Le long de certaines artères par exemple, les canaux d’évacuation sont tellement petits qu’ils n’arrivent pas à drainer rapidement les eaux de surface, provoquant de « mini inondations » à chaque averse. C’est le cas du tronçon du boulevard France-Afrique jouxtant la cité de l’ASECNA. Les eaux envahissent régulièrement une bonne partie de la voie, contraignant certains usagers à franchir le terre-plein central pour rouler en sens inverse avec tous les risques d’accident que cela comporte. De l’autre côté de la voie, la cour abritant la direction régionale du Centre et la direction provinciale du Kadiogo du ministère en charge de l’Action sociale est sous les eaux. Sans être un spécialiste de la question, les travaux d’aménagement entrepris dans la zone par la SONATUR offrent l’opportunité de régler le problème qui semble affecter la stabilité de la chaussée à cet endroit. Cela, en élargissant par exemple les caniveaux pour permettre un écoulement rapide des eaux.

Bachirou NANA

Sidwaya