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Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

Publié le jeudi 30 juin 2022 à 22h27min

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Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

Le Premier ministre, Albert Ouédraogo, a échangé avec les leaders coutumiers sur le chronogramme de la transition et le processus de dialogue avec la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), ce jeudi 30 juin 2022.

Le ballet de rencontres avec les forces vives se poursuit à la Primature du Burkina Faso. Après celles des acteurs politiques et économiques à la veille, c’est au tour des leaders coutumiers d’être reçus par le Premier ministre, Albert Ouédraogo.

Cette rencontre avec les autorités coutumières consiste à annoncer les couleurs de des prochaines discussions avec le médiateur politique au compte de la CEDEAO pour la transition au Burkina, l’ancien président nigérien Mahamadou Issoufou. En effet, il est attendu pour ce vendredi 1er juillet 2022 dans la capitale burkinabè.

Le Premier ministre, Albert Ouédraogo, a présenté certains grands sujets des pourparlers avec le médiateur de la CEDEAO.

En dressant le chronogramme de la transition à ses visiteurs du jour, le chef du gouvernement a parlé de « compromis dynamique ». Qu’en est-il exactement ? « Le compromis dynamique n’est pas dans une logique d’extension de la période de la transition qui a été signé à 36 mois. Il s’agit plutôt d’une logique de rejoindre un peu les préoccupations de la CEDEAO qui estime que la période de 36 mois est une durée qui n’est pas acceptable. Donc le compromis va être éventuellement dans le sens d’une réduction », a indiqué Albert Ouédraogo.

Les coutumiers, quant à eux, ont encouragé le gouvernement qui est dans la dynamique de consulter les forces vives pour parvenir à la paix au Burkina Faso. « Nous souhaitons que tous les fils et filles de ce pays s’unissent pour qu’on retrouve la paix, une paix durable », a confié le Ouidi Naaba, représentant du Mogho Naaba.

Le Ouidi Naaba est le porte-parole des autorités coutumières, à cette rencontre.

Il a été également question, au cours de cette rencontre, de féliciter les leaders coutumiers pour leur appel lancé la veille de cette rencontre pour le sursaut patriotique. « Le gouvernement est très reconnaissant vis-à-vis de ces chefs supérieurs », a déclaré le chef du gouvernement.

Lire aussi Burkina : Les chefs traditionnels réitèrent leur engagement à œuvrer au retour de la paix

Il faut noter qu’un sommet des chefs d’État et gouvernements de la CEDEAO est prévu pour le dimanche 3 juillet 2022 à Accra, au Ghana. La transition au Burkina Faso est au menu des échanges.

Cryspin Laoundiki
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 30 juin 2022 à 18:15, par Vérité En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

    Oui pour la réduction à 18 mois car leur venue a aggravé la crise. Du reste ils sont venus se multiplier les salaires. Ce régime est pire que celui des civils. Il ya que les soldats à l’instar des composantes de notre société doivent combattre....soldats de grâce utilisez nos armes pour nous sécuriser et pas pour nous dépouiller

  • Le 30 juin 2022 à 19:25, par Sassa En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

    Pourquoi attendre la derniere minute pour commencer les rencontres.Cela denote un manque flagrant de respect pour les acteurs.Le vrai probleme de notre pays c est l absence de sincerité.La rencontre avec le mediateur est pour le 2 , avec la cedeao le 3 et pourquoi c est aujourdhui seulement debute les concertations ? Pour aboutir a quoi ?
    Apres c est pour dire qu il ya des Burkinabé qui souhaitent des sanctions contre leur propre pays.

  • Le 1er juillet 2022 à 00:34, par Ouedson En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

    Pour ceux qui sont préssés de battre campagne je vous donne l’itinéraire.Pour le centre nord venez à Kaya y’a des Pdis.Qui ont fuit Barsalgho,Dablo,Pensa,Namissiguima et autres.ces derniers sont devenus des mendiants.vous aviez fait quoi pour eux.des gens qui sont tromatises.betaild volés.maisons incidies.vous aviez quel projet de société pour eux.Allez y à l’est ,centre -est le nord boucle du Mouhoun.qui vous écoute.j’ai rencontré un Pdi qui tout perdu même pas un acte de naissance ni cnib.ce dernier va t’il vous écouter.Je prie que Dieu veille sur notre pays et qu’au terme de la transition qu’il nous trouve dirigeant responsable et non pas un dirangeant responsable -irrespo sable.

  • Le 1er juillet 2022 à 01:28, par Sidpassata Veritas En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

    Moi, j’attends plutôt le compromis dynamique qui permettra de mettre fin à l’insécurité et d’obtenir une paix suffisante pour organiser les élections.
    Ça m’étonne que l’on semble se disputer sur la date du retour à une vie constitutionelle normale sans se préoccuper de comment faire pour mettre fin au désordre sécuritaire qui avait déjà obligé les débuté à voter le report des municipales pour cause de force majeure. Si l’insécurité dans laquelle baigne la quasi totalité du territoire national ne peut pas empêcher aujourdhui les élections, alors de deux choses l’une : ou bien le niveau de l’insécurité a baissé et il faut donc le reconnaitre au lieu de crier sans nuance à l’échec des militaires ; ou bien le report des élections qui avait été voté par les députés était alors une arnaque politicienne.
    Oui, le plus gros problème de notre pays c’est le défaut de sincérité, le mépris de la vérité et le manque d’amour vrai du notre pays et sa population de la part de nos dirigeants civils et militaires. Le mensonge nous mènera collectivement en enfer dès ici bas.

  • Le 1er juillet 2022 à 01:58, par Dibi En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

    Pathétique !
    Comme on n’arrête pas de le dire, ce Damiba Sandaogo et sa bande sont venus se remplir les poches !
    Et par inaptitude idéologique ou par calculs étroits d’intérêts matériels de classe, ils ne saisissent pas le sens de l’Histoire, et peinent à comprendre qu’on ne construit pas l’avenir d’un pays avec de vieux matériels humains, de féodaux centraux et périphériques englués dans logiques ethnicistes éculées.
    L’apparat des bonnets rouges, blancs bleus, des gandouras à bandes et grandes poches obliques et broderie avenante, ne dit que le conservatisme réactionnaire de cette couche de féodaux et d’illettrés qui agitent le sommet de l’Etat néocolonial burkinabè, depuis l’assassinat criminel de la RDP de Thomas Sankara en 1987.
    Depuis cette date, c’est le Hit-parade de ces éléments du féodalisme des plateaux centraux et périphériques burkinabè. Ils ont, sans hésité, accompagné et soutenu Blaise Kouacou Compaoré dans sa politique néocoloniale françafricaine de toutes les turpitudes criminelles, maffieuses compradores claniques et porteuses en interne et en externes de toutes les contradictions, crises et tensions de déstabilisation de la nation !
    Ses héritiers débilités, les M.C.Rock Kaboré, C.Simon, Bala Sakandé, Z. Diabré, incapables de rupture, n’ont pas fait mieux. Mieux, ils ont approfondit les contradictions, conjuguées avec une crise sécuritaire généralisée ; portée par des éléments proxy néo-impérialistes et d’inspiration djihado-salafiste volente criminelle et narcotrafiquante !
    Et étonnamment, et malheureusement pour nous, Sandaogo Damiba et son MPSR, sont venus pour se remplir les poches. On le sait maintenant, regardent la mutation de la crise sécuritaire en gouffre où tend à sombrer la nation et toutes ses institutions (administrations provinciales, écoles, centres de santé...) en plus des massacres et des millions de réfugiés internes jetés sur les routes, dans l’abandon et la misère !
    Et s’il fallait faire quelque chose, ces couches de féodaux centraux, ethnicistes, ne sont certainement pas la solution à nos malheurs, mais plutôt le problème !
    En soutiens compradores de tous les régimes néocoloniaux pourris et incompétents qu’a connu le Burkina-Faso, ces forces politico-sociales fossiles que sont les coutumiers et les religieux des mosquées et des temples évangéliques burkinabè, sont une des principales entraves à l’évolution correcte et progressiste du pays !
    Na an lara, an sara !
    La patrie ou la mort !

  • Le 1er juillet 2022 à 08:40, par HUG En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

    En tout cas c est mieux pour le MPSR car la restauration annoncée s est transformé en autres choses negatives pour le peuple.Votre Porte parole du gouvernement est à paris donc partez car les militaires sont fits pour gerer les questions militaires.Malheureusement les politcards rapaces donnent coudés franches aux militaires d intervenir dans l aréne politique.

  • Le 1er juillet 2022 à 08:45, par Anso En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

    Il faut que ce régime incapable dégage et au plus vite !!!!

    • Le 1er juillet 2022 à 09:54, par Sidpassata Veritas En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

      @Anso, vous dites qu’il faut que ce régime que vous pensez incapable dégage au plus vite. Si c’est cela la solution, dites nous le délai qu’il faut, comment et qui doit faire et qui prendra la place ?
      C’est facile de parler comme une machine automatique qui distribue des recettes miracles mais qui ne réfléchit pas en face de la réalité concrète. Beaucoup de politiciens et d’agitateurs font comme vous en se contentant d’exprimer leur rancœur sans nous dire à quel sacrifice ils sont prêts à consentir pour qu’on sauve notre pays de la menace sécuritaire qui crée un situation de désordre.
      Certains internautes nous récitent des principes et des mots appris par cœur mais qui ne valent qu’en situation normale où l’intégrité du territoire, des biens et de la population ne subit pas de menace grave. Certains qui se croient révolutionnaires ont de propos outranciers et injurieux vis-à-vis des autorités coutumières, mais eux-mêmes sont on ne peu plus rétrogrades puisqu’ils se contentent de vieilles rengaines héritées de l’aire soviétique dite révolutionnaire. Ils sont incapables de penser des solutions authentiques accordées à nos réalités actuelles dont la chefferie coutumière est une composante qui a eu les ressources nécessaires pour résister à l’agression successive de la traite négrière, de la colonisation, du néocolonialisme des ’’indépendances’’, des conflits ethniques montés de toutes pièces, des coup d’État et de la politique politicienne.
      Avant de nous préoccuper de nos intérêts individuels et au lieu de s’en prendre aux autres par écœurement pour ce qui est une cause de vie ou de mort pour tous, il faut d’abord être reconnaissant envers ceux qui se battent pour tous, regarder notre pays, sa population qui souffre et comment on peut tous ensemble agir pour changer les choses. S’énerver contre les autres au moment ou on doit tous se battre pour sauver notre peau, n’est que signe d’immaturité politique et carence de fibre patriotique. C’est mon avis.

      • Le 1er juillet 2022 à 17:41, par Kouda En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

        Sidpassata Veritas,
        Vous avez vu juste. En réalité, nous avons beaucoup de partisans de la courte échelle au Faso. Ce qui les préoccupe et les occupe c’est leurs intérêts personnels. L’intérêt général ne les a jamais préoccupés. Comment comprendre que des gens aujourd’hui, avec la situation sécuritaire et la détresse humaine très répandue dans notre pays, ne se préoccupent que de dates des élections et de retour des politiciens au pouvoir.
        C’est très triste, très flippant même comment les gens pensent et se comportent ici. Personne n’aime vraiment son prochain. Chacun ne se soucie que de ses propres intérêts égoïstes de très très court terme même si ceux-ci sont incompatibles avec ses intérêts de long terme.
        La pourriture est fortement ancrée dans notre pays que l’extirper est une tâche quasiment impossible.

  • Le 1er juillet 2022 à 08:50, par kwiliga En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

    Ben, il semble que la justification d’une période de 3 ans, reposait sur le fait que la situation sécuritaire et humanitaire de notre pays, ne permettaient pas d’envisager l’organisation d’élections dans un laps de temps plus court.
    Donc, si aujourd’hui, l’on prévoit une transition de moins de 36 mois, c’est que la situation est en train de s’améliorer considérablement et que, comme l’affirmait Lionel Bilgo sur France 24, "les terroristes sont acculés par endroits".
    Le vrai problème, c’est tous ces gens du Burkinistan, qui sont toujours en train de se plaindre et refusent de voir la formidable reconquête du territoire réalisée par nos FDS et dont le point d’orgue sera sans aucun doute l’organisation du prochain FESPACO, au cours duquel, n’en doutons pas, nous verrons nos militaires et les anciens terroristes, aller aux projections main dans la main.

  • Le 1er juillet 2022 à 09:17, par Sonni ALIBER En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

    Le gouvernement du MPSR =RSP s’est transformé en enfer pour le ‘peuple burkinabé /la situation sécuritaire s’est empirée et rien ne va plus entre les membres du gouvernement des USURPATEURS /QU’ATTEND LE PEUPLE BURKINABÉ POUR CHASSER LE MPSR ?

  • Le 1er juillet 2022 à 09:37, par Juste En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

    Le socle même de ce régime est faux et rien ne peut se bâtir sur du faux ; vous trahissez et vous voulez par la suite avoir la bénédiction de DIEU et le soutien des hommes, vous aussi, il faut voir. Moi.

  • Le 1er juillet 2022 à 09:56, par Yao En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

    Maintenant que tous s’est dégradé sinon pire que sous mpp comment allons-nous organiser les élections avec des zones totalement coupées isolées des grande villes ??? Vous aviez empiré la situation qu’il ne l’était avant

  • Le 1er juillet 2022 à 10:32, par kks En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

    Maintenant on chercher raccourcie pour laisse le pouvoir, vu que tu a compris que s’était la faut à ROCH.
    Damiba et consorts vous êtes oubliés de terminer pour nous ramené la paix tu a dit que tu es compétant et ROCH n’est l’ai pas .essai de sortir nous t’attendions à la porte.

  • Le 1er juillet 2022 à 10:57, par Yovis En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

    Le vrai problème de la Haute Volta et du Burkina Faso a toujours été l’armée et les militaires. Plus affairistes plus intrigants que de réels hommes capables de défendre le pays. L’armée n’a vécu que par des mythes : CNEC mythique, RSP mythique, Djendiéré mythique.
    Si les Burkinabè veulent la paix et la quiétude, ils doivent se défaire de cette armée.

  • Le 1er juillet 2022 à 12:14, par Reflechi En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

    Aucun FDS OU VDP n’accompagnera pas un politicien faire campagne qui vivra vera, pourquoi les législative étaient reportées, n’oublier le cas de Soumaila CISSE au mali

  • Le 1er juillet 2022 à 13:45, par Sidpawalemde Sebgo En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

    Mais de quoi on parle là ? Au vu de la situation, on ne peut faire que deux hypothèses :

    1°) Soit les dirigeants de fait actuels sont tout simplement incapables de gérer la situation sécuritaire dans le sens d’une amélioration ;

    2°) Soit ils laissent volontairement pourrir la situation pour avoir des arguments face à la population et à la communauté internationale pour une durée de la transition équivalent au moins à un mandat électoral ;

    Dans les deux cas, cela signifie que chaque mois qu’ils vont passer au commandes se traduira par plus de morts, plus de déplacés internes et plus de territoires perdus. De sorte que ni dans 18 mois, ni dans 36 mois, des élections ne seront possibles. Car ne nous y trompons pas, de leur point de vue, s’il n’y a pas d’élection, cela signifie qu’ils sont toujours au pouvoir.

    C’est clair comme de l’eau de roche que la seconde hypothèse semble prévaloir, et certaines "petites choses" trahissent des ambitions de rester au pouvoir le plus longtemps possible et le peu de priorité accordé à une lutte réelle, résolue et décisive contre le terrorisme :

    1) La multiplication des évènements et activités de diversion, aux antipodes de la priorité sécuritaire déclarée comme les opérations mana mana, la chasse aux fonctionnaires retardataires, les rencontres-spectacles, le maintient d’évènements festifs (SIAO, FESPACO)pourtant annulés auparavant avec une situation sécuritaire moins dégradée.

    2°) Des décisions qui montrent l’absence d’urgence à leurs yeux, ainsi que de priorités budgétaires comme l’établissement d’un plan stratégique de réconciliation nationale sur la période 2022-2026 ou encore le projet d’accueil de la CAN 2027. Combien coûte l’organisation d’une CAN quand on manque d’armes et d’équipements ? Mais visiblement, celui qui a eu l’idée se voit toujours "aux affaires" et dans la tribune officielle au lancement de cette CAN et tznt pis pour les PDI...

    3) L’absence totale de toute activité qui va vers le retour à un ordre constitutionnel normal comme des cadres de discussion sur des amendements à la constitution, le code électoral, le format de la CENI ou toute autre question liée.

    Alors oui, une limitation de la durée de la transition par la CEDEAO est souhaitable, mais il est encore plus souhaitable et urgent que nous finissions notre transition avec d’autres dirigeants, car ceux-là n’ont visiblement ni envie de quitter le pouvoir avant longtemps, ni l’intention de nous débarrasser du terrorisme qui est leur alibi pour le faire.

    La seule question est comment on "balaye" des gens en armes qui n’auront peut être pas le patriotisme de Blaise Compaoré pour partir avant le millier de morts ?

  • Le 2 juillet 2022 à 23:18, par sawadogo En réponse à : Burkina : Le Premier ministre évoque une éventuelle réduction de la période de la Transition

    Merci à vous monsieur Sidpasdata vertas pour votre grandeur d’esprit. On aura toujours envie de vous lire. Vous interpellez toute la classe politique et le peuple. Pour l’instant les burkinabe n’ont pas comme priorités les élections. La priorité des priorités pour nous c’est comment vivre ensemble et paisiblement.

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