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Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

Publié le dimanche 28 juillet 2013 à 22h55min

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Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

Excellence Monsieur le Président du Faso,

Avant toutes choses, je voudrais vous rassurer et surtout votre entourage, qu’il ne sera pas nécessaire de chercher à savoir qui je suis, ni de vous demander pour qui je me prends, car ce n’est que moi. Il est vrai que je ne compte pas parmi vos supporters, mais je ne suis pas non plus un opposant. Je ne suis qu’un citoyen lambda.

Un acteur d’une série africaine bien connue chez nous, alors qu’on lui prêtait l’intention de se prendre pour ce qu’il n’est pas, se défendait en ces termes « est-ce que moi j’ai dit que j’étais quelqu’un ? ». Donc, je ne suis pas « quelqu’un », mais il se pourrait que mon message soit « quelque chose » et c’est ce qui compte le plus.

Mon message a pour but essentiel, de solliciter de votre haute bienveillance, d’user de votre poids, en tant que garant de la paix sociale dans notre pays, en tant qu’artisan de paix de renommée africaine, de veiller à prévenir la paix chez nous, au Burkina Faso. Ailleurs, vous avez contribué à ramener une paix déjà perdue, parce que les protagonistes n’ont pas voulu ou n’ont pas su anticiper sur des actions à mener ou à éviter pour bannir les germes du chaos.

1. Abandonnez ou faites abandonner le projet de mise en place du sénat

C’est connu, la question divise profondément la société burkinabè. De part et d’autre, les arguments ne manquent pas. Mais en ce qui me concerne, le sénat ne devrait pas voir le jour au Burkina Faso et ce, pour les raisons suivantes :

- Il y a des priorités

Ceux qui défendent le sénat estiment que la démocratie n’a pas de prix, et qu’il vaut mieux un sénat budgétivore plutôt qu’un Etat d’exception. Je ne m’aventurerai pas dans les chiffres du budget y relatif. Je constate simplement que tous s’accordent sur le fait que le sénat exigera du contribuable, qu’il mette la main dans la poche.

Je reconnais que la question du sénat relève des points consensuels issus du cadre de concertation sur les réformes politiques – CCRP, qui a regroupé « toutes les composantes » de la société burkinabè. Mais dans un pays que la nature n’a pas particulièrement nanti et où tout est prioritaire, il serait indécent, de mon point de vue, de se lancer dans une telle aventure, sous le prétexte de vouloir renforcer la démocratie.

La vie chère, le manque d’infrastructures ne sont pas, il est vrai, votre marque de fabrique, comme certains commentaires et certaines analyses le laissent supposer. De même, s’abstenir de mettre en place le sénat ne sortira certainement pas notre pays de la pauvreté. Cependant, une telle décision aura le mérite, face aux défis quotidiens de notre pays, de ne pas donner des raisons à ceux qui revendiquent de meilleures conditions de vie, souvent à juste titre, d’avoir une frustration plus grande.

Il y a donc un choix à faire entre ce que peut apporter fondamentalement un sénat en termes positifs, et ce que le budget y consacré peut aider à accomplir : des routes, des maternités, des écoles, des amphithéâtres pour nos étudiants, des bourses d’études, des ambulances, des générateurs pour la SONABEL.

- Sans sénat, le Burkina Faso n’ira pas à sa perte

Si l’objectif est de regrouper les sages, afin de les consulter souvent sur les questions qui intéressent la vie de la nation, le Conseil Economique et Social ne peut-il pas jouer ce rôle ? (des amendements pourraient être opérés afin d’adapter ses missions dans ce sens).

Le collège des sages qui avait été mis en place en 1999 ne peut-il pas être repensé à cet effet ? Ces sages pourraient être regroupés, strictement en cas de nécessité, dans une des nombreuses salles de réunions de notre pays. Un secrétariat permanent de deux ou trois personnes pourrait assurer l’administration et aider à la rédaction des PV et recommandations. Justement, à propos du collège des sages, qu’avons-nous fait de leurs recommandations qui étaient pourtant contraignantes ?

Je ne pense pas qu’il soit absolument indispensable, pour la survie du Burkina Faso, de mettre en place un sénat, en tout cas dans la forme annoncée. Si nous avons pu vivre, depuis 1991, sans sénat, nous survivrons encore, croyez-moi sans cette institution.

- Ne « grillons » pas nos sages.

Aujourd’hui, les efforts de la société burkinabè, le gouvernement en tête, devraient s’orienter vers la lutte contre l’incivisme. Nous sommes tous et chacun en danger, face à ce phénomène qui s’amplifie de jour en jour. Je ne prendrai pas le risque de faire un commentaire sur ses causes. Seulement, je demeure convaincu que le maintien du sénat dans ces conditions risque d’alimenter ce fléau. Comme vous le savez, les autorités religieuses et coutumières de notre pays, ainsi que les anciens ont toujours été les arbitres qui ont permis non seulement de marquer des trêves, mais aussi de négocier en cas crises majeures. En les regroupant dans un organe aussi controversé que le sénat, nous prenons le risque de les décrédibiliser aux yeux d’une partie de l’opinion.

Vos proches peuvent organiser des meetings et des marches de soutien pour tenter de vous démontrer que ceux qui n’y sont pas favorables ne sont que minoritaires, des opposants et des personnes qui veulent mettre à mal la cohésion et la paix dans notre pays. Mais en cas de crise (comme nous en avons parfois connu malheureusement), je ne suis pas sûr qu’ils soient en première ligne.

Ceux qui sont contre le sénat ne sont pas forcément contre votre personne, encore moins des ennemis du Burkina Faso. En rappel, dans le courant du 1er trimestre 2011, alors que la crise postélectorale était à son paroxysme en Côte d’Ivoire, une partie de notre armée avait cru devoir prendre des armes dans le cadre de la série de minuteries qui allaient secouer le Burkina Faso. Au même moment, le régime en place en Côte d’Ivoire affichait son hostilité vis-à-vis du président burkinabè que vous êtes. Vous étiez vilipendé par ceux qu’on appelait les jeunes patriotes. Le sentiment quasi unanime qui en a découlé est qu’aucun burkinabè digne de ce nom ne pouvait concevoir qu’il vous arrivât un quelconque malheur, surtout dans ce contexte là. A l’époque, il y eût une sorte d’union sacré autour de votre personne, parce que notre peuple avait lié les deux évènements. Du moins, il avait estimé que même si les auteurs de cette grogne avaient des raisons de revendiquer, la période et la méthode étaient loin d’être appropriées. Pourtant, certains de nos compatriotes qui ont vos faveurs aujourd’hui et qui vous le rendent bien n’avaient pas caché leur sympathie et leurs accointances avec l’ennemi même moment !

- Que la constitution soit modifiée

Quoiqu’on dise, le CCRP n’était qu’une assemblée de sensibilités, censées représenter le peuple du Burkina Faso, suite à la crise de 2011. Le mode opératoire, n’a pas permis à ces mandataires, de consulter leurs mandants (le peuple), avant de s’engager dans ce « consensus ». Au demeurant, le fait est qu’aujourd’hui, une partie non négligeable des Burkinabès est contre le sénat. L’argument souvent utilisé par les défenseurs de ce projet, c’est notre constitution qui le prévoit, suite à la modification introduite récemment. A mon humble avis, si la constitution a pu subir au moins cinq (5) modifications depuis 1991, date de son adoption, ce n’est pas une modification supplémentaire (de retrait du sénat) qui lui enlèvera son caractère sacré.

Pour terminer sur ce point, et puisqu’il est question de modification de la constitution, je dois préciser que je ne suis pas de ceux qui pensent que le sénat a été adopté pour modifier l’article 37 de la constitution. En 1997, l’Assemblée des Députés du Peuple - ADP de l’époque avait sauté les verrous de la limitation sans avoir besoin d’un sénat. Il en est de-même pour la multitude de modifications qui s’en sont suivis. Il s’agit de deux questions distinctes, à traiter distinctement.

Pour autant, je serai le premier à m’opposer à cette modification, si tant est qu’elle soit en projet. Et j’imagine qu’ils sont nombreux, nos compatriotes qui ont la même position.

2. Stoppez les velléités de révision de l’article 37 de notre constitution

Excellence Monsieur le Président du Faso,

Il serait tout de même dommage, voire ironique (pour nous tous), que notre pays se retrouve demandeur d’un médiateur ou d’un facilitateur pour nous aider à ramener la paix chez nous !

Hier c’était au Niger, puis au Sénégal que la même question (pratiquement) était posée. Aujourd’hui, selon toute vraisemblance, c’est autour du Burkina Faso de se lancer dans une querelle de prorogation de bail à la présidence. Il est vrai que dans les deux exemples cités, les dénouements ont été différents. Mais la leçon à tirer est la même. C’est pourquoi j’en appelle à votre sagesse, pour mettre fin au débat.

A plusieurs reprises, vous avez eu l’occasion de vous prononcer sur la question. Autant de fois, vous avez esquivé, estimant que 2015 n’était pas votre préoccupation. Permettez-moi, de vous dire, Excellence Monsieur le Président du Faso, qu’une question aussi importante devrait vous préoccuper, car l’avenir de notre nation en dépend. En agissant comme vous le faites, vous ouvrez la porte à toute possibilité de faire modifier la constitution sur ce plan, même si rien ne s’oppose juridiquement à une telle modification.

Par ailleurs, pour emprunter le raisonnement de vos partisans qui défendent le sénat en se basant sur son caractère consensuel au niveau du CCRP, le point sur l’article 37 a été jugé non consensuel. Toujours selon les conclusions du CCRP, les points non consensuels ne devaient pas être appliqués. En affirmant vous-même que le débat allait se poursuivre sur ce point, vous avez créé la confusion en maintenant sur la table, une question qui était sensée être réglée. Autrement dit, comment un point qui n’est pas applicable parce que non consensuel peut-il être perpétuellement en examen ? Quel est le délai raisonnable pour revenir sur un point jugé non consensuel par le CCRP ? Dans quel cadre, le débat va-t-il se poursuivre ? Dans un autre CCRP ? Allons-nous assister à un « contournement » du CCRP ?

N’oublions pas que le rétablissement en 2002 de la limitation des mandats consacré par l’article 37 de notre constitution fait suite à une des recommandations du collège des sages qui considérait déjà ce point comme fondamental.

- Votre départ en 2015, c’est 100% de bénéfice

Au risque de me répéter, je rappelle que je ne fais pas partie de vos partisans. Mais en tant que Burkinabè, je rêve de vous voir « sortir par la grande porte », poursuivre vos missions de médiations à travers le monde, demeurer une personne ressource pour notre nation, que vos successeurs et bien d’autres personnes pourront consulter sur telle ou telle question, afin de bénéficier de votre expérience. Je rêve d’entendre dire que contre toute attente, le Président Blaise COMPAORE, après avoir instauré la démocratie au Burkina Faso, a contribué à sa consolidation, en respectant la constitution, et en assurant une succession apaisée. Cette option, à coup sûr, à 100%, vous conduira vers plus de gloire, plus d’honneurs, plus de fierté pour vous-même, pour votre famille biologique et politique, pour tous les Burkinabès (à commencer par moi-même), pour tous les africains. Les exemples d’anciens chefs d’Etats sollicités à travers le monde, tantôt pour une conférence, tantôt pour une mission de bons offices, quelques fois pour prendre la tête d’une institution prestigieuse foisonnent : Olusegun OBSANJO, Pierre BOUYOYA, Tabo MBEKI, Alpha Omar KONARE, Abdou DIOUF (et j’en passe) sont autant d’exemples en la matière.

Pour y parvenir, je vous suggère de faire une déclaration solennelle par laquelle vous annoncerez que vous achèverez bien bientôt votre dernier mandat, et qu’en 2015, vous souhaitez que le meilleur gagne. Ce faisant, vous prendrez à défaut tous ceux qui, dans votre entourage, entreprennent de se lancer dans cette modification. De-même, vous serez soulagé et aurez une plus grande liberté pour poursuivre sereinement votre mandant.

- La modification de l’article 37 constitue un exercice périlleux

A environ deux ans de la fin de votre mandant, et au regard des ambitions affichées par votre parti et les associations qui vous soutiennent, dans le contexte déjà décrit, marqué par un climat loin d’être rassurant, doublé de l’incivisme ambiant décrit plus haut, une révision de la constitution conduira certainement à une crise à l’issue incertaine.

Il serait vraiment regrettable que vous preniez le risque de gâcher le capital de sympathie et la stature diplomatique que vous avez mis tant de temps à bâtir. Pour vous paraphraser suite à votre déclaration consécutive aux événements qui ont emporté l’ancien président du Niger, je dirai que CE SERAIT UNE VOIE INCERTAINE, TRUFFEE DE TOUS LES DANGERS (que Dieu nous en garde). Pourtant, les partisans de ce président lui avaient prouvé, à travers des manifestations organisées sur toute l’étendue du territoire, que « le peuple étaient en parfaite harmonie avec son président ». Pourtant, par un « oui » massif exprimé à l’occasion d’un référendum, il avait prouvé que ceux qui s’opposaient à sa volonté de terminer ses chantiers n’étaient qu’une petite minorité. La suite, on la connait : tous ses partisans inconditionnels sont devenus aphones, et personne ne le regrette aujourd’hui. Au contraire, le Niger affiche une grande prospérité.

Qu’il s’agisse du sénat ou de l’article 37, certaines voix s’élèvent pour demander l’arbitrage des urnes par un référendum. En que tant républicain, je pense que cette solution est effectivement conforme à la démocratie, en ce sens qu’elle permet au peuple souverain de trancher. Mais je pense également que nous devront faire l’économie d’un tel exercice, car il n’y a pas de doute ni de suspens à ce niveau : le « OUI » serait massif et écrasant. D’abord parce que votre parti est le mieux implanté : dans chaque région, dans chaque province, dans chaque village, dans chaque quartier, dans toutes les administrations, à tous les niveaux (du DG à l’agent de liaison). Ensuite, c’est celui qui a le plus de moyens : la quasi-totalité du monde économique, regroupé au sein de la FEDAP-BC n’hésitera pas à délier les cordons de la bourse, afin de « convaincre » le paysan du Burkina profond qui ne sais ni lire, ni écrire, afin qu’il dise « OUI » au sénat pour « RENFORCER LA DEMOCRATIE » et également « OUI » à la modification de l’article 37 « CAR IL EST ANTI-DEMOCRATIQUE ».

D’aucuns diront, à juste titre d’ailleurs, que « c’est ça aussi la démocratie » et je le concède. Mais, majorité n’est pas toujours synonyme de raison.

Pour terminer, j’aimerai rappeler :

- Que la date du 3 janvier est devenue historique pour notre pays, parce que le peuple, sans être contre la paix, a voulu exprimer son désaccord avec ses dirigeants de l’époque. En conséquence, je comprends difficilement vos partisans lorsqu’ils considèrent les auteurs de voix discordantes par rapport à la leur comme des ennemis de la paix, au point d’organiser des manifestations « POUR LA PAIX ».
- Que du temps de l’apartheid, Nelson MANDELA a organisé des attentats contre des installations stratégiques de l’Etat Sud-Africain. Non seulement, ces actes n’ont pas été condamnés par les démocrates du monde entier, mais cela ne l’a pas empêché d’obtenir le prix Nobel de la paix. Cet exemple illustre bien le fait que celui qui « trouble la tranquillité » (ce qui est différent de la paix) n’en porte pas forcément la responsabilité. (C’est le seul but de l’exemple ; il n’a pas été pris pour comparer votre régime avec celui de l’apartheid, loin s’en faut).

- Que suite aux attentats du 11 septembre 2001 à New York, dans un discours que vous avez prononcé à l’occasion de la cérémonie d’ouverture d’une réunion de l’OCI, tout en condamnant ces attentats, vous avez estimé en substance qu’ils pouvaient tout de même s’expliquer par l’attitude arrogante des Etats-Unis d’Amérique qui ne laissait pas d’autres choix à certains peuples qui se considéraient comme opprimés.

- Que récemment en Côte d’Ivoire, une certaine opinion était persuadée que l’ancien président était « pris en otage » par son entourage, au point de l’empêcher de reconnaître qu’il a perdu les élections de 2010. Pour ma part, et pour reprendre l’expression du Premier Ministre ivoirien de l’époque, je dirai qu’ « A CE NIVEAU, LA RESPONSABILITE N’EST JAMAIS PARTAGEE ».

- Qu’en Tunisie, la « popularité » de l’ancien président reflétée par ses scores aux élections successives (plus de 90 % des voix) ne l’a pas épargné de ce que l’on sait, étant rappelé que tout est parti d’un banal fait divers.

- Qu’en 1982, puis en 1983, vous avez pris les armes contre les régimes en place à l’époque pour défendre des idéaux qui étaient nobles et qui demeurent d’actualité. Le contexte était différent, car vous aviez affaire à des Etats d’exceptions, avec ce que cela constituait comme risques pour vous. Mais grâce à la justesse de la cause que vous défendiez, vous n’avez pas ménagé votre sécurité.

(Tous ces exemples sont à considérer dans leur contexte et uniquement dans leur contexte. Autrement dit il ne faut retenir que le côté anecdotique de ces exemples, car je n’ai pas la prétention de comparer l’incomparable).

Aujourd’hui, non seulement nous sommes dans une démocratie, mais ceux qui disent NON au sénat et à la modification de l’article 37 de la constitution n’ont pas d’armes et ne comptent pas en avoir pour mener leur combat. Ils ne comptent et ne souhaitent pas éprouver la paix tant chère à nous tous. Ils redoutent seulement qu’au contraire, vos partisans qui manquent souvent d’humilité n’entraînent, sans même le vouloir, notre pays tant aimé dans le chaos.

C’est pourquoi, sachant que vous ne pouvez rien contre la roue de l’histoire mais que vous pouvez en modifier le cours, je vous demande d’agir. Maintenant, Excellence !

Que Dieu Tout-Puissant vous inspire et qu’il protège le Burkina Faso. Amen.

Ouagadougou, le 24 juillet 2013

Augustin BAMBARA
augustinbambara@gmail.com

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Vos commentaires

  • Le 27 juillet 2013 à 23:22, par Benjamin TOUGMA En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    voila un courageux ,veridique et digne BURKINABE,mon tres cher je te tire mon chapeau.Blaso a interet a prendre en compte tes conseils si vraiment il aime son pays et surtout sa personalite

  • Le 28 juillet 2013 à 00:08, par dripa En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Un texte bien articulé et plein d humilité j espère qu’il le lirons

  • Le 28 juillet 2013 à 00:09, par ALIOUN En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    cher ami tu as si bien parle que je ne peux rien ajouter.seulement merci pour tous ces exemples pris.

  • Le 28 juillet 2013 à 00:12, par Yoshi En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Mr Bambara, beau message mais je crains fort (sans vouloir jouer les oiseaux de mauvais augure) que votre appel ne soit tombé dans une oreille sourde ; je m’explique : contrairement à ce que certains pensent, le président n’est plus dans aucune logique humaine, tout ce qui lui importe aujourd’hui c’est COMMENT PRESERVER SON POUVOIR APRES 2015 ? Pourquoi ? parce qu’il est condamné à mourrir au pouvoir s’il veut une fin "digne", sinon il sera poursuivi par la justice internationale s’il quitte le pouvoir parce que son nom est cité dans la guerre en Sierra leonne, l’affaire Thomas Sankara et l’affaire Norbert Zongo pour son frère. pour justifier ce que je dis, rappelez vous de Charles Taylor à qui on a tout promis s’il descendait du pouvoir, ce qu’il a fait, aujourd’hui où est ce qu’il se trouve ? et le Sécrétaire Général de Reporter Sans Frontière a promis que la famille Compaoré allait répondre de la mort de Norbert Zongo un jour ou l’autre. Tout ça notre président et son entourage ne l’ont pas oublié. qu’il quitte le pouvoir en 2015 il aura chaud (la communauté internationale qui le soutien aujourd’hui va le livrer à la CPI), qu’il reste au pouvoir après 2015 il aura chaud (il ne sait pas s’il finira son mandat en paix ou pas). veritable casse tete chinois !!!

  • Le 28 juillet 2013 à 00:12, par Diaka En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Voici encore un autre burkinabè soucieux de l’avenir des fils et filles du pays. A la lumière déjà faite par l’ensemble des évêques du Burkina, nous souhaitons que notre cher président accepte de se regarder dans un miroir et se rappelle de son nom et prénom, de son enfance, d’accepter de faire une profonde introspection en soi et se dire qu’il n’ a pas eu, en lui au temps de son jeune âge la prétention ou même l’idée de devenir président de son pays natal un seul jour. Si vraiment il a pitié de sa femme Chantal, de sa fille, notre soeur Djamilla de sa famille à Ziniaré au sens large des ses feus parents, en sommes de tous les burkinabè, je souhaite que sa noble sagesse prévale sur ses propres turpitudes. Qu’il prenne urgemment le taureau par les cornes, sinon, quelqu’un à quelque part sera désigné par la communauté internationale pour diriger une soit disant médiation au Burkina. Ce sera le respect du principe qui commande que "LES CORDONNIERS SONT LES PLUS MAL CHAUSSES DU VILLAGE. Il faut éviter cette apologie, sinon, c’est les gens du Front Populaire Ivoiriens qui riront de nous en commencant par Laurent Gbagbo lui même qui invitera Mme Fatou BENSOUDA, à boire le champagne du fond de sa cellule. QUE DIEU ENTENDE TOUTES CES VOIX QUI SE LEVENT POUR LA PAIX AU PAYS DES HOMMES INTEGRES.

  • Le 28 juillet 2013 à 00:26, par ANNAN En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    est-ce que Blaise a fini la mission à lui confiée par ses "frères maçons ? si oui, il s’en ira en 2015. si non, il n’a pas le choix que d’essayer d’avancer ; advienne que pourra.

  • Le 28 juillet 2013 à 00:29, par Phoenix En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Je vous félicite pour votre argumentaire sur les différents points évoqués. Cependant, dire NON à la mise en oeuvre du Sénat à ce stade n’est pas raisonnable de la part de l’opposition.
    Vous demandez la révision de la Constitution pour en "extirper" le Sénat. C’est ce que l’opposition aurait dû demander depuis longtemps.
    J’aurais en effet compris la logique des pourfendeurs s’ils s’étaient opposés à la révision de la Constitution en 2012 de façon constante et soutenue jusqu’à ce jour.
    Mais ces "couards" ont peur ( d’une peur bleue) que cela ne soit l’occasion pour le Président du Faso de faire réviser l’article 37. C’est là un manque de vision, de courage et d’esprit républicain. Pour des intellectuels de leurs niveaux, l’on ne peut pas demander de retirer une loi dictée par la Constitution sans aller au bout de la logique, à savoir, supprimer les dispositions concernées de la Constitution.
    Sur d’autres considérations, le Chef de file de l’opposition est aussi un" faux truc" que l’on pourrait jeter aux orties. Elle est pire que le Sénat, parce qu’elle n’est pas dans la Constitution, et n’existe dans aucun pays développé. Qu’en dites vous ?
    Pour ma part, je suis d’avis d’accepter la mise en place du Sénat. A la pratique, ses inconvénients conduiront à sa suppression si tant est vrai qu’il est inutile.

  • Le 28 juillet 2013 à 00:42 En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Belle production. Ca c´est du bon travail.

  • Le 28 juillet 2013 à 00:51, par KING LA LA En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    ah presi,faut voir deh !Sinon l’espoir s’etouffe de jour en jour.

  • Le 28 juillet 2013 à 01:23, par visionnaire En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Bon commentaire, Son Excellence doit imprimer cette lettre en guise de livret de chevet !

  • Le 28 juillet 2013 à 01:30, par Omed En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Mon frère Bambara,tu as tout a fait raison mais je crois à ce q’un ami m’a dit hier lors d’une discution comme d’hab sur la vie politique sur notre pays"Blaise ne ferra rien,sauf si vous le tuez...il a pactisé avec le diable..."Ce Tieni Gbanani(l’enfant sorcier) a fini par se convaincre qu’il a un destin qui lié à tout le faso..et de toutes les facons ses amis n’ont fait que lui dire cela tout les matins depuis 26ans...ce n’est pas Dieu qui va nous sauver comme comme le disent beaucoup...Vive le changement.A bon entendeur salut.

  • Le 28 juillet 2013 à 02:14, par Vigilance En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Grand respect mr Bambara. J’ai eu du plaisir a savourer votre œuvre.
    Vous êtes un intelectuel de "haut au volte" . Notre chère patrie a besoin des hommes comme vous.
    Salut !!!!

    Encore merci

  • Le 28 juillet 2013 à 02:39, par USA En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    j’espere qu’il lira ta lettre ou se fera resumer du contexte et prendra une bonne decision.

  • Le 28 juillet 2013 à 02:40, par USA En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    j’espere qu’il lira ta lettre ou se fera resumer du contexte et prendra une bonne decision.

  • Le 28 juillet 2013 à 02:56, par Tidiane En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Sacré Augustin, tu as un souffle divin. Espérons bien que Mr le Président lise avec son cœur ta missive. Tu as tout dit, une vérité limpide telle l eau de roche. Le silence est parfois plus meurtrier que l arsenal de toute une nation. Le silence du docteur es crises risque de conduire notre Burkina dans le gouffre . L heure est très grave. J espère qu il ne va pas ecouter tous ces vautours flatteurs pour détruire ce qu il construit au prix d énormes sacrifices . L homme parfois même averti suit son destin, mais être averti est une chance donnée . Comme l a it un écrivain malien l homme n est rien sans les autres, tout vient dans leur main, tout s en va de leur main. Puisse Dieu sauver le Burkina. Ameen

  • Le 28 juillet 2013 à 03:14, par Boinzemwindé En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Félicitations pour votre lettre et le courage digne d’un Burkinabé, qu’il vous prenne au sérieux ou pas il récoltera ce qu’il a semé et ce qu’il sèmera.
    Comment tout un président peux ignorer que toute chose a une fin ?
    Dois je toujours poser des questions ? Je pense que non. Ce type est sanguinaire et il n’attend que ce qu’il a fait à son ami lui rattrape.Il y’a des crimes, même s’ils ne sont pas punies ont le mérite d’étourdir son ou ses auteurs, c’est le cas de ce Monsieur et ses compagnons que tout le peuple connait...
    Donc attendons de voir et soyez sûr qu’il n’entraînerait pas beaucoup de gens avec lui... Quelqu’un a dit à un TPR que vous voyez les gens qui rient mais vous ne savez pas ce qui se cache derrière leurs dents.
    Ces soit disant amis et tanties ne sont là que pour leur tube digestif.
    Dès que ce sanguinaire rejoindra son ami, on saura qui supportait qui, et j’aurai honte avec d’autres burkinabé de voir comment ils vont retourner leurs vestes... Encore Bravo Mr BAMBARA !

  • Le 28 juillet 2013 à 03:33, par lefils En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    A bon entendeur, salut.

  • Le 28 juillet 2013 à 03:54, par Patriote En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Bien raisonné. Ceux qui poussent Mr Compaore Blaise à agir de cette sorte diront après qu’il n’a pas été malin. Donc il est mieux d’utiliser sa ruse pendant qu’il est temps.

  • Le 28 juillet 2013 à 04:32, par SENA wa¿ aw ka na k£ En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    tu te fatigue mon chèr. ils savent tout ça hein, mais ils vont forcer. comme ce pays nous ait cher, nous allons le reconstruire après le 28. si non les règles sont faites pour être respectés. si non la démocratie est le pouvoir de la majorité dans le respect de la minorité.

  • Le 28 juillet 2013 à 04:45, par Néssida En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Je tire mon chapeau à l’auteur de ce brillant article !
    Seulement je trouve que la bataille du sénat est une cause perdue d’avance face à l’entêtement du pouvoir en place. Je pense qu’il est maintenant temps pour l’opposition de poser des actes concrets sur le départ du président sortant au lieu de continuer à marteler la constitution et l’article 37.
    Pour moi le CFOP pourrait prendre l’initiative salutaire de proposer des garanties au président sortant pour son retrait en 2015.
    Cette initiative se traduirait par une proposition de loi spéciale à l’assemblée nationale qui fixerait les garanties accordées au président sortant et sera signée par tous les parties d’opposition et de la majorité.
    Cette initiative mettra le parti au pouvoir dos au mur et l’histoire retiendra en ce moment que le CFOP a su faire preuve de grandeur d’esprit pour éviter que le pays ne bascule dans le chaos !

  • Le 28 juillet 2013 à 04:52, par Herz En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Belle analyse ,si seulement le président pouvait comprendre

  • Le 28 juillet 2013 à 05:38, par 03_jan_1966 En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Un homme prevenu en vaut deux...

  • Le 28 juillet 2013 à 05:42 En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Felicitations pour cette lettre sans injures ni pretentions adressee au president.

    - j’ajoute que le peuple Burkinabe a accepte (malgre le caractere souvent impardonnable de certains crimes de sang et economiques commis sous tous les regimes) l’amnistie decretee par Blaise au profit de tous les anciens chefs d’Etat (lui-compris).

    - Blaise peut donc renoncer de modifier l article 37, prendre sa retraite presidentielle et avoir l esprit tranquille que personne au Burkina ne l’empechera de dormir en lui reclamant des comptes sur la gestion du pouvoir depuis 30 ans. Que ce soit a Ziniare ou dans ses nombreux pied-a-terre, il pourra vivre heureux ses vieux jours et savourer des instants de famille et discuter en citoyen normal avec ses amis d’enfance, ce qu il n a pas pu faire depuis 30 ans a cause des contraintes de la fonction du president (manque de temps, securite presidentielle...).

    - S’il craint la justice internationale, il n est pas oblige de se deplacer hors du Burkina. Avec les moyens financiers qu il a accumules, il peut vivre confortablement sous notre climat rude (piscine, forage d’eau, groupes electrogenes, plaques solaires, nourriture et boissons de luxe importees d’Europe ou d ailleurs de qualite assuree...). Paul Biya du Cameroun a horreur de quitter son pays meme pour des sommets et conferences mais il vit tres bien dans son palais avec des facilites a faire palir de jalousie toute famille riche d un pays occidental.

    - President, en contrepartie a cette amnistie pour tous les anciens chefs d Etat, veuillez prendre votre retraite en 2015 et refusez de modifier l’article 37 comme certains vous le poussent a faire.

    • Le 28 juillet 2013 à 17:40 En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

      je te signale que les pieds à terre ne lui appartient pas mais sont gérer par la présidence du Faso ? (on fait des pieds à terre inutile à la place d’écoles, universités, hôpitaux, c’est cela le Burkina émergent de Blaise et solidaire ?) Paul Biya passe au moins 4 à 5 mois par an en France dans sa résidence au sud de la France. Renseignez vous un peu avant de raconter des inepties.

  • Le 28 juillet 2013 à 05:57, par Keletigui En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Au moins si tu tu etais president de 3 ans seleument suffusait que certains de 25 annnees ,.tu as la moral ,la dignite ,la sagesse et l amour pour le burkina .Que Dieu te benisse ,NON AU SENAT , NON A LA MODIFICATION DE LARTICLE 37 ,Aurevoir a la famille compaore Il etait un temp compaore de 25 ans de pouvoir.Bon vent a toi merci car grace a toi de nombreux pays a travers le monde connaissent le Burkina Faso selon son historique et son classement sans fournir le moindr calcul lavant dernier du monde .Merci cher presi.Bye bye

  • Le 28 juillet 2013 à 06:06, par miséricorde de Dieu En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Est ce que le PF lira ce message ? Est ce qu’il a lu celui de International Crisis group ? celui des Evêques ? Le souhait pour toute personne qui exerce un pouvoir est de savoir rester humble (le sens est chrétien) et d’écouter les voix qui ne vont pas dans son sens. s’il faut retenir une chose c’est que tous ceux qui ne souhaitent pas voir le Sénat être mis en place ne sont pas contre le PF, loin s’en faut. Si le PF, très silencieux, trop silencieux même, dans un discours ( le 4 ou le 5 Août arrive) disaient deux choses. 1) j’arrête la mise en place su Sénat (et je consacre son budget à améliorer l’Université et les deux hôpitaux (bobo et ouaga), le symbolisme de l’action marquerait les esprits. Et 2) Je respecterai la Constitution.
    La transition se fera d’une manière douce et le PF deviendrait un monument vivant au BF voire dans tout le monde entier. Certes, il n’aura pas la stature de Nelson Mandela, mais il jouirait d’un grand respect à commencer par beaucoup de ses opposants. (Je fais une digression ici : si l’intention que l’on prête à Monsieur François COMPAORE de vouloir succéder à son frère est vraie, c’est que lui même pense que le temps est venu pour son frère de "dégager" ?. Alors, il y aurait sur ce point un consensus entre lui et les autres opposants (ironie du sort). Et si Monsieur François COMPAORE veut la modification de l’article 37, c’est qu’il souhaite la réédition de ce qui c’est passé en 1998, ce que certains lui imputent, et qui a failli faire basculer le régime de son frère). Pas facile comme position. Fermons la parenthèse.
    Dommage que la question du Sénat soit instrumentaliser par ses proches comme un défi pour ou contre la personne du PF. Comme Monsieur Bambara, beaucoup de gens n’ont rien contre le PF, même s’ils ne veulent pas du Sénat. Il a cet écrit "d’un citoyen lamda", qui reflètent le point de vue de beaucoup de simples gens, de pauvres gens. Le PF a le rapport de International crisis group, la lettre pastorale des Evêques (qui lui est aussi et DIRECTEMENT adressé en tant que Catholique, et il doit écoute à ses guides spirituels).
    Plaise à Dieu, que l’on ne dise pas un jour, c’est lui-même qui a provoqué ce qui lui est arrivé par son manque d’écoute.
    J’ai eu l’avantage d’écouter un jour un conseiller du PF dire en très privé : Pensez-vous que le PF a besoin de conseils ? Que pouvez-vous lui dire". J’ai compris ce jour là la solitude du pouvoir.
    Nous prions pour le PF. Certainement, que c’est seul Dieu qui lui reste comme unique Conseiller. Et Dieu parle dans la brise (le petit vent) et il faut bien tendre l’oreille pour l’entendre.
    Nous ne désespérons pas de la miséricorde de Dieu.

  • Le 28 juillet 2013 à 06:06, par Che En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Une tres belle analyse

  • Le 28 juillet 2013 à 06:07, par miséricorde de Dieu En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Est ce que le PF lira ce message ? Est ce qu’il a lu celui de International Crisis group ? celui des Evêques ? Le souhait pour toute personne qui exerce un pouvoir est de savoir rester humble (le sens est chrétien) et d’écouter les voix qui ne vont pas dans son sens. s’il faut retenir une chose c’est que tous ceux qui ne souhaitent pas voir le Sénat être mis en place ne sont pas contre le PF, loin s’en faut. Si le PF, très silencieux, trop silencieux même, dans un discours ( le 4 ou le 5 Août arrive) disaient deux choses. 1) j’arrête la mise en place su Sénat (et je consacre son budget à améliorer l’Université et les deux hôpitaux (bobo et ouaga), le symbolisme de l’action marquerait les esprits. Et 2) Je respecterai la Constitution.
    La transition se fera d’une manière douce et le PF deviendrait un monument vivant au BF voire dans tout le monde entier. Certes, il n’aura pas la stature de Nelson Mandela, mais il jouirait d’un grand respect à commencer par beaucoup de ses opposants. (Je fais une digression ici : si l’intention que l’on prête à Monsieur François COMPAORE de vouloir succéder à son frère est vraie, c’est que lui même pense que le temps est venu pour son frère de "dégager" ?. Alors, il y aurait sur ce point un consensus entre lui et les autres opposants (ironie du sort). Et si Monsieur François COMPAORE veut la modification de l’article 37, c’est qu’il souhaite la réédition de ce qui c’est passé en 1998, ce que certains lui imputent, et qui a failli faire basculer le régime de son frère). Pas facile comme position. Fermons la parenthèse.
    Dommage que la question du Sénat soit instrumentaliser par ses proches comme un défi pour ou contre la personne du PF. Comme Monsieur Bambara, beaucoup de gens n’ont rien contre le PF, même s’ils ne veulent pas du Sénat. Il a cet écrit "d’un citoyen lamda", qui reflètent le point de vue de beaucoup de simples gens, de pauvres gens. Le PF a le rapport de International crisis group, la lettre pastorale des Evêques (qui lui est aussi et DIRECTEMENT adressé en tant que Catholique, et il doit écoute à ses guides spirituels).
    Plaise à Dieu, que l’on ne dise pas un jour, c’est lui-même qui a provoqué ce qui lui est arrivé par son manque d’écoute.
    J’ai eu l’avantage d’écouter un jour un conseiller du PF dire en très privé : Pensez-vous que le PF a besoin de conseils ? Que pouvez-vous lui dire". J’ai compris ce jour là la solitude du pouvoir.
    Nous prions pour le PF. Certainement, que c’est seul Dieu qui lui reste comme unique Conseiller. Et Dieu parle dans la brise (le petit vent) et il faut bien tendre l’oreille pour l’entendre.
    Nous ne désespérons pas de la miséricorde de Dieu.

  • Le 28 juillet 2013 à 06:08, par Chlarstin72 En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Laissez papa se reposer, lui et sa bande seront surpris par la tempête.

  • Le 28 juillet 2013 à 06:39, par TK En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Tres belle lettre Mr Bambara ! J’spere qu’il la lira et vous entendra !!!
    Malheuresement je crains que votre lettre ne reste lettre morte (excusez moi du jeu de mots). Simplement par ce que ce regime est arrogant et manque d’humilite. Jusqu’a c que l’irreparable se produise...

  • Le 28 juillet 2013 à 06:42, par lepeul En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Pourtant, les partisans de ce président lui avaient prouvé, à travers des manifestations organisées sur toute l’étendue du territoire, que « le peuple étaient en parfaite harmonie avec son président ». Pourtant, par un « oui » massif exprimé à l’occasion d’un référendum, il avait prouvé que ceux qui s’opposaient à sa volonté de terminer ses chantiers n’étaient qu’une petite minorité. La suite, on la connait : tous ses partisans inconditionnels sont devenus aphones, et personne ne le regrette aujourd’hui. Au contraire, le Niger affiche une grande prospérité.

    ca veut tout dire

  • Le 28 juillet 2013 à 06:58, par kibga En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    merci mr bambara pour votre mise en garde .J"espère surtout que le président prendra le temps de vous lire, dans son intéret. il ne surtout pas compter sur son sevice de presse pour ne serait ce que lui résumer votre lettre ouverte.encore une fois merci pour votre contribution si pertinente.

  • Le 28 juillet 2013 à 07:02, par Supervagabond En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Merci mon frère ! Il est tetu lui et son frère, on verra ce que ca va donner.

  • Le 28 juillet 2013 à 07:26, par ousmane En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Que Dieu protege protege le Burkina faso. Amen.

  • Le 28 juillet 2013 à 07:35, par maat et thot En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Mon esclave ,on se connait au FASO ! tu est bien de l opposition ! je respecte tes idées mais je ne les partage ;le senat va insttaurer un climat de cohesion et paix sociales plus fortes ce qui va convaincre de nombreux investisseurs a venir au FASO ! Cette ruée des IDE au FASO va booster la croissance, qui va permettre la creation des emplois et la chute du chomage.VOILA un des points positifs du SENAT. Ne serait ce que ce point la mise en place du senat est necessaire et prioritaire.......

    • Le 28 juillet 2013 à 13:56, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

      Quel rapport entre le sénat et investissements étrangers ? ces derniers ont-ils attendu la création du sénat pour venir investir au BF ? N avez vous pas lu que le Burkina est mieux classé par Doing Business ? Cet organisme a-t-il conditionné un meilleur score à la création du sénat ? Vous-a-t-on dit que les pays ayant cette institution ne souffrent-ils pas de taux de chomage endémique ? Dans quelle école vous a t-on appris que sénat rime avec investissement direct étranger(IDE) et par ricochet création d emploies ?La France que vous aimez copier,qui a institué cette chambre ,ne souffre t-elle pas d un taux de chomage parmi les plus élevés d europe ? Vous auriez pu nous convaincre si vous disiez qu il faille renforcer la crédibilité,l indépendance de la justice car les investisseurs vont là où ils sont sûrs d être protégés par une justice équitable,compétente ,à laquelle ils peuvent recourir en cas de besoin.

    • Le 28 juillet 2013 à 20:39, par L’ancêtre En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

      raisonnement bidon, mon cher maat et thot. Pour attirer les investisseurs, il faut corriger la justice, il faut de la bonne gouvernance, il faut punir les corrompus. En quoi ton Sénat là peut permettre de résoudre de telles tares que traînent le Faso depuis près de 30 ans.

  • Le 28 juillet 2013 à 07:57, par MOI AUSSI En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Rien à dire.Argumentation cohérente et limpide.

  • Le 28 juillet 2013 à 08:00 En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Mr Bambara ya rien a dire vous avez tout dit.

  • Le 28 juillet 2013 à 08:03, par Djib En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Toutes mes félicitations M. Bambara pour votre lettre ouverte à son Excellence. Ta lettre comme les recommandations du collège des sages, les multiples alertes du clergé et du crisisgroup auront-ils écho auprès du Grand Médiateur de l’Afrique ?
    Espérons que tes sages conseils seront pris en compte. Mais j’en doute fort car, Le Président du Faso se sent invulnérable, il est le Tout Puissant Président de toute l’Afrique de l’ouest. Il est le chouchou et le protégé de l’Occident car Blaise préserve leurs intérêt et détient tous les dossiers de ses homologues de la sous région. Ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que ce même occident (que les Rasta appellent Babylone) a protégé puis abandonné Sadam Oussein, Ben Laden, Mubarak, Ben Ali, Mobutu, Bokassa... En tout cas merci d’avoir apporté ta pierre à la construction de la paix dans notre pays. Que Dieu, les mannes des ancêtres inspirent notre Président et le guident dans sa décision pour un Burkina paisible.

  • Le 28 juillet 2013 à 08:04, par Ting bikoainga En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Merci Monsieur, votre message est propre

  • Le 28 juillet 2013 à 08:07, par dani6969 En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Merci Mr Bambara pour votre contribution. Si le président aime son pays, il pourra éviter le chaos pour son pays par un geste simple. Annoncer clairement qu’il renonce au sénat et qu’il ne se présentera pas aux élections de 2015 et tout rentrera dans l’ordre.Tout le monde y gagnera. S’il ne le fait pas maintenant aussi ,ça sera trop tard pour y remédier.

  • Le 28 juillet 2013 à 08:16, par L’eau de roche. En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Tout simplement MERCI Mr Bambara .
    Quel recul.Quelle hauteur de vue.Que de lucidité.
    Comme un avertissement Mr le Président ;vous devriez méditer bcp la dessus .
    Plus rien à dire.

  • Le 28 juillet 2013 à 08:17, par Le Citoyen En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Parfait on frère. Rien a dire.Tout est bien dit. La balle est le camp de Blaise. Il faut qu’il se décide et rapidement surtout s’il veut sortir par la grande porte.

  • Le 28 juillet 2013 à 08:30, par DEMOCRATE En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Mxi mrs BAMBA les mots me manque pour fois encore vs remercier vs avez fait une très bonne analyse de la situation qui prévaut en ce moment au Burkina sans partie pris

  • Le 28 juillet 2013 à 08:49, par le faso En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    mon type ce que vous dites est vrai.une question:est ce que de 2005 a2013 yavait le senat ?est ce que durant la meme periode les priorites que vous aviez parlees n’etaient pas la ?c’est une question de volonte politique. avec ou sans le senat si le gouvernement n’a pas la volonte de miser sur les priorites le burkina restera ainsi.

  • Le 28 juillet 2013 à 08:56, par L’eau de roche. En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Tout simplement MERCI Mr Bambara .
    Quel recul.Quelle hauteur de vue.Que de lucidité.
    Comme un avertissement Mr le Président ;vous devriez méditer bcp la dessus .
    Plus rien à dire.

  • Le 28 juillet 2013 à 09:11, par Tidiane En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Sacré Augustin, tu as un souffle divin. Espérons bien que Mr le Président lise avec son cœur ta missive. Tu as tout dit, une vérité limpide telle l eau de roche. Le silence est parfois plus meurtrier que l arsenal de toute une nation. Le silence du docteur es crises risque de conduire notre Burkina dans le gouffre . L heure est très grave. J espère qu il ne va pas ecouter tous ces vautours flatteurs pour détruire ce qu il construit au prix d énormes sacrifices . L homme parfois même averti suit son destin, mais être averti est une chance donnée . Comme l a it un écrivain malien l homme n est rien sans les autres, tout vient dans leur main, tout s en va de leur main. Puisse Dieu sauver le Burkina. Ameen . Qu est ce que j ai dit de mauvais pour que le fasonet ne passe pas mon commentaire

  • Le 28 juillet 2013 à 09:43, par KERE Moise Gervais En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Merci bcp Mr BAMBARA, vous êtes un citoyen courageux qui suis la politique de votre pays et surtout très soucieux de sa stabilité. Je suis d’avis avec vous qu’il y a des priorités que même son Excellence Monsieur le Président le sait bien mais il semble être prise en otage par un cercle de personnes qui pensent qu’a leurs intérêts personnels.
    Prions qu’ils adhèrent aux requêtes pour que nous demeurons un pays de havre de paix.
    Encore merci.

  • Le 28 juillet 2013 à 09:49, par l’ami du peuple En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Quand on lit,on a la chair de poule

  • Le 28 juillet 2013 à 10:08, par Socrates En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Cette lettre destinee a Blaise fait une bonne analyse de la situation du pays et interpelle vraiment le celui-ci a plus de sagesse et de discernement. J’aimerais joindre ma voie a celle de Mr bambara pour exiger de notre president une declaration claire et concise dans laquelle il dira de facon explicite la fin de son mandat en 2015 et la renonciation a la creation de l’article 37. Il faut que Blaise compaore commence a respecte le peuple qu’il gouverne en ce prononcant a chaque que le besoin se fait sentir. Personne ne supporte le mutisme dans lequel il se terre. Est-ce un aveu de faiblesse ou juste une volonte affichee de se moquer du peuple Burkinabe ? Et pourtant il est tres prolixe quand il s’agit des problemes d’autres pays. Soit courageux pour une fois Mr le president et pour une au moins dans ta vie dit nous clairement ce tu penses. On a droit de savoir et toi tu as le devoir parler a ton peuple si tel est vraiment le cas. Nous attendons !

  • Le 28 juillet 2013 à 10:18, par mardia En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    belle analyse mr Bambara. j aurai preferé que l appel soit lancé pls tot. il est dans sa logique et ne veut ecouter personne sauf la voie des armes. malheureusement

  • Le 28 juillet 2013 à 10:21 En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    c’est vrai que dans le temps le CDP pouvait modifier la constitution à sa guise. mais actuellement selon la configuration actuelle de l’Assemblée Nationale, sans ADF-RDA CDP seul peut pas modifier la constitution car n’ayant pas les 3/4 requis. mai le danger est réel avec l’avènement du sénat puisque la marge de manoeuvre du Cdp sera étendu.

  • Le 28 juillet 2013 à 10:22, par LINO En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    même si ton exclave reste toujours ton exclave,il faut reconnaitre qu’il a une tete aussi pour penser et surtout bien. Bravo petit bissa. Vivement que les conseillers du grand manitou lisent ton message et qu’ils soient realistes lorsqu’ils vont faire le compte rendu a leur boss. felecitation

  • Le 28 juillet 2013 à 10:23, par Supervagabond jadis Vagabond En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Bel article ! Que ceux qui ont des oreilles our entendre, entendent...

  • Le 28 juillet 2013 à 10:29, par Abdoul En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    L’affaire "sénat" aurait néanmoins fait oeuvre utile. Voici des SANKARA, des Norbert ZONGO tapis à l’ombre. Sortez svp, le pays a besoin de vous pour son développement. On a été longtemps enfermé dans un carcan de brigandage politique appelé sans honte et à tort et à travers "démocratie". A nous la liberté ! A nous une nouvelle ère démocratique

  • Le 28 juillet 2013 à 10:33, par LE SINCERE En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Apres la declaration des eveques du faso.voila a nouveau un digne fils soucieux de l’avenir de sa nation ; une nation qui est entrain d’etre directement conduit dans un gouffre.Merci pour ton courage et nous esperons que le president dans son humilité prendra en compte les multiples observations faites afin de prendre une decision qui sied et a la grande satisfaction du peuple BURKINABE

  • Le 28 juillet 2013 à 10:38, par patriote En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Humm, le président n’est plus libre des ses opinions, c’est un otage des djadices du CDP..

  • Le 28 juillet 2013 à 10:44, par hamoc En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    bien argumenté.Le problème n’est pas le PF mais ses partisans.Comme vous l’avez dit dans votre argumentaire il est pris en otage comme Gbagbo en son temps. Ses détracteurs ont peur du combat politique qui va suivre après le "repos" du Blaiso.
    Ils devront comprendre que l’heure d’un départ élogieux a sonné pour notre bien aimé prési.Vivement que ses conseillers le transmettent textus ce que son peuple ressent actuellement.Prési, seule la sagesse doit vous guider.

  • Le 28 juillet 2013 à 10:48, par Cool le séducteur En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Tou c q vous dites est valable mè jè peur q tou ces dirs n sw q du verbiage par la s8te.e si on laissait tombé tou sa la !sa fè koi ?l pays è a laise san l senat oub1 ?

  • Le 28 juillet 2013 à 10:54, par rangui En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    très propre ! comme message,ceux qui ont des oreilles qu’ils entendent,on aime tous le b.f donc evitons la division.par pitié pour ce pays laissons cette affaire de mise en place du senat.

  • Le 28 juillet 2013 à 11:06, par fraternel En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Le burkina a toujours des fils dignes
    . Nous tous on aurait voulu faire comme toi, mais on a ni le courage ni la competence.

  • Le 28 juillet 2013 à 11:06, par Conscience En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Je ne sais pas quel est votre grade Mr Bambara, mais vous méritez le respect des Burkinabés.
    Belle production (dans le fond et la forme)
    Big Respect

    • Le 29 juillet 2013 à 02:33, par Mervyn En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

      Je loue l’intelligence et la clairvoyance de de digne Burkinabè. Merci pour le chef-d’oeuvre. C’est à des moments critiques comme celui que nous vivions actuellement que nos universitaires, chercheurs, politologues, essayistes et autres intellectuels devraient utiliser leurs capacités intellectuelles pour conscientiser le peuple, par exemple à travers les colonnes de nos journaux. Les titres et diplômes ne valent que par l’usage pratique qu’en font leurs auteurs. Mon pamphlet sera publié incessamment.

  • Le 28 juillet 2013 à 11:17, par Larson En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    seulement bravo, rien a dire tant l’humilité est grande, j’adore et je crois qu’il vous lira et prendras la bonne décision, celle d’aider son peuple

  • Le 28 juillet 2013 à 11:19, par Espoir En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    bonne analyse Mr mais n’oublier pas que ns apprenons rien a Mr blaise car il a tenue un conseil de ministre le 24 et en plus il achète des engins pour réprimer les protestations. IL est difficile de réveiller quelqu’un qui ne dort pas.

  • Le 28 juillet 2013 à 11:21, par mycountry En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Tres bonne memoire frere !
    Esperons qu il t entende et prenne conscience des maintenant avec son entourage !

  • Le 28 juillet 2013 à 11:24 En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    voilà un patriote ! merci mon frère !

  • Le 28 juillet 2013 à 11:25, par djeliba En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    IL Y A BIEN DES DOCUMENTS HISTORIQUES que tous les BURKINABE devaient garder en mémoire ou dans les archives car ils en auront besoin pour expliquer une quelconque situation cahotique que le PAYS des hommes intègres aura à connaître. Sont de ceux-là, le document d’analyse de la situation sociale par les EVËQUES DU BURKINA, la lettre ouverte au PRESIDENT BLAISE COMPAORE par le citoyen BAMBARA AUGUSTIN en Juillet 2013..
    Ainsi, on dira qu’on voyait venir et qu’on L’avait prévenu.IL n’a pas entendu la voix des SAGES mais a plutôt écouté celle de sa COUR et des chefaillons aplaventristes. Il serait déjà trop tard, vraiment trop tard....

  • Le 28 juillet 2013 à 11:37, par kebor En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    merci mr BAMBARA, si les inconscients prennent consciense, ils prendrons en compte vos conseils pr partir en paix

  • Le 28 juillet 2013 à 11:38, par bouba En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Bravo à M Bambara et courage.

    J’appelle la jeunesse Burkinabè a chassé ses ennemis du pays du pouvoir.
    Vous allez voir que nous allons vous balayer et dirigé la nation toute entière.

  • Le 28 juillet 2013 à 12:07, par djeliba En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Très beau travail. Mais les courtisans feront tout pour qu’il n’arrive pas sur le bureau de B.C.ou vous traiteront de OPPOSANT, AIGRI ou INTELLECTUEL EN MAL DE POPULARITE, ils auront tous les qualificatifs contre vous ; mais le peuple conscient vous a compris et adhère à votre écrit ; merci...

  • Le 28 juillet 2013 à 12:11, par djeliba En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Très beau travail. Mais les courtisans feront tout pour qu’il n’arrive pas sur le bureau de B.C.ou vous traiteront de OPPOSANT, AIGRI ou INTELLECTUEL EN MAL DE POPULARITE, ils auront tous les qualificatifs contre vous ; mais le peuple conscient vous a compris et adhère à votre écrit ; merci...

  • Le 28 juillet 2013 à 12:13, par djeliba En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Très beau travail. Mais les courtisans feront tout pour qu’il n’arrive pas sur le bureau de B.C.ou vous traiteront de OPPOSANT, AIGRI ou INTELLECTUEL EN MAL DE POPULARITE, ils auront tous les qualificatifs contre vous ; mais le peuple conscient vous a compris et adhère à votre écrit ; merci...

  • Le 28 juillet 2013 à 12:36, par Douk En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    très belle plume , pleine de vérité et d’humilité.
    Norbert Zongo disait que parmi nos valeurs ancestrales, il y’a le fait que un bon roi est celui qui pouvait mourir pour son peuple. M. le Président n’est certes pas un roi, mais si sa mission c’est vraiment d’être utile à ce pays et à son peuple, nous osons espérer que ce message, comme celui des évêques, créera le déclique, de la renonciation à la modification de l’article 37 ; sauf si, il était écrit qu’avec toute l’histoire de ce pouvoir, il ne pourrait pas finir dans la gloire.

  • Le 28 juillet 2013 à 12:36, par whit and spirit En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Dueu protege nous,Dieu sauve nous car le Burkina faso va sombrer avec cette histoire du senat.Mr Bambara j’esper que vous serez entendu !

  • Le 28 juillet 2013 à 12:44, par Ouédraogo En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    C’est vraiment honète et bien clair.

  • Le 28 juillet 2013 à 12:49, par ISMAËL En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Cher ami,
    Merci pour ton message véridique.
    Je pense que nous avons un président sage et très averti.
    Je souhaite qu’il déjoue les plans de certains de ses partisans qui ne pensent qu’à leurs ventres pour un Burkina prospère.

  • Le 28 juillet 2013 à 12:52, par Esprit fils En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Très belle lettre,aussi limpide que l eau de roche.mais es ce que notre cher président aura connaissance de son contenu ?merci mr.Bambara pour ton engagement.que Dieu protège le burkina et illumine notre très chèr Blaise Compaoré.

  • Le 28 juillet 2013 à 13:19, par Mang Biiga En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Merci pour cette belle analyze. Un des problemes : Blaise sait qu’il sera poursuivi (lui, sa famille, et tous ces juges corrompus qui ont sabote le proces Sankara, David, Norbet, etc.). La communaute internationale aussi l’attend. Blaise doit des explications sur sa participation a la guerre civile au Liberia, en Sierra Leonne, et les sales histoires de traffic d’armes et de diamant.
    Le deuxieme probleme : Sous le regime Compoare, beaucoup d’incompetents ont accede a des postes qu’ils ne meritent pas. Beaucoup ont vole et volent toujours tranquillement. Si Blaise part ce sera grave pour tous ces gens. Donc ces individus voient Blaise comme le seul capable a gouverner le Burkina et feront tout ce qu’il faut pour qu’il reste au pouvoir. Je suis sur que Guiro va pleurer le jour ou Blaise quittera Kosyam.
    Enfin, l’argent et le pouvoir peuvent vous gater la tete. Revoyez le agissements de Charles Ble Goude, Kadhaffi, Laurent Gbagbo, etc. Peut etre que ca rend fou. Je ne suis pas trop sur parce je n’ai ni le pouvoir, ni l’argent.

  • Le 28 juillet 2013 à 13:21, par kpassou En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Blaise ne veut pas se representer. Son intention est de nommer Francois comme premier responsable du senat. Ensuite il demissionne a quelque jours du terme de son Mandat. Francois assurant l’interime organisera des elections et avec TOUT CE QUE SAVIEZ DE LEUR MACHINE adouble de la pauvrete et de l’ignorance d’une grande partie du peuple deviendra president. Mais ce qu’il oublie...... L’homme propose et Dieu Dispose. Tu as beau ficele * comment comment* et l’armee et les operateurs economiques et les chefs traditionnels et les religieux ( a l’exeption des catholiques !) , la surprise t’attend toujours. Qu’il ouvre les yeux et voit tous ce qui ont voulu s’eterniser au pouvoir ou ont voulu imposer leurs descendants !! Le proverbe dit que quand l’ane veut faire tomber son proprietaire, ce dernier ne voit plus ses oreilles. Alors je me demande si Blaise et son clan mesurent effectivement la portee de leur action ?

  • Le 28 juillet 2013 à 13:22, par kpassou En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Blaise ne veut pas se representer. Son intention est de nommer Francois comme premier responsable du senat. Ensuite il demissionne a quelque jours du terme de son Mandat. Francois assurant l’interime organisera des elections et avec TOUT CE QUE SAVIEZ DE LEUR MACHINE adouble de la pauvrete et de l’ignorance d’une grande partie du peuple deviendra president. Mais ce qu’il oublie...... L’homme propose et Dieu Dispose. Tu as beau ficele * comment comment* et l’armee et les operateurs economiques et les chefs traditionnels et les religieux ( a l’exeption des catholiques !) , la surprise t’attend toujours. Qu’il ouvre les yeux et voit tous ce qui ont voulu s’eterniser au pouvoir ou ont voulu imposer leurs descendants !! Le proverbe dit que quand l’ane veut faire tomber son proprietaire, ce dernier ne voit plus ses oreilles. Alors je me demande si Blaise et son clan mesurent effectivement la portee de leur action ?

  • Le 28 juillet 2013 à 13:35 En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    j’ai les larmes aux yeux. Comment blaise peut il ignorer cette lettre ? Je crains qu’il ne l’ignore parce que celle des évêques a été ignorée. Mais merci à M BAMBARA parce que vous avez joué votre partition.

  • Le 28 juillet 2013 à 13:39, par leroy En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    dans un monde ou tout le monde se plaint de la cherete de la vie,les problemes reels minent notre societe et nos dirigeants afin de recompenser leurs suiveurs de patriotes politiques se prennent la tete et veulent nous imposer le senat.disons non et non a cette violence de nos droits.mobilisons nous et luttons de sorte a ce que ce senat soit un fiasco.tous unis nous vaincrons

  • Le 28 juillet 2013 à 13:41, par L’équipe En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Propre, un e belle façon de montrer votre <> amour pour le Faso et de la sympathie pour ses dirigeants inconscients. Merci Mr Bambara, vous avez parlez pour tout le peuple, FOFO, ANITHIE, BARKA........

  • Le 28 juillet 2013 à 13:46, par trous En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    vous êtes un chef Mr BAMBARA, mais croyez moi ce n’est pas les mots ou les dires qui feront changer d’avis notre cher président sur son maintien après 2015 ! il est déjà dans la logique de ’’ ça passe ou ça casse’’ peuple du Burkina Faso préparons nous car ça risque de casser.....!!!!
    que dieu bénisse le Faso !

  • Le 28 juillet 2013 à 13:55 En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Je trouve cette lettre ouverte aussi pathétique que le message du clergé même si les mots employés sont plus ’tendres’. Au jour d’aujourd’hui, tout le monde voit bien qu’on s’achemine inexorablement vers une crise qui sera amplifiée en 2014 avec la perspective des élections présidentielles de 2015. Je suggère que les internautes soucieux de la paix fassent davantage de propositions concrètes que de critiques pleines de haine. A ce titre, je propose que nos évêques rencontres les autres responsables religieux et coutumiers ainsi que les associations de la société civile et qu’ensemble ils demandent une audience au chef de l’Etat ou au gouvernement ou même à la direction du CDP ou alors à l’ensemble de la classe politique. Mais si d’aventure leurs propositions de sortie de crise étaient rejetées, alors je suggère que toute l’opposition qui boycotte actuellement la mise en place du sénat se retire de l’assemblée nationale.

  • Le 28 juillet 2013 à 13:56, par DOGO LE BANGOCIEN En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Toutes mes félicitations mon frère !!!!

  • Le 28 juillet 2013 à 14:26, par zeba En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Merci parent,pour cette brillante lettre ouverte.Vous avez tout dit de la maniere la plus pertinente qu’il soit.Si j’etais le president ,je saurai faire ce qui est sage,a l’issue de tels conseils.Vous lui rendez un grand service a travers ces conseils,chose que ses milkiers de conseiller ne font pas.Nous avons besoin de ce genre d’ecrits pour elever la qualite du debat.Merci encore pour votre contribution.

  • Le 28 juillet 2013 à 14:40, par Alingihme KUNSOIN En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    M. BAMBARA, vous avz tout dit comme beaucoup d’autre commentaires l’affirme.
    Si ton message est lu et compris, tant mieux pour le Faso. le Senat n’est pas un probleme pour moi. Si COMPAORE ose toucher l’article 37 sans soulevement populaire et sans la reaction de l’armee comme au Niger et en Egypte recemment, c’est qu’il n’y a plus un homme au Faso. je desirerai dans ces conditions cesser d’etre citoyen burkinabe dans la messure du posible. Surtout larmee. quelqu’un prend le pouvoir avec les armes, vous, naifs que vous etes vous vous laisser corrompre par ce type comme si il etait surnaturelle. où etait sa soumission quand lui il tuait Sankara.
    Il a peur de la CPI est- la CPI est cree apres son acte ?
    Je le repette, si Blaise postule pour la presidentiel en 2015, cela supose qu’il n’y a plus d’hommes integres au Burkina. Mieux changer meme le nom du pays.

  • Le 28 juillet 2013 à 15:02, par seniamie En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    nous sommes pas d’accord pour le senat parce que ça n’arrange aucunement notre pays
    mais moi je croyait que le role du president c’est de faire ce qui arrangerai au peuple mais pas ce qui l’arrangera uniquement non au senat
    vive le burkina
    vive la paix

  • Le 28 juillet 2013 à 15:11, par denoaga En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Voilà un message qui à lui seul, suffit pour éviter au Burkina Faso notre très chère patrie des lendemains sombres s’il était écouté.

    • Le 28 juillet 2013 à 15:37, par Koumbem Tipousga En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

      Bonjour

      Blaise doit savoir que c’est l’occasion unique pour qu’il puisse s’exprimer. Il peut s’il s’entête dans le silence, ne plus avoir la possibilité de le faire à un moment donné. C’est un conseil

      Le mépris à trop duré. Avec cette marche gigantesque, le pouvoir doit savoir que la bataille est entrain de plier entre ses mains. Confère Waterloo.

      Sans T-Shirt, ni argent, ni cars, et des intimidations, tout le monde a vu la mobilisation. Bonne suite.

  • Le 28 juillet 2013 à 15:28 En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Ce message doit être déposé au musée national.

  • Le 28 juillet 2013 à 15:36, par Gomèssope En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Merci ! un texte savamment rédigé et surtout avec des arguments d’acier.Cependant mon cher monsieur , je vous rappelle que le temps des martyrs est fini . ce le peuple burkinabé souhaite c’est ce vous venez de relater et du coup c’est trop demander à ce président de quitter son pouvoir. Blaise a fait trop du mal et tout le monde le sait . Malgré tout , je suis certain que le peuple burkinabé ne voudra jamais , jamais et au grand jamais voir leur ex président au CPI. Le pourquoi je n’en sais rien mais c’est une certitude presque ’’divine’’ et quelques raisons selon moi s’y trouvent dans ce texte de ce grand monsieur.

    • Le 28 juillet 2013 à 18:17, par PYKCM En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

      Félicitation pour la lucidité dont tu fais montre dans ta lettre qui est bien rédigée et qui doit sensibiliser les courtisans et partisans de la politique du ventre à faire de même pour éclairer notre président sur ses choix futurs
      Encore bravo pour ton esprit de discernement

    • Le 28 juillet 2013 à 22:41, par Bugalez ar vro En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

      Le meilleur soutien que l’on puisse apporter à un ami dans les situations difficiles, c’est lui dire la vérité, rien que la vérité et toute la vérité. Alors j’invite tous mes frères du CDP à être des vrais amis pour le président du Faso.
      Je reconnais que c’est pas facile pour eux d’accepter le changement et de perdre les avantages que la présence de Mr le président les offre.
      Cependant il faut savoir que toute chose, qu’elle soit bonne ou mauvaise a une fin.

  • Le 28 juillet 2013 à 17:23, par Ahmed En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    dis moi comment je peut faire pour te transféré une somme, je suis ému par ta lettre.very very very very good

  • Le 28 juillet 2013 à 19:42, par Blaise COMPAORE En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Merci cher compatriote pour cette mise en garde.
    Au prochain conseil des Ministres je vous nommerai conseiller particulier a la présidence aux cotés de mon très frère. Ce poste vous convient-il ???

  • Le 28 juillet 2013 à 19:44, par Blaise COMPAORE En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Merci cher compatriote pour cette mise en garde.
    Au prochain conseil des Ministres je vous nommerai conseiller particulier a la présidence aux cotés de mon très frère. Ce poste vous convient-il ???

  • Le 29 juillet 2013 à 06:24 En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Ceci est un bel exemple des internautes utiles, qui ne passent pas leurs temps a critiquer, attaquer verbalement les protagonistes concerner pas les articles, mais a apporter egalement des solutions parallèles aux problèmes soulever. Votre article est une tres belle analyse qui resume la situation nation nationale a l’heure actuelle. Un rapport d’un point de vue interne meilleur a celui du Cris Groupe qui n’est q’une ONG internationale. Je vous donne la note de 9/10 et j’invite tout les burkinabés a lire et a faire passer se genre de message a fin que le peuple soit conscient et prenne son destin en main.

  • Le 29 juillet 2013 à 06:32, par j’aime mon faso En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Contenu très pertinent et occasion pour les loup de la quatrième république de se racheter. Beaucoup de courage au frère qui a développée ces idées et que le tout puissant te guide dans la quête permanente de cette vérité.
    Vive le peuple Burkinabé.

  • Le 29 juillet 2013 à 07:59, par Zeus En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Bonjour M. BAMBARA

    C’est avec un grand plaisir que j’ai lu votre lettre ouverte, j’aurais pu moi-même la signer tant vous avez tout dit. Que ceux qui ne veulent rien entendre ne soient pas surpris le jour où ce pays tombera dans le chaos à cause de leur entêtement. Peut-être seront-ils les premiers à se réfugier dans un pays occidental puisqu’ils en ont les moyens.
    Merci pour cette merveilleuse illumination. Nul n’est immortel, donc irremplaçable...

    Bonne journée

  • Le 29 juillet 2013 à 08:44, par BOOBA En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Chapeau à l’opposition ! mais après analyse, je mes suis rendu compte que le pouvoir continue de faire la sourde oreille. Il est temps de changer de stratégie.La formule de "on ne peut pas faire des omelettes sans casser des œufs" doit s’appliquer à ce prétendu régime car il refuse d’ouvrir ses yeux.Nous sommes capables et la fin va justifier les moyens

  • Le 29 juillet 2013 à 08:51, par ADAH En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Comme le dit le jah, il y a des gens qui ne comprennent ps le langage des yeux. mêm si vs fixer pr le faire comprendre, il le refuse. il faut pousser et faire tombée ce Blaise sinon il ne reculera ps. j’invite la gde muette à réagir. les gens pensent ke ca va chauffer je suis de ceux qui pensent le contraire. rien ne se produira si Blaise refuse la grde porte, il sortira par la ptite et il n’y aura rien rien et rien. Merci Bambara

  • Le 29 juillet 2013 à 09:18, par Illias depuis ILe de Bourgone En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    voici au moins un vrai Burkinabè,un article pertinent,qui dépeint tt.blaise doit s’en servir.Merci Bambara,tu peux etre un bon conseiller.

  • Le 29 juillet 2013 à 10:37, par SAGE En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Bonjour à tous,
    Bonne analyse et surtout des conseils sincères appuyés d’exemples à notre Président. Si notre Président est un homme libre, il devrait prendre en compte l’avis de notre peuple. Malheureusement, selon moi, il est devenu l’otage d’un groupuscule que son frère a crée autour de lui dans le souci de prendre le pouvoir. De ce fait, il a les mains liés, les mains sales, les mains couvertes de sang et dépourvu de tout pouvoir. Il ne dirige plus le Burkina mais il subit les directives du groupuscule.
    Le mouvement engagé par le peuple Burkinabè est irréversible. Que le CDP et le clan François le comprennent. Le peuple se battra jusqu’à la victoire finale. Cette victoire n’est plus loin !!!!
    Que Dieu Le Tout Puissant veille sur le combat du peuple Burkinabè. Amen !

  • Le 29 juillet 2013 à 11:39, par RV En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    QUE BLAISE ENTENDE ET APPLIQUE. C’EST LA VOIE DU SALUT

  • Le 29 juillet 2013 à 12:57, par ismo-valdec En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    quelle bonne analyse !vous êtes l’homme intègre merci d’avoir éclairer leur lanterne sombre pour le bien de ce pays et de nous tous ils ont intérêt à repenser leur position avec ses mille vérités merci mon frère

  • Le 29 juillet 2013 à 13:30, par SAGESSE En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Beau message et bien dit ; Blaise qui se refuse de s’exprimer, c’est vraiment alarmant de se faire gouverner par une personne qui ne pense pas au peuple, mais à sa petite personne. Lui qui ne manque pas de parler pour lles autres pays ;
    C’est mieux pour lui d’être sage et de saisir les opportunées qui s’offrent à lui au risque de créer une gengeance qui peut l’atteindre lui et ses proches.
    Et qui une question reste posé : s’il mourait aujourd’hui, est ce qu’il demandera au bon Dieu d’attendre qu’il finisse ses chantiers ?

  • Le 29 juillet 2013 à 13:56, par Ouedhash En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    en tt k je salu votre marque de politesse, tout au long de cette lettre vous avez di la verite, evoquer les problemes que nous vivons actuellement et plus vous avez fait des proposition pr ns eviter le chao mais il reste a savoir si cette lettre parviendra au president comme voulu. Les hommes politiques du parti au pouvoir de notre pays devront prendre cette lettre en consideration le Blaiso en particulier

  • Le 29 juillet 2013 à 14:26, par Alexio En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Le dilemme. Comme le dis l Adage. Le rois est toujours bon ,mais son entourage qui est mauvais. Ce Entourage qui va lui metter le baton dans les roues de son apogee. Blaise Compaore a seulement deux choix : Sortir par la grande porte, ou bien par la petite.

  • Le 29 juillet 2013 à 14:38, par Le citoyen En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    C’est bien pensé...!?, Je dirais que Blaise devrait se retracter de cette mascarade. Il a assez remercié ses compatriotes et devrait éviter d’en créer d’autres. Personne d’entre eux ne veux son bien. Ils ne deffendent que leurs TD. Blaise, Blaise..., tu as assez fait pour eux. Sauve-toi et laisse les. Les burkinabès seront assez intelligents pour te laisser en paix. Ne présuppose rien. Ton peuple est mûr et tu as une expérience de sécurité que le Burkina a besion. Tu ne dois rien craindre. Au moment venu, le peuple souverain dira non à toute tractation à ton encontre et à tes siens. Ne rentre pas dans un circuit impossible, l’Eglise qui est ton rocher ne peut te tromper. En fait c’est l’une des issue honorable, prend garde de ne boucher ce chemin.

  • Le 29 juillet 2013 à 15:27 En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Bien inspiré mais ces gens-là sont tellement arrogants et bouchés qu’ils sont allergiques à ce genre de message. Si Blaise voulait le bien de ce pays, il ne garderait pas le silence jusqu’à présent. C’est quand il y aura des morts maintenant qu’on sortira décreter des jours de deuil, or on pouvait éviter cela. Nous allons désormais lutter vigoureusement et il nous entendra ;

    • Le 29 juillet 2013 à 19:42, par , En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

      Le message sera reçu 5/5 par le Destinateur , seulement il aura l’embarras de réagir dans le sens des attentes de l’auteur de la lettre et des millions de Burkinabè lors de son discours attendu pour le 5 aout . Pourquoi ? parce qu’il y a l’orgueil qu’on peut attendre du soldat qu’il est mais aussi de cette reculade pourtant bénéfique s’il l’acceptait , mais qui pourrait être interpelée comme un aveu de faiblesse. Il doit avoir une tempête dans le crane comme ce fut le cas de Norbert ZONGO lorsque à la suite des multiples messagers auprès de sa mère pour qu’elle le dissuade de d’écrire sur l’affaire David OUEDRAOGO et après que celle ci eu interpelé son fils Norbert ,celui ci était dans l’embarras .

  • Le 29 juillet 2013 à 20:42, par le maître En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Ce qui est sûre dans cela c’est que le médiateur africain aura bientôt besoin d’un médiateur pour le Burkina. je ne le souhaite pas mais cela est une évidence. dans tous les pays c’est entêtement des dirigeants et leurs proches qui a conduit à ce que nous voyons. nous ne sommes pas à l’abri. avec l’argent qu’ils vont gagner au sénat, est ce que les soit disant sages peuvent rester sages. l’intérêt les a déjà déroutés. ils défendront leur gourde de vin au détriment de la paix de notre pays. il faut exclure de compter sur eux en cas de problème du moment qu’ils sont devenus acteurs avec le pouvoir de tout ce qui peut arriver. Il en est de même pour les confessions religieuses qui s’y trouve. Pour les dirigeants de l’Eglise protestante cela ne m’étonne pas puisque pour eux une fois que l’on parle d’argent ils fourmillent comme des mouches. il sera obligé de rechercher un médiateur ailleur pour le Faso puisque le ventre a aliène tout le monde. Le ccrp était une situation d’urgence et aucune décision de pouvait être mûrie. Il fallait sauver une situation. des décisions ont été prises dans la précipitation et maintenant à tête reposée les chefs coutumiers et tous les sages verront un jour et bientôt leur impuissance devant le résultat de leur envie effrénée du gain. C’est comme en campagne politique, on met chaque fois devant ces gens le miel et leurs yeux ne voient plus les abeilles. Que les syndicats s’unissent maintenant pour arracher pour les travailleurs. Ya l’argent au pays.

  • Le 30 juillet 2013 à 08:50, par capitaine hervé En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Mon ami, tu déroules le tapis rouge pour un dictateur. Depuis quand blaise est un facilitateur ??? depuis quand il a consolidé la démocratie ??? tu es bien naif toi si tu pense tout ca et que tu croit que blaiso va te lire sur lefaso.net et verser une larme devant tes belles paroles

  • Le 30 juillet 2013 à 09:24, par Blé Goudé En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Opa tout le monde a le balais.C’est un message venu grâce à la bénédiction du moi béni.Prends en compte.c’est comme ça on a flatté le OUDY de MAHAMA.

  • Le 30 juillet 2013 à 09:39, par Un membre du CDP En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    C’est quand meme triste que la seule force de l’opposition burkinabè soit le dénigrement de Blaise Compaoré et de son gouvernement !
    AU lieu de proposer des solutions c’est "Blaise doit partir" , ou non "au changement de l’article 37 " !
    C’est simple quand vous serez au pouvoir chère opposition , et bien vous aurez le loisir de supprimer le SENAT !
    Aucun dynamisme et pôle de développement que vous proposez , mise a part le départ du président ou la non création du sénat ou encore la non modification de l’article 37 !
    INSENSÉ !!

    • Le 30 juillet 2013 à 13:55, par Le Borgne En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

      Nous ne sommes pas en campagne électorale ; pourquoi veux-tu un programme politique ? pour tricher là aussi parce que vous êtes médiocres ? C’est ça oui, 27 ans au pouvoir et nous sommes 183/187, et tu parles de développement, pire d’émergence. Vous partirez tous, on ne vous négocie pas ; d’ailleurs vous en répondrez devant le peuple.

  • Le 30 juillet 2013 à 11:16, par TEY En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Personne n’est contre Blaise Compaore c’est ceux qui soutiennent la mise en lplace du cenat qui sont ces premiers ennemis Qu’il prenne en compte la lettre de Mr Bambara.

  • Le 30 juillet 2013 à 12:33, par L’unique En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    bien parlé ton méssage va passer

  • Le 30 juillet 2013 à 12:43, par Gadro En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Bonne analyse, mais j’ai comme l’impression que vous ne pensez que Blaise "imself" est au courant de tout ce qui se passe. c’est lui qui manigance tout cela. seulement qu’il est confiant car, s’il modifie l’article, et que y a mort d’homme, il ne sera pas poursuivi. Au CCRP, autorisation lui à été donnée de tuer et il n’aura pas de poursuite judiciaire. je me demande souvent que fait la justice au faso ? l’acceptation de l’amnistie pour le président du faso en exercice de ses fonctions est la ou la justice burkinabé à péché à jamais. tout bon juge ne devait pas se dire digne de porter ce mentaux au Burkina, c’est la honte et honte !!! Les magistrats devaient combattre cette loi de toute les forces, mais hellas ? et c’est ça lefaso. seul le peuple peu s’assurer sa propre justice.

  • Le 30 juillet 2013 à 13:54, par aimee En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    c’est bien de dire ce qu’on pense simplement laissons Dieu agir pour les plus faibles

  • Le 30 juillet 2013 à 18:40, par Wendyamba En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Ayez pitié des malades qui sont couché à même le sol à l’hôpital,
    Ayez pitié de la veuve et de l’orphelin.
    SVP ! Ayez pitié des Burkinabé. ils ne savent plus à quel saint se vouer,ils sont frustrés. Quelques soit vos" ARGUMENTS", vous ne pourrez pas les arrêter parce qu’il seraient déjà des morts vivants fabriqués par votre système. RDV en 2015

  • Le 31 juillet 2013 à 12:35, par Sankis En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Le Burkina Faso est assis sur un brasier chers compatriotes, de grâce ne demandez pas à Dieu de nous sauver, car le Ruanda, le Burundi et la Cote d’Ivoire ont tous brûlés alors qu’ils ont des églises, et des mosquées !!!
    Les autorités seuls peuvent désamorcer cette bombe !!!!!
    Nous accepterons le senat si toute fois ces membres travailleront gratuitement, de toute façon c’est un repère de vieux riches non !!!!!!

  • Le 2 août 2013 à 02:25, par Liberté D’Expression En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    Cessez de vous affolez ! Blaso sait que vous êtes peureux et vous n’osez pas vous rebellez donc il fait ce qu’il veut vous parlez mais vous n’agissez pas !

  • Le 23 août 2014 à 21:41, par simplice En réponse à : Lettre ouverte à S.E.M. le président du Faso à propos de la mise en place du sénat au Burkina Faso

    merci bocou

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