Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Lorsque nous étions passés les voir le 3 avril dernier à l’hôpital Chenevier de Créteil, le maire de Ouagadougou, Simon Compaoré et son garde de corps, Bahima Sanou, ne se déplaçaient que sur des chaises roulantes. Cinq semaines plus tard, leur état de santé s’est considérablement amélioré puisqu’ils peuvent à présent aller d’un point à l’autre à l’aide de béquilles. C’est dans une atmosphère plus détendue que celui qui dirige la marie de Ouagadougou depuis 17 ans s’est prêté, sans rechigner, aux questions de Lefaso.net. Interview exclusive !
Plus de deux mois après votre admission à l’hôpital suite à l’accident dont vous et votre collaborateur avez été victimes, comment allez-vous aujourd’hui ?
Dieu merci, les choses évoluent positivement. Nous avons rencontré notre chirurgien, le professeur Hernigou qui a confirmé que la consolidation est vraiment entamée. Il nous avait dans un premier temps donné la possibilité de prendre appui avec le sol à hauteur de 10 à 20 kg et la semaine dernière, nous avons eu une rencontre avec le même chirurgien et il nous a autorisés à appuyer au sol jusqu’à hauteur de 50kg, ce qui est une avancée notable. Nous avons un dernier rendez-vous le 30 mai et on verra la suite, notamment la poursuite de séances de kiné avant d’envisager un éventuel retour.
[NDLR : Le maire souffre surtout du pieds droit, décidemment « maudit », ayant déjà subi de chocs assez violents dans le passé : rupture de ligaments croisés du genou droit lors d’un match contre des Centrafricains quand il était étudiant ; chute sur cette même jambe dans un caniveau à Yako alors qu’il y a fait escale pour prendre un café, puis la descente violente des militaires chez lui l’année dernière au moment des mutineries]
La dernière fois que nous nous étions vus le 3 avril, vous vous déplaciez sur une chaise roulante. Pouvez-vous à présent vous déplacer à l’aide de béquilles ?
Bien sûr, on va au restaurent avec nos béquilles ! (Il demande qu’on les lui apporte et fait un tour dans la chambre. Son garde de corps en fait autant).
On peut donc penser à un retour au pays pour bientôt ?
Oh, doucement ! Je vous donne les dates qui m’ont été communiquées, le rendez-vous le 30 mai avec le chirurgien. En fonction des résultats de nouvelles radiographies qui seront effectuées, il appréciera le niveau de la consolidation afin de nous donner éventuellement l’accord pour l’appui total, c’est-à-dire le contact avec le sol. Après, il faudra apprendre à marcher en équilibre avec une béquille. Mon collaborateur et moi avons le même niveau de guérison puisque les docteurs ont décidé de nous libérer le jeudi 24 mai. Nous irons loger en ville et nous verrons avec la société qui s’occupe de nous comment assurer les soins de kiné en externe.
Il semble que vous avez reçu beaucoup de visites depuis votre hospitalisation. Est-ce vrai et si oui, cela vous surprend t-il ?
C’est vrai, beaucoup de gens sont venus et continuent de venir nous voir et sincèrement, je suis surpris par le nombre de personnes que nous ne connaissons qui passent nous voir, tout simplement parce qu’ils ont eu l’information sur Internet. Il y a les travailleurs burkinabè en France, de tout âge, étudiants, musiciens, sportifs, etc., qui passent s’enquérir de notre état de santé alors que nous n’avons pas de rapports avec eux avant. Et je suis agréablement surpris par cet élan de fraternité de nos compatriotes et même de ceux qui ne sont pas du Burkina.
Vous êtes toujours le maire de Ouagadougou, comment se passe l’intérim et les préparatifs pour les prochaines élections couplées en décembre prochain ?
Je suis en contact régulier avec l’équipe de la mairie et les choses se passent bien. Quant aux préparatifs pour les prochaines élections, vous savez que pour l’essentiel, c’est la CENI et l’Etat qui s’en occupent. Ce qui peut concerner la mairie de Ouagadougou, c’est le fait qu’avec la création de nouveaux arrondissements, on doit faire un recensement de la population et construire les sites sur les douze arrondissements. C’est notre principale préoccupation, sinon l’organisation des élections ne relève pas de notre ressort. Il nous faut bien sûr participer à l’information et la sensibilisation quand la CENI va lancer l’enrôlement de la population et s’il y a des instructions de l’Etat, nous allons les appliquer comme nous l’avons toujours fait.
Vous avez annoncé depuis longtemps que vous ne serez pas candidat à votre succession. Mais vous avez un dauphin ?
Ecoutez, ce n’est pas un sujet qui me préoccupe actuellement. Je suis à l’hôpital et mon souci est d’en sortir, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, les parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat. Et puis, quand vous parlez de dauphin, je pense que vous ignorez le système qui prévaut au Burkina. Ce sont les partis politiques qui font leurs listes, s’engagent dans la compétition et non quelqu’un qui estime qu’il est posé et dit voilà, c’est untel qui va me remplacer. Non, ça ne se passe pas comme ça, en tout cas, ça ne se passe pas comme ça au Burkina et je pense que vous êtes à côté de la plaque !
Vous êtes une figure importante du CDP et vu la fonction que vous assumez à la mairie, voulez-vous faire croire que vous n’avez rien à dire sur l’identité de celui qui vous pourrait vous succéder ?
Non, vous vous trompez. Au niveau de la mairie, je suis toujours le maire et l’organisation relève en premier chef de moi pour le travail pour lequel nous avons été mandatés. Mais pour le reste, c’est des supputations et on raconte beaucoup de chose parce que, quand on n’est pas dedans, on ne sait pas exactement comment ça se passe. Ce n’est pas une seule personne qui s’assoit et dit : voilà les gens qu’il faut élire ! Dans le parti où je milite, il y a un processus qui est connu des militants et des structures et c’est en fonction de tous ces éléments que la stratégie est établie.
Ensuite, vous savez que chez nous, on élit d’abord les conseillers municipaux et après, on élit les maires, donc on ne peut pas à l’avance dire à la population, c’est untel qui va être le maire ! Tout ce que je peux dire à nouveau de façon claire, c’est que je ne serai pas candidat à ma succession.
Avez-vous le sentiment du travail bien, d’avoir donné le meilleur de vous-même pour résoudre les problèmes des Ouagalais ?
Oh, écoutez, là, vous voulez me soutirer ce que j’ai sur le cœur et que je vais pouvoir le dire au moment de mon départ ! Si je dis tout ça maintenant, je n’aurai plus rien à dire. J’ai fait trois mandats successifs, ça fait 15 ans, plus deux ans de prolongations pour des raisons indépendantes de notre volonté, donc j’aurais fait au total 17 ans à la tête de la ville de Ouaga. J’ai pu faire ce qui était possible de faire à mon niveau avec mon équipe et je pense que trois mandats à ce niveau de responsabilité, c’est largement suffisant. Vous avez vu la dynamique avec laquelle nous avons géré les choses durant ces années ; aujourd’hui je ne peux plus avoir la même énergie et dans ces conditions, c’est bon de passer le relais à ceux qui en ont pour continuer le travail
Vous rentriez du congrès de votre parti quand l’accident a eu lieu. Avez-vous encore un souvenir sur le déroulement de l’accident ? Comment ça s’est passé ?
Non, je n’ai aucun souvenir et je ne veux même pas en parler parce que c’est traumatisant pour nous. C’est sur internet que j’ai vu la photo du véhicule dans lequel nous nous trouvions, et j’ai remercié Dieu de nous avoir tirés d’affaire. Parce que jusque là, c’est un mystère, c’est l’intervention de Dieu, sinon, nous serions morts, tellement l’endroit était dangereux, le choc terrible et l’état du véhicule montre que c’est vraiment un miracle.
Il s’est tenu récemment un forum sur la sécurité routière au Burkina. Beaucoup de gens ne respectent pas les règles de la circulation. C’est un sujet qui vous préoccupe ?
Bien évidemment ! Tous ceux qui sont à Ouagadougou savent qu’il ne se passe pas un jour où je n’interviens pas soit seul, soit avec mes hommes de la police municipale sur cette question de sécurité routière. Il y a des efforts qui ont été faits en augmentant le nombre de feux tricolores implantés aujourd’hui au niveau des carrefours dangereux de la ville, des panneaux de stop, des voies ont été bitumées, etc., et s’il y avait eu un accompagnement de la part de l’ensemble des citoyens, on aurait pu limiter sensiblement les dégâts que nous constatons sur les routes.
Mais malheureusement, il y a encore beaucoup à faire au niveau de la sensibilisation aussi bien chez les jeunes et les moins jeunes parce qu’il y a un laisser aller dans le respect des feux tricolores : excès de vitesse, non respect des règles du code de la route et tout cela est préjudiciable dans une ville qui est passée, et il faut le savoir, de 60 000 habitants en 1960 à 2 millions aujourd’hui. Ce n’est donc plus une petite bourgade, le parc automobile a augmenté de façon sensible, les deux roues également, les tricycles sont venus s’ajouter et tout cela complique excessivement le trafic au niveau de la ville. Si on ne respecte pas la réglementation, on complique davantage la situation.
Vous m’offrez l’occasion de féliciter l’état central et la commune pour les efforts qui sont faits pour faire prendre conscience sur le fait qu’on va vers droit au mur si les gens ne respectent pas le code de la route d’une manière générale et dans la ville de Ouagadougou en particulier
On dit souvent que l’on apprécie mieux la valeur d’une chose quand on l’a perdue. Quel message avez-vous à l’endroit de ceux qui sont en bonne santé et qui ne respectent pas le code de la route ?
Vous avez raison ! Si beaucoup de nos concitoyens qui ne respectent pas les feux tricolores, les sens interdits, la limitation de vitesse, etc., pouvaient être là, dans cet hôpital et voir comment souffrent les malades, nous qui sommes là, je crois qu’ils allaient immédiatement changer de comportement. Mais, déjà plus près de nous à Ouagadougou, il suffit de faire un tour à l’hôpital Yalgado pour voir la situation des accidentés de la route et se convaincre qu’il y a véritablement un mouvement que nous devons enclencher à propos du respect du code de la route. Il faut que nos concitoyens vivant dans notre ville et tous ceux qui y viennent puissent se rappeler à tout moment que le respect des règles de la circulation est quelque chose d’extrêmement important pour leur propre vie et pour celle d’autrui
Un dernier mot pour conclure ?
Je voudrais témoigner toute notre reconnaissance à tous ceux qui sont passés nous voir, ministres, présidents d’institutions, hautes personnalités, gens anonymes, journalistes, car tout cela a été pour quelque chose dans notre guérison qui est en voie de l’être totalement. Je dis merci à nos amis et camarades de Paris qui se sont mobilisés pour nous apporter le soutien ; merci à nos parents en France et au Burkina, à la population de Ouagadougou pour les messages qu’elle nous envoie car je suis convaincu que ça nous aidés à nous remettre en jambe. Et puis, il faut dire que nous sommes surtout très reconnaissants au Tout-Puissant, à Dieu qui nous a gardé la vie et nous a assistés dans cette période extrêmement difficile.
Etes-vous vraiment croyant ou est-ce une foi conjoncturelle ?
Je vous rappelle que je suis un fils de Pasteur ; dans l’absolu ça ne veut rien dire, mais depuis ma naissance j’évolue dans ce milieu et ma foi n’est pas circonstancielle. Si vous êtes à Ouagadougou et suivez mes messages, vous sauriez que ce n’est pas conjoncturel. Cet accident a été encore une fois de plus une occasion de tester la grandeur, la bonté de Dieu envers ceux qu’il a créés parce que je n’en reviens toujours pas de ce qui nous est arrivé. C’était une occasion de disparaitre sur terre, donc pourquoi, vous ne me permettrez pas de crier haut et fort : merci Dieu !
Interview réalisée par Joachim Vokouma
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 21 mai 2012 à 12:12, par Tapsoba En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Prompt rétablissement et bon retour au bercail même s’il est évident que cela prendra encore du temps.
2. Le 21 mai 2012 à 12:31, par nombamba En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Même sur le lit, il pense à son "naam" puisqu’il parle d’achever son mandant.Oh pouvoir quand tu nous tiens ! Mais avant tout prompt retablissement à lui !
Le 22 mai 2012 à 15:47, par FA§HION En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Cher ami, il a parlé en priorité de retrouver ses amis, ses parents, ses concitoyens... c’est le "naam" que t’as vu ? faut laisser notre Simon en paix. Fais un tour à Bobo-Dioulasso et tu remercieras le ciel d’avoir fait Simon maire.
Le 23 mai 2012 à 12:39, par Burkina beni En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Commencons à voir les choses du bon coté !
Dans tout ce qu’il a vécu et vit, dans tout ce qu’il a dit tu n’as pas vu autre chose que son naame ?????
Souvent je suis tenté de me poser cette question : pourquoi la plus part des burkinané sont si si mesquins et si méchants ????
Que DIEU nous sauve et nous délivre de cette mentalité diaboliquement ridicule...
3. Le 21 mai 2012 à 12:31, par Chou En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Meilleure santé à vous et revenez nous très vite.
Le 21 mai 2012 à 15:16, par fissoni En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Bon retablissement
Au moins vous, vous pouvez vous faire évacuer dans les grands pays et vous faire soigner.
Si c’était mon vieux ou un citoyen lamba ,il serait déja sous un mètre de terre.
Vous qui êtes au pouvoir et qui aviez la chance de voir les grands hopitaux pourquoi ne pas faire le maximum dans vos propres pays et bénéficer de ces mêmes prestations de qualité et ne plus se faire évacuez ? Peut être nous autres pourrions bénéficier aussi
Le 23 mai 2012 à 16:57, par BOUGMA En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Cher frère,
si tu n’enterre pas cette mentalité tu ne grandiras pas. Il faut reconnaître la valeur de l’autre et prier pour les autres et Allah t’aidera. Qui prie pour les autres prie pour soi même
4. Le 21 mai 2012 à 12:35, par L’Autre Africain En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Meilleure santé au "garçon teigneux". En plus d’être tenace, je remarque que vous aussi de la chance. Que la force soit avec vous.
5. Le 21 mai 2012 à 12:42, par BELMOUS En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Prompte retablissement à vous Monsieur le Maire. Vivement que vous et votre collaborateur revieniez au pays.
6. Le 21 mai 2012 à 12:46, par Le revenant En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Il est important que le gouvernement Burkinabé améliore l’état de nos hôpitaux. Il est inconcevable que l’argent du contribuable serve à coup de millions à soigner une catégorie de nos citoyen quelques soit leur rang.
Des millions de Burkinabé meurent banalement tout les jours faute de moyens matériels ou technique.
7. Le 21 mai 2012 à 12:50, par Yaneko En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Vivement que ce grand Mr nous revienne sain et sauf. Il aurait été président du Faso et le Burkina serait réellement un pays émergent ; de part sa rigueur dans le travail et son courage.
Meilleure santé man ;We’re waitting for you at Ouaga.
Le 21 mai 2012 à 17:52, par Le WINNIEN En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
C’est vrai que pour un certain humanisme, on pourrait être animé d’un fort sentiment de compassion et de pitié mais pas pour autant "délirer" jusqu’à dire qu’il pouvait devenir Président du Faso. Je reconnais que c’est un brave garçon un point c’est tout. D’ailleurs qui va payer ses frais d’hôpital ? Si c’est notre budget, je propose qu’on le ramène à Yalgado, il y a de meilleurs médecins aussi. Là, si on a un peu de chance, à sa sortie, il va comprendre qu’il existe bien et bel deux mondes au Faso.
Sinon, je lui souhaite prompte santé.
Le 23 mai 2012 à 14:21 En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Parfaitement d’accord avec ce commentaire sensé !!!
Je partage exactement ce point de vue ! Mis à part la compassion que l’on doit avoir face à l’acharnement du sort sur quelqu’un, il ne faut pas aussi oublier qui est celui qui se prétend "fils de pasteur" !!!!!
Meilleure santé à lui !
Le 23 mai 2012 à 17:11, par BOUGMA En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
si tu souhaitais prompte santé tu n’allais pas parler de la sorte. Tu es en retard de parler de yalgado. Le Mr que tu parles s’est investi dans la santé il ya tès longtemps : bucco dentaire, csps, ambulances, maternités et yalgado dont tu parles. As-tu déjà donné une compresse à un csps ? Si tu ne l’as encore pas fait donne l’exemple au lieu de parler ainsi.
8. Le 21 mai 2012 à 13:08, par Chouchou En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Prompt rétablissement à vous tonton et courage à tantie et à toute la famille. Je suis d’accord avec vous Monsieur le maire c’est la grâce infinie de Dieu et Dieu vous prouve ce que sa bouche à dit, sa main l’accomplie. Demeure ferme en lui et lui demeurera en vous.
Dieu vous bénisse
Le 21 mai 2012 à 14:12 En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
De quelle Grâce divine parlez vous ? il fallait qu’il reste au burkina comme tout burkinabé lambda qui reste au burkina lorsqu’il fait un accident et qui est soigné par nos médecins qui ont peu ou pas de matériels. mon cousin après un accident moins grave que ça a perdu la vie pendant que nous tentions d’obtenir son évacuation. serait-ce selon vous parce que Dieu n’étais pas avec lui ? que nada c’est parce que nous ne faisons pas partie de de la classe des manitous de ce pays ; ceux qu’on évacue en une fraction de seconde et qu’on soigne à partir de nos impôts.
Le 21 mai 2012 à 14:35, par Dabi En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
je me rejouie de savoir que la santé du maire s’ameliore. Prompte retablissement à Monsieur le Maire. Seulement moi personnellement je regrette votre depart de la Mairie de Ouagadougou. je ne suis pas CDP mais au minicipale je votais CDP à cause de Sinon !!! Mr le maire vous aviez fait du bon boulot pendt vos trois mandats. Que la paix de Dieu soit avec vous.
9. Le 21 mai 2012 à 13:42 En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Meilleure santé à M. le Maire et à son collaborateur. Sachez seulement M. le Maire que vous laisserez un lourd héritage que portera difficillement votre successeur qui s’entendra toujours dire la fameuse phrase élogieuse à votre endroit : Au temps de Simon ou si Simon était là ! Bref tu manqueras à tous, amis comme détracteurs blottis qui n’arrêteront pas de vous consulter pour diriger cette ville où l’incivisme est à son paroxysme. Oui M.le Maire : DIEU MERCI POUR TOUTE CHOSE QU’IL VOUS PERMET DE VIVRE !
10. Le 21 mai 2012 à 14:05, par Dima En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Merci de nous donner des nouvelles du Maire Central de Ouagadougou. A propos de projets, on remarque qu’en temps qu’économiste, il n’a pas pu contribuer à un niveau ministériel.
Simon ! nous prions pour ton retour. Ne raccroche pas les gants car ton entourage a aussi reçu des coups qui ont meurtri leurs corps et leurs coeurs.
11. Le 21 mai 2012 à 14:25, par Milas En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Que l’Éternel tout puissant soit loué. Bon retour M. Le maire. j’ aimerai que vous donniez témoignages sur votre propre personne au niveau des structures de l’église (JAD MHEB/AD) vous aller édifié les fidèles.
12. Le 21 mai 2012 à 14:32, par oued.ar En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
meilleur santé mr simon compaore,se mr est un homme courrageux et il a tjr sa place au bf,meilleur santé aussi a son gard de corp
13. Le 21 mai 2012 à 14:33 En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Je n’aimais pas particulierement Simon que je trouvais vulgaire dans son role mais depuis son accident et la descente barbare chez lui, j’ ai bcp de sympathie pour l’ homme. Mais il est loin d’etre presidentiable. Chacun est bon ou il est et un militaire n’est pas un policier, un policiern’est pas un gendarme et un gendarme n’est pas un GSP. Chacun a le profil psychologique de son emploi et tous on est utile a la nation. Vous connaissez les pratiques en politique de chez nous. Y a bcp de wackage quand ce n’est pas le wanckage pur , dur et dru. Surement qu’ un des siens a voulu le trucider mais Dieu en a dispose autrement. Mais Simon est ne dans une atmosphere de foi ? Qu’ il me permette de douter de cette assertion avec ses declarations, comportements et propos a lui attribues lors de l’assassinat de notre regrette Norbert Zongo. Si c’est en partie vrai, c’est que le karma existe et que personne ne l’ emportera au paradis.
Bone guerison, mon Maire. Tu as marque l’ histire de la mairie dans ce pays.
14. Le 21 mai 2012 à 16:15, par Adson En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Nous sommes très heureux de savoir que vous retrouvez peu à peu la santé. Et nous remercions Dieu de vous protéger une fois de plus après ce que vous avez subi en 2011. Notre cher Simon aime son pays mais pas le pouvoir comme le prétendent certains. En lui brule la passion du travail bien fait, la constance dans l’effort et la fidélité dans ses engagements.
Ceux qui aiment le pouvoir laissent les autres travailler mais Simon a toujours donné l’exemplarité de l’engagement et du dévouement citoyens. ceux qui aiment le NAAM ne gâchent pas leur sommeil royal pour être au bureau à 4h30 du matin une quinzaine d’années durant nonobstant les multiples responsabilités sociales, politiques, professionnelles et familiales. Ayez au moins l’intégrité morale de reconnaitre aux hommes leurs qualités s’ils en ont au lieu de les emprisonner dans des préjugés. Je salue la solidarité manifestée par les innombrables témoignages de compassion et d’affection exprimés à leurs égard. Simon et Sanou, votre chère Patrie vous attend fièrement. Reviens terminer ton mandat que tu as par ailleurs décidé avec patriotisme de léguer à "ceux qui n’aiment pas le NAAM".
15. Le 21 mai 2012 à 16:32, par gointiè En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Bon rétablissementà vous et à votre collaborateur , grad Simon .Vous faites un excellent travail que j’admire depuis ma ville de Bobo Dioulasso . Tout de Bon ;
16. Le 21 mai 2012 à 17:05, par le Silmiga En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Moi, je suis passé les voir à Paris et, je peux avouer que, j’ai poussé un ouf de soulagement au vu des progrès !J’ai remercié Allah et continue de prier pour la guérison complète de tous les deux !Ceux qui parle en bien de Simon COMPAORé sont en dessous de la vérité et Dieu saura le faire savoir aux Ouagavillois un jour très prochain !Je remercie Dieu de m’avoir donné la chance de travailler quelque temps aux cotés d’un tel "phénomène" et souhaite longue vie à Simon et à mon boobo Sanou la statue !
Le 21 mai 2012 à 23:54 En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Ceux qui parlent en mal de l’ homme sont aussi en dessous de la verite. L’ homme ne laisse pas indifferent. Ila un temperament total, donc loin de la vertu que pronait Aristotle, le juste milieu. Reviens- nous vite Tebguere. Tu nous manques et tes Ouagavillois sont toujours indisciplines en circulation comme en b...
17. Le 22 mai 2012 à 01:02, par Doul En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Prompt retablissement Monsieur le maire
Les compétences il y a n’en au CHU YO,ils peuvent et sont prêts pour offrir des soins high standing pour peu qu’on investisse , s’il vous plaît un peu de compassion pour les "autres" Burkina qui manquent de lit d’hôpital pour mourir de sa maladie, un regard pour les différents patients qui sont débarqués aux urgences traumatologiques de Yalgado sans minimum, une pensée pour améliorer les conditions de travail des ces agents de santé qui tentent d’apporter le soulagement à ceux qui souffre.
Monsieur le maire dès votre retour je vous prie de faire un tour à Yalgado pour comparaison fraîche et..........
Dieu rétribuera à chacun selon ces œuvres.
Le 22 mai 2012 à 08:41 En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Que DIEU donne la santé à Simon. Pour le reste, que sa volonté (DIEU) soit faite !
Aux uns la compassion, aux autres merci ! A tous reconnaissons au maire le travail abattu malgré les insuffisances de tout homme.
Le 23 mai 2012 à 14:42 En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Parfaitement ! Juste quelques questions :
1.Combien coûte une bourse en spécialisation d’un(e) étudiante en médécine par an aux USA par exemple ? Dans le domaine de la neurochirurgie ? Aux frais bien sur de l’Etat
2.Combien coûte le matériel réquis ?
3. Combien coûtera la construction du local ?
4. A côté de cela combien coûte une évacuation sanitaire indivituelle ?
5. Au fait, il y combien d’évacuations sanitaires par an chez nous ?
Et accessoirement réfléchissons sur :
6. Qui finance ces évacuations ?
7. L’avantage d’avoir un ou 2 médécins formés aux frais de l’Etat
8. Le nombre de personnes soignées grâce à ces médecins
9. L’intérêt pour le pays d’une personne évacuée (je m’excuse d’être cynique...), face à celui de médécins compétents actifs ?!!
10. Le coût de l’acquisition de matériel de pointe dans un établissement qui l’est tout autant, face aux frais d’évacuations annuelles !!!!!
11. AU FAIT, COMBIEN Y A T-IL DE NEUROCHIRURGIENS AU BURKINA ???
Tellement de choses à dire dans ce pays qui se veut "émergent", mais où ce sont juste ceux proches du pouvoir qui émergent !!! Si vous voulez que l’on fasse un effort de compréhension, commencez en premier avec des preuves à l’appui !!! Vous êtes là pour nous et non le contraire !
Le 24 mai 2012 à 17:51, par Hamdelkotha ! En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
D’accord sur toute la ligne. Mais il faut qu’on en spécialise à tour de bras, sinon, une fois de retour, ils ruent vers le privé et nous lissent sur le carreaux...de Yalgado !
18. Le 22 mai 2012 à 09:06, par Missiri En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Prompt rétablissement M. le maire. Même si on n’aime pas le lièvre, force est de reconnaître qu’il court très vite. Dieu seul sait que vous avez souhaité, voulu développé cette ville de Ouagadougou. Nous allons regretté votre absence. N’en déplaise à vos détracteurs, "on ne connaît l’importance des fesses que lorsque vient le moment de s’asseoir".
19. Le 22 mai 2012 à 14:55, par Zoungamongo En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Prompt rétablissement à Monsieur le Maire, je crois que ceux qui interviennent sur se site s’ils se disent cultivés doivent se départir de certaines prises de position, le Monsieur se soigne en France, ça fait quoi ? Vous ne savez pas qu’il ya des compagnies d’assurances qui prennent en charge les frais, vous parlez de l’argent du contribuable, comme si vous mêmes êtes à jour de vos taxes et impots. Tout le monde au Burkina ne peut pas se faire soigner en France mais si on mettait tout le budget du pays en jeu, d’accord on doit améliorer nos hopitaux , mais coyez vous que c’est facile ? Vous verrez lorsque changement il y’aura ! Préservons ce que Dieu nous donné !
20. Le 22 mai 2012 à 15:47, par votre soeur En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Oui il est fidèle et est au contrôle de votre vie ! Il achèvera l’oeuvre de guérison commencée car il l’a promis et veille sur sa parole pour l’accomplir.
Rrendez lui continuellement grâce !
Prompt rétablissement à vous Mr le Maire et Mr Sanou !
21. Le 23 mai 2012 à 11:03, par lejeune En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Prompte rétablissement à SIMON le Bourgmestre central de Ouagadougou.
Qu’en est-il du propriétaire de la mercedes avec laquelle l’accident a eu lieu ? Je pose cette question car en lisant l’interview, je crois avoir compris que le véhicule du Maire était en infraction.
Merci !
22. Le 23 mai 2012 à 11:52, par lejeune En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Prompte rétablissement à SIMON le Bourgmestre central de Ouagadougou.
Qu’en est-il du propriétaire de la mercedes avec laquelle l’accident a eu lieu ? Je pose cette question car en lisant l’interview, je crois avoir compris que le véhicule du Maire était en infraction.
Merci !
23. Le 27 mai 2012 à 16:05, par un observateur averti de la politique au faso En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Simon ! Reviens-nous vite et en pleine forme ! Il y a débandade au CDP et tu reste le seul qui pourrait taper du poing sur la table et remettre la locomotive en route ! Ni Roch ni Salif ne peuvent(ensembles ou séparés), avec ou sans le CDP , reprendre la lutte pour les militants de base de la construction du faso ! Tu parleras de ta retraite une fois l’ordre rétabli au CDP et le dauphin de Blaise définitivement désigné et connu ! Si Roch et Salif "se sont si facilement débinés" et ont livrés les militants à l’interrogation sur l’après Blaise, toi tu devrais assurer, comme souvent, et assumer encore une fois, en réglant avec Blaise, François et les autres, cette question fondamentale, dès maintenant et définitivement ! Il ne faut surtout pas observer de loin ce séisme en gestation en te consolant de n’y etre pour rien, mais au contraire, fort de ton désintéressement,rapprocher tous ces camarades et relancer la locomotive ! Bonne guérison et au travail !
24. Le 27 mai 2012 à 16:06 En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
Simon ! Reviens-nous vite et en pleine forme ! Il y a débandade au CDP et tu reste le seul qui pourrait taper du poing sur la table et remettre la locomotive en route ! Ni Roch ni Salif ne peuvent(ensembles ou séparés), avec ou sans le CDP , reprendre la lutte pour les militants de base de la construction du faso ! Tu parleras de ta retraite une fois l’ordre rétabli au CDP et le dauphin de Blaise définitivement désigné et connu ! Si Blaise reste muet et Roch et Salif "se sont si facilement débinés",livrant les militants à l’interrogation sur l’après 2015, toi tu devrais assurer, comme souvent, et assumer encore une fois, en réglant avec Blaise, François, Roch, Salif et tous les autres, cette question fondamentale, dès maintenant et définitivement ! Il ne faut surtout pas observer de loin ce séisme en gestation en te consolant de n’y etre pour rien, mais au contraire, fort de ton désintéressement,rapprocher tous ces camarades et relancer la locomotive ! Bonne guérison et au travail !
25. Le 30 mai 2012 à 00:00, par nykoo En réponse à : Simon Compaoré : « Mon souci actuel est de sortir de l’hôpital, pouvoir marcher, repartir à Ouaga, revoir mes amis, mes parents, mes concitoyens et achever tranquillement mon mandat »
c’est une tres bonne question sur laquelle je rebondis:quand est-il du conducteur de l’autre vehicule en collusion avec celle du maire ? est-il gravement blesser ?ou a t’il ete evacuerlui aussi ? si oui ,a lui comme au maire et a son adjoint,je souhaite un bon retablissement.