Burkina : L’arabe, langue oubliée de la réforme constitutionnelle ?
28 avril, 07:57, par
pff
Vous avez raison, pour la classification en nombre de locuteurs. Il existe un autre critère tout à fait pertinent pour le commerce, qui est le nombre de pays utilisateurs d’une langue donnée. La classification est alors : l’Anglais, le Français, l’Arabe, l’Espagnol et le Russe.
Cela étant, lorsqu’on parle de langue nationale, on ne considère pas vraiment le commerce et le rapport aux autres, mais ce qu’une langue transmet de la culture propre à un peuple.
Dans ce cadre, l’arabe n’a pas droit de cité, car il existe au Burkina essentiellement comme langue liturgique, mais ne parle pas d’une histoire commune au pays. Le Français, tant décrié par certain, fait profondément partie de la culture du pays, puisque celle-ci inclut également les aspects négatifs de l’histoire.
Vous avez raison, pour la classification en nombre de locuteurs. Il existe un autre critère tout à fait pertinent pour le commerce, qui est le nombre de pays utilisateurs d’une langue donnée. La classification est alors : l’Anglais, le Français, l’Arabe, l’Espagnol et le Russe.
Cela étant, lorsqu’on parle de langue nationale, on ne considère pas vraiment le commerce et le rapport aux autres, mais ce qu’une langue transmet de la culture propre à un peuple.
Dans ce cadre, l’arabe n’a pas droit de cité, car il existe au Burkina essentiellement comme langue liturgique, mais ne parle pas d’une histoire commune au pays. Le Français, tant décrié par certain, fait profondément partie de la culture du pays, puisque celle-ci inclut également les aspects négatifs de l’histoire.