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« Assurer à chaque enfant en âge scolaire un repas équilibré par jour » : Le bilan de l’initiative présidentielle

Publié le mercredi 30 mars 2022 à 22h50min

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« Assurer à chaque enfant en âge scolaire un repas équilibré par jour » : Le bilan de l’initiative présidentielle

La première session ordinaire du Cadre technique de concertation de l’initiative présidentielle « Assurer à chaque enfant en âge scolaire au moins un repas équilibré par jour » (CTC-IP) s’est tenue ce mercredi 30 mars 2022 à Ouagadougou. L’initiative a pour objectif global de contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle des enfants en âge scolaire et des ménages ruraux vulnérables au Burkina Faso.

C’est sous le thème « Bilan et perspectives de mise en œuvre de l’initiative présidentielle “Assurer à chaque enfant en âge scolaire au moins un repas équilibré par jour” » que se tient la première session de 2022 du CTC-IP).

Cette initiative, qui couvre la période 2021 à 2025, se traduit comme un engagement du chef de l’Etat à améliorer la situation alimentaire et nutritionnelle chez les enfants en âge scolaire ainsi que les revenus des ménages en situation de précarité.

La rencontre a pour objectif de faire le bilan de sa mise en œuvre au titre de l’année 2021 et de dégager les perspectives pour 2022.

Les participants

L’initiative vise à améliorer la disponibilité alimentaire ; l’état nutritionnel des enfants en âge scolaire ; les revenus des ménages vulnérables ainsi que la gouvernance des cantines scolaires.

Selon la présidente du cadre technique de concertation de l’initiative, Yvonne Roamba/Djigma, cette session constitue une opportunité pour les membres et observateurs du CTC (anciens comme nouveaux) d’examiner le compte-rendu de la première session 2021 du CTC. Mais aussi d’examiner l’état de mise en œuvre des recommandations issues de la dernière session du Cadre technique de concertation et l’examen et l’adoption de la feuille de route 2022 de l’IP.

« Nous avons en 2021 reçu un certain nombre d’orientations qui vont de l’amélioration de la disponibilité alimentaire jusqu’aux cantines scolaires. Une des orientations était de demander au MENAPLN qui est chargé de la gestion des cantines scolaires, d’examiner les différentes difficultés que les acteurs rencontrent pour améliorer un peu cette composante qui est visée par l’initiative présidentielle », a indiqué la présidente du cadre technique de concertation de l’initiative, Yvonne Roamba/Djigma.

L’objectifs global est de contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle des enfants en âge scolaire et des ménages ruraux vulnérables au Burkina Faso

Comme perspectives, poursuit-elle, « nous avons un programme 2022 que nous allons examiner et certainement adapter et adopter tout de suite. Il sera aussi question de voir avec les sectoriels comment est-ce que nous allons juguler nos problèmes. Au niveau de l’amélioration de la disponibilité des aliments, il faut que nous trouvions des moyens de produire au niveau de notre pays parce que les achats ne sauront pas toujours nous aider ».

Les résultats attendus au sortir de cette session sont, entre autres, le compte rendu de la première session 2021 du CTC examiné et adopté ; l’état de mise en œuvre des recommandations de la première session 2021 du CTC examiné ainsi que la feuille de route 2022 examinée et adoptée.

Hanifa Koussoubé
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 31 mars 2022 à 01:09, par Dibi En réponse à : « Assurer à chaque enfant en âge scolaire un repas équilibré par jour » : Le bilan de l’initiative présidentielle

    Est ce l’hôpital qui se fout de la charité ?
    Le régime s’engage à fournir un repas équilibré par jour à chaque enfant en âge scolaire ou élève scolarisé. Mais pour l’heure, ils sont par millions dans la nature, car leurs écoles sont fermées par les forces proxy de l’impérialisme français (les djihadistes narcotrafiquants et des forces armées dont la combativité est avachie par un encadre médiocre d’officiers corrompus et incompétents. Ca fait mal de le dire ainsi contre tous nos souhaits et espoirs contrariés parce que nous aimons ce pays !
    La question est maintenant de savoir où seront assurés ces repas quand les enfants et leurs parents sont sur les routes de l’exil interne et leurs écoles fermées ?
    Des prétentions à pleurer de rire, bien difficiles à tenir dans le contexte actuel d’un Etat failli ; et qui peut-être compte sur l’aide des ONG occidentales, comme d’habitude et à tous les niveaux ?
    Na an lara, an sara !
    La patrie ou la mort !

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