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ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

Publié le mercredi 27 mars 2013 à 18h27min

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Kantigui qui a l’oreille très fine a ouï dire que le commissaire Toni du commissariat de Nongr-Massom et ses hommes ont mis la main sur cinq présumés "brouteurs" de l’argent public.

Ils avaient en leur possession trois chèques du Trésor public : un chèque de 30 millions, un autre de 27 millions et un troisième chèque vierge. 16 millions F CFA ont été découverts entre les mains de ces malfrats, tous des intellectuels d’après ce qui a été rapporté à Kantigui. Le cerveau du réseau est un agent du Trésor public. Un récidiviste déjà condamné semble-t-il, pour les mêmes raisons. Kantigui se demande combien sont-ils ces brebis galeuses qui se donnent à cœur joie à cette pratique !


Des travailleurs d’une entreprise de restauration à Ouagadougou mécontents

Il est parvenu à Kantigui, des grognes des travailleurs d’une agence de restauration et de pâtisserie, basée à proximité de l’avenue Kwamé N’krumah à Ouagadougou. Les plaignants reprochent à leur employeur des traitements dignes d’un esclavage. En effet, les travailleurs de cette entreprise, dont certains sont des étudiants, disent travailler à des heures indues sans la moindre indemnité. Certains employés resteraient debout durant des heures entières sans siège. Ils déplorent également des soustractions injustes et injustifiées sur leur salaire lorsque l’employeur constate un manquant dans les recettes. Le hic, selon l’informateur de Kantigui, est que les travailleurs, au regard de l’intensité de la tâche, sont répartis en trois groupes et se relaient, mais il n’y aurait aucune organisation au niveau de l’employeur qui permet de détecter l’agent responsable d’un manquant à la caisse. Par conséquent, certains travailleurs paient pour des fautes qu’ils n’ont pas commises.

En plus, des stagiaires après six mois, n’ont pas vu leur situation régularisée. Kantigui a ouï dire qu’une des serveuses s’est vue remercier le mois passé, sous-prétexte qu’elle ne souriait pas assez aux clients. L’affaire aurait été portée à l’inspection du travail, mais n’aurait pas permis à la travailleuse de réintégrer l’entreprise. Tous ces comportements ont poussé les agents de la boîte à se confier à Kantigui pour être leur porte-voix en décriant la misère dont ils sont l’objet, en attendant d’adopter d’autres voies pour se faire entendre.


Prix anti-corruption 2012 : journalistes, à vos productions !

Il est parvenu à Kantigui que le Prix de lutte anti-corruption (PLAC), édition 2012, est ouvert aux journalistes travaillant dans les médias publics et privés au Burkina Faso. Les journalistes désirant postuler sont invités à adresser sous pli fermé à Monsieur le secrétaire exécutif du Réseau national de lutte anti-corruption (REN-LAC), une copie de tout article publié au cours de l’année 2012 et traitant de la corruption au Burkina Faso. Habitué à la compétition, Kantigui informe ses confrères que le PLAC vise à encourager les journalistes dans leur travail d’investigation et de dénonciation de la corruption au "pays des Hommes intègres". Tout en souhaitant une grande participation à ce concours, Kantigui invite les éventuels concurrents à se dépêcher, car la date limite de réception des plis est fixée au 5 avril 2013 à 17 heures.


L’école communale de Zogona jubile en or

Kantigui a ouï dire que l’école communale de Zogona, sise dans l’ex-secteur n°13 de la ville de Ouagadougou, célébrera, le samedi 6 avril 2013, son cinquantième anniversaire. C’est donc un hommage mérité que les anciens et actuels élèves entendent offrir à l’établissement, à travers plusieurs activités. Ce sont, entre autres, un match de football entre l’école A et B de Zogona, un gala de boxe, une cérémonie de décoration d’anciens maîtres pour services rendus à la Nation burkinabè. Ouverte le 1er octobre 1962, l’école communale de Zogona, se réjouit Kantigui, a fourni au « pays des Hommes intègres », de grands femmes et hommes. Parmi ceux-ci, figurent le ministre d’Etat chargé de mission auprès de la Présidence du Faso, Assimi Kouanda, le président de l’UPC Zéphirin Diabré, le président de l’Alliance pour la démocratie et la fédération/Rassemblement démocratique africain (ADF/RDA), Gilbert Noël Ouédraogo et la comédienne Kadi Joly.


Le journal Le soir assigné en justice

Kantigui vient d’apprendre que le quotidien burkinabè d’informations générales paraissant les après-midi, Le soir, a été assigné en justice pour fait de diffamation. Poussant ses investigations, Kantigui a découvert que tout serait parti d’un article portant sur une sombre affaire d’or paru dans le n°0221 du vendredi 4 janvier 2013. Ainsi, le quotidien burkinabè est cité à comparaître en matière correctionnelle, le lundi 8 avril 2013 à 8 h00, devant le Tribunal de grande instance de Ouagadougou.


Le DG de l’ONUDI en visite de travail au Burkina Faso

Depuis le mardi 26 mars 2013, le Directeur général (DG) de l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI), Kandeh K. Yumkella, est au Burkina Faso. Selon les informations parvenues à Kantigui, le haut fonctionnaire onusien est en visite de travail de deux jours au « pays des Hommes intègres », avec un agenda très chargé. En effet, le programme de la tournée de M. Yumkella prévoit une visite ce mercredi 27 mars, au poste d’interconnexion électrique de Zagtouli, à la périphérie-Ouest de Ouagadougou. Ensuite, le visiteur devrait avoir une audience avec le président de la commission de l’Union économique et monétaire ouest- africaine (UEMOA), Cheick Hadjibou Soumaré. Toujours ce mercredi et en fin de matinée, le DG de l’ONUDI doit se rendre à la zone industrielle pour une visite de l’entreprise Belwet. L’après-midi, a observé Kantigui dans l’agenda, va être consacré à des échanges, d’abord avec l’équipe- pays du système des Nations unies, puis avec le ministre burkinabè délégué chargé de la Coopération régionale. Il est également prévu un dîner de travail ce mercredi soir, sous le thème : « Les enjeux du développement industriel en Afrique subsaharienne ».
L’hôte de marque du Burkina, selon les sources de Kantigui, sera reçu en audience par le président du Faso, le jeudi 28 mars. Le même jour, Kandeh K. Yumkella animera une conférence de presse, précisément dans l’après-midi. Kantigui espère que cette visite va contribuer à donner un coup de fouet à l’industrie burkinabè en manque de souffle ces derniers temps.


Le SAMAB souffle ses 30 bougies

Kantigui a appris que le Syndicat autonome des magistrats burkinabè (SAMAB) va commémorer son trentième anniversaire, du 28 au 30 mars 2013 à Ouagadougou. La manifestation devrait avoir lieu sous le thème : « Comment renforcer l’indépendance de la justice dans un Etat de droit : contributions du parlement, de la société civile et des syndicats professionnels de la justice ». Bien introduit, Kantigui a eu vent de ce que plusieurs activités vont agrémenter cet anniversaire. Il s’agit, entre autres, d’un conseil syndical autour des 30 ans d’existence du SAMAB, de la finale du tournoi de football-maison et d’un panel sur le thème des festivités. En sus, a noté Kantigui, des dons d’ouvrages seront remis aux élèves- magistrats, et de biens divers aux pensionnaires de la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO).
Par anticipation, Kantigui souhaite un joyeux anniversaire à ce syndicat d’hommes en noir.


Le maire de Ouahigouya sera installé le 20 avril prochain

Il est revenu à Kantigui que le nouveau maire de Ouahigouya, Gilbert Noël Ouédraogo, sera officiellement installé dans ses fonctions le samedi 20 avril 2013. Mais avant, le 25 mars dernier, il y a eu la passation de service entre le nouveau maire et l’édile sortant, Abdoulaye Sougouri. Pour l’installation proprement dite, selon certaines indiscrétions, le parti de l’éléphant ne voudrait pas d’une cérémonie qui passerait inaperçue, car c’est la première fois que Me Gilbert Noël Ouédraogo va gérer la mairie de Ouahigouya. Pour cela, il serait en train de mettre les bouchées doubles pour offrir un spectacle de taille à la population de la « Cité de Naaba Kango ». Les militants auraient choisi, a-t-on soufflé à Kantigui, de se mettre en tenue uniforme le jour « J » pour fêter l’événement. Des troupes de danse traditionnelle seraient attendues. Kantiguiqui souhaite bon vent à la nouvelle équipe municipale ne peut que l’exhorter à se mettre rapidement à la tâche, afin de relever les défis du développement de la commune.

Kantigui

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Vos commentaires

  • Le 27 mars 2013 à 22:43, par Sidpasata - Veritas En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    Des Guiros, ce n’est pas ce qui manque au Faso. Si on arrête pas les Guiros originaux, on en finira jamais avec le Guiros d’imitation. Il y a même des Guirocréateurs de qui et par qui naissent et existent les Guiros originaux............... Courage à la Police, à la Gendarmerie et à la Justice Nationales : ne baissez pas les bras, même s’il y a beaucoup à faire encore !

  • Le 28 mars 2013 à 06:25 En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    pourquoi un récidiviste encore agent comptable du trésor public ? Quel est cette mauvaise gouvernance que l’on voit tous les jours dans ce pays ?

  • Le 28 mars 2013 à 08:08, par koffi En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    Ces succeurs de la République ! et dire que certains sont des récidivistes notoires. Il faut des sanctions à nul pareil,car en plus de Jouir des "fonds communs",ils se la coulent douce en pillant le reste qui doit servir à revoir les merdiems des autres fonctionnaires. Loin de nous l’expression d’une "aigreur" quelconque,comme ils savent le lire dans tout article tentant de recadrer leur position de "sangsues".
    Pensez à tous ceux qui se donnent de jour comme de nuit à leur tache éducative.
    Faites preuve de modestie en tout.

  • Le 28 mars 2013 à 08:13 En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    je dirais de continuer les investigations pour arreter tous sangsues du tresor qui veulent concentrer toutes les richesse du pays dans leurs mains.

  • Le 28 mars 2013 à 08:21, par sid ya tim En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    je suis contre toute forme d’abus sur les employés cependant reconnaissons que quand une personne investie dans une affaire c’est dans l’intention d’en tirer profit, donc si un employé a un comportement qui puisse aller contre ses interet et qu’après maintes remarque il n’y a pas de changement alors je pense que l’employeur à le droit de prendre des decisions allant dans le sens de ses interets. je parle ici du licencement de la serveuse.

    • Le 28 mars 2013 à 08:53, par Yero Salomon En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

      Le licenciement a une procedure et avant le licenciement il ya des etapes de remediation. Nul n’est a l’abri d’un abus ; alors n’avalisons pas les abus juste parce qu’il ne sont pas faits sur notre personne.

  • Le 28 mars 2013 à 08:24 En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    c’est le produit de l’impunité

  • Le 28 mars 2013 à 09:05, par bedjan En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    tout cela est dû a l’impunité ,à la mauvaise gouvernance !! Il faut durcir la loi et l’appliquer effectivement. vous verrez que le pays irait mieux

  • Le 28 mars 2013 à 09:14, par Tapsoba® (de H) En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    J ignorais qu un fonctionnaire déjà condamné pour vol peut continuer après avoir purgé sa peine à servir l Etat,surtout dans la gestion financière.Ainsi ,dans le régime juridique applicable aux agents de l Etat ,n y est-il pas question de licenciemment de tout fonctionnaire à la moralité douteuse,reconnu comme tel par la justice ?

    • Le 28 mars 2013 à 09:49, par N’Djolé En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

      Si il est bien dit, écrit noir sur blanc. Condamné à trois (03) mois de prison ferme ou avec sursis, le fonctionnaire est licencié. Bon tu sais on est Faso où il y a les uns, les autres et les et-cetera. La prison est un stage où, quand un délinquant fait un séjour, devient rodé et immunisé contre la peur, la perte de la morale et la honte. Quand on mange avec le "boss", il peut vous sortir d’affaire. C’est quand on mange seul qu’il y a problème lorsque pris. Vous n’avez pas constaté que c’est un groupe ? Aux finances par groupe et en réseau, malgré d’énormes avantages (in) dûment octroyés par l’Etat. Mais que voulez-vous si en haut c’est comme ça. Moi j’encourage même les petits agents à voler aussi dès qu’ils ont l’occasion. Eux au moins peuvent me payer à boire. Les gourous "col-blanc" mettent pour eux dans les paradis fiscaux en Suisse

  • Le 28 mars 2013 à 09:15, par la pétasse de la patte d’Oie En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    Laisser le en liberté provisoire pour qu’il se présente aux élections municipales dans son village. Y en à marre d’une justice qui laisse courir les voleurs de 2 milliards (Guiro), 260 millions (Paré) etc. pour emmerder un autre qui n’a pris que 57 millions qu’il doit d’ailleurs partager avec 4 autres. Tchrrrr !!!!

  • Le 28 mars 2013 à 09:27, par indjaba En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    Ce petit agent du trésor ne peut pas s’asseoir passivement et regarder ses collègues et ses patrons des finances ravager les deniers publics. Tant qu’il n y aura pas de justice, moi je donnerai toujours raison aux agents qui détournent à l’image des Guiro, des Paré, des Bancé et autres. En plus ce que les gens ne savent pas c’est que ces fonctionnaires des finances et autres gestionnaires/comptables publics qui sont accusés de détournements et envoyés à la MACO ne souffrent généralement pas pour avoir la liberté sous caution ou la liberté provisoire dès les 3 premiers mois de leur arrestation. Conséquence : ces délinquants sont libres mais ne retournent plus à leur poste et comme ils ne sont pas encore condamnés, ils ne sont pas alors licenciés et continuent bonnement donc de toucher tranquillement leur salaire pendant que vous et moi sommes obligés de nous réveiller à 6h pour percevoir aller carburer afin de toucher le même salaire. Guiro doit certainement continuer à toucher son salaire, il y a des comptables publics, des gestionnaires des hôpitaux qui fait un bref tour à la MACO qui maintenant sont assis à la maison et touchent leur salaire en attendant le jour de leur jugement qui mettra dans le meilleur des cas 5 ans avant de se réaliser. Le pays est foutu. Sauve qui peut.

    • Le 28 mars 2013 à 12:41 En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

      Bien sûr que Guiro continue à toucher son salaire mirobolant alors qu’il ne bosse pas.Après avoir volé plus de 5 milliards puisqu’il a investi dans des immeubles etc,nous continuons à le nourrir alors qu’il devait être licencié sur place.Ce pays est vraiment pourri.

  • Le 28 mars 2013 à 10:28, par Yargui En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    Indemnité de responsabilité financières d’un agent du Trésor 8 000 f cfa pour quelqu’un qui gère des milliards et sa responsabilité est engagé jusqu’à sa 4eme génération. Ce qui veut dire qu’on endette des gens qui ne sont pas née. Il faut que le BF prenne l’exemple des pays comme le Niger, Cote D’ivoire et le Sénégal en matière de gestion du personnel de la finance en général.

  • Le 28 mars 2013 à 10:43 En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    Qui nous parle de Tresor Public. Le Sac a feuilles de la famille C..... et alliés.
    Vous n’avez rien vu d’abord si vous croyez en la JUSTICE ici au faso....

    • Le 28 mars 2013 à 18:28, par Nabiga En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

      Hé Kantigui ton oreille de cabaret va te discréditer. Allez chercher l’info juste pour l’opinion il s’agit de chèques au profit du Trésor Public donc des chèques banque et non de chèques Trésor. Ah vous racontez avec des termes de rue cherchez bien l’info.

  • Le 28 mars 2013 à 15:40, par bedjan En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    ce n’est pas étonnant !!! dans un pays ou on a pris des gens en flagrant délit de fraude électorale- ce qui a motivé l"annulation et la reprise du scrutin dans sa circonscription- ce même type se présente se fait élire et de surcroît occupe une place de choix dans le bureau du conseil municipal de son arrondissement !!!
    Pas étonnant que chacun cherche a se remplir les poches aussi vite que possible !!! PAUVRE BURKINA,, TU ES VRAIMENT MAL BARRÉ !

    • Le 28 mars 2013 à 16:41 En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

      je ne suis pas des finances mais je peux dire quelque chose allant de leur rsponsabilité personnelle en passant par leur responsabilité pécuniaire sagissant de la gestion des deniers publics.les uns et les autres peuvent dire de ce qu’ils veulent sur les avantages du personnel des finances mais cela est trés bas relativement à leurs lourdes responsabilités. Il faut qu’on se le dise en déhors de l’enseignement, il n’ya pas ce ministère aujourd’hui au faso qui n’a pas ce fameux "fonds commun", ce sont seulement les appellations qui diffèrent. Alors, qu’on laisse les travailleurs des finances en paix. Et je précise tant les dirigeants de ce pays ne s’occupent pas bien de nos braves finnaciers, les detournement de fonds publics ne finiront jamais. A bon entendeur, salut !

  • Le 28 mars 2013 à 16:05, par bedjan En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    on ne sait plus à quel saint se vouer !! ce que les révolutionnaires du 4 août 1983 ont reproché à la 3ème république, c’est cela au centuple que nous vivons aujourd’hui ; et avec leur active complicité, surtout depuis qu’ils ont pris le virage à 180 degré !!
    détournement, gabegie, mal-gouvernance, corruption et.....impunité ,et cela à tous le niveaux !!! l’étudiant empoche les couverts du RU, l’agent du trésor ou des douanes fait main basse sur les recettes, l’agent de santé contraint le patient a lui donner de l’argent pour ses prestation- <ne paie pas à la caisse, donne X francs<< Que Dieu sauve le soldat FASO !

  • Le 3 avril 2013 à 13:10 En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    je ne comprends pas les gens : de quoi vous plaignez vous ? quand sankara et la revolution on "degageait" et sanctionnait, on s’est plaint que c’est un etat d’exception, de dictature etc et tout ce qu’on veut. Maintenant vous avez la liberte, la justice. Alors gardez le, c’est ce qu’on voulait non ?! Un tel agent non seulement aurait ete dégagé i-e renvoyé de là mais aussi il rembourserait ce qu’il a volé. Il ne pourrait plus continuer a voler comme si de rien n’etait, au lieu de recevoir meme des avancements comme on le voit dans certains aujourdh’ui. Au moins, cela donnait a d’autres la lecon et ils reflechiraient par soixante dix sept sept fois avant de voler un centime public.
    SOME

  • Le 12 avril 2013 à 18:32, par KFI En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    Oh ! on est très habitué à ces fausses arrestations des "brouteurs" de deniers publics. Si vrai, on va les relacher ou les affecter ailleurs. Actuel Faso, c’est la tribune de l’impunité qui nous tue.
    Les uns broutent, les autres n’ont rien à manger....ainsi naissent les homicides, les grèves de fin...

  • Le 15 mai 2013 à 17:01, par Konkélégue nayan En réponse à : ON MURMURE : 5 présumées sangsues du Trésor public aux arrêts

    La corruption restera invincible au Faso, car elle fait l’objet d’une lutte orientée voire partiale. Jusque-là tous les atéliers et instances ne font qu’apporter des engrais et de la pluie pour une bonne fixation des racines du fléau. Sinon, la solution idoine consiste tout simplement à reconsidérer nos ressources afin de les utiliser judicieusement et avec toute la rationnalité possible. Ainsi les centrales syndicales auront moins de points de révendication en plate-forme. Le développement sera le constat unique et à l’unanimité, à travers le BF qui gagne de plus en plus de superficie géographique !

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