De lui, on dit beaucoup de bien et il l’a prouvé encore une fois en étant la locomotive du train qui a mené à quai la grandiose cérémonie de lancement de Moov en Côte d’Ivoire. Mais avant ce poste, l’homme qui est diplômé de City University of New York était au Burkina pour un challenge après le Bénin, Citibank New York et Côte d’Ivoire : il s’agissait de remettre Telecel Faso sur orbite. Nous avons rencontré l’intéressé dans son bureau au Plateau lors du lancement inédit de MOOV Côte d’Ivoire

"Le Pays" : Qu’est-ce qui peut décider un usager de téléphonie mobile à préférer Moov à un autre réseau ?

Ahmed Cissé : Notre atout principal est le fait que nous mettons à la disposition de la clientèle un réseau non saturé doté des toutes dernières avancées technologiques. Tout ce qui est fait de mieux et de futuriste dans le domaine de la technologie en matière de télécoms se retrouve sur le seul réseau Moov : images, sons, téléchargements, MMS, SMS, etc. Ces aspects sont déterminants pour offrir à nos clients une qualité de communication exceptionnelle.

Que ce soit au Bénin, au Gabon, en République centrafricaine, au Niger, au Togo ou au Burkina, ces services seront à la disposition de nos abonnés, tout comme dans les autres pays, où Atlantique Télécom, compagnie panafricaine de télécommunications a déjà des filiales. Le plus important pour nous étant de nous mettre au service du client et de lui accorder tout le respect qui lui est dû. Chaque client sera véritablement aidé, respecté, accompagné, car Moov est une marque citoyenne.

Avant la Côte d’Ivoire, vous étiez directeur général de TELECEL FASO. Pourquoi êtes- vous parti du Burkina ?

Permettez-moi d’abord de remercier tous mes amis et parents burkinabè, hommes et femmes, jeunes et personnes âgées que j’ai rencontrés à Ouaga et qui me marquent énormément pour leur gentillesse, leur humanisme, leur altruisme et bien entendu leur intégrité.

Je n‘imaginais jamais me retrouver en train de diriger une entreprise au Burkina un jour. Mais en y arrivant, j’ai tout de suite eu la conviction que c’est un de ces pays qu’on quitte avec beaucoup de regrets. Et ce fut le cas quand j’ai été appelé par les dirigeants du Groupe Atlantique, à d’autres fonctions. C’est un pays que j’ai beaucoup aimé et que je retrouve avec beaucoup de joie en y allant assister au conseil d’administration soit de Telecel soit de la banque Atlantique. J’y étais encore il y a de cela 3 mois.

Propos recueillis à Abidjan par Morin YAMONGBE

Le Pays