34e anniversaire de l’assassinat de Thomas Sankara : Le Mouvement « Endogène » mène la réflexion sur l’éducation révolutionnaire
Le Mouvement « Endogène » a initié, ce samedi 16 octobre 2021, un panel sur le renouveau du système éducatif au Burkina Faso. « Quels repères pour le renouveau de l’éducation au Burkina Faso : la contribution de la vision du CNR et du Pr Joseph Ki-Zerbo ? ». C’est le thème retenu pour les échanges. Cette activité du mouvement entre dans le cadre de la célébration du 34e anniversaire de l’assassinat de Thomas Sankara et de ses compagnons.
Cette année, dans le cadre de la célébration du 34e anniversaire de l’assassinat de Thomas Sankara, le Mouvement « Endogène » a décidé de mener la réflexion sur la question de l’éducation. A cet effet, il a initié un panel, le samedi 16 octobre 2021, autour du thème « Quels repères pour le renouveau de l’éducation au Burkina Faso : la contribution de la vision du CNR et du Pr Joseph Ki-Zerbo ? ».
- Cette activité vise particulièrement à réfléchir sur les problématiques du renouveau de l’éducation nationale.
Selon le président du Mouvement, Harouna Kaboré, cette activité vise particulièrement à réfléchir sur les problématiques du renouveau de l’éducation nationale à travers plusieurs communications qui porteront entre autres sur « L’école révolutionnaire et la construction de la conscience nationale et patriotique : quels repères pour une éducation au service de la construction de l’Etat-nation et du développement endogène ? » et « La cohésion sociale et le vouloir-vivre-ensemble : quel rôle de l’éducation, quelles approches pour un modèle éducatif en phase avec les enjeux de développement du Burkina Faso ? ».
Ces communications seront assurées par des spécialistes de l’éducation dont Jean-Martin Coulibaly et Fidèle Tamini, tous deux anciens ministres de l’Education. Mais aussi par Dr Abdoulaye Barro, philosophe, et Basile Guissou, chercheur et homme politique.
- Les participants à ce panel seront édifiés sur le rôle de l’éducation dans la construction de la cohésion sociale.
Le Mouvement « Endogène » est convaincu que, pour arriver à une société d’hommes et de femmes disciplinés, travailleurs, patriotes, audacieux, ambitieux, intègres, dignes, solidaires, humains, il faut passer par l’éducation. « Il nous appartient donc, a suggéré M. Kaboré, d’installer dans les têtes de nos jeunes de nouveaux logiciels ». Car, explique-t-il, « cette nouvelle génération doit être armée de science jusqu’aux dents ».
Obissa Juste MIEN
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 17 octobre 2021 à 22:18, par Le Debf En réponse à : 34e anniversaire de l’assassinat de Thomas Sankara : Le Mouvement « Endogène » mène la réflexion sur l’éducation révolutionnaire
Ai-je bien lu ? Fidèle Tamini, ancien ministre de l’éducation, ici au Burkina ? Non, connais pas ! Il y avait par contre, Fidèle Kientega, ancien ministre de l’éducation et aussi Mélégué Traoré, ancien ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique !
Oui, ce type de bourde peut arriver.
Le 18 octobre 2021 à 13:19, par Le cdp-bis En réponse à : 34e anniversaire de l’assassinat de Thomas Sankara : Le Mouvement « Endogène » mène la réflexion sur l’éducation révolutionnaire
Non, je ne pense pas que ce soit une bourde ! Fidèle Kientega n’est pas le premier "Fidèle" à être ministre de l’éducation ! Renseignez-vous avant de de déclarer que c’est une bourde !
2. Le 18 octobre 2021 à 02:20, par Eric En réponse à : 34e anniversaire de l’assassinat de Thomas Sankara : Le Mouvement « Endogène » mène la réflexion sur l’éducation révolutionnaire
"Le Mouvement « Endogène » est convaincu que, pour arriver à une société d’hommes et de femmes disciplinés, travailleurs, patriotes, audacieux, ambitieux, intègres, dignes, solidaires, humains, il faut passer par l’éducation"
Si vous parlez de l’éducation que les gens reçoivent en famille vous avez peut être raison, mais l’éducation prodiguée dans nos écoles c’est peine perdue. Les enseignants sont parfois même plus indiscipliné que les élèves..
Pour arriver aux valeurs que vous avez cité, il faut juste savoir manier le bâton et la carotte avec les burkinabè. C’est suicidaire, (la preuve Sankara a été tué et sa mort a été bien accueillie par la population), mais c’est la seule solution vu le niveau d’indiscipline au Burkina.