Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Le Collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.C) réagit à travers la présente déclaration à la probabilité d’une modification de l’article 37 de la Constitution. Il exhorte les organisations de la société civile à se mobiliser dans un cadre unitaire et légal de lutte.
REACTION DU COLLECTIF DES FEMMES POUR LA DEFENSE DE LA CONSTITUTION (CO.FE.DE.C) AUX PROPOS DU PRESIDENT DU FASO A DORI
Le 12 décembre 2013, au cours d’une conférence de presse donnée après la commémoration du 11 décembre à Dori, le président du Faso a confirmé, à la suite de son petit frère François Compaoré, de son parti le CDP et de la FEDAP-BC, sa volonté de modifier une fois de plus notre Constitution en son article 37 par voie référendaire.
Cette volonté affichée par Monsieur Blaise Compaoré, au-delà de donner de la Constitution, la piètre image d’un simple journal intime dans le lequel il fait les annotations qu’il veut selon ses projets, constitue une grave menace pour la démocratie dans notre pays. Il n’est pas superflu de rappeler que la teneur actuelle de l’article 37 de notre Constitution est d’une part, l’expression de la volonté du peuple en 1991 et d’autre part la cristallisation d’une récente histoire douloureuse de notre pays. En effet, le peuple du Burkina Faso s’est exprimé le 02 juin 1991 par référendum, et depuis, ce choix populaire pour l’alternance inscrit dans la Constitution n’a jamais été appliquée dans notre pays. D’où vient-il alors la nécessité de consulter ce même peuple pour une option qu’il avait clairement exprimée et qu’il ne lui a jamais été permis d’expérimenter ?
Le Collectif des Femmes pour la Défense de la Constitution (CO.FE.DE.C) dont la raison d’être est la protection de notre Constitution contre les tripatouillages pour l’enracinement de la démocratie dans notre pays, s’indigne de cette volonté de la part du premier protecteur de notre loi fondamentale, d’ainsi la bafouer dans le but d’asseoir son pouvoir à vie, et par conséquent, élève une vive protestation contre cette énième atteinte à la Constitution.
Pour le CO.FE.DE.C, les propos du président du Faso, en cette occasion solennelle de la fête de l’indépendance de notre pays, traduisent une fois encore, le refus de la démocratie dans ses principes par le président Blaise Compaoré et ses compagnons et la volonté manifeste de patrimonialisation du pouvoir.
C’est pourquoi, nous, femmes du Burkina Faso, convaincues de la nécessité de respecter les règles du jeu démocratique pour préserver la paix sociale dans notre pays :
Interpellons, le président Blaise Compaoré, sur son rôle constitutionnel de protecteur de cette même Constitution de laquelle il tire sa légitimé ;
Demandons à Monsieur Blaise Compaoré, notre mari et le père de nos enfants, de n’agir que pour la préservation de la fragile paix sociale nécessaire pour l’épanouissement de nos enfants.
Appelons les organisations de la société civile (Front de Résistance Citoyenne « FRC », Comité d’Action pour le Peuple « CAP », organisations syndicales, etc.) et les organisations politiques opposées à ce projet, à se mobiliser dans un cadre unitaire et légal de lutte ;
Appelons toutes les femmes du Burkina Faso à se mobiliser pour faire échec à tout projet de tripatouillage de la Constitution et particulièrement la levée du verrou constitutionnel limitatif des mandats présidentiels.
Convaincu de la nécessité d’une unité d’action, le CO.FE.DE.C se joindra à toute initiative de la société civile ou de toute autre organisation visant à faire échec à la manipulation annoncée de la Constitution.
Pour le CO.FE.DE.C, la Présidente
Marie Madeleine SOMDA
Vos commentaires
1. Le 18 décembre 2013 à 15:13 En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Peine perdue chères mesdames !!!!!!!!!!
Le 19 décembre 2013 à 11:13, par Djabson En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Dignes Femmes du Faso, ensemble nous vaincrons !!!
2. Le 18 décembre 2013 à 15:28, par uncitoyen En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Merci à nos Braves Femmes ! Nul ne doute que dans un pays où il a existé jadis de dignes femmes et dont leur rôle dans notre société a marqué le cours le l’histoire il en existe et en existera toujours. Réveillez la conscience de vos sœurs et ensemble vous pourriez faire basculer les choses. Ne dormez plus et votre action sera inscrite sur de belles pages de l’histoire de notre pays. Voyez dans les pays arabes la détermination des femmes à côté des hommes est capitale pour la victoire.
3. Le 18 décembre 2013 à 15:37, par Mex100 En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Ainsi donc, l’alternance dans nos pays continuera hélas à être principalement assurée soit par la kalachnikov, soit par la mort naturelle des présidents soignés dans les meilleurs hopitaux étrangers. Le bulletin de vote ne servant qu’à habiller la patrimonialisation des ressources du pays.
En 60 ans d’indépendance, peu d’Etats, peu d’administrations, peu de services publics auront été construits.
La mesure la plus efficace pour transformer les taux de croissance mirobolants en developpement dans nos pays, c’est un embargo contre les soins de nos dirigeants et l’éducation leurs enfants à l’étranger.
Soumis aux mêmes conditions d’existence que leurs peuples, ils develepperaient enfin des infrastructures correctes dans leurs pays.
4. Le 18 décembre 2013 à 15:39, par yam la kafé ti sak yùubu En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Tout en appréciant l’ensemble de votre message, je suis particulièrement touché par l’expression "notre mari et le père de nos enfants" que employez en parlant de Blaise. Je reconnais là des africaines qui se battent dans la dignité et dans le respect de ce qui nous reste comme valeurs culturelles et sociales... Si Blaise a encore un coeur d’homme (humain), il versera des larmes en lisant cela, au regard de ce qu’il a fait et fait encore à vos maris et à vos enfants, c’est-à-dire à ses propres frères et à ses propres enfants. Mais je doute qu’il ait encore cette fibre sensible. Je doute qu’il voie en chaque burkinabe un frère, une soeur, un fils, une épouse.... Je ne pense pas qu’il ait encore cette fibre. Alors battez-vous pour que survivent, plutôt pour que vivent vos maris et vos enfants pour qui il n’a plus aucun égard.
5. Le 18 décembre 2013 à 15:40, par walai En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Je vous soutiens, mesdames ! Courage. Lorsque la femme est engagée, il n’ y a nul doute, elle y est de pleins pieds et de pleines mains.
Il faut que Blaisse sache, qu’on n’est pas là pour badiner avec lui. On le respecte en tant président et humain. Mais il ne faut dépasser les bornes. m’bon !
6. Le 18 décembre 2013 à 15:40, par walai En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Je vous soutiens, mesdames ! Courage. Lorsque la femme est engagée, il n’ y a nul doute, elle y est de pleins pieds et de pleines mains.
Il faut que Blaisse sache, qu’on n’est pas là pour badiner avec lui. On le respecte en tant président et humain. Mais il ne faut dépasser les bornes. m’bon !
7. Le 18 décembre 2013 à 15:40, par walai En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Je vous soutiens, mesdames ! Courage. Lorsque la femme est engagée, il n’ y a nul doute, elle y est de pleins pieds et de pleines mains.
Il faut que Blaisse sache, qu’on n’est pas là pour badiner avec lui. On le respecte en tant président et humain. Mais il ne faut dépasser les bornes. m’bon !
Le 19 décembre 2013 à 04:40, par dao2 En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Que dieu vous protege ,et vous benisse.
8. Le 18 décembre 2013 à 15:49, par Devoir Citoyen En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Chères vaillantes Dames, permettez moi de juste notifier un bémol dans votre déclaration qui somme toute est celle de presque l’ensemble de la population burkinabé. En effet, si Blaise veut passer par la voie parlementaire ou référendaire pour changer la constitution surtout dans son article 37, n’est nul doute un acte anti-constitutionnel puisque cette même constitution le permet et l’article 37 n’est pas verrouille. Pour cela, constitutionnellement il a bien le droit de le faire comme il a eu droit de changer la durée des mandats de septennat au quinquennat et bien profiter de la non rétroactivité de la loi pour encore séjourner au pouvoir 10ans de plus. Je voudrais aussi rappeler qu’en 1991 quand on avait écrit cette constitution pour la première fois il n’y avait pas de limitation de mandat dans son article 37.
Alors la question est de savoir comment cette limitation de mandat a 2 a été introduite dans la constitution ? Je voudrais juste dire que depuis le début c-a-d en 1991 en rentrant dans la démocratie, Blaise n’a jamais eu a l’idée l’alternance démocratique, il est rentre en démocratie pour légaliser ou légitimer son autocratie. Il avait tout planifie depuis le debut pour s’eterniser au pouvoir car tres sur de son plan et de ses subterfuges il allait tourner tout le monde en ridicule et c’est ce qu’il est arrive a faire jusque la (je me demande bien combien vaut le quotient intellectuel de notre classe politique pour se laisser mener en bateau depuis 26ans).
Je rappelle aussi que c’est suite au drame de Sapouy ou Nobert Zongo et 3 de ses compagnons ont perdu la vie et le soulevement populaire qui a suivi que Blaise a ete oblige pour calmer l’ardeur du peuple a prendre une serie de mesures politiques et sociales dont l’enquete internationnale independante, le college des sages, la journee du pardon, l’indemnisation des familles des victimes et finalement la limitation du mandat presidentiel a 2 dans l’article 37. En faisant tout cela, le malin Blaise avait plus d’un tour dans son sac, a savoir le changement de la duree du mandat pour se donner encore 10ans de plus après 14ans de democratie, soit en tout 24ans de democratie a la Burkinabe. Pour se donner encore une chance de rester a vie au pouvoir, il n’a pas verrouille l’article 37 comme au Niger dont la modification par voie referendaire a coute le pouvoir a notre cher Mamadou Tandja. Qu’a cela ne tienne, Blaise le celebre disciple de Machiavel, l’eleve ayant depasse le maître, a oublie qu’on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. Meme si notre cher Blaiso est en passe de devenir le maître en tripatouillage constitutionnel, meme s’il est confiant qu’il a deja la maitrise du peuple par l’achat des consciences et les promesses allechantes de postes ministeriels a certains partis politiques indignes, il a oublie que toute chose a une fin et que sa fin est bien 2015. La loi peut bien permettre des reformes mais il ne faut pas oublier l’esprit de la loi (comme on le dit souvent, il y a le texte mais il y a aussi le contexte) qui doit plus etre focalise sur la cohesion sociale et la paix au detriment des interets partisans et egocentriques. En 28ans de pouvoir, Blaise a donner tout ce qu’il pouvait pour ce pays et il est temps qu’il aille se reposer pour qu’un autre du CDP ou de l’opposition paracheve son oeuvre. La vie ne s’arrete point a une seule personne. Les hommes passent et les institutions ou pays demeurent. Ainsi va la vie mon cher president, Blaise Compaore. Si tu as encore de l’estime pour toi et ce pays, il faut savoir partir a temps et n’ecoute point ces charlatants qui gravitent tout autour de toi. A bon entendeur salut !!!!
Le 19 décembre 2013 à 08:38, par le vrai pouvoir En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Très bonne lecture mon frère. Bravo aussi à nos vaillantes femmes ! Que Dieu protège ma patrie
Le 19 décembre 2013 à 09:55, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Bonjour "bon citoyen" ,une partie de la vie de notre constitution vous a semble t-il échapé.Au début,i e en 1991 dans la première mouture de la loi fondamentale,les mandats présidentiels étaient bel et bien limités en son article 37:Le président était élu pour un mandat de 7 ans ;il est rééligible une fois.En 1997,le parlement révisait cet article pour rendre les mandats illimités :Le président est élu pour un mandat de 7 ans ;il est rééligible.Il a fallu attendre les évenements de Sapouy pour que Blaise se résignât à accepter l actuelle formule qui limite les mandats à nouveau ,tout en réduisant la durée de 7 à 5 ans.
9. Le 18 décembre 2013 à 15:49, par LE CORDO En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
ce que femme veut dieu le bénit . kallah protège mon bo pays
10. Le 18 décembre 2013 à 15:55, par gomsida En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Merci pour votre réaction, chères mères, soucieuses d’instaurer la démocratie dans notre pays. Il reste le corps médical, les enseignants, les autres fonctionnaires de l’administration et enfin les élèves et étudiants pour se lever dire non à la famille compaoré pour qu’elle quitte le pouvoir par la petite porte, si telle est vraiment sa volonté.
11. Le 18 décembre 2013 à 15:56, par MASSABAH En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
J’avais voter contre la constitution en 1991 est ce que je fais parti du peuple dont vous parler ? Ils y’a mes amis qui n’avaient pas 18 ans en 1991 n’ont ils pas le droit de dire ce qu’ils pensent cette fois ci et directement ? Arrêter de parler en notre nom . Demander ou ditent simplement au gens de voter tel ou tel option au cas ou .... c’est mieux. Moi et certain de mes amis et peut être une grande partie des Burkinabé avons besoin de s’exprimer directement pour finir avec cette histoire une fois pour toute.
12. Le 18 décembre 2013 à 16:00, par le citoyen En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
bravo à ces femmes soucieuses de l’avenir de leurs enfants !!!!!!!!!!!!!
13. Le 18 décembre 2013 à 16:05, par guandi En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
donnons nos pantalons aux femmes maintenant,elles sont plus courageuses que nous les hommes
au lieu de parler bcp aloons a l’action
14. Le 18 décembre 2013 à 16:14, par mamtifou En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Hé hé hé ! Blaise va vous n... toutes. Quelle force vous avez. Il va passer à travers vos monts et vallées par l’argent puisque c’est l’argent et la facilité que les femmes burkinabé aiment. Attendez . Vous verrez.
Le 18 décembre 2013 à 19:24, par vérité no 1 En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Il ne faut pas confondre nos mamans soucieuses de notre avenir à celles qui aiment la vie facile et les racourcis.
15. Le 18 décembre 2013 à 16:16, par Merci femmes En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Soutien aux femmes. Si vous vous mettez au sérieux dans la lutte, nous éviterons la patrimonialisation du pouvoir par le clan COMPAORE qui croit que sans eux, le pays doit mourir avec.
Vive les femmes responsables
Vive la liberté
Vive la République
16. Le 18 décembre 2013 à 16:30, par Kôrô djo En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Vives nos femmes et mamans conscientes qui voient le danger venir et qui ne souhaitent pas pleurer devant une tragedie qui se prépare à l’horizon suite à l’entêtement de la famille de Blaise COMPAORE qui souhaite brûler le Burkina faso avant de partir.
17. Le 18 décembre 2013 à 16:31, par panga En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Cela est salutaire surtout venant de nos Chères Mamans.
Soyez rassurer nous sommes débout et Blaise sait qu’après 2015 une autre personne sera au pouvoir mais pas lui ou son frère ou ses proches collaborateurs
18. Le 18 décembre 2013 à 16:35, par le pays reel En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Quand les femmes se lèvent c’est tout le peuple qui est debout. la protection de l’article 37 n’est pas pour empêcher la personne du chef de l’État de se présenter mais plutôt assoir une alternance démocratique durable dans notre pays . merci femme battante et consciente.
Le 18 décembre 2013 à 20:39, par reel En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Ah oui ? ce n’est pas pour empecher Blaise ? Pourquoi ne pas le faire par les urnes du referendum donc.? Si vous etes sur de votre truc, allez y ?
Le 19 décembre 2013 à 02:44, par Sobor En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Pourquoi le Référendum ? On vous voit venir Vous comptez sur le bétail électoral pour cautioner la trichérie du régime en place( cdp et ses responsables) spécialisé dans les bourrages et vols d’urnes. Tout cela a contribué à fausser la démocratie à la base.Le référendum n’est pas à l’ordre du jour ici.Respectez la Constitution point barre. Retenez ceci : la majorité n’a pas toujours raison !!!!!!!
19. Le 18 décembre 2013 à 16:37 En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
haya !! Ki avait dit Blaise vient d’ouvrir les hostilities ? C’est lui ou le peuple ? Mais les peuples sont toujours les plus forts.
20. Le 18 décembre 2013 à 16:38 En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
haya !! Ki avait dit Blaise vient d’ouvrir les hostilities ? C’est lui ou le peuple ? Mais les peuples sont toujours les plus forts.
21. Le 18 décembre 2013 à 16:46, par tagafé_fanga En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Voila qui est bien dit : bravo !!!
Il reste l’action sur le terrain car ces messieurs ne connaissent que le langage de la force. Ils veulent un bras de fer, ils l’auront car nous sommes prêts à tous les sacrifices pour sauver notre chère patrie des griffes de ces vampires.
Encore bravo mesdames, nous sommes à vos cotés. Vous faites honneur à la patrie, contrairement à certains poltrons qui ont été mis au garage par leur partie malgré eux et qui ont peur de s’assumer... Ils n’ont peut être rien dans la culotte.
22. Le 18 décembre 2013 à 16:55, par achillo En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Bonjour NOS CHÈRES MAMANS
Nous vous aimons très fort nos CHÈRES MAMANS POUR VOTRE FRANC PARLER ET VOTRE COURAGE LOUABLE.
Nous demandons le respect de la constitution en son état limitatif. Cette lettre nous va tout droit au cœur. Nous vous remercions infiniment. La jeunesse vous est reconnaissante. Merci merci merci CHÈRES MAMANS
QUE LE SEIGNEUR VOUS BÉNISSE ET VOUS AIDE AINSI QUE VOS FAMILLES.
"Heureux les artisans de paix car ils seront appelés FILS DE DIEU" Mt 5,9
"Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice car ils seront RASSASIÉS"Mt 5,6
PAIX A LA TERRE DU BURKINA. AMEN
ACHILLE TAPSOBA LE BOBOLAIS
23. Le 18 décembre 2013 à 16:58, par achillo En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Bonjour NOS CHÈRES MAMANS
Nous vous aimons très fort nos CHÈRES MAMANS POUR VOTRE FRANC PARLER ET VOTRE COURAGE LOUABLE.
Nous demandons le respect de la constitution en son état limitatif. Cette lettre nous va tout droit au cœur. Nous vous remercions infiniment. La jeunesse vous est reconnaissante. Merci merci merci CHÈRES MAMANS
QUE LE SEIGNEUR VOUS BÉNISSE ET VOUS AIDE AINSI QUE VOS FAMILLES.
"Heureux les artisans de paix car ils seront appelés FILS DE DIEU" Mt 5,9
"Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice car ils seront RASSASIÉS"Mt 5,6
PAIX A LA TERRE DU BURKINA. AMEN
ACHILLE TAPSOBA LE BOBOLAIS
Le 18 décembre 2013 à 18:28, par sidketa En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Le président ne peut certes plus se présenter mais une modification de la constitution qui est d’ailleurs légale à l’étape actuelle des chose pourrait légaliser et légitimer sa candidature.
C’est aussi cela la démocratie !
Le 18 décembre 2013 à 18:55, par JAMAICA En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
NOUS sommes prets.advienne que pourra.blaise sera tenu pour responsable de tout ce qui adviendrait au Burkina
Le 18 décembre 2013 à 20:22, par La loi En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Nous sommes avec vous
Le 18 décembre 2013 à 20:25, par Tiraogo En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Petit rappel : constitution adopté au fort-seps en 1991 où déjà les militants de l’ODP MT ne comprenaient pas pourquoi, on tenait à limiter le septennat à 2 mandats. Grâce aux honnêtes combattants pour la liberté, la constitution est adoptée. 2003(corrigez moi si je me trompe de date), on passe au quinquennat. Le CDP soutient que la loi n’est pas rétroactive donc ne s’applique pas au président en exercice. Les "grands juristes de la place" s’adonnent à cœur joie, aux cours de droit. Le peuple avale la couleuvre pour la paix sociale. Aujourd’hui encore, on joue sur les mots et la paix sociale pour terrasser l’éléphant. Le président vient d’avouer à Dori que nos lois et textes sont écrites dans une langue que nos populations ne comprennent pas. Mais il tient quand-même à consulter des "gens" qui ne comprendront pas ce qu’il veut leur dire. Quel aveu ! Que les Burkinabè ne se trompent pas : nous ne pouvons pas vaincre notre armée. C’est un régime militaire depuis 27ans. Nous sommes comme en Égypte. Et il n’y aura pas de changement sans la volonté de l’armée, croyez moi. Ceci dit, il faut tout de même continuer à se battre. Dans l’armée, il reste encore des gens honnêtes et ils peuvent "entendre la souffrance du peuple. courage aux femmes.
Le 18 décembre 2013 à 22:09, par cb En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Merci Tiraogo d’avoir épinglé la contradiction dans l’aveu !
24. Le 18 décembre 2013 à 17:17, par Amie En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Je voudrais dire une chose. Je suis une femme de cette association. Le jour ou le president mettra cette idee sur la table, on mobilisera toutes les vielles du Faso a marcher nues vers son palais. Cela va se reproduire tous les jours jusqu’a ce qu’il renonce soit a cette idee ou tue toutes les vieilles de son pays.
Le 19 décembre 2013 à 07:10, par kibare En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Au lieu de venir denigrer nos vieilles comme ca, je pense qu’il sera plus civilise de leur dire d’aller se prononcer dans les urnes lors du referendum, cadre civilise pour ces genres de chose. Madame, les temps ont "un peu" change au cas ou vous n’avez pas remarque !!!
Arretez d’etre emotionelle car le boom Africain qui s’annonce pour tres bientot ne pourra profiter qu’a une Afrique composee de personnes qui ont un charactere fort pour affronter la globalisation.
Le 19 décembre 2013 à 10:55, par simplicité En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
M. ou Mme Kibare, vous nous ennuyez de vos interventions insipides et soporifiques.
Le 19 décembre 2013 à 08:13 En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Vous n’atteindrez même pas le rond point de la patte d’oie
25. Le 18 décembre 2013 à 17:19, par Amie En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Je voudrais dire une chose. Je suis une femme de cette association. Le jour ou le president mettra cette idee sur la table, on mobilisera toutes les vielles du Faso a marcher nues vers son palais. Cela va se reproduire tous les jours jusqu’a ce qu’il renonce soit a cette idee ou tue toutes les vieilles de son pays.
26. Le 18 décembre 2013 à 17:23, par Peace En réponse à : Réaction du collectif des femmes pour la défense de la constitution (CO.FE.DE.C) aux propos du Président du Faso à Dori
Chères mamans, vous êtes une référence pour nous. Nous nous battrons jusqu’à la mort pour vous et pour la patrie
27. Le 18 décembre 2013 à 18:21, par Non au Senat En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Merci beaucoup pour cette sortie. Restons soudes pour la lutte qui est imminente. Non au senat, NON A LA MODIFICATION DE L’ARTICLE 37.
28. Le 18 décembre 2013 à 19:32, par vérité no 1 En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Belle initiative, si les Tanties s’investissent avec énergie et avec des moyens limités, c’est que l’heure est grave et Blaise doit sérieusement reflechir, on veut éviter le chaos dans ce beau pays d’hospitalité et de paix. Je conseille aux mamans de créer un fond de lutte et nous allons cotiser pour que vous puissiez organiser des sorties à travers le pays. Je suis partant.
29. Le 18 décembre 2013 à 19:33 En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Ce que femme veut, Dieu le veut et le bénit. Le siècle prochain appartiendra aux femmes et le monde changera qualitativement. Aussi, femmes du burkina, soyez les tanties de la constitution ou les amies de la constitution et nous vous suivrons. Vous êtes toujours plus visionnaires, plus intuitives que les hommes. Bravo, Bravo
30. Le 18 décembre 2013 à 21:18, par le boss En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Ce que femme veut Dieu veut...courage chères mamans votre volonté sera celle de Dieu et non celle Blaise son frère et chantou
31. Le 18 décembre 2013 à 22:08, par cb En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Chères mères, que je suis fier de vous, vous montrez à tous que vous êtes des dignes filles de la nation. J’ai particulièrement aimé cette phrase "Cette volonté affichée par Monsieur Blaise Compaoré, au-delà de donner de la Constitution, la piètre image d’un simple journal intime dans le lequel il fait les annotations qu’il veut selon ses projets, constitue une grave menace pour la démocratie dans notre pays". "Ceux qui vivent sont ceux qui luttent", c’est V HUGOT qui l’avait dit il y a bien longtemps, cela reste d’actualité.
32. Le 18 décembre 2013 à 22:35, par bogandé En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
cessons de parler bcp et allons au front pr proteger notr constitution
33. Le 18 décembre 2013 à 23:45, par Koro Djo En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
On est au courant.Votre collectif se limite à Madame SOMDA.
Le 19 décembre 2013 à 09:29 En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Tu ne merite pas ce nom koro
34. Le 18 décembre 2013 à 23:50, par weran En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
ah wi,a traver ss ecrit on sent une pleine dtermination du coté d nos sœur,femm,mère mè l’heur è d’alé sur l terain.
35. Le 19 décembre 2013 à 00:52, par karlos En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
bravo mamans,femmes,filles du faso on viendra vous soutenir.voilà des mamans qui veulent qu’ont sache qu’elle font confiance a leur enfants marie pour diriger ce pays là.sinon vos enfants sont foutus.
Le 19 décembre 2013 à 09:22, par CONSENSUSnèda En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
1991 - 2013 cela fait 22 ans d’âge pour notre constitution.
Je propose ce qui suit : on l’applique pour la dernière fois avec les élections de 2015 ; puis on fait le référendum sur une constitution mis-à-jour ; TOUT LE MONDE EST CONTENT ! Ou bien ?
L’alternance est assurée, la constitution est respectée, le référendum est fait, Blaise est content, les messieurs du balai sont contents, l’opposition est ravie etc... QUI N’EST PAS D’ACCORD ?
36. Le 19 décembre 2013 à 05:27, par Steeve BIKO En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
C’était mieux de dire "COLLECTIF DES FEMMES UPC". L’honnêteté politique et intellectuelle l’exige.
Cette manœuvre nous renseigne sur ce que l’UPC est capable une fois au pouvoir (si elle y accède)
37. Le 19 décembre 2013 à 07:41, par Sole En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Brave, brave et trois fois brave. Les femmes ont parlé très clair et sans aucune crainte.
38. Le 19 décembre 2013 à 07:41, par Sole En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
c’est une peine qu’existent tant d’hommes qui font entendus sourds les femmes et continuent de faire sa volonté impérieuse.
39. Le 19 décembre 2013 à 09:24, par aliende En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Le CDP et l’autre parti veulent transformer le Burkina en Centrafrique !!!
Nous sommes tous dedans. Si tu fuis avec tes enfants, tes frères soeurs mères pères seront là !!! On se mangera ici !!!
Donc faites comme vous voulez !!!
40. Le 19 décembre 2013 à 09:48, par un Citoyen En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Bravo aux valeureuses femmes ! "Si tu ne peux protéger le faible en bravant l’ennemi, donne ton sabre de Guerre aux femmes qui t’indiqueront le chemin de l’honneur..." Femmes du Faso, vous venez d’indiquer le chemin de l’honneur au peuple burkinabè !!!
41. Le 19 décembre 2013 à 09:52, par la loupe En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Bonjour tout le monde. bravos à ces femmes remplies de vertus. C’est vous rassurer que quand l’éclipse va venir et vous ne serez pas seules à faire le bruit pour honoré et perpétuer la tradition de nos ancêtres. Je sais aussi que tels qu’ils sont (les soldats) formés (absence de formation politique, comme disait un patriote, fils et aussi mari de ces femmes intègres) sont des criminels en puissance et n’hésiteront à ouvrir le feu sur les fils et filles de ce pays. Mais comme une guerre n’est pas une bataille ces tueries vont même inviter les âmes sensibles dans cette résistance. Ainsi, tout les corps armés, impliqués dans cette guerre seront combattus par les patriotes sur tous les fronts, à la rue comme à la maison et leurs familles ainsi que tout les êtres qui leur sont chers mourront lamentablement. La fin de l’éclipse verra l’installation d’un tribunal populaire pour statuer sur le sorts des ennemis (Blaise et son camps) de notre patrie. Rappelons nous que la fin justifie les moyens et que une femme intègre préfère être la veuve d’un héro que d’être la femme d’un lâche. A bientôt !
42. Le 19 décembre 2013 à 10:42, par simplicité En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Kibaré nous ennuie de ses interventions insipides !
Le 19 décembre 2013 à 11:57, par laabidi En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Celui qui veut, il n’a qu’à mobiliser sa maman à marcher nue pour protester contre des banalités.De grace n’offrez pas en spectacle nos pauvres vieilles que nous avons d’ailleurs du mal à entretenir du fait de notre pauvreté.Trouvez d’autres moyens, c’est plus responsable.
43. Le 19 décembre 2013 à 10:57, par BB En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Bravo à vous chères soeurs du faso, contactez-nous pour les actions à venir, moi je n’étais pas au courant de ce COLLECTIF et aidez-moi aussi à vous contactez et a adhéré que le TOUT PUISSANT nous soutiennent, nous guide et nous assiste. PUISSE LE TOUT PUISSANT guide également le Président du Faso pour qu’il puisse abandonner son projet qui n’augure pas un lendemain meilleure pour notre très cher PATRIE.
44. Le 19 décembre 2013 à 11:05 En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Au fait, que devient le CODECO de Hermann ? je crois que le temps de l’action a sonné
45. Le 19 décembre 2013 à 11:22, par L’invisible ! En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Je puis vous assurer que le jour où je vais maudire Blaise il partira de façon inattendue . mes prières sont imparables , croyez moi .
46. Le 19 décembre 2013 à 11:29, par chevalier En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
femmes dignes du Burkina et d’Afrique, en avant pour cette lutte combien noble et légitime.le pays réel vous soutien et vous soutiendra jusqu’à la victoire finale. une fois de plus merci chères mamans, vous qui êtes toujours soucieuses de l’avenir de vos enfants, petits fils et de notre cher pays, pour cette belle initiative. nous convenons entièrement avec vous que seule la lutte libère et ensemble nous lutterons et vaincrons. la patrie ou la mort, nous vaincrons.
47. Le 19 décembre 2013 à 12:43, par anta En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Ensemble, CHASSONS l’ENGEANCE !
48. Le 19 décembre 2013 à 15:19 En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
A quelle adresse on vous retrouve, vivement , courage
49. Le 19 décembre 2013 à 16:06, par bef En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
On vous connait. Vous ne représentez qu’une partie des femmes de l’opposition. Les propos que vous avancez sur la menace de la paix sociale vous est imputable car c’est vous qui voulez faire le trouble. Dieu vous jugera et gare à vous si l’enfant de quelqu’un se blesse.
50. Le 20 décembre 2013 à 15:33 En réponse à : Modification de l’article 37 : Le CO.FE.DE.C appelle à une unité d’action
Un professeur talentueux comme certain tente à nous faire croire ne parle pas bêtement comme ça