Burkina : « Notre génération va s’assumer ! », se lance Smaïla Ouédraogo, président de « Les démocrates »
Ancien cadre de l’ex-parti au pouvoir, le MPP (Mouvement du peuple pour le progrès), ancien ministre de la santé, puis ministre en charge de le jeunesse, Smaïla Ouédraogo, a lancé, le samedi, 27 août 2022 à Ouagadougou, son parti politique. Dénommé « Les démocrates », le parti a pour idéologie, le « socialisme pragmatique et endogène ».
Nouveau-né politique certes, mais composé de vétérans de la vie politique burkinabè (voir intégralité de la liste au bas de l’article). Entre autres de Zalissa Koumaré, démissionnaire du Nouveau Temps pour la démocratie (NTD), dont elle était jusqu’à la mi-juillet 2022, la secrétaire générale et actuelle directrice générale du Centre de contrôle des véhicules automobiles (CCVA), et Dr Urbain Yaméogo.
Sitôt né, le parti « Les démocrates » a affiché ses ambitions par les propos de son premier responsable, Pr Smaïla Ouédraogo : « Notre génération va s’assumer ! ».
- De g.à d. : Le président de Les démocrates, Smaïla Ouédraogo (3ème à partir de la droite) avec à sa droite, Dr Urbain Yaméogo et à sa gauche, Zalissa Koumaré.
Pour cela, le parti se donne pour mot d’ordre de « remporter victorieusement les prochaines batailles électorales ». L’ancien ministre Smaïla Ouédraogo appelle, de ce fait, ses camarades à la collégialité, la sincérité, la courtoisie et à l’esprit de sacrifice.
« C’est cela et seulement à cette condition que notre peuple sera fier de nous, les politiques. (…). Nos adversaires sont entre autres le sous-développement de notre pays, les défaillances à tous les niveaux, les états d’insatisfaction de notre peuple. Notre parti, dans la quête du bonheur de notre peuple, est prêt pour aller loin du confort douillet d’une vie familiale cloisonnée ! Il s’agira pour nous de regarder sans complexe notre histoire, l’examiner, la questionner sans complaisance, l’assumer dans ses faiblesses et ses forces, pour ensemble construire un pays apaisé qui envisage sereinement son développement économique et social, sa place dignement assumée dans le concert des nations. N’oublions jamais que nous avons à conformer nos dires et nos actes pour faire de notre parti, un parti de type nouveau ! », a prononcé Pr Smaïla Ouédraogo au sortir de l’assemblée générale constitutive du parti.
Le président de « Les démocrates » a déclaré, dans son discours devant les nombreux partisans et invités, que le Burkina « est et restera un et indivisible, riche de ses diversités humaines avec une soixantaine d’ethnies ».
Le parti « Les démocrates » a pour idéologie le « socialisme pragmatique et endogène » et « Liberté et Progrès » pour devise.
O.L
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 27 août 2022 à 19:28, par Maria de Ziniare En réponse à : Burkina : L’ancien ministre de la jeunesse, Smaïla Ouédraogo, lance son parti politique, « Les démocrates »
Le trois daltons RSS n’ont véritablement pas rendu service au Burkina le pays qui leur a tout donné. Prise en charge scolaire jusqu’à l’université, premier job à moins de 30 ans dans l’administration publique en tant que cadre supérieur. 27 ans de festin royale à la table du Diable puis un parricide pour être à la place du roi et dépecer le Burkina qui n’était à leur yeux qu’un gibier sans oublier de vendre nos bijoux de famille : 10% de l’Onatel cédé à Maroc Télécom qui passe de 51 à 61% du capital et de céder plus du tiers du territoire aux terroristes. Leurs progénitures politiques n’on hérité d’eux que des égos démesuré et ne rêvent que d’être une tête de rat qu’une queue de lion dans le paysage des partis politiques. Vincent DABILGOU, Badra OUEDRAOGO avait leurs choses, après Abdoulaye MOSSE c’est au tour de Smaila OUEDRAOGO d’avoir sa chose et probablement Bachir OUEDRAOGO suivra. Quel bilan de leadership pour RSS ?. Au lieu de travailler à rassembler la gauche c’est plutôt une démultiplication de petits partis. Le Burkina mérite le prix Nobel du nombre de partis politiques créés. On se demande finalement qu’est ce que ces 3 Daltons ont apporté au Burkina à part la déstruction de la paix et la stabilité, la descente aux enfers et le discrédit au plan international faisant que nos compatriotes rasent les murs au plan international. Et dire que certaines rue de nos villes porte le nom de ces daltons.....
Le 28 août 2022 à 21:17, par Dedegueba Sanon En réponse à : Burkina : L’ancien ministre de la jeunesse, Smaïla Ouédraogo, lance son parti politique, « Les démocrates »
Je suis rarement d’accord avec vous, mais sur ce coup là je valide presque tout le texte. La seule partie où nos chemins divergent c’est lorsque vous dites que les RSS ne nous ont rien apporté. Ho ! Que si, les RSS nous ont evité l’humiliation d’une transmission familiale du pouvoir ou un "patrimoinisation du pouvoir" comme le disait feu Salif Diallo. Au demeurant tout reproche fait au RSS vise aussi le CDP qui était la maison mère.
Le 30 août 2022 à 09:37, par songma En réponse à : Burkina : L’ancien ministre de la jeunesse, Smaïla Ouédraogo, lance son parti politique, « Les démocrates »
Mr Sanon,
Moi je suis en désaccord avec vous sur votre derniére phrase :"Au demeurant tout reproche fait au RSS vise aussi le CDP qui était la maison mère" Il faut inverser votre affirmation. Moi je dis que Tout reproche fait au CDP vise en premier le trio RSS qui était le véritable maitre de l maison mére. Sous le regne de Blaise Comaoré, c’est le trio RSS qui décidait de tout au sein du CDP.
Tous ceux qui ont milité au CDP vont vous le confirmer.Blaise ne se mêlait pas de la vie du parti.Lui son seul problème c’était son fauteuil. Tout ce qui touchait au CDP était décidé par le trio RSS. Quand ils présidaient les réunions et voulaient faire adopter une décision, ils disaient "On vu le Chef ; il dit de faire comme ci, comme cela. C’était la formule consacrée.
C’est quand Blaise leur a retiré ce pouvoir là qu’ils sont partis.Sinon,jamais ils n’ont critiqué le régime ?Rappelez vous : le congres extraordinaire quia entériné l’affaire de l’article 37 a été présidé par Roch. Il a même dit publiquement que l’article 37 était anti démocratique.
Ensuite, quand on regarde l’héritage en termes de ressources humaines politiques que ce trio a laissé, c’est grave. Ils ont formé une bande d’opportunistes politiques qui n’ont aucune scrupule. Regardez les Mossé, les Smaila, les Zalissa, les Nacro etc..et toute la racaille qui peuple le MPP et ses satellites.
Ces gens n’ont aucune conviction.Ils n’ont que leurs intérêts à l’esprit. Tous ces traitres qui changent de parti là ;ils ont appris ça où ? Chez les RSS.
L’héritage politique que les RSS ont laissé, c’est la trahison, la duplicité, la corruption, les coups bas etc..
Leurs élèves sont meme en train de dépasser les maitres.
2. Le 27 août 2022 à 23:40, par Barou En réponse à : Burkina : L’ancien ministre de la jeunesse, Smaïla Ouédraogo, lance son parti politique, « Les démocrates »
VOICI TOUT CEQU ILS SAVENT FAIRE EUX CE QUI SE FONT APPELER INTELECTUELS AFRICAINS .
ABANDONNES PAR LEURS COMPLICES POLITIQUE ILS VONT CREER UN PARTI.
AVEC ROIT CEQUE LE BURKINA TRAVERSE YA DES GENS QUI PESSENT A CREER DES PARTIS.
3. Le 28 août 2022 à 02:40, par Sacksida En réponse à : Burkina : L’ancien ministre de la jeunesse, Smaïla Ouédraogo, lance son parti politique, « Les démocrates »
En outre c’est Blaise compaore et ses accolytes criminels qui ont transforme le Burkina Faso en navire de la mauvaise gouvernance, de la corruption endemique et des mensonges spectaculaires alies aux Neocolonialisme et a l’imperialisme Occidental pour des interets personnels egoistes et ceux de leurs maitres etrangers. Aussi chaque politiciens vereux qui sont obliges de creer des boutiques de quartier tenant lieu de Partis politiques sans ligne politique et ideologique determine pour esperer des postes de Deputes ou de Ministres a l’issue des prochaines competitions electorales Neocoloniales et corrompus et pour continuer leurs politiques demagogiques de misere de notre Peuple Burkinabe. Chaque jour nous implorons Dieu Sublime afin qu’il facilite l’acceleration de la prochaine Revolution Democratique et Populaire ou Sociale continuelle pour mettre un terme a la misere economiques, sociales et surtout securitaire desastreuse du Peuple Burkinabe qui est integre. Que Dieu Sublime aide notre Peuple Burkinabe. Salut
4. Le 28 août 2022 à 06:27, par Psssakziri En réponse à : Burkina : L’ancien ministre de la jeunesse, Smaïla Ouédraogo, lance son parti politique, « Les démocrates »
Chose qui retient mon attention, l absence de têtes couronnées comme on a l habitude de le voir dans toutes sortes de cérémonies. Si c est un choix des initiateurs de se passer de leur présence déshonorante, je dirais bravo ! Pour le reste , no comments.
Passakziri
5. Le 28 août 2022 à 07:26, par HUG En réponse à : Burkina : L’ancien ministre de la jeunesse, Smaïla Ouédraogo, lance son parti politique, « Les démocrates »
Ce monsieur n a fait que donner des salaires incroyable aux agents de santé sans penser à equiper les centres de santé pour soulager les pauvres malades.C est ce que je retiens de lui.Quand vous avez un probleme de santé specifiques que vous aller comprendre votre douleur.Ce genre de personne moulé par le fidele compagnon de blaise compaoré ne peut pas nous apporter grand chose.Il faudrait que le mpsr soit claire a travers le CNT.Si un fonctionnaire veut faire la politique qu il demissionne d abord ou qu il prenne une disponibilité de 10 ans minimum.Cela participe aussi a la depolitisation de l administration.
6. Le 28 août 2022 à 11:38, par Citoyen LAMBDA En réponse à : Burkina : L’ancien ministre de la jeunesse, Smaïla Ouédraogo, lance son parti politique, « Les démocrates »
Il ne faut pas que le MPSR se laisse abuser et tromper par toutes ces personnes qui en réalité se sont précipités pour créer leur machin de parti . Le création de ce parti répond à un objectif inavoué et vous verrez dans les jours et mois à venir des coups d’œil et des jeux de phare envers le MPSR. La motivation est très simple pour ceux qui ont un minimum d’analyse et de vigilance . Le président du parti et d’autres membres du bureau de ce parti ont des comptes à rendre sur leur gestion (ministère de la santé, ministère de la jeunesse ,SP/CNLST,CCVA ,ARCOP etc). Ce parti c’est juste pour chercher à amadouer le MPSR et espérer ainsi se protéger contre les audits qui pourraient être menés contre leur gestion antérieure et dont ils craignent les résultats . C’est tout .
7. Le 28 août 2022 à 12:41, par Moussa En réponse à : Burkina : L’ancien ministre de la jeunesse, Smaïla Ouédraogo, lance son parti politique, « Les démocrates »
Ce monsieur a volé l’argent de Covid-19 des Milliards
8. Le 28 août 2022 à 13:51, par jeunedame seret En réponse à : Burkina : L’ancien ministre de la jeunesse, Smaïla Ouédraogo, lance son parti politique, « Les démocrates »
Encore une preuve de nos infantilismes politiques. Aucune estime de soi. À quand la fin de ces attroupements désordonnés ? La politique au Faso a un seul sens : la fraction du pain. Et seule la médiatisation exalte l’orgueil de ces luluberlus ou écervelés. Rien dans la tête ; sauf la sapone. On crie ENSEMBLE ...ENSEMBLE.. sans être capable de faire voisinage ni colonie ni caravane. Pauvre Faso sans efforts d’association. L’Afrique peut-elle s’unir ?
9. Le 28 août 2022 à 19:13, par zemstaba En réponse à : Burkina : L’ancien ministre de la jeunesse, Smaïla Ouédraogo, lance son parti politique, « Les démocrates »
Ce parti commence son existence par une arnaque.
d’abord au Yatenga, il se présente comme l’héritier de Salif Diallo. Sur le plan factuel il peut être vu comme le "dernier" héritier de Salif, en ce sens qu’il était trés proche de Salif au moment de la mort de celui ci. Le problème c’est que il n’est pas seul. Et en plus il fait parti des derniers venus. De 1987 (anneé d’accession de Blaise au pouvoir ) à la création du MPP en 2015, Smaila n’avait aucune influence politique au Yatenga.C’est d’autres personnes qui ont travaillé avec salif sur le terrain.Mais comme Salif n’aime pas les gens qui lui résistent, tous les dauphins successifs ont été évincés. Et Smaila, qui jouait le bon petit sage, a émergé. Les autres anciens compagnons de Salif ne vont pas laisser Smaila capter toute la base de Salif.Eux aussi ont leurs zones d’influence et leurs réseaux propres. Et ils militent ailleurs et ont des ambitions politiques. Cela fait que Smaila aura forcément un sucés limité au Yatenga car il va devoir partaher l’ancienne base de Salif avec d’autres leaders.
ensuite, deuxième argument, il prétend étire financé par l’homme d’affaires Kadafi et par Nassa. C’est d’ailleurs cet argument massu qu’on sert à tous ceux qu’on veut mobiliser. Tout comme le PPS avance le nom de Ebomaf pour attirer vers lui tous les anciens maires et anciens députés affamés.
Quand on prétend avoir pour idéologie le Socialisme scientifique d’inspiration Sankariste, on ne se nomme pas "Les Démocrates". On doit s’appeler soit "Les Socialistes", soit "Les Sankaristes" soit " Les Socialo-Sankaristes" ou quelque chose de ce genre. De quoi avez vous peur ? Pourquoi ne pas s’assumer ?
S"appelle les "démocrates" ne signifie rien du tout. Tous les acteurs de la démocratie libérale en vigueur aujourd’hui sont des démocrates.Ce qui les diffère les uns et les autres, c’est l’orientation idéologique. comment faire confiance à un parti qui n’assume pas son orientation idéologique ?
Ensuite, Mr Smaila Ouédraogo était au MPP, en bon petit de Salif Diallo.Que je sache, le MPP se dit social démocrate.Donc, mr Smaila Ouéfraogo était social démocrate quand il militait au MPP, et maintenant que le MPP est tombé, il devient Socialiste d’inspiration sankariste. Avouez que ça ne fait pas sérieux. Qu’on change de parti, je peux comprendre.Mais changer d’idéologie, ça pose problème. Ça veut dire que demain, mr Smaila Ouédraogo peut devenir libéral, etc....Comment faire confiance à un leader politique qui change de conviction idéologique à chaque fois ? Il croit finalement en quoi ?
La même remarque vaut pour certains membres de son Comité Exécutif. L’ancien député Elysée Kiemdé en est membre.Or, ce monsieur se disait libéral quand il était à l’UPC. Ensuite il est sorti créer son propre parti et il se disait social démocrate. Donc maintenant, il est socialiste d’inspirartion sankariste.Où est le sérieux ?
Quand on regarde les membres du comité exécutif on voit que l’écrasante majorité sont des gens qui ont démissionné d’autres partis politiques, principalement du MPP. Ce qui veut dire qu’ils ont été initialement CDP, à commencer par Smaila lui meme ?
Cela pose un autre probléme. D’abord celui de la trahison. Comment faire confiance à des gens qui migrent ainsi de parti en parti au gré des pertes de pouvoir ? Ils ont la trahison dans le sang. Mr Smaila allait il quitter le MPP si le parti était toujours au pouvoir ? Non ! Donc c’est uniquement une question d’intéret personnel.
Ensuite,des gens formés au moule du CDP/MPP peuvent ils apporter du neuf dans ce pays.? J’en doute. Et ce n’est pas une question d’age. Un jeune formé par les prédateurs du CDP/MPP est plus dangereux qu’un vieillard qui n’a jamais milité dans ces partis mafieux.
Mr Ssmaila . joue sur deux arguments pour mobiliser les gens : ;
En clair, "Les démocrates", c’est un PPS bis. En quoi un parti créé sur la base qu’un milliardaire va apporter l’argent peut sauver le Burkina ? C’est mémé trés grave pour notre démocratie , que dans cette phase de transition ou on parle de refondation, les nouveaux partis qui se créent, animés de surcroit par des jeunes, sont des partis à la solde des mème puissances d’argent qui entretiennent la corruption dans notre pays. Le pays a que avenir avec ça ?
On n’est pas sorti de l’auberge !
10. Le 29 août 2022 à 09:22, par DF En réponse à : Burkina : L’ancien ministre de la jeunesse, Smaïla Ouédraogo, lance son parti politique, « Les démocrates »
Ey Windé...Le Burkina Faso et sa mutliciplité de partie politique, tchurrrrrrr
11. Le 29 août 2022 à 10:05, par MBAGOAMA En réponse à : Burkina : L’ancien ministre de la jeunesse, Smaïla Ouédraogo, lance son parti politique, « Les démocrates »
Oh mon pays le BURKINA FASO !!!!!Création de Parti politique par-ci création d’OSC par-là ; chacun fait ce qu’il veut et il n’y a rien. Pourquoi les pouvoirs qui nous gouvernent laissent faire ? On sait et tout le monde le sait que dans une communauté de personnes s’il n’y a pas d’union de cette communauté les efforts de développement ne peuvent pas avoir assez de chances d’aboutir. Dans notre pays ou il y a une centaine de partis politiques y a-t-il profit à quelque part pour le pouvoir ? Vraiment il faut limiter les partis politiques. A la longue ou disons d’ici les élections nous aurons 200. Je propose que l’ETAT laisse les partis politiques se financer elles-memes. Sinon la création de ces partis n’ont qu’un seul but. : les millions que l’ETAT octroie dans le financement des campagnes électorales. De là nous verrons que les partis folkloriques disparaitront pour laisser la place aux sérieux. Mais là encore il faut limiter à 3 partis comme dans certains grands pays.
12. Le 29 août 2022 à 12:12, par TRAT En réponse à : Burkina : « Notre génération va s’assumer ! », se lance Smaïla Ouédraogo, président de « Les démocrates »
Ce pays a un incroyable talent ! La preuve nous abritons la biennale du cinéma africain (FESPACO).
Une chose est certaine : même si on amène l’urne devant ma porte aux prochaines élections, JE NE VOTERAI AUCUN INDIVIDU.
13. Le 29 août 2022 à 12:53, par SID PAWALEMDÉ En réponse à : Burkina : « Notre génération va s’assumer ! », se lance Smaïla Ouédraogo, président de « Les démocrates »
Le problème n’est pas à la création d’un parti politique mais S’Maila, Zalissa et Urbain doivent nous convaincre de quitter là où ils nous ont amenés hier et là où ils nous ont fait prendre la parole hier pour stigmatiser certaines situations. Vous trois, vous êtes capables de dire le contraire à Poa et à Ramongo, à Tougou, Youba, Rapougouma ou bien à Koumna, Toollo et Ouindigui. Mais moi qui vous ai accompagné (S’Maila, Urbain et Zalissa) dans tous ces villages et qui ai pris la parole devant chacun de vous trois, qu’est ce que vous me conseillez d’aller leur dire ???
Le 29 août 2022 à 14:48, par Lecteur En réponse à : Burkina : « Notre génération va s’assumer ! », se lance Smaïla Ouédraogo, président de « Les démocrates »
SID PAWALEMDÉ, vous avez posé une vraie question, j’ai aimé. Tous les problèmes de la politique, même de notre pays, se trouvent dans cette question. Je suis sûr que les intérêts vont lire votre préoccupation, et même s’ils ne répondent pas directement ici, qu’ils trouvent le moyen d’y répondre ou de vous contacter. Bravo pour votre éducation !
14. Le 29 août 2022 à 15:50, par Alpha2025 En réponse à : Burkina : « Notre génération va s’assumer ! », se lance Smaïla Ouédraogo, président de « Les démocrates »
Ce que je retiens de M. OUEDRAOGO, c’est qu’il a cherché à tout prix à prendre le contrôle de la CAMEG, et comme il avait les textes contre lui, ce qui rendait son aventure périlleuse. Cela a entraîné pendant quelque temps, le blocage du fonctionnement de la structure. Et quand on indexait sa responsabilité, il ne se gênait pas pour clamer à la face du Burkina qu’il ne répondait que de Salif DIALLO. Qu’est ce qu’un tel personnage peut apporter au Burkina ?
Le 29 août 2022 à 17:32, par songboudou En réponse à : Burkina : « Notre génération va s’assumer ! », se lance Smaïla Ouédraogo, président de « Les démocrates »
internaute Alpha 2025, vous avez bien décrit le personnage. Smaila était le bon petit larbin de Salif. Quelqu’un formé dans l’ombre de Salif ne peut rien apporter à ce pays.Il est à l’image de son maitre:arrogant, suffisant, prêt à toutes les combines basses pour avoir ce qu’il veut. C’est pour cela qu’il avait de sérieux problèmes avec les medecins.
comme expliquait un autre internaute, Smaila est devenu le favori de Salif au moment de la création du MPP, parce que Salif est entré en conflit avec les gens qui l’avaient accompagnés jusque là.Salif Diallo n’aime pas l contradiction.Il n’aime que les Vouvouzelas, et ça, Smaila savait bien le faire.
Il faut que le MPSR audite son passage aux ministère de la jeunesse, de la santé et au Comité de lutte contre le sida. Mème chose pour le CCVA où Zalissa a puisé abondamment pour financer sa campagne. Mème s’il disent que leu parti soutient la transition, il faut que les audits soient faits.Tous ces anciens du régime MPP veulent se faire une virginité et sauver leurs têtes en démissionnant de leur ancienne maison et en créant de nouveaux partis.C’est peine perdue.IL faut qu’ils rendent ce qu’ils ont volé
15. Le 29 août 2022 à 17:01, par razougou En réponse à : Burkina : « Notre génération va s’assumer ! », se lance Smaïla Ouédraogo, président de « Les démocrates »
Ce monsieur Smaïla est un très bon technocrate mais politiquement il est est nul. Il a pendant longtemps profité de l’ombre du baobab qu’était Salif Diallo. Si non, il ne represente pas grande chose. Il sera très difficile pour lui de convaincre. C’est un intellectuel égaré en politique. Pas comme Laurent BADO qui, Lui , a des idées originales de developpement.
Pour avoir eu à faire des consultations avec lui, je me suis rendu compte que c’est un monsieur qui ne sait pas ou ne veut pas arrondir les angles. Il se dit plus intelligent, incontestable et seul son idée doit prévaloir.
La politique c’est pas les diplômes ; c’est les idées
Le 30 août 2022 à 08:05, par Yadega En réponse à : Burkina : « Notre génération va s’assumer ! », se lance Smaïla Ouédraogo, président de « Les démocrates »
Internaute Razougou,
Vous avez tout dit.
Smaila n’ira nulle part avec ce parti.
Au Yatenga tout le monde le connaît comme étant imbu de sa personne, suffisant, arrogant, méprisant et impoli
Il n’a de considération pour personne. C’est exactement le même comportement que Salif, sauf que Salif avait le pouvoir et l’argent. Or Smaila n’a rien de tout cela.
Quand vous discutez vavec Smaila, c’est lui qui doit avoir forcément raison. Il se prend pour le plus intelligent. Je suis sur que très rapidement il y aura des d’émissions. Smaila ne sait pas gérer une équipe. Il veut commander les gens comme des enfants.vous allez voir !
Au Yatenga Smaila ne pèse rien. Lui même le sait. Jusqu’à l’avènement du Mpp il n’avait aucun poids politique. C’est parce sue Salif s’est brouilleavec ses anciens lieutenants que Smaila à pu avoir une place. C’est Salif Ui l’a imposé sur la liste du Yatenga en 2015. Les militants n’en voulaient pas.
Se réclamer de Salif Diallo n’apporte rien à un homme politique au Yatenga aujourd’hui. Salif n’était pas aimé. Il.etait craint parce qu’il avait le pouvoir l’argent.etvetait foncièrement méchant. Si Smaila croit qu’il peut utiliser le nom de Salif pour réussir en politique au Yatenga il aura un réveil tres douloureux .
J’ai remarqué qu’aucune grosse pointure du Mpp n’a suivi Smaila. Or il a contacté plusieurs ténors du parti pour les convaincre de le suivre. Échec total ! Même les soit disant éléments de Salif ne l’ont pas suivi.
La plus grande faiblesse de ce parti c’est d’être un ramassis de gens qui obt trahi ailleurs. Qui a trahi trahira Duand on prend un à un les membres de la direction du parti, peu d’entre eux peuvent se faire élire député chez eux. Zalissa Koumarene peut pas s’imposer au Lorim. Urbain Yameogo n’a aucune chance au Bulkiemde, Elysee Kyemde est voli au Bazega, Aime Rouamba ex Modem n’a aucun poids au Kadiogo, même s’il raconte qu’il fait partie de la famille du Ouï-dire naba, etc....C’est donc un échec qui se profile à l’horizon.