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Poursuites judiciaires contre le cabinet Cecrab : Le fondateur Roch Armel Bakyono mis aux arrêts

Publié le mercredi 9 décembre 2020 à 12h50min

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Poursuites judiciaires contre le cabinet Cecrab : Le fondateur Roch Armel Bakyono mis aux arrêts

Accusé par un collectif de 103 plaignants de faits d’escroquerie aggravée et de menaces sous conditions, Roch Armel Bakyono, fondateur du cabinet Cecrab a été arrêté le mercredi 8 décembre 2020.

Déposé à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou ( MACO), Roch Armel Bakyono y sera incarcéré jusqu’à sa deuxième comparution devant le juge prévue pour le 18 décembre 2020.

Il faut rappeler que la première comparution qui a eu lieu le 13 novembre, avait vu l’absence du prévenu et de son conseil.

L’audience avait été renvoyée au 18 décembre pour instruction complémentaire du dossier.


Lire aussi : Justice : Le procès contre le cabinet Cecrab et son fondateur renvoyé au 18 décembre 2020


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Vos commentaires

  • Le 9 décembre 2020 à 11:43, par Derrus En réponse à : Poursuites judiciaires contre le cabinet Cecrab : Le fondateur Roch Armel Bakyono mis aux arrêts

    Personnellement rien ne me surprend pour ce cabinet. Mon 6eme sens ne m’a pas du tout trompe. Je sentais deja du flou et du louche dans son regard. Vivement que la verite soit dite pour que ces victimes rentrent dans leurs droits et que cela serve de lecon aux autres.

  • Le 9 décembre 2020 à 12:28, par Le petit tranquilos En réponse à : Poursuites judiciaires contre le cabinet Cecrab : Le fondateur Roch Armel Bakyono mis aux arrêts

    Il reste maintenant certains notaires. Faites honnêtement votre boulot. Relatez nous un peu et de façon sommaire le pourquoi. Que dieu nous sauve. Certains intellectuels malhonnêtes se spécialisent dans le faux et en font leur gagne-pain.
    C’est dommage

  • Le 9 décembre 2020 à 12:58, par KOLO Idrissa En réponse à : Poursuites judiciaires contre le cabinet Cecrab : Le fondateur Roch Armel Bakyono mis aux arrêts

    Cher "Derrus" votre analyse me parait peut scientifique.

    Au début de ce cabinet j’ai été consulté pour gérer les aspects financiers.

    La parapsychologie sans mentir je ne connais pas.

    Mais en 03 heures de travail j’ai renoncé à cette offre d’emploi.

    Le visage présenté du fameux fondateur ne me parait pas vrai.
    "Cherchez et vous trouverez"

  • Le 9 décembre 2020 à 13:51, par Le réaliste En réponse à : Poursuites judiciaires contre le cabinet Cecrab : Le fondateur Roch Armel Bakyono mis aux arrêts

    Tant que les jeunes ne vont pas abandonner les facilités, la paresse, le gout du gain facile et accepter de travailler franchement, beaucoup finiront par ce sort. C’est dommage pour bon nombre de notre jeunesse. On veut être riche tout de suite et maintenant, prétextant avoir tel diplôme ou tel autre, sans se soucier qu’il faut plutôt chercher à savoir faire quelque chose

  • Le 10 décembre 2020 à 19:09, par Jonassan En réponse à : Poursuites judiciaires contre le cabinet Cecrab : Le fondateur Roch Armel Bakyono mis aux arrêts

    Ce n’est pas que seulement par paresse cette génération court après les facilités il y’a que réfléchir à ce qui se passe autour de nous devient héroïque. J’ai causé avec une victime de ce cabinet. Comme tous les autres du genre, on s’établit par ignorance bête ou par calcul mafieux au sommet du savoir pour faire miroiter enrichissement rapide à une génération très à l’écoute du nouveau sans discernement. Vite les mots magiques sont prononcés : le Trading, les crypto-monnaies, le bitcoin. Ces seuls 3 mots magiques justifient, élèvent et drainent à votre appel des milliers de jeunes en quête du bonheur par l’argent, ce qui appelle le résultat qu’ils chérissent : la liberté financière. Qu’est-ce qui coûte à cette génération submergée par d’innombrables bibliothèques du savoir, de consulter, de scruter le trading et les crypto-monnaies.
    Ces arnaques sous le couvert du nouveau sont légions au Burkina et ne concernent pas seulement ce cabinet mais plusieurs cabinets avec ou sans plateforme en ligne, plusieurs individus regroupés en gang d’escrocs agressant par une raison tripatouillée qui ils rencontrent sur leur chemin.
    Qu’ils s’en prennent à eux-mêmes tel est le verdict possible à servir à cette jeunesse. Ce "leader" (c’est comme ça que l’on parle dans ce milieu) en prison n’apportera rien en compensation de la perte constatée : ces économies sont parties pour toujours. Il ne serait pas juste de le garder en prison et de laisser courir les leaders de Royal Finance, de Globumi, Barka Finance, Glofas dont les clients appelés investisseurs sont en état comateux.

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