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Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

Publié le jeudi 27 juin 2013 à 12h30min

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Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

Dans la déclaration ci-après, le président national du parti l’Autre Burkina/PSR, Dr Alain Dominique Zoubga, bat en brèche les arguments déployés par ceux qui sont contre la création du Sénat et en appelle à la mise en place "rapide" de l’institution.

Depuis quelques semaines, le débat sur la mise en place du Sénat a pris de l’ampleur dans divers milieux sociopolitiques de notre pays. Et disons le tout de suite, ce n’est pas un mal en soi ! En effet, ceux-là qui régulièrement ont refusé les débats contradictoires sur les réformes et reviennent à reculons pour clamer leur opposition au Sénat, en présentant enfin leurs arguments contre la mise en place de cette
nouvelle institution. Mais en analysant objectivement ces supposés arguments développés par les "anti-sénat" et le format des discussions actuelles, l’on peut conclure sans trop de risque de se tromper que ce n’est nullement la pertinence de cette nouvelle institution ni son coût qui préoccupent nos contradicteurs ! En réalité il s’agit pour ces derniers, mis à mal au sein de l’opinion, de profiter de cette situation pour redorer leur blason en s’agrippant à cette "opportunité", ce qui se comprend parfaitement.

On constate que pour combattre cette nouvelle institution, tout y passe, de son inutilité à son coût élevé, on affirme qu’elle est même anticonstitutionnelle en mettant en garde la classe politique contre les dérives législatives. Sur ce dernier point, comment peut-on comprendre que des députés désertent l’Assemblée nationale, "leur maison", pour ensuite, aller dénoncer dans les journaux ces prétendues dérives législatives laissant leurs adversaires organiser et diriger seuls le débat intra-parlementaire ? Manifestement, ils ont horreur des grandes discussions face à face au sein du parlement, alors qu’ils ont été élus pour nous y représenter.

En attendant d’examiner les arguments anti-sénat, l’Autre Burkina/PSR rappelle qu’avec d’autres partis en 2008, ils ont été les premiers initiateurs des réformes politiques et qu’à l’époque, ils ont salué la position officielle du chef de l’Etat invitant notre peuple à des réformes. Ce fut alors le début du processus formel. Du reste, concernant le Sénat, c’est une proposition présentée par des partis de la Refondation nationale au CCRP ! Alors, en tant que parti membre de la refondation nationale, l’Autre Burkina/PSR assumera toutes ses responsabilités sur cette question !

La question de l’utilité de la nouvelle institution renvoie en fait, à celle des réformes politiques, en général. En effet, la division de l’opposition sur la création d’un Sénat est la suite logique de la grande discorde autour des réformes politiques depuis 2008. Du reste, cette proposition et tant d’autres, même issues des plates-formes de certains partis de la Refondation nationale ont aussi divisé ces partis, avant la tenue des sessions du CCRP, mais nous avons pu avancer vers le consensus. Pour le reste. les raisons qui ont motivé les auteurs de la proposition sont de plusieurs ordres.

L’Assemblée nationale, surtout dans sa composition d’alors, était monolithique voire monocolore, ce qui pose par ricochet, l’équilibre des institutions et leur indépendance dans un contexte où de plus en plus, presque partout en Afrique, les processus de démocratisation sont en crise, attaqués à l’intérieur des
Etats par la dénaturation du mandat populaire en raison de la substitution de la volonté des gouvernants à celle des gouvernés.

C’est pourquoi sur cet aspect, nous avions axé essentiellement nos propositions sur 02 points à savoir, le pouvoir des régions et la création d’un Sénat. Concernant le premier point, il s’agit de redoubler de vigilance dans la lutte pour une démocratie conforme à nos réalités et qui permette de renforcer les fondements de la démocratie moderne. Par ailleurs, il faut gagner plus d’espace pour l’indépendance de la Justice et pour une séparation propice des pouvoirs qui renforcent la soumission de l’Etat au contrôle des citoyens.

Ainsi, de la nouvelle gouvernance démocratique, il faudra en faire bénéficier les régions en obtenant une décentralisation plus évidente de la démocratie. De ce point de vue, il faudra obtenir l’élection au suffrage universelle de la région des instances régionales : conseil régional, président du conseil régional. Le dialogue régional doit être institutionnalisé, de même que le référendum d’initiative populaire, le droit de révocation des mandats dans le cadre régional ou municipal, cela éviterait de recourir sans cesse à des actes de violence pour contester une décision ou obtenir le départ d’un élu.

Quant au Sénat, de par sa composition et ses fonctions, il sera à la fois complémentaire de l’Assemblée nationale et un contre-pouvoir du pouvoir des partis qu’incarne notre Assemblée. La fonction de représentation du Sénat améliore la représentation du peuple dans les grandes instances populaires du pays. Ainsi, les collectivités territoriales locales, les personnalités tels les leaders d’opinion, les intellectuels apportent leur savoir-faire dans le débat démocratique, un plus à l’action des représentants des partis politiques. Ceci est très important chez nous en particulier, où les candidatures indépendantes ont été rejetées par les partis politiques.

L’autre fonction tout aussi essentielle, c’est l’amélioration de la qualité de la production législative, en s’appuyant sur la qualité des sénateurs et leur statut dans la lecture des textes proposés au parlement Au terme de notre argumentaire, il faut souligner le lien très fort entre la gouvernance locale et le Sénat, car selon les dispositions de notre constitution, c’est au Sénat que revient le dernier mot sur les lois qui concernent la décentralisation et les collectivités locales.

En dernière analyse, si le débat porte sur le contenu du Sénat afin qu’il serve au renforcement des mécanismes de notre démocratie, nous nous en félicitons mais s’accrocher à un débat d’arrière-garde sur l’existence même d’une institution déjà consacrée par notre constitution n’est pas génial !

Dans ce sens, pour notre part, nous sommes d’avis que la procédure proposée pour l’élection des sénateurs peut être améliorée. A défaut d’élire ces derniers au suffrage universel direct, la participation de tous les citoyens comme candidats aurait été la meilleure formule, ce qui permettrait au Sénat de s’enraciner en s’appuyant sur une base sociale large et diversifiée. Et l’instauration de candidatures uninominales en lieu et place des listes bloquées aurait pu améliorer la qualité de la représentation. Dans les conditions actuelles, il est clair que l’opposition politique au regard de la situation des conseils régionaux, sera très faiblement représentée. Pour autant, il n’est pas juste d’affirmer que la mise en place du Sénat est inopportune et inutile !

2-Le coût élevé de la mise en place aura été l’un des premiers arguments anti-Sénat des forces coalisées se réclamant les unes de l’opposition et les autres de la société civile.

Et dépit des éléments d’information fournis par le gouvernement, elles persistent et signent. On est tenté de se demander sur quels éléments se fondent ces forces ? Puis, leur chiffre tombe indiquant 6 milliards de FCFA par an ! Et pourtant la réalité est exactement moitié moins à savoir 3 milliards inscrits au budget de l’Etat. Pour notre part, nous sommes intéressés de savoir quelle institution n’a pas de coût ! Et même si comparaison n’est pas raison, notre Assemblée nationale où siègent les représentants du noyau dur anti-Sénat a bien aussi un coût, et quel coût ! Elle coûte 03 fois plus que le Sénat et il n’y a eu aucune opposition à sa mise en place.

Soulignons que dans ce contexte, alors que l’opinion publique avait élevé une vigoureuse protestation contre l’augmentation du nombre des députés, silence dans les rangs de l’opposition parlementaire ! Nos contradicteurs devraient se rappeler l’appréciation malencontreuse d’un observateur de la vie politique nationale qui qualifiait notre Assemblée de "machin" à une époque où beaucoup de citoyens se demandaient à quoi sert un député ! Que l’on ne se voile pas la face, toutes les institutions ont un coût et ce sera toujours ainsi ; l’essentiel est que chaque institution soit un véritable outil de la construction de la démocratie.

3-Du vide juridique aux dérives législatives

Pour entretenir le débat, deux autres arguments qui, en dernière analyse, se recoupent, ont été présentés par des responsables politiques. L’argumentation de l’un indique que du fait de la non mise en place du Sénat, "l’Assemblée nationale fonctionne en toute illégalité..." et il poursuit "le pire c’est la situation à laquelle le pays doit faire face en cas de démission brusque.., car aucun remplacement constitutionnel n’est possible". Ainsi, "le Burkina Faso est assis sur deux chaises ..." conclut ce responsable politique ! Voilà qui est bien dit ! Ici nous voulons prendre les honnêtes gens à témoin !

Comment comprendre celui-là même qui, avec d’autres, mène depuis quelques semaines, une bataille pour empêcher par tous les moyens la mise en place du Sénat, tout en soulignant les dangers de la non mise en place de cette institution ? Assurément, lui aussi est assis sur deux chaises et ça ressemble fort à de l’auto- flagellation. Quant à la mise en garde contre les dérives législatives, elle s’inscrit dans la même veine.

Comment comprendre la logique du combat politique de l’opposition démocratique. ? Au regard de tout ce qui précède, le débat sur le Sénat n’est pas inutile, bien au contraire, car il pourrait faire du Sénat l’une des institutions les plus connues et sur un plan plus large, consolider l’espace démocratique. A notre avis, deux raisons expliquent l’acharnement de l’opposition parlementaire contre le Sénat :

- D’abord, la forte probabilité que sa représentation soit très marginale, quand on connaît la réalité du collège électoral à l’échelle des conseils régionaux

- Ensuite, c’est aussi le fait que le Sénat apparaît à leurs yeux comme un point d’agitation politique inespérée contre le régime ; c’est de bonne guerre, mais c’est trop tiré par les cheveux ! Et très rapidement, ils incorporent d’autres points comme la vie chère dans l’espoir de séduire les syndicats et de les rallier à leur mot d’ordre !

Aujourd’hui, le chef de file propose une nouvelle méthode de travail plus communicative, ce qui peut améliorer les relations entre partis de l’opposition. Nous nous en félicitons, car ce sont des frémissements positifs. Toutefois, il y a des questionnements incontournables qui renvoient à l’histoire de notre opposition et à celle du mouvement démocratique national dans son ensemble.

L’histoire peut bégayer mais les faits sont têtus et qui s’y frotte s’y pique ! En effet, est-il possible de dépasser les rancunes réelles qui existent entre les principaux courants historiques de l’opposition politique ? Malheureusement, force est de constater que ces courants ont constamment fait la preuve qu’ils sont loin d’être des amis ! Alors, bonjour l’impossible unité qui se manifeste surtout pendant les élections au moment de la constitution des listes. A cela s’ajoute le fait que, s’accrochant à des dogmes de pensée, certains de ceux-là qui collent systématiquement leurs politiques à l’évolution des grandes contradictions de notre époque refusent d’accorder une quelconque confiance aux autres, même dans les moments décisifs de la lutte de notre peuple.

Comme nous l’indiquions plus haut, les discussions actuelles sur le Sénat renvoient au débat sur la nécessité ou non des réformes politiques depuis 2008. Le manifeste pour la refondation nationale venait d’être publié. Le subjectivisme lié à un déficit grave de confiance entre les acteurs politiques avait atteint un niveau jamais égalé. A l’époque, un responsable politique avait déclaré : "Nous allons mobiliser le peuple contre le CCRP".

La suite on l’a connaît. Une partie de l’opposition a rejeté le CCRP tout comme les assises et des messages de mobilisation contre les réformes ont été diffusés partout. Elle venait ainsi de manquer une occasion de présenter et de proposer concrètement sa vision de la question de l’approfondissement de la démocratie. Et du reste, si elle avait défendu une telle position au CCRP, il y avait de fortes chances que notre proposition de créer un Sénat ne figure pas sur la liste des points consensuels.

Mais au contraire, deux logiques, deux visions s’opposent au sein des partis se réclamant de l’opposition, celles des refondateurs face aux tenants du mot d’ordre "Blaise dégage !" Mais quelle ne fut pas notre surprise quand, à l’occasion de la déclaration d’investiture du Premier ministre, le représentant du groupe parlementaire de l’opposition a salué la portée historique et démocratique de la réforme qui institue le vote lors de cette investiture, insistant en particulier sur la CENI !

On sait en effet, que seule la question des élections a souvent été la principale préoccupation du groupe et pour cause ! Electoralisme quand tu nous tiens. Nous nous souvenons que cette fraction anti-réformes, composée d’environ 36 partis politiques avait bénéficié de 15 places pour participer au CCRP, alors qu’une seule place avait été proposée à notre groupe, composé de 13 partis. C’était à l’époque où la direction d’alors du CDP et le groupe du chef de file de l’opposition échangeaient des amabilités, l’objectif affiché était de nous éliminer du processus.

Aujourd’hui dans leur combat contre le Sénat, ils sont rejoints par le courant libéral du RDA qui pour des raisons’ évidentes, s’attaque à ce qu’il a contribué à construire par sa participation aux travaux sur les réformes et son vote à l’Assemblée. Voilà l’une des manifestations les plus achevées du situationnisme qui après des moments d’hésitations et des louvoiements, fait un pas en avant deux pas en arrière ! C’est cracher dans le puits dont on a bu l’eau le matin !

A ceux qui, parlent de légitimité non achevée du Sénat, nous conseillons un peu de respect envers tout ce monde (hommes politiques, militaires, syndicats, chefferie coutumière, communautés religieuses, associations, qui a pris part aux travaux, autrement on est en droit de se demander si à leurs yeux, tout ce monde n’est qu’un regroupement de citoyens politiquement tarés.

Pour le reste, nous constatons que le chef de file appelle à des manifestations contre le Sénat ! Heureusement qu’il y a une constitution ! Mais nous voulons signifier aussi que le refus d’une fraction du peuple d’une décision à caractère national n’oblige en rien les autres fractions sociales de notre peuple à se soumettre. L’exemple de la loi sur "le mariage pour tous" en France, en est une parfaite illustration, même dans les démocraties les mieux avancées. Alors nous sommes favorables à la mise en place rapide du Sénat. Ainsi va notre pays ; alors chacun à ses marques, dans le respect de la différence des opinions !

C’est dans cet esprit que l’on peut comprendre pourquoi notre opposition est dirigée aujourd’hui par des purs produits du système ODP/CDP, sortis tout droit et très fraîchement des flancs du CDP. Et tous ceux qui parlent de changement doivent se poser des questions. Pour notre part, nous affirmons que ce changement ne viendra pas des nouveaux politiciens, opposants conjoncturels, formés à l’école du grand capital et des riches. Il ne viendra pas non plus de ceux-là qui, depuis toujours, animés d’un esprit revanchard, ont érigé le sectarisme comme stratégie de combat.

Les dernières élections ont consacré la percée de nouvelles forces politiques ! C’est un fait indéniable, mais c’est aussi un fait tout aussi indéniable que ces forces ont obtenu cette victoire parce que pour l’essentiel, elles ont utilisé les mêmes armes que celles qu’elles dénoncent. Ce fut aussi la "victoire des feuilles" loin des programmes politiques.

Concernant la société civile, nous n’avons pas l’habitude de porter un jugement sur ses prises de position. Aujourd’hui autour de la question en débat, nous osons espérer que la maturité d’analyse prendra le pas sur l’indignation, certes légitime, mais source de dérives de tout genre.
Notre conviction c’est qu’il a fallu être audacieux pour entreprendre des réformes et maintenant, il faut être réaliste pour les réussir ! C’est pourquoi nous réaffirmons qu’il est certes utile de s’appuyer sur les faiblesses de l’adversaire, mais il faut aussi oser avancer des idées et des propositions concrètes et les porter au jugement du peuple.

Le Président National de l’Autre Burkina/PSR

Dr Alain Dominique ZOUBGA

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Vos commentaires

  • Le 27 juin 2013 à 11:31, par Donmozoun En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    La soupe est bonne ! pas question de quitter la table. Bon appetit donc. n’oubliez pas surtout le bavoire pour ne pas tâcher votre nouveau costume.

  • Le 27 juin 2013 à 11:36, par Bapress En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Rien à dire. Ca fait vraiment pitié !

  • Le 27 juin 2013 à 11:37, par LA COLERE En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    CHACUN DÉFEND SON BIENFAITEUR,PARCE QUE VOUS ÊTES NOMME MINISTRE,VOUS LES DEFENDER MAIS NE VOUS TROMPEZ PAS CHACUN RÉPONDRA DE SES ACTES SUR TERRE DEVANT DIEU ET LES HOMMES

  • Le 27 juin 2013 à 11:38, par Filsdupaysan En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Le SENAT est à prendre pour ceux qui ne se soucie pas de l’AVENIR de pays, pour ceux qui ne partent dans les formations sanitaires publiques, pour ceux qui n’envoient pas leurs enfants dans les établissements publiques.
    Chacun est libre de raconter sa vie pour le bien ou mal fondé du SENAT mais nous on ne veut plus rien entendre, on sait ce qu’on veut aussi : ENSEMBLE A LA PLACE DE LA NATION LE 29/06/2013 pour dire NON AU SENAT

  • Le 27 juin 2013 à 11:44 En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    mon cher journaliste, je ne vois pas en quoi ces arguments là battent en breche ceux des anti senat. s’il vous a convaincu cela n’engage que vous, ne genéralisez pas.
    par ailleurs il ne raconte rien de nouveau celui, et en fait d’argument il n’apporte rien de personnel ni de nouveau au débat, il fait echo aux pro senat.*
    ce qui me gonfle c’est leur argument principal a savoir les collectivités locales. il faut dire que si les collectivités locales ne sont pas prises en compte c’est bien parce que l’institution que constitue l’assemblée nationale ne fonctionne pas bien. quels sont ceux qui sont à la tete de ces collectivités, c’est toujours politiques (les memes parties que ceux présents à l’assemblée nationale). renforcons l’efficacite de nos institutions deja existante au lieu de leur creer des doublons qui n’aident en rien le pays à sortir la majorite de ses fils vivant dans la misère (ne parlons plus de pauvreté car on modère la réalité).

  • Le 27 juin 2013 à 12:02 En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Mr Zoubga, vous n’avez pas faim. Vous ne parlez même pas pour le peuple, vous parler contre les oppsants, ceux qui nous ouvrent les yeux. Si l’assemblée nous coutent déjà chère, pourquoi dépenser encore pour une institution qui en mon sens ne fait pas le poids devant l’assemblée nationale. Le peuple à faim, les fonctionnaire crient misère et les gouvernant préfèrent mettre l’argent dans un Senat qui n’est même pas une priorité pour le Burkina ( un pays pauvre). Le Senat ne sera pas là pour le peuple mais plutôt pour vous politique. Nous seront contre toujours. Même si vous arriver le mettre en place sachez ce sera sans le consentement du peuple et l’histoire retiendra une chose sur vous : la dict......

  • Le 27 juin 2013 à 12:15 En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    toi qui est vrai opposant historique en phase avec le peuple, pourquoi tu n’as meme pas un seul conseiller municipal. C’est par pitié qu’on t’a invité à la table du seigneur...

  • Le 27 juin 2013 à 12:18, par Pascal En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    "l’honnêteté est devenu un luxe au Burkina Faso" disait Dimitri Ouedraogo président de A2S sur BF1. Au debut je ne comprenais rien mais maintenant je vois un peu. Dieu benisse le Burkina et ses Hommes. yaa yelle koé !

  • Le 27 juin 2013 à 12:28, par rire En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    si on mange à la table du roi, on ne peut que le soutenir dans tous ses gestes de peur de voir sa main être secoué hors du plat. depuis quelque temps, je me dis que cette phrase de ce grand journaliste me convain."le plus heureux des burkinabé est celui qui n’est pas informé". mais quand on est au courant des agissement des burkinabé, là ! on tombe malade.

  • Le 27 juin 2013 à 12:55, par levlad En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Je vais commencé par cité des partie de cet article qui m’ont mise hors de moi :
    "L’autre fonction tout aussi essentielle, c’est l’amélioration de la qualité de la production législative, en s’appuyant sur la qualité des sénateurs et leur statut dans la lecture des textes proposés au parlement
    selon les dispositions de notre constitution, c’est au Sénat que revient le dernier mot sur les lois qui concernent la décentralisation et les collectivités locales"
    MONSIEUR LE DOCTEUR QUEL EST LINTERET QUE LE SENAT AIT LE DERNIER MOT SI CEST LE PARTI AU POUVOIR QUI AIT LA MAJORITE ?
    PAS BESOIN DETRE DOCTEUR POUR REPONDRE A CETTE QUESTION

  • Le 27 juin 2013 à 12:55, par levlad En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Je vais commencé par cité des partie de cet article qui m’ont mise hors de moi :
    "L’autre fonction tout aussi essentielle, c’est l’amélioration de la qualité de la production législative, en s’appuyant sur la qualité des sénateurs et leur statut dans la lecture des textes proposés au parlement
    selon les dispositions de notre constitution, c’est au Sénat que revient le dernier mot sur les lois qui concernent la décentralisation et les collectivités locales"
    MONSIEUR LE DOCTEUR QUEL EST LINTERET QUE LE SENAT AIT LE DERNIER MOT SI CEST LE PARTI AU POUVOIR QUI AIT LA MAJORITE ?
    PAS BESOIN DETRE DOCTEUR POUR REPONDRE A CETTE QUESTION

  • Le 27 juin 2013 à 12:59, par levlad En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    AH SA QU’EST CE QU’ON ENTENDRA PAS
    "Et même si comparaison n’est pas raison, notre Assemblée nationale où siègent les représentants du noyau dur anti-Sénat a bien aussi un coût, et quel coût ! Elle coûte 03 fois plus que le Sénat et il n’y a eu aucune opposition à sa mise en place."
    DONC PARCE QUE L’AN COUTE 3 FOIS PLUS CHER IL FAUT DEPENSER 3 MILLIARD DE PLUS POUR QUELQUES CHOSES DE LOIN INUTILE PAR RAPPORT A L’AN ?
    AYANT FAIT DES ETUDES JE ME RENDS COMPTE QUE NE DEVIENT PAS BON DOCTEUR CELUI QUI EST VRAIMENT COMPETENT.

    • Le 27 juin 2013 à 21:28, par Bouglass En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

      Si vous tentez de faire comprendre raison au Dr Zoubga, vous perdez votre temps !!
      C’est sciemment qu’il qu’il opté pour les forts du moment. Est-ce qu’il dort la nuit et est-ce qu’il peut, regardant son enfant ou petit-fils dans les yeux, soutenir à ce dernier ses déclarations officielles ? C’est ça qu’il faut comme question à quiconque n’a pas vendu ou prostitué sa conscience.
      Peut-être que le prix aussi en valait la peine, qui sait ?

  • Le 27 juin 2013 à 13:57 En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Quand on a mangé, il faut payer surtout avec Monsieur Blaise. Alors le CDP n’attendait pas moins de vous et nous, nous découvrons votre vrai visage : Un doc prêt à se renier pour son ventre. Dieu aie pitié de vous.

  • Le 27 juin 2013 à 14:09, par djegnin En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    C’est bien ce qu’un internaute a qualifié d’"intelligence mal conçue" ! Qu’il se soucis au moins de ses enfants ! Mr le Dr, tu as ete invité a la soupe, c’est bien ça. Mais ait au moins l’honnêteté intellectuelle quand il s’agit des question de ce genres !

  • Le 27 juin 2013 à 14:13, par zougba En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    OH, comprenez ce cher "docteur", il a raison ! Il est de l’autre Burkina ! Savez - vous ce qu’est ce Burkina là ? C’est le Burkina de Ouaga 2000, le Burkina des Affaires "Ministres de la justice avec le mécano, ministre de la justice avec ses Ouilles de magistrats, burkina où un fonctionnaire de douane peut disposer de 2 milliards(plus de 3 millions d’euros, excusez du peu) dans son salon. c’est le burkina ou le petit fonctionnaire circule en Touareg ou en V8 et les pauvres fonctionnaires en Rav4. C’est cela l’autre Burkina, comme son nom le dit si bien !
    Mais nous nous sommes de ce Burkina ou les fonctionnaires honnêtes tirent le diable par la queue, du burkina ou les partis d’oppositions qui ont des dizaines de députés à l’assemblée osent lutter pour leur peuple. mais cher "Docteur", ayant le grade de docteur(même s’il reste à voir c’est par quels moyens avez vous bénéficier pour vos études), vous savez que les hommes passent, mais les écrits DEMEURRENT.

  • Le 27 juin 2013 à 14:23, par Cicéron En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Tout est bien dis et très clair. Mais il n’ya pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir . Les protestataires peuvent protester, nous irons voter ce 28 juillet pour l’élection de nos sénateurs. Ainsi va la Republique !

  • Le 27 juin 2013 à 14:24, par PRESIDENT FONDATEUR En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Je suis écœuré et indigné de lire de tels propos. Aucun argument ne peut justifier la mise en place d’un SENAT dans un pays comme le nôtre ou tout est prioritaire. J’ai encore plus mal quand je vois que mon IUTS servira à remplir la panse de ces soit disant sénateurs au lieu d’être affecté a des secteurs sociaux comme la santé, l’éducation, la réduction du cout des produits de premières nécessités. Aucun fils de ce pays soucieux du bienêtre de son peuple ne restera en marge de cette marche. A la fin ça devient des foutaises comme disent nos voisins au bord de la lagune ébrié.

  • Le 27 juin 2013 à 14:44 En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Enfin, après plus de deux décennies, on vient nous parler de démocratie ! Donc tous ce qui s’est passé n’était que de la mascarade ? Ah bon !
    C’est clair que ces gens-là ne sont pas du tout préoccupés par notre avenir.
    36 milliards ajoutés aux millions de francs utilisés par les ministres dans leurs tournées désespérantes suffisent à construire des universités et à payer des scanners pour soulager les populations souffrantes. Au lieu de cela, ce régime préfère utiliser cette somme pharaonique pour préparer l’accession de François COMPAORE au pouvoir. Pourtant le Burkina Faso est une république et non un royaume.
    C’est totalement inadmissible. ça ne se passera pas comme ça.
    SORTONS MASSIVEMENT LE 29 POUR DIRE NON A LA MONARCHISATION DU POUVOIR !

  • Le 27 juin 2013 à 14:44, par Omar d’accra President/Fondateur du MJCB En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Analyse logique et patriotique de votre part si on jette un cout d’oeil sur l’analyse de l’opposition sur la mise en place du Senat rempli que de contradictions.

  • Le 27 juin 2013 à 14:52 En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    félicitation Dr ZOUBGA bel exemple d’analyse ! les détracteurs du senat ne lisent pas jusqu’au bout et c’est dommage ! Même yamyélé m’a surpris la dernière fois par une diarrée incendiaire à l’égard de Dabo de l’undd. Un jour il le soleil de la vérité se lèvera et les incrédules comprendrons. que vient faire la société civile dans cette marche ? Pendant qu’elle est en passe de gagner une victoire sur la correction de l’indice salarial des fonctionnaires, les politiciens viennent se jetter dans une lutte contre la vie chère pour dire demain qu’ils ont gagné !!! attention membres de la société civile VIGILANCE !!!!!!

  • Le 27 juin 2013 à 14:57 En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    sa position se comprend aisément !vu qu’il veut aussi se remplir un peu les poches,il faut sortir les arguments même bancales !quelqu’un qui arrive dans un ministère et même pas trois moi ils change son DAF en pleine préparation du budget !!!méfions nous des opposants guidés par le ventre !

  • Le 27 juin 2013 à 15:15, par le villageois déchainé En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Mange et tais toi, ce qui est sur et certain c’est que ça va finir un jour et il y a en a qui vont regretter amèrement.

    • Le 27 juin 2013 à 16:06, par Gjau En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

      C’est ça battre en brêche ? l’UNDD a réagit , il ne pouvait être autrement pour l’autre Burkina/PSR qui vit maintenant dans "un autre Burkina "et le raisonnement n’échappe pas à cette logique.Peut-on accepter partager le plat avec quelqu’un et refuser de l’aider à laver les plats ? Quand il s’agit de la question du sénat ,malgré le contexte difficile du moment en matière de mobilisation des ressources financières,on invite au respect de la constitution et si c’est la question de l’article 37,on peut ne pas la respecter, quelle drôle de démocratie ?

  • Le 27 juin 2013 à 15:35, par Lakbé En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    J’aimerais juste faire une remarque. Ce Monsieur n’est en aucun cas un spécialiste du droit, ni un économiste. C’est un Docteur en Médecine, il convient donc de souligner le grand écart qui existe entre sa discipline et la politique. Il semble non plus ne pas être une personne rationnelle. Bref pour vous dire que c’est mange-mil et des comme lui on en croise tous les jours à côtés des membres du CDP. Il va aller gagner son pain ailleurs parce que nous on va réclamer notre part dans deux jours.

  • Le 27 juin 2013 à 15:37, par Pffffffff En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Misère de misère...

  • Le 27 juin 2013 à 15:50, par Sampawendé En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Monsieur Zoubga que la fin des fins arrive vite et maintenant pour que nous sachions ou vous allez partir. Ainsi donc celui qui étaient donneur de leçons aux dirigeant du parti au pouvoir renie sa dignité et ces valeurs cardinaux qu’il chante à tout bout de champ avant d’être au gouvernement ? Bravo ! je vois qu’il y’en a qui n’ont pas compris Juliette BONKOUGOU quand elle demande aux uns et aux autres de savoir rentrer dans l’histoire.

    A bientôt Monsieur Zoubga devant l’histoire et devant Dieu

  • Le 27 juin 2013 à 16:13, par yamsaoba En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    mr ZOUBGA si vous n’aviez rien dire dit que bébé dort nous on peut rien comprendre que cette 2° chambre a été supprimé par Blaise en 2002 comme quoi il était budgétivore ou au bout de 10 ans on ramené la même chose ou le burkina est devenu plus riche Peu être mais pas nous le bas peuple qui tirons le diable par la queue ns disons non au sénat

  • Le 27 juin 2013 à 16:45, par Hitler En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Ce monsieur est venu à son tout 1er conseil de ministres avec une mercedess 190. Mais aujourd’hui il a plusieurs véhicules de fonction. Donc, suivez mon regard. Ce monsieur, c’est la politique du ventre.

  • Le 27 juin 2013 à 17:05, par CI En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    j’ai lu avec interêt ce article mais je préfère que les anges laissent dieu deffendre sa politique, ils sont si mladroit. Comme le dit bado laurent, voici des chefs de partillons dont les membres ne peuvent même pas remplir une cabine telephonique qui prétendent representer l’opposition triste Faso. Parle por toi monsieur du l’Autre Burkina/PSR. franchement ru es sinique. On n’a notre opposition simboliser par zephirin qu’il pleuve ou qu’il neige, qu’il fasse chaud ou froid, que dieu même descende ici bas nous on va marcher pian mes zabteedo sont prêt pancarte ecrit en grand caractère BLAISE DEGAGE, basket tee shirt, je suis plus que prêt pour le 29juin, mes frères l’heure de la vengence a sonné. sortez nombreux

  • Le 27 juin 2013 à 17:41, par po En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    si j’avais le droit de réclamer une émission à la télé, j’allais réclamer la rediffusion le dimanche prochain de l’émission Actu hebdo où Alain Zoubga était l’invité juste avant sa nomination, ! un homme et son contraire

  • Le 27 juin 2013 à 17:57, par un citoyen En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Mon frère Zougba, moi je m’en fou de ce que tu penses des opposants car tu n’es pas mieux que eux. Moi en tant que citoyen libre, sans parti politique, je suis contre ce fichu de Sénat et j’utiliserai la rue pour exprimer mon raz le bol et même jusqu’au prix de mon sang. Vos arguments ne tiennent pas plus que la misère du peuple. Saches une chose, le pouvoir nous appartient (nous le peuple). Tu n’as vraiment pas le choix sinon tu vas perdre ton porte feuille ministériel. Enfin, je pense que tes cheveux blancs devraient te conduire à plus de sagesse mais hélas...........

  • Le 27 juin 2013 à 18:12, par un citoyen En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Mon frère Zougba, moi je m’en fou de ce que tu penses des opposants car tu n’es pas mieux que eux. Moi en tant que citoyen libre, sans parti politique, je suis contre ce fichu de Sénat et j’utiliserai la rue pour exprimer mon raz le bol et même jusqu’au prix de mon sang. Vos arguments ne tiennent pas plus que la misère du peuple. Saches une chose, le pouvoir nous appartient (nous le peuple). Tu n’as vraiment pas le choix sinon tu vas perdre ton porte feuille ministériel. Enfin, je pense que tes cheveux blancs devraient te conduire à plus de sagesse mais hélas...........

  • Le 27 juin 2013 à 18:59, par Rasta Bourgeois En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    "En effet, ceux-là qui régulièrement ont refusé les débats contradictoires sur les réformes et reviennent à reculons pour clamer leur opposition au Sénat, en présentant enfin leurs arguments contre la mise en place de cette nouvelle institution." Je ne comprends pas cette phrase, Monsieur Zoubga...
    "En réalité il s’agit pour ces derniers, mis à mal au sein de l’opinion, de profiter de cette situation pour redorer leur blason en s’agrippant à cette "opportunité", ce qui se comprend parfaitement." entre nous, si lutter contre la mise en place du sénat peut être une aubaine pour redorer son blason, c’est que cette lutte en soi est noble ; oui cher Monsieur Zoubga, un combat impopulaire ne peut redorer le blason d’un homme politique ; bien au contraire !
    Sans rancune aucune, Rasta Bourgeois.

  • Le 27 juin 2013 à 19:32, par Gaël En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Ce qui m’a le plus marqué dans les déclarations ce sont les deux passages suivants :
    « ….. Puis, leur chiffre tombe indiquant 6 milliards de FCFA par an ! Et pourtant la réalité est exactement moitié moins à savoir 3 milliards inscrits au budget de l’Etat. »
    « ….En réalité il s’agit pour ces derniers, mis à mal au sein de l’opinion, de profiter de cette situation pour redorer leur blason en s’agrippant à cette "opportunité", ce qui se comprend parfaitement. »
    Pour un Docteur, il devait faire mieux. Son parti a eu combien de députes pour avoir le courage de dire que ceux qui ont 19, 18 ou 4 sont mis à mal par l’opinion ?
    Pour un fonctionnement de quatre(4) mois, le budget inscrit est de 3 milliards et pour 12 mois, notre Docteur estime que ça sera encore 3 milliards. Pendant que nous y sommes, combien coutera une année entière de fonctionnement puis jusqu’à présent aucun démenti ne donne le coût de fonctionnement de 12 mois, tous les arguments du « sénat pas couteux » sont basés sur ce qui est inscrit dans le budget de 2013. Notre Doc oublie que ceux qui disaient que le sénat coutera 6 milliards l’an, sont à l’assemblée et ont vu les rubriques du budget (pour 4 mois de fonctionnement) que le gouvernement a présenté pour être voté.
    Je sais une chose, si un de tes partenaires d’affaire me propose un contrat de partenariat pour une durée de 5 ans et estime que pour la première année, il y aura seulement quatre mois de travail et le budget est de 3 milliards sans me donner le montant d’une année entière de travail et que j’acceptes, je ne dois pas dénoncer ce contrat en cours d’exécution. Je ne suis pas politicien mais en affaire je refuserai ce genre de partenariat. Je pense que les opposants ont compris le conseil du Pr KI ZERBO. Il disait ceci « si tu acceptes d’être coiffé dans le noir, tu dois renoncer à tes oreille » et j’estime que les membres de l’opposition ont toujours besoin de leurs oreilles et c’est ce qui explique leur refus « d’être coiffé dans le noir ».

  • Le 27 juin 2013 à 22:24, par direct_bd En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    trève de bavardage cher Zoubga

    Tu cherches à conserver ton poste : manges et tais toi ou retourne à l’hopital

  • Le 27 juin 2013 à 22:58 En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Zoubga tel que je le connais depuis le lycée est toujours comme ca. C’est quelqu’un qui ne se voit pas du tout. Il se prend toujours pôur l’homme parfait. Personne ne connait plus que lui. Toujours mesquin. Critique sur toute chose meme si la vérité est là . Il se contredit très souvent . Il n’a vraiment pas changé. Ces genres de personnes ne se rappellent pas de ce qu’ils ont dit hier. C’est des gens que THOM SANK appelaient les camélions équilibristes. Si le BLAISO quittent le pouvoir aujourd’hui ils diront qu’ils étaient obligés de mentir de déguiser leurs idées pour paraitre.
    Laissez le c’est un griot et rien de plus.

  • Le 28 juin 2013 à 05:51, par REFERENDUM 2014 En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Mon dieu si la honte pouvait tuer
    Avec des gens pareilles, Blaise fait de la démocratie
    Faites attention le réveil risque d"être douloureux

  • Le 28 juin 2013 à 09:17 En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Helas ! Trois fois helas docteur !!! Je me rappelle avoir vu à la télé la voiture avec laquelle tu es arrivé à la premiere rencontre à Kossyam. Mais rien ne justifie un tel virage à 180 degrés, surtout pour toi, grand opposant, acteur de la Revolution et que sais je encore. Que fais tu de ta personnalité ? De ton honneur ? De l’interet vital et national ? Tu auras envie de vomir un jour mais ce sera trop tard. Bon appetit quand même.

  • Le 28 juin 2013 à 09:58, par  ;Hemann En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Quoi de plus normal que de rendre grace et de soutenir ceux qui nous aidé un jour.qui pouvait croire qu’un jour le PSR sera membre du gouvernement otan pour moi membre du CDP. Si c’est sa ètre de l’opposition, vraiment c’est la honte.opposition de jour, partisans de nuit

  • Le 28 juin 2013 à 10:03 En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Mon cher frère ZOUBGA, il n ya pas longtemps vous étiez avec le peuple assis dans un petit bureau partageant les souffrances de ce peuple. Vous êtes nommé et vous oubliez la réalité (la souffrance de ce peuple). Si vous ne pouvez pas contribuer à réduire cette souffrance de grâce garder le silence et servez vous. Le peuple en sortant marcher n’est pas contre vous. Il cherche à survivre...

  • Le 28 juin 2013 à 11:54, par DAO En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Oui Alain, tu parles ainsi c’est normal, puisse que tu es autour de la table. Une fois qu’on va juger que tu as assez mangé on te dira d’aller digérer ça ailleurs. On en a vu dans un passé récent.

    Le SENAT n’améliora en rien la qualité du débat parlementaire ni ne pourra servir aux collectivités locales pour lesquelles ont dit qu’elle est créée.

    Dans la mesure où ce sont les même personnes du même parti qui vont constituer le SENAT, je ne voix pas en quoi les choses changent.

    S’agissant du coût ; 3 milliards inscrit au budget au titre de l’année 2013 JUIN à DECEMBRE 2013. Puisse que le SENAT était prévu être fonctionnel à partir de juin 2013. 3*2 font combien Alain ? Tu ne vas nous dire qu’on a inscrit un budget d’un an pour un fonctionnement de 6 mois ?

    La démocratie ne pourra être mesurée par le nombre d’institutions. Et puis en cas de désaccord entre AN et SENAT la voix de l’AN l’emporte sauf pour les lois concernant les collectivités locales et les Burkinabé de l’étranger. Dis moi Alain combien de loi le parlement vote chaque année sur les collectivités au point qu’on crée une institution pour ça ?

    Le SENAT démeure et reste une institution inutile, inopportune dans le contexte burkinabé.

  • Le 28 juin 2013 à 12:52, par BARABARA Diandé En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Voilà, mr ZOUBGA, Vous montreze votre vrai visage maintenant. Mais je vous assure que vous arrivez trop tard à la soupe. Le géant est en train de tomber. Vous manquez de stratégie. En politique, il faut tout de même savoir quand aller à la soupe. L’arbre tombe tombe du côté où il penche.

  • Le 28 juin 2013 à 12:59, par une femme En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    monsieur le ministre de l’action sociale : vous êtes le ministre des burkinabé les plus pauvres. même si le cout du sénat s’élève à 3 milliards comme vous le dites : ne pensez vous pas que cette somme pourrait être plus utile pour soulager la misère des personnes indigentes, handicapées, des enfants orphelins dont votre ministère à la charge ? vous n’ignorez pas les conditions de vie précaires de ces populations indigentes et le manque de ressources dont souffrent vos services pour leur apporter le minimum d’ assistance. je suis travailleur social et parfois nous n’avons même pas une boite de lait pour sauver un bébé qui vient de perdre sa mère à la naissance. et vous osez parler de la pertinence de créer un sénat budgétivore. de tous les membres du gouvernement vous êtes le plus mal placé pour défendre ce projet. même si vous avez des intérêts politiciens à défendre, vous auriez du avoir la décence de vous taire.

  • Le 28 juin 2013 à 14:26, par mytibketa En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Docteur quand on doit économiser des resssources pour une meilleure prise en charge des malades , ce seul argument doit faire tilt chez un vrai docteur. Pour ceux qui ont passé le temps dans les couloirs à papoter ou dans les hemicycles à refaire le monde tant pendant la revolution qu’après la revolution, la notion de prise en charge des malades fait parti des préoccupations qu’ijs ignorent tout comme celui là qui ne connait pas le prix du sac de riz.. Heureusement que ces docteurs sont ailleurs qu’à l’hopital. Qu’on en fasse bon usage mais qu’on les éloigne des centres hospitaliers pour le grand bien des malades.

  • Le 28 juin 2013 à 14:27, par mytibketa En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Docteur quand on doit économiser des resssources pour une meilleure prise en charge des malades , ce seul argument doit faire tilt chez un docteur. Pour ceux qui ont passé le temps dans les couloirs à papoter ou dans les hemicycles à refaire le monde tant pendant la revolution qu’après la revolution, la notion de prise en charge des malades fait parti des préoccupations qu’ijs ignorent tout comme celui là qui ne connait pas le prix du sac de riz.. Heureusement que ces docteurs sont ailleurs qu’à l’hopital. Qu’on en fasse bon usage mais qu’on les éloigne des centres hospitaliers pour le grand bien des malades.

  • Le 29 juin 2013 à 03:53, par Le Sage En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    Alain Zoubga, toi tu zoubsdim vraiment. Dire que l’ADF/RDA a voté contre le Sénat est une contre vérité parfaite. Ce parti a voté contre la loi organique parce que le CDP ne l’a pas associé à la phase préparatoire. Venir dire que ce parti "crache dans le puit..." vient de me convaincre que vous n’êtes pas à la cheville de Gilbert Noël Ouédraogo qui lui, n’a jamais émis aucune critique vile sur aucun parti politique ou homme politique. La différence est là. Avoir la stature d’un homme politique n’est pas donné à n’importe qui. Tu devrais suivre l’exemple de Gilbert qui est noble dans tous les sens.

  • Le 29 juin 2013 à 09:04, par BAYARAMON En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    l’opposition n’a nullement besoin d’une telle marche pour se faire accepter par l’opinion du peuple. Ce qu’on décrit c’est mettre en place de structure qui n’apportent véritablement rien au peuple burkinabè. En souvenir un deuxième chambre a déjà existé dans ce pays. Elle a été bel et bien supprimé. Je peux comprendre que chacun défende ses intérêts mais il faut bien penser au peuple. C’est dommage qu’on en vienne chaque fois à répéter la même chose. Où est le serieux s’il faut chaque fois s’endetter pour fonctionner alors qu’il suffirait tout simplement de mieux raisonner

  • Le 29 juin 2013 à 09:20 En réponse à : Mise en place du Sénat : Alain Zoubga, président de l’Autre Burkina/PSR, approuve et explique pourquoi

    L’invité à la soupe défend celui qui l’a invité. Jeter un regard sur son ministère ce qui s’y passe est très dangereux pour le burkina. A son arrivé il à presque changer tous les directeurs au poste ou il croit pouvoir se servir( DAF, DEP, SP/CONASUR) et au SG il à placé un de ses acolyte du ministère de la santé. ça fonctionne si comme avant son arrivé le ministère n’existait pas. Il faudrait que le autorité de contrôle aient un regard sur se type car sa venue au MASSN à la veille de sa retraite n’ai pas un fais du hasard. Il n’a pas d’autre choix que de défendre le SENA pour ne pas se trouver sans ministère au prochain remaniement. Malgré cela il comprendra le réel visage de se pouvoir...............

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