le rapport du comité technique bipartite de suivi des résultats des rencontres Gouvernement/Syndicats ; les réponses du Gouvernement à la plate-forme revendicative du 1er mai 2011. A l’appui de cette présentation, une importante documentation portant notamment sur les réponses et propositions du gouvernement a été remise a la délégation syndicale. Sur proposition des syndicats, les deux parties ont convenu d’une suspension d’une dizaine de jours pour permettre à la délégation syndicale d’examiner les différentes réponses et propositions. Ainsi, la rencontre Gouvernement/Syndicats reprendra le 15 novembre 2011.

Les organisations syndicales, comme à l’accoutumée, à la fin de la rencontre, porteront à la connaissance des travailleurs et de l’opinion publique, les résultats de ladite rencontre de même que leurs appréciations."

COOPEC-GALOR tient son AG

Dans le cadre de la révision de ses textes statutaires et réglementaires et du renouvellement de ses organes de gestion, la COOPEC-GALOR (Coopérative d’épargne et de crédit) convoque ses membres en assemblée générale extraordinaire, le samedi 3 décembre 2011.

Armée nationale : à l’heure des passations de commandement

Les cérémonies de passation de commandement des chefs d’état-major d’armes auront lieu conformément au programme ci-dessous :
 Groupement central des armées : mardi 15 novembre 2011 à partir de 7 heures au Camp Guillaume Ouédraogo.
 Armée de l’air : mercredi 16 novembre 2011 à partir de 7 heures à la Base
 Armée de terre : jeudi 17 novembre 2011 à partir de 7 heures au Camp Général Aboubacar Sangoulé Lamizana.
 Gendarmerie nationale : vendredi 18 novembre 2011 à partir de 7 heures au Camp Paspanga.

Un colloque au profit des officiers supérieurs de la sous-région

Dans le cadre de ses activités de formation civique au profit des Forces de défense et de sécurité, la fondation Konrad Adenauer organise un colloque au profit des officiers supérieurs de la sous-région ouest-africaine. La cérémonie d’ouverture aura lieu le dimanche 13 novembre 2011 à partir de 18h 30mn à Palace Hôtel à Ouaga 2000.

Lycée Songtaaba de Ouagadougou : les anciens élèves veulent se retrouver

Depuis l’année dernière, l’envie de se retrouver est très forte chez les anciens élèves du lycée Songtaaba de Ouagadougou. Après une première tentative avortée en 2010, un noyau d’anciens élèves remet au goût du jour ce projet qui lui tient particulièrement à cœur. Pour ce faire, ce noyau convie tous les anciens élèves de cet établissement sis non loin du camp Sangoulé Lamizana au secteur 9 de Ouagadougou à une rencontre le samedi 12 novembre 2011. Celle-ci est prévue pour se tenir à 16h au stade municipal de Ouagadougou (porte 1).

Parcelles : des habitants de Ganrgué inquiets

Des habitants de Ganrgué, un village situé dans la commune rurale de Komsilga, ont rendu visite à la rédaction du journal pour exposer leurs inquiétudes. Leurs champs situés non loin de Ouaga 2000 ont été réquisitionnés, il y a deux ans, pour les aménagements de la SONATUR. Ils affirment que la mairie de Komsilga leur a, en retour, attribué des parcelles dans une autre zone, en compensation. Cependant, les habitants, selon nos visiteurs, ne sont pas tout à fait contents. Nos deux interlocuteurs ont estimé que la SONATUR et la mairie n’ont pas suffisamment consulté les habitants avant de faire ces attributions. Ensuite, ils estiment que le nombre des parcelles attribuées par famille est parfois disproportionné par rapport au nombre des membres desdites familles. L’un de nos visiteurs a pris un exemple : "Dans ma famille, nous sommes 12 et on ne nous a octroyé que 3 parcelles". Il faut souligner que l’identification de ces parcelles n’a pas encore été faite. Enfin, dernière inquiétude, les habitants se demandent ce qu’ils feront comme activité lorsqu’on va les déguerpir de leurs champs qu’ils continuent d’exploiter. Telles sont leurs inquiétudes et ils demandent à la mairie de retourner discuter avec les habitants afin d’éviter tout quiproquo ou malentendu avant qu’il n’y "ait des conséquences fâcheuses".

Kossouka : la population réclame une ambulance

Kossouka, une commune située à une soixantaine de kilomètres de Ouahigouya, n’a d’ambulance que les fameux taxis-motos avec tous les risques que cela suppose. La population se dit lasse d’attendre une nouvelle ambulance en remplacement de celle en panne depuis deux ans. ’’La souffrance de la population a assez duré’’, fait savoir un habitant de la zone qui ne comprend pas pourquoi les autorités restent sourdes à leur requête. En dehors de cette préoccupation, le dispensaire de Kossouka est en insécurité totale au regard du chemin qui le traverse. Non clôturé, le centre de santé est traversé à toutes les heures de la nuit et de la journée, causant ainsi d’énormes ennuis aux malades internés. Juchés sur de grosses motos, les orpailleurs y circulent à vive allure.

Journées d’échanges au Groupe APIDON

Après le succès en 2010 de la première journée d’échanges entre spécialistes de l’information (chiffrée et non chiffrée), une 2e édition, placée sous le thème "le chiffre au coeur de la question sociale", est prévue pour le samedi 12 novembre 2011 dans la salle Bienaymé Tchebychev de APIDON sis au secteur 30 de Ouaga.

Excellence à l’école primaire : Konsa rafle la mise au CEP 2011

Les enseignants, élèves et parents d’élèves étaient le jeudi 3 novembre 2011 au rendez-vous de l’excellence à l’école primaire, sur invitation du maire Karim Barro. Devenu traditionnel, le Prix de l’excellence, initié par l’arrondissement, se veut une saine émulation entre les écoles et les enseignants de la commune de Bobo. Les Circonscriptions d’éducation de base (CEB) de Bobo 1 et 2, qui relèvent de l’arrondissement de Konsa, ont eu une moisson satisfaisante aux examens scolaires de 2011. Le DPEBA (Directeur provincial de l’Enseignement de base) des Hauts-Bassins a salué les autorités communales dont l’initiative, au-delà de la simple émulation, contribue à valoriser le métier de l’enseignant. A cette édition de l’excellence, l’arrondissement de Konsa s’est classé premier en termes de taux de succès avec un taux global de 81,20%. Bobo II a présenté 1271 candidats au CEP. Sur ce total, 1012 ont été admis, soit un taux de succès de 79,62%. Bobo Vll a présenté de son côté 2154 candidats et a enregistré un taux de succès de 82,17%, soit 1770 admis.

Bobo VII est donc la meilleure CEB de la région des Hauts-Bassins et a la meilleure enseignante de l’année en la personne de Lébouré Niaoné/Yoda. Au cours de la cérémonie, deux membres du personnel d’encadrement, le meilleur enseignant, la meilleure enseignante et les cinq meilleurs élèves de chaque circonscription ont été récompensés. Mohammad Diallo de l’école A.S.B. et Mariam Farida Boly de l’école Sya, tous de la CEB Bobo VII, ont été faits respectivement meilleur élève garçon et meilleure élève fille de l’arrondissement. Des kits scolaires, des vélos et du matériel pédagogique ont été distribués aux lauréats du jour.

Ouahigouya : il voulait la mort de son voisin

Une animosité féroce existe entre HS et BT. Et pourtant, les deux hommes étaient des amis inséparables. Comment en est-on arrivé-là ? Au fait, c’est HS qui a cherché et trouvé la maison à louer pour BT. Depuis lors, ils étaient devenus non seulement des voisins, mais aussi des amis. A la fin de chaque mois, c’est HS qui était chargé d’encaisser le loyer pour le remettre au bailleur. Ce dernier ayant constaté un dysfonctionnement au niveau de l’encaissement, vint voir directement BT et lui recommanda de ne plus remettre l’argent à HS. Le jour où HS alla réclamer les sous, BT lui révéla les desiderata du bailleur. Ainsi commença la "guerre" entre les deux inconditionnels. Pour HS, BT a joué au "Munafika" (à l’hypocrite) entre lui et le propriétaire de la cour. Faire quitter BT de la cour était devenu la préoccupation de son ex-alter ego.

Parmi les tactiques utilisées, HS privilégie la puissance occulte pour parvenir à ses fins. Mais bien avant, il a tenté d’incendier en vain le domicile de son voisin. Les preuves matérielles sont toujours palpables. Les "deux ennemis" dont les domiciles font face à un établissement privé se regardaient en chiens de faïence. Ni les interventions des sages, ni celles de l’imam du quartier ne sont parvenues à réconcilier les deux hommes. Point de bonjour non plus entre les épouses des "guerriers". Ainsi, entre en ligne le "wack". Au secteur 1 de Ouahigouya où ils résident, HS et BT s’en voulaient à mort. HS donne le ton en empoisonnant et en tuant la dizaine de poules de BT. Et comme si tout cela ne suffisait pas, il choisit de passer à la vitesse supérieure en déversant par la fenêtre du liquide bizarre chez BT. Une odeur nauséabonde envahit régulièrement la maison de BT à cause des matières fécales jetées par la fenêtre par HS.

Les jours se suivent et se ressemblent. Du piment pilé, du coton emballé, des farines éparpillées, constituent le lot magique de HS. Et comme cet adage ne ment jamais, "tous les jours pour le voleur et un seul pour le propriétaire", en octobre dernier et un beau matin de mercredi, HS a été pris la main dans le sac en train de jeter des excréments humains dans la cour de son voisin. Séance tenante, BT porte plainte à la gendarmerie où HS aurait reconnu tous les faits qui lui sont reprochés. Depuis, l’affaire est traitée avec diligence chez les pandores.

Ouahigouya : un établissement secondaire brille par sa médiocrité

Avec ses 60 000 habitants, la ville de Ouahigouya ne compte que trois établissements secondaires publics, en ce qui concerne l’enseignement général. L’impérieuse nécessité d’avoir des établissements privés ne souffre d’aucune ambiguïté. Le service rendu à la nation par nombre de ces établissements non étatiques est énorme et salutaire. Beaucoup s’illustrent par leur rigueur et leur excellence. Seulement, certains établissements secondaires privés brillent par leur médiocrité. Est de ceux-là, cet établissement qui, après son fiasco au BEPC 2010-2011, ne fait rien pour redorer son blason. Connu par les Ouahigouyalais pour sa mauvaise renommée, l’établissement recrute tous les exclus d’ici et d’ailleurs. Des classes pléthoriques à vous couper le souffle.

Le directeur, lui, toute honte bue en cette rentrée scolaire 2011-2012, réclame entre 1 000 et 1 500 F CFA pour le retrait des bulletins de note. Voilà qui a très souvent provoqué la colère des parents d’élèves qui peinent à comprendre le bien-fondé d’un tel agissement. Pour toute explication, notre ’’boss du coin’’ prétend que le fondateur de l’établissement lui doit des arriérés de salaire. Ce responsable a eu maille à partir avec nombre de ses élèves, notamment des filles. Ces dernières ayant découvert les tares de leur école et voulant changer de coin, sont traitées de tous les noms. Des frais de scolarité encaissés sans reçu sont, entre autres, les pratiques au sein de cet établissement. Au regard de la prolifération vertigineuse des lycées et collèges privés, l’Etat doit maintenant ouvrir l’œil et le bon sur le fonctionnement de ces établissements.

La finale de la coupe de CACHICO ce week-end

Initialement prévue pour le 6 novembre, la finale de la coupe CACHICO de football a été reportée à cause de la fête de Tabaki. Le rendez-vous est pris pour ce dimanche 13 novembre 2011 sur le terrain de Kamboinsin. Il faut rappeler que c’est en collaboration avec les maires des communes de Signoghin, Nongr-massom et de Pabré que Emmanuel Ouédraogo alias CACHICO, organise ce tournoi de football en faveur de la jeunesse. Le parrain de cette activité est le député Salif Tiemtoré.

Presse en ligne : un nouveau quotidien burkinabè sur la toile

Un nouveau quotidien burkinabè en ligne a poussé ses premiers cris sur Internet au début de ce mois de novembre. Il a pour nom Zoodomail et est consultable à l’adresse www.zoodomail.com. C’est un journal d’informations générales destiné aux internautes burkinabè et du monde entier. Il est "édité" par l’agence de communication Vital.com basée à Ouagadougou.

Amis d’ADO : une conférence sur les relations Ivoiro-burkinabè

Le CAADO (Cercle des amis d’Alassane Dramane Ouattara) organise une grande conférence publique le samedi 26 novembre 2011 à 9h00 dans la salle de conférences du CBC sur le thème : « les relations historiques de la colonisation à nos jours entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso". Le CAADO compte, à travers cette conférence, promouvoir le renforcement des liens d’amitié et de fraternité ivoiro-burkinabè par la prise de conscience de la vérité historique qui permettra de comprendre l’histoire entre les deux peuples, de la colonisation à nos jours, et de ce fait mieux préparer l’avenir.

Le Pays