ARCEP : Contrôle de qualité de service du réseau fixe au Burkina
Le président de l’Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes (ARCEP) a l’honneur de porter à la connaissance du public et plus particulièrement des abonnés au réseau fixe(voix, fax et connexion internet), qu’un contrôle de la qualité de service est entrepris depuis le mardi 02 avril 2013.
Nous prions par conséquent les abonnés au téléphone fixe et les gestionnaires de cybercafé qui viendraient à être contactés de bien vouloir donner des réponses fiables aux questions qui leur seront posées par les enquêteurs.
Cette campagne fait suite à la série de campagnes de contrôle de la qualité de service des réseaux de téléphonie mobile GSM au Burkina Faso.
L’ARCEP s’excuse par avance des éventuels désagréments et rappelle que cette enquête s’inscrit dans un souci permanent d’amélioration de la qualité de service des réseaux de téléphonie dans notre pays.
Mathurin BAKO
Officier de l’Ordre national
Vos commentaires
1. Le 4 avril 2013 à 08:52 En réponse à : ARCEP : Contrôle de qualité de service du réseau fixe au Burkina
Bonjour. Je le demande si cette enquête n’est pas une façon de nous jeter la poudre au yeux. Certes, l’abonné tente vainement d joindre son correspondant et pourrait dire le nombre de fois que cela est arrivé, ce qui est un indicateur de mauvaise qualité du réseau. Mais ailleurs, les mesures fiables de la qualité du réseau consistent à utiliser des appareils pour le faire. On envoie ainsi des équipes cadriller les villes pour ce genre de travail. Bref ! il faudrait qu’on boycotte les société de téléphonie au moins un jour pour manifester notre mécontentement comme au Senegal ou ailleurs. Ces gars se foutent de nous. Malheureusement, nous n’avons pas une institution de contrôle et une ligue de consommateurs sérieuses
Le 4 avril 2013 à 14:25, par Jerome Kerviel En réponse à : ARCEP : Contrôle de qualité de service du réseau fixe au Burkina
il faut suprimer cette iunstitution qui ne sert à rien, rien et rien d’autre
2. Le 4 avril 2013 à 10:10 En réponse à : ARCEP : Contrôle de qualité de service du réseau fixe au Burkina
Moi, le téléphone fixe, je ne l’utilise même plus car c’est plus que catastrophique parce que j’ai d’autres possibilités ! L’Internet, ah oui ! là, je n’ai pas le choix. Mais c’est tellement désagréable ! Je souhaite que l’ARCEP donne des amendes à payer ! Mais pas les petites sommes habituellement ! Il faut qu’on devienne sérieux ! On ne peut pas continuer à payer inutilement la connexion !
3. Le 4 avril 2013 à 10:33, par Tuensi En réponse à : ARCEP : Contrôle de qualité de service du réseau fixe au Burkina
Il faudrait avant de faire des enquetes, se doter de normes. A quoi vont vous mener vos enquetes que vous ne sachiez objectivemet déjà ?
Par exemple quand je souscris un abonnement Internet ADSL d’un taux de 1 Mo, pourquoi n’ai-je à peine que quelques dizaines ? La régulation devrait pouvoir obliger les fournisseurs à effectivement fournir ce que les clients ont souscrit. Ce qui n’est pas le cas, surtout avec l’ONATEL.
Bon courage quand même à vous.
4. Le 4 avril 2013 à 11:44, par BOKA En réponse à : ARCEP : Contrôle de qualité de service du réseau fixe au Burkina
L’Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes (ARCEP) veut elle se trouver une justification à des dépenses qu’on peut d’ores et déjà qualifier d’inutiles ?
Sinon, qu’est ce qu’elle veut savoir, à travers cette enquête, et qui ne soit su de tous les utilisateurs des services cités. Le service est nul et l’ARCEP le sait. Il faut plutôt trouver des solutions et qui, mieux que les fournisseurs de ces prestations, peut les trouver ?
5. Le 4 avril 2013 à 12:53, par lecteur En réponse à : ARCEP : Contrôle de qualité de service du réseau fixe au Burkina
bonjour
La téléphonie fixe est ouverte à concurrence depuis fort longtemps au burkina. Cependant aucun opérateur ne s’y aventure. qu’en pensez-vous
6. Le 4 avril 2013 à 16:16, par sidbala En réponse à : ARCEP : Contrôle de qualité de service du réseau fixe au Burkina
A quand un organisme de controle des prestations de la SONABEL (Sonavilaine) et de l’ONEA ( Eau Neant) ?
Le 5 avril 2013 à 14:11, par Flora En réponse à : ARCEP : Contrôle de qualité de service du réseau fixe au Burkina
On a trop de problèmes avec le téléphone fixe. Si tu as un dérangement, tu peux les poursuivre plus de deux mois avant qu’ils ne viennent te dépanner. C’est pas sérieux du tout.
Le 5 avril 2013 à 17:57 En réponse à : ARCEP : Contrôle de qualité de service du réseau fixe au Burkina
tu faits quoi avec le téléphone fixe mon cher, c’est une technologie dépassée.
Le 5 avril 2013 à 21:53 En réponse à : ARCEP : Contrôle de qualité de service du réseau fixe au Burkina
il faudrait aussi dire que les cahiers de charge oblige l opérateur historique a déployer la téléphonie dans des secteurs du pays ou les équipements tourne a vides sans aucun abonne.
Et le comble pourquoi a t on privatiser ? Le repreneur ne fait pas du social, c est la rentabilité ou rien. Pour compenser l investissement dans les zones sans trafic , c est la qualité de service qui baissera pour équilibrer la balance ;
7. Le 5 avril 2013 à 16:54, par dassasgho En réponse à : ARCEP : Contrôle de qualité de service du réseau fixe au Burkina
Salut, moi je voudrais savoir comment faire pour qu’un service public retrouve sa ligne de téléphone fixe car depuis plus de deux ans, suite à une panne technique de notre téléphone qui portait un numéro 50 39...., nous n’avons plus de téléphone et cela pose des désagréments pour les usagers du service. Nous avons contacté l’ONATEL qui nous a promis une ligne filaire il y a de cela plus d’une année mais jusqu’à présent rien. Le motif : la zone (ex sect. 28) est saturée alors que le nombre d’abonnés du fixe est en recul.
Aussi, qu’est-ce que le Ministère des postes et de l’économie numérique attend pour mettre en marche leur réseau RESINA dans cette zone ?
8. Le 5 avril 2013 à 18:58, par Mon cyber En réponse à : ARCEP : Contrôle de qualité de service du réseau fixe au Burkina
A mon avis, nul besoin de passer par des énièmes enquêtes pour mettre en place ou faire appliquer des mesures toutes simples : SERVICE NON RENDU = RÉDUCTION DU MONTANT DE LA FACTURE ! Pourquoi le consommateur doit toujours payer des factures même quand la connexion ne fonctionne plus pendant des mois ???
Cela ne peut arriver ou être admis impunément au vu et au sus de tous (consommateurs comme opérateurs) qu’au FASO ! A titre d’exemple : Pour vous abonner à 300 F la journée (TELECEL et TELMOB), la souscription se fait sans problème et en une fraction de seconde, mais immédiatement, pas de connexion ou pire, vous ne pouvez pas vous connecter et ça peut durer toute la journée. N’est-ce pas de l’arnaque ???
9. Le 5 avril 2013 à 21:34, par mik En réponse à : ARCEP : Contrôle de qualité de service du réseau fixe au Burkina
comment répondre aux questions de cette institution si notre ligne fixe est coupée depuis deux et qu’on poursuit ces gentils monsieur de lonatel pour qu’ils nous fassent l’honneur de rétablir leur service que nous payons avec notre argent et qui leur permet de faire des recettes donc d’être payé....
10. Le 8 avril 2013 à 15:25, par Osiris En réponse à : ARCEP : Contrôle de qualité de service du réseau fixe au Burkina
C’est une simple opération de communication pour donner l’impression qu’ils travaillent. Pour mesurer la qualité du service (la vitesse de la connexion, ...) on n’a pas besoin d’interroger des clients pour ça. Allez-y mesurer vous-mêmes. Vous aurez au moins des données fiables.
Comment peut-on utiliser une enquête qualitative comme preuve pour sanctionner des fournisseurs ? Ca n’a pas de sens.
11. Le 8 avril 2013 à 16:07, par rasmat En réponse à : ARCEP : Contrôle de qualité de service du réseau fixe au Burkina
Je pense que nous mieux à faire en matière de contrôle de qualité. Les autorités pensent elles à mettre quand l’accent sur le contrôle et l’assurance qualité sur les produits de consommation ?
Au vu de ce qu’on peut importer au Burkina Faso, je pense la priorité est ailleurs.
Il nous faut des contrôles systématiques pour garantir une protection des populations.
Vous avez juste à jeter un oeil pour comprendre que le peuple est servit comme du bétail, et encore le bétail a des réglementations alimentaires.