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Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

Publié le lundi 22 mars 2021 à 22h55min

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Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

Des élèves de la classe de 5e d’un lycée de Ouagadougou ont été déférés à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO) pour détention et usage de stupéfiants, informe la gendarmerie nationale ce lundi 22 mars 2021.

Ces élèves, âgés de 16 et 17 ans, ont été arrêtés par la Brigade de recherche de Ouagadougou sur dénonciation de leurs encadreurs, poursuit la gendarmerie.

A partir de 17 ans les enfants risquent les mêmes peines que des personnes adultes, a rappelé la gendarmerie qui invite les parents et éducateurs à être vigilants sur la consommation des drogues et leurs désagréments.

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Vos commentaires

  • Le 22 mars 2021 à 14:17, par LE MAITRE GOMYAAREE : PAYS SANS FOI NI LOI En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

    C EST BIEN MAIS CE N EST PAS ARRIVE COMME LE DIRAIT L AUTRE.
    QUI LEUR FOURNIT LA DOPE ? L ARGENT ?
    DANS TOUS LES QUARTIERS DE OUAGA BOBO ETC C EST LA MERDE LA CATASTROPHE TOTALE !
    C EST QUELLE JEUNESSE CA DES alcoolos DES DROGUES DES VOLEURS DES PUTES DES FAINÉANTS DES JALOUX DES BRAQUEURS MON DIEU IL PARAIT QUE LE POISSON POURRIT PAR LA TÊTE.

    PS EN OCCIDENT ILS ONT A MANGER DONC LES sensations AUTRES PEUVENT S ENTREVOIR MAIS EN AFRIQUE DE LA MISÈRE .

  • Le 22 mars 2021 à 14:40, par A qui la faute En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

    Malheureusement c’est une partie infime d’élèves. Car le phénomène est dans presque tous les établissements scolaires. Hélas nous en sommes tous coupable pour non dénonciation d’un mal qui ronge la jeunesse. Aujourd’hui tu frappe l’enfant du voisin pour inconduite, les parents portent plainte et tu te retrouve en prison. Je me rappel à l’époque quant je revenais à la maison avec les fesses rouge suite à une correction du maitre, c’était la joie dans le visage de mes parents. Aujourd’hui c’est la compétition de l’argent de poche pour élève entre parents(celui qui donne plus). Conséquence, aucun respect d’un élève envers son instituteur, envers un adulte et souvent envers les propres géniteurs.Ne soyons pas étonné, car en général ce sont les mêmes enfants qui circule d’école après école pour faire sortir les autre des classes, sans parler des acrobaties en circulation. Le circuit de la vente et distribution de la drogue c’est entre nous burkinabé LES HOMMES INTÈGRE.

    • Le 23 mars 2021 à 01:26, par Nabiiga En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

      @ Qui la faute

      En Afrique, une famille n’élève pas un enfant ; c’est tout le village qui s’en charge car si un enfant commet un forfait indésirable à l’extérieur de chez lui, c’est un membre du village, qui habite loin même de chez l’enfant qui s’occupera de lui donner la correction qu’il lui faut pour qu’il ne récidive plus. L’enfant n’est toujours pas au bout de ses peines car outre cette correction, l’enfant est amené manu- militari, tenu par l’oreille précisément, pour aller le dénoncer devant ses parents. Les parents prennent le relais de la punition. C’est comme cela que nous avons grandi au village. Lorsque tu t’indignes qu’on ne dénonce pas, comment va-t-on le faire dans les centres urbains ? Et pour toi, ne pas dénoncer veut dire quoi exactement ? Rouler à vive allure à la police pour dire qu’on a aperçu des enfants en train de se droguer ? La police aura-t-elle de l’essence pour aller les appréhender et même, si l’interpellation est faite comme dans ce cas, que fera-t-elle la justice ? Afin que la justice fasse joue son rôle, il faut bien le dénoncer auprès de la police, reste à savoir si elle sera intéressée, elle a d’autres chats à fouetter, tout coup. Pire, quelle est la peine pour usage de stupéfiants au Burkina ? Comment notre justice sanctionne toute personne prix dans le filet pour usage des stupéfiants ? C’est un jeu d’enfant en ce qui concerne la sanctionne à écoper pour usage de stupéfiants, et même pour ces adolescents.

      Ne déplaçons pas le problème. Le problème n’est nullement un quelconque manque de dénonciation des citoyens, mais bien un problème beaucoup plus sérieux et, c’est au nord du Burkina, au Mali, au Niger et dans les régions des trois frontières que se trouve ce problème. L’unique raison pour laquelle les djihadistes sévissent dans nos pays, c’est inexorablement de vider les villages de leurs populations afin d’avoir la main libre pour recevoir de la cocaïne et d’autres drogues dures de l’Amérique latine et ailleurs pour la consommation locale, et pour les acheminer vers l’Europe. C’est là où se trouve le problème.

      L’unique problème dévastateur aux ramifications multiples auquel fait face notre pays est le terrorisme, le terrorisme, rien que le terrorisme. La cocaïne ne vient pas du sud de notre pays mais du Nord. C’est grâce aux fournisseurs djihadistes que nos grands centres urbains sont d’ores et déjà inondés de ces drogues dures qui empoisonnent nos enfants issus des familles pauvres. Combattre le djihadisme doit être une cause nationale car, voyez-vous, non seulement la défense nationale est budgétivore au mépris des autres secteurs de la vie nationale dont le pays manque cruellement tels des hôpitaux, des cliniques, la communication et j’en passe, c’est la jeunesse de notre pays que nous perdons dans la foulée. Appelons les choses par leurs noms propres.

  • Le 22 mars 2021 à 14:42, par saam En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

    Je suis triste pour ces enfants et pour tous les autres qui se baladent dans les établissements scolaires avec de la drogue.
    Chapeau bas et respect à tous ces parents qui se battent sans relâche au quotidien pour que leurs rejetons gardent le cap dans un milieu gangréné par tous ces maux. Courage à tous ces parents qui triment jour et nuit pour sortir leurs enfants de cette spirale.
    Et je suis triste pour ces personnes cupides qui, pour l’argent , n’ont aucun scrupule à détruire la jeunesse sensée prendre la relève. Mille fois dommage !! En tout cas, qu’ils continuent de semer, la récolte viendra à coup sûr !
    Cela fait mal de se retrouver en prison à cet âge, mais l’État n’a pas d’autres choix que de rester ferme et imperturbable dans la sanction pour l’exemple. Ceux à l’origine de la destruction de la jeunesse méritent la pendaison car cela ne s’explique pas. De toutes façons, ils finiront tous mal !!

  • Le 22 mars 2021 à 16:09, par Made En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

    Ahmed, la MACO n’est pas pédagogique mais andragogique, c’est à dire éducation des adultes. Comme ces élèves ne sont des enfants, il leur faut une éducation des adultes (andragogie) c’est pourquoi ils sont à la MACO. Quand les autres détenus vont leur déchirer le cul, ils changerons. Déjà à 17 et 16 ans, ils sont toujours en classe de 5e ?.

    • Le 22 mars 2021 à 22:28, par Gwandba En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

      Que ces enfants obtiennent une punission pour la faute commise, je trouve normal. mais la peine est un peu disproportionnée et attive de mon point de vue. comme l’ont suggérés mes prédécesseurs, tout le monde gagnerait à ce que la gendarmerie démantele la filière et évite à ces enfants, pauvres victmes d’hippothéquér leur avenir.
      Pour répondre à votre mention de l’andragogie, cette méthode n’est pas adaptée à nos deux jeuns frères car il n’ont pas encore 18 ans. l’agent de la gendarmerie est en faute et si les parents de ces enfants font un procés, ils gagneraient car, dans cette situation les autorités sont en faute. C.I.D.E de la charte africaine du bien être de l’enfants dont le Burkia est d’ailleurs signataire.
      Cordialement, un travaileeur social.

    • Le 23 mars 2021 à 08:53, par kwiliga En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

      @Made
      Hum, il semble ici que vous prôniez la sodomie comme méthodologie éducative.
      Je ne sais si vous cherchez à nous faire partager votre propre expérience et comment cela vous a positivement impacté.
      Mais après tout, pourquoi pas, vous semblez tenir des propos d’intellectuel,... école socratique ?
      Je vais donc me laisser pénétrer par l’idée.

  • Le 22 mars 2021 à 16:29, par Wendmi En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

    16 et 17 ans en classe de 5ème ; cela montre déjà que ces enfants accusent du retard dans leur cursus. Rentrés à 7 ans, ils devraient faire les 3ème - 2nd. Ce qui dénote de quel genre d’enfants il s’agit.
    Je milite pour une forme de punition pour ce genre de délits. Le Burkina notamment ses villes ont un manque criard de système d’évacuation des eaux de pluie. Tous ces petits délinquants peuvent purger leur peine en creusant le réseau de caniveaux à travers toutes les villes, loin des gangsters qui croupissent dans geôles.

  • Le 22 mars 2021 à 17:34, par Erosbak En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

    Il faut que la Police et la Gendarmerie ouvre l’œil sur les clubs à chicha si possible leurs fermetures.

    Aussi procéder au contrôle des camions de fruits venant du Ghana car a l’heure actuelle le marché Tolsin-yaar sis à kalgondin est leur quartier général et le terrain de FABAO leurs fumoir.

    Messieurs de la Police et de la Gendarmerie merci de nous aider avant qu’il ne soit trop tard.

  • Le 22 mars 2021 à 23:14, par somed En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

    Les enfants des pauvres cherchent à survivre. Les 2 jeunes ne sont pas des enfant de pauvres. Quand on devient tres riche en magouillant en trichant dans son travail on n’a pas le temps pour eduquer les enfants. Il faut magouiller pour avoir l’argent..Les meres c’est pire. Une grosse voiure et de quoi reñdre jaloux la femme du voisin ou du collegue du mari et on est contente. Quand on se reveille à 8h pour se laver, se maquiller pour sortir pour les maquis ou les auberges, on n’a pas le temps pour eduquer les enfants. Ce n’est pas seulemen l’ecole ou les compagnies, c’est les parents. Je demande aux nouveau riches de nous permettre d’eduquer nos enfants, nous les pauvres !!

  • Le 22 mars 2021 à 23:33, par Mr congo En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

    Je trouve que nous tous,ont gagneraient mieux a se que les tètes soit démantelé,,sino !!!!???mètre des eleves en prison ??se bon !pour une correction.mais a l’avenir ???!!! Moin bon pour la société.. Merci.

  • Le 23 mars 2021 à 07:41, par SOME En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

    Pauvre agents de securite sans le moyens et qui pourtant ont la volonte de faire quelque chose. Malheureusement certains de nos dirigeans qui sont milliardaires savent d’ou viennent leur richesse. Esperons que les enquetes de la FDA se repercuteront au burkina puisque des noms de dirigeants sont donnés
    SOME

  • Le 23 mars 2021 à 08:29, par Maman En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

    Bonjour,

    En tant que mère, je crois que envoyer ces deux jeunes enfants en prison les désorientera davantage.
    J’aurai opté pour une autre forme de sanction qui aidera ces enfants à être des hommes de demain. A la MACO, je crains qu’en plus des stupéfiants, qu’ils deviennent de grands bandits. 16 et 17 ans ne sont pas tard pour ramener des enfants à la raison.

  • Le 23 mars 2021 à 09:03, par Rasta En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

    Pour avoir fume une fleur naturelle les enfant on vu leur avenir hypotequer. A la Maco il apprendront rien de bon .ils seront du Cote des bandit a grand chemin et apprendron du mauvai.
    Pendant q les pays developer commence a legalized le chamvre indien parce q meme avec des moyen colossal on ne peux eradiquer ce phenomen.
    Moi je suis contre les drogue synthesizer., le chamvre indien nest pas aussi movais comme certain en pense .
    La solution est la legalisation .
    Quand cest legal ce nest plus attirant comme ca .
    Prenner lexemple de lalcool et la cigarette .
    Legalise le ganza . Cest 1000 miieux a de cultiver le coton.

  • Le 23 mars 2021 à 09:11, par arsène bamogo En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

    C’est tout le système éducatif, depuis le berceau, qui est à l’eau. Quand par exemple un chef dit de famille traite de façon vulgaire son épouse devant ses enfants, que celle-ci emploie des mots grossiers pour traiter ces derniers, quand le père fume comme une cheminée tout le temps qu’il est à la maison au vu et au su des marmots, qu’il ne contrôle jamais ce qui est fait de l’argent de poche qu’il donne pour le casse-croûte, il est évident que les conséquences ne peuvent qu’être ce que nous vivons actuellement, l’enfant ayant tendance à imiter ses géniteurs. Que nous les parents nous nous ressaisissions donc rapidement avec l’accompagnement des enseignants et autres responsables d’établissements !

  • Le 23 mars 2021 à 14:20, par Sidpawalemde Sebgo En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

    Au Burkina Faso, la loi fixe la responsabilité pénale à 13 ans, même si la majorité pénale est toujours de 18 ans (voir nouveau code pénal).

    Cela signifie que quand il a plus de 13 ans mais moins de 18 ans, le délinquant ou le criminel est jugé comme un adulte, sauf que les sanctions prévues pour les adultes sont "adoucies". (La moitié de la peine je crois)

    Il est vrai que nous appelons nos garçons et filles "boud’chou" et "bébé" jusqu’à ce qu’ils se marient, mais ce n’est pas pour cela que ce sont toujours des enfants et la justice n’est pas un parent "gâteau".

    Quand il s’agit d’avoir une CNIB, d’avoir le permis de conduire, le droit d’avoir des relations sexuelles ou de se marier, tout le monde trouve bien qu’on puisse le faire en dessous des 18 ans de la majorité.

    Mais dès qu’on parle de sanctions, les gens voudraient qu’on considère les délinquants comme "irresponsables" jusqu’à ce qu’ils aient la barbe ? Et qu’en est-il des jeunes de 16/ 17 ans qui violent et qui tuent ? Vous voudriez qu’on "laisse tomber" tout simplement ?

    Au vu du nombre d’internautes qui banalisent la chose, on voit bien que pour eux, fumer (de la drogue) n’est pas si grave. Mais vous êtes-vous demandé quoi et comment ils ont fait pour s’en procurer ? Il faut bien trouver l’argent et en général , le vol, l’agression, la prostitution et le proxénétisme sont les "voisins" de la drogue. Sans compter que sous l’effet de la drogue, des agressions et viols sont possibles.

    Je ne dis pas que la MACO est le meilleur endroit à cet âge, mais l’alternative si on les considère comme "jeunes" c’est la maison de rééducation, où ils seront avec des garçons et filles de 10,12 ans qui ont déraillé. Je ne crois pas qu’envoyer ces gaillards qui savent déjà consommer la drogue à ces "vrais" enfants soit une meilleure solution.

    Le gendarme l’a dit : La leçon à retenir est d’apprendre à nos enfants à se tenir, en leur faisant bien comprendre qu’à partir de l’âge qu’ils ont, ils seront jugés comme des adultes s’ils déraillent. Point barre...

  • Le 23 mars 2021 à 16:06, par Vérité En réponse à : Ouagadougou : Des élèves en classe de 5e déférés à la MACO pour détention et usage de stupéfiants

    MACO EST LE PIRE ENDROIT POUR REDRESSER CES ENFANTS,
    QUAND ILS SORTIRONT DE LA, ILS SERONT DE VRAIS BANDITS DE GRANDS CHEMINS, PLUS NUISIBLES A LA SOCIETE.

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