Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
Une stratégie nationale de la réconciliation nationale 2022-2026 et son plan d’actons est en cours de validation ce jeudi 16 juin 2022, à Ouagadougou. Un atelier a été initié à cet effet par le ministère en charge de la réconciliation nationale. L’élaboration du document a été rendue possible grâce au soutien du Programme des nations unies pour le développement (PNUD).
La persistance et l’aggravation des déchirures du tissu social résultant d’épisodes douloureux, la dégradation continue de la cohésion sociale au Burkina Faso, mise à mal par des évolutions de natures diverses, le nouveau contexte sécuritaire ont engendré de nombreuses conséquences qui ont impacté négativement le vivre-ensemble. C’est fort de ce constat que la mise en place d’une stratégie nationale de la réconciliation nationale 2022-2026 et de son plan d’actions a été pensée. L’atelier de ce jour vise à présenter ce projet de document aux participants, recueillir leurs amendement et suggestions avant son adoption.
Le PNUD appuie de façon générale le processus de réconciliation nationale enclenché au Burkina Faso, en particulier la mise en œuvre de cette stratégie en cours de validation. Son représentant résidant, Mathieu Ciowéla, reconnaît que le processus est dynamique car il requiert la participation de chaque citoyen, de toutes les institutions du pays et de tous les acteurs. Le représentant résident du PNUD appelle ainsi au changement de mentalités, de comportement, des manières de faire qui empoisonnent le vivre-ensemble.
- Le représentant résident du PNUD, Mathieu Ciowéla appelle à un changement de comportement
« Ce sont des vecteurs essentiels au raffermissement du tissu social. Il exige des actions continues, de la patience, de l’abnégation et du respect mutuel », a-t-il exhorté. De son entendement, cet atelier doit être le début d’une nouvelle ère pour la collaboration entre le ministère de la Réconciliation et les parties prenantes actives dans ce domaine, et pour les mécanismes et espaces de médiation et de dialogue appelés à se renforcer et à jouer un rôle plus accru dans le processus de consolidation de la paix au Burkina Faso.
- Les participants sont invités à passer rigoureusement au crible le document
Le ministre en charge de la réconciliation nationale, Yéro Boly, a du reste laissé entendre que son département travaillera à faire de cette stratégie et de son plan d’actions les outils de base de tous les acteurs intervenant dans le domaine de la cohésion sociale et de la réconciliation nationale. Par conséquent, il a invité l’ensemble du peuple burkinabè à s’approprier cette stratégie afin d’œuvrer au retour de la paix et du vivre-ensemble autour des valeurs républicaines qui ont toujours fait la force du « pays des hommes intègres ».
- Le ministre Yéro Boly rassure que le document servira de boussole pour son département
La stratégie nationale de la réconciliation 2022-2026 est un document dont la méthode d’élaboration a été des plus participatives et inclusive, à en croire le ministre d’Etat, en charge de la réconciliation. Pour preuve, il a évoqué la diversité des profils des membres des comités techniques et de pilotage.
Obissa Juste MIEN
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 16 juin 2022 à 14:28, par Mafoi En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
Monsieur Boly Yero et consorts,vous avez fait votre putsch et ensuite,vous êtes venus demander à la population de vous accorder 3 ans afin de restaurer l’intégralité du territoire burkinabé et donc,ne venez jouer aux abracadabrantesques avec votre stratégie nationale de réconciliation nationale 2022-2026.Foutaise,presque 4 ans pour amuser la galerie avec votre réconciliation sans tête ni queue car personnellement,je ne sais pas de quoi vous parlez ou voulez parler.Ecoutez,restaurez-vous bien au bout des 3 ans puisque vous êtes venus pour ça et ensuite,dégagez.Marre de votre escroquerie
2. Le 16 juin 2022 à 15:01, par Barou En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
C EST QUI AU BURKINA QUI A BESOIN DE CETTE RECONCILIATION NATIONALE ?????????
3. Le 16 juin 2022 à 15:28, par De Balzac En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
Félicitations et encouragements au ministère en charge de la réconciliation. Creuser les plaies puantes du Burkina sans faux fuyant pour que les burkinabe se parlent. Toutes les ethnies doivent se parler en fils et filles d’une même nation, ni chefs, ni sujets mais des ethnies qui se valent. D’autres pays ( Rwanda, Afrique du Sud, Angola, Liberia) ont vu pire plus que le Burkina et ils se sont relevés. Alors, nous pouvons aussi mais dans la vérité
Le 17 juin 2022 à 10:38, par Passakziri En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
@ De Balzac
Je ne sais pas qui ne parle pas avec qui au Burkina, mais ce que je sais c’est qu’il n’existe pas d’ethnie qui ne se parlent pas . Il n’existe pas d’ethnie chef ou d’ethnie sujet. Il existe de chefs et des sujets dans les ethnies , mais ca se limite là. On essaie de nous faire croire à un problème qui n’existe pas. Toutes les ethnies se valent au Burkina et aucune n’est favorisée, contrairement au Rwanda d’avant génocide.
Si le Burkina a un probléme, c’est un probléme de vérité, parce que nous fuyons derriére cette fameuse reconciliation pour éviter de voir la vérité en face. En somme , nous n’aimons pas la vérité. C’est ce qui fait qu on choisit la facilité de voir telle ethnie defavorisée et telle favorisée, telle impliquée dans les attaques , telle victime. Tout ca est alimenté par des intellectuels aux pétits pieds qui font croire leurs inepties aux moins instruits.
Si nous avons un autre probléme, c’est un problème de justice ou plutôt d’hommes et de femmes de la justice qui refusent de s’assumer si bien qu’il est facile de causer du tort à un Burkinabé et puis y’a rien , en temoigne comment certains se retrouvent en prison ou en garde à vue sans jugement, sans avoir jamais vu un avocat, en temoigne la mascarade constitutionelle avec l’investiture de Sandaogo Sesse Seko.
Le troisième problème que nous avons et qui nous fait ch..r des pointes n’est que la resultante des deux premiers à mon avis.
Mais de ronciliation nous n’avons aucun problème avec.
Passakziri
4. Le 16 juin 2022 à 17:01, par HUG En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
Il n y a pas un probleme de reconciliation au BF.La reconcialation entre blaise compaoré et ses anciens amis ne nous interesse pas.
5. Le 16 juin 2022 à 17:49, par Lom-Lom En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
Tant que vos milliards de documents ne contiendront pas la démarche Vérité-Justice-Reconciliation, c’est peine perdue ! Cela vous a été répétée par tant d’hommes de bonne foi et il ne y a rien d’autre à ajouter ! Vos gros bonnets et vos boubous de toutes couleurs ne convaincront personne et vous finirez par emporter vos documents dans l’au-delà ! La vérité est et restera immuable !
6. Le 16 juin 2022 à 18:47, par Sidbendeba sawad En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
Bonjour je suis vraiment content de l’initiative de la demande de pardon pour que l’on se réconcilie mais je souhaite que l’on se permet dire a l’un et l’autre ce on a eu a d’offenser pour que l’on pardonne dans la sincérité et l’on enterré définitivement la hache de guerre pour la paix durable .
7. Le 17 juin 2022 à 07:39, par Tengbiiga En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
Qu’est ce que le PNUD et les autres "partenaires techniques (sic !) et financiers" ont a faire dans notre réconciliation NATIONALE.
Il ne s’agit pas d’une question financière ou technique. C’est cette prostitution du pays et tous ces amalgames qui ont amené cette situation d’insécurité et d’implosion du pays. Vos analyses de courte vue pénalisent d’avantage le pays. RESAISISSEZ-VOUS et attaquez vous à l’essentiel.
8. Le 17 juin 2022 à 08:16, par Naso En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
Les occidentaux ont quoi à avoir dans notre réconcialtion (première photo). Vous pensez qu’ils ont intérêt à ce qu’on s’entende ?
9. Le 17 juin 2022 à 08:21, par Sonni ALIBER En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
QUE LES BURKINABÉ NE S’EN DOUTES PAS C’EST BLAISE COMPAORÉ ET SON CHEF DU RSP =MPSR QUI DIRIGE LE PAYS,DAMIBA EST UN PION CHOISI POUR GÉRER LES SITUATIONS COURANTES EN ATTENDANT L’ARRIVÉE PROCHAINE DES VRAI PERSONNALITÉS DU COUP D’ÉTAT (BLAISE COMPAORÉ ET GILBERT DIJENDERÉ ET KAFANDO) le peuple burkinabé est dans une situation politique difficile et MAFIEUSE ,qui contrôle le pays contrôle sa richesse ,,le CDP EST LA CHEVILLE OUVRIÈRE DU MPSR =RSP
10. Le 17 juin 2022 à 08:36, par RELWENDE N PAAS PANGA En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
Huun ! vous croyez inventer quoi au juste ;vous allez toujours échouer tant que le sang de la sincérité n’est pas en vous.Repartez lire le rapport du collège des sages et revenez nous dire s’il peut eu avoir autres solutions en dehors de la vérité justice avant une réconciliation. Pourtant votre gouvernement est très mal placé pour une réconciliation. Des gens qui arrivent aux pouvoir et subitement réhabilitent des personnes soupçonnées de crime ou de complicité de crime de sang sans aucune forme de procès. réconcilier les hommes de tenus entre eux d’abord et le reste viendra sinon c’est peine perdu.Vous êtes arrivé au pouvoir par la grosse mensonge au peuple.ressaisissez vous avant que la réponse Divine vous atteint le cœur .
11. Le 17 juin 2022 à 09:00, par Réflexion En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
Bonjour à tous, je trouve l’initiative en elle même très pertinente pour peu que les vrais sujets soient traités de façon impartiale et rigoureuse et que cela ne soit pas un autre document de plus juste pour amuser la galerie. Toutefois, mon gros problème avec cette initiative est la source de financement. Pourquoi pour un problème national aussi sérieux qui impact très négativement sur la cohésion sociale et la stabilité du pays en tant que Etat nation, la source de financement n’est pas la caisse de l’Etat. Cela nous aurait permis de travailler avec plus de liberté et de choisir de façon indépendante le profil des personnes devant siéger dans le comité. Je le dis je n’ai rien contre le PNUD qui du reste fait un bon boulot à travers le monde mais le financement d’une telle activité ne devait en aucun cas être assuré par une institution autre que l’Etat burkinabé. Il faudra un jour que nos dirigeants comprennent qu’il y a des actes qui ne nous honorent pas et que l’on ne peut pas tout sous-traité comme par exemple sa dignité.
A quand l’Afrique ?
12. Le 17 juin 2022 à 09:50, par Passakziri En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
Ca devient comme du chantage avec cette réconciliation .
Qui a quel problème avec qui ?
La justice suffit déjà si elle fait son travail .
Domc arrêtez votre cirque parce que vous cherchez des financements d institutions internationales, en témoigne ici votre entourage même.
Passakziri
13. Le 17 juin 2022 à 10:02, par Sacksida En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
Ecoutez il y’a plus de 5.000 dossiers de crimes economiques et sociaux qui vous ont ete transmis par vos predecesseurs et des structures techniques tels que le HCRUN et un decret de portee general avait ete adopte, si je ne m’abuse ? Avez vous besoins que le PNUD s’implique pour tenir un Atelier et de validation du Plan d’Actions ? Vous faites Honte car a la fin de cette Transition Forcee nous serions a 10 ans que ce Dossier traine dans les Tiroirs du Faso, et cela demontre que votre Gouvernance est plus que Aberrante et abracadabrante.
Franchement, pour quelqu’un de l’experience averees de la trempe de Yero Boly, c’est incomprehensible et deplorables..Salut
14. Le 17 juin 2022 à 15:33, par SOYONS VRAI ! En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
Idée bien louable, sauf qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil ! Les gouvernants Burkinabè ont un problème, un mal, un cancer qui empêche le pays d’avancer. Ce mal, c’est ’’l’éternel recommencement’’ ! Ce mal, c’est la non-application des textes et propositions qu’ils adoptent. Votre fameuse stratégie de réconciliation n’est pas mal, mais qu’a-t-elle de meilleur à la Proposition du collège des sages sous le régime Compaoré que d’ailleurs ledit régime a refusé d’appliquer ? Ce document a été amélioré par des propositions complémentaires issus du HCRUN que le MPSR a révoqué avec effet immédiat. J’invite le gouvernement actuel et l’ALT de relire sans lunette le document en question et ils se rendront compte que l’actuelle stratégie de réconciliation n’est pas loin d’un produit au rabais. Tout ceci s’explique par le fait que vous gouvernants Burkinabè n’êtes pas prêts à donner où à reconnaitre la paternité d’une réussite quelconque à un autre gouvernant Burkinabè ! Chacun cherche à donner sa couleur à la chose même si le besoin n’ y est pas. Ainsi vous avez toujours de beaux textes, de belles propositions pour le bien de vos populations malheureusement qui ne sont jamais mis en œuvre ! Vous connaissez la vérité sur vos lèvres mais vous fuyez son application. Or on ne peut pas avancer sur la base du faux ! Tout ce qui est taillé sur mesure est appelé à tomber dans l’obsolescence : on l’a vu avec Blaise Compaoré avec sa fameuse journée du pardon ; qu’est-ce que ça accouché ? la fuite de Kosyam en plein midi.
Et je pense que ce régime militaire n’est pas indiqué pour conduire la réconciliation au Burkina. Au regard des actions déjà posées, il est le régime le plus mal placé pour une réconciliation vraie et durable entre Burkinabè. Toutefois, il pourra se racheter en se retournant résolument vers le peuple Burkinabè pour l’écouter et agir comme celui-ci le désir (1) et en venant au bout du terrorisme (2). Tout ce que les Burkinabè attendent, c’est un Burkina où chacun peut aller et revenir, vaquer à ses occupations et jouir du fruit de ces efforts sans être inquiété....
C’est pourquoi, le MPSR doit recadrer son action sur le motif pour lequel il a foulé la Loi au pied pour se hisser au pouvoir. Ce qu’il faut craindre maintenant, c’est un Rwanda au Faso. Et si le pouvoir n’agit pas avec fermeté, les signes avant-coureurs sont déjà à la porte. Que Dieu sauve ce beau pays, que Dieu préserve ce merveilleux peuple du Burkina, que Dieu donne toute la sagesse aux autorités pour conduire le pays à la victoire sur les ennemis. VIVE le BURKINA FASO.
15. Le 17 juin 2022 à 18:25, par Dibi En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
Avec des politiques comme Sandaogo Damiba et Yéro Boly, on est dans la constance-continuité néocoloniale pour sauver un Etat de bourgeois compradores en faillite totale et non-sauvable. Et pour réconcilier, de façon illusoire, les différentes factions de cette bourgeoisie compradore d’incompétents, de vendus et de pourritures néocoloniales, réactionnaires et etno-centrées, par la farce des rencontres, et les papotages de rengaines politiques, servies avec petits fours et champagne au frais du PNUD qui ici, met le magot sous et sur la table !
Une méthode infaillible de faillite que savent faire et organiser toutes les pourritures de Nègres de maison en Afrique ; et longtemps initiée ici par le satrape Kouacou Compaoré depuis 1987.
Et bien qu’on nous le dise physiquement et cognitivement fini, il continue cependant à être au centre des débats politiques et autres Appels de Manéga, ad nauséam à Ouaga, et que savent lancer ses héritiers politiques, pour amuser la galerie et se coucher sur l’histoire !
Tout ça pour un seul homme, même fini, et tranquillement posé dans ses canapés à Abidjan, même la conscience touble et perturbée ! Et ses héritiers politiques du CDP, MPP, UPC, AFD-RDA, et autres accointances hybrides du GCB (Groupe communiste burkinabè) embarquées dans la Rectification criminelle de la RDP hier ; et aujourd’hui avec Sandaogo Damiba du MPSR, un restaurateur néocolonial opportuniste réactionnaire à la solde des intérêts français, du compradorat local et des grands féodaux centraux et périphériques.
Ce Sandaogo est la suite de ce grand mensonge, dressé au carrefour des forces politiques burkinabè, incapables de toutes ruptures avec des intérêts ligués contre notre peuple ; ce peuple qui a soif de justice sociale et d’indépendance véritable que porterait une révolution sociale démocratique, anti-impérialiste et panafricaine, à la suite de la RDP de Thomas Sankara !
Le compradorat local réactionnaire et le Néocolonialisme affairiste et corrompu sont sans solutions politiques et sociales émancipées aux problèmes de nos peuples !
Na an lara, an sara !
La patrie ou la mort !
16. Le 17 juin 2022 à 20:11, par Dibi En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
Avec des politiques comme Sandaogo Damiba et Yéro Boly, on est dans la constance-continuité néocoloniale pour sauver un Etat de bourgeois compradores en faillite totale et non-sauvable. Et pour réconcilier, de façon illusoire, les différentes factions de cette bourgeoisie compradore d’incompétents, de vendus et de pourritures néocoloniales, réactionnaires et etno-centrées, par la farce des rencontres, et les papotages de rengaines politiques, servies avec petits fours et champagne au frais du PNUD qui ici, met le magot sous et sur la table !
Une méthode infaillible de faillite que savent faire et organiser toutes les pourritures de Nègres de maison en Afrique ; et longtemps initiée ici par le satrape Kouacou Compaoré depuis 1987.
Et bien qu’on nous le dise physiquement et cognitivement fini, il continue cependant à être au centre des débats politiques et autres Appels de Manéga, ad nauséam à Ouaga, et que savent lancer ses héritiers politiques, pour amuser la galerie et se coucher sur l’histoire !
Tout ça pour un seul homme, même fini, et tranquillement posé dans ses canapés à Abidjan, même la conscience trouble et perturbée ! Et ses héritiers politiques du CDP, MPP, UPC, AFD-RDA, et autres accointances hybrides du GCB (Groupe communiste burkinabè) embarquées dans la Rectification criminelle de la RDP hier ; et aujourd’hui avec Sandaogo Damiba du MPSR, un restaurateur néocolonial opportuniste réactionnaire à la solde des intérêts français, du compradorat local et des grands féodaux centraux et périphériques.
Ce Sandaogo est la suite de ce grand mensonge, dressé au carrefour des forces politiques burkinabè, incapables de toutes ruptures avec des intérêts ligués contre notre peuple ; ce peuple qui a soif de justice sociale et d’indépendance véritable que porterait une révolution sociale démocratique, anti-impérialiste et panafricaine, à la suite de la RDP de Thomas Sankara, si on avait l’avant-garde dédiée et mobilisée au sein des masses !
Le compradorat local réactionnaire et le Néocolonialisme affairiste et corrompu sont sans solutions politiques et sociales émancipées aux problèmes de nos peuples !
Na an lara, an sara !
La patrie ou la mort !
17. Le 19 juin 2022 à 13:01, par jeunedame seret En réponse à : Réconciliation nationale au Burkina Faso : Vers l’adoption d’une stratégie nationale 2022-2026
Vraiment, PASSAKZIRI, tu dis vrai. Qui ne parle pas à qui au Faso ici ? Les ethnies sont devenues des boucs émissaires de ces politiciens malhonnêtes et irresponsables. Et ce ne sont pas les rencontres blanc-colorées qui manquent pour endormir la population. Et la vérité est toujours contournée avec de nouvelles mises en scène pour tuer les choses dans le temps, avec la complicité des grands sorciers internationaux. « Le représentant résident du PNUD appelle ainsi au changement de mentalités, de comportement, des manières de faire qui empoisonnent le vivre-ensemble. » De quelle mentalité ? Changer vers quel côté ? Voulez vous nous créer et nous récupérer une nouvelle mentalité pour vos objectifs de subordination ? Dites les choses ouvertement ; reconnaissez que vous avez noyé les vérités et la justice ; reconnaissez que vus êtes en train de saupoudrer nos gouvernants pour éterniser le mal chez nous. Espèces de gaamatairs.