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Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

Publié le mercredi 13 juin 2012 à 02h08min

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La famille de Rolande Sama dit être écœurée du flou qui a été entretenu sur le décès de sa fille le vendredi 1er juin 2012. Dans une déclaration dont nous avons reçu copie, la famille revient sur les « vraies circonstances » de la mort de la policière et demande à ce que justice soit rendue.
Rolande Sama vivait avec N’do Florent, MDL en service à la brigade territoriale de gendarmerie de Dédougou. Ce jour-là, explique la famille, Rolande a été emmenée par son copain N’do Florent et deux de ses collègues à l’infirmerie du camp militaire de Dédougou. Elle était soutenue sur la moto par deux personnes ; ce qui laisse apparaître qu’elle ne pouvait pas tenir seule.

Toujours selon la famille, elle aurait été reçue par un infirmier militaire, lequel a aussitôt disparu pour laisser place à son supérieur qui revenait de la ville et qui avait pris la responsabilité de « gérer la situation ». Pourquoi celui qui a reçu Rolande a-t-il fui pour laisser son supérieur qui ne l’a pas vue arriver ? S’interroge la famille qui signale au passage que ce dernier est arrivé au même moment qu’un membre de la famille, Collette Sama qui a été informée par son copain. Sur place, elle constate que Rolande était décédée, mais l’infirmier militaire lui a fait croire qu’elle était dans le coma. Aussitôt, elle a été refoulée dehors.

Les deux versions différentes de N’do Florent

De la première version de N’Do Florent, il ressort que lorsqu’ils sont arrivés à l’infirmerie, Rolande s’est couchée sur un banc et c’est en voulant se lever qu’elle est retombée d’où les blessures sur son visage. Dans la deuxième version, il explique qu’il a emmené Rolande qui se plaignait des maux de ventre et lorsqu’ils sont arrivés, elle réclamait de l’eau à boire. D’autres collègues de N’Do Florent qui étaient sur les lieux en tant que gardes malades lui auraient donné de l’eau. En voulant boire cette eau, elle a commencé à vomir et est tombée sur la face. Ce qui aurait provoqué, selon N’Do Florent, des égratignures sur la partie supérieure et à gauche de son œil. Collette Sama arrivée sur les lieux n’a pas vu de traces de vomissements. Si réellement, Rolande a vomi, qui a nettoyé les vomissements ? Est-ce que l’infirmerie du camp militaire peut-elle gérer un état comateux sans référence immédiate au CHR de Dédougou qui se situe à quelques encablures ? Se demande la famille qui ajoute que Collette Sama a aussitôt informé les autres membres de la famille qui sont arrivés sur les lieux. Malheureusement, ceux-ci constatent que dans la salle où se trouvait Rolande, les lampes sont éteintes.

Les membres de la famille, notamment la tante de la défunte, Dakyo Christine pose la question suivante : « Si vous dites que notre fille n’est pas morte, pourquoi la salle où elle se trouve n’est pas éclairée ? » Aussitôt l’agent chargé des soins est rentré allumer les lampes. Jusqu’à ce moment, témoigne la famille, aucun soin n’avait été donné à Rolande. Mais, l’infirmier continuait de garder la comateuse. A ce moment précis, on avait annoncé à la famille qu’on préparait l’évacuation de Rolande sur Bobo. En de pareille situation, s’interroge la famille est-ce que l’infirmerie du camp militaire est-elle habilitée à évacuer au CHU de Bobo sans référence du CHR Dédougou du moment qu’elle ne disposait pas de médecin ?

Le flou après 23 heures

Le suspense était toujours là et la famille attendait. Toujours pas d’annonce de décès, pourtant la rumeur avait déjà circulé en ville et des sympathisants ont accouru pour soutenir la famille. Entre temps, un médecin arrive à l’infirmerie et entre dans la salle. Quelques instants après, il ressort et demande à la sœur de Rolande, Collette Sama si elle est souvent battue par son copain. Le flou a été entretenu jusqu’après 23 heures, heure à laquelle le maire de la ville arrive sur les lieux, accompagné du DR de la police nationale. Ces derniers rentrent dans la salle et ressortent présenter leurs condoléances à la famille alors qu’il n’y a pas eu d’annonce préalable de décès. La famille estime que ces derniers ont été utilisés et induits en erreur pour annoncer la mort de Rolande.

Les circonstances de la mort de Rolande

Rolande Sama aura été battue violemment par son copain alors qu’elle portait une grossesse de deux mois environ, atteste la famille qui en a pour preuve les blessures observées sur le corps de la défunte. Et toujours selon la famille, des voisins auraient entendu ses cris dans la maison lorsqu’elle souffrait des bastonnades de son copain N’Do Florent qui, semble-t-il en avait l’habitude. C’est lorsque N’Do Florent a constaté l’état de Rolande après son forfait, qu’il l’a conduite à l’infirmerie du camp. Suite aux différentes spéculations, et à l’annonce de remous dans la ville, le lendemain du décès, le samedi 2 juin 2012, les autorités judiciaires ont autorisé l’ouverture d’une enquête pour élucider les faits. Les premières investigations confiées à la brigade de recherche de gendarmerie de Dédougou, selon la famille donnent lieu à un doute sur l’impartialité de cette structure, car indique-t-elle, « le suspect est toujours libre de ses mouvements ».

Pour cela, on propose que l’enquête soit confiée à un juge d’instruction et que le suspect fasse l’objet d’un mandat de dépôt pour qu’il ne puisse pas quitter Dédougou. En clair, la famille réclame justice pour Rolande Sama. Aux dernières nouvelles, N’Do Florent serait en garde-à-vue à la brigade territoriale de gendarmerie de Dédougou en attendant les conclusions de l’enquête. Sans doute pour sa propre sécurité. Car selon les sources de la famille, des individus auraient décidé d’avoir sa peau.

Ousmane TRAORE

L’Express du Faso

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Vos commentaires

  • Le 13 juin 2012 à 09:52, par Conscience du Faso En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    Décidement les hommes de tenue au Faso ! Si vous ne savez pas comment faire avec les femmes, ce n’est pas forcé de vivre avec une femme. Ou bien, il va falloir que dans votre formation, on y ajoute le vollet vie conjugale ou vie de couple, Moindre chose, vous montrez vos biceps, triceps, etc. Cela veut dire quoi, cette façon animale, sauvage, barbare de vivre avec la femme ? Vous croyez que la vie de couple, c’est la guerre, c’est le front des hostilités ? La vie de couple, si vous ne le savez pas, c’et le dialogue, c’est la compréhension, c’est l’amour mais pas la violence, surtout cette violence militaire, policière que vous apprenez pour faire face aux manifestants de rue. Si vous ne changez pas de comportement, vous les hommes de tenue, vous risquez de rester à la longue sans copine, sans petite amie, sans épouse. Chose bizarre, il y a beaucoup de jeunes filles qui tombent amoureuses de ces hommes de tenue. C’est la tenue qui les mystifie ou quoi ? Vraiment l’Amour est Bizarre !

    • Le 13 juin 2012 à 14:37 En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

      tu as tout dit mon ami !rien à ajouter !

    • Le 13 juin 2012 à 15:36, par bendatoega En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

      Tu crois que tu es plus instruits que les militaires ? Eux au moins sont en uniforme et facilement reconnaissables. Tu parles d’Hommes en tenue comme si c’était le diable personnifié. Ce sont des humains comme toi et les autres. Si le malheur est arrivé, ce n’est la faute de personne. De là à incriminer les homme de tenue c’est ridicule.
      Y a t-il combien de crimes qui sont commis par jour au Faso ?

    • Le 13 juin 2012 à 15:57 En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

      Cher ami, parmi les milliers d’hommes de tenue, il ya aussi ceux qui ne sont pas bons autant que dans la vie civile !
      Le hic est que des lors qu’un de ces hommes de tenue a un probleme, tout s’amplifie.
      Il faut arreter de voir le diable en eux car ce sont vos freres ou parents de toute maniere. Ils viennent d’une famille avant d’etre dans la tenue a ce que je sache !
      On pas dans l’armee pour etre eduqué, on vient pour recevoir une formation.
      Que chacun, dans sa cellule familliale fasse son devoir avant de jeter l’anatheme sur les hommes de tenue.
      Pour les filles, je vous dis que c’est pas elles seulement, et pour cela je vous demande de vouloir reflechir a ceci : Les intellectuels sont les femmes, les militaires les font rever !!!
      Sans rancune

    • Le 13 juin 2012 à 17:13, par yahouss En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

      Décidement il ya des gens qui détestent de façon démesurée et injustifiée les forces de sécurité.Mettez de l’eau dans votre vin, personne dans ce monde où la paix, l’amour et le dialogue sont rois ne peut arguer cautionner ce genre d’acte.Sachez que ce genre d’acte existe dans toutes les couches sociales et professionnelles, si l’acte d’un gendarme defraie la chronique c’est parce qu’il doit être considéré comme une reférence et pour ce faire il est idéalisé et tout acte déviant est inconcévable.
      Il est bienséant que les gens sachent que tout gendarme est issu d’une éducation sociale.L’amour est universel c’est à dire qu’il n’est pas destiné à une catégorie particulière de personnes ; sinon qu’il existe des familles de militaire où l’amour gouverne leur foyer.
      vous qui vous acharné tant sur les hommes de tenue, pouvez vous me dire que durant toute votre vie vous n’avez jamais connu ou entendu parler de cas plus inhumains.

    • Le 13 juin 2012 à 18:15, par anta En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

      Les femmes cherchent en premier chez les hommes, de la sécurité.Qui mieux que les hommes en tenues militaire représente la sécurité.Malheureusement,elles tombent souvent sur des tarés qui les prennent pour leur ballon militaire.Que tous les batteurs de femmes aillent au diable !

    • Le 13 juin 2012 à 19:45, par SIDIKI En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

      faisons confiance a nos autorites

    • Le 14 juin 2012 à 14:43, par L’impartial En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

      "Faso conscience" ; disons Faso inconscience !C’est très absurde de votre part de faire des affirmations non fondées. Croyez-vous que vous menez mieux votre vie de foyer que ces hommes de tenue ? c’est certain que vous avez soit été rasé par un homme de tenue et vous profitez de cette situation pour vous defouler soit vous avez cherché par tout les moyens pour en devenir. on vous comprend. vous n’avez rien à apprendre à un homme de tenue en matière de gestion de vie conjugale.Je comprend votre douleur, mais ce serait mieux et raisonnable pour vous d’arrêter vos balivernes et de laisser agir la justice si toute fois vous êtes mûr d’esprit.

    • Le 22 juin 2012 à 11:07 En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

      je crois que c’est ce que les filles aiment ; tu déménages chez quelqu’un qui ne t’a pas mariée et qui te bat chaque fois, pourquoi rester avec cette personne. il faut avoir l’amour de soi, se respecter, respecter sa famille, s’il avait fait les démarches nécessaires avant de l’avoir je crois qu’il allait mieux se comporter avec elle. je ne peux comprendre qu’un simple copain batte une fille jusqu’à ce point et qu’elle continue à vivre avec lui même s’il lui donnait tout l’or du monde.

  • Le 13 juin 2012 à 10:19 En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    Affaire à suivre...

  • Le 13 juin 2012 à 10:30, par Tommy En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    Œil pour œil et dent pour dent !!! pour qui se prennent ces hommes de tenues ?

  • Le 13 juin 2012 à 11:30, par yabafasofils En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    Je sais vraiment pas pourquoi les couples se tabasse. Une fois en passant on pourrait dire que M. ou Mme n’a pu se maîtriser, mais quand ça devient une habitude...ha là...! Si ça ne va pas que chacun se cherche au lieu de se torturer. Même les animaux ne se battent pas. A mon avis si vraiment c’est l’amour qui uni un couple je vois pas la raison qu’ils peuvent avancer en se tabassant.
    Que ce salop soit jugé et puni comme il se doit sinon la population se rendra justice, et pour ça, suis parfaitement d’avis.

  • Le 13 juin 2012 à 11:51 En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    c’est dommage ce que font certaines force de l’ordre ce qui grave est que ces personnes sont souvent couvertes par leur hiérarchies cette histoire me rappel le meurtre de garango ou un gendarme aurait abattu un éleve quand ces derniers étaient en gréve le gendarme en question a tiré sur le petit qui est tombé et qui n’était pas encore mort et il est venu l’achever par 2coups de pistolet un que je connais trés bien mais qu’est ce que sa hiérarchie a fait on l’a juste fait sortir de la ville le méme jour et l’affecté a Kompiéga et jusqu’a nos jours justice n’a jamais que Dieu console cette famille

  • Le 13 juin 2012 à 14:30, par tièkadiyé En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    Ouvrez l’oeil et le bon. Nous aussi nous ferons ce que nous pouvons, chacun à son niveau. C’est certainement un proche du premier ministre ou du ministre des affaires étrangères, lui-même gendarme. Ils veulent étouffer l’affaire comme bien d’autres impliquant des gendarmes.

    Pourquoi c’est son service qui doit s’occuper de l’enquête ? C’est louche.

  • Le 13 juin 2012 à 14:33 En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    La question qui devrait être posée dans le cas de la mort de Rolande SAMA, est de savoir si M N’DO jouit de toutes ses facultés. Selon les informations que j’ai reçues, il vivait au préalable avec une autre fille qu’il battait à coeur joie. En claire battre une femme est son sport favori. Pourtant à le voir il ne donne pas l’apparence d’être violent, il est calme. Il est de l’intérêt de sa hiérarchie de ne pas chercher à le couvrir, car en agissant ainsi il a sali le corps de la gendarmérie. S’il est vrai qu’il a été aidé par des collègues pour transporter Rolande à l’infirmérie du camp, ces collègues doivent aussi répondre pour leur participation.
    J’ai personnellement vu Rolande sur son lit de mort à l’infirmérie du camp. Lorsque j’ai vu la blessure qu’elle portait sur le visage j’ai posé la question quant à l’origine de cette plaît, c’est la version de sa chute du bans qui m’a été servie. Mais s’il vous plaît tomber d’un banc ne peut pas occasionner une telle blessure.
    Je dis en passant que le jour de l’enterrement de Rolande, toute l’administration était là ; ce n’est pas pour rien !
    Paix à l’âme de Ro comme nous l’appelions affectieusement et que justice soit faite.

  • Le 13 juin 2012 à 14:36 En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    La question qui devrait être posée dans le cas de la mort de Rolande SAMA, est de savoir si M N’DO jouit de toutes ses facultés. Selon les informations que j’ai reçues, il vivait au préalable avec une autre fille qu’il battait à coeur joie. En claire battre une femme est son sport favori. Pourtant à le voir il ne donne pas l’apparence d’être violent, il est calme. Il est de l’intérêt de sa hiérarchie de ne pas chercher à le couvrir, car en agissant ainsi il a sali le corps de la gendarmérie. S’il est vrai qu’il a été aidé par des collègues pour transporter Rolande à l’infirmérie du camp, ces collègues doivent aussi répondre pour leur participation.
    J’ai personnellement vu Rolande sur son lit de mort à l’infirmérie du camp. Lorsque j’ai vu la blessure qu’elle portait sur le visage j’ai posé la question quant à l’origine de cette plaît, c’est la version de sa chute du bans qui m’a été servie. Mais s’il vous plaît tomber d’un banc ne peut pas occasionner une telle blessure.
    Je dis en passant que le jour de l’enterrement de Rolande, toute l’administration était là ; ce n’est pas pour rien !
    Paix à l’âme de Ro comme nous l’appelions affectieusement et que justice soit faite.

  • Le 13 juin 2012 à 14:55, par 100DEFENSE En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    il faut insérer la réussite dans le couple de militaire et l’aptitude au dialogue au sein de ces couples dans le contrat d’objectifs du Général Honoré Nabéré TRAORE

  • Le 13 juin 2012 à 15:16, par assane En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    La police ne doit pas rester les doigts croisés car des coups portés sur Justin par des policiers ils ont été mis au arrêt c’est la même chose cette bastonage a mort de cette policière
    par ce pandore doit être puni le plus rapidement possible pour éviter la révolte du bwaba faites surtout attention a l’eau qui dort SAMA (éléphant)en dioula risque de tout piétiner

  • Le 13 juin 2012 à 15:30, par LeBonk En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    C’est dommage que le pouvoir en place dans le pays des homme intègre en soit encore là, après ce qu’il convient d’appeler les signes précurseurs d’une situation de KO qui ne profitera a personne malheureusement. Je ne peux encore comprendre qu’on soit entrain d’encourager l’impunité dans ce pays là après la grave crise qui n’était autre chose que la soif de justice du peuple burkinabé. Il y a des moments j’en arrive a me demander si ceux qui nous gouverne aiment vraiment ce pays. Pour des faits aussi grave ou il y a mort d’homme et pour le cas de la petite fille de karpala ainsi que ce cas-ci de dedougou il faut que justice soit rendu en toute transparence. Il y a comme une tension sociale en ce moment dans ce pays qui fait peur mais j’ai pas l’impression que ceux qui sont aux affaires en ont la pleine mesure. Rendez justice au peuple, svp si vous avez vous soucier de la préservation de la paix dans notre cher FASO. Les sage d’Afrique n’y feront rien il faut juste de la justice pour tous à quelque niveau que ce soit et vous fera l’économie des grandes rencontre inutiles qui ne sont que du gaspillage de nos revenus ceux du peuple. A bon entendeur...

  • Le 13 juin 2012 à 16:17, par Faso de nous tous En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    Moi je reviens sur ce que je dis sur tous les forums. Il est temps que nos autorités apprennent à communiquer. L’histoire telle que contée laissée supposer que la famille est restée dans le flou alors que c’est son droit de savoir et vite. Pourquoi d’abord évacuer la femme (ou compagne) d’un militaire (le gendarme) dans une infirmerie militaire. A ce que je saches, il n’y a pas de prise en charge spéciale là-bas.
    Que les autorités à tous les niveaux confondus apprennent à dire la VERITE et A TEMPS aux personnes concernées afin d’éviter les suspicions inutiles. Que l’on m’excuse mais les disputes de couples se passent partout et être un gendarme avec un compagne policière ne les en dispense pas. C’est un comportement purement humain. Faso de nous tous, sauvons-le. Sinon les plaintes vont succéder aux plaintes jusqu’à ce que les choses de la république soient irrécupérables.

  • Le 13 juin 2012 à 16:59, par Boukaré En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    Paix à l’âme de la disparue.
    Ceci est une affaire civile et N’Do doit répondre devant la justice sans intervension de sa hiérarchie. Ce sont des moutons noirs comme ces personnes qui salissent le nom des hommes de de ténue.
    Aussi, c’est vrai l’autopsie n’est pas culturellement acceptée dans notre pays, mais dans ces cas de figure, il le faut et les frais doivent être supportés par le responsable des faits.
    Un peu de considération pour la vie humaine. Elle est sacrée.

  • Le 13 juin 2012 à 17:01, par le bon citoyen En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    Bonjour,

    Cette histoire est vraiment bizarre si les faits cités sont réels.
    La famille n’a qu’à chercher un bon avocat qui va suivre cette histoire. Car tout ceux qui l’ont aider feront tout pour que l’histoire capote.

    Et dire qu’il y a toujours des hommes au faso pour jouer à ce jeu dangereux après ce qui s’est passé à Koudougou.

    Les voisins aussi, pourquoi n’avoir contacter la famille plutôt que vous saviez que le monsieur battait la pauvre.

  • Le 13 juin 2012 à 18:35, par BENITO En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    CONSCIENCE DU FASO TU N’A DE CONSCIENCE QUE PAR CE TITRE !ON NE PARLE PAS COMME CA !SI ON ON FOUILLE BIEN UN HOMME DE TENUE T’AS RASE IDIOT QUE TU ES......!

  • Le 13 juin 2012 à 21:25 En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    Einstein disait (je cite) :"SI UN HOMME PEUT EPROUVER UN QUELCONQUE PLAISIR A DEFILER AU SON D’UNE MUSIQUE, JE DETESTE CET HOMME ! IL NE MERITE PAS DE CERVEAU HUMAIN PUISQU’UNE MOELLE EPINIERE LE SATISFAIT" (fin de citation)Méditez !

  • Le 14 juin 2012 à 00:17, par mè mako En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

    Je demande un peu de retenu pour tout ceux qui sont entrain de diriger le problème sur la tenue qui n’a rien à voir avec le comportement de ce jeune.Qui peut nous dire que les violences conjugales sont l’apanages des seuls hommes de tenue. N’Do est est une personne et un justiciable comme les autres. Rien ne peut l’exempter de la punition s’il venait à être reconnu coupable. Arrêtons d’inciter aux représailles car cela n’arrange personne.

    • Le 14 juin 2012 à 22:00 En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

      On peut meme pas ne pas parler de la tenue ici si on veut etre honnete. Il a tue la bonne dame et il a ete aide par deux de ces collegues en tenue pour maquiller la verite, avec des infirmiers en tenue et ne hierarchie en tenue. Donc la tenue est au centre de ce probleme. Si la gendarmerie aussi comence a mentir, c’est grave. Ou est l’ honneur du gendrame que nous respectons tant ?

      • Le 18 juin 2012 à 13:43, par Gustavo En réponse à : Mort d’une policière municipale à Dédougou : Voici les faits selon la famille Sama

        Quelle confiance peut-on donner à des autorités qui naguère symbolisaient la vérité , la justice et qui commencent à monter des scenarii monstrueux de meurtre comme celui-ci ? la tenue est au centre comme la dit un prédécesseur.La gendarmerie a tout intérêt a ne pas couvrir cette brebis galeuse dans ses rangs,sinon elle aussi risque d’être discréditer comme...Si jamais ,si jamais la justice n’est faite c’est tant pis encore pour ces dites autorités !!!!!!

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