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Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

Publié le mercredi 13 juillet 2011 à 03h03min

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Ecrivain, historien, philosophe, réalisateur français originaire de la Guadeloupe, Claude Ribbe est connu pour son engagement contre les discriminations. Dans ce commentaire tiré de son blog, il livre une autre lecture de l’affaire DSK et explique pourquoi celui-ci a perdu la partie.

Depuis le 14 mai 2011 une triste affaire de viol présumé, vendue par la presse comme un feuilleton à rebondissements, passionne la planète. Mais il n’y a finalement guère de mystère sur l’issue de cette histoire. Strauss-Kahn a déjà tout perdu ou presque.

D’abord l’essentiel : l’honneur. A supposer que cela ait un sens pour lui et ses amis. Par sa propre démission -qui est presque un aveu- il a aussi perdu son poste lucratif et prestigieux de directeur général du FMI avec l’humiliation de voir arriver comme successeur une femme, française et de surcroît adversaire politique.

Strauss-Kahn a vu du même coup son rêve s’effondrer. Il ne sera jamais président de la République et, même s’il réussit à passer entre les mailles des filets judiciaires américain et français, ce qui est très improbable, - et devrait l’occuper quelques mois sinon quelques années - il aura le plus grand mal à revenir en politique, même au plus modeste niveau.

A terme, il a perdu en outre, très probablement, le soutien de son épouse. Anne Sinclair a adopté l’attitude d’une femme qui défend son mari contre vents et marées. Très bien ! Respectons ce choix. Mais n’en a-t-elle pas beaucoup trop fait et sa posture arrogante n’a-t-elle pas desservi celui qu’elle prétendait aider ? Passer l’éponge sur une incartade est une chose, supporter l’humiliation d’être bafouée et contente pendant trente ans en est une autre, couvrir un viol présumé avec l’impudence que donne la fortune en est une troisième. Pendant combien de temps supportera-t-elle encore de n’être que la grosse dame qui règle les additions, comme dans les films des Marx brothers ? On peut comprendre qu’elle ait joué gagnant un homme qui lui permettrait de réaliser un rêve par procuration : entrer à l’Élysée. Mais jusqu’à quel point sa "magnanimité" affichée, dans laquelle je ne vois qu’une injure faite à toutes les femmes violées, lui permettra-t-elle de miser désormais sur un tocard ?

Si on enlève à Strauss-Kahn la fortune de sa femme et la perspective d’une réussite en politique, que reste-t-il ? Un brillant économiste selon certains admirateurs ? Soyons honnête : sa thèse « Économie de la famille et accumulation patrimoniale » et son livre sur « La richesse des Français », deux ouvrages publiés il y a plus de trente ans, ne le prédisposent guère au prix Nobel. Il reste donc un homme dont la célébrité reposera sur l’un des plus grands scandales sexuels de l’histoire et qui ne pourrait être intéressant, à la rigueur, s’il en avait le talent, qu’à travers une introspection littéraire sur propre cas. Le plus probable, c’est que Strauss-Kahn restera un cas d’études clinique et, certainement, un héros de la petite histoire au même titre que Gilles de Rais, le cardinal de Rohan, Félix Faure, John Profumo ou le cardinal Daniélou.

Les maladresses des bons amis

Ceux qui ont tenté de défendre Dominique Strauss-Kahn ne l’ont guère aidé, c’est sûr. Jacques Lang qui a tenté de minimiser le viol présumé en déclarant qu’il n’y avait « pas mort d’homme ». Jean-François Kahn qui ne voyait d’ans cette affaire qu’un banal « troussage de domestique ». Bernard-Henri Lévy pour lequel Strauss-Kahn n’était pas « un justiciable comme les autres » et qui invoquait, sans en comprendre, apparemment, l’ironie dans le cas d’espèce (d’autant qu’on imagine mal BHL en train de rire) l’adage « Rira bien qui rira le dernier ». Michèle Sabban qui dénonçait « un complot international ». Johnny Hallyday, lui-même accusé de viol en 2002, qui ne voyait dans les chefs d’inculpation visant Strauss-Kahn, que des « critiques odieuses ». Elisabeth Badinter pour laquelle tout cela n’est qu’une « possible injustice » (qui aurait frappé Strauss-Kahn, bien sûr, pas la victime présumée). Finkielkraut pour qui le fait d’oser porter une accusation contre un homme au-dessus de tout soupçon comme Strauss-Kahn équivaut à un... « viol ». Rien de moins ! Jean-Marie Le Guen qui déclarait encore le 5 juillet 2011 que Strauss-Kahn serait en 2012 « un atout considérable pour la gauche ». Il ne manquait, pour compléter ce florilège, que la réaction de Roman Polanski lequel, heureusement, a gardé le silence.

Un dossier d’accusation accablant

Les injures et les calomnies déversées sur Nafissatou Diallo par les avocats et le communicants de Strauss-Kahn ne doivent pas faire oublier que les faits reprochés à l’ex-directeur général du FMI sont étayés, non seulement par le témoignage de Nafissatou Diallo qui n’a pas varié d’un iota, mais aussi par des preuves impossibles à réfuter qui corroborent ce témoignage : notamment un rapport médical et des expertises médico-légales accablants. Les mensonges de la défense de Strauss-Kahn qui, dans un premier temps, a tenté d’établir que le Français était déjà parti au moment des faits et que la présumée victime n’était « pas attirante » avant d’en venir à une « relation consentie » risquent de peser lourd le moment venu. Sans parler des tentatives du sexagénaire à l’encontre de deux autres employées de l’hôtel et de la présence nocturne d’une jeune femme dans les heures qui ont précédé l’agression : autant d’indices d’une libido pathologique.

L’attitude désinvolte d’un justiciable sûr d’être supérieur aux autres.

La posture arrogante de Strauss-Kahn qui, au motif qu’il avait partiellement recouvré la liberté, se voyait déjà disculpé et allait fêter l’événement avec sa femme au Scalinatella, l’un des plus huppés restaurants new-yorkais (600 dollars les pâtes aux truffes et le Brunello Di Montalcino pour porter un toast à la santé des rmistes Sarcellois) n’est peut-être pas de nature, quant on y réfléchit, à faciliter un abandon des charges. La décision provisoire d’un magistrat n’éloigne ni la perspective d’un procès, ni celle d’une condamnation avec la perspective d’un retour à Rikers island où le menu et la carte sont moins gastronomiques.

La quasi-certitude d’une lourde condamnation au civil.

Si, d’aventure, DSK échappait au pénal américain, il peu probable qu’il puisse s’en tirer au civil et, dès lors, il risque bel et bien d’être condamné pour les mêmes faits, sinon à la prison, du moins à de faramineux dommages-intérêts qu’Anne Sinclair ne sera peut-être pas disposée à payer.

L’ouverture d’un second front en France.

L’attitude de Tristane Banon qui, après avoir porté des accusations contre Strauss-Kahn, a refusé de venir témoigner dans le procès américain, s’explique très certainement par la volonté de ne pas réduire sa propre affaire à un banal épisode du dossier new-yorkais. Par ailleurs, on peut comprendre que la jeune femme, à laquelle le comité de soutien à Nafissatou Diallo apporte aujourd’hui ses encouragements, n’ait pas voulu s’exposer aux calomnies que pourraient utiliser contre elle les avocats de Strauss-Kahn dans la procédure américaine. L’ouverture d’une enquête préliminaire en France et la perspective d’une longue instruction qui pourrait déboucher sur un procès en cour d’assises risquent d’apporter à l’accusation américaine des éléments de toute évidence défavorables à Dominique Strauss-Kahn. En outre, avec l’entrée en scène de Banon, qui n’est ni "noire" ni musulmane, il va être plus difficile d’invoquer le "complot" et un "nouvelle affaire Dreyfus".

La politisation du dossier

Les féministes françaises, habituées à voir les victimes de viol calomniées par les violeurs, ont adopté une attitude courageuse qui doit rappeler que la discrimination sexuelle va généralement de pair avec la discrimination raciste. De ce point de vue, c’est à bon droit que la diaspora africaine, en France à travers le comité de soutien créé dès le 24 mai 2011, puis aux USA, avec la mobilisation des syndicats et des militants pour les droits civiques , a vu dans les attaques portées contre Nafissatou Diallo la manifestation d’un racisme à peine dissimulé. Le hallali négrophobe auquel on a assisté à partir du 1er juillet 2011 a été en effet d’une violence rarement atteinte depuis les années soixante. Bien sûr, la couleur de Nafissatou Diallo n’a jamais été invoquée explicitement pour justifier ces attaques. Ce qui a en effet changé depuis les années soixante, c’est que le racisme au premier degré n’est plus socialement tolérable dans la société occidentale.
Cependant, il faudrait être de bien mauvaise foi pour soutenir que l’acharnement contre Nafissatou Diallo, traitée, pendant une semaine, et sans aucune preuve, non seulement par des journaux à scandale, mais par des organes de presse dit « respectables », de menteuse, de complice de trafic de drogue et de prostituée, n’a absolument rien à voir avec sa couleur, ses origines ni sa religion. Le lynchage en règle auquel on a assisté, n otamment dans la presse française de gauche, n’est absolument pas contradictoire avec l’attitude première qui a consisté à sanctifier Nafissatou Diallo. Au contraire. Les préjugés contre les femmes africaines ou afro-descendantes s’expriment de deux manières qui semblent figées depuis le XVIe siècle. Tantôt on a recours au stéréotype paternaliste de la « vraie noire » qui serait en adéquation avec la nature, tantôt à celui de la « fausse noire » dénaturée par le contact avec l’Occident.

Dans les deux cas, prévalent de grossiers préjugés qui réduisent la femme africaine aux fantasmes sexuels projetés sur elle par des anciens pays colonisateurs et esclavagistes. Ce sont, de toute évidence, ces fantasmes qui ont allumé la libido de Strauss-Kahn et peut-être amené cet homme à des actes de violence, suite au refus de Nafissatou Diallo de se plier aux fantasmes de l’ancien maire de Sarcelles. Pour plus de détails, on se reportera aux intéressants travaux de Yann Le Bihan, chercheur en psychologie sociale.

Pendant un mois, Nafissatou Diallo a donc été hypocritement présentée comme une « vraie noire » issue d’un village africain utopique et en tout point conforme aux villages mis en scène dans les expositions coloniales des années trente. C’était une bonne musulmane, issue d’une famille respectée. En « bonne sauvage », elle était incapable de mentir. Tout a basculé en quelques heures. Nafissatou Diallo est devenue une « fausse noire » vénale pervertie par le contact avec la société américaine et incapable de s’acculturer, du fait de son « infériorité » naturelle. On a insisté sur l’argent dépensé pour des soins jugés futiles pour une « vraie noire » – coiffure, instituts de beauté. Bien sûr, il a tout de suite été affirmé que le financement de ces dépenses futiles était assuré par des hommes. Nafissatou a été immédiatement traitée de prostituée par toute la presse occidentale, en précisant qu’il s’agissait d’une « filière guinéenne » pour replacer la prostitution dans un contexte spécifiquement africain. Les calomnies distillées par les avocats et communicants de Strauss-Kahn dans le peu reluisant New York Post étaient reprises presque sans réserves dans Libération et même dans Le Monde. Des conversations téléphoniques, jamais rendues publiques, mais citées par de mystérieuses sources « proches du dossier » révélaient que Nafissatou avait des liens avec des trafiquants de drogue (qui eux, soit dit en passant, ne semblent pas profiter de la présomption d’innocence). Bien sûr, la « fausse noire » avait tout de suite flairé la bonne affaire et appelé son complice – noir évidemment – pour en parler avec lui.

Il ne manque plus à Nafissatou, pour faire bonne mesure et confirmer la théorie du complot international, que l’imputation de relations avec des terroristes islamistes. Ce qui, finalement, va peut-être venir. On compte sur Taylor, Brafman et Khiroun pour nous régaler encore de leurs affabulations et de leurs bobards.

Lire aussi http://www.claude-ribbe.com/dotclear/index.php?General/2011/07

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Vos commentaires

  • Le 12 juillet 2011 à 14:59 En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

    Monsieur Claude Ribbe,vous prenez vos rêves pour de la réalité et en plus vous êtes un aigri.En tout cas DSK ne sera pas condamné ni aux USA,ni en France et vous n’aurez que vos yeux pour pleurer sinon,jetez vous par la fenêtre

    • Le 12 juillet 2011 à 17:23, par Kelkundebien En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

      Mon frère, soit cool !Je pense que le titre de l’article est clairement évocateur.Merci de relire correctement le titre.

    • Le 13 juillet 2011 à 10:29, par Bonnet En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

      Il y a trop de propos haineux, aigres sur une affaire sans qu’on ne puisse nous dire en quoi cette analyse peut nous servir sous nos tropiques.

      Les ["intellectuels"] africains devraient beaucoup réfléchir plus à leurs apports pour leur continent, et les critiques formulées devraient l’être si elles pouvaient servir à tirer les conséquences de situations.

      Les détournements, concussions, corrruptions, crimes de sang politiques sont ils moins graves que les faits dont il s’agit à supposer qu’ils fussent prouvés ?

  • Le 12 juillet 2011 à 16:07, par Totoche En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

    Cela nest pas une autre lecture du scandale, juste une lecture à charge contre DSK, une prise de position déjà vue par ailleurs. Je remarque qu’il n’y a aucun effort de neutralité sur les affaires de justice en cours... Votre avis est un avis de plus qui n’apporte rien. laisser la justice faire son job , ilvous sera temps de tirer les conclusions de ces une fois celle-ci terminés. On a peut-être pas fini des rebondissements.

  • Le 12 juillet 2011 à 16:34, par anita En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

    désolé vous êtes comme ces même journalistes qui ont noirci DSK au premières heures et nafissatou diallo par la suite. Vous affirmé que DSK est coupable car les preuves l’accables ; qu’est ce que vous en savez de preuves qui n’ont pas encore prouvé la véracité.
    Vous mélangez réligion, position sociale et racisme dans cette histoire si c’était le cas DSK ne serait pas arrêté aux premières.
    Epargnez nous ces affirmations qui choquent et laissé la justice americaine et française faire leur boulot

  • Le 12 juillet 2011 à 17:01, par YAT En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

    Bien dit DSK est libre.

    Il reste le cas de notre soeur Guinéenne. Elle sait bien que les peuls n’aiment pas la honte. Pourtant elle vient de déshonnorer tous les poulottes du monde entier. On ne peut plus les faire confiance.

    • Le 12 juillet 2011 à 17:45 En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

      arrete cette affaire des femmes peules, on ne dit pas poulottes, ma chere.Ca montre que tu n’es meme pas peule. Connais -tu des femmes des autres ethnies qui aiment la honte ? Arretez de vous prendre pour une ethnie speciale. Vous etes justes des hommes. Au meme titre que tout le monde. Dans votre population, on compte le meme pourcentage de vertueux, de voleurs, de pieux, d ; impies, de gourmands, de frugals, de travailleurs de paresseux, d’ intelligents, de cancres, et j’ en passe. Quant a cette affaire dite de viol, il faut etre de mauvaise foi ou meme raciste a rebours pour y croire. Si vous pensez qu’ un vieux de 62 ans peut forcer une jeune fille de 32 ans, qui, de surcroit fait des travaux domestiques qui rendent fortes, alors, la, vous etes vraiment racistes. Elle pouvait crier. Elle ne l’ a pas fait. Quand elle a ouvert la buche, c’etait juste pour gober le… de son ""violeur", pas pour le charcuter, mais pour lji procurer du plaisir, le plaisir "extorque". Il faut que ce soit aux Etats- Unis ou les gens sont friands de ces histoires salaces pour que l’ on s’attarde sur cette vraie fausse affaire. DSK merite bien ce qui lui est arrive parce qu’ il prenait les femmes comme des objets mais dans le fond, cete affaire est ridicule. On ne viole pas une africaine sans poignard ni PA. nos soeurs, culturellemen t, ne sont pas socialisees a se laisser violer comme les americaines dont la plupart sont eduquer a se laisser violer d’abord esperant avoir au moins la vie sauve quitte a porter plainte contre le violeur apres. Sauf si c’est en plus un holdup sexuel. Ma soeur Nafi sous le Filao, ton affaire avec DSK etait bien montee mais mal ficelee. Je suis africain mais je ne supporte pas les mensonges contre n’ importe qui, blancs, jaunes, rouges, riches , pauvres, etc. Si au telephone , tu avais dis que tu vas le poursuivre pour le franc symbolique, on pouvait etre dans le doute. Malheureusement, tu as montre que tu etais une chasseuse de primes mirobolantes. Qu’ il y ait eu quelque chose dans la chambre 2608, affirmatif, mais de viol, va raconter ca a un en fant de 2 ans , encore que cet age ne soit pas approprie pour entendre des monstruosites mensongeres de ce genre.

      LOP

  • Le 12 juillet 2011 à 17:15, par Raph En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

    A l’anonyme quui s’en prend à Claude Ribbe : c’est toi qui ira plutôt te pendre pauvre con ! L’auteur est ecrivain, philosophe et réalisateur, ect et toi sans doute tu n’es rien si j’en juge par ton post ! Si vous ne partagez pas son analyse de la situation, il vous suffit d’étayer vos arguties et nous en jugerons ; il a mis en avant les raisons qui le fondent à croire que DSK est un pauvre malade qui n’a même pas surmonté les "phases anale puis libidinale" de la psychanalyse Freudienne à fortiori de s’éléver plus loin ! Je n’étais pas dans la foutue suite de l’hotel New-Yorkais mais ma conviction profonde est que même une "pute" si cela était avéré ne doit pas être violée à plus forte raison une femme dont jusque la aucune preuve matérielle ne refute la moralité (nous attendons toujours la fameuse cassette audio de la conversation avec le dealer guinéen et les prétendues autres preuves) ; on se connait ici et le relent raciste évoqué par Claude n’est pas étranger à cette affaire ; tous les blancs ont ce complexe de supériorité face au noir jusqu’à ce que vous leur montriez leurs limites intellectuelles ou techniques ou qu’ils aient besoin de vous (je sais de quoi je parle !). Je suis à un niveau aujourd’hui où ma connaissance du monde et des cultures me permet de distinguer certaines grossiérétes ; il est évident que le procureur américain a tôt fait de réaliser que cette petite "negresse sorti droit du village" allait faire tomber un "prétendu grand blanc" et la solidarité raciale a fait le reste ! si vous aviez un certain niveau intellectuel et que vous aviez eu la chance de tour du monde, vous comprendriez si vous êtes "noir" ce dont est capable la stupide solidarité "des blancs" ; bref je crois que de Claude, vous et moi, je ne doute pas que vous êtes le plus inculte et le plus aigri ! (Webmaster, arrêtez vous aussi votre aigreur et publier moi ce post en réponse !Merci )

    • Le 12 juillet 2011 à 19:09, par Bofffff En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

      Monsieur Raph,vous voulez nous la jouer au grand connaisseur,celui qui a fait le tour du monde,celui qui connait les us et coutumes des autres,vous pouvez aller vous faire foutre car c’est pas parceque l’autre est intellectuel,philosophe,écrivain qu’il a droit d’écrire du n’importe quoi sur les autres.Est ce que lui,il est propre ?Il n’a pas jugé les autres tout comme vous d’ailleurs,pauvre mytho car nous nous connaissons tous au Faso.Vous pouvez avaler vos théories freudiennes,nous n’avons rien à cirer

  • Le 12 juillet 2011 à 17:18, par ELOISE En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

    Un message à charge... Un message implacable. Trop pour être crédible. Vous citez l’arrogance de DSK ; et la votre, Mr Ribbe, vous ne la voyez pas ? C’est si facile de taper sur un homme à terre mais c’est tellement lâche et minable. Et pour le faire à votre autant de hargne, il faut avoir nourri à l’égard de DSK une jalousie qui vous ronge. Les lecteurs ne sont pas les imbéciles que vous croyez...

  • Le 12 juillet 2011 à 17:53, par mooch En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

    je trouve que votre auteur, est un de ces soit disant noir qui voit le mal partout, et tout ce qui est fait est fait contre les noires.
    nous africain qui vivons aux usa voulons rien que la verite sur cette affaire.
    DSk est connue comme un draguer, et de ce fait etre draguer ce n’est etre un violeur, si tel etais le cas nombreux sont les draguers qui devriendont violeur.
    Que votre auteur nous explique comment une fille vous fait une pipe ( oral Sex) jusqu’a ce que tu jouisse sans pistolet et plain de viol. qu’il explique cela.
    70% des africain vivant aux usa doute de la these du viol mais plutot d’une relation amoureuse gone "BAD" or a une arnaque et 25% croit en la these du viol les autres 5% n’attende que la procedure judiciare, seule 90% des peules collabore la these du viol par solidarite (peule)aveugle.

    votre auteur doit comprendre que les prises de position comme la sienne ne fait pas justice aux noir pcqu’il n’est pas afriquain je ne dirait l’afrique, car DSK meme si cette auteur ne reconnait pas les merites est un eminant economist reconnue de par le monde.

    vouloir a son epouse pour etre rester du cote de son mari je trouve cela sale et ignorant de la part d’un so call intelectuel noir, si lui n’a jamais connue l’amour vrai qu’il ne s’en prenne a Sinclaire d’aimer son mari contre vent et maree, aussi vouloir devenir premier dame de son pays est un reve de toute femme dans la sphere du pouvoir.

    Aussi que votre auteur sache que DSK n’as jamais dit publiquement qu’il voulait devenir president.

    donc mr vous n’est que l’ombre de vous meme, vous resteriez un auteur de petite surface rien d’autre

    • Le 14 juillet 2011 à 00:59, par petit peul En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

      monsieur mooch hereuresemt que l’auteur n’est pas un peul sinon je crois que tu allais demander de fermer lefaso.net

  • Le 12 juillet 2011 à 18:10, par eric En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

    ceci n’est pas "une autre lecture" mais la meme que tous ceux qui en veulent a la tete de DSK,tiennent.
    celui là n’est simplement qu’un aigri et un marginal.hereusement que la democratie et la justice ne resonne pa comme ces imbeciles là !!!!!

    • Le 12 juillet 2011 à 22:18 En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

      J’invite tous les lecteurs les ouvrages de C. RIBBE comme le « Crime de Napoléon », « Les nègres de la république », « le nègre vous emmerde », La biographie du General DUMAS père de l’illustre écrivain Alexandre DUMAS, etc. Bienheureux à tous ces "posteurs" ignorants qui éructent leur bile avec la conviction du béotien suffisant.
      Quant à DSK, il faut dire qu’il flirte avec la justice depuis quelque temps. Rappelez-vous sa démission en tant que ministre mis en examen. C’est vrai il a été relaxé. Dès son arrivée au FMI, il est accusé d’avoir eu des relations avec une subordonnée assorties d’une promotion canapé. Il est blanchi c’est vrai. Enfin cette histoire où le moins que l’on puisse dire c’est qu’il est insouciant. Alors que le monde entier l’attend pour un sommet d’envergure avec des dossiers majeurs à traiter, voilà qu’il se préoccupe de se taper une femme de chambre.
      La décence nous empêche d’en rajouter mais franchement il sent le souffre. Ouvrez les yeux, relisez les post de RIBBE et réfléchissez la bite en paix et la passion éteinte.

  • Le 12 juillet 2011 à 19:12, par Lucie En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

    Cher webmaster, je voudrais vous demander de publier mon post en réponse à celui de l’internaute nommé Yat qui n’hésite pas à tomber dans les relents de l’ethnicisme, allant meme jusqu’à traiter les femmes peulhles de poulottes, terme à la fois méprisant et péjoratif. A mon humble avis, le faso.net a acquis ses lettres de noblesse dans la tolérance et le respect d’autrui, donc des écrits aussi réducteurs de ce genre ne devraient pas y avoir droit de presse.

    • Le 12 juillet 2011 à 20:20, par No censor En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

      Ma chère Lucie,je ne suis pas du même avis que toi car par principe,je suis contre toutes formes de censures.La liberté d’expression doit prévaloir et c’est à toi de porter la contradiction à l’autre si possible et chacun de nous jugera.Donc je dis merci à Lefaso.net de nous permettre de s’exprimer avec nos mots,avec nos paroles souvent maladroites mais très instructifs et pleins de bons sens.J’ose même espérer que tous ceux qui nous gouvernent,prennent le temps de lire de temps en temps les avis des forumistes surtout sur les sujets de question de société comme maintenant sur l’article 37.Ils verront que presque unanimement,les gens sont contre sa modification.Presqu’un sondage grandeur nature.Sur ce,je souhaite longue vie aux responsables de Lefasot.net et svp,laissez les gens s’exprimer en toute liberté et sans censure.Merci

      • Le 13 juillet 2011 à 12:12, par Lucie En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

        Je pense qu’il faille lire et comprendre avant de réagir (tiens j’enseigne cela à mon enfant !). Je ne suis pas pour la censure, je m’insurge sur les ordures (la désignation et la péjoration de qualqu’un par son appartenance). Qu’elle soit réligieuse, raciale, politique, ethnique et autre, une appartenance doit etre respectée et Fasonet a toujours promu cela, ce que j’ai souligné.
        Dommage que je ne puisse pas le traduire dans votre langue.

    • Le 12 juillet 2011 à 23:48 En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

      Comme le disait mon professeur de droit constitutionnel, Mr. Bado Laurent, "Dans tout groupe social, la proportion des imbeciles est constante"

      ce n’est donc pas une histoire de peulh ou de quelle autre ethnie. C’est une histoire d’individus et aussi et surtout de la betise humaine relativement au sexe.

      C’est triste ce qui s’est passe aussi bien pour DSK que pour Nassifatou.

      Si DSK n’avait pas sollicite cette femme, il serait toujours au FMI. C’est tout simplement triste !

  • Le 12 juillet 2011 à 20:15, par wulf En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

    Bien fait ! Après BHL et les autres une change d’angle est bienvenue.

  • Le 12 juillet 2011 à 23:29, par Poko En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

    A tous ceux qui croit en dsk je leur demande de s unir à moi pour une petite prière le dimanche à 10h GMT. Ce qui lui est arrivé. Je ne le souhait même pas à un ennemi. Union de prière.

    • Le 13 juillet 2011 à 11:41, par wulf En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

      et il faut pas oublier la victime dans les prieres..pas la victime de viol ça on sait pas encore - on attend le procès, mais la victime des calomnies atroces, impitoyables de le part de DSK et ses communicants’ et ses avocats.

      Quel espece d’homme peut faire ça ? Mentir, salir, ’a source close to the defence’, prostitute etc etc

      Si le New York Post divulge sa source, on peut avoir une autre plainte contre DSK !!

  • Le 13 juillet 2011 à 01:38, par cel En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

    slt a tous.juste pour vous rappelé que Naffissatou n’a jamais dit viol mais plutot tentative de viol.mais dans toutes les presses surtout francaises il ya disparition du fameux mot "tentative" qui pourtant a mon sens est tres important.il nous aide a comprendre probablement que NAFFISSATOU n’a pas ete une boule de glace mais s’est plutot deffendue.et ces actes de la presse francaise viennent sans doute nous eclaircir l’esprit sur leurs position face a cette affaire.certe,je ne tiens pas a prendre une position concrete mais neanmoins je vois une lutte des classes,bourgeois contre proletaire noir de surcroit.et donc sachez une chose,que notre soeur ait raison ou pas elle perdra.ca c’est tres clair.TOUT SIMPLEMENT PARCE QU’ELLE EST PAUVRE ET NOIR. et malhereusement au lieu d’avoir le moindre soutien d’Afrique,chose dont DSK possede parfaitement sur presque toute les bouches francaises elle est plutot ridiculiseé.PUISSE DIEU AIDER L’AFRIQUE.

    • Le 13 juillet 2011 à 10:58, par phantom En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

      Ce n’est pas parce que Nafissatou est noire que nous allons la soutenir dans le mensonge !soyons réalistes !

      • Le 13 juillet 2011 à 12:46, par wiitbyaanda En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

        DIEU te bénisse !! en voici quelqu’un qui est digne.

      • Le 13 juillet 2011 à 18:53, par belo En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

        Bien dit mon frère, Nafi n’est qu’une opportuniste. Comment ce vieux DSK peut-il arriver à violer une dame de son âge.
        De grâce, ne la soutenons pas parce qu’elle est une noire.

    • Le 13 juillet 2011 à 12:33, par wiitbyaanda En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

      Mon frère,tu dois accepter la réalité c’est vous autre comme nafissatou qui mettent la honte au Africains.En plus tu dois chercher à mieux t’informer sur cette affaire DSK ; écoute ou li ce que kennette déclarait au gens.

    • Le 13 juillet 2011 à 21:02 En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

      tu as un eprit touffu qui melange tout a tout. Lire c’est bien, mais assimiler ce qu’ on a lu, c’est encore meilleur.

  • Le 13 juillet 2011 à 09:56 En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

    "Avec l’humiliation de voir arriver comme successeur, une femme..."

    En quoi le fait que ce soit une femme constitue une humiliation ?

    • Le 13 juillet 2011 à 21:05 En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

      tu as trop compris. c’est une humiliation que son remplacant soit femme parce qu’ il a ete decagnotte pour avoir "tente de ""violer"" une femme". Et c’est une femme qui le remplace. C’est ironique. Le mot juste ici aurait ete avec l’ ironie mais pas de quoi couper les cheveux en quatre. Arretez le feminisme de mauvais aloi.

      LOP

  • Le 13 juillet 2011 à 11:46, par Fatime En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

    Je ne suis pas une fan de DSK, mais je me permets de donner mon point de vue sur ce pamphlet. DSK est une séducteur, un dragueur un violeur (ajoutez tous les qualificatifs que vous voulez), mais reconnaissez quand même qu’il a des qualités. Quand vous dites qu’il a écrit des ouvrages qui datent de plus de 30 ans et qu’il n’aura jamais le prix Nobel, souffrez aussi de savoir qu’il a démontré ses compétences étant à la tête du FMI. Cette qualité par exemple vous aurez dû la souligner même s’il est votre ennemi juré. Lorsque l’on critique quelqu’un pour être un peu plus crédible, il faut d’abord commencer par les aspects positifs et ensuite vous pouvez démontrer la personne comme bon vous semble, mais dans votre texte tout est noir. C’est ça qui fait que les gens ont du mal à vous suivre.
    Lorsque vous affirmez également que la presse a démoli Nafisaatou en la traitant de menteuse, de prostituée où étiez vous lorsque les journaux américains traînaient DSK dans la boue ? Je vois bien que vous ne connaissez pas bien le système judiciaire américain. Car dans les cas de crimes sexuels que ça soit la victime ou l’accusé tout le monde en a pour son compte et c’est comme ça.
    Enfin quand l’auteur dit que la presse ne nous a jamais fait écouter le contenu de l’échange que Nafissatou a eu avec son compagnon qui est en prison, qu’il sache aussi que nous sommes impatients de voir la photo de cette femme.

  • Le 13 juillet 2011 à 13:15, par l’africaine blessée En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

    Bonjour à tous ! En lisant les uns et les autres, j’ai eu envie de contribuer à ces échanges tous aussi riches les uns les autres. LOP et Mooch ont fait une belle analyse et comme le dit si bien LOP, on est marié pour le meilleur et pour le pire. Les époux se doivent mutuellement soutien et entraide quelque soit la situation. Alor M. REBBE, une attitude contraire de Mme DSK serait plutôt contre la loi du mariage. Que DSK ait tout perdu, je comprends, mais faites un tour de micro trottoire auprès des femmes africaines, vous verrez que plus de 80% vous crieront leur honte car le concept "présumé viol" ou tentative de viol" concepts très importants dans l’affaire DSK que les journalistes supriment pour mieux accabler DSK. Ces concepts ne font pas honeur. Car, voyez vous dans une des sociétés africaines, quand il y a "Tentative" sur le plan relation sexuelle, on oblige les deux partenaires à commettre l’acte devant des témoins... Pour l’internaute du 12 juillet à 22:18, ce que vous dites, moi je dirai plutôt "que lorsque tout est braqué sur vous, quelque soit votre situation que vous ayez raison ou tord, vous êtes fiché". Par contre je ne suis pas d’accord avec cel, parce qu’il ne faut pas soutenir parce qu’elle est noire. Il faut soutenir la justice, la vérité et la réalité. Je partage l’avis de Phantom et de Fatim, NAFISSATOU existe-t-elle vraiment ? A-t-elle conservé les valeurs africaines ou les a-t-elle laissées à l’entrée des USA ? Quel est son objectif général de son émigration ? Quels en sont les objectifs spécifiques ? Quelle est sa stratégie de mise en oeuvre ? Quels sont ses moyens ? Soyons simplement réalistes et je pense que les ONG et les Associations gagneraient à se définir des objets crédibles de lutte.

    Que Dieu protège les africaines et consolide leurs sens des valeurs transmises, acquises ou conquises, qui font d’elles des vraies africaines.

    • Le 13 juillet 2011 à 16:28, par Boulabar En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

      Comment faites-vous pour distinguer une vraie africaine d’une fausse ? Est-ce à dire que la prostitution n’existe pas en Afrique ? Ou que les vraies africaines savent comment s’y prendre pour ne pas se faire violer ? Ou alors seules sont vraies celles qui le font dans la discrétion ? Où est-il écrit que les femmes africaines seraient plus vertueuses que les autres femmes ?
      Dans cette histoire la sagesse voudrait que lorsqu’on ne sait pas on se taise. Malheureusement tout le monde a son mot à dire sur cette histoire, tout le monde sait, éminent philosophe comme simple quidam à peine lettré. Et à chacun de livrer sa pseudo-analyse sur les discriminations socioethniques dans un sens ou l’autre ou sur l’honneur perdu des femmes africaines. Juif contre musulmane peule ? Riche contre pauvre ? Noire contre Blanc ? Pas nécessairement. Et si c’était justement trop facile de n’examiner les choses que sous ces aspects ? Que penser d’une simple histoire de malchance entre un homme et une femme qui n’auraient jamais du se trouver au même endroit ?
      Laissons la justice suivre son cours. Peut-être ne saurons-nous jamais ce qui s’est réellement passé dans cette suite, quelle que soit l’issue donnée par la justice à cet événement.

      La lutte des femmes, qui plus est des femmes noires et africaines se situe ailleurs.

      • Le 13 juillet 2011 à 21:13 En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

        Je suis d’accord avec Boulabar sur le fond mais je regrette lem manque de modestie qui se sent a travers tout son ecrit. A l’ en croire, il serait le seul a voir juste et il est venu pour mettre un point final au debat. Pourquoi ne voudriez vous pas que meme des illetres aient leur point de vue sur cette affaire ? Etre illetre, ce n’est pas etre frappe d’ ostracisme ni perdre ses droits civils encore moins etre con.

        LOP

  • Le 13 juillet 2011 à 13:18, par Raogo En réponse à : Affaire DSK : Une autre lecture du scandale

    Une question au violeurs anonnyme ! Messieurs mettrez vous vos attributs masculin dans la bouche d’une femme non consentante ! question reformuler ! vous ferriez vous faire une p’tite gaterie avec en prime le sourire (dent blanches eclatante) aux levres de votre victime !

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