Votre journal Courrier confidentiel N° 26, du 25 janvier au 9 février, vient de paraître.
A lire dans ce numéro :
AFFAIRE BRULANTE AU SOMMET DE L’ETAT
« Nous réclamons 35 milliards FCFA ! »
ENVOI DE MILITAIRES BURKINABE AU MALI
A-t-on violé la loi ?
LIEUTENANT-COLONEL DIARAN KONE, PORTE-PAROLE DU MINISTERE DE LA DEFENSE DU MALI
« Tant qu’il y aura un terroriste dans notre pays, … » (Lire l’interview)
DISCORDE AUTOUR DE LA FORMATION DU GOUVERNEMENT TIAO 3
Et pourtant, il y avait l’article 37 !
BURKINA FASO
A propos du financement du terrorisme...
AFFAIRE ADAMA KIMA/JEROME TRAORE
La lettre qui a fait couler le ministre de la Justice
PRESIDENCE DU FASO
Les collaborateurs du Président Compaoré
CAN 2013
Qui gagne quoi ? 5 milliards de FCFA pour 16 équipes (Voir la répartition)
Courrier confidentiel est disponible chez tous les bons revendeurs de journaux au Burkina Faso (500 FCFA).
Site : www.courrierconfidentiel.net.
E-mail : contact@courrierconfidentiel.net.
Prochaine édition : 10 février
Vos commentaires
1. Le 28 janvier 2013 à 16:50, par Bonnet En réponse à : Votre journal Courrier confidentiel N° 26, du 25 janvier au 9 février, vient de paraître.
Courrier confidentiel est disponible chez tous les bons revendeurs de journaux au Burkina Faso (500 FCFA).
Ce n’est pas poli de dire que "bons" revendeurs de journaux comme s’il y’en avait de mauvais juste parce qu’ils n’ont pas dans leurs kiosques le courrier confidentiel.
Le 28 janvier 2013 à 18:32, par SULTAN En réponse à : Votre journal Courrier confidentiel N° 26, du 25 janvier au 9 février, vient de paraître.
tu n’as pas bien compris tout bon revendeur( c’est celui qui vend à 500 FCFA).Merci
Le 29 janvier 2013 à 07:55 En réponse à : Votre journal Courrier confidentiel N° 26, du 25 janvier au 9 février, vient de paraître.
Très bonne remarque. J’avoue que cette phrase que je reçois plusieurs fois à travers les réseaux sociaux, et qui n’est vraiment pas "correcte" commence à me saouler. Moi je ne lierais pas cela à une carence intellectuelle, mais plutôt à de la prétention qui transpire à travers le journal. En effet, selon leur ligne éditorial, je crois qu’ils s’inscrivent dans une division manichéenne de notre pays : d’un côté, les bons, leur journal en tête ; et d’un autre côté les mauvais (méchants ?) qui ne pensent pas comme eux, qui ne les adoptent pas. Je crois que c’est enfantin au mieux, mais au pire c’est très grave. Un vendeur de journaux est un vendeur de journaux. les bons et les mauvais, c’est juste dans votre esprit.
2. Le 28 janvier 2013 à 17:54 En réponse à : Votre journal Courrier confidentiel N° 26, du 25 janvier au 9 février, vient de paraître.
Belle remarque, Bonnet. Mais comprends-les, c’est simplement une carence intellectuelle
Le 29 janvier 2013 à 09:06, par samy En réponse à : Votre journal Courrier confidentiel N° 26, du 25 janvier au 9 février, vient de paraître.
Chers amis, vous vous acharnez sur les rédacteurs inutilement, "tous les bons revendeurs de journaux" ne fait nullement allusion à la qualité des journaux vendus mais plutôt aux différents prix pratiqués.
serait de ce fait, un bon revendeur celui qui pratique les prix conseillés par les éditeurs de journaux ; à contrario, serait un mauvais revendeur, celui qui augmente les prix à sa guise. Seriez-vous entrain d’exprimer une incompréhension ou bien vous avez des intentions inavouées.
Merci de chercher à cerner le contenu des expressions et/ou phrases avant de vous aventurer dans des affirmations maladroites et inadaptées.
3. Le 29 janvier 2013 à 10:00 En réponse à : Votre journal Courrier confidentiel N° 26, du 25 janvier au 9 février, vient de paraître.
Je pense qu’en le disant, le journal dénonce, sans le dire ouvertement, une pratique que nous vivons tous dans le milieu de la presse. Le journal Bendré où je travaille aurait pu dire la m^me chose de m^me que L’Evénément et tous les autres journaux qui font leur tirage dans une imprimerie privée dont je ne citerai pas le nom ici. Il y a un marché noir dont la stratégie est la suivante : au niveau de l’imprimerie, des individus sans scrupule font un tirage supplémentaire, donc au-delà du nombre d’exemplaire demandé par le Journal qui a demandé l’impression. Ce supplément est mis sur le marché par le biais d’un réseau parallèle de vente. Une sorte de "black market". ces revendeurs qui opère dans ce marché noir porte un grave préjudice aux entreprise de presse. Cette pratique a été dénoncé déjà par plusieurs journaux, mais apparemment la pratique continue. C’est pourquoi, ça me conforte que le Courrier confidentiel parle de "bons revendeurs de journaux" une façon de faire la part des choses. A mon avis, cela n"Mais comment les lecteurs peuvent distinguer les bons des mauvais ? c’est ça la grande question. Tous les journaux concernés doivent-ils prendre l’initiative de publier la liste des bons revendeurs de journaux, interpeller énergiquement les responsables de l’imprimerie ? Ou que faut-t-il faire. La société des éditeurs de la presse privée doit prendre à bras-le-corps ce problème. Il y va de la survie des journaux privés. Car il y a d’autres pratiques pas du tout saines qui handicapent le fonctionnement des journaux. Ce que le journal dit est, à mon humble avis, loin de relever d’une carrence intellectuelle. Mais il faut organiser une action commune des médias qui impriment dans cette imprimerie afin de résoudre définitivement le problème.