Carte de presse : le comité technique de délivrance tient sa 2e session
Après la session bilan tenue le 6 juin 2012, Le comité technique de la carte de presse tient, ce 26 mars 2013 à Ouagadougou, une session relative à l’examen des demandes de renouvellement. Elle sera également mise à profit pour examiner les nouvelles demandes.
La carte de presse (et laissez-passer) a été instituée par l’Etat pour assainir le milieu de la presse burkinabè.
Ainsi, en 2009, une carte d’identité professionnelle a été élaborée pour les journalistes professionnels et assimilés du Burkina pour leur permettre de prouver leur activité et d’accéder plus facilement aux lieux qui leur servent de « site » d’informations (salles de presse, bureaux officiels, musées, etc.).
Depuis cette période jusqu’à nos jours, plus de 600 cartes ont été délivrées. Cependant avec leur durée de validité qui est de 3 ans, les cartes sont expirées et doivent être renouvelées.
Selon le président du comité technique de la carte de presse et du laissez-passer, Justin COULIBALY, seulement une trentaine de demandes de renouvellement ont été introduites.
La présente session du Comité technique de la carte de presse et du laissez-passer sera donc le lieu pour lui et ses hommes d’examiner ces différentes demandes de renouvellement. Elle sera également mise à profit pour examiner les nouvelles demandes.
Dans les jours à venir le comité compte publier la procédure de renouvellement dans les rédactions des différents médias de la place.
P. Florence ZANGO
Vos commentaires
1. Le 28 mars 2013 à 09:00 En réponse à : Carte de presse : le comité technique de délivrance tient sa 2e session
En trois ans ce badge ou si vous voulez cette carte n’a servi à rien sauf impressionner les fillettes au quartier. C’est pour ça que sur les 600, il n’y a eu que 28 pour le renouvellement. A quoi ça sert ? Dites moi !!!!
Le 28 mars 2013 à 11:35, par Newton En réponse à : Carte de presse : le comité technique de délivrance tient sa 2e session
A quoi ça sert d’avoir la CNIB ? La carte de presse comme la CNIB permet avant tout d’identifier le journaliste, d’avoir accès au source d’info. Moi j’ai obtenu mon visa pour aller à un séminaire en Belgique avec aisance du fait de ma carte. Si certains trouvent dans son utilité le fait de draguer les filles au quartier c’est leur choix. Et puis les avantages ne se négocient pas à une vitesse grand V. Les partenaires pèsent les pour et les contre. Ensuite un document est signé. En attendant nous avons l’avantage d’être reconnu par les pairs comme homme de la plume. Ceux qui veulent profiter de la carte pour avoir des réductions sur les frais d’hôtels pour sortir avec leurs maitresses doivent encore patienter et se contenter de travailler. Ne voyons pas le mal partout . Comptez sur votre travail pour vous en sortir et non sur un badge comme vous dites ! La carte de presse ne sera pas la panacée pour effacer la misère du journaliste. Elle la réduira ! Pour le reste il faut frapper à la porte de la convention collective ! Ce qui n’est pas du ressort du comité technique qui a abattu un gros boulot ! Attention aux confusions de genre ! En toute confraternité ! Newton
Le 28 mars 2013 à 14:16 En réponse à : Carte de presse : le comité technique de délivrance tient sa 2e session
Félicitations pour ton visas belge ! Tu as eu la chance d’être face aux belges. Eux, comprennent l’importance d’une carte de presse. Pas les Burkinabè. Restons sur les voyages, en voulant faire un passeport, la carte de presse ne suffi pas pour justifier le statut de journaliste au service des passeports de la police, sis à Gounghin. Allez-y comprendre. Ce sont les diplômes qui sont exigés. Mais ce que je n’ai pas compris, ils font comme si on ne ne peut pas avoir un diplôme en droit, en langues, en agronomie...et faire du journalisme. heureusement le cas dont j’ai été témoin, est tombé à pic. le gars a fait une école de journalisme et avait un diplôme.