Présidé par Jean Baptiste Ilboudo, l’OBM se donne pour missions de veiller au respect du Code d’éthique et de déontologie, de promouvoir et défendre la liberté de presse, de protéger le droit du public à une information libre, honnête et complète, de veiller à la sécurité des journalistes, de constater et de dénoncer les manquements à l’éthique et à la déontologie, et, en cas que de besoin, de faciliter des médiations.
Le plan d’actions de l’OBM est essentiellement tourné vers la formation, la sensibilisation et l’interpellation sur le respect des règles de l’éthique et de la déontologie de la profession de journaliste.

En tous les cas, les membres du bureau de l’OBM entendent « faire de notre Observatoire national une institution baromètre de nos avancées démocratiques et un digne membre crédible et respecté de l’Observatoire international des médias car, c’est cela à terme notre objectif commun », comme l’a souligné son président Jean Baptiste Ilboudo, à son élection.
Toute chose qui ne devrait pas déplaire à l’autre régulateur des médias burkinabè qu’est le Conseil supérieur de la communication (CSC), qualifié à tort ou à raison de « gendarme ».

M. Diallo
Lefaso.net