Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
A travers la lettre ouverte ci-après adressée à leur patron, le Chef de file de l’opposition politique, Zéphirin Diabré ; des travailleurs de l’institution l’interpellent sur l’insécurité de leurs emplois, vu que des collègues ont déjà été « licenciés ».
LETTRE OUVERTE DES TRAVAILLEURS DU CFOP-BF A MONSIEUR LE CHEF DE FILE DE L’OPPOSITION, ZEPHIRIN DIABRE
Objet : nos inquiétudes persistantes
Monsieur le Chef de file de l’Opposition,
Le 18 septembre 2013, nous vous adressions une lettre jusque là restée interne. Mais il convient aujourd’hui de rappeler son contenu au regard des deux sorties médiatiques successives et surprenantes du Directeur de cabinet, Monsieur François Tambi KABORE, dont vous êtes au courant. En rappel, voici ce que nous vous écrivions :
« Tout d’abord, nous adressons notre respect à vous-même, à votre prédécesseur, à tous ceux qui se sont battus depuis les années 2000 et antérieurement pour l’adoption d’un statut de l’opposition au Burkina Faso, aux responsables des partis de l’opposition, à leurs militants, sympathisants et à tous les Burkinabè qui luttent à différents échelons parce qu’ayant davantage pris conscience de leurs devoirs mais aussi de leurs droits.
Si nous avons jugé utile de vous écrire, c’est simplement parce que nous estimons qu’au regard de l’évolution de la situation actuelle, la question de la préservation de nos emplois doit être prise très au sérieux et non banalisée au risque de vous enfoncer dans l’erreur.
Nous nous interrogeons aussi sur la nature du climat qui s’instaure de plus en plus dans notre service et qui pourrait ralentir, voir anéantir la dynamique de nos acquis communs dont nous avons été les artisans de la première heure.
Notre souhait est que cette démarche aide le premier responsable de l’institution que vous êtes, à prendre la juste mesure de la réalité et d’y remédier le plus urgemment possible.
Ces préalables étant dits, il nous paraît important de rappeler les faits suivants :
Dès la première réunion de cabinet, les travailleurs que nous sommes ont été rassurés par le tout nouveau Chef de file de l’opposition que vous étiez concernant l’esprit de continuité par lequel vous entendiez consolider cette institution. C’était en présence de notre ancien Directeur de cabinet Meng-Néré Fidèle KIENTEGA et de l’actuel Directeur François Tambi KABORE, alors présenté comme Conseiller politique ;
Parmi les cinq (5) chantiers que vous avez annoncés en présence des responsables des partis de l’opposition et des Hommes de médias, figure en première position « l’ancrage institutionnel » du CFOP-BF.
Mais quelques mois seulement après, il est à noter que :
l’agent de liaison Idrissa TAMBOURA a été remercié et remplacé ;
le chauffeur Tasséré CONGO a été licencié et remplacé ;
une lettre a été envoyée à l’Inspection du Travail demandant les voies et moyens pour transformer les Contrats à durée indéterminée (CDI) en Contrats à durée déterminée (CDD) ;
Paradoxalement, vous jugez utile de signer des CDI avec les nouvelles personnes recrutées ;
Etc.
Fort de tout cela et vu l’accélération avec laquelle les actes autour des contrats de travail étaient posés et en l’absence d’échange préalable avec le personnel, le conseiller juridique par écrit, a suggéré au Directeur de cabinet, de prendre langue avec vous pour examiner sérieusement la situation. Il avait en outre affirmé sa disponibilité pour prendre part aux échanges (les autres employés étant en congé à l’époque). Cette proposition à ce jour demeure sans suite.
Monsieur le Chef de file de l’opposition,
Faut-il comprendre à travers ces actes une volonté de licencier progressivement les travailleurs que vous êtes arrivé trouver, avec des conséquences imprévisibles mais assurément négatives ?
Il nous convient de rappeler que nous avons dû faire face aux avertissements et autres mises en garde contre le risque de « brader » nos jeunes carrières professionnelles en nous consacrant assidument à cette institution, déclarée mort-née dès son ouverture par certains qui ne voulaient pas y fouler le pied. Nous restons conscients de notre responsabilité de contribuer à faire de cette institution celle qui servira de véritable tremplin pour une démocratie réelle dans notre pays et non un instrument banal et précaire susceptible d’être remise en cause par les premiers responsables qui l’animent.
Par ailleurs, nous observons avec vous qu’aucune institution de la république (Présidence du Faso, Assemblée nationale, Ministères, Mairies, etc.), fut-elle politique avec ses particularités, en dehors des postes politiques accessibles par suite de nomination ou d’élection, ne procède à des licenciements du personnel existant en vue de leur remplacement du fait de l’arrivée de nouveaux responsables malgré le droit qu’ils ont de s’organiser.
Ainsi, nous avons trouvé cohérent le changement que vous avez déjà opéré au poste de Directeur de cabinet. Par contre, les contrats des autres travailleurs ne sauraient être rompus de la même manière car il s’agit de respecter le principe de la continuité d’une administration dont vous avez héritée.
En tout état de cause, nous souhaitons que cette lettre soit une alerte digne de ce nom et non pas une source de tension inutile voire nuisible à notre institution commune.
Dans cette perspective et en présumant de votre bonne foi, nous vous demandons, en votre qualité de premier responsable de l’institution et dans les meilleurs délais :
De procéder au dédommagement conséquent de Tasséré CONGO, à défaut de sa réintégration dans la mesure où les droits légaux payés par vos soins se trouvent être dérisoires dans le cas d’espèces (contexte de vie chère, difficile de trouver un emploi, etc.) Cela évitera un procès dont l’issue, quelle qu’elle soit, ternira l’image de l’institution ;
De renoncer au processus de modification des contrats que vous avez initié en sollicitant le concours de l’inspection du travail. Autrement, nous nous demandons si l’on n’aboutira pas au licenciement de tout le personnel que vous avez hérité quand on sait que c’est la même inspection de travail qui, en 2010 et 2011, a visé nos contrats et dont copies ont été transmises au Président de l’Assemblée nationale ;
D’élaborer et adopter un statut clair pour tous les travailleurs afin de consolider et sécuriser les emplois déjà existants ;
D’instaurer un cadre de concertation avec tous les travailleurs sans exclusion en vue d’assurer la saine continuité de l’institution dans un climat où le droit d’exercer librement une profession est possible comme cela se fait dans les autres institutions afin d’atteindre ses objectifs républicains et démocratiques. Un tel cadre nous permettra de lever nos inquiétudes et d’aborder sereinement toute autre question non évoquée ici dans l’intérêt de la structure.
Vous en souhaitant bonne réception, veuillez agréer Monsieur le Chef de File de l’Opposition, l’expression de notre entière disponibilité. »
Telle était notre première lettre.
Nous ajoutons que la Secrétaire standardiste, Madame Rachel Ouédraogo née Lompo, qui avait signé cette lettre avec nous, a fini par rendre sa démission. Elle a préféré s’en aller pour trouver mieux ailleurs.
En réponse à notre lettre, vous avez bien voulu nous recevoir le lundi 23 septembre 2013. Au cours de cette rencontre, vous avez déploré le fait que nous ayions choisi de vous écrire au lieu de demander à échanger de vive voix avec vous. Votre souci était que la lettre ne soit publiée dans la presse. Nous nous sommes expliqués en son temps et jusqu’au moment où nous vous adressons la présente lettre ouverte, aucun d’entre nous ne l’a rendue publique. Quelques jours après, vous avez jugé utile, comme promis au cours de la rencontre, de nous adresser une correspondance en guise de réponse écrite pour vous conformer à un certain parallélisme des formes. Là encore, aucun d’entre nous n’a exposé votre réponse à la presse.
Malheureusement et contre toute attente, la quasi-totalité des termes de votre correspondance que vous nous avez adressée et défendant votre démarche a été largement expliquée à deux reprises dans la presse par le Directeur de cabinet. Des aspects de la rencontre interne du 23 septembre 2013 ont même été exposés. Nous en voulons pour preuve l’article paru sous le titre « Chef de file de l’opposition politique : ces licenciements à problème » dans le journal « Le Reporter » N° 127 du 1er au 14 octobre 2013 où il apparait clairement que le Directeur a reçu un journaliste pour lui expliquer les choses.
Non satisfait du compte rendu que le journaliste a fait sur l’affaire, il est revenu à la charge à travers une correspondance qu’il a lui-même signée et faite publier dans le Reporter N°128 du 15 au 31 octobre 2013.
Monsieur le Chef de file de l’Opposition,
Comme vous le constatez, nous avons tenu à remplir notre devoir de réserve et de loyauté. Cependant, vos sorties médiatiques sur la question à travers les écrits du Directeur de Cabinet constituent un manque d’égard à l’esprit de réserve auquel il fallait s’en tenir.
C’est pourquoi, nous ne pouvions plus nous taire et nous résigner face à une situation devenue publique et prise en charge par une certaine opinion qui demande à comprendre ce qui se passe réellement. Donner notre version des faits à l’opinion publique s’impose à nous aujourd’hui.
Pour en venir à nos inquiétudes persistantes, nous souhaitons faire quelques observations étant entendu que vous maintenez la logique de remise en cause de nos contrats de travail.
En effet, pour soutenir votre démarche, vous évoquez entre autres :
l’absence d’une administration du Chef de file de l’opposition ;
l’absence d’un budget pour le Chef de file de l’opposition mais une dotation qui n’est ni sûre, ni prévisible ;
la volonté de ne pas lier les mains de votre successeur ;
le fait que vous n’avez pas encore signé de contrats avec nous ;
l’adaptation de la qualité et du nombre du personnel aux objectifs ;
la rupture de nos contrats par votre prédécesseur en décembre 2012 ;
le paiement de nos salaires de janvier, février et mars par souci humanitaire ;
le manque de confiance pour justifier le licenciement du chauffeur.
Monsieur le Chef de file de l’Opposition,
Nous sommes au regret de constater que vous persistez dans le mauvais sens. Vous vous focalisez sur les textes régissant le CFOP pour défendre vos positions en minimisant d’autres textes de lois d’importance capitale comme le Code du travail au Burkina Faso.
Faisant l’économie de la polémique autour de l’existence ou non d’une administration du CFOP-BF, il est clairement indiqué à l’article 2 du Code du travail en vigueur, qu’« est considéré comme travailleur, toute personne qui s’est engagée à mettre son activité professionnelle moyennant rémunération sous la direction et l’autorité d’une autre personne physique ou morale, publique ou privée, appelée employeur... ».
En conséquence, votre argument de l’absence d’une administration n’a aucune incidence sur nos rapports contractuels.
Concernant l’absence de budget
Vous dites que le Chef de file de l’opposition reçoit une dotation dont il est le seul maître de l’affectation et de l’utilisation. Cette dotation qui n’est pas un budget, dites-vous, « peut varier à la hausse comme à la baisse. » Soit ! Mais, vous semblez ignorer qu’aucune structure privée ou publique, personne physique ou morale, ne peut s’assurer qu’elle aura toujours des ressources constantes ou croissantes. Et pour l’instant, nous constatons avec vous que la « dotation » du CFOP est régulière et croissante même si une relecture du statut de l’opposition est en cours. Par conséquent, le processus de modifier des CDI en CDD n’est-t-il pas vraiment une façon indirecte de poursuivre les licenciements ?
Si vous estimez que nous avons une mauvaise compréhension des raisons pour lesquelles vous voulez procédez à ces modifications, comment expliquez-vous le fait que vous signez des Contrats à durée indéterminée (CDI) avec ceux que vous venez de recruter et ce malgré le fait que vous dites ne pas vouloir « lier les mains de votre successeur » ?
Nous estimons que le processus de modification de nos contrats de travail en Contrats à durée déterminée (CDD) est une discrimination pure et simple proscrite par l’article 4 du Code du travail. Cette discrimination, nous la trouvons inacceptable et injustifiée. Pour autant, nous ne souhaitons pas non plus que par pure stratégie de défense devant l’opinion publique et au regard de la loi, les nouveaux contrats qui sont des CDI soient modifiés en CDD car les intéressés (les nouveaux employés) sont désormais des travailleurs au même titre que nous.
Le fait de dire que vous n’avez pas encore signé de contrats avec nous
Vous dites n’avoir « pas encore signé de contrats » avec nous alors même que nous travaillons ensemble depuis votre prise de fonction le 17 avril 2013. Selon vous, votre prédécesseur a mis fin à nos contrats.
Cela vous fait dire que vous avez payé nos « salaires de janvier, février et mars 2013 par souci humanitaire » car vous ne sauriez être comptable des faits antérieurs à votre « prise de fonction ». Nous voulons bien comprendre le sens que vous donnez à « humanitaire ». Mais pouvez-vous un seul instant pensé accéder à de nouvelles responsabilités en ignorant tout ce qui existe déjà, aussi bien en passif qu’en actif ?
Ainsi, nous observons que tout le matériel (véhicule, moto, ordinateurs, chaises, tables, etc.) acquis antérieurement à votre prise de fonction que nous utilisons avec vous dans le cadre du service comme biens publics profite largement à votre mandat. Ce qui est une bonne chose à notre sens.
Aussi, de notre point de vue, le sens de l’humanitaire que vous revendiquez devrait vous guider à éviter des licenciements ou remerciements même si vous en avez le pouvoir. Ce fut pourtant le sort de nos deux collègues qui ont été mis au chômage alors qu’ils n’ont commis aucune faute. Pourtant, d’autres alternatives acceptables auraient pu être trouvées.
Nous regrettons par ailleurs votre option d’aller jusqu’au Tribunal de travail pour régler le contentieux que vous avez avec le Chauffeur suite à son licenciement.
Sur l’organisation du Cabinet
Vous évoquez aussi la loyauté, la qualité et le nombre des agents en rapport avec vos objectifs. Malheureusement, sur cette question, le Directeur de cabinet l’évoque sous forme de menaces dans la presse à en ces termes : « les autres sont toujours là. Si ceux qui sont là témoignent d’une attitude déloyale vis-à-vis du CFOP, il n’hésitera pas, il va s’en séparer. » N’est-ce pas là un indice de recherche forcée de motif de licenciement car comme dit l’adage « qui veut répudier sa femme l’accuse par avance de sorcellerie » ?
Nous sommes surpris par un tel discours teinté de « souci humanitaire » et tenons à dire que chacun de nous exerçait déjà une activité professionnelle dans d’autres structures avant d’être recruté au CFOP, qui n’existait que sur papier, dont l’ambition est de contribuer au renforcement de la démocratie.
Nous notons aussi que depuis votre prise de fonction le 17 avril 2013, vous n’avez fait mention d’aucun reproche professionnel ou moral à qui que ce soit parmi nous y compris le chauffeur récemment licencié.
Monsieur le Chef de file de l’opposition,
Nous vous invitons encore une fois à prendre la mesure de ce que le malaise persiste et prend même des proportions inquiétantes. Toutefois, nous osons croire qu’il existe encore de meilleures formules pour répondre à nos préoccupations, pourvu que la franchise et l’ouverture d’esprit avec lesquelles nous vous parlons soient prises à leur juste valeur.
Le cas échéant, nous souhaitons ne plus être l’objet de manœuvres, d’actes ou de propos malveillants qui, à termes, portent atteinte à notre dignité de travailleur. Aussi, nous choisirons toujours de dire la vérité en toute conscience devant toutes les pressions morales et psychologiques sur fond de discrimination ou de licenciement à caractère « humanitaire » dont nous ferions l’objet.
Veuillez recevoir Monsieur le Chef de file de l’Opposition, l’expression de nos salutations distinguées.
Ampliations :
S.E.M. le Président de l’Assemblée Nationale
Monsieur le Directeur régional du travail et de la sécurité sociale du Centre
Tout parti politique de l’opposition
Messieurs les Présidents des groupes parlementaires de l’opposition
Syndicats
Monsieur le Président du MBDHP
Presse
Ouagadougou, le 23 octobre 2013
Ont signé :
Bernard TAGO, Attaché juridique
Amidou KABRE, Chargé de la communication et de l’information
Siaka BARRO, Chargé du protocole
E-mail : travailetdignite@gmail.com
Vos commentaires
1. Le 24 octobre 2013 à 01:36, par Cami En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Vous voyez des gens qui rêvent par cauchemard de gouverner le Faso et qui ne peuvent même pas s’occuper d’une administration d’une dizaine de membre !!!
A peine arrivé, Zephirin licencie pour nommer ses proches parents. C’est vraiment lamentable.
Chers employés au siège de l’opposition, contactez nous pour qu’on vous offre les services d’un avocat.
A tous ceux qui soutiennement l’opposition, il est temps de vous resaisir.
Venez au CDP avec son Excellence Blaise Compaoré pour un Burkina prospère.
Le 24 octobre 2013 à 14:17, par COOL En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Héééé ! Zéphirin n’a jamais licencié pour nommer ses propres parents. N’instrumentalise pas les choses. Il ya une main énemie en quelque part
Le 25 octobre 2013 à 08:45, par citoyen En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Renseigne toi car ceux qu il a recruté sont tous ses proches.
Le 24 octobre 2013 à 15:19 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Laisse les Cami, les gens sorons ce que le Bissa est capable si par hazard il se retrouve à Kossyam. On va tous nous licencié dans nos structures pour emmener les parents nous remplacer.
2. Le 24 octobre 2013 à 01:37, par Néssida En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Comment peut il prétendre gouverner un pays s’il ne peut même pas donner l’exemple dans un cabinet restreint. Dans un contexte de vie chère il aurait dû demander au gouvernement de revoir les salaires des travailleurs de cette institution au lieu de vouloir les traités comme des cas sociaux. Cela fait la 2è fois que j’entends le CFOP dire qu’il ne faut pas que la presse en prenne connaissance ; Ce monsieur m’inquiète bcp. Veut-il gérer le budget du CFOP comme une caisse noire du temps où il était ministre ? Il faut qu’il revienne à la raison car les choses en changé.
3. Le 24 octobre 2013 à 01:38, par Diabré En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
on vous avait demandé d’attendre d’abord avant de parler à la presse non ?
C’est un linge sale que nous allons gerer.
Le 25 octobre 2013 à 10:53 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Il faut bien lire avant de réagir.Car tu n as pas compris.
4. Le 24 octobre 2013 à 01:46, par Tuina En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Quoi, zeph, ne fait pas ça.
Nos ennemis nous regardent
Le 24 octobre 2013 à 19:46 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Me SANKARA revient vite au CEFOP, on te regrette déjà. malsheureux ce Zeph
5. Le 24 octobre 2013 à 08:25, par Simplicité En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Ça sens du brûlé dans l’opposition !
6. Le 24 octobre 2013 à 08:31, par BF En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
C’est toujours comme ça, on voit toujours la paille dans l’œil l’autre et pourtant on est pire. Un petit cabinet de quelque personne et on arrive même pas à le gérer et on prétend vouloir gérer tout est un pays. Bon ils disent qu’ils parlent au nom du peuple et d’ailleurs même de quel peuple, en tout cas c’est nous dèèèèè. Vous traité d’action dérisoire les récentes mesures sociales du gouvernement alors que vous en créez dans cas sociaux allez y comprendre
7. Le 24 octobre 2013 à 08:32, par Fan yéllé En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
si tel est le cas, vivement qu’il se ressaisisse pour ne pas se discréditer. On les connait avec leur sentiment de favoritisme à leur ethnie ;
8. Le 24 octobre 2013 à 08:39, par Cody En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Certaines fonctions requièrent une certaine complicité entre l’employeur et l’employé. Dès que cette complicité, ou cette confiance n’y est plus, vous êtes obligé de vous séparer de cet employé sans etat d’ame.
9. Le 24 octobre 2013 à 08:48, par yelsida. En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
le chef de file de l’opposition politique doit être entouré par des hommes et des femmes en qui il a entièrement confiance. que ceux qui se plaignent aujourd’hui nous disent par quelle manière ils ont accéder à ses postes.( par un concours ou par cooptation de l’ancien CFOP).
le petit personnel tel que chauffeur, agent de liaison , cuisinier...doit avoir des contrat à durée déterminé ayant un lien avec le mandat du CFOP. le reste du personnel peut être puisé au niveau de l’administration publique ou au niveau de la fonction publique parlementaire afin d’éviter des polémiques inutiles dans l’avenir.
Le 24 octobre 2013 à 11:20 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Bien dit. tout à fait d’accord avec vous. Comment voulez vous que je garde le même cuisinier par ex que mon prédécesseur pendant qu’il ne m’inspire pas confiance.
Le 25 octobre 2013 à 00:35, par Néssida En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Je suis désolé mais le CFOP est une institution et non un parti politique ! Il faut bien savoir faire la part des choses car on est CFOP aujourd’hui et demain on l’est pas mais les fonctionnaires institutionnels doivent rester en place ! Comment peut on parler de loyauté alors que cela ne fait pas parti du règlement du CFOP ? Voila comment des opposants entretiennent eux même le flou pour bien se sucrer au détriment du pauvre peuple burkinabé !
Le 25 octobre 2013 à 07:45 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Désolé, mais prenez la REGAP et voyez la définition de "Fonctionnaire" et vous comprendrez si vous êtes de bonne foi qu’il ne peut pas s’appliquer de façon générale à tout travailleur du public.
Le 25 octobre 2013 à 08:57 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Peux tu nous dire comment Zeph a recruté les nouveaux employés au CFOP ?Un mauvais conseiller comme toi ne peut que ternir l image de Zeph.Encore une fois de plus lis bien la lettre car tu n as rien compris oubien tu as des problèmes de raisonnement.la gestion de cette situation nous orientera sur Zeph.
10. Le 24 octobre 2013 à 08:59, par Cody En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Certaines fonctions requièrent une certaine complicité entre l’employeur et l’employé. Dès que cette complicité, ou cette confiance n’y est plus, vous êtes obligé de vous séparer de cet employé sans etat d’ame.
11. Le 24 octobre 2013 à 09:05, par claver En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Ce que ces travailleurs ne nous disent pas, c’est comment ils ont été recrutés. Dans leur lettre, pour garder une certaine logique ils auraient du éclairer l’opinion sur le processus qui a abouti à leur recrutement. Jusqu’à la prise de fonction du nouveau CFOP, tout les travailleurs qui y étaient sont des militants de l’UNIR/PS. Je pense que pour beaucoup plus de crédibilité il faut revoir les contrats de tout les travailleurs. D’ou l’idée de repenser l’organisation du CFOP dans son ensemble
Le 24 octobre 2013 à 09:28 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Mon cher Claver, on s’en fout du mode de recrutement. Un travailleur=Un travailleur. Même s’ils étaient recrutés au siège de ton parti l’UPC, on ne peut pas leur faire comme ça. Quitte dans ça Zeph.
Le 24 octobre 2013 à 10:08, par Paligba En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Un travailleur n’est pas égal à un travailleur. Un travailleur qui n’apporte rien à une institution est licencié et remplacé par un autre plus compétent.
Prend le cas de certaines structures du système des Nations Unies. Non seulement le contrat est annuel au maximum, mais le poste est mis en compétition chaque année car il ya de nouvelles compétences qui viennent dans le marché de l’emploi.
Tu était le meilleur l’année dernière mais ce n’est pas sur que tu le sois cette année.
Le 25 octobre 2013 à 00:37, par Néssida En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Aux nations unies c’est vraiment la transparence et on ne renvoie pas un chauffeur sans raison comme Zeph l’a fait au mations unies !
Le 24 octobre 2013 à 09:33, par prudence En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
C’est du chantage et non de la négo. Je ne vois pas là où la loi a été violée.
Le 24 octobre 2013 à 09:38, par republicain En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
ce sont les caractéristiques du néolibéralisme. Zeph, si tu n’y prends garde ces licenciements seront pour toi ce qu’est le sénat pour Blaise.
Le 24 octobre 2013 à 10:10, par vrai En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
En haaaaa tu Vois cetait CA lobjectif ternir l’image de ce monsieur qui depuis son accession a la tete de l’opposion a bousculer Les choses dans ce pays.cela fais 26 ans Les gens se sont trop habitues( corruptions, detournement, mal gouvernance, assassinats, ....) pour accepter ce changement. Tous Les moyens sont bon pour ternir l’image de cet monsieur et faire croire au gens que dans ce pays tout doit rester comme dhab. Moi je pense qu’au lieu de se ridiculiser avec de tel aventure il faille mieux pour ces travailleurs du cfop je ne sait combien dargent Les y a motives a cela approcher Le ministere charge du travail pour poser Le bleme si vraiment ya bleme.
Le 25 octobre 2013 à 15:57 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Tu n as rien compris au contraire que Zeph resolve les inquietudes de ces jeunes et il en ressortira plus grand.
Le 24 octobre 2013 à 09:41 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Le CFOP est une institution hautement politique, les agents doivent s’attendre à tout. vous croyez que le nouveau patron n’est pas d’informations, de renseignement sur chacun des travailleurs ?
Le 24 octobre 2013 à 09:46, par republicain En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
quelque soit le parti d’ou ces jeunes viennent, ils ont fait un boulo qui peut aider à l’alternance. c’était à zeph de s’élever plus haut que ça. cette façon de faire va tirer l’opposition en arrière.
Le 24 octobre 2013 à 09:52, par citoyen En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
UPC c est d abord l UNION.Que Zeph fasse beaucoup attention car lui aussi à signé des CDI avec ceux qu il vient de recruter.Et le materiel qu il utilise ?Je pense qu il doit se mettre au dessus et regler cette affaire dans le sens de la continuité.Ce n est que dans cette logique qu il sera mieux soutenu contre le pouvoir en place.
Le 24 octobre 2013 à 09:54, par saksida En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Bonnet blanc, blanc bonnet même chose. UNIR/PS = UPC ; DIABRE = SANKARA. Quelque soit le processus du recrutement mis en œuvre, ils sont salariés de l’institution. C’est pas parce qu’ils sont des militants UNIR/PS qu’il faut les licencier. D’ailleurs le CFOP a la chance qu’ils sont de l’opposition ; même s’ils étaient militant CDP, c’est leur droit de conserver leur poste s’ils n’ont pas enfreint aux dispositions contractuelles. Je ne suis pas sur que les nouveaux recru ont fait l’objet d’une procédure ouverte et transparente. Mon inquiétude est ce qu’ils sont pas tous bissa, c’est à vérifier.
12. Le 24 octobre 2013 à 09:10, par L’optimiste En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Vue la liste des signataires , il est claire que Zeph aura fort à faire. Le CDP a de quoi mettre le bâton dans tes roues. Les grands hommes ont toujours eu leur parcourt jalonné de difficultés. Le peuple éclairé du Burkina sera toujours avec toi. Bon courage !
13. Le 24 octobre 2013 à 09:16, par Digne Yarga En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Le linge sale se lave en famille. Apprenez a remuer plusieurs fois la langue avant d’ouvrir la bouche. Je ne suis d’aucun parti politique mais je vous dit ceci : Vous auriez pu attendre le retour de Mr. Zephirin Diabre de son voyage avant de faire cette declaration inutile. Si j’etais a la place de Mr Diabre, je ne vous ecouterais plus. C’est totalement irresponsable, cette sortie. Si vous estimez votre licenciement abusif, adressez-vous aux juridictions competentes.
Donc quand on prend fonction, on n’a pas le droit de licencier qui que ce soit parcequ’on est venu le/la trouver ? Est-ce que le Premier Ministre n’a pas remercie certains ministres ? Est-ce que Assimi Koanda n’a pas remercie les anciens barons du CDP ? Circulez, il n’ya rien a voir.
14. Le 24 octobre 2013 à 09:21, par Xankyee En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Je ne supporte ni l’Opposition, encore moins le parti au pouvoir (le CDP). Mais je trouve qu’un tel problème aurait pu aisément trouver solution en interne a travers une discussion franche avec votre patron. Pas besoin de mettre ça sur la toile. Si une discussion en interne ne vous aurait pas donné gain de cause, il y a bien d’autres voies légales pour vous faire entendre. Lefaso.net n’est pas une institution publique, ce n’est qu’une entreprise privée qui diffuse de l’information. A ce titre, elle ne pourrait vous donner satisfaction même si vous pensez que le fait que pensez que le fait d’avoir d’étalé votre linge sur la place publique pourrait contribuer a quelque chose. Honte a vous ! Venez travailler dans le Privé et vous verrez pire..
15. Le 24 octobre 2013 à 09:26 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Pourquoi "Me SANKARA" a osez signer des CDI avec le CFOP ? quel collaborateur de Blaise est sur contrat ? Zeph il faut tout faire pour que les collaborateurs du CFOP soient pris par nommination.
16. Le 24 octobre 2013 à 09:26, par sak sida En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Je suis contre ce régime certes, mais ce Z. Diabré ne m’inspire pas du tout confiance. Il est tout sauf un présidentiable. Si tu n’as pas une ouverture d’esprit pour surmonter ces petits soucis, il ne faut pas nous embarquer dans une destination inconnu. Je haie toute l’opposition burkinabè. Chacun lutte juste pour lui, personne n’est prêt pour se sacrifier pour le peuple. Ce qui témoigne leur multiplicité. Moindre chose chacun claque la porte pour aller créer son parti ; ça veut dire quoi cette histoire ? Vous ne pouvez pas vous mettre au sérieux ? Copier un peu la CI, Bédié refuse de partir mais ses opposants travaillent à lui pousser à la sortie, ils ne cherchent pas démissionner.
Mes respects au professeur BADO, même si les gens ne t’ont pas compris. Tu demeure un grand homme parmi ces vautours.
Le 24 octobre 2013 à 09:56, par prudence En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Tu es hors sujet Sak sida
17. Le 24 octobre 2013 à 09:39 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
En tous cas, nous attendons le droit de reponse de M. Zephirin Diabre. Cette lettre relate des informations a prendre serieusement pour nous qui voulons que ce Monsieur soit le prochain president du Faso. Si cela s’avere vrai, je prendrai les dispositions qui sied pour rebondir sur un autre candidat qui m’a l’air serieux. M. Diabre, nous attendons vivement votre droit de reponse.
Le 24 octobre 2013 à 09:56, par republicain En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
je crois que Zeph, n’est pas conseillé, il aurait pu éviter ça. c’est une question qui fallait bien gérer mais l’écrit du directeur a tout gâté.
Le 24 octobre 2013 à 10:00, par Paligba En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Vous vous trompez. Mr DIABRE ne peut pas descendre aussi bas que ces agents.
Avez vous déjà un droit de réponse de Mr DIABRE dans la presse ?
Le 24 octobre 2013 à 13:46 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Ha bon donc comme ça Mr diabré n’est pas n’importe qui pour descendre aussi bas que ces potentiels électeurs héééé pardons agents ? Ok le masque est tombé, merci paligba je commence à voir claire dans le jeu de diabré. Comme quelqu’un l’a dit Mr Tolé est un oracle car il nous a prévenu. en bon entendeur salut le peuple
Le 24 octobre 2013 à 10:16, par citoyen En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Les travailleurs ont réagi car le Dir_Cab a étalé le contenu d une de leur reunion avec Zeph à la presse.Le combat n est pas contre ces jeunes innocents qui ont acceptés de travailler avec et pour l opposition mais avec Blaise.Si c est Me Sankara qui avait remplacé Zeph,nous n allions jamais le soutenir dans cette lance.
18. Le 24 octobre 2013 à 09:50, par Paligba En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Voyez vous ? Vous êtes dans des problèmes et vous pensez qu’il faut en créer également au CFOP avant de partir. Le système "on sort ensemble ou on meurt ensemble".
Monsieur Bernard TAGO, vous étiez attaché juridique du CFOP et je suis vraiement déçu quand je vois le désordre dans lequel votre écrit se présente.
Vous avez été licencié le 31 décembre 2012 oui ou non ? Si oui qu’est ce que vous êtes venu chercher au siège du CFOP le 02 janvier 2013 ?
Si vous pensez que votre licenciement a été abusif, pourquoi ne pas utiliser la voie judiciaire pour rentrer dans vos droits ?
Quand vous parlez de transformation de CDI en CDD, de quels CDI vous parlez ? Puisque vous ne contredisez pas le CFOP quand il dit qu’il n’a pas signé de contrat avec vous ?
Et puis entre nous, comment avez vous été recrutés ? Moi je suis un éternel chercheur d’emploi très bien informé sur les vacances de postes mais je n’ai jamais lu un avis de recrutement publié par le CFOP.
Quand on a des compétences dans ce monde globalisé on a pas besoin de faire du bruit pour un emploi.
J’ai travaillé pour 12 structures en 20 ans et je sais donc de quoi je parle. Relisez le CV du CFOP et vous comprendrez que vous ne pouvez pas nous convaincre qu’il est la vulgaire personne que vous vous voulez nous présenter.
Voici comment je vois les choses : L’ancien CFOP s’était entouré de personnes incompétentes qu’il n’a pas voulu transférer à son successeur. Il a donc pris le soins de mettre fin au contrats avant de partir.
Le nouveau croyant bien faire s’est dit qu’au lieu de les laisser tous partir avec la mémoire de l’institution, il va les essayer et garder ceux qui pourront faire le chemain avec lui. C’est ainsi qu’il se separe au fur et à mesure de ceux qui n’apportent rien à l’institution.
Certains voyant venir les choses et conscients qu’ils n’ont aucune expertise à monnayer ailleurs préfèrent semer le désordre avant de partir (étant tous des proches du CFOP, ils savent bien qu’il n’a pas besoin de cette publicité au moment où se dressent devant lui de grands combats).
Un conseil au CFOP : Vous savez plus que moi que les relations de travail peuvent toujours être rompus même s’il ya un prix à payer. Pour le cas précis, il me semble qu’un climat de confiance n’existe plus entre vous et vos collaborateurs, ce qui ne permet pas un bon fonctionnement de l’institution. Confiez ce petit dossier à un conseiller juridique, recrutez de nouveaux collaborateurs car le travail qui vous attend est énorme et 2015 c’est demain.
Le 24 octobre 2013 à 10:05, par republicain En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
c’est extraordinaire ce que je vois. ces travailleurs ont supporté beaucoup de chose. le droit du travail s’en vous de politique. et les juges apprécierons.
Le 24 octobre 2013 à 10:06, par prudence En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
bien dit Paligba. j’ajoute qu’il s’agit d’ingratitude caractérisée. Trois mois de salaire par pur humanisme. Ou trouve t-on encore cela au pays ?
Le 24 octobre 2013 à 16:12, par citoyen En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Ces travailleurs ne sont pas restés à la maison pour recevoir ces trios mois de salaire.Car le CFOP n a jamais été fermé grace à eux.Faisons attention à cette histoire d humanisme,Si zeph n a rien à les reprocher qu il les laisse tranquille.
Le 24 octobre 2013 à 10:15, par republicain En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
tolé sagnon est un prophète. il a prédit le comportement de Zéphirin Néolibéral DIABRE.
les Burkinabe finirons par comprendre.
19. Le 24 octobre 2013 à 09:52, par vrai En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
En voici des fanfards encore. Combien avez vous ete achete pour de telles declarations minables et vous ressemblant pile poile. Comme quoi tous Les moyens sont bon quoi !!!cest la politique mais sachez que vous n.auriez pas besoin de toute cette energie pour faire votre pub
20. Le 24 octobre 2013 à 10:10, par karimson08 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
je comprends jamais les Burkinabe, toi qui est dans UPC (C pour le changement) et tu refuse d’etre remplacer (le vrai changement)
21. Le 24 octobre 2013 à 10:11, par vrai En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
En voici des fanfards encore. Combien avez vous ete achete pour de telles declarations minables et vous ressemblant pile poile. Comme quoi tous Les moyens sont bon quoi !!!cest la politique mais sachez que vous n.auriez pas besoin de toute cette energie pour faire votre pub
Le 24 octobre 2013 à 10:27, par republicain En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Aucun travailleur n’exige à un employeur un mode de recrutement. il apprécie si le contrat l’arrange et c’est normal. Paligba, Zeph a aussi récruté je suis chomeur mais j’ai pas vu son offre nul part.
Le 24 octobre 2013 à 10:30, par citoyen En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Monsieur Diabré,vs ne reprochez rien à ces jeunes alors en rapport avec votre esprit d UNION,de large rassemblement,laissez ces jeunes évolués à vos cotés au CFOP.Cela ne fais que vous rendre plus grand.
Le 24 octobre 2013 à 20:19, par suggri noma En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Zeph pardon debarasse toi rapidement de ses gens la .ils ne sont pas des travailleurs mais des espions a la solde du pouvoir. Dieu merci ils se sont devoiler tres tot .vraiment les burkinabe sont content de toi.prenons l exemple du chauffeur, qui est bete pour se faire conduire par n importe qui.En 2015 quand le cdp sera au commande du cfop il peut les reprendre.chacun vient avec ses hommes.
Le 24 octobre 2013 à 10:35, par republicain En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
pensez vous que tous ceux s’expriment en défaveur de Zeph, sont des achetés ! ceux qui sont d’accord avec lui, les a -t-il acheté ?
Le 24 octobre 2013 à 10:45, par citoyen En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Ces jeunes ne sont pas encore licenciés car selon les textes du code du travail ils ont des contrats oraux.Et ils parlent de la consolidation de leurs emplois.Ou se trouve le probleme,Puisque Zeph ne les reproche rien,
Le 24 octobre 2013 à 10:49 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Anhaaaaaaaaaaaaaaa, pendant qu’ils veulent qu’on modifie la loi pour que leurs militants occupent des postes de hautes fonctions contrairement au statut actuel de l’opposition, ils veulent licencier des jeunes qu’ils supposent être d’un parti de l’opposition. ça s’appelle mater dedans et faire semblant dehors. merci
22. Le 24 octobre 2013 à 10:57 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Dans tout ça, moi retient que c’est zéphirin et son directeur là qui ont été les premiers à amener l’affaire en public. Comment laver le linge salle en famille si un des laveur a déjà transporté une partie du linge dehors ? Les travailleurs n’ont fait que se défendre.
23. Le 24 octobre 2013 à 11:12, par Max En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
La justice est là pour ces genres de problèmes ! Si l’inspection du travail n’arrive pas à résoudre votre problème, vous pouvez saisir le Tribunal du travail. Maître SANKARA vous a recrutés probablement par des voies louches et sur des critères non objectifs. Si le nouveau CFOP se rend compte que certains d’entre vous ne répondent pas à l’oeuvre qu’il veut poser (avec pourtant des gens pas assez travailleurs, pas assez compétents, pléthoriques et à la solde de son prédécesseur) n’est-il pas en droit de s’en séparer pendant qu’il est temps (surtout que le budget n’est qu’environ 60 millions) ?
Je me rappelle encore de cette affaire des 16 millions, que le comptable précédent s’était permis de verser sur le compte de l’UNIR/PS en prétendant l’avoir reverser au trésor public ! Quelles autres magouilles Zeph a-t-il encore couvert de votre part pour ne pas éclabousser son prédécesseur et ternir l’image de toute l’opposition ? Il doit y en avoir beaucoup ! Si vous ne vous taisez pas pendant qu’il est temps nous internautes allons nous permettre de demander un audit organisationnel du CFOP qui risque de faire sortir vos tares et les tares de votre mentor, maître SANKARA ! Vive l’opposition, vive le CFOP !
Le 24 octobre 2013 à 11:47 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
MAX, as-tu oublié que les derniers succès de l’opposition viennent de la contribution de ces gens ou bien tu penses que c’est toi qui dit du n’importe quoi dernière ton clavier ? Il faut sortir aller les rencontrer pour dire ça. Minimam bé ka rawa !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le 24 octobre 2013 à 16:20, par citoyen En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Si c était le cas Zeph allait le dire.As tu vu cela mentionné quelque part ?Sais tu comment Zeph a fait ses recrutements ?Ne devions pas le combat.
Le 25 octobre 2013 à 10:43, par raisonnable En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
les travailleurs ont le droit à la liberté d’expression comme le directeur. pas la peine de s’en prendre à me SANKARA. Il a lutté fort pour la liberté avant , pendant et après l’assassinat de Norbert. pendant ce temps Zeph était ou ? il vient en jouir aujourd’hui. respect pour l’avocat.
24. Le 24 octobre 2013 à 11:19, par observateur En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
la gestion que diabre fera de cette affaire le grandira ou le noiera pour de bon. c’est une bagarre qui peut prendre des proportions plus grandes.
25. Le 24 octobre 2013 à 11:25, par Raso En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Ne voyez -vous pas que le fait d’en appeler chaque fois A MONSIEUR LE CHEF DE FILE DE L’OPPOSITION cache quelque chose ? Il y a de la manipulation dans l’air.
Le 24 octobre 2013 à 11:54 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Manipulation pour manipulation, qui a donc manipulation Zéphirin Diabré pour qu’il laisse son Directeur livrer les travailleurs à la Presse ? Et pas dans n’importe quel journal, il s’agit du REPORTER qui est pour le moment un journal sérieux. Il voulait que les gens croient à ses bizarreries là ? Sinon, s’il prêche l’unité, il ne peut pas se mettre à faire la chasse aux sorcières.
26. Le 24 octobre 2013 à 11:28, par sidlayam En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Ma foi. Si les faits sont avérés .y’a un IDI AMIM en gestation dans les environs.
Le 24 octobre 2013 à 13:07, par sidzabda En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
j’ai bien pris soin de lire l’article en entièreté malgré sa longueur, mais lorsque je vois les signataires, je m’aperçois qu’ils ont été tous recruté par le chef de fil sortant.
le CFOP est une structure à part entière qui ne saurait être comparé à une mairie où l’on maintient le personnel malgré le changement de main. alors pourquoi voulez vous qu’il vous garde quand on sait que vous ne pouvez pas l’appuyer dans l’atteinte de ses missions. ce qui est dommage pour votre cas est qu’on peut pas vous envoyer dans une autre structure. sinon, pourquoi chaque ministre qui arrive qui le changement qu’il souhaite.
je vous demande d’exiger vos droits lorsqu’il doit mettre fin à vos contrats plutôt que d’exiger d’être car gardé car comme le disait Ahmadou KOUROUMA "Allah n’est pas obligé" et aussi Zéphirin
27. Le 24 octobre 2013 à 11:46 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Ces employés sont des malhonetes. est-ce que vos contrats CDI ont été oui ou non résilié par l’ancien CFOP ? Si tel est le cas, le nouveau CFOP n’est en aucune manière tenue par une quelconque obligation de continuer a travailler avec vous. Ya plus d’administration et on met en place une autre. On peut vous essayé (ya bien des contrats à l’essaie). Si on est pas satisfais, on met fin au contrat. sans compter que le CFOP pouvait directement donner des CDD. A l’expiration de ces CDD, il est libre ou non de renouveller ces contrats, sans ke cela ne constitue un licenciement. C’est une fin de contrat normal !!. Et puis, le code de travail, n’a jamais dit que le différend de travail, se regle par courier avec ampliation a toute la planete. Autrement, l(inspection du travail n’aurait plus sa raison d’etre. De toute les façon, cette façon de procéder vous nuira pour la suite de votre carrier. Aucun autre employeur ne voudra de vous. Et pui en matière de relation de travail, surtout dans ce contexte, la perte de confance est une cause légitime de licenciement. Encore meme, si vous avez été licencié.
Le 25 octobre 2013 à 10:37 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Ou Zeph a t il essayé ceux qu il a recruté et donné des CDI ?Mais il a travaillé avec ces employés plus de cinq mois et ne les reproche rien.De grace Zeph gagnerai à lever les inquietudes de ces jeunes pour le Bonheur de tous.
28. Le 24 octobre 2013 à 12:00, par Le laic En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Il est clair que comme dans toutes les institutions au monde, quand le locataire des lieux change, toute l’ancienne administration fait ses valises ; même dans les démocraties occidentales. Quand on vous dit que l’administration est une continuité là ce n’est pas dans ce contexte chers amis. Et surtout pas dans ce cadre hautement politique où la confiance aux collaborateurs doit être de mise. Vous voudriez que si un jour Zèph arrive à Kossyam, qu’il maitienne le Golf et François à leurs postes respectifs ? Tout de même un peu de lucidité !
Le 24 octobre 2013 à 15:00 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Rien que de l’escroquerie dans tout cela ! Il y a l’inspection du travail et les tribunaux !
et avant tout Dieu !
Le 24 octobre 2013 à 19:52 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Pourquoi quand on change ton DG tu ne démissionne pas ? ha je comprends, tu as déjà fais les frais, tu es un ancien DAF qu’on a remplacé, donc aigris ???? sinon la platitude de ton cerveau doit être assez remarquable LE laic
Le 25 octobre 2013 à 07:53 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Ton post ne peut en aucun cas égaler celui de M. ou Mme Le laic qui a tenu des propos bien réfléchis. Sauf que vous semblez exceller dans les injures gratuites : c’est bien le fort des faibles sans argument.
Le 24 octobre 2013 à 15:50 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Le Laïc, c’est vrai ça ? Tu es aussi nul en culture général ? Regarde bien jusqu’à la Maison Blanche, la tabula rasa, ça n’existe pas.
Le 24 octobre 2013 à 16:02, par Merkel En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Quand on veut être chef d’Etat, on doit apprendre à respecter les textes. Si Zeph dit que Blaise est forclos pour 2015, c’est qu’il se base sur des textes. A son tour de respecter le code travail et de respecter le contrat des travailleur régis par le code de travail. Ces travailleurs sont des contractuels régis par le code de travail et non des fonctionnaires régis par la loi 13.
Le 24 octobre 2013 à 16:02, par citoyen En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Ce n est pas un probleme de Francois ni deGolf,Il sagit des travailleurs de l Opposition qui ont nue etiquette bien definie et qui sont dans le meme sac que Zeph.Alors ne confondons pas les choses,Zeph a travailler avec eux plus de cinq mois sans leur reprocher quoique ce soit,De grace qu il consolide et rassure les emplois de ces jeunes pour ensemble faire face à Blaise et leCDP,Car se separer d eux serait les remercier en monnaies de singe.Quoi qu on dise ils ont joués un grand role pour que le CFOP soit tel qu il est aujourd hui.
Le 25 octobre 2013 à 10:51 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Ce n est pas un probleme de Golf ni de Francois.Car Zeph et ces jeunes sont dans le meme sac.Si il ne les reproche rien alors qu ils évoluent ensemble.C est cela l UNION.
29. Le 24 octobre 2013 à 13:32, par Amath En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Si vous pensez avoir raison, amenez votre problème en justice ! Surtout que ça concerne le CFOP, la justice sera diligente ! Si vous ne le faites pas et préférez écrire dans les journaux, c’est parce que vous n’êtes pas sûr d’être dans votre droit ! Il y a donc un chantage que vous faites au nouveau CFOP (ou tu nous garde ou nous salissons ton nom) !
Le 25 octobre 2013 à 15:54 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Ils ont tout simplement parlé de leurs inquietudes.Et cela est bel et bien normal.A Zeph d agir en grand home c est tout.
30. Le 24 octobre 2013 à 14:05, par KENZA En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Voici encore un mercenaire payé par je ne sait qui pour jeter le discrédit sur Zéphirin Diabré. C’est de la pure désinformation. Les auteurs n’ont d’ailleurs pas dit les motifs réels de ces licenciements. C’est louche !
Prochainement, c’est eux qu’on va licencier s’ils ne sont pas loyaux et réglo.
Ne penser pas qu’en rendant publiques vos lettres, vous arriverai à destabiliser ZEPH. Peine perdu.
31. Le 24 octobre 2013 à 14:10, par planteur paweogo En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
upc : union pour le changement . c est a dire que ça commence au sein du cfop.c est pas le changement vs voulez non ? vive le changememt de tous le monde en 2015. hii kami lay na bangué.
32. Le 24 octobre 2013 à 14:22, par planteur paweogo En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
TOLE SAGNON voit clair. cdp et upc, meme chose.d un autre coté une communauté de parents et de l autre coté une union pour le clan...
33. Le 24 octobre 2013 à 14:46, par sankaraaaa En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Belle explication. Vous n’avez pas tort mais Zeph non plus. Cependant il appartenait à zep de promouvoir l’union des partis d’opposition , en travaillant avec ceux unir/PS. Je propose que dans l’avenir le manda des travailleurs de cette institution et le chef de file de l’opposition débute et prend fin ensemble. Je précise que je suis neutre, mais je suis pour un opposition fort.
34. Le 24 octobre 2013 à 15:50, par Burkbelge En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Je pense que ceux qui y travaillent n’ont pas compris leurs missions. C’est un cabinet politique. Et qui dit politique doit accepter les changements. C’était une erreur de l’ancien chef de faire signer des CDI. Dans ce cabinet politique on vient avec ses hommes de confiances et on quitte avec eux également. Je ne suis pas de UPC, mais je crois que ceux là qu’on recrute actuellement, doivent prendre conscience et signer des CDD au lieu de CDI. Mon conseil, chercher plutôt des portes de sorties au lieu de vouloir rester de force cela ne fera que aggraver la situation. Que ça soit l’ancien ou le nouveau chef de file çà serait le même comportement.
35. Le 24 octobre 2013 à 16:02, par Burkbelge En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Je pense que ceux qui y travaillent n’ont pas compris leurs missions. C’est un cabinet politique. Et qui dit politique doit accepter les changements. C’était une erreur de l’ancien chef de faire signer des CDI. Dans ce cabinet politique on vient avec ses hommes de confiances et on quitte avec eux également. Je ne suis pas de UPC, mais je crois que ceux là qu’on recrute actuellement, doivent prendre conscience et signer des CDD au lieu de CDI. Mon conseil, chercher plutôt des portes de sorties au lieu de vouloir rester de force cela ne fera que aggraver la situation. Que ça soit l’ancien ou le nouveau chef de file çà serait le même comportement.
Le 24 octobre 2013 à 19:48 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
j’espère que ton contrat est un CDD et que tu changeras de métier dès qu’on changera ton ministre, ou ton Dg. tu es vraiment lamentable dans tes reflexions
36. Le 24 octobre 2013 à 16:07, par observateur En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
ceux qui soutienne Zeph ne l’aime pas. dite lui la vérité. il risque de se mettre à dos des personnes ressources importantes et il y’a risque d’implosion de toute l’opposition à quelque pas de la présidentielle.
ces jeunes ont été acculé mais ce n’est pas tard pour limiter les dégâts.
37. Le 24 octobre 2013 à 16:24, par alternance En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Zephirin doit être prudent, les opposants se succèdent et connaissent le même sort au Burkina. Soit sage dans le règlement de ces difficultés car cela pourrait te suivre et te conduire à l’échec.
38. Le 24 octobre 2013 à 19:00, par le refus En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Mais je ne comprends pas les gens.Pouquoi vous voulez que ZEPH garde des travailleurs dont le contrat à été résilié par son prédécesseur ? C’est vous qui allez leur payer leur salaire ?. Et puis je ne comprend pas le Web master ! COMMENT PEU T-IL LAISSER PASSER DES MESSAGES QUI INSULTENT DES GROUPES ETHNIQUES. Faites attention ; vous risquez de faire comme au RWANDA.
39. Le 24 octobre 2013 à 19:31 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Continuez de vous tromper de combat, vous serez surpris. le CDP vous a jeté un vieil os et vous vous bagarez là-dessus et oubliant l’essentiel (senat et article 37). Laissez simplement la justice faire son travail car l’affaire est déjà publique. Plus de lettre ouverte, plus de réponse à lettre ouverte. Que les plaignant estent en justice et que la justice tranche et que l’on ait la paix. Plus de compromis.
A ce que je sache, Zeph n’est pas égal à son Directeur de Cabinet (qui peut commettre des erreurs que Zeph peut ne pas approuver). Vous aimez trop les raccourcis sinon qu’il y a nécessairement une main tapie dans l’ombre qui actionne les choses à distance.
40. Le 24 octobre 2013 à 20:46 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
C’est le fonctionnement normal en politique. On s’entoure des gens dont on a confiance. francois est conseiller de blaise, sa belle mère est la maman de la femme de francois, bembamba est le mari de la soeur de blaise, etc
41. Le 24 octobre 2013 à 22:49, par Kanzim En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Et commence ainsi le déploiement des missiles conter l’opposition. Il faut espérer que celle-ci, tout comme le peuple engagé pour l’alternance se sera préparé pour contrecarrer les snipers embusqués, les drones et les piètres fusiliers envoyés pour semer le doute. La clause de confiance est nécessaire entre les acteurs du CEFOP, salariés comme politiques. C’est la seule leçon à tirer. Autrement dit, les coups bas sont connus pour être l’arme simpliste de ce pouvoir. Je parie que des fouilleurs, fouineurs, archéologues et spéléologues sont entrain de décrypter le passé, le présent et les problèmes, joies et peines des ténors de l’opposition, dans l’espoir de déceler quelque faiblesse ou simple fait à même de décrédibiliser ceux qui leur résistent, j’entends les opposants. Et quant au citoyen lambda, nous devrions observer l’esprit de discernement et la vigilance militante et combattante, pour ne pas laisser le cœur devancer le cerveau dans notre devoir de dire non au cancer sociopolitique et économique qui ronge notre pays.
42. Le 24 octobre 2013 à 23:10 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Heureuse coincidence pour le regime : au moment où le conseil des ministres decide de revoir la structure de l’opposition, permettant de la desorganiser (par non affiliation des partis d’opposition à la structure), comme par magie une crise interne éclate. De toute façons, vous irez cherchez du boulot ailleurs à moins que le cdp vous reprenne. Bonne chance.
Le 25 octobre 2013 à 07:48, par Yadega En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
C’est assez logique tout ça !
Que le pouvoir essaye de discréditer Zeph me paraît légitime. Vous ne pensez tout de même pas qu’on va lui dérouler le tapis rouge comme ça ! Son chemin sera semé d’embûches et c’est à lui de braver toutes ces étapes pour ainsi prouver qu’il est taillé et fin prêt pour le costume de président de la république. Sinon ça serait trop facile...
Quant aux problèmes actuels des employés du CFOP, je dis tout simplement qu’il faut que le burkinabè se remette au travail car si nous voulons le changement, cela passe par le boulot. Eh oui, Zeph n’est pas arrivé où il est par la courte échelle donc comprenez qu’avec lui va falloir bosser. Le problème c’est que le burkinabè aujourd’hui aime brandir ses droits tout en oubliant ses devoirs.
Il y aura du boulot après 2015 . Ça va faire drôle à certains de re-vivre à la sueur de leur front !!!
Le 25 octobre 2013 à 08:17, par Nakibeugobiga En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Zéphyrs n’est pas conséquent. Pourquoi transformer des cdi en cdd parc équin veut adapter les emplois à la nature de l’institution et en même temps offrir des cdi à ceux qui sont nouvellement recrutés
Le 25 octobre 2013 à 08:42, par citoyen En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Ces jeunes ont au moins travaillés à visage decouvert pour l Opposition et toi ?Si Zeph veut les licencier qu il nous dise pourquoi car l upc seul ne peut pas amener l altrenance au BF.Et ainsi beaucoup de jeunes ne s engageront plus derrière l Opposition.Courage à ces valeureux jeunes.
43. Le 25 octobre 2013 à 08:24, par Pipa En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Il y’a quelque chose de louche dans la démarche de zéph.
Premièrement, il garde des gens par pure humanisme comme son dir cab le dit tout en sachant que la loi est claire : si tu utilise les services de quelqu’un et tu le rémunère pendant un certains temps, cela vaut contrat de façon tacite.
Deuxièmement : la ou il y’a bizarrerie de sa part, c’est de vouloir transformer les cdi en cdd parcequil veut s’adapter à la nature de l’institution et en même temps il offre des cdi à ceux qu’il recrute. Du deux poids deux mesures pour quelqu’un qui veut diriger un pays
44. Le 25 octobre 2013 à 08:34, par Pawit - rawgo En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Je demande aux uns et aux autres d’analyser sans partie pris le contenu de la lettre des jeunes gens.
D’abord , ils disent qu’ils ont respecter la clause de gérer ce conflit à l’interne. C’est le dir cab du CFOP qui a rompu cette clause le premier. À partir de cet instant on ne peut plus les reprocher de laver le linge sale en public.
Ensuite, il reproche à zéph de vouloir transformer leur cdi en cdd alors même qu’il offre les mêmes cdi à ceux qu’il recrute nouvellement.
Si c’est vrai et sa peut se vérifier au CFOP, alors admettons, sans animosité aucune, que zéph n’est pas équitable
Par celui qui ne critique pas le bois, mais les humains
Le 25 octobre 2013 à 21:39, par Jamanatigui En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Je pense comme toi, sans animiosité aucune, que cette lettre est comme un cheveux dans la soupê. Le CFOP devrait tout faire pour nous epargner d’une telle contre publicité.
Je pense que si les auteurs de cette lettre se plaignent c’est parce qu’ils n’ont pas eu d’assurance quant à leur emploi.
De deux pourquoi du coup passer de CDI à CDD à seulement quelques mois d services ? Je pense que le CFOP doit considerer ce rôle comme une passerelle et non une destination. En ce sens, la rigueur qu’on attend de lui dans la gestion des affaires publiques doit se matérialiser à KOSYAM et non ici.
En fin, mes inquiètudes par rapport au CFOP, est de savoir comment va t-il gerer le Faso sans grincement de dent s’il n’arrive pas à engager ses gens dans sa mission ? Qu’il se rappelle surtout du TERTUIS qui a )passé des années aux USA, debarqué au Burkina, il a voulu transposer la rigueur americaine dans la gestion des affaires publiques sans l’avoir acclimater un tant soit peu. La suite on la connaît.
45. Le 25 octobre 2013 à 10:46, par levisionnaireobservateur En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Mon oeil, le diable est entré dans la maison. La stratégie de la division par ceux que l’on sait est encore en marche. J’étais sûr que la division viendrait tôt ou tard ; c’est le comment que j’ignorais. Diviser pour régner, réorienter l’attention vers le moins important pour faire un coup bas dans le dos. C’est connu depuis......... Ca n’a pas changé
Le 25 octobre 2013 à 12:03 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Il n’y a pas à chercher des boucs émissaires à chercher. le 2 poids 2 mesures, ça finit toujours comme ça.
Le 25 octobre 2013 à 12:11, par angeantidiable En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
c’est ça vos arguments pour défendre l’indéfendable. ce sont des faits que ces jeunes ont décrit. Zephirin est l’auteur de cette tension unitile qui nous desserre tous en tant que militants de base. les opposants doivent aussi assumé leur mauvais actes et ne pas tromper les gents en accusant chaque fois les autres. s’il sait qu’on le guête, c’est à lui de savoir manager.
46. Le 25 octobre 2013 à 12:27, par Tékrébala En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
J’ai plutôt un pincement au cœur quand je sais que c’est un responsable membre du bureau de l’UNIR/PS qui est l’attaché Juridique, qui ose écrire contre Zeph a son absence. Je comprends qu’il a le soutien probable de son parti. J’aimerai que l’UNIR ne se croit pas indispensable dans ce pays, et nous j’exigeons des explications de Me Sankara.
Si vous continuez de cette façon, vous ne serez rien dans le Faso. Nous voulons l’alternance et rien d’autre.
Le 25 octobre 2013 à 14:39 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Tient tient tient ........ comme ça vous les gens de l’UPC comme toi Tékrébala, vous voulez transformer cette affaire en UPC contre UNIR/PS !? WO WO WO WO, les gens qui défendent leur emploi, qu’est-ce qu’un parti fout dedans. Oubien même si le gars est de l’UNIR il n’a pas droit à un emploi si c’est l’UPC qui est aux affaires ? Vous là, vous commencez à être bizarre dès. Arguments farfeulus wèèèèèèèèèèèè
Le 25 octobre 2013 à 15:24, par par désolé En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Tékrébala tu es frustré et sa se comprend car tu doit être proche du licenceur discriminateur vu que tu maîtrise son agenda.
Le 25 octobre 2013 à 15:47 En réponse à : Chef de file de l’opposition politique : Des travailleurs inquiets pour leurs emplois rompent le silence
Je suis désolé mais l attaché juridique du CFOP n est member d aucune structure de l UNIR/PS.Alors ne deplacons pas le debat.Personne ne peut arriver à l altrenance sans l autre.Et recadront les debats sur les inquietudes des jeunes.