ABBEF : Ibrahiman Sakandé prend les rênes de l’association
El hadj Ibrahiman Sakandé a été installé à son poste de président national de l’Association burkinabè pour le bien-être familial (ABBEF), le 14 janvier 2006, après avoir été élu démocratiquement le 20 décembre dernier à l’occasion de la 12e assemblée générale de l’association.
L’Association burkinabè pour le bien-être familial (ABBEF) a désormais un nouveau président.
Ce nouveau président, en la personne de El hadj Ibrahiman Sakandé, journaliste en service aux Editions « Sidwaya », a été officiellement installé dans ses fonctions par le président sortant, Noraogo Innocent Zaba, en présence des membres du comité exécutif sortant et entrant de ladite association, le 14 janvier dernier.
M. Sakandé qui présidera aux destinées de l’ABBEF pour les trois années à venir, a milité dans l’association pendant une dizaine d’années et occupait le poste de secrétaire général national du bureau sortant.
Le président sortant, devenu secrétaire général du MEBA, a fait observer que le nouveau président est « un jeune dynamique et il est convaincu qu’avec son impulsion, les perspectives de l’ABBEF connaîtront une réalisation positive ».
Prenant la parole, El hadj Sakandé a affirmé que le nouveau bureau national contient des compétences et s’engage à consolider les acquis du bureau sortant, à redresser ce qui peut l’être avec plus d’activités de plaidoyer pour le bien-être de la famille, partant du peuple burkinabè.
Selon lui, « la prise en possession des charges du bureau national entrant loin de s’apparenter à une simple formalité, m’insuffle le sentiment d’ouvrir réellement un nouveau départ, dans les sillons de nos illustres prédécesseurs ». Il a rendu un hommage au bureau sortant et a fait savoir que si de nos jours, l’ABBEF créée en 1979 fait la fierté de tous, cela est dû à l’action de tous les volontaires et les différents compartiments de l’association. Noraogo Innoent Zaba, quant à lui, s’est réjouit du fait que l’alternance soit vécue réellement dans l’ABBEF sans conflit.
Pour lui, les hommes passent, mais l’ABBEF reste. El hadj Ibrahiman Sakandé de lui répondre « vous demeurez des personnes ressources, des lumières de l’action que nous entreprenons dès à présent et pour le reste de notre mandat afin que l’ABBEF puisse atteindre sa mission qui est de contribuer à l’épanouissement de la population en général et des adolescents et jeunes en particulier ».
Ali TRAORE (traore_ali2005@yahoo.fr)
Sidwaya