Burkina : L’arabe, langue oubliée de la réforme constitutionnelle ?
25 avril, 14:34, par
De Balzac
C’est vraiment dommage un tel article tendancieux et quand on va parler, on dit c’est un chercheur. Autant prendre toutes les langues des nations unies pour mettre dans notre constitution. Sinon bénéficier d’un projet sur financement des Arabes ne peut pas nous perdre autant en tant qu’intellectuel pour produire ce genre de réflexion crisogene inutile.
C’est vraiment dommage un tel article tendancieux et quand on va parler, on dit c’est un chercheur. Autant prendre toutes les langues des nations unies pour mettre dans notre constitution. Sinon bénéficier d’un projet sur financement des Arabes ne peut pas nous perdre autant en tant qu’intellectuel pour produire ce genre de réflexion crisogene inutile.