Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Prévu depuis longtemps, le rendez-vous a enfin eu lieu dans l’après-midi du 18 avril dernier, Porte de Vanves, dans le 14e arrondissement de Paris avec les deux principaux responsables de la section France du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) : Yves Millogo, secrétaire général, consultant en Management et Finances et Oualian Jean-Baptiste, bibliothécaire à la retraite, secrétaire à la formation politique et civique. En dehors de l’Union pour le progrès et changement (UPC) qui tente d’exister, le CDP est pratiquement la seule formation politique qui dispose d’une section bien structurée en France.
Comment fonctionne-t-elle, quels sont ses rapports avec le siège à Ouagadougou et qui sont les militants de la section France ? « Affaire Joseph Paré », vote des Burkinabè de l’étranger, rapports avec l’opposition, révision ou pas de l’article 37, etc., autant de sujets sur lesquels les deux têtes d’affiche du CDP France s’expriment sans langue de bois, avec parfois des nuances qu’on serait tenté de mettre sur le compte de l’écart générationnel.
Comment est organisé le CDP section France et combien de militants compte t-il ?
Yves Millogo : Il y a d’abord les sous-sections dans les provinces, notamment à Caen, Bordeaux, Lyon, Lille, Nice et à Paris et c’est l’ensemble des sous-sections qui compose la section France. Nous avons environ 200 militants qui ont leur carte d’adhérent mais en réalité nous pensons qu’il y en a plus parce que certains prennent directement leur carte au pays quand ils sont de passage.
J.B.Oualian : Au temps de l’ODP/MT, nous étions une délégation et après la fusion avec les autres partis politiques pour créer le CDP en 1996, le parti a décidé qu’un pays étranger équivalait à une province. A l’époque, il n’y avait que la sous-section de Paris qui faisait en même temps office de section de France. En 2005 puis en 2007, un texte de la direction du parti nous a permis de constituer un bureau de la section France et cela correspondait au fait qu’on avait maintenant des sous-sections à Caen, Lille, Bordeaux, Nice et Paris.
Au niveau du fonctionnement, nous sommes régis par les mêmes textes qu’au pays avec toutefois une différence qui n’est pas négligeable, qui est qu’ici, tout se décide par des votes. La direction nationale nous avait dit de choisir trois personnes pour former un bureau, ce que nous avons refusé car pour nous, tout poste doit être éligible et non nominatif, ou par cooptation. Nous avons expliqué que les choses ne pouvaient pas fonctionner comme au pays parce que nous avons à faire à des militants qui ont acquis une certaine maturité démocratique et que la cooptation serait mal vue.
Quelles sont les activités que mène le CDP en France ?
Yves Millogo : La section France et les sous-sections mènent des activités conformément au statut des partis étrangers en France. Les sous-sections ont des activités culturelles, de formation et d’information et une fois par an, nous les réunissons à Paris pour leur donner des informations et c’est aussi l’occasion pour les militants de se connaitre
Vous êtes sous le statut d’association loi 1901 ?
J.B. Oualian : Non, nous sommes ce qu’on appelle les associations de fait, c’est-à-dire que la police sait que vous existez et tant que vous ne troublez pas l’ordre public, on vous laisse tranquille. Les autorités françaises savent que nous existons puisque des parlementaires, des élus nous envoient leurs vœux et nous leur envoyons aussi les nôtres. Si nous voulons manifester dans la rue, il faut faire une demande d’autorisation comme tout le monde. Vous avez qu’il y a chaque année, au moins 2700 manifestations de rue à Paris, mais il faut demander une autorisation.
Avez-vous la liberté d’organiser vos activités ou vous contentez-vous de mettre en œuvre les directives venues de Ouagadougou ?
Y. Millogo : Nous sommes sous la direction nationale mais nos militants vivent en France et ont des préoccupations qui ne sont pas celles de nos camarades au pays. Donc, nous prenons en compte leurs préoccupations, et que ce soit les sans-papiers ou les étudiants, nous nous efforçons de les aider à résoudre leurs problèmes soit par des conseils ou des mises en contact avec des personnes ou structures indiquées. Nous savons que pour résoudre certains problèmes, il faut être dans des associations et groupes de pression et nous incitons nos militants à y être présents.
J.B. Oualian : J’ajoute le fait que les militants CDP France ont quelque chose de différent avec leurs camardes au pays. Globalement, leur quotidien n’est pas de trouver un tremplin pour devenir maire ou adjoint au maire.
En revanche, ils s’interrogent sur les voies et moyens pour eux d’être positifs pour leur pays, ce qui constitue une sacrée différence parce que celui qui noue des alliances dans l’espoir de devenir maire ou adjoint au maire, ce n’est pas la même chose que celui qui dit : est-ce que le pays tient compte de moi sur ce que je peux apporter dans tel ou tel secteur économique ou social ?
Autre différence : grosso modo, ils ont leurs petits revenus et ne viennent pas dans le parti pour qu’on leur apporte une solution à leur situation sociale. Pour ces raisons, quand ils ne sont pas contents, ils le disent clairement et ne supportent pas qu’un dirigeant de passage à Paris ne prenne pas contact avec la direction de la section.
Vous êtes très remontés contre l’ASCE dans ce qui est convenu d’appeler « l’affaire Joseph Paré ». Pourquoi ?
J.B. Oualian : Il faut rectifier, c’est plutôt « l’affaire ASCE », car ce qui s’est passé avec cette structure nous inquiète. Dans son rapport de 64 pages, le camarde Paré est le seul à être nommément cité. Or le ministre délégué à l’enseignement technique, Maxime Somé, qui est aussi notre camarade n’a pas son nom dedans, mais le rapport parle de sa gestion. Et c’est encore le nom de Joseph Paré qui est sorti dans les journaux et pas celui d’un autre. Pourquoi ?
Vous accusez donc l’ASCE de n’avoir pas fait correctement son travail ?
Yves : Nous nous interrogeons sur la crédibilité de cette structure chargée de lutter contre la corruption, ce qui est une bonne chose. Dans un contrôle financier de ce genre, il y a des règles à respecter si le but recherché est vraiment la transparence.
Avant le contrôle, on avise les intéressés et on leur dit qu’on a besoin de tels ou tels documents. On ne vient pas l’improviste, sauf si la personne a été informée et n’a pas répondu à temps ou a gardé le silence. Même dans ce cas, une brigade spéciale peut se mettre en place pour arrêter l’individu et l’obliger à fournir les documents demandés.
Il y a donc toute une procédure qu’il faut respecter pour arriver au contrôle où on explique les droits et les devoirs de la personne ou structure contrôlée. Une fois le contrôle effectué, s’il y a des éléments qui manquent, on convoque intéressé pour avoir des explications complémentaires.
Nous avons lu le rapport de l’ASCE, nous avons écouté les uns et les autres et nous savons maintenant qu’il n’y a pas eu de retour après le contrôle. Donc, pour une question de forme, nous ne comprenons pas qu’il n’y ait que le nom d’une seule personne qui est cité. Nous estimons par ailleurs que c’est la structure, en l’occurrence le ministère de l’Enseignement supérieur, qui doit être attaquée et non la personne qui la dirige. On a glissé de l’institution à l’individu et nous, en tant que parti politique, ce vice de forme pose problème !
Joseph Paré était le ministre de l’Enseignement supérieur, donc responsable de ce qui s’est passé dans son ministère…
J.B. Oualian : Même s’il est responsable de la structure, il y a vice de forme. Si les enquêteurs de l’ASCE avaient écrit : « Au ministère de l’Enseignement supérieur, nous avons constaté que des choses ont été faites et que le ministère n’avait pas à le faire », ce n’est pas la même chose que quand un journal publie : « Monsieur Joseph Paré doit rembourser 263 millions ! »
Mais l’ASCE n’est pas responsable de ce que publient les journaux…
J.B. Oualian : Oui, mais il y a un journal qui a dit que l’ASCE dit que Joseph Paré doit rembourser 263 millions de F CFA. Dire par exemple que le ministère a pris tel montant d’argent d’un compte pour aller déposer dans un autre compte pour résoudre un problème et que ce n’est pas normal, ce n’est pas la même chose que de dire, Joseph Paré doit 263 millions. Il y a un glissement du ministère à l’individu et c’est ce qui nous choque.
Yves Millogo : Nous sommes d’accord avec les missions de l’ASCE, mais elle ne doit pas être un instrument au service d’autres causes que la lutte contre la corruption. Si on doit lutter contre la corruption, il y a des règles bien claires qui disent quelle est la démarche à suivre et quand nous lisons le rapport de l’ASCE, il n’y a aucun préambule qui pose la méthode de contrôle, les instruments de contrôle. Il n’y a même pas les droits et devoirs des contrôlés et dans ces conditions, on se demande ce que les enquêteurs sont venus chercher au ministère !
Peut-on imaginer que l’ASCE mette en cause un intéressé sans avoir cherché à l’entendre ?
Yves Millogo : Mais c’est pourtant le cas ! Nous avons entendu le camarade Paré et il nous a exposé les faits tels qu’ils se sont passés. Il nous a dit qu’il a demandé à trois reprises des rendez-vous avec l’ASCE et qu’elle n’est pas venue. A supposer même que ce soit notre camarade qui n’ait pas répondu aux rendez-vous, l’ASCE est quand même allée faire ses investigations au ministère et elle pouvait y déposer les documents et demander des réponses.
Je ne cherche pas à transposer des méthodes de contrôle de la France au Burkina, mais ici, lors du contrôle, la personne visée peut être disponible ou pas. Si elle n’est pas disponible, elle prend le soin de laisser les documents à la disposition des contrôleurs.
Ces derniers doivent ensuite envoyer le pré-rapport pour que la personne contrôlée fasse ses observations, libres aux contrôleurs de les accepter ou les rejeter selon qu’ils ont été convaincus par les explications ou pas. S’ils maintiennent leur ligne, la personne contrôlée a la possibilité de faire appel auprès du receveur et si ce dernier aussi est du même avis que ses subalternes, il est encore possible de faire appel au niveau du département pour une conciliation, puis enfin, devant le tribunal administratif.
Il y a donc un échelon de démarches à suivre et là, on a le sentiment que l’ASCE est une brigade qui est là, qui vient, fait des trucs comme elle veut sans se soucier du respect du droit. C’est ce manque de visibilité de la méthode de contrôle que nous reprochons à l’ASCE, qui est une institution chargée de lutter contre la corruption, une des tares qui gangrènent notre système et freinent le développement
J.B. Oualian : Quelques observations quand même : le 30 juillet, l’ASCE remet son rapport au président de l’Assemblée nationale, au président du Faso. Le 1er août, les journaux publient le passage que j’indiquais plus haut : L’ASCE dit que Joseph Paré doit 263 millions. Je suis un militant politique et j’étais à Ouagadougou quand l’information est sortie dans les journaux. Comment se fait-il que les premiers destinataires du rapport n’ont même pas eu le temps de donner leur opinion que les journaux écrivent des choses qui laissent penser que l’affaire est tranchée ?
Les journalistes ont tout simplement bien fait leur travail…
J.B. Oualian : Non, je ne suis pas d’accord avec vous ; on ne peut pas se battre pour la démocratie et accepter des choses comme ça ; car ce qui s’est passé est une action politique ; ce n’est pas normal qu’on piétine les droits d’un individu à ce point. Un rapport le met en cause, on n’a même pas le temps d’être entendu, qu’on laisse croire à l’opinion publique qu’il est fautif.
Il y a un danger à ce que notre démocratie saute en l’air et soit à la merci du premier manœuvrier ! Le CDP n’a pas démocratisé le pays pour permettre à quelqu’un de piétiner cet acquis !
Yves Millogo : Notre souci n’est pas que l’information soit publiée parce que les journalistes font leur travail, mais nous faisons une lecture politique de ce qui s’est passé car l’ASCE et tous ceux qui sont concernés par cette affaire savent bien le processus que le contrôle doit suivre.
Comment se fait-il que ce processus n’est pas encore allé à son terme et qu’on organise une fuite de l’information ou qu’on autorise la presse à posséder ce document ? Si l’ASCE veut être crédible dans son travail, elle doit être plus professionnelle que ce qu’elle nous a donné de voir. Nous ne défendons pas un individu, mais un principe de droit et de démocratie et il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre.
On n’a pas le sentiment que le CDP soit solidaire de son militant mis en cause…
J.B. Oualian : Oui, c’est vrai et c’est ce que nous ne comprenons pas. Quand le camarade Paré est injustement attaqué, nos autorités ne doivent pas rester sans réagir. Nous en tant que parti, on ne peut pas livrer un camarde de cette façon-là surtout qu’il est à un poste stratégique pour notre pays. Même si l’individu est fautif, ce qui reste à prouver, il y a des manières de faire et aujourd’hui, on ne sait même pas ce qui se passe puisque le gouvernement reste vague sur le sujet.
Le Premier ministre a déclaré devant l’assemblée nationale qu’il y avait trois catégories de mis en cause : ceux qui ont totalement remboursé, ceux qui ont remboursé une partie et ceux qui contestent et dont les dossiers sont en justice. Or, rien ne montre que l’ambassadeur Paré est coupable d’enrichissement personnel ; on lit seulement qu’il a utilisé l’argent d’un compte X pour régler d’autres problèmes.
Yves Millogo : Nous insistons pour dire que vu le poste qu’il occupe, il est nécessaire que le gouvernement prenne rapidement une décision sur son cas au lieu de laisser trainer les choses depuis des mois ! Il est ambassadeur et s’il est empêtré dans une telle affaire, que ce soit vrai ou pas, ça nuit à son image et freine ses activités.
Un gouvernement qui est soucieux des intérêts et de l’avenir du pays ne doit pas traiter une telle affaire de cette façon-là et nous CDP France, disons que le gouvernement doit prendre une décision claire et cohérente. Que la presse parle de cette affaire est normal, mais il appartient au gouvernement de dire si oui ou non la presse se trompe au lieu de laisser perdurer cette situation. Si nous nous exprimons aujourd’hui sur ce sujet, c’est parce que le parti n’a pas réagi comme il faut face à cette affaire.
J.B. Oualian : Le CDP n’a pas réagi en guise de réponse aux médias et ce n’est pas normal de présenter notre ambassadeur comme un petit détourneur. Souvenez-vous, quand Soumane Touré a dit que le CNR a pris 2 milliards à la Caisse d’épargne pour financer un barrage et que c’est du détournement, on a crié au 5e poteau, c’est-à-dire exécution !
J’insiste pour dire que nous ne remettons pas en cause l’existence de l’ASCE, mais le rapport en question nous laisse perplexes, et même si l’ambassadeur n’était pas un camarade, nous aurions protesté quand même parce que le poste qu’il occupe est important pour notre pays.
Dans votre contribution au dernier congrès du CDP, vous avez formulé plusieurs propositions dont la prise en compte de la Jeunesse, le vote à bulletin secret, la place de la diaspora, le changement de régime constitutionnel, etc. Avec le recul, avez-vous le sentiment d’avoir été entendu ?
Yves Millogo : C’était notre devoir d’apporter une contribution à ce congrès et c’est en ce sens que nous avons fait parvenir un certain nombre de propositions à la direction du parti. Sur la prise en compte de nos propositions, il faut être franc, nous n’avons pas encore eu la totalité de ce que nous avons demandé. Sur la jeunesse, je pense que le dernier congrès en est une illustration, la composition du bureau exécutif comporte des jeunes.
Sur le vote à bulletin secret, je pense que nous sommes en avance par rapport à nos camarades du pays, mais c’est un passage obligé pour un grand parti comme le CDP. Nous considérons qu’un pas été fait dans la démocratisation du parti car cette fois-ci, les candidats aux législatives et municipales n’ont pas été désignés par la direction du parti, mais par les militants.
Dans certaines régions, la direction a quand même modifié le classement des candidats fait par la base…
Yves Millogo : Oui, mais c’est le rôle d’une direction, quitte à essuyer des critiques ! Mais tous ceux qui étaient candidats ont eu leur dossier examiné, c’est-à-dire que n’importe quel militant avait la possibilité de donner son avis et d’être candidat, ce qui n’était pas possible avant.
Lors du congrès de 2012, certains poids lourds du parti barons ont été mis sur la touche. Comment la section de France apprécie cette décision ?
J.B. Oualian : Pour nous, il s’agit tout simplement d’une politique de renouvellement des cadres dans le parti, ce qui est vital. De ce point de vue, quand on voit que la presse essaie d’inciter les gens à la résistance en termes de « on vous a balayés », je dis que c’est un scandale. Dans quelle famille on ne prépare pas la relève ? Nous, CDP France, nous nous battrons pour que cette idée entre dans la tête des gens car nul ne doit vivre le renouvellement comme une sanction.
Concernant nos militants ici en France, la plupart sont des étudiants qui ont acquis des compétences et une expertise à apporter au pays et nous regrettons qu’une fois retournés au pays, ils soient marginalisés ou qu’ils s’en vont ailleurs. C’est le cas de certains qui ont milité ici et qui sont partis en Côte d’Ivoire comme enseignants, preuve que sur place, il n’y a pas eu de dispositif pour les accueillir et les intégrer.
Quand un militant rentre au pays, il faut qu’il puisse continuer son militantisme sur place en intégrant les structures du parti. Sur la promotion des jeunes cadres à des postes importants, nous voyons bien que l’ADF/RDA est plus réactif que nous au point que certains qui ont milité avec nous ici, narguent nos jeunes en leur disant : « Moi je suis rentré, on m’a nommé ! ». Je pense à Zacharia Sawadogo qui était ministre dans le précédent gouvernement et je me réjouis que nous n’ayons pas cédé face aux chantages de l’ADF lors de la formation du récent gouvernement. C’est quelque chose de positif car notre parti doit prendre conscience que les jeunes avaient compris qu’il était facile d’aller en face pour avoir la promotion que de rester au CDP. Nous ne pouvions pas rester inactifs par rapport à ce problème !
Vous prônez un régime présidentiel à la place du régime semi-présidentiel actuellement en place. Pourquoi ?
J.B. Oualian : Soyons sérieux ! Nous avons un pays où sociologiquement, culturellement, toutes ethnies confondues, quand on a un bon chef, on s’en fout qu’il le reste pendant 15 ; 20 ans ! Donc, la logique des pays développés où la succession, l’alternance politique se fait parce qu’on arrondit les angles pour ne pas mécontenter telles couches sociales, nous ne sommes pas à ce stade.
Nous sommes au stade où quand on a des chefs, des responsables, des dirigeants qui ont une visibilité l’internationale capable d’attirer les Investissements directs étrangers (IDE) pour sortir le pays de l’arriération à l’industrie, vous vous accrochez le maximum possible. Au lieu de quoi, on se livre à ce petit jeu de untel doit quitter à la fin de son mandat ou je ne sais quoi encore !
Yves Millogo : En plus de ce que dit Oualian, je pense que si l’on veut réellement atteindre un développement industriel, économique et social, le régime choisi est important. Si nous choisissons un régime politique, il faut être capable de le traduire socialement et qu’on sache que ce choix permet de répondre efficacement à un programme, à notre développement.
Ce que nous disons, c’est que si le régime est présidentiel, il faut que le président monte aux filets ; s’il est semi-présidentiel, nous voyons que quelque part, l’action du gouvernement peut être freinée par le président et l’action de ce dernier peut-être aussi mal comprise par le gouvernement.
Or, si c’est un régime présidentiel, on sait que le seul responsable, c’est le président. Point. A quoi assiste-t-on actuellement au Burkina ? Quant il y a un souci, on voit le gouvernement, mais en réalité, est-ce que le gouvernement est vraiment responsable ? Le gouvernement est responsable d’une politique qu’il n’a pas définie.
Nous attirons l’attention sur ce que nous estimons être un problème politique car en cas de cohabitation, vous imaginez ce qui adviendrait comme désastre en termes de gouvernance ? Aujourd’hui, tout fonctionne parce que la majorité parlementaire coïncide toujours avec la majorité présidentielle, mais qu’en sera-t-il le jour où le président et la majorité parlementaire ne seront pas du même bord ?
Il faut faire un choix clair : soit un régime parlementaire où on sait que la responsabilité incombe à la majorité, soit un régime présidentiel à l’américaine, qui nous convient et est bien indiqué pour impulser le développement dans notre pays. On ne s’embarrasserait pas d’un Premier ministre, le gouvernement serait allégé et la ligne d’action serait beaucoup plus directe.
J.B. Oualian : Par paresse intellectuelle et politique, on a copié ce qui se passe ailleurs, mais nous devons réfléchir et anticiper ce qui peut se passer dans l’avenir au lieu de faire du copier-coller
En 2010, les Burkinabè de l’étranger n’ont pas pu voter. Avez-vous reçu l’assurance de votre parti qu’ils pourront le faire en 2015 ?
Yves Millogo : Effectivement les Burkinabè de l’étranger n’ont pas pu voter en 2010 et il y a plusieurs sons de cloches sur les raisons expliquant cela ; certains disent que c’est dû à des raisons techniques, d’autres financières, etc. Mais nous n’avons pas moins de moyens que d’autres pays comme le Mali, la Guinée qui font voter leurs ressortissants à l’étranger ; donc cette raison ne tient pas !
En réalité, c’est l’opposition qui a compris que nous étions le parti le plus organisé et que nous avons la capacité de mobiliser les électeurs sur tous les continents ; elle a donc manœuvré pour que le vote n’ait pas lieu
J.B. Oualian : Le problème, c’est que si l’élection n’est pas correcte, l’opposition va dire qu’on a fait exprès
Vous voulez dire que le gouvernement n’a pas organisé le vote des Burkinabè de l’étranger par peur des critiques que l’opposition pourrait en faire ?
J.B. Oualian : Ecoutez, une des particularités du Burkina est que depuis 1998, c’est l’attitude de l’opposition qui a influé sur un certain nombre de décisions : La CENI ne serait pas née s’il n’y avait pas l’opposition. La première fois que Blaise Compaoré a proposé que les Burkinabè de l’étranger votent, elle a dit que c’était pour se faire une majorité en Côte d’Ivoire. Je vous le dis, depuis 1998, toutes les décisions administratives et politiques de gestion du pouvoir sont dues à des concessions faites à l’opposition pour lui montrer qu’on n’est pas en train de lui faire des coups bas. Même l’ASCE est une concession faite à l’opposition !
Yves Millogo : Nous disons qu’il faut revenir aux fondamentaux de la démocratie, c’est-à-dire que l’opposition assume son rôle d’opposition et la majorité gère. Et si la majorité a failli à sa gestion, elle sera sanctionnée dans les urnes et l’opposition sera aux affaires. Il faut donc définir des règles claires du jeu, parce qu’à chaque fois que l’opposition perd des élections, elle invente des problèmes et on lui fait des concessions.
J.B. Oualian : Sur l’article 37 par exemple, nous avons la majorité à l’assemblée nationale qui a l’autorité pleine et entière pour modifier les articles de la constitution, bien entendu sous le contrôle du conseil constitutionnel. La limitation du nombre des mandats présidentiels a évolué dans le temps car dans le passé, ce n’était pas limité et les modifications intervenues jusqu’à l’article 37 actuel sont des concessions que la majorité a faites à l’opposition. (NDLR : La constitution de 1959 prévoyait un régime parlementaire ; celle de 1960 et de 1970 ne limitait pas le nombre de mandats ; en revanche, celle de 1977 et de 1991 prescrivent une limitation du nombre de mandats présidentiels).
Yves Millogo : Nous disons attention, on ne modifie pas les textes selon les humeurs de l’opposition, or aujourd’hui, dès que l’opposition entreprend un mouvement, le gouvernement a tendance à reculer comme ce qui vient de se passer avec le SYNTSHA. Si c’est louable de faire en sorte qu’on puisse vivre ensemble dans la paix, il faut aussi faire comprendre les droits et devoirs à chacun. Aujourd’hui, les gens brûlent facilement les feux de signalisation et c’est aussi une infraction comme celui qui détourne. La loi doit être la même pour tous quelque soit le niveau de la faute.
J.B. : Oualian : Les concessions répétées-là, ce n’est pas bon ! Peut-on imaginer que le PS finance le siège de l’UMP jusqu’aux prochaines élections ?
Parce que le CDP finance l’opposition ?
J.B. Oualian : Bien sûr que oui ! Qui finance le siège du chef de file de l’opposition, une singularité bien burkinabè qu’on ne trouve nulle part ailleurs ? C’est une évolution de notre démocratie de tenir compte de l’opposition, mais il faut prendre garde à ne pas perdre notre démocratie en faisant trop de concessions à l’opposition.
La révision ou pas de l’article 37 déchaine les passions dans les médias. Quelle est analyse que le CDP France fait sur la question ?
J.B. Oualian : Ce qui se passe actuellement relève de l’obsession et il faut qu’on se calme ! Pour notre part, nous sommes en adéquation avec le débat démocratique et nous défendons le droit de n’importe quel individu à se présenter comme il veut autant de fois qu’il veut parce que c’est au peuple d’en décider. L’article en question a été modifié en 1997 pour faire sauter la limitation du nombre de mandat, puis en 2000 pour réintroduire la limitation.
Mais qu’est-ce qui a poussé l’assemblée nationale à prendre cette décision à l’époque ? C’est la question que je pose. Est-ce que les inquiétudes qui ont motivé la modification de cet article existent toujours ? S’il n’y a plus ces inquiétudes, l’article 37 n’a plus de raison d’exister, mais si ces inquiétudes existent toujours, il est sage de laisser l’article 37 en l’état
C’est suite à la crise née de l’assassinat du journaliste Norbert Zongo que le collège des sages a préconisé des réformes politiques y compris la limitation du nombre de mandats présidentiels…
J.B. Oualian : Voilà encore une concession faite par la majorité à l’opposition ! C’est dans un contexte de pression que nous avons fait une concession à l’opposition dans le but de calmer la fronde sociale. Or, quand je fais une analyse de fond de l’article 37, j’ajoute à ceci : je fais partie de la minorité du Parti africain de l’indépendance (PAI) depuis 1966 et j’assume ma minorité. Mais si une minorité ne sait pas endurer sa situation 10, 15 ans pour faire accepter son programme par la masse et a recours à des trucs du genre, article machin, si on cède à ça, on est foutu !
Donc pour vous, le contexte politique et social est maintenant favorable à la modification de l’article 37 pour faire sauter le verrou de la limitation du nombre de mandats présidentiels ?
J.B. Oualian : Je dis que si le contexte politique et social a changé, il n’y a aucune raison de le maintenir en l’état coûte que coûte. Du point de vue de la déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen, tout citoyen qui n’a pas commis de crimes doit pouvoir se présenter autant de fois qu’il veut. Il y a un peuple qui décide de qui il veut, et de qui il ne veut plus, et c’est tout ! Pour moi, ce qui importe, c’est la liberté d’expression et la liberté de vote qui ne soit pas comme sous Ben Ali en Tunisie où il y a des mitraillettes derrière l’isoloir pour surveiller que tu mets le bon bulletin. En 1958, j’étais dans un bureau de vote avec ma famille pour le référendum de De Gaulle. Vous savez comment ça se passait à l’époque ? On prenait la liste des membres de la famille, on comptait le nombre de bulletins correspondant, le chef de famille signe sur le registre et ceux qui s’occupaient du vote les déposent dans l’urne ! Donc la liberté de choisir qui on veut est sacrée pour moi et cela n’est pas encore un acquis chez nous, surtout quand on a une opposition dont le programme n’est pas suffisant pour lui permettre d’arriver au pouvoir et qui du coup, crée des problèmes là où il y en a pas.
Yves Millogo : Les débats sur l’article 37 est une affaire d’intellectuels, car le fond du problème est ailleurs, dans le fait qu’on n’a pas une population suffisamment formée, consciente de ses droits et ses devoirs. Du coup on chipote sans fin sur un article. Est-ce que celui qui vit au fond du pays Lobi a moins de droits que celui qui est à Ouagadougou où dès qu’il a une entorse, il peut aller à l’hôpital Yalgado où dans une clinique ? La question est là, et le jour où on aura une population consciente de des droits, elle dira à quelqu’un qui a duré : « On ne veut plus de toi ».
Interview réalisée par Joachim Vokouma
Lefaso.net (France)
Vos commentaires
1. Le 25 avril 2013 à 10:48 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Vous ne vivez pas le quotidien des vrais BURKINA BE restés au pays. Donc, de grâce épargnez-nous de vos théories des Pyrénées !!!
Le 25 avril 2013 à 16:04, par LAGUI ADAMA En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Mr Yves Millogo et Mr Jean-Baptiste Oualian, merci pour votre objectivité intellectuelle que Allah vous donne une longue vie,dans le bonheur
Le 25 avril 2013 à 19:41, par Bouglass En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
LAGUI ANDMA, craignez d’abord ALLAH.
Pour montrer que vous le priez et le craignez, laissez Anatole Bonkoungou s’installer. Votre CDP ne saura dépasser tout le Nongr-Massom.
Le 25 avril 2013 à 19:52, par Tamp-Soaba En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
"objectivité intellectuelle" ? Je rêve. Et l’alternance et le respect de la parole donnée et le respect de la constitution tout court ? Oualian, vous avez perdu la boule. Et lagui Adma avec.
Le 26 avril 2013 à 11:23, par VIVE LE TPR En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Lagui Adama à Bobo ici tout le monde sait que vous etes le champion des achats de consciences des commerçants et des pauvres paysans de la sous-région dont vous manipulez tjrs avec vos fausses promesses électorales, mais croyez moi Lagui ni vos mentors du système ni vos richesses illégalement acquises ne sauront empecher le changement au Burkina, votre HEURE est proche et qu vivra verra
2. Le 25 avril 2013 à 10:56, par rodriguez En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
voilà encore le 3ème âge, à la retraite à l’hexagone et qui s’expose sur la place publique dans le seul but de se faire copter pour un eventuel poste. Du courage papys, pour votre dernière tentative....on vous doit ça !
3. Le 25 avril 2013 à 10:59, par pioyipo En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Qui est yves et est JB peu importe mais ce sont tous deux des abrutis. Que le CDP finance le chef de file de l’opposition. Mais non ! mes amis c’est une loi qui institue le CFOP et c’est le budget de l’Etat et non le CDP. Ne confondons pas l’Etat au CDP mais si chez vous c’est la même chose
Le 26 avril 2013 à 11:04, par Yam sooba En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Mai cest a prendr ns les lecteurs com des marionettes ! Comment pouvez vs insinuer que lalternance o niveau du parti est normal mai o niveau du pays si un chef dirige bien kil 20 ou 30 ans ou sen fou. Kel contradiction ridicule !
Le 26 avril 2013 à 12:01, par la rochefoucauld En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
merci yam sooba vrement c’est insensé de toute les façon c’est pas la pretendue diaspora qui va propulser l’alternance je comprend pourquoi certains politiciens etaient opposé au vote des burkinabé à l’exterieur ils sont pas crédible du tout
Le 26 avril 2013 à 15:53, par Rwalian En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Merci pioyipo pour ta clairvoyance.Merci encore.
4. Le 25 avril 2013 à 11:03, par Omed En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Voila encore 2gars à qui on a donné des miettes pour qu’ils sortent essayer de defendre l’indefendable....l’affaire de l’article 37 ne serait qu’une affaire d’intellectuels...mon oeil...Personne ne touchera à cette article sinon nous partagerons le pays en 2:Ceux qui veulent le Royaume Blaise le rejoingnent dans son village à Ziniaré et nous on reste à Ouaga avec Kosyam..point barre.Vous qui avez eu "la chance de vivre tranquillement dans ce que je peux nommer democratie"vous deviez plutôt avoir pitié de vos parents qu’on assassine,vole,pille,tue,brûle,corrompt....depuis 27ans.Dieu vous attend.
Vive 2015,vive le changement n’en deplaise aux appatrides.A bon entendeur salut.
5. Le 25 avril 2013 à 11:06, par Brice En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Aaaaiéee !!! le FASONET, Quel est l’intérêt d’aller interviewer des militant CDP -FRANCE ? ça ressemble plutôt à du oubli-postage.
Mon œil, s’il faut prévenir les intéressés avant de venir faire un contrôle, cela n’aura plus de sens. Ils ne connaissent même pas les textes en la matière et ils fustigent l’ASCE.
Prenez au moins l’exemple de votre pays d’accueil.
6. Le 25 avril 2013 à 11:10, par yilin En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
on dirait que le rangement des doc en bibliot ne t’a oublié pour k tu puisse contribuer positivement à l’évolution démocratiquement du Burkina. SI LA Démocratie benguiste était biaisée par la faute de ses fils, tu n’allais pas t’y sentir bien. Crane Ch.
Le 26 avril 2013 à 12:19, par la rochefoucauld En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
M.Oualian imagine si Ponpidou ou Mitterand était toujours au pouvoir en France vous seriez débarque ici avant d’être admis à la retraite de surcroit peut être un sachet en main contenant un ensemble et une serviette.c’est parce que la France est une grande démocratie que vous étant à la retraite vous vivez toujours la bà.sais-tu qu’au Burkina Faso quand un fonctionnaire après 35ans de service à ouaga une fois admis à la retraite se vois obligé de repartir au village parce qu’il aurait vécu dans une cours commune ;que Dieu t’épargne et à tes rejetons la souffrance des burkinabé du pays réel.pourquoi tu n’aimes pas ton pays ?
7. Le 25 avril 2013 à 11:15, par NIFSANGRE En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Voila encore des "illumines" qui vivent en France mais qui pense connaitre la volonte du peuple burkinabe plus que le peuple lui meme. Je suis d’accord que vous mener votre politique du ventre au CDP mais de grace eviter de parler au nom des Burkinabes. Ceux qui connaissent les realites du Burkina sont ceux qui vivent au Burkina et non ceux qui ont fui pour s’installer a l’etranger.
8. Le 25 avril 2013 à 11:20, par TKR En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
je me demande bien si ces vieux "griots" comprennent ce qu’ils racontent sur le contexte actuel du burkina
9. Le 25 avril 2013 à 11:38, par wara En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Comme les débats sur l’article 37 est une affaire d’intellectuels et qu’on n’a pas une population suffisamment formée, consciente de ses droits et de ses devoirs ? du coup l’armée doit prendre la situation en main en attendant que le peuple soit conscient de ses droits et devoirs point
10. Le 25 avril 2013 à 11:39, par TKR En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
je me demande bien si ces vieux "griots" comprennent ce qu’il rapport au contexte actuel du Burkina.
11. Le 25 avril 2013 à 11:44 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Que dire ? Pathétique chers amis CDPistes de France
12. Le 25 avril 2013 à 11:45 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
ces messieurs font la honte de ce pays. surtout le vieux, contente toi de ta pension et tais toi. si PARE estime qu’il n’a rien à se reprocher qu’il apporte toutes les preuves. et vous autres êtes mal placés pour le defendre.
Le 25 avril 2013 à 12:38, par TARYAM En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
alternance ou pas cela ne va pas changer le quotidien des burkinabe opposition pouvoir meme combat assoifé le peuple
Le 25 avril 2013 à 14:06, par pk En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
"Le CDP n’a pas démocratisé le pays pour permettre à quelqu’un de piétiner cet acquis !"
Honte à vous ! ce n’est pas vous ho ! vous êtes nés après la honte.
Si le ridicule pouvait tuer.
13. Le 25 avril 2013 à 11:55, par Nipoukri En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Je suis très choqué par cette interview, comme jamais je ne l’ai été. Que M. Millogo vienne nous apprendre ce qu’est la démocratie et le contrôle ou la lute contre la corruption, alors je tombe des nus. Que des militants CDP parlent de manoeuvre politique contre le sieur Paré, alors c’est à ne rien comprendre : manoeuvre de qui contre qui ? Croyiez-vous que l’ASCE soit à la solde de l’opposition, non ! Alors si manoeuvre politique il y a, alors il est interne au CDP. Qu’ils aillent laver leur linge sale en famille au lieu de polluer l’air. En croyant bien faire, ils viennent juste de jeter un discrédit sur le Pr Paré. C’est la pire des choses à faire.
Et si l’ASCE ou n’importe qu’elle entité est objet de désordre c’est de votre fait car vous êtes quand même le parti au pouvoir, ce que vous semblez ignorer et votre Blaise est garant du bon fonctionnement des institutions.
Quand à la fuite dans la presse, ce n’est que de bonne guerre si les compagnons CDP organise cette fuite pour se nuire. Quoi de plus normal que la presse relaie une information aussi importante. Puisque vous êtes et parler de France, combien de fois des fuites de rapports d’enquête ou de procédures judiciaires constate-t-on par an dans la presse française ? La presse ne fait que son travail lorsqu’elle révèle ces informations lorsqu’elle y a accès. Cela s’appelle le devoir d’informer.
Le 25 avril 2013 à 20:57, par fasobiga En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
un complot est un complot quel que soit son origine. LA GRANDE QUESTION : POURQUOI SEULEMENT LE NOM DE PARE A ETE CITE ? L’ASCE doit être professionnelle.
14. Le 25 avril 2013 à 12:00 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
C’est très facile de rester en France et faire la grande gueule. Tout va finir un jour !
15. Le 25 avril 2013 à 12:00, par wade2 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
je pense honnêtement que ces 2 Messieurs sont des griots que le CDP veut utiliser pour sonder la population mais ils tiré à terre. Nous au pays on attend avec impatience 2015 pour en finir avec la dictature Compaoré.
16. Le 25 avril 2013 à 12:00 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Vous a l’exterieur, vous nous faites honte.Pendant que dans d’autres pays c’est la diaspora qui apporte le changement, vous, vous preferer accompagner le regime dans sa coruption et autres.......Mes freres si vous souffrez en france la-bas,s’il vous plait revenez au pays pour vous battre et vous allez vous en sortir.Ne croyez pas que le CDP fera le paradis pour vous la-bas.HONTE A VOUS.Vous ne meritez meme pas la france.
17. Le 25 avril 2013 à 12:05 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Vraiement, en voilà pour des idées impérialistes ! A vous lire on sent que vous êtes totalement deconnectés de nos réalités. Rentrez plus souvent au pays et apprenez à connaitre davantage comment l’administration fonctionne. On ne previent pas un gestionnaire pour allez le controler à tout moment ! il y a un risque à le faire. Maintenant je suis d’avis que le rapport doit être partagé avec le contrôlé qui peut ne même pas le certifier séil estime le contenu peu convenable mais cela n’entache en rien le rapport qui va suivre une autre procédure. Paré n’a pas à convoquer l’ASCE chez lui ! il faut travailler à l’indépendance de ces structures de controle. Tu dis que le CDP a democratisé le pays ! c’’est troublant. Si l’ASCE fonctionne comme une section du CDP, il n’y aurait aucun rapport vu que la plupart des gestionnaires sont du même parti. Laissez dons les gens travailler et demandez à votre ami de se disculper lui même. Vous avez bien vu la liste qui était publiée ? il n’est pas le seul et d’autres personnes peuvent s’en trouver accusées de la sorte mais elles ont le droit de se defendre. Votre raisonnement est inquiétant au réagrd de votre profil. Je ne vais pas rentrer dans le débat politique où vos êtes au dessus de ceux qui cherchent des postes. Là vs apparaissez comme des investisseurs n’est ce pas ?
18. Le 25 avril 2013 à 12:10, par Manitu En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Donc vous êtes d’accord avec Adama FOFANA et avec tous ceux qui réfléchissent dans ce pays que le CDP au Burkina c’est pas des politiciens, c’est des mangeurs. Vous reconnaissez que vous, en France, vous avez des procédures démocratiques, vous ne recherchez pas des privilèges sociaux mais vous réfléchissez plutôt sur l’avenir du pays. Et vous affirmez que la politique nationale du CDP ne va pas dans ce sens au Burkina Faso...
Alors, réorganisez votre association, quittez le CDP et dénoncez leurs manoeuvres qui ne vont pas faire avancer notre pays !!!
Le 25 avril 2013 à 19:59 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
On peut etre d’accord avec ce que Adama Fofana raconte mais comme il est aussi l’ un des plus grands dinero du systeme a qui on a ferme le robinet, il est pas credible. Comment il va montrer par ad + Fa qu’ il n’ est pas Fo ? lol !!!
19. Le 25 avril 2013 à 12:10, par visionnaire En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Apportez votre sagesse à la construction de notre pays, non à sa destruction,
20. Le 25 avril 2013 à 12:17, par Pouknini En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Une belle contradiction : M. Oualian est pour le renouvellement des cadres au sein du parti et demande aux anciens mis au garage de ne pas y voir une sanction. Pendant ce temps, il soutient que sociologiquement et culturellement on est pas prêt pour l’alternance et qu’on doit s’accrocher à Blaise le plus longtemps possible.
De deux choses l’une. Soit l’alternance et le renouvellement est bien et Blaise doit penser à céder sa place, soit il ne l’est pas et que les vieux briscards du CDP ont eux aussi le droit de rester à leur poste le plus longtemps possible.
Chirac disait que l’Afrique n’est pas prête pour la démocratie et on a vite fait de crier au racisme, mais nos deux militants zêlés viennent de lui donner raison. Quel dommage !
21. Le 25 avril 2013 à 12:22 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
He, il faut renvoyer ces deux là en formation de base.
Vous deux, allez causer avec son Excellence Fréderic G. qui est à côté de vous pour mieux apprendre puisque l’un est de la même profession d’ailleurs et de 1958.
Le CDP mon parti devrait se demarquer de vous autres. Vous melanger tout et vous énervez tout le monde. Pendant que le groupe des USA soutiennent la candidature de François him self, vous vous soutenez le grand frère. Voulez vous mettre le feu en famille et diviser les gens.
Il faut vous calmer et avoir une hauteur d’esprit pour aborder les questions qui fachent.
votre intervention inopportune est nulle de sens au contraire ça vous a ridiculisé en montrant vos limites tant intellectuelles, politiques que sociales.
Courage pour une prochaine bien meilleure sortie.
22. Le 25 avril 2013 à 12:22, par Manitu En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
"Ecoutez, une des particularités du Burkina est que depuis 1998, c’est l’attitude de l’opposition qui a influé sur un certain nombre de décisions" Heuuu, c’est le boulot de l’opposition que de proposer des reformes pour faire avancer la démocratie. Si vous dites que la CENI, l’ASCE etc c’est grace à l’opposition, eh ben, on dit bravo l’opposition.
Le SYNTSHA n’est pas de l’opposition par contre, c’est un syndicat.
Maintenant la vraie question sur la révision de l’article 37 en 2000 c’est quoi ? On l’a révisé pour corriger la forfaiture de 1997 (que le journaliste a habilement oublier de citer) pour calmer les sentiments d’injustice ou on l’a révisé parce que comme les gens étaient dans la rue, il fallait vite voter une loi antidémocratique comme vous le dites, afin de mieux enfoncer le Burkina dans le trou ?
23. Le 25 avril 2013 à 12:25, par Raogo En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Chèrs Messieurs, tous mes respects. Je ne suis pas étonné du niveaux de ces deux là. Les intellectuels burkinabè en France n’adhèrent pas au CDP vu sa nature et ses pratiques. Si vous voulez des parcelles pour votre retour au pays, venez vite, car il y en a à l’arrondissement IV.
24. Le 25 avril 2013 à 12:26, par VAGABOND En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Avocat du diable ? Paré sait lire et écrire en francais et peut encore mieux se défendre.
25. Le 25 avril 2013 à 12:41, par banse En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
si je comprend bien les Burkinabé cdp de france veullent dire que les burkinabé qui sont au Burkina son bette, inconsciente ? mon dieu. ceux vie dans un camppement en france.ils connaice mem pas ce que ces que le droit et la loie.au contraire ces eux les bettes et inconscients. vient en italie parlé de ca. enfoiré là. ciaoo
26. Le 25 avril 2013 à 12:46, par Elda En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Comment des individus ayant eu l’opportunité de voir ce qui se passe l’autre côté peuvent se comporter de la sorte ? Que gagnez vous en frustrant et en insultant le burkinabé lamba ? Connaissez vous l’évolution actuelle du contexte du pays ? Avec des individus comme vous qui ne veulent pas voir en face, le Burkina Faso a du chemin. Que DIEU nous vienne en aide !
27. Le 25 avril 2013 à 13:04, par Les Lumières En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Nom de Dieu ! Serrons nous les coudes dans la République des coquins et des copains. Le vieil idéologue de la période faste des luttes estudiantines, qui ne comprend pas le 21ème siècle et le quadragénaire qui s’est fourvoyé. Dommage de ne pas oser se servir de son entendement. Bon appétit messieurs.
28. Le 25 avril 2013 à 13:17, par Cicéron En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Bien parlé,Messieurs Oualian et Millogo n’en déplaise aux petits esprits et aurtres adeptes de la pensée unique. Dès qu’on a un avis différent du leur,c’est qu’on veut se faire voir ou achetéter par le pouvoir. Le Burkina appartient à tous les Burkinabè y compris à ceux qui vivent à l’extérieur et qui bien souvent ont plus de recul pour apprécier la situation nationale. Ne vous offusquez pas de l’exitation primaire des internautes en manque d’objectivité. Du courage à votre parti et au président Blaise Compaoré pour leur combat combien difficile pour le mieux être des Burkinabè.
Le 26 avril 2013 à 12:49, par la rochefoucauld En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
N’insultons pas le philosophe Cicéron lui au moins il a eu du mérite.Pour etre claire nous ne sommes pas contre la réflexion plurielle sur une question d’intérêt général mais faut-il que les propos se contredisent sinon cela ressemblerait à un discours de fou sinon comment peut-on suivre la logique des gens qui croit que l’alternance est souhaitée à la tête du CDP pourtant à la tête de l’État on ne fais que nous faire voire des théories qui n’ont jamais existé. et puis en ce qui concerne la poursuite de Paré nous pendant que les Burkinabè réclament des cas comme Paré mes chers poltrons souhaitent que l’ASCE cesse son travail de toute façon ils peuvent demander à leur blaiso de la supprimer puisque elle ne fait pas non plus la fierté des burkinabè c’est plutôt un instrument du pouvoir pour se faire du sang neuf et surtout pour nous faire croire que nous sommes comptés.
Le 26 avril 2013 à 15:34 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Combat pour un mieux être ? de qui ? du burkinabè. Le rapport du PNUD vient de sortir. Le BF est 187 sur 187. Une reculade. Pour un pays qui aspire à l’émergence, c’est très mal partie. C’est la réalité de votre bilan, piètre, pathétique !
Le 26 avril 2013 à 18:48 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
plutôt 183ème sur 187.
29. Le 25 avril 2013 à 13:23, par Sampawendé En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Nous voilà encore deux griots et caisse de resonnance à l’oeuvre. Mais soyez rassurer vous serez égaleement rattraper par la gestion gabegique, macabre, tragique, calamiteuse, matchavelique et je dirai meme diabolique de certains individu ratacher au CDP au nom de l’interet. Et vous avez raison de parler ainsi puisque vous etes en france et toute situation desageable vous est épargné.
Des gens comme vous sont les plaies puantes et baignante du CDP.
J’en oubliais il paraitrai que les timbres saissis par la gendarmerie la semaine dernière à l’est serait l’oeuvre d’une imprimerie de Ouagadougou appartenant à un dignitaire. Suivez mon regard..................................
30. Le 25 avril 2013 à 13:43 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Hé ! OUALIAN le retraité ! Tu auras passé toute ta vie à être toujours du mauvais côté. Depuis ta vie étudiante tu as toujours choisi le mauvais camp. Tu as choisi dans les années 70 le camp du NCOL-ULC-PROLETAIRE. Ce courant a été déclaré mort par la suite. Quand SANKARA est arrivé avec sa RDP, tu as sauté dedans et quand la bagarre entre Blaise et SANKARA a commencé tu as choisi le camp de SANKARA. Tu as même écrit à SANKARA pour lui proposer des solutions de neutralisation de Blaise COMPAORE. Tes dits courriers ont été publiés par la presse du Burkina après le 15 Octobre 1987 (date de l’assassinat de SANKARA). Pour te faire pardonner par Blaise et faire partir de l’ODP, tu as dû lui faire des courbettes. Il a accepté te pardonner.
Hé OUALIAN, tu as vraiment raté ta vie de militant.
Aujourd’hui encore tu viens défendre l’indéfendable. Si PARE Joseph a été épinglé par l’ASCE qu’il vienne se défendre au Burkina ici pour être lavé de tout soupçon. C’est même mieux pour lui. Comment un professeur, un enseignant, soupçonné de la sorte, peut-il avoir la conscience tranquille, lui qui est sensé transmettre le savoir, l’intégrité e l’honnêteté à des étudiants, futurs dirigeants de notre pays.
PARE Joseph lui même devrait avoir honte d’avoir pour soutien des gens comme OUALIAN et Yves MILLOGO, un insignifiant Sankariste soutenant Blaise par opportunisme.
Le 26 avril 2013 à 09:11 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Merci de nous avoir bien éclairés. On comprend maintenant ce zèle et cet aveuglement dans son raisonnement. honte à lui.
Le 26 avril 2013 à 09:15 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Merci de nous avoir bien éclairés. On comprend maintenant ce zèle et cet aveuglement dans son raisonnement. honte à lui.
31. Le 25 avril 2013 à 14:09, par Le Sage En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
M. MILOGO, je suis vraiment déçu de votre prise de position. L’article 37 ne peut pas seulement constituer un débat d’intellectuels, mais au contraire l’affaire de tout un peuple. Depuis l’avénement du 15 octobre 1987, qu’est-ce que le pouvoir vous a apporté ? RIEN. Donc, il faut aspirer au changement après 2015 car vous, en tant qu’intellectuel et jeune, vous aspirez à participer également à la gestion du pouvoir qui ne peut, en aucun cas être l’affaire d’un seul clan, même si vous n’appartenez à ce clan que par le nom. Je reviendrai ultérieurement vers vous.
32. Le 25 avril 2013 à 14:11, par Opio En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Un peu de rigueur dans vos déclarations. Primo c’est l’Etat qui finance le Chef de file de l’opposition et non le Cdp. Deuxio le syndicat syntsha n’est pas l’opposition, tertio la nomination d’un ambassadeur est le fait du président du Faso et non du gouvernement qui ne fait que suivre sa décision. Vous m’inquitez là ! avez-vous bu trop de champagne ?
Quand on veut donner des leçons il faut être droit et eviter les amalgammes qui sont les plaies de la politique au Burkina.
Le président qui est rigoureux dans sa démarche n’a pas besoin de ça ! Il est lucide. Que Dieux le garde !
33. Le 25 avril 2013 à 14:31, par nabayouga En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Attitude pitoyable des gens misérables en france . A cela s’ajoutent des titres pompeux qui en réalité des techniciens de surface. Des gens sans conviction sinon la politique du ventre .
34. Le 25 avril 2013 à 14:34, par Ojakondo En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Avec le CDP on aura tout vu. Vous êtes partout hein ? on attend les CDPistes du PARADIS maintenant
35. Le 25 avril 2013 à 14:56, par L’indécis En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
je suis révolté contre ces deux. C’est choquant de voir cette réaction. Je crois que pour calmer ma douleur je tenterai de considérer que je sommeille. Que des gens qui connaissent la vérité et la réalité et qui préfèrent les taire au profit de leurs gésiers et intérêts individuels égoïstes, c-est simplement révoltant et choquant voir inadmissible. Que Dieu sauve mon Faso de ces charognards
36. Le 25 avril 2013 à 15:21, par alex En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Monsieur Milogo, si ceux qui détournent ne sont pas inquiétés, il n’ya pas de raison que ceux qui le soient. C’est vraiment triste pour le Burkina que ses propres fils soient la source de ses malheurs. Si la France était gérée comme le Burkina, je me demande si vous y seriez actuellement. Oualian et autres, l’histoire retiendra vos trahisons...
37. Le 25 avril 2013 à 15:27, par Concorde En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Ces deux messieurs là, s’ils ont encore de la consciences qu’ils aillent méditer sur ce qu’ils ont servi à travers cette interview. Manipulés, utilisés qu’ils ont été et sans doute avec une contre partie, ils ont révélé une platitude révoltante dans leurs propos et ont démontré qu’ils sont vraiment très très limités dans la connaissance des faits sociologiques au Burkina : ont -ils vraiment les capacités pour comprendre ces faits ? j’en doute . "Nous avons un pays où sociologiquement, culturellement, toutes ethnies confondues, quand on a un bon chef, on s’en fout qu’il le reste pendant 15 ; 20 ans ! " voilà ce qu’ils disent. Pour être complet qu’ils disent aux lecteurs ce qu’ils font en France et pourquoi ils sont en France et non au Burkina puisse que leur bon Chef a transformé le Burkina en pays émergent où il fait bon vivre. Concernant les Présidents éternels, ceux deux là manquent cruellement (et c’est dommage) de culture : de grâce ils peuvent s’informer sur les dégâts des Chefs d’Eta à vie. Chez nous il a presque 30 ans mais quel désordre !!! En plus, nous ne sommes pas dans un royaume pour prétexter que la tradition coutumière de notre pays nous recommande d’adopter une constitution boulevard pour un individu. Qui a démontré que cette tradition coutumière est la meilleure pour le Burkina ? De grâce chers parents en France, ayez honte même si vous échangez cette honte contre de miettes.
38. Le 25 avril 2013 à 15:28, par sibel En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
S’il vous plait restez la ou vous êtes et mourrez la bas si possible le Burkina n’a pas besoin de vous, franchement dire qu’au début de l’interview je vous prenais pour des intellectuelles. Je comprends pourquoi le Burkina est sous développés puisque ceux qui le dirige réfléchissent comme cela.
39. Le 25 avril 2013 à 15:38 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
le jour où on aura une population consciente de des droits, elle dira à quelqu’un qui a duré : « On ne veut plus de toi ». En d’autres termes, les burkinabè ne sont pas conscients de leurs droits ! Ils doivent attendre de pouvoir prouver qu’ils sont conscients pour réclamer la limitation de mandats ?!?! A votre place, j’aurais refusé cet interview, car ce qu’on m’a donné ne saura jamais compensé ce que j’ai perdu en termes d’estime de mes connaissances et de mes compatriotes !
Le 26 avril 2013 à 08:50, par Elda En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Je suis complètement d’accord avec vous.
40. Le 25 avril 2013 à 15:51, par lecteur En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
que ces deux messieurs qui font eux même pitié aillent lire le dernier rapport du PNUD sur le développement humain. Burkina 183ème/187 pays au monde. Leur bon Chef irremplaçable, en 30 ans n’a pas été capable d’offrir au Burkina une place honorable. En 30 ans, plus d’une génération. Quand on est bon Chef on a pas besoin de 30 ans pour faire du bon travail. De grâce chers messieurs cdp de France si la honte pouvait tuer.
41. Le 25 avril 2013 à 16:03, par Patoin-yimba En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
C’est bien d’être membre de CDP-France, de parler après avoir mangé un kebab accompagné d’une canette de Heinneken mais il faut avoir la sincérité de dire la vérité. Placez vous du côté des familles qui ont perdus un membre depuis le règne sanglant de "votre cher Blaise" qui règne sur ce pays depuis plus de 25 ans. la liste est longue, Sankara, lengani, henri zongo, Oumaro clément, Dabo, sessouma, david, Otis, Norbert zongo et ses compagnons, Lt casimir Kaboré, Abdoulaye Semdé, Flavien Nébié.........................etc.......etc......, faites un tour dans les zones non lotis, les campagnes pour voir dans quelles conditions les gens survivent, pourtant chaque jour on assiste à des signatures de conventions de financement, l’extraction d’or...............des animaux nourris à Ziniaré à coup de millions de cfa par jour.......par mois........par an.......la misère pendant que le beau se la coule douce dans son luxueux palais de kosyam.
42. Le 25 avril 2013 à 16:14, par abdabous En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
vous deux méritent qu’on vous coupe les tètes.il a reconnu les faits et vous le défendez pourquoi ?aussi l’ASCE n’est pas une institution que Paré peut reste dans son bureau invité pour se défendre,il voulait les corrompre mais les agents de l’ ASCE ont catégoriquement irréfuté.ils sont digne et ont jurés devant Dieu et tout le monde de faire lumière sur toute malversation financière.après 2015 on va tous vous emprisonnés comme Karim Wade des inconscience qui veulent défendre indéfendable.
Le 25 avril 2013 à 20:48, par fasobiga En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
soyez sérieux lorsque vous voulez qu’on vous prenne au sérieux vous même soyez. étiez vous dans le bureau de PARE ou bien c’est ton président de l’ASCE qui ta dit cela,sois sérieux.
43. Le 25 avril 2013 à 16:45, par toutouroutou En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Dites moi messieurs,il y’a combien de temps vous etes revenu au burkina. Jespere que vous n’etes pas des pawetos dees ?le pays a change et tous le monde avec.En vous regardant vous magez bien labas oh ! le pain saucisson et quoi encore ?je vous laisse deviner peuple ! A bientot a ceux qui veulent donner des lecons de travail bien fait a Mr Bessin Bruno.Revenez au pays !
44. Le 25 avril 2013 à 16:50, par gatess En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
on a comme limpression que vous ete du cdp mr le journaliste.upc tente dexisté nè ce pas de lironi ?il existe bel et bien en france
Le 25 avril 2013 à 18:40 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
tout simplement pathétique,j’ai honte a votre place .on ne peut pas avancer avec ces mentalités ,beurk
45. Le 25 avril 2013 à 18:17, par Tchèba En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
OUALIAN à la retraite peut jouer à ce jeu, mais pas toi.
46. Le 25 avril 2013 à 19:46, par Tamp-Soaba En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
"Quand un militant rentre au pays, il faut qu’il puisse continuer son militantisme sur place en intégrant les structures du parti. Sur la promotion des jeunes cadres à des postes importants, nous voyons bien que l’ADF/RDA est plus réactif que nous au point que certains qui ont milité avec nous ici, narguent nos jeunes en leur disant : « Moi je suis rentré, on m’a nommé ! ». Je pense à Zacharia Sawadogo qui était ministre dans le précédent gouvernement et je me réjouis que nous n’ayons pas cédé face aux chantages de l’ADF lors de la formation du récent gouvernement. C’est quelque chose de positif car notre parti doit prendre conscience que les jeunes avaient compris qu’il était facile d’aller en face pour avoir la promotion que de rester au CDP. Nous ne pouvions pas rester inactifs par rapport à ce problème !"
Oualian soit sérieux un peu même si tu es au bord de la tombe. D’abord c’est Zacharia Tiemtoré et pas Sawadogo. Quand on n’a pas la bonne information on évite de se livrer en conjecture comme vous le faites. Vous avez perdu totalement mon estime en disant que "si le chef est bon on le garde éternellement". Mais nous ne sommes pas en monarchie. Vous rêvez ou quoi. Et pourtant vous vivez à Paris, une ville chargée d’histoire. C’est décevant vraiment Oualian. C’est la honte du siècle et c’est un grand jour de deuil pour tous les démocrates burkinabè. Adieu Oualian.
Le 25 avril 2013 à 22:48, par Koiro En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Assimi tu as intérêt a instruire ton secrétaire a l organisation de demander une lettre d explication a ces deux bougnoules qui vont ruiner notre parti. Actes d indisciplines
Le 26 avril 2013 à 06:30, par seydou guengane En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
il ne faut pas gater le nom de la diaspora,j ai honte que que des gens qui ont vecu tant d années en france puise reagire de cette maniere ;prenez au moins l exemple de la democratie francaise
47. Le 25 avril 2013 à 19:49, par Tamp-Soaba En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
"Soyons sérieux ! Nous avons un pays où sociologiquement, culturellement, toutes ethnies confondues, quand on a un bon chef, on s’en fout qu’il le reste pendant 15 ; 20 ans !" Oualian, vous n’êtes pas sérieux, et le CDP doit se démarquer de cette prise de position aussi fantaisiste qu’anti républicain. Vous êtes un vrai féodal anti démocratique.
48. Le 25 avril 2013 à 20:05 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
A la limite, des burkinabe restes au pays qui peuvent etre attires au cdp par l’ odeur du riz gras, on peut comprendre. mais vvous aussi !! Vous etes en france ou on peut meme ne pas avoir bouleau mais si on a les reins solides on a allocations famillales. ou bien vous etes morts aussi par en bas ? Donc solution finale : Re ntrez au pays en meme temps. C’est parce que la chasse a ete nulle completement que meme vous moyen pas flecher un hero n ? Prrrrrrrrrrrrrrrrrr. La misere a vraiement demande con naitre votre route.
49. Le 25 avril 2013 à 21:14, par goodman En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Ces abroutis là n’ont qu’à suivre sur le même Faso net, les interventions des internautes dignes fils du Burkina et ils sauront tous seuls qu’eux ils ne sont que des dessins animés pathétiques.
50. Le 26 avril 2013 à 00:46, par mag En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
voici des gens qui complique la tache du cdp ; que le cdp finance le chef de file de l oposition le cdp c est pas l’etat le synhta n est pa de l opostion pauvres idiots connaissent meme pas le fonctionnement du pays et on veut donner des lecon.Assami ta une occassion pour les esclure du cdp
51. Le 26 avril 2013 à 03:46 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Les vieilles cloches, on se demande s ils connaissent le Burkina ces messieurs perdus de l hexagone . Restez dans vos lieux et laisser les burkinabé chercher une vie meilleure car au Faso y a pas le smic
52. Le 26 avril 2013 à 05:36, par DYS En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
C’est dommage que Mr Ouallian ait passé toute sa carrière professionnelle à ranger des livres sans songer à les ouvrir à ses heures de pauses. Il aurait sans doute pu acquérir de meilleures habiletés de raisonnement et d’analyse sur des questions d’une certaine complexité. Je pense simplement que ce sur quoi il se prononce est au dessus de ses facultés intellectuelles. Il n’est pas question ici de partager ou pas son avis sur telle ou telle question, car le type divague tout simplement. L’autre, par contre, aurait pu élevé le niveau du débat pour avoir le privilège d’être contredit. Hélas, il ne fait pas mieux. Le CDP, dont je ne suis pourtant pas sympathisant, a tout intérêt à ne pas laisser des gens comme ça parler pour son compte.
53. Le 26 avril 2013 à 07:20, par warban En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
ça c’est du oualian tout fait.De la FEANF au PAI en passant par les mouvements ancètres du CNR que sont en 1978-80 le NCOL(nouveau courant oportunistes et liquidateurs) et le Mouvement national des pppopulistes et oportunistes liquidateurs ,ensuite en 1983 la LIPAD-PAI etc,le debat politique à l’époque était très relevé et le ventre n’était pas directement branché au cerveau.le debat que vous avez lancé est clair et limpide.
Le 29 avril 2013 à 14:35 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
ah ca vraiment oualian grand penseur et argumentateur a branché maintenant son cerveau directement a son ventre...
SOME
54. Le 26 avril 2013 à 07:41, par mouiz En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
La defense de paré est un peu maladroite car c’est sur son ordre direct que les fonds ont changés de destination.Oualian que nous connaissons depuis 1978 est un homme direct et averti qui annonce en prelude des decisions à venir,En attendant qu’il intègre le futur gouvernement pour mettre en oeuvre ses options.Les décisions politiques s’appuient sur les rapports de forces du moment et il serait hasardeux de rompre la quiétude actuelle.On se rappelle qu’en 1984,il est venu à Ouaga à la demande de Sankara pour participer et trancher le debat pour definir s’il s’agit d’une RDP ou d’une RNDP,et est reparti dare dare à Paris.C’est pas un petit gars meme si les jeunes ne le connaissent pas.
55. Le 26 avril 2013 à 08:19, par Pogbila En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Nien d’etonnant dans tout ca. C’est toujours des maneuvres et des tentatives de passage en force !! C’est honteux !! Sous ODPMT-CDP, le Burkina a connu 1 quart de siecle de recul sur tous les plans (Democratie, Education Universitaire, Transparence, Integrite...). Y’a en marre. 2015 c’est la fin de votre regne sans partage.
Le 26 avril 2013 à 09:42, par O. SAWADOGO En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Cher Oualian. Vous savez que je vous respecte. Mais permettez-moi de vous dire que je suis surpris que vous teniez ce propos, je cite :
"Nous sommes au stade où quand on a des chefs, des responsables, des dirigeants qui ont une visibilité l’internationale capable d’attirer les Investissements directs étrangers (IDE) pour sortir le pays de l’arriération à l’industrie, vous vous accrochez le maximum possible. Au lieu de quoi, on se livre à ce petit jeu de untel doit quitter à la fin de son mandat ou je ne sais quoi encore !"
Non, non et non ! C’est une erreur gravissime que de penser ainsi. Nous sommes plutôt au stade où, pour parler comme Barack Obama, nous avons besoin d’institutions fortes plutôt que d’hommes prétendument forts ad vitam. Les IDE n’ont pas besoin de savoir que le président de la république, qu’il s’appelle Blaise Compaoré ou quelqu’un d’autre, est un homme de fer pour se décider à investir dans notre pays. Ils ont juste besoin de savoir que les règles du jeu économico-financier et du jeu démocratique au niveau socio-politique sont transparentes et respectées par tous au fil des alternances politiques. Je pense profondément pour ma part que c’est à ce défi de pédagogie politique que ceux et celles qui s’engagent courageusement en politique devraient se consacrer sans relâche et sans concession.
56. Le 26 avril 2013 à 08:54 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Oualian JB ne devrait-il pas laisser sa place à un jeune ? Si vous êtes à la retraite c’est que vous avez au moins 60 ans !
Quant à l’accueil, des jeunes cadres pour les nommer à des postes de responsabilités ?!!! Ces jeunes sont-ils de vrais militants ? Ou des soupeurs ? Si non je pense qu’on milite dans un parti par conviction et non parce qu’on veut des postes.
Je vous enverrai la réponse de Valère SOME à votre dernière sortie à la télévision nationale du Burkina. Je pense qu’à un certain sage usé de la sagesse que le temps, le parcours donne aux hommes. C’est ahurissant qu’un homme de votre âge tienne encore la langue de boa dans un ce débat où dernier venu pour peu qu’il ai des yeux pour constater et une petite capacité d’analyse de la situation du Burkina. Après 20 ans de pouvoir nous sommes toujours parmi les derniers de la planète.
Je souhaite un débat à la télévision nationale avec Valian JB. Je n’ai même la moitié de votre âge, mais vous ne vous reconnaîtrez à la fin du débat. C’est un défis que je vous lance. Je pense qu’il est temps qu’on montre à ces vouvouzela que l’époque des courtisans fossoyeurs du Faso est révolue. Arrêter de vous foudre de nous les pauvres qui subissons les inconséquences d’une classe politique incapable.
Votre génération à échouer lamentablement. Celles qui vous ont précédé ont lutté pour acquérir l’indépendance du pays et le consolider quelque peu.
Malheureuse ceux parmi vous qui avaient la volonté de construire le pays ont été passé aux armes, l’argument de la force. Ceux qui comme vous, votre manitou et autres camarade aimaient l’avoir sont entrain de sucer le sang des burkinabé.
Bref, je pense qu’il est temps qu’on ne laisse plus la place aux "hiboux aux yeux gluants" de hululer sur nos toits.
57. Le 26 avril 2013 à 09:18, par ka yaandé En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
des gens qui racontent des balivernes parce qu’ils sont financés par CDP
58. Le 26 avril 2013 à 10:12, par Minnayi En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Heureusement que vos voix ne portent pas plus que haut vos niveaux. Comment comment comprendre que des gens qui vivent en France, pays dans lequel l’alternance est considérée comme sacrée refusent qu’il y ait l’alternance chez nous ? On a l’impression que pour eux, le BF doit attendre que les autres pays évoluent sur le plan démocratique avant de suivre.
Pour les supposées concessions faites à répétition à l’opposition, ces deux illuminés ignorent tout simplement l’histoire récente de notre pays. C’est d’ailleurs l’essence même de l’opposition que de contraindre le parti au pouvoir à tenir compte de son avis dans la gouvernance sinon il s’agirait de la dictature ou de la monarchie et non de la démocratie. Soit ces deux militants CDP sont de mauvaise foi, soit ils ignorent les réalités du pays et ne se rendent pas compte le peuple burkinabé d’aujourd’hui n’est plus celui d’il y a 50 ans.
59. Le 26 avril 2013 à 11:15, par PRINCE En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
De grâce n’insultez pas l’intelligence des honnêtes citoyens burkinabé. Si vous avez perdu le réseau, il faut vite vous ressaisir avant qu’il ne soit trop tard. L ’ASCE a quel intérêt a accusé le présumé PARE ? Ce ne sont pas des aventuriers qu’on a réuni a l’ASCE j’imagine ?
60. Le 26 avril 2013 à 11:23, par PRINCE En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Je m’attendais a ce que vous adressez une lettre ouverte au président Assibo Kouanda pardon Assimi Koanda pour le respect des règles démocratiques dans l’arrondissement 4 de Ouagadougou et non cette promenade de santé a travers l’interview que vous nous avez donné de constater.
61. Le 26 avril 2013 à 11:42, par la rochefoucauld En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
DE grâce soyez honnêtes un jour vous n’avez pas honte de tenir ces propos ?êtes-vous manipulés par qui ?
Le 26 avril 2013 à 15:35, par La vanguardia En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Qui de nos jours encore se reclame du CDP haut et fort et demande le règne à vie de Blaise Compaoré ? Tous sont trrés et prient pour qu’on ne leur tende pas un micro afin d’avoir leur avis sur l’article 37. Ils sont malins car ils savent que le peuple les écoutent et les attend après 2015. En même temps, il y a la peur du tout-puissant Blaise. Qu,en dira t-il ? Que deviendrai-je si si et si...Il n’y a que les idiots qui osent encore crier à gorge déployée qu’ils sont des leurs et qu’il souhaitent maintenir leur chef. Votre duo est diaboliquement limité.
Remarquez que même Mahama s’est tût. Ils ont btous la trouille. Et je parie que si ces deux idolatres se sont permis de s’exposer ainsi, c’est parce qu’ils sont loin du pays. Je leur conseille de rentrer clandestinement en vacance car ils ont dû empocher leur pactole. Mais bien mal acquis, n’en profite pas !
62. Le 26 avril 2013 à 12:00, par koutou En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Ce VALIAN se croit toujours dans les années soixante. Un vrai ignorant du contexte actuel du BF
63. Le 26 avril 2013 à 12:17, par changeons En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Voici encore des gens qui sont loin de la réalité, qui n’ont plus d’avenir sauf des souvenir, et qui livrent dans des inepties hors paires. C’est mieux pour vous de savourer votre retraite dans l’hexagone, tranquille et mériter respect et non la honte. Même si vous êtes financés par le CDP.
64. Le 26 avril 2013 à 13:47, par farafina En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
C’est facile de choisir le parti au pouvoir comme son parti. Lorsqu’on choisit le parti qui a gouverné pendant 26 ANS avec un bilan misérable on doit avoir au moins l’honneur de se taire. Vous savez que la plupart de nos concitoyens sont analphabètes et vous jouez avec leur ignorance . Malheur à vous deux
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65. Le 26 avril 2013 à 16:13, par Rwalian En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Lire cette interview n’était rien d’autre qu’une torture morale. Quant à Monsieur Oualian, depuis son passage comme invité à l’émission "ACTU HEBDO", j’ai des nausées chaque fois que je le vois.
Pour avoir vécu dans des démocraties, vous devriez avoir plus d’ouverture d’esprit, dommage que vous soyez dans l’obscurantisme, surtout toi le vieillard. Honte à vous !
66. Le 26 avril 2013 à 16:39, par Atikèlèfè En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
L’ASCE est une création du système COMPAORE ; on ne peut pas lui reprocher d’être à la solde de l’opposition. PARE est certainement un militant du CDPsans protection (c’est à dire qui n’a pas la bénédiction des bonzes du système COMPAORE). Il a été sacrifié pour redorer le blason du système. Dans tous les cas c’est une affaire qui ne sera jamais jugée ! Le système COMPAORE a le mérite de constituer les dossiers de son propre procès.
67. Le 26 avril 2013 à 16:53, par Le citoyen LAMDA En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
C’est vraiment grave. Tous les moyens sont bons pour avoir l’argent du CDP bouffer. Même défendre des causes injustes. Des intellectuels qui étaient sensés éclairer les citoyens Burkinabè, raisonner de la sorte. Mais attention à ce que vous avancez. La presse a le plein droit d’informer l’opinion publique de ce qui se passe. Informer ne veut pas d’emblée dire que l’intéressé est coupable. Ne vous acharnez pas à défendre l’indéfendable. Vos grandes connaissances acquises là-bas, gardez ça pour vous et laisser l’ASCE tranquille. Il y a une trentaine de membres du Gouvernement. Pourquoi Mr PARE est-il le seul a être mis en cause ? Uhh !! C’est insultant que des intellectuels réagissent de la sorte. Quelle honte !
Le 26 avril 2013 à 17:45 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Ce Oualéan, quand est ce qu’il va choisir de se taire pour le bonheur des gens... C’est Valère Somé qui a fini avec lui....Il ont milité ensemble dans la FEANF, il avait après son passage à actu Hebdo sorti tous ses louvoiement et intrigues politiciennes depuis l’Epoque à nos Jours ? D’où sort cet hurluberlu de Yve qui vit sur une planete loin de la vie chère du Faso...Est-ce Paré qui vous a demandé cela...là il va me décevoir moi qui le croyait propre malgré tout..
oualean c’est la galère qui te fouette toujours ???
68. Le 26 avril 2013 à 20:48, par Merci En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Félicitations aux sieurs Millogo et Oualian. A ceux qui les insultent, je dis tout simplement qu’au moins ils ont eu le courage de leurs opinions. Vous pouvez en faire de même en expliquant au citoyen lambda comment un contrôle doit être fait. Par ailleurs, si le salaire des agents de l’ASCE était identique à ceux des autres agents de l’Etat pensez-vous que leur existence se justifierait ? Si ASCE n’a rien à cacher, qu’elle publie les rémunérations et indemnités dont elle bénéficie.
69. Le 26 avril 2013 à 20:58, par Merci En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Du courage aux sieurs Millogo et Oualian. Internautes soyez moins aigris et plus réfléchis. Ce n’est pas parce qu’ils sont du CDP que leurs idées sont négatives. Longue vie au Présdent du Faso.
Le 27 avril 2013 à 14:05, par cacaocafé En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
C’est plutôt parce que leurs idées sont négatives qu’ils sont du cdp.
70. Le 27 avril 2013 à 02:10, par cacaocafé En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
C’est irritant pour un Burkinabé vivant au pays de lire des âneries de ce genre.
71. Le 27 avril 2013 à 09:24 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Vous voyez ces deux là : OUALIAN et Yves MILLOGO. Ce sont en fait des SANKARISTES qui ont eu peur depuis longtemps d’afficher ouvertement leurs opinions. Ce sont donc des SANKARISTES honteux qui se cachent au sein du CDP et qui soutiennent Blaise COMPAORE par opportunisme. Ils soutiennent PARE Joseph qui est un autre SANKARISTE honteux, prêt à tout pour parvenir à ses fins personnelles. Tous les trois, pour les avoir connus à divers niveaux et à des périodes différentes, sont des opportunistes et des traitres. Ils peuvent changer de camp à tout moment au gré du vent. Ils peuvent trahir leurs propres amis et frères sans scrupules juste pour leurs propres intérêts. Tous les trois sont au CDP aujourd’hui mais en réalité ils ne soutiennent pas la politique du gouvernement LAT et ils sont contre Blaise COMPAORE et François COMPAORE. Discutez-avec eux en privé vous verrez. Je demande aux intrenautes qui ne les connaissent pas encore de suivre leur trajectoire politique futur. Quand le CDP ne sera plus au pouvoir vous jugerez par vous-même. Prenez date dès aujourd’hui.
MERCI !
Le 27 avril 2013 à 11:29, par LAGUI ADAMA En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
La haine et la diffamation font partie de la nature propre de l’opposition, d’ailleurs c’est pourquoi depuis des décennies elle ABOIE et le PEUPLE ne l’écoute pas
Le 29 avril 2013 à 14:39 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
je regrette mais ces gars n’ont jamais ete des camarades sankaristes sinceres Eux ils ont dynamité la revolution depuis Paris à l’époque ou on militait et tenions nos reunions à l’ambassade meme. On les connait... Ce n’est pour zero qu’on a renvoyé Paré a Paris
SOME
72. Le 28 avril 2013 à 17:19, par N’dabi En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Les propos de ces monsieurs sont loin d’être objectifs. Mais, seulement on ne peut rien contre eux, car, c’est dans leurs droits de se prononcer de manière subjective en ce qui concerne les sujets abordés dans cet entretien. Pour ma part, je leur dirait de se contenter de faire des éloges à leur parti,mais, qui plus est, de grâce, ils devraient arrêter de jouer aux intellectuels inachevés. Ces monsieur là, sont-ils des juristes constitutionnels ? Quelqu’un pourrait m’éclairer ?
73. Le 29 avril 2013 à 14:26 En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
Oualian !!! Oualian Noaga Jean Baptiste !! Toi le fumeur de pipe, le théoricien idéologue orateur révolutionnaire etc. . Oh :décidément ce mec ne fera jamais mentir ! Oh LA LA qu’est ce que tu peux tomber bas, bas, si bas, toi qui relevais le débat idéologique !!! Et tu le fais sans la moindre vergogne !! Et tu n’y gagnes rien sinon te couvrir de honte a toi même Tu connais ton parcours, tes zigzags, etc. Tu as aussi faim que ça ? On comprend pourquoi Sankara ne s’est pas attaché tes services, aussi peu fiable que tu apparaissais !!!
Je comprends que tu viennes « défendre » Paré aujourd’hui … souviens –toi (s’il en est besoin !!) des débats dans le hall de cette même ambassade qu’est venue occuper Paré et avec les Maxime Somé dont tu parles, et bien d’autres. Souviens-toi des bagarres a fessart. Je ne te ferai point l’injure des tes luttes avec les Basile Guissou, Valère Somé etc. Te souviens-tu de tes rencontres avec Sankara, etc. Souviens-toi des joutes oratoires avec Barry, etc. etc. Quelle honte ! Mais on s’est habitué à tes louvoiements… A la fin de tes jours tu espères gagner ainsi un peu de gras de ce pouvoir ! Combien de temps te reste t-il encore a vivre pour profiter de l’opulence pour t’amener à te salir ainsi a ce point ? Et tout renier toi-même ! Etais tu un camarade sincère ?! est ce la misère pécuniaire ou la déchéance morale qui t’a amené a ce point ?
C’est de la malhonnêteté intellectuelle, morale, que de profiter du fait que les jeunes frères ignorent l’histoire politique des africains en France et principalement burkinabé en France pour tenter de réécrire à ta manière l’Histoire du Burkina de cette façon. On se connaît et on te connaît…ce n’est pas en utilisant des arguments spécieux que vous cacherez votre manœuvre.
Ce qui ressort de ce rapport, c’est que le peuple Burkina a été volé d’une façon ou autre et on demande que cela soit réparé ou en tout que les personnes incriminées directement ou indirectement rendent compte de ce dont on leur reproche. Les membres de l’asce ne sont pas des ignorants de première catégorie…Le meilleur avocat c’est soi même ! Oualian fait semblant de ne rien comprendre alors qu’il sait comment on fait le tuug guli au Burkina et il l’a pratiqué ! comment oses tu avoir l’outrecuidance d’ouvrir ta bouche et dire que le CDP a démocratisé le pays. Tu ne connais plus maintenant le sens du mot démocratiser, démocratique etc Toi qui as tant utilisé ce sémantisme tout au long de tes batailles politiques ?
Chr 3-ersnnes pour former le bureau du CDP rance nous dit longuement sur la façon de fonctionner de ceux qui nous gouvernent dans ce pays. C’est dire que la section de France est plus démocratique que le parti mère au pays qui gouverne !!! la cooptation le copinage, le népotisme -tribalisme, etc. voilà ce à quoi ils nous conduit ce genre de pratique politique : l’état actuel du burkina. Aller au pays , aller au CDP c’est chercher un tremplin pour devenir maire ou avoir un autre poste. En France, Etudiants, travailleurs, émigrés burkinabe de toute sorte, si vous avez des problèmes, allez adhérer au CDP alors on pourra vous aider… En plus quand vous retournerez au pays le poste sera déjà préparé… Vous avez compris ? C’est comme ça. On ne peut pas être plus clair. On vous annonce qu’on est la et mettez-vous dans les starting blocks pour les années troubles à venir.
Oualian se veut l’homme incontournable du CDP en France qui ne veut point qu’un bonze du pays passe sans lui faire les salamalecs, le transformant en faiseurs de rois, ça on l’aura compris : il est reste fidèle a lui-même, le noaga. Oualian reflète bien la grandeur mais malheureusement la déchéance actuelle de ce grand parti que fut la LIPAD PAI
Seule la lutte paie
La patrie ou la mort nous vaincrons
Le revolutionnaire
74. Le 14 mai 2013 à 15:58, par Koutou En réponse à : Yves Millogo/ Jean-Baptiste Oualian (CDP France) : « Il faut que l’ASCE reste professionnelle et démocratique et non un instrument de désordre »
J’aimerais demander à Oualian et Millogo :au nom de qui vous parlez ? Si c’est en votre nom personnel, c’est O K, cela vous regarde.........Aucun militant CDP de France n’est d’accord avec vous.......Vous n’avez consulté personne ! C’est du pur orgueil de votre part de prétendre parler au nom du CDP France. Après cette forfaiture, je me demande ce que vous attendez pour donner votre démission.......faites place aux jeunes,il y en a de lucides au sein de CDP France. Vous nous déshonorez, nous salissez et nous ne sommes pas prêts de l’accepter. Dégagez et vite !