas un hasard. Est-ce que vous confirmez cette rencontre et pouvez-vous nous dire ce que vous faisiez dans le même hôtel que Laurent Gbagbo à Rome ?
J’étais effectivement dans le même hôtel que Laurent Gbagbo à Rome, c’était l’hôtel Excelsior… Avant de poursuivre, je dois vous avouer qu’au moment où nous parlons, je me considère toujours comme l’ami de Laurent Gbagbo, et ce que j’ai lu m’a profondément peiné. J’étais à l’hôtel Excelsior à Rome à l’invitation de Laurent Gbagbo. Et ce qu’il dit est complètement faux. Est-ce lui qui parle ? Est-ce que c’est Mattéi, le coauteur du livre ? Je l’ignore. Mais Laurent Gbagbo sait très bien que si je me trouvais à l’hôtel Excelsior, c’était à son invitation. Et le dîner qu’évoque Laurent Gbagbo dans son livre n’a pas commencé tant que je n’étais pas à l’hôtel. Et j’étais assis à la droite de Laurent, comme d’habitude.
A ce moment-là, l’insurrection se déclenche à Abidjan, et Laurent Gbagbo affirme que vous lui avez conseillé de se rendre à Paris pour voir Jacques Chirac avant de rentrer à Abidjan. Est-il exact que vous lui avez donné ce conseil et dans quel but ?
C’est totalement faux ! Lorsque nous avons appris qu’il y avait eu une insurrection, nous nous sommes précipités dans la suite de Laurent Gbagbo. J’ai discuté avec lui et il m’a dit « tu te rends compte Bob, ce qui arrive ? ». J’ai appelé Villepin, il était sept heures et demie du matin, il se rendait à la radio Europe 1 où il devait être interviewé. Je lui ai dit « que doit faire Laurent ? » Il m’a répondu, « écoute dès que j’ai fini l’interview, je lui parle ». Et ils se sont parlé et Laurent s’est rendu à Abidjan. Je n’ai jamais conseillé à Laurent Gbagbo d’aller à Paris voir Jacques Chirac ou Villepin puisqu’il venait de lui parler.
Laurent Gbagbo laisse entendre qu’à l’époque la position de la France était assez floue, assez incertaine. Il laisse même entendre que d’une certaine façon, Jacques Chirac aurait été content de se débarrasser de lui à la faveur d’un coup d’Etat. Est-ce que vous pensez que cela aurait pu être le cas ?
Pas du tout. Une chose est à préciser. Il est évident que Laurent Gbagbo, structurellement, mentalement, était loin de ce que Jacques Chirac avait l’habitude de côtoyer. Bédié est totalement différent de Gbagbo, Houphouët encore plus. Et j’ai joué un rôle non négligeable pour que Jacques Chirac le reçoive une première fois à l’Elysée. Il l’a reçu, c’était très chaleureux entre eux. Le contact s’est fait immédiatement. Il l’a apprécié. Puis, il l’a reçu une deuxième fois.
A cette époque, Laurent Gbagbo était fatigué. Il l’a installé dans un des châteaux de la République en région parisienne. Gbagbo y a passé une dizaine de jours. Aucun chef d’Etat africain n’avait eu ce privilège. Et je vous cite une anecdote. Le président Omar Bongo m’a dit à l’époque « Fiston, comment se fait-il que Laurent ait droit à un château. Moi je n’ai jamais eu droit ! ».
Donc vous estimez que Chirac a toujours été franc et honnête avec Laurent Gbagbo ?
Absolument. Je puis vous l’assurer. Il n’a jamais eu…
Aucun rôle dans l’insurrection militaire d’Abidjan ?
Pas du tout. Je puis vous assurer qu’il n’a rien fait qui confirme cela. Le seul reproche que je puisse faire à Chirac et Villepin c’est Marcoussis. Malgré ma proximité avec Jacques Chirac et Dominique de Villepin, je n’ai pas été associé à Marcoussis, car je m’y serais opposé.
Marcoussis qui était considéré par Laurent Gbagbo comme une véritable gifle et un déni de son autorité.
Je le confirme. Je le confirme. Et j’ai eu cette confidence d’Omar Bongo. Je lui ai dit « Papa, vous vous rendez compte de ce qu’ils sont en train de faire à Laurent ». Et il a eu une moue dubitative avant de dire « Que veux tu fiston, c’est comme ça ! Mais est-ce que même moi j’approuve ? ». Mais, je voudrais rappeler à Laurent Gbagbo que trois jours avant son arrivée à Paris, j’ai eu la visite de son homme de confiance Eugène Allou qui était descendu à l’hôtel Meurice. Je lui ai dit « J’ai pris connaissance du texte de Marcoussis et j’ai pris connaissance de ce qui se prépare. Cela me révolte. Est-ce que tu pourrais avertir Laurent et lui dire de ne pas venir à Paris. C’est quelque chose d’épouvantable qui va arriver. Car au fond d’eux même les chefs d’Etat africains pourront se dire : un jour ce sera mon tour. Dis-lui de ne pas venir à Paris ». Le lendemain, je reçois Eugène Alou et il me dit « ton frère est têtu, il veut venir ». Laurent est venu et il est arrivé ce qui est arrivé.
C’est-à-dire des accords politiques qui obligent Laurent Gbagbo à composer avec un gouvernement d’union nationale et à abandonner une partie de ses prérogatives au profit d’une transition qu’il jugeait indigne. Mais, Robert Bourgi, beaucoup de choses ont découlé de Marcoussis dans la crise ivoirienne. Et lorsque vous dites que Jacques Chirac a toujours joué franc jeu avec Laurent Gbagbo, on s’aperçoit que Marcoussis n’en est pas la preuve.
Oui, mais il s’était passé pas mal de choses ente temps. Et Jacques Chirac a subi des pressions énormes du lobby cacao, du lobby du café et de tant d’autres personnes et groupes de pression.
D’Alassane Ouattara ?
Non pas du tout. Que le président Ouattara ne m’en veuille pas, mais je dirai que Jacques Chirac a toujours été un peu réservé vis-à-vis du président Ouattara. Il a toujours eu à l’esprit ce contentieux entre le président Houphouët et Alassane Ouattara. A tort d’ailleurs… Pardonnez-moi cette expression, mais Ouattara n’a jamais été à la tasse de thé du président Chirac !
Mais ce que je condamne de la manière la plus ferme qui soit c’est le comportement de Villepin vis-à-vis de Gbagbo. Il a traité Gbagbo comme un boy, comme un valet de chambre, en lui disant « je vais te tordre le bras. Je vais te tordre le bras ! Il faut signer ! » Ça, c’est la première fois que je le dis, je le condamne de la manière la plus ferme qui soit. Et si Laurent Gbagbo et ses partisans, par la suite, ont eu cette attitude vis-à-vis de la France, c’est à cause de Marcoussis. Et si Dominique de Villepin m’avait caché le texte de Marcoussis, c’est qu’il savait que je ne serais jamais d’accord avec ça. On ne traite pas les Africains aujourd’hui comme ils furent traités il y a cinquante ans.
A vous écouter, on a l’impression que Villepin a aussi tordu le bras à Jacques Chirac…
Vous savez, Villepin n’aime que lui-même. Au-dessus de lui, il n’y a que le Bon Dieu. J’ai fréquenté au plus près Villepin pendant dix ans. Personne ne lui est égal et au-dessus de lui, il n’y a que le Bon Dieu ! Il manipule les gens mais heureusement qu’au bout d’un certain temps, on s’en rend compte ! Cependant, c’est un charmant garçon que j’ai beaucoup aimé.
Autre épisode dramatique, c’est la crise post électorale de 2010. Le pays est plongé en pleine crise après l’annonce des résultats de l’élection présidentielle remportée par Alassane Ouattara. Laurent Gbagbo relate une conversation téléphonique entre vous deux en présence de Claude Guéant [secrétaire général à la présidence sous Nicolas Sarkozy, ndlr], conversation au cours de laquelle vous auriez conseillé à Laurent Gbagbo de ne pas s’accrocher au pouvoir. Qu’avez-vous dit alors à Laurent Gbagbo ?
C’était à la fin de 2010. Le président Nicolas Sarkozy qui me savait ami avec Laurent Gbagbo et ami avec Alassane Ouattara, me fait venir à l’Elysée et me dit « Robert, tu as vu j’ai mandat de l’ONU. Les grandes puissances sont décidées à faire respecter le verdict des urnes. Est-ce que tu pourrais une dernière fois obtenir de Gbagbo qu’il accepte le verdict des urnes ? Je m’engage au nom de l’Union européenne et des Etats-Unis à ce qu’aucun mal ne lui soit fait. S’il accepte le verdict des urnes, il aura le statut d’ancien chef d’Etat, comme le président Bédié. Il pourra aller où il le désire dans le monde ». Claude Guéant assistait à l’entretien. Nous sommes allés, lui et moi, dans son bureau et j’ai parlé à Laurent.
Et ce que je vais vous dire, vous êtes les premiers à le savoir. J’appelle Laurent et je lui dis : « L’heure est grave. Il se prépare de grandes choses, des choses graves pour ton pays et pour toi. Accepte le verdict des urnes, tu ne peux pas aller contre le monde. Et tu auras le statut d’ancien chef d’Etat. Tu pourras aller où que tu veuilles dans le monde, tu pourras même enseigner en France. Accepte s’il te plaît ». Et Laurent Gbagbo a eu ces mots qui m’ont blessé…
Aujourd’hui lorsque j’y repense, je suis étreint par l’émotion… Il m’a répondu. « Bob, tu diras à ton ami Sarkozy que je serai son Mugabe. Que je ne donnerai jamais le pouvoir à Ouattara, et enfin, que je suis prêt à noyer la Côte d’Ivoire dans le sang. Mais je n’accepte pas. Et d’ailleurs Bob, c’est la dernière fois que nous nous parlons ». Et il a raccroché… Ce fut notre dernier entretien. Claude Guéant se tenait sur ma gauche et, il peut vous le confirmer, j’ai versé des larmes car je savais ce qui allait arriver. Nous sommes repartis chez le président de la République. Il a vu que j’avais les yeux rougis par les larmes et il m’a dit « Il verra ce qui va se passer. Nous allons le foudroyer ».
Vos commentaires
1. Le 10 juillet 2014 à 14:33 En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
J’ai honte de nos dirigeants africains,et j’ai pitie de la france et ses dirigeants,car vous allez payer ici bas et en enfer,vous rendrez compte a Dieu.Si la loi de semer et recolter fonctionne,ne soyez pas presser.
A cause de vos interet personnels qui ne feront pas de vous immortel,des milliers devie humaines perisse creant orphelin,veuve,handicap et j’en passe.
Le 10 juillet 2014 à 15:23 En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Mon cher, les états n’ont pas d’amis mais que des intérêts. Si vous comprenez cela, vous comprendrez que le langage diplomatique au quotidien n’est là que pour mieux enfumer le peuple pour qu’il reste dans sa misère. Vous comprendrez mieux pourquoi Blaise n’est qu’un pion utile pour la françafrique et pour préserver les intérêts des occidentaux en Afrique. Tant pis pour le Peuple s’il doit s’empoisonner aux OGM et autres poisons fabriqués en occident car le business reste le business et au jour le jour on pille en toute légalité l’or au Burkina, le pétrole au Nigéria, en Irak et en Libye, etc. tandis que le peuple ne voit aucune amélioration de son quotidien.
Le 10 juillet 2014 à 16:02, par L’OURAGAN En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
AH LA FRANCE !C’EST PAS TA FAUTE.TANT QUE NOUS AURONS DES DIRIGEANTS COMME GBAGBO,BONGO,COMPAORE,BIYA....ÇA SERA PAREIL.LA FRANCE N’A QUE DES INTERÊTS.COMBIEN LE BURKINA A ENVOYE DE 1987 A NOS JOURS ?DIEU SEUL SAIT.A BAS LA FRANÇAFRIQUE !A BAS LES DICTATEURS !A BAS CEUX QUI METTENT LE PEUPLE DANS LE TIROIR.WEBMASTER C’EST UN CRI DE COEUR,LAISSE PASSER
Le 10 juillet 2014 à 16:10 En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Après lecture de se article, je note qu’aucun chef d’état africain n’aime son pays, son peuple. tous cherchent le pouvoir pour leur intérêt personnel. ça fait pitié. vider nos trésor au profit des partis politiques européens..
Le 10 juillet 2014 à 18:13, par yoann En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
ce n’est pas parce qu’aucun chef d’Etat n’aime son pays, mais c’est tout simplement parce que nos peuples n’ont pas d’idéal. ce que font nos présidents, ils le font malgré eux avec le cœur en lambeau. car s’ils refusent ce que ces vampires leur demandent, cette France trouvera un moins que rien, quelqu’un qui ne peut pas lire une phrase pour le faire président et faire pire que ce qu’il a refusé de faire. c’est ce qui est arrivé à bon nombre d’Etats africains à un certain moment de leur histoire qui avaient des présidents visionnaires et soucieux du développement de leur pays : hier seulement c’était KADAFI. Au Burkina, il a fallu que Sankara ne soit plus pour que nous reconnaissons sa valeur ; sinon de son vivant il était traité avec tous les mots du mal.L’Europe n’a aucun intérêt à ce que l’Afrique s’émancipe car elle va sombrer à ce temps. si le Ghana, la chine et l’Inde se tirent d’affaire c’est parce qu’ils ont une culture encrée sur l’homme, le travail, la dignité et l’honneur pour la patrie et non pour le ventre. si au sein même de nos cellules familiales les coup bats ne manquent pas, au niveau institutionnel les médiocres n’attendent que ça pour rentrer dans l’histoire à reculons, se faire une place au soleil ; face à cela, entre la compromission des chefs d’Etat et la descente aux enfers des nations ils choisissent malgré eux la première. lorsqu’on voit quelqu’un qui parle mal de son pays à l’extérieur ou qui est prêt à le vendre pour soi,il y a lieu de se poser des questions sur ce qui reste à faire pour se défaire de ce monstre. le développement durable se construit dans le temps sur des valeurs fortes que sont l’intégrité, la dignité, le travail et l’honneur pour la patrie. n’attendons cela de l’Etat ; chaque citoyen doit travailler à cultiver ses valeurs à lui-même et veiller à ce que dans sa famille, elles soient acceptées et retransmises. les résultats ne sont immédiats mais nous serons quand même entrain de tendre vers ce que nous recherchons d’ici à 50 ans.
Le 10 juillet 2014 à 19:26, par Boudnouoma Calixte Dianda En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Franchement, moi je n’ aimais pas Sankara. Je trouvais qu’ il faisait trop de burit. C’est quand il est parti que j’ ai compris. La France ne veut pas de presidents africains intelligents.Elle projette donc les mediocres au devant de l’ l’histoire et ils provoquent les tragiquement les peuples.
Le 11 juillet 2014 à 10:35, par Anita Manour En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Et ce même Khadafi qu’ils ont tué et des ignares les applaudissent. S’ils savaient.
Le 11 juillet 2014 à 09:28, par CHRIS En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Bjr,
Désolé mais ils aiment leurs pays, mais cet amour n’est pas le même que vous et moi avons pour nos peuples. Cet homme qui s’exprime n’a aucun respect pour nos peuples ; il fait de GBAGBO un assassin, un traitre et que sais je encore, mais il oublie le rôle que son pays a joué et joue sur la destinée de nos vaillants peuples.
Un jour viendra où tous ces requins et leurs apprentis tricheurs, voleurs ,assassins répondront devant l’histoire. Gbagbo est parti mais d’autres suivront sans soucis. Honte à tous ces renégats.
LA PROPHETIE EST EN MARCHE
Le 11 juillet 2014 à 10:25, par Anita Manour En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Ce que tu ne sais pas c’est que les chefs d’Etat africains n’ont souvent pas le choix. il faut comprendre le mode de fonctionnement de l’exploitation et la spoliation planifiées des richesses de l’Afrique par ces Occidentaux pour le comprendre. y a en marre là !
Le 11 juillet 2014 à 18:29, par tièkadiyé En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Anita, tu prends le décor. D’abord, ton jugement sur Kadafi ne concerne que toi. Moi je pourrais traiter ceux qui le soutiennent ou qui le regrettent de cons. De son vivant, je ne l’ai jamais cautionné. Ce n’est pas à sa mort que je le ferais. Ensuite, Bob a bien dit à propos de Bagbo, qu’on ne lui a pas mis une arme sur la tempe. Et même si on pointais une arme sur la tempe d’un président, pourquoi avoir peur ? Si on prend le pari, on jure de défendre la Patrie...c’est bien au prix de sa vie non ? Anita, c’est faux, ils ont bien le choix.
Le 12 juillet 2014 à 18:45, par ChicagoGang_Erica_34 En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Je ne sais pas pourquoi des gens seraient vraiment fans d’ un desequilibre comme Kaddafi ? Parce qu’ il usait et abusait de l’ argent du peuple Lybien ? On dit que presque tout etait cadeau en lYbie. Mais cela lui donnait- il le droit de monopoliser les ressources de tout le pays pour son propre compte et ses lubies folles- dingues ? Tiekadiye, I am with you.
Le 10 juillet 2014 à 16:35, par democrate En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
C’est après tout ca que GBAGBO et son clan se proclament patriotes ; nationalistes ? Pitié ! 3 millions de dollard pour contenter Chirac ? j’ai honte.
Le 10 juillet 2014 à 17:10 En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Vous vous de ce que notre Ministre Alain E T avait dit en son temps quand Bourgui avait parlé des diembéssssss !!!
2. Le 10 juillet 2014 à 14:46, par VRAI En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
En lisant l’itw, je ne faisais ke du copier-coller pour le Faso...sSavoir quitter les choses avant qu’elles ne vous quittent, telle est la leçon de morale, hihihi... En passant, je lave de tout soupçon M. Bob Bourgi pr son rectificatif on ne peut plus vraissemblable ! nous savons un peu plus sur la françafrique. thanks, Bob
3. Le 10 juillet 2014 à 15:18 En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
"...Et aussi que Gbagbo était « prêt à noyer la Côte d’Ivoire dans le sang » mais pas à donner le pouvoir à Alassane Ouattara".
Et votre president Blaise Compaore ?
Le 10 juillet 2014 à 17:29, par Omer En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Je n’imagine même pas combien notre grand médiateur paie pour se maintenir au pouvoir depuis toutes ces années, lui qui semble vraiment être à leur service jour et nuit. Le malheur de l’afrique francophone c’est d’avoir été colonisé par la France. Elle n’a aucun scrupule cette France. Paul kagamé a raison mais lui contrairement aux autres, la France ne peut rien lui faire car protégé par le Label Genocidé et protégé par les USDA et la GB. Il n’aiment que les président corrompus à trqvers lesquels ils pillent nos maigre économie. Comme si c’etait pas dejà assez comme souffrance de parler le Francais, langue qui handicap comme langue officiel au lieu de l’Anglais.
Le 11 juillet 2014 à 10:30, par Anita Manour En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
je voudrais lancer un cri de cœur à tous les Burkinabé, hommes de média, étudiants, toute personne ressource à mener des combats pour l’unité nationale gage de paix : unissez-vous ! unissez-vous ! unissez-vous !Car c’est dans la désunion que le Diable en profite.
Le 12 juillet 2014 à 18:48 En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Anita, attention a votre comprehension de l’ unite quui ressemble au Monolithisme. La constitution est notre ciment. Si on la respecte, meme si toi tu veux manger du riz gras et l’ autre du chien de Saaba et l’ autre encore du cheval de Dapoya, on va vivre ensemble. Comment s’ unir s’ il y a un gros malin qui malmene notre constitution ?
4. Le 10 juillet 2014 à 15:18 En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Des mallettes de Cote d’Ivoire, des djembés du Burkina Faso... le listing est long... pour la françafric de nos dinosaures qui veulent faire 3 ou 4 décennies au pouvoir.
5. Le 10 juillet 2014 à 15:19 En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Ce document a au moins le mérite de nous situer sur les rapports et mécanismes entre les présidents africains et la France. Ce n’est à l’honneur ni des autorités françaises, ni des Africains. Mais comme on dit vulgairement, c’est la politique, donc sans morale, donc de la pourriture.
6. Le 10 juillet 2014 à 15:53, par bien compris En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Que c’est dure la politique
Le 10 juillet 2014 à 16:04, par Thunder En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Ah !Les bonnes choses commencent ! Les "salop" commencent à restituer à l’histoire ce qu’ils lui ont voler. Les douleurs de l’Afrique française, pardon francophone puisent leurs racines dans les bords de la Seine. Malheureusement, nous n’arrivons pas à nous émanciper et cela est dure. Il y a des âmes qui ne reposent pas en paix : Lumumba, Sankara, Sékou Touré, Mandela, ... la liste est longue. Il faut à l’Afrique une nouvelle génération de politiques pour redessiner les relations France-Afrique. Du reste, ce que dit Bourgi n’est qu’un avant goût des révélations auxquelles nous aurons droit avec le procès de Gbagbo. Triste ! L’Afrique !
7. Le 10 juillet 2014 à 16:06, par Mike.O En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Le Gars a au moins le merite de dire ce qu’il a vu et fait. Ce n,est ni a l’honneur de la France encore moins a l’honneur de l’Afrique.
Mais le grand probleme c’est l’Afrique. Les dirigeants Occidentaux ne vendront jamais leurs pays pour nous, jamais. Et dire que nous prenons 1000F pour sortir et reclamer la perpetuation de ces complots, dommage !! C’est aux Africains de combattre leurs judas de dirigeants. Ca peut etre maintenant ou plutard par l’education et le changement des mentalities. De toute facon, il faudra a l’Afrique de s’unir pour dire non et ne pas exposer les dirigeants qui dissent non. Sans ces conditions, l’Afrique sera toujours l’Afrique.
Le 10 juillet 2014 à 16:38, par HEHE !!! En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Les gars, surtout pas se décourager car l’Afrique s’en sortira à long terme car vous avez des courageux qui ont donné l’exemple qu’il reste à butiner pour les générations à venir. Dites vous que l’Europe et l’Amérique ont connu ces genres de choses sinon pires !!! Ne réduisons pas tout à notre existence car la solution arrivera ! Cordialement
8. Le 10 juillet 2014 à 16:29, par Conscience du Faso En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Merci beaucoup, Mr Bourgi pour toutes ces informations qui pourront nous aider à mieux comprendre la mafia qui existe entre nos chefs d’Etat et la France. Surtout ces informations nous ont permis de comprendre la crise en Côte d’Ivoire. Ainsi donc Mr Gbagbo avait son scénario en tête avant d’aller aux élections avec son slogan (On gagne ou on gagne !) ; noyer la Côte d’Ivoire dans le sang s’il perd les élections et se maintenir au pouvoir. C’est pour cela qu’il a passé tout son mandat à s’armer au lieu de penser au développement de son pays. Ah oui ! Le Mugabe de la Côte d’Ivoire. Au fait, Mr Bourgi, combien notre président Mr Blaise Compaoré a envoyé comme contribution à la France pour des élections ? Vous n’allez pas nous dire rien comme nous sommes un pays très pauvre et très endetté ? On ne vous croira pas, Mr Bourgi car la France n’a pas pitié des pauvres devant leurs maigres ressources. Pardon dites combien, ça restera entre nous.
9. Le 10 juillet 2014 à 16:41, par la loupe En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Bonsoir. J’ai honte de certains dirigeants Africains. On vous maltraite parce que vous êtes trop accroché au pouvoir et vous ne voyez jamais une autre vie après la Présidence. Pourquoi ils n’ont jamais pu insulté ouvertement les Héros ( Nelson MANDELA, Thomas SANKARA, Rawlins, Kouamé Kruma, ...) dont la jeunesse aujourd’hui veut incarner comme modèle ? C’est parce qu’ils étaient désintéresses du pouvoir et voulaient seulement travailler à sortir les frères et sœurs de la pauvreté, de la soumission. Par exemple Thomas SANKARA savait que sa vie était menacée du fait de son refus de piller son pays pour le colonisateur mais a seulement dit qu’il préfère la mort à la honte de son pays. Pour s’affranchir de la France il faut limiter les mandats présidentiels et transformer les régimes présidentiels en régimes parlementaires. Sachiez que tout régime dictatorial sera toujours la marionnette de son colonisateur. La France a toujours peur de celui qui n’est assoiffé de pouvoir et qui voit dans son engagement un sacerdoce. Bonne chance nous tous !
10. Le 10 juillet 2014 à 16:50, par Intègre1 En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
cest dommage mais c’est la verité ! la France s’en fout de lavenir des Etats africains. si tu es prèt à laccompagner seulement, elles vous aides à tuer vos populations pour rester au pouvoir et fair leur affaire. ça pourra meme etre le cas du Burkina de Blaise. Demander à Salif Diallo. Il connait bien ce porteur de djembé. Peuple du Burkina, soyez vigilant
11. Le 10 juillet 2014 à 16:56, par Hams En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Si Sarko était toujours là, notre débat sur le référendum n’allait pas avoir lieu s’il était contre !
12. Le 10 juillet 2014 à 17:09, par PRESIDENT FONDATEUR En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
On comprend pourquoi tous les valeureux fils de l’Afrique ont été assassinés avec la complicité de la France (Sankara, Lumumba,…..). Jamais ils n’allaient accepter dilapidé nos maigres ressources dans des djembé pour faire plaisir aux dirigeants Français. Pauvre Afrique. Gbagbo, toi aussi comment vouloir noyé dans le sang tout un pays pour tes intérêts personnels.
13. Le 10 juillet 2014 à 17:31, par GBAA En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Quand nos pays très pauvres, et dont les populations manquent de presque tout, vont financer des campagnes électorales d’un grand pays riche et démocratique, on ne peut qu’être choqué et révolté. Les français n’ont aucun scrupule de saigner des pays très pauvres, mais c’est la rançon et le prix que nos dirigeants payent pour conserver leur pouvoir et traiter leurs propres peuples comme bon leur semble. On comprend alors pourquoi la France ne hausse pas le ton comme les USA contre les modifications de constitutions en Afrique et au Burkina en particulier, elle est payée pour se taire et fermer les yeux.
Le 11 juillet 2014 à 01:38 En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
A la verite, pensez- vous que la France serait triste de voir son Capitaine toujours au pouvoir pour envahir les autres pays et ramener les depouilles de la guerre pour nos fiers coqs qui n’ ont pas honte de piller des pays les plus pauvres de la planete.Qui dit meme que l’ idee n’ est pas venue d’ eux ? Coomme l’ idee de tuer Sankara est venue d’ eux ? Ca me revulse. C’ est comme si un adulte raquetait des enfants faibles du cp1 pour aller sarisfaire leurs vices. Francais lamda, excusez moi. Ce n’est pas de votre faute mais vos dirigeants ne vous fonrt pas honneur.
14. Le 10 juillet 2014 à 17:58, par RESPONSABLE DE NOUS En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
On est tous responsables de ce qui nous arrive en tant qu’africain. L’africain aime la facilité et est réfractaire au développement. C’est très facile d’accuser Gbagbo laurent, Blaise compaoré ou Omar Bongo. Qu’est ce que nous avons fais pour aider Thomas SANKARA ou Patrice LUMUNBA. On a tous refusé de serrer la ceinture comme SANKARA l’avais demandé ; on a tout simplement aidé le colon blanc à se débarrasser de lui afin de continuer à boire notre bière de 8h du matin jusqu’à 24h. Avec ça on est sûr que le pays va se développer.
Le 12 juillet 2014 à 15:00, par ............ En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Seul commentaire réfléchi. Je vousnremercie. Nous Africains sommes des paranos qui voient le mal partout. Le pire c’est que nous jouons toujours les victimes. Ce que ce Mr dit n’a rien de choquant. C’est le b-a-ba des coulisses du pouvoir. Certains crient leur haine et soutiennent Gbagbo qui jouera bien sur leurs émotions. Le problème de l’Afrique nest ni l’occident ni ses présidents mais les africains nous-même. On se comporte comme desbanimaux et on veut être respecté comme des princes. Et nos présidents sont le fruit de nos sociétés (les ânes ne font pas des chevaux). Quand vous réaliserez que vous êtes la 1re cause de tous vos oroblèmes, nous aurons fait un énorme pas. Mais je peux encore rêver
15. Le 10 juillet 2014 à 18:45, par le pandoreau En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
La France nous a donné notre indépendance, nous n’avons pas appris à payer le prix du sang pour être libre. La France ne fait pas ce qu’elle veut en Algérie ou au Vietnam(Indochine).Si fait que ces peuples sont libres. Le président d’Afrique
francophone qui défendra les intérêts de son peuple tombera et on écriera des mensonges sur lui. On peut ainsi voir que la pauvreté, la misère criarde est essentiellement francophone.
16. Le 10 juillet 2014 à 19:00, par Dieu voit En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
J ai les larmes aux yeux. Africains, ouvrez les yeux. La France nous pille, nous vole,nous dépouille avec la complicité de nos propres frères présidents. Pitié Seigneur.C est la France qui fait et défait tous les gouvernements de l Afrique francophone...Un jour les français décident de mettre la merde dans un pays comme ça...et on se tue et eux prennent des photos pour les journaux... Africains, soyons unis, ouvrons les yeux,et faisons barrage a la politique de la France. Français, bientôt on se croisera sur la route quand nous prendrons notre destin en main...
Le 11 juillet 2014 à 01:40 En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Le karama est la. La france nous pille, mais c’est le dernier pays europeen. Apres le Portugal.
Le 11 juillet 2014 à 18:50, par tièkadiyé En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Tu tiens ces infos de quelle source ? C’est pas en économie en tout cas. La France n’a pas connu de turbulence comme en Espagne, Grèce, etc.
Le 12 juillet 2014 à 18:53 En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Parce que tu penses qu’ il n’ y a pas de source en dehors de l’ economie ? N’as- tu pas des yeux pour observer ? Ca ce voit que tu n’ es pas entre dasns l’ avion une fois dans ta vie. Pardon, moi je voyage en france trois fois dans le mois et je lis la misere sur les francais. C’est un pays en pleine voie de sous- developpement.
17. Le 10 juillet 2014 à 22:55, par CHE En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Ces revelations depeindent le vrai visage de nos dirigeants africains. Comment se fait-t-il que Gbagbo qui se dit anti-imperialiste tombe aussi bas ? Il s’est fait "yèrèè" comme un vrai "gaou" ds les rues europeennes . Il n y a que des interets. Gbagbo a tout simplement été utilisé et rejeté, effectivement foudroyé comme le dit sarko. A quand l’Afrique ?
Le 11 juillet 2014 à 10:43, par sidzabda En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
LA DEFINITION DE L’AIDE
l’aide au développement consiste à prendre l’argent des pauvres des pays riches pour les donner aux riches des pays pauvres afin qu’il se le partage entre les riches des pays riches.
18. Le 11 juillet 2014 à 09:25, par TIONON BI En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
DONC COMME CA LA BANQUE MONDIALE ET LE FMI NOUS PRETENT DE L’ARGENT PARCE QU’ON EN A PAS ET NOS CHEFS D’ETAT PRENNENT CET ARGENT DONNER A LA FRANCE POUR SOIT DISANT LES AIDER A BATTRE CAMPAGNE.
A LA FIN QUI VAUT MIEUX QUE QUI ?
Le 11 juillet 2014 à 09:47 En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
au burkina je vous pari que ce sont des lingots d or qu on donne a la france
Le 11 juillet 2014 à 10:19, par Anita Manour En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
quand d’aucuns disent que c’est maintenant qu’ils commencent à découvrir le vrai visage de la France et partant, des occidentaux, vraiment cela m’écœure beaucoup. Donc c’est maintenant que vous connaissez ces choses ignobles, cette animosité des occidentaux vis-à-vis des Pays d’Afrique noire.Quel genre de systèmes n’ont-ils pas créé dans ce monde, pour soit disant lutter contre les inégalités sociales ? je cite:en désordre : le PAS et tous ces corollaires , le boom démographique,le FMI, la BM,la globalisation, la mondialisation et patati et patata ! Restez là à dire que c’est vous qui allez les aider à mener le combat contre le terrorisme dans la bande sahélio-saharienne. Maintenant vous savez qui sont les véritables terroristes de ce monde. je n’ai jamais entendu dire qu’ un pays arabe ou un islamiste de n’importe quelle provenance qu’il soit, vouloir assujettir, spolier,anéantir, exploiter jusqu’à la racine un peuple, un pays comme le fait les Occidentaux avec les pays les moins nantis. Nous Noirs, continuons à être des suivistes et des robots pour les occidentaux. Quand nous comprendrons que les vrais terroristes se trouvent ailleurs, en ce temps nous commencerons à nous mordre les doigts et il sera trop tard. Réveilles-toi Afrique !
Le 11 juillet 2014 à 15:38, par DAO En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Si GBAGBO aide CHIRAC à se faire élire, GBAGBO a la chance d’être élu lui aussi. Tu finances ma campagne et je te fais ROI.
CHIRAC sait que s’il ne met pas les moyens, il va perdre. Il se tourne vers nos présidents qui ont toutes nos richesses entre leurs mains.3 millions de dollars font 1 350 000 000 F CFA. A supposer qu’on cherche à construire des écoles primaires à 70 millions avec 6 classes, on aura 19 écoles à 6 classes. Dans une école à 6 classes avec 45 élèves par classe on a 855 élèves à qui on a trouvé des places assises. GBAGBO a accepté financer une campagne électorale. Qui sait combien HOUPHOUET Boigny a donné aux présidents français pour leur campagne.Ainsi va l’Afrique.
Bravo à la CPI. Si la CPI n’existait pas tous ces secrets qui n’étaient pas dits officiellement nous n’allons jamais le savoir.
Même si on mettait la pression sur GBAGBO il n’était pas obligé de donner l’argent à CHIRAC.
L’Etat ivoirien peut poursuivre GBAGBO pour détournement de deniers publics. C’est un aveux public il a fait. C’est lui qui a dit qu’il a donné 3 millions de dollars à CHIRAC. Où a t il eu cet argent ? Est ce le budget de l’Etat ou ce sont des fonds propres appartenant à GBAGBO ? On endette nos pays alors que l’argent ne sert à rien. Pendant ce temps des gens meurent à cause de 200F. Nos présidents son vraiment méchants. C’est à la limite de la criminalité.
19. Le 11 juillet 2014 à 11:39, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
C’était avant-hier matin à 5H30 sur RFI, ROBERT BOURGI, alias ’’LE GROS RAT des palais présidentiels africain’’ ou encore alias ’’BOB’’ selon Laurant GBAGBO, a lâché le morceau : Oui ! Laurent GBAGBO a financé la campagne présidentielle de Jacques CHIRAC en son temps à hauteur de 3.000.000 Dollars US !!! Eh oui !!! Comment appelle-t-on cette forme ? Et si l’AFD finance l’adduction d’eau dans un quartier d’Abidjan, on dit pompeusement ’’Aide au développement de la France à la Côte-d’Ivoire’’ !! Ivoiriens, manifestez bruyamment pour réclamez votre dû car c’est votre argent !!!!! En plus, désormais moi je donne raison à LAURENT GBAGBO !!! Le même BOURGI a affirmé qu’il n’a pas aimé le comportement de VILLEPIN envers GBAGBO lors des accords de MARCOUSSI !! Il dit que VILLEPIN a exigé que GBAGBO signe les accords en disant : ’’Je vais te tordre le bras !!! Signe !! Signe le tout !!!’’. C’est ce matin du 10/07/2014 que tout ceci a été dit à RFI à 5H30 !!! Je comprends maintenant pourquoi la France et ses dirigeants n’aiment pas voir au pouvoir en Afrique des gens qui veulent le développement de leurs pays (GBAGBO et SANKARA), des gens qui aiment la bonne gouvernance (GBAGBO et SANKARA). La bonne gouvernance est tout ce que les dirigeants français n’aiment pas. Alors laissez en paix nos chefs d’Etats avec votre piaillement sur la bonne gouvernance. Foutez la paix à Théodoros OBIANG NGUEMA et à son père !!! Avec un pays dont les autorités agissent de la sorte, allez-y comprendre !! SARKOZY avait raison de promettre à VILLEPIN de le ’’pendre à un croc de boucher’’ ! Grâce à BOURGI, alias ‘’LE GROS RAT des Palais présidentiels africains’’, nous savons tous désormais comment les dirigeants français infantilisent et manipulent nos Chefs d’Etats africains qui e sont rien devant eux.
Par Kôrô Yamyélé
20. Le 11 juillet 2014 à 11:41, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
ROBERT BOURGI, alias ’’LE GROS RAT des palais présidentiels africain’’ !!!!! Vous voyez maintenant pourquoi GBAGBO mérite tout notre soutien !!!??? Le FPI doit déposer plainte contre ce GROS RAT DES PRÉSIDENCES AFRICAINES !!!!!
Par Kôrô Yamyélé
Le 11 juillet 2014 à 12:09, par si tu te fais bête on te prend tel quel En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
toi koro yamyélé là tu es sur que tu inhales pas l’odeur du fumier de ton champ à la place de l’air façon tu as des réactions stupides ces derniers temps là est ce que c’est forcé de parler quand on a rien à dire tchrrrrrrrr
Le 11 juillet 2014 à 12:10, par si tu te fais bête on te prend tel quel En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
toi koro yamyélé là tu es sur que tu inhales pas l’odeur du fumier de ton champ à la place de l’air façon tu as des réactions stupides ces derniers temps là est ce que c’est forcé de parler quand on a rien à dire tchrrrrrrrr
webmaster faut lire et lui passer le message
Le 11 juillet 2014 à 16:28, par RAWA En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
KORO YAMYELE A RAISON. LA COTE D’IVOIRE N’AURA PLUS JAMAIS UN PRESIDENT COMME GBAGBO. CA COMMENCE DEJA A ETRE PROUVE. LES GENS VERRONT UN JOUR CLAIREMENT QUE GBAGBO VOULAIS TRAVAILLER POUR LES IVOIRIENS ET NON POUR LA FRANCE.
Le 12 juillet 2014 à 18:57 En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Youpii ! La Cote d’ Ivoire, terre benie de ses ancetres n’ aura plus jamais un president Kechia raconteur d’ histoires comme Gbagbo le Partousard. C’est tant mieux.
Le 11 juillet 2014 à 14:22, par Sidnoma En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
C’est Kôrô Yamyélé qui a trouvé le nom qui convient à cet énergumène de Bourgi !
Gbagbo a refusé de financer la campagne de Chirac et c’est ce qui lui a valu à la Côte d’Ivoire cette tragédie.
Si nous voulons des présidents indépendants et courageux, il faut que nos peuples leur soient solidaires.
Longue vie à Gbagbo !
Vive l’Afrique.
21. Le 11 juillet 2014 à 12:47, par TidianeDJIBORevolution En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Tant que nos dirrigeants seront tjr prêts à vendre l’AFRIQUE au profit des Occidentaux nous allons tjr croupir dans la misère profonde.que la France sache que la generation mouton est fini.la jeunesse africaine conscience et digne est plus que jamais engagée,determinée à poursuivre l’oeuvre de nos braves dirrigents tels que Sankara,Kwamé N’krumah,...etc.c’est n’est pas à la France d’attribuer des statuts de President à nos dirrgeants.à tout ces politiciens africains véreux,approbe qui ne céssent de compromettre l’avenir de l’AFRIQUE de demain juste pour des intérèts egoïste,l’histoire retiendra cela contre vous.pourquoi financer des elections de ceux là même qui sont à l’origine de notre retard,de ceux là qui ont bu et succés le sang de nos ancètres.l’AFRIQUE est decevante
22. Le 11 juillet 2014 à 13:52, par Bomaney En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Mais pourquoi cela devient une tradition que les africains financent les campagnes des français, même président de la république monsieur Bourgi ?
Le 11 juillet 2014 à 16:03 En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
YOUGSON : Afrique restera Afrique tant que l’alternance est vu comme une fin en soit par nos dirigeants, on subira toutes sortes d’exactions face à l’occident.
23. Le 11 juillet 2014 à 15:48, par RAWA En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
VOUS VOYEZ. TOUT EST DIT ICI. MALGRE LE FAIT QUE TOUT N’EST PAS VERITE DANS CE QUE CE MONSIEURRACONTE, IL RESSORT ICI QUE C’EST LA FRANCE QUI EST LE VERITABLE RESPONSABLE DE CE QUI S’EST PASSE EN COTE D’IVOIRE. GBAGBO EST INNOCENT. EN VOULANT COUTE QUE COUTE INSTALLER OUATTARA AU POUVOIR, ILS ONT OCCASIONNE LA MORT DE MILLIERS D’IVOIRIENS. TOUT CELA S’EST FAIT AVEC L’AIDE DES VALETS LOCAUX. ON A COMME D’HABITUDE DIABOLISER LA VICTIME. GBABO TUE LES ETRAGERS, GBAGBO A UN CHARNIER ... POURQUOI D’AILLEURS ON NE PARLE PLUS DE CE CHARNIER. LE MEME SCENARIO S’EST PASSE AVEC KHADAFI ET SADDAM HUSSEIN.
MAIS LES AFRICAINS DISENT, C’EST ASSEZ ; DEPUIS LE BIAFFRA AU NIGERIA EN PASSANT PAR LE CONGO, LE ROUANDA, LA CENTRAFRIQUE, LA COTE D’IVOIRE ET BEAUCOUP D’AUTRES PAYS, LA FRANCE EST RESPONSABLE DE LA MORT DE MILLIONS D’AFRICAINS. LES GENS NE DOIVENT PLUS SE LAISSER BERNER. GBAGBO N’EST QU(UNE VICTIME D(UN SYSTEME COLONIALISTE HEUREUSEMENT AGONISANT.
24. Le 11 juillet 2014 à 21:05, par Respectezl Afrique En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Tant qu il y aura des africains naifs pour croire à toutes ces inepties venant des agents de la françafrique l Afrique ne s’en sortira jamais
25. Le 11 juillet 2014 à 22:02, par Respectez l Afique En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
Tant qu il y aura des africains naifs et idiots pour accorder du crédit aux affabulations de ces mercenaires de l Elysée, l"Afrique ne décollera jamais, bonne chance à vous les burkinabés, laissez vous endormir , ne chercher pas à vous débarrasser de votre dictateur et putschiste de Blaise compaoré et de développer votre pays afin que vos ressortissants tels que dramane ouattara de sindou n aillent pas mettre le feu ds le pays d autrui la Cote d Ivoire. Cherchez à sortir votre pays de la pauvreté plutot que de vous prêter au jeu des occidentaux que vous prétendez combattre
26. Le 3 février 2017 à 13:03, par GUY En réponse à : Robert BOURGI, « éminence grise de la Françafrique » : Comment Laurent GBAGBO a financé la campagne électorale de Jacques Chirac
SAVEZ MOI JE SUIS PLUS QUE JAMAIS HEUREUX QUE CE MONSIEUR NOUS DÉTERMINE DANS SONT INTERVIEW QUE LA FRANCE N’EST RIEN QU’UN PAYS ENTIÈREMENT DÉPENDANT DES RESSOURCES AFRICAINE.
AUSSI POUR MA PART JE PUIS LUI DIRE MERCI DE NOUS DIRE LA RÉALITÉ SUR TOUT CE QUI C’EST PASSE DANS NOTRE CHERRE PATRIE CAR COMME IL LE DIT ILS APPELLENT NOS CHEFS D’ÉTATS CHEZ EUX A L’ÉLYSÉE POUR LES AMENER (je ne dirais pas obliger car il dit ne l’avoir pas fait) A ACCEPTER LEURS VOLONTÉ ET AU VUE DE TOUS PROPOS JE SUIS CONVAINCU QUE LA CRISE IVOIRIENNE TIRE CES SOURCES A PARTIR DE LEURS DIFFÉRENTS ECHANGES.
JE LE DIT CAR PENDANT CE ENTRETIEN LA CÔTE D’IVOIRE ASSISTE A UN COUP DE FORCE QUI VIT LE RETOUR IMMÉDIAT DU FILS DE LA NATION.