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ECHOS DE L’OUEST : Houndé, le présumé criminel du livreur de pain aux arrêts

Publié le samedi 5 avril 2014 à 03h23min

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Le mardi 18 mars 2014 sur l’axe Houndé-Bouéré, Roger Bamogo, un livreur de pain avait été froidement abattu au petit matin. Ce jour-là, la victime était au mauvais endroit et au mauvais moment, parce qu’il a remplacé son frère qui avait l’habitude de livrer le pain aux localités environnantes de Houndé.

Quelques deux semaines après, l’auteur suspecté du crime, du nom de DT, employé à la SOFITEX/Houndé, a été arrêté par la police. Il a été ensuite déféré au Tribunal de grande instance (TGI) de Boromo où il répondra de ses actes. Selon le directeur provincial de la police nationale du Tuy, Mahamoudou Wangraoua, le présumé coupable a avoué qu’il en voulait au frère de la victime qui selon lui, courait sa femme. « J’ai monté la garde deux fois devant la cour du frère de la victime avec mon arme à feu pour l’abattre, mais je ne l’ai pas eu », aurait-il affirmé.

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Un stock de pneus parti en fumée au secteur n°21 de Bobo

Dans la nuit du mardi 1er au mercredi 2 avril 2014, une importante quantité de pneus usagés de véhicules automobiles a pris feu au secteur n°21 (Colsama) de Bobo-Dioulasso, non loin de la maternité Sylla Sanou. Tout le stock a brûlé, et les arbres, les murs des bâtiments contigus ont été calcinés par les flammes à quelques mètres de la gendarmerie dudit secteur. N’eût été la présence des sapeurs-pompiers, les dégâts allaient être énormes. Heureusement, aucune perte en vie humaine n’a été signalée.

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Attention au marché spontané devant la SNC !

Depuis la 16e édition de la Semaine nationale de la culture (SNC) en 2012, quelques commerçants se sont installés aux abords du boulevard de l’Indépendance, non loin de la porte principale de la SNC. Notamment des vendeurs de pots de fleurs, de plats et de chaussures pour enfants. Ils n’ont plus quitté les lieux jusqu’à la 17e édition qui vient de s’achever. En plus de ces derniers, un important groupe de marchands est encore installé devant la SNC après la foire commerciale officiellement fermée le dimanche 30 mars 2014. Il sied que les autorités communales aient un œil sur eux, de peur que quelques-uns déposent définitivement leurs valises à cet endroit pouvant spontanément devenir un marché. Mieux vaut donc les déguerpir tôt avant que le phénomène ne prenne de l’ampleur et devienne incontrôlable.

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Près de 400 livres volés à l’école Colsama « E » à Bobo

391 livres cachetés, des cartons de craie, une « ardoisine », un sac porte-document contenant des archives de l’école et des ustensiles de cuisine ont été emportés par des cambrioleurs à l’école primaire publique Colsama « E » au secteur n°21 de Bobo-Dioulasso. En effet, dans la nuit du mardi 1er au mercredi 2 avril 2014, les voleurs se sont fait une ouverture par l’une des fenêtres de la classe de CM2, avant de commettre leur forfait. Les matériels étant disposé dans leur salle de classe, ce sont les élèves de la dite classe qui ont alerté les maîtres sur les effractions qu’ils ont constaté, en arrivant aux environs de 6h30 à 7h à l’école. Le personnel de l’école est confiant que les livres volés étant cachetés, les voleurs auront de la peine à les écouler. L’école lance également un appel aux populations pour l’aider à retrouver le matériel et les livres pour le bonheur et l’éducation des élèves.

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Un bas niveau des élèves à l’examen blanc de la JEC/Bobo

49 admis au Brevet d’études du premier cycle (BEPC) sur 391 élèves présents, soit un taux de 12,53%. A cela s’ajoutent 6 admis au BAC « D » sur 124 candidats (5,18%) et 13 admis au BAC « A » sur 78 candidats (16,075%). Ce sont là, les résultats des examens blancs organisés par la Jeunesse étudiante catholique (JEC universitaire et JEC du secondaire) de Bobo-Dioulasso, à l’occasion de son 5e Camp d’études. Même si les organisateurs se disent satisfaits de ces examens, ils regrettent le bas niveau des candidats. Cette situation pourrait s’expliquer selon eux, par le fait que des élèves n’avaient pas encore abordé en classe, certains chapitres des sujets de l’examen blanc. Par ailleurs, les élèves n’ont même pas la maîtrise du français avec donc pour conséquence, des difficultés à comprendre les sujets. A cela s’ajoute le manque de sérieux de certains dans la composition. Avec de tels résultats, rien n’est gagné d’avance, mais la JEC Bobo espère que les candidats tireront leçon de ces examens blancs et se mettront au travail pour les examens finaux.

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Bras de fer au lycée départemental de Béréba

Au lycée départemental de Béréba, un véritable bras de fer oppose l’administration et l’Association des parents d’élèves (APE), à un groupe de parents et d’élèves. Ces derniers pensent avoir assez cotisé pour le fonctionnement de leur établissement. En plus des frais APE qui s’élèvent à 10 000 F CFA par élève (la norme nationale étant de 5 000 F), chaque élève, candidat à un examen doit verser 1 500 F pour permettre à l’administration de convoyer son dossier à Bobo-Dioulasso. Ils doivent se saigner encore pour débloquer chacun 4 500 F afin de permettre à l’établissement de faire face aux frais liés à l’épineuse question de professeurs vacataires. Et c’est là, la goutte d’eau qui fait déborder le vase selon les parents d’élèves qui refusent catégoriquement de payer cette somme. En attendant de trouver un dénouement heureux, chaque partie campe sur sa position.

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La volaille, cible des jeunes chasseurs Bobolais

Les habitants de certains villages aux alentours de Bobo-Dioulasso ne sont pas contents des jeunes chasseurs de la ville de Sya. En effet, comme il est fréquent de le voir à Bobo-Dioulasso, des jeunes quittent la ville pour aller chasser en brousse et reviennent pour la plupart du temps, avec des lapins ou des perdrix. Mais depuis un certain temps, la chasse ne rapporte plus grand chose. Et pour ne pas rentrer bredouille, les jeunes chasseurs ont pris maintenant l’habitude d’abattre la volaille des villages qu’ils traversent. Ce phénomène a pris de l’ampleur à telle enseigne qu’il a été porté devant les autorités communales.

Sidwaya

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