Burkina : Me Ambroise Farama dément les accusations portées sur les réseaux sociaux contre sa personne
25 avril, 22:09, par
Juste
Les gens muent tellement au Burkina qu’on ne sait plus à qui faire confiance. Hier encore très bon avocat, parce que défendant des causes justes mais j’avoue que mon appréciation est nuancée en ce moment à son égard. Si on a quasiment une même ligne idéologique que le régime en place, le mieux est de lutter de l’intérieur pour changer les choses, ou bien ? C’est peut être des gens sans expérience qui nous gouvernent en ce moment mais je crois que certaines erreurs comises ne le sont pas par mauvaise foi. Il faut travailler à sauver ce pays que nous sommes entrain de perdre autrement, nous n’aurons plus de terre pour exercer les libertés et la démocratie qui vous sont si chères. On dit que c’est parce qu’il y a la tête qu’il y a les yeux ; si le pays n’existe pas, BASTA pour tout ce que nous voulons ou faisons. Des avocats et autres hommes de droit ont crié ici pour dénoncer des choses, à l’arrivée on se rend compte qu’ils tramaient avec des destabilisateurs ; c’est la complexité des choses au BURKINA comme ça.
Les gens muent tellement au Burkina qu’on ne sait plus à qui faire confiance. Hier encore très bon avocat, parce que défendant des causes justes mais j’avoue que mon appréciation est nuancée en ce moment à son égard. Si on a quasiment une même ligne idéologique que le régime en place, le mieux est de lutter de l’intérieur pour changer les choses, ou bien ? C’est peut être des gens sans expérience qui nous gouvernent en ce moment mais je crois que certaines erreurs comises ne le sont pas par mauvaise foi. Il faut travailler à sauver ce pays que nous sommes entrain de perdre autrement, nous n’aurons plus de terre pour exercer les libertés et la démocratie qui vous sont si chères. On dit que c’est parce qu’il y a la tête qu’il y a les yeux ; si le pays n’existe pas, BASTA pour tout ce que nous voulons ou faisons. Des avocats et autres hommes de droit ont crié ici pour dénoncer des choses, à l’arrivée on se rend compte qu’ils tramaient avec des destabilisateurs ; c’est la complexité des choses au BURKINA comme ça.