Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
Au début des années 1990, Ouaga murmure qu’Alizèta Ouédraogo est une femme riche. Elle est la propriétaire et la patronne du groupe Tan-Aliz qui contrôle le secteur des cuirs et peaux au Burkina Faso. Le mariage de sa fille avec le frère cadet du chef de l’Etat (cf. LDD Spécial Week-End 0519/Samedi 31 décembre 2011-dimanche 1er janvier 2012) va faire d’elle, désormais une femme puissante.
Alizèta Ouédraogo, présidente de la Chambre de commerce et d’industrie du Burkina Faso, va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
Quand la Société de construction et de gestion immobilière du Burkina Faso (Socogib) va être privatisée, elle va s’en porter acquéreur. La Socogib, née au temps de la « révolution », en octobre 1984, de l’absorption de la Société de promotion et de gestion immobilière (Soprogim) par la Société immobilière de la Volta (SIV), assurait la construction de logements pour la location simple et la location vente ou la vente au comptant, ainsi que la gestion et la maintenance immobilière ; elle employait une quarantaine de personnes. La libéralisation de l’économie va lui donner un coup de fouet. Nouveaux produits, nouveaux chantiers à Ouaga comme en province.
En octobre 1997, Alizèta Ouédraogo va fonder Aziz Immobilier SA (Azimmo), une société de promotion immobilière. Logiquement, Alizèta Ouédraogo va s’intéresser au BTP et créera la Société africaine de construction de barrages, d’aménagements hydroagricoles et de travaux publics (SACBA/TP) qui va surfer sur les chantiers qui s’érigent un peu partout au Burkina Faso.
On dit d’elle, aujourd’hui, qu’elle est la femme la plus riche du Burkina Faso. Et le fait d’être devenue « la belle-mère nationale » ajoute à sa légende. La voilà désormais patronne de la Chambre de commerce et d’industrie du Burkina Faso, à la tête d’un budget de fonctionnement et d’investissement de plus de 14,28 milliards de francs CFA. Au passage, notons que c’est la première fois qu’une femme accède à cette responsabilité au Burkina Faso et, qu’à ma connaissance, c’est également une première en Afrique noire francophone. Elle est aussi membre du Conseil présidentiel pour l’investissement (CPI), dont le secrétaire permanent est Djibrina Barry. Elle y côtoie non seulement le chef de l’Etat mais les têtes d’affiche du monde burkinabè des affaires, des industriels, des banquiers, des entrepreneurs… des personnalités « mondiales » : Paul Derreumaux, Abdeslam Ahizoune, Larry Phillips, Alain Viry, Nicolas Zelensky, Pascal Marquis, Vincent Bolloré, Maurice Lam, Cheick Modibo Diarra, Emilienne Macaulay, Jean-Louis Vinciguerra, Takeshi Nagamoto…
Autant d’occasions, pour Alizèta Ouédraogo, de se retrouver sur le devant de la scène. Et, du même coup, de placer sous la loupe médiatique la politique sociale de la « patronne » qu’elle est avant d’être « la » personnalité politico-sociale majeure du Burkina Faso. Les travailleurs de Tan-Aliz parviennent ainsi à mieux « vendre » leurs grèves comme ils l’ont fait en septembre 2011 pour « exiger des autorités de la société Tan-Aliz le respect des engagements vis-à-vis de la loi et la satisfaction de la plateforme revendicative adressée à la direction depuis 2003 ». Présidente de la Chambre de commerce, la voilà bien plus encore sous les projecteurs ; ce qui ne semble pas vraiment lui convenir, la communication n’étant pas sa « tasse de thé ».
Jusqu’à présent dans l’ombre du monde des affaires et du monde politique, Alizèta Ouédraogo va se trouver, désormais, bien plus exposée. Certes, de 1995 à 2010, son prédécesseur, Oumarou Kanazoé, n’avait pas été un champion de la communication. Sauf que le contexte n’est plus le même et que la « considération » qui s’attachait au vieil homme de Yako ne sera pas nécessairement de mise à l’égard de « Gando », qui a fait sa fortune dans une activité industrielle particulièrement polluante, ce qui n’arrange pas son relationnel avec les populations des alentours. Et puis, il y aura de plus en plus de curiosité à l’égard d’une présidente qui devra avoir une disponibilité médiatique qui n’était pas nécessairement celle d’une vice-présidente. Il y a surtout que le retour de la Côte d’Ivoire sur la scène sous-régionale est l’occasion de relancer, économiquement, l’axe Abidjan-Ouaga qui a été, historiquement, d’une façon ou d’une autre, le fondement de la croissance économique de l’un et du développement social de l’autre.
Lors du forum économique qui, les 17-18 novembre 2011, a réuni à Ouaga des hommes d’affaires des deux pays, Alizèta Ouédraogo a plaidé en faveur de la consolidation des relations de coopération entre les entrepreneurs burkinabè et ivoiriens. « Je suis convaincue, a-t-elle déclaré, que, grâce à la paix et à la sérénité retrouvées en Côte d’Ivoire, le dynamisme des entreprises ainsi que la volonté politique affichée de part et d’autre, les relations entre nos deux pays vont s’intensifier et se conforter, tant les opportunités d’affaires encore inexploitées existent ».
Des propos très à… propos : dans moins de huit semaines, les 23-24 février 2011, la Chambre de commerce et d’industrie du Burkina Faso organisera à Ouagadougou la deuxième édition d’Africallia, forum de promotion de l’initiative économique privée dans l’espace Cédéao. La première édition de cette manifestation s’est tenue les 20-21 mai 2010 (cf. LDD Burkina Faso 0228/Lundi 19 juillet 2010) après un temps de préparation très court et dans un contexte régional difficile mais avec des résultats satisfaisants. Africallia 2012 va être un bon indicateur de la volonté des Ivoiriens d’associer les Burkinabè à la relance de l’activité économique de leur pays dans le cadre d’un partenariat entrepreneurial. 400 PME-PMI sont attendues à cette occasion.
Ce sera aussi l’occasion pour Alizèta Ouédraogo de faire la démonstration, en vraie grandeur, que son élection à la tête de la chambre de commerce ne relève pas d’un quelconque calcul politico-économique jouant sur sa proximité avec le chef de l’Etat (même si c’est une donnée incontournable) mais qu’elle correspond non seulement à une compétence - qui n’est pas que managériale - mais aussi à une stratégie de promotion des activités économiques burkinabè.
Une femme a la tête d’une chambre de commerce, c’est une chose rare* ! La Chambre de commerce et d’industrie du Burkina Faso est un univers d’entrepreneurs au sein duquel les femmes chefs d’entreprise sont nécessairement sous-représentées. Que l’une d’entre elles, qui, par ailleurs, vient de l’industrie et non pas des services, soit élue présidente est un événement. Encore, convient-il de montrer qu’il ne s’agit pas là d’une élection de complaisance mais qu’elle relève, aussi, de la compétence. On attend donc d’Alizèta Ouédraogo qu’elle ne soit pas qu’une « image de marque », que l’expression de la connexion, au Burkina Faso, du monde des affaires avec le monde politique, mais qu’elle donne une impulsion nouvelle à une institution qui est appelée à jouer un rôle majeur dans la relance de la croissance, l’emploi des jeunes, la qualification des cadres, la reconnaissance des diplômes… mais aussi l’intégration régionale qui s’articule, incontestablement, autour de l’axe Abidjan-Ouaga. L’occasion pour ces deux capitales d’effacer dix longues années de défiance économique réciproque.
* En France, Yvonne-Edmond Foinant, fondatrice de l’Association des femmes chefs d’entreprises françaises et première présidente de l’association mondiale Femmes chefs d’entreprises, gérante de 1924 à 1957 puis PDG à compter de 1958 de l’Entreprise Savarin et Foinant, vice-présidente du Syndicat de l’outillage à main, présidente de la Section des clés de serrage à ouverture fixe, a dû attendre 1946 pour devenir la première femme entrepreneur admise à la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Paris.
Jean-Pierre BEJOT
La Dépêche Diplomatique
Vos commentaires
1. Le 4 janvier 2012 à 17:49 En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
Heeee, laissez la tres jolie femme la tranquile. Sinon Tahere va tuer un cadavre. Gando peut tu m’envoyer ta photo ?
Le 4 janvier 2012 à 19:12 En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
Tu as su trè_s bien le dire. Gando n’est pas seulement riche mais elle est aussi une très belle femme à la tête bien pleine. Courage Madame Ouédraogo et retient seulement mon conseil : Demeure humble et disponible pour la presse et l’ensemble des autres acteurs de la vie nationale. Tu verras que tu réussiras là où tes prédécesseurs ont peut être échoué.
NB : N’oublie pas de nous envoyer tous ta photo.
Le 4 janvier 2012 à 19:12 En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
euhhhhh....si elle t’intéresse,tu peux imprimer sa photo qui est là si et comme ça,tu dormiras avec sa photo à coté de toi avec tes 10 doigts bien savonnés
merde à toi
2. Le 4 janvier 2012 à 19:08, par article 37 En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
Ok, on est d’accord pour la laisser tranquille. mais je me demande où elle était passé pendant la crise militaire. je vous avoue que ce poste n’était pas opportun. Tout le monde sait ce qui se dit d’elle en bien comme en mal.
Depuis que le Burkina est Burkina tout le monde dit que les entreprises de cette dames n’observent pas le moindre civisme fiscal.
Entreprise de bâtiment qui livre des moustiquaires qu’on a jamais vu. Entreprise de BTP qui ne finit jamais ses chantiers à bonne date.
je crois que c’est une erreur de stratégie de lui offrir un tel poste à la succession de El Adj Oumarou KANAZOE
3. Le 4 janvier 2012 à 19:40, par Bèb-Riîmbda En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
J´adresse toutes mes félicitations à la belle « belle mère nationale » pour avoir été nommée, euh pardon, pour avoir été élue à la direction de la chambre de Commerce… Puisse Dieu tout puissant l´aider dans ses innombrables tâches pour le bonheur du président du Faso- paix et bénédiction sur lui- et de son « ingrat peuple ».
Oh seigneur bénis ceux qui l´ont nommée. Donne du courage à ceux qui l´ont choisie. Suspend les connections internet de tous ceux qui s´opposent à cette nomination et qui le manifestent dans le faso.net. Quant á tous ceux qui utilisent ce Forum pour se moquer de notre belle « belle mère nationale -paix et bénédiction sur elle » et notre bien aimé président du Faso- honneur et Gloire éternelle sur lui- coupe définitivement et pour toujours leurs connections internet. Amen
Bèb-Riîmbda
Le 4 janvier 2012 à 20:32, par Roland Parfait Esaie OUEDRAOGO En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
A bèb Rimbda, il est très indécent d’exposer publiquement sa veulerie et ses limites intellectes dans des forums de ce genre. Toi et ta belle mère ne sont pas une référence pour lesquels on doit jalouser. Ce sont ces différentes décrépitudes mentales et intellectes qui sont les freins objectifs à la pensée plurielle, gage d’enracinement de la démocratie dans les pays du sud.
Le 4 janvier 2012 à 21:22, par Bèb-Riîmbda En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
Monsieur Roland Parfait Esaie OUEDRAOGO, Dieu seul sait qui de nous est un intellectuel. Relisez bien le message et vous comprendrez pourquoi ! Vous n´êtes ni intelligent ni cultivé ! Vous êtes tout simplement un « idiot ». Les lecteurs de ce forum diront qui de nous est intelligent ! Lisez par projection, ne lisez pas de façon crue et vulgaire. Puisque vous pensez être un intellectuel, alors lisez vraiment comme un intellectuel. Hé bien moi j´ai un BAC + 07. Je ne me considère pas encore comme un intellectuel. Je suis entrain d´évoluer vers l´intellectuel ! Analysez, ne prenez pas seulement les mots tels qu´ils sont écrits. Monsieur, réapprenez le français ! Tout mot selon la circonstance dans laquelle il est utilisé porte un message ! Apparemment vous n´avez pas vu le message ! Retournez á l´école Monsieur ! Bonne année et à très bientôt cher Monsieur Monsieur Roland Parfait Esaie OUEDRAOGO
PS. La prochaine fois, soyez aimable en écrivant correctement mon nom !"Bèb-Riîmbda"
Le 5 janvier 2012 à 14:40, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
Hé toi-là Roland a raison ! Tu es un macaque pour faire un tel applaventrisme ! Basta et honte à toi ! !
Par Kôrô Yamyélé
Le 5 janvier 2012 à 15:45, par L’autre Yiirmoaga En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
Je crois que vous n’avez pas compris le style de M.Bêbrimbda.Il est de notre camp,donc pas de panique M.Esaie.Il fait de l’ironie dans son ecrit
Le 4 janvier 2012 à 21:50, par sadouy En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
merci mon frère mai tu ne Dois pas être contre eus qui on parle de mal de quoi de la no pasque dieu lui sai ok ti a fait des bonne bénédiction mai a la fin tus a tous gatte je suis pas dieu mai pas juste
4. Le 5 janvier 2012 à 00:52, par Amelde En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
L’article fait plutôt une apologie de Gando ; je ne vois rien de pertinent pour le "boost de la relation économique avec la Côte d’Ivoire" ! Ou le titre est de la rédaction ?
Mais Monsieur Jean nous a habitué avec ces farces que ça ne me surprendrais guère qu’il confonde boost de nos relations économiques avec louange de la belle mère nationale ! Ils sont de plus en plus plein dans nos palais ces blancs, qui se disent éminemment connaisseurs en tout même plus connaisseur du pays que les résidents, à flatter les égos de nos princes et à les faire prendre des décisions aussi insensées les unes que les autres. Monsieur m’expliquera sûrement que les liens qui existent entre la CI et le Faso font que l’un ne peut pas avancer sans l’autre et patati patata ... en réalité il s’agit ni plus ni moins de l’un de ces préfets de la françafrique sensés "conseiller" nos princes à prendre les décisions qui n’honorent que les intérêts de capitaux français.
Je redis ici qu’en aucun cas nous ne devrons privilégier l’axe Ouaga-Abidjan si nous ne trouvons pas notre compte. Mieux il faut envisager d’autres corridors comme celui ghanéen.
5. Le 5 janvier 2012 à 06:42, par lintègre En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
Mr Bèb-Riîmbda, il faut comprendre le Mr Roland Parfait Esaie OUEDRAOGO, il ne sait pas lire entre les lignes et ne comprend pas le style avec le quel vous avez écrit, sinon vous parlez en réalité le même langage, vous êtes du même camp !
6. Le 5 janvier 2012 à 14:11, par Détrakeur En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
mais elle est trés jolie !
7. Le 5 janvier 2012 à 14:15, par Malick En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
Personnellement, je trouve que la nommination (qui a parlé d’élection) de Gando est un mauvais signal. El Hadj Kanazoé avait ceci de particulier que, sans être un saint, sa fortune avait et a un historique. Et l’homme était d’une modestie certaine, ce qui lui donnait un ascendant moral sur bon nombre de Burkinabè.
Gando n’aurait pas eu une relation particulière avec Blaise Compaoré, elle n’aurait pas été la belle mère de François compaoré que sa fortune actuelle n’aurait pu être constituée.
Des coup de pouce et indécents, elle en a eu. Avez vous oublié les "faveur" du ministre Kafando dans les années 93 ? Avez vous oubliez ces menaces de morts contre le journaliste Yacouba Ouédraogo qui avait osez écrire "Le ministre Benoit Ouattara complote pour la belle mère nationale" ? Cet ex ministre préparait des exonérations pour Gando, en violation de toutes les lois du pays. L’article du journaliste avait fait capoté le projet.
Je dis NON, même si ma voix ne porte pas. Il faut, à la tête de nos institutions, des hommes et femmes qui ont un sens de l’Honneur, pas des honneurs.
8. Le 5 janvier 2012 à 15:56, par kdo En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
Je voyais plus un homme comme Lacina Diawara à la tête de la chambre de commerce. Il à plus le profil.
9. Le 5 janvier 2012 à 16:39, par Tigré En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
le pouvoir croit que la crise est fini ou quoi ?arretez d’enerver les gens.il n’ya pas quelqu’un d’autre qui puisse gerer la Chambre de commerce a part cette dame qui a deja fait ses preuves dans tous les domaines d’imcompetence.je me demande si ce gouvernement aime ce pays.regardé un peu partout dans la sous region ;ce sont de vraix intllo qui gere et defende les interets des commercants.un petit conseil Mme alizeta que j’ai eu a rencontrer une fois,il faut vous ressaisir car cela aidera, peut etre vous et votre famille un jour.vous vous enfoncé sans le savoir.tout n’est pas que argent et pouvoir.
10. Le 5 janvier 2012 à 18:09 En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
la jeunnesse voit tout votre jeu........!! Un jour ca va finir.... Inchallah
11. Le 5 janvier 2012 à 18:37, par Jeune Garcon En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
La vérité est bonne à dire hein, franchement c’est une jolie femme. Comment je peux entrer en contact avec elle ? J’espère qu’elle n’est pas mariée !! En tout cas je chaos.
12. Le 5 janvier 2012 à 19:45, par futurr En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
C’est très grave !
Le 6 janvier 2012 à 15:32, par Sid bala En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
Je vais la faire porter une burqa ! un point c’est tout ! Attention à vous hein !?
13. Le 7 février 2012 à 14:58 En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
Félicitations et bon courage à elle !!!
14. Le 20 novembre 2012 à 13:04, par emmanou225 En réponse à : Chambre de commerce du Burkina : Alizèta Ouédraogo va devoir booster la relation économique avec la Côte d’Ivoire (2/2)
Vous êtes un vrai model je désir vous voir un jour c mon rêve depuis Abidjan
Brave femme courage et vas y encore plus loing